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Il y a 8 heures, BPCs a dit :

A se demander comment fut perdu cette bataille de france avec un tel taux de perte chez les Allemands ? !? ?

Citation

Lors d’un seul affrontement, le char lourd français B1 bis « Tunisie » du sous-lieutenant Gaudet détruit 100 automitrailleuses allemandes dans Landrecies, le 17 mai ! »

... comment dire, tout ceci pourrait flatter mon ego mais j'ai un peu de mal

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  • 5 weeks later...

Je me suis commandait le livre " Le Baroudeur" de Georges Fleury qui relate la vie du Général Delayen, grand soldat de France.

Depuis le temps que je devais l'acheter se livre, mais il y a tellement de livres à découvrir que parfois on met du temps pour au final se rappelé se livre. 

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Ici vous avez toute les infos sur le Général Delayen, fils d'un sous-officier des Troupes de Marine, ou lui même va servir, pour libérer la France, en Indochine, en Algérie, au Tchad.

Il a créer des unités commando de supplétifs en Indochine , travaillait sur les opérations amphibie ( en lien avec les Dinassaut en Indochine mais aussi en Algérie ) , il fut l'un des créateurs du corps des marines sud-vietnamien, il trouve le moyen d'être envoyé en stage chez les Marines au " Command and Staff College " à QUANTICO, USA. II y passe une année. N'ayant jamais servi chez les paras, il se fait breveté à Pau, vu son profil je pense que ceci explique cela. 

Et après avoir connu les combats dans la libération de la France, d'Indochine, d'Algérie il aura une carrière bien remplie, on notera qu'il restera toujours lié à un moment donné à la 9ème DIC via le RICM et le 2ème RIMa , devenue 9ème DIMa ( 9ème BIMa actuellement). Il est prévu qu'il soit le mis en avant, un lien de tradition pour la nouvelle unité de la 9ème BIMa, le Groupement d'Aide à l'Engagement Amphibie ( GAEA). 

Citation

Pacifique (1962-1965)
Il quitte l'Algérie début 1962 et part au Pacifique pour y prendre le commandement du "Bataillon d'Infanterie de Marine de Tahiti"

Métropole (1965-1972)
En 1965, il reçoit comme Lieutenant-Colonel, sa première réelle affectation en métropole.
C'est à la " Force Amphibie d'Intervention" basée à Lorient qu'il y dirige d'abord le "Centre d'Instruction Amphibie" qui est chargé des opérations à l'Etat-Major de l'Amiral.
Durant cette affectation, il trouve le moyen d'être envoyé en stage chez les Marines au " Command and Staff College " à QUANTICO, USA. II y passe une année.

Il commande ensuite le " 2ème Régiment d'Infanterie de Marine" en Bretagne, puis passe un an à BREST, comme Officier de Liaison près de I'Amiral/Atlantique.
Il passe Colonel en1970.

TCHAD ( 1972-1977)
Il part enfin au TCHAD en l972 et y passera 6 ans
D'abord Adjoint du Général aviateur commandant les Forces Françaises, puis conseiller du Général Tchadien, Commandant en Chef des Forces Armées Tchadiennes.
Grand Officier de la Légion d'Honneur en1975.
Promu Général de Brigade, en 1977, il doit quitter le TCHAD affecté "par ordre" , au Ministère de la Coopération à PARIS.

Sur sa demande, il passe dans le Cadre de Réserve en Juin 1978.

Revenu à la vie civile, après 4 années passées à bord de sa péniche "le Jean Bart", amarée près du pont de la Concorde à Paris, il réside aux USA depuis 1982. Il s'y occupe d'élever son fils "JL" issu d'un mariage avec une citoyenne américaine.
Il prend cependant le temps de donner des conférences et de participer à des séminaires sur des sujets militaires bien évidemment, chez les Marines de QUANTICO, et chez les Spécial Forces de Fort BRAGG.

Il est Président des Officiers de Réserve Français résidant dans la région de WASHINGTON.

Il fut élevé à la dignité de Grand Croix de la Légion d'Honneur en 1996.

Président Honoraire, fondateur de "l'Association Nationale des Commandos du Nord-Vietnam", il partageait son temps entre les USA, auprès de son fils établi là-bas et son pied-à-terre à St Raphaële où il était apprécié et considéré comme une figure locale, à la fois homme exceptionnel d'une grande simplicité et un sage pour ses qualités humaines.

 

Ici via l'hommage lors de son enterrement vous aurez tout les détails sur le général Delayen, hommage, photos etc... 

https://unpara.pagesperso-orange.fr/gazette/2002_11/gazette112002.htm

Un grand soldat de la Coloniale ! 

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je viens de (re)terminer Dieu est mon copilote. je l'avais aimé ado, laissé religieusement dans un coin du grenier de mes parents, et ça m'a procuré bien du plaisir de le relire. Pas de la grande littérature, mais un témoignage avec une écriture fluide de la 2nde GM en Chine avec les Tigre Volants.

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  • 1 month later...

Bonjour,

Est-ce que vous connaissez des livres (en français si possible) sur l'armée allemande de l'entre-deux Guerres ?

Que ce soit les corps-francs, la "Reichswehr noire", le réarmement clandestin de l'Allemagne, etc. 

Un grand merci !

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  • 2 weeks later...

Mort de Jean Raspail ce 13 juin 2020

J'avais d'abord lu "Le Camp des Saints". Ensuite d'autres livres. Et dans "Le Roi au-delà de la mer" j'avais découvert un épisode obscure et honteux (parmi d'autres) de la révolution. Le saccage de la nécropole royale de St.-Dénis. Comme une anticipation de la folie d'aujourd'hui de la destruction du passé. Vraiment visionnaire, malheureusement avec des visions funestes.
Paix à son âme, c'est une très grande perte.
Condoléances à sa famille.

P.S. Pour ceux qui ne l'ont pas lu, je mets un lien vers Le camp des saints au format Epub en partage temporaire

https://www.partage-temporaire.fr/2020/06/13/le-camp-des-saints---raspail-jean/?

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Citation

Il y avait du Tintin chez Raspail. Le Tintin qui court, vole, navigue et fonce à moto. Un Tintin un peu plus drôle, certes, qui n’hésitait pas à emprunter de temps à autre la bouteille de Loch Lomond du capitaine Haddock pour trinquer à la Patagonie royale ! Car il trinquait, le père Raspail, toujours élégamment, et de préférence en mémoire de rois de pacotille qu’il prenait très au sérieux. C’est désormais en sa mémoire que l’on essayera de trinquer avec autant de tenue.

L’homme et l’écrivain étaient marqués par un style fait d’élégance, de manières et de rites, ni l’un ni l’autre n’ayant jamais oublié que « l‘action, c’est avant tout la forme ». Comme Jacques Perret qu’il admirait, l’explorateur passa la plus grande partie de sa vie à se promener de continent en continent et de siècle en siècle. Batifolant avec des créatures swiftiennes dans une rivière de l’île de la Dominique, assistant à une messe des catacombes avec les derniers chrétiens du Japon, observant avec effroi les caravelles de Magellan s’engouffrer dans le détroit qui portera bientôt son nom ou recherchant les traces des derniers Wisigoths de l’Hérault, des derniers Huns de l’Aube, il était partout chez lui, et sans aucune affectation ; sans ironie et sans démagogie, ces deux plaies des temps démocratiques.

On reconnaît un écrivain à la fidélité qu’il porte à son obsession. La quête de ceux qu’il appelait « les peuples perdus » était celle de Raspail. La plupart avaient bel et bien disparus à jamais, mais Raspail était un rêveur. En retrouver la trace constituait l’unique but de ses voyages et ceux-ci prenaient à mesure que les années passaient un caractère d’urgence tragique. Quand il publia ses premiers voyages aux Antilles, il prenait encore le temps de flâner, de décrire les lézards, de disserter sur le punch et les méfaits du créole, avant de se lancer à l’assaut des montagnes et de ses chimères. Mais la fébrilité le gagna bientôt quand il réalisa que le toboggan de l’histoire était sans pitié et qu’il projetait les derniers peuples non alignés dans le néant. Certes, Raspail est venu trop tard dans un monde trop vieux, mais il fut quand même de son époque, ce vingtième siècle qui a vu disparaître les dernières tribus en silence, celui qui a signé la fin de ceux qui se réclamaient d’un autre droit, d’une autre légitimité, d’une antériorité. Le projet moderne est bicéphale : l’avènement du progrès et le grand métissage côté pile ; la fin mécanique des peuples qui les refusent et l’uniformité côté face, celle qui hantait Raspail. « S’il reste un survivant, je veux le voir et lui parler, lui saisir la main, savoir à quoi cela ressemble un homme vieux de milliers d’années et qui le sait », écrivait-il dans La Hache des steppes, magnifique livre dans lequel il cherchait ce survivant partout dans le monde, avec désespoir et gaité.

Ses voyages étaient autant d’enquêtes de terrain, préparées par des séjours en bibliothèque. Tout témoignage était bon à prendre, celui d’un routard aperçu au bord de la route comme celui des archives. Du croisement des deux naissait l’aventure. Mais Raspail n’était pas ethnologue pour autant. Il a toujours eu pour lui la supériorité du romancier car quand le fil était cassé, et il l’était souvent, il « maudi[ssai]t la cassure et l’enjamb[ait] par l’imagination » à l’image du mystérieux Kandall Kartis de Septentrion. La science laissait alors la place au rêve des origines pour le plus grand bénéfice du lecteur. Aux Antilles, il rechercha les derniers Indiens Caraïbes et au besoin les inventa. Au Japon, il courut après le peuple des Aïnos. Dans les Andes, essoufflé, il traqua les demi-dieux Urus « carambolés vers les recoins les plus inconfortables du globe », et finit dans une exaltation religieuse par célébrer une messe antédiluvienne dans une petite chapelle à 4000 mètres d’altitude au bord du lac Titicaca… Trop loin de Rome, ce catholique apostolique et romain se transformait parfois en mystique païen ainsi que l’avait remarqué Jean Mabire en son temps.

Toute une vie à voyager dresse une géographie. Celle de Raspail était des confins, collection méthodique de bouts du monde hostiles, de steppes balayées par le vent, de rives gelées, d’îles sous la pluie et de sommets inaccessibles. Là se terraient les peuples refoulés par les siècles, gibier littéraire de notre romantique. Parmi eux, les Alakalufs qui l’ont tant fasciné. Ce « petit peuple désolé, arriéré, faible et laid » nomadisait depuis des millénaires dans les canaux autour du détroit de Magellan. Ils vivaient nus, à peine enduits de graisse de phoque, se nourrissant de baleines échouées, ne possédant aucun mot de vocabulaire pour exprimer le bonheur et la joie. Leur débilité, véritable pied de nez à Darwin, était leur plus grande force : si l’on se met à penser sous ces latitudes, on se couche pour mourir.

L’aventurier a raconté mille fois la rencontre fugace, à vingt ans, du haut d’un cargo engagé dans le détroit, d’un canot avec six de ces survivants à bord, et la conscience que 10 000 ans séparaient leurs deux mondes. Quelques décennies plus tard, la race s’éteindra à jamais mais pour lors cette rencontre de quelques secondes détermina sa vie. De Terre de feu-Alaska, son premier livre (1952) à Adiós Tierra del Fuego quarante-neuf ans plus tard, il y reviendra tout au long de son œuvre. En 1986, il leur consacra ce qui fut peut-être son chef d’œuvre : Qui se souvient des hommes… Peu de livres offrent des descriptions de paysages aussi saisissantes. La pourriture des forêts magellaniques noyées de pluie, les sommets glacés de la cordillère plongeant dans la mer ; le froid, la neige, les archipels effrayants, la nuit des canaux infinis et la solitude de ces Indiens nus dans des barques de fortune agités par les flots confèrent à ce livre une tristesse et une beauté uniques. Le jour où apparaissent les Espagnols dans ces confins du monde, les Indiens Alakalufs sont condamnés. L’agonie durera cinq siècles. De quoi méditer sur l’impératif universel de « l’ouverture à l’autre ».

« Il existe chez certains êtres doués d’une nature particulièrement rêveuse des fidélités de rechange qui finissent par prendre le pas sur tout le reste », écrivait notre voyageur dans Bleu caraïbe et citrons verts. Raspail ne reconnaissait plus la France dont le peuple s’était transformé en masse informe. Produire ? Consommer ? Se rendre utile ? Toucher ses allocations ? Manifester dans les rues ? Adiós Tierra de Francia ! Raspail prit la tangente. Il se fit naturaliser dans un pays qui n’existait pas, devint sujet d’un roi de chimère, offrit sa fidélité de rechange à ses rêves.

Ce roi, c’est Antoine de Tounens bien sûr, un rêveur lui aussi, le plus grand des rêveurs ! Un avoué de Périgueux qui décida un jour de devenir roi du territoire sauvage de l’Araucanie, qui par décret annexa la Patagonie voisine et son million de kilomètres carrés, qui tâta de la prison au Chili avant de s’en faire chasser et qui finit par distribuer aux poètes enivrés du Chat Noir, contre un bock de bière, les titres de terres qu’il ne possédait pas…

Le drapeau à bandes horizontales bleu blanc vert flottait sur la maison de celui qui s’était institué Consul général de Patagonie. Raspail fit sécession. L’auteur du Jeu du roi ne cessait de jouer mais il jouait très sérieusement. Son royaume littéraire accueillait tous les rebelles, les bras-cassés de la modernité, les ratés du progrès, les morts pour la croissance, tous ces peuples millénaires dont l’histoire a cru bon de se passer. Certains disent qu’en ce royaume, en fermant les yeux, on peut encore entendre le bruit des rames de ces Indiens nus fouettés par la pluie glacée qui rament péniblement dans les flots déchaînés. C’est ce rêve dans la brume que nous laisse Raspail, cette fidélité de rechange, cette œuvre qui nous rappelle qu’il y eût des hommes.

Olivier Maulin

C’était Jean Raspail

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Je suis entrain de relire La guerre de Sécession de James Mc Pherson. la-gue10.jpg. À l'époque j'avais fait un peu l’impasse sur les causes du conflits, m’intéressant principalement à son déroulement. Alors qu'à la lumière des évènements qui ont lieux au USA et la place des noirs dans la société américaine. Je me rend compte, que toute la  première partie du livre consacrée à l'origine du conflit est vraiment intéressante, bien qu'elle soit rapidement évoquée. (il y a énormément de références). Une lecture à conseiller en ces temps troubles au US.

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  • 2 weeks later...
  • 1 month later...
  • 4 weeks later...

Lu hier soir "l'adieu à la femme sauvage"

Johanna est au spectacle quand les bombes ont commencé à tomber lorsqu'elle arrive chez elle sa soeur est morte et sa mère catatonique, normal on est à Dresde à la fin de la WW2. c'est le début d'une odyssée d'une adolescente de 12 ans qui se retrouve à s'occuper de sa mère 36 ans totalement traumatisée...

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J'ai acheté le dernier TNT, vu la météo je le lirais ce soir ou demain mais à priori bien des truc intéressant.

Ach j'ai pas résisté dès les premières page on apprend que  5 T 14 Armata auraient déployés dans la scierie vers Lattaquié. tombé dans une embuscade par des TOW 2 l'un d'eux aurait été détruit totalement et deux autres endommagé, bien que non confirmé cette nouvelle serait inquiétante pour un char équipé de l'Afganit.

Bon la médiathèque ferme donc à demain.

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  • 2 weeks later...

Je suis en train de feuilleter dans un kiosque numérique  "Le magazine de l'aviation"

Heureusement que c'est pas payant en ligne ... Payer ça 8.9€ c'est du vol :blink:

C'est vide et surtout super mal écrit, les phrases ne sont pas françaises. Il y a un mélange permanent d'unités. 

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il y a une heure, clem200 a dit :

Je suis en train de feuilleter dans un kiosque numérique  "Le magazine de l'aviation"

Heureusement que c'est pas payant en ligne ... Payer ça 8.9€ c'est du vol :blink:

C'est vide et surtout super mal écrit, les phrases ne sont pas françaises. Il y a un mélange permanent d'unités. 

J'en ai déjà acheté deux numéros et, effectivement, c'est un festival. Contenu très pauvre, fautes d'orthographe, de syntaxe, de mise en page... 

Mais c'est un mal qui touche de plus en plus de publications. Le dernier Action Armes et Tir comprend aussi un article rempli de faute d'orthographe et de frappe. 

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  • 2 weeks later...

Au passage ,l'INA publie en accès libre , les audios /vidéos des interventions du général de Gaulle, de quoi y passer des heures .

Frappant de voir la profondeur de vue. En commençant par les premières années : sa réaction sur Bir Hakeim ,  toujours  d'actualité: une défaite militaire n'est jamais la défaite d'un peuple, quand ce peuple, fut-ce sous forme d'une poignée d'hommes , refuse à l'accepter"

https://fresques.ina.fr/de-gaulle/accueil

 

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  • 3 weeks later...
  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...

Petit livre Kindle gratuit d'un jeune auteur aujourd'hui sur un roman de hard SF en forme de journal de bord d'une commandante de la première base lunaire international en 2030. 

https://www.amazon.fr/Endymion-2030-KAATH-Ronan-ebook/dp/B082NY8LFF/ref=mp_s_a_1_1?dchild=1&qid=1605807392&refinements=p_27%3AKAATH+Ronan&s=digital-text&sr=1-1&text=KAATH+Ronan

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2030. L’Agence Spatiale Européenne a établi la première base lunaire autonome au pôle Sud de notre Lune. Dans une coopération internationale avec les États-Unis, la Chine et la Russie, quatre astronautes de l’expédition Moon Home-01 sont missionnés sur la base Endymion durant six mois.

Comment font-ils pour s’y rendre ? Pourquoi avoir choisi le pôle sud ? Comment fonctionne cette installation ? Suivez le quotidien de Lara Capella, commandante de la mission qui vous expliquera tout de cette expédition et des années à venir.

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Et un autre court livre gratuit un livre de SF uchronique traduit par des fans, Missile Gap de Charles Stross de 2006, ou la surface de la Terre à était transposé sur une surface plane d'une taille gigantesque le 2 mars 1962 dans le Petit Nuage de Magellon en pleine crise de Cuba et l'on retrouve dans les années 70 avec une Europe envahie par les Russes tandis que l'on colonise des continents inconnus à des mois de voyage par bateau, l'espace devant impossible à atteindre. @Rob1 On à en cameo Marcus Wolf qui à fait défection à l'Ouest et qui travaille avec Carl Sagan tandis que Gagarine va diriger un ekranoplan à propulsion nucléaire :bloblaugh:

https://www.500nuancesdegeek.fr/missile-gap/

tumblr_oika8ol5lC1s61q16o7_r3_1280.jpg

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