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On va croire que je n'aime pas les Brits ...

Site Corlobé, 4/10/08,

"La Royal Navy réduit sa flotte de destroyers"

La Royal Navy a mis sous cocon la moitié de sa flotte restante de destroyers dans une tentative désespérée d’économiser de l’argent.

Il ne reste plus désormais à la Royal Navy que 5 destroyers de lutte anti-aérienne pour protéger ses navires contre des attaques de missiles ou d’avions à un moment ou d’autres nations, comme la Chine, l’Inde ou l’Iran, investissent lourdement dans la lutte anti-navire.

Trois destroyers Type 42 — Exeter, Nottingham et Southampton — sont amarrés à Portsmouth avec un statut de "disponibilité réduite", avec jusqu’à 2 ans d’avance sur la date de désarmement prévu.

La force britannique de destroyers et de frégates a été réduite de 35 à 22 au cours de la dernière décennie, malgré les promesses du gouvernement qu’elle ne passerait pas en dessous de 25.

Il se passera encore 2 ans avant que le premiers des 6 destroyers Type 45, extrêmement sophistiqués, ne puisse être envoyé en opération.

Les pressions sur le budget de la Royal Navy sont immenses avec une réduction de 20% attendue pour les 10 prochaines années.

De hauts responsables de la Royal Navy ont déclaré à The Daily Telegraph que le pays prenait des "risques sérieux" dans la protection des groupes de porte-avions ou de navires amphibies. Ils ont accusé le gouvernement de négliger la Flotte qui protège 90% des importations du pays.

Ils rappellent l’excellente protection aérienne fournie par les Sea Harriers, qui ont été retirés du service il y a 2 ans, et qu’au moins 2 destroyers Type 42 sont partis en mission avec leur système de protection anti-missiles désarmé pour économiser de l’argent.

L’Exeter et le Southampton doivent être désarmés en 2009. Le Nottingham, qui avait été sévèrement endommagé après avoir heurté un récif en Australie en 2002, devrait être désarmé en 2010. Mais il est improbable qu’ils quittent à nouveau le port.

Malgré les réductions budgétaires, la Royal Navy continue d’effectuer des missions secrètes de surveillance contre certains pays, ont indiqué des officiers.

"Nous sommes complètement démunis en terme de défense aérienne et nous prenons beaucoup de risques sans les ressources suffisantes pour faire correctement le travail," a expliqué un commandant.

"Mais la Royal Navy a accompli des choses incroyables, dont nous devrions être fiers, contre certains pays au cours des dernières semaines.

"Mais ce genre de compétences sont si précieuses que nous ne pouvons nous permettre de les diminuer encore plus."

Malgré de vigoureux démentis du ministère de la défense, The Daily Telegraph avait annoncé l’an dernier que la Royal Navy risquait de perdre la moitié de sa flotte.

Un porte-parole de la Royal Navy a indiqué que les navires restent "disponibles pour des opérations avec le préavis approprié, si nécessaire".

"Nous nous assurons que nous avons les forces suffisantes disponibles pour faire face aux menaces perçues," a-t-il ajouté.

Référence :

The Telegraph (Grande-Bretagne)"

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ON EN PARLE DEPUIS 2007

Mais Rob dit qu'on éxagère...

C'est parce que Rob était tout autant PATRIOTIQUE QUE NOUS TOUS.  :lol: Qu'il était fier de ses forces armées et qu'il l'a dure de ne pas avoir autant de crédits pour la défense que par le passé. Nous sommes comme lui, on a aussi envie que cela soit meilleur, que nos bâtiments soient tous renouvellés, que l'on ait les crédits pour lancer le PA2, les 4 FDA Horizon, les 17 FREMM, ....hélas, on sait ce qu'il advient par la suite.

Néanmoins, Londres n'est pas à plaindre, elle a les crédits encore conséquents en Europe.

6 T45 Daring Class et 2 CVF + 7 SNA/SSN Astute. Je dis YES tout de suite.

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oui, ne nous réjouissons pas trop. Il ne faut pas oublier que des navires Anglais ont, à plusieurs reprises, intégré notre GAN pour compléter l'escorte.

En même temps, cela mais bien l'accent sur l'importance pour la France d'avoir une bonne ossature de FREGATES et de ne pas se contenter d'être le pourvoyeur européen en "capital ships", comme certains ici le souhaiteraient!

On ne peut pas toujours compter sur le voisin pour escorter nos navires.

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ON EN PARLE DEPUIS 2007

Mais Rob dit qu'on éxagère...

Oui, pour 1-2 ans vous avez fait le propaganda avec des informations faux. Vous avez dit HMS Exeter n'est pas en service etc... en 2007, mais la veritie est que seulement maintenant c'est le cas. Merci pour faire le highlighting de votre propaganda.

Vu qu'il travaille à la City  cheesy tu peux comprendre qu'il est occupé.

Avec les achats des banques americaines comme Lehmann (par Barclays plc)? Non, mais mon frere travaille en le City. Je suis un etudiant et vive en moment a Seattle.

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  • 2 weeks later...

Je suis méchant ...

Site Corlobé.fr, 17/10/08,

"La Royal Navy est maintenant forcée de cannibaliser ses navires"

La Royal Navy a dû cannibaliser ses navires pour y prélever des pièces détachées et les transférer d’un navire sur un autre, plus de 300 fois cette année parce qu’elle ne peut plus se permettre de détenir des stocks suffisants pour répondre aux besoins de réparation de tous les navires de sa flotte.

Les chiffres communiqués au The Herald montrent que la flottille des sous-marins nucléaires a été la plus touchée : en 188 occasions, du "matériel installé" a été déplacé d’un sous-marin à un autre pour que ce dernier puisse effectuer une patrouille opérationnelle. La plupart des sous-marins concernés sont basés à Faslane [1] en Ecosse.

La cannibalisation des navires, des avions et des véhicules s’est largement répandu au sein du ministère britannique de la défense depuis qu’un schéma de dépréciation des affaires a été mis en place pour respecter les objectifs de limitation des dépenses fixés par le Trésor.

Cela signifie que chaque armée doit définir une valeur pour la dépréciation de tous les matériels qu’elle a utilisé, qui se trouve sur le terrain ou est mis en réserve.

En retour, cela a conduit à la fonte des stocks de pièces détachées qui auraient pu aggraver la position du ministère britannique de la défense sur les feuilles comptables du Trésor.

Le résultat pour la Royal Navy au cours des 9 premiers mois de cette année, est que 188 pièces détachées pour les sous-marins, 53 pour les destroyers, 36 pour les frégates et 32 pour les autres types de bâtiments ont été prélevées sur un navire et réinstallées sur un autre.

Les opérations en Irak et en Afghanistan, dans des conditions chaudes et poussiéreuses, sont très consommatrices de pièces détachées.

Les taux de disponibilité des hélicoptères en Afghanistan et en Irak (seulement 47% pour les hélicoptères Chinook) ne peuvent être obtenus qu’en cannibalisant les hélicoptères prévus pour l’entraînement et en vidant les stocks de pièces détachées de Grande-Bretagne pour les envoyer au front.

Certains hélicoptères d’attaque Apache auraient été cannibalisés avant même d’avoir été déclarés opérationnels. Ils sont décrits dans les escadrilles comme des "arbres de Noël" parce qu’ils sont la seule source de pièces détachées.

Notes :

[1] La base de Faslane abrite les SNLE de la classe Vanguard (4 en service) et les SNA de la classe Swiftsure (1 en service).

Référence :

The Herald (Grande-Bretagne)"

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Je suis méchant ...

Site Corlobé.fr, 17/10/08,

"La Royal Navy est maintenant forcée de cannibaliser ses navires"

La Royal Navy a dû cannibaliser ses navires pour y prélever des pièces détachées et les transférer d’un navire sur un autre, plus de 300 fois cette année parce qu’elle ne peut plus se permettre de détenir des stocks suffisants pour répondre aux besoins de réparation de tous les navires de sa flotte.

Les chiffres communiqués au The Herald montrent que la flottille des sous-marins nucléaires a été la plus touchée : en 188 occasions, du "matériel installé" a été déplacé d’un sous-marin à un autre pour que ce dernier puisse effectuer une patrouille opérationnelle. La plupart des sous-marins concernés sont basés à Faslane [1] en Ecosse.

La cannibalisation des navires, des avions et des véhicules s’est largement répandu au sein du ministère britannique de la défense depuis qu’un schéma de dépréciation des affaires a été mis en place pour respecter les objectifs de limitation des dépenses fixés par le Trésor.

Cela signifie que chaque armée doit définir une valeur pour la dépréciation de tous les matériels qu’elle a utilisé, qui se trouve sur le terrain ou est mis en réserve.

En retour, cela a conduit à la fonte des stocks de pièces détachées qui auraient pu aggraver la position du ministère britannique de la défense sur les feuilles comptables du Trésor.

Le résultat pour la Royal Navy au cours des 9 premiers mois de cette année, est que 188 pièces détachées pour les sous-marins, 53 pour les destroyers, 36 pour les frégates et 32 pour les autres types de bâtiments ont été prélevées sur un navire et réinstallées sur un autre.

Les opérations en Irak et en Afghanistan, dans des conditions chaudes et poussiéreuses, sont très consommatrices de pièces détachées.

Les taux de disponibilité des hélicoptères en Afghanistan et en Irak (seulement 47% pour les hélicoptères Chinook) ne peuvent être obtenus qu’en cannibalisant les hélicoptères prévus pour l’entraînement et en vidant les stocks de pièces détachées de Grande-Bretagne pour les envoyer au front.

Certains hélicoptères d’attaque Apache auraient été cannibalisés avant même d’avoir été déclarés opérationnels. Ils sont décrits dans les escadrilles comme des "arbres de Noël" parce qu’ils sont la seule source de pièces détachées.

Notes :

[1] La base de Faslane abrite les SNLE de la classe Vanguard (4 en service) et les SNA de la classe Swiftsure (1 en service).

Référence :

The Herald (Grande-Bretagne)"

Je crois que c'est devenu monnaie courante depuis quelque temps dans nos armées! Je crois savoir que nous agissons de la même manière!

Dans une émission qui est passée récemment (sur France2 me semble t'il), un Général ou un Amiral (je sais plus) appelait cela le système "D"!

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C'est évident....

Quand on lit aujourd'hui que la 32F aligne sept Super Frelon et que un seul vole on est là dans le même schéma...

C'est pareil des deux côtés de la Manche et ailleurs aussi sûrement.

Cet article a simplement le mérite de rappeler ici ou là à destination d'untel ou untel... que les affirmations "tout va très bien Madame la Marquise" ne sont pas vraiment de mise dans cette vallée de larme qu'est devenu notre monde.

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  • 3 weeks later...

Site Corlobé, 5/11/08,

"Le coût et le calendrier des futurs SNLE britanniques pourraient déraper"

Le renouvellement des SNLE britanniques comporte de gros risques. Des questions importantes demeurent sur le coût du projet, a averti mardi une agence parlementaire indépendante.

Le calendrier du gouvernement est si serré que tout retard pourrait mettre en danger l’objectif déclaré du maintien de la dissuasion nucléaire, ajoute le National Audit Office dans un rapport insistant sur les risques au niveau du coût, du design et de la gestion de ce programme controversé.

Le ministère britannique de la défense, qui prévoit déjà de prolonger de 5 ans la durée de vie de ses SNLE actuels, estime le coût de la construction de 3 ou 4 SNLE entre 15 et 20 milliards £ (18 à 24 milliards €). "Il y a des incertitudes majeurs sur le budget … qui doivent être corrigées," indique le NAO.

Les coûts sont vulnérables à l’inflation, à l’évolution des taux de change — la Grande-Bretagne va acheter ses missiles aux Etats-Unis —, à des changements dans le design, et à l’impact que la TVA aura sur le programme, explique le rapport de mardi.

Le gouvernement britannique a expliqué que le coût annuel d’opération des SNLE s’élèverait à 6% du budget total du ministère de la défense sur une durée de vie de 25 ans. Avec un budget de la défense d’environ 30 milliards £ (37 milliards €), le coût total des prochains SNLE pourrait par conséquent s’élever à plus du double du prix de sa construction.

Tim Banfield, responsable de la défense au NAO, a averti mardi sur une "supervision insuffisante" du budget. Le problème est compliqué par le fait que les compagnies impliquées dans le projet, en particulier BAE Systems, qui construit les sous-marins, et Rolls-Royce, qui fabriquent les réacteurs des sous-marins, sont en position de monopole.

Un problème est que la Grande-Bretagne achète les missiles Trident aux Etats-Unis qui les entretient aussi. Le nouveau système de SNLE doit entrer en service en 2024. Pourtant, les Etats-Unis prévoient déjà de construire un nouveau type de missiles en 2042, laissant la Grande-Bretagne devant la perspective couteuse de devoir adapter ses sous-marins à un nouveau système d’armes américain, avertit le rapport.

Les responsables du NAO ont aussi souligné mardi le manque de marins spécialisés dans la conduite des réacteurs nucléaires et dans la surveillance des missiles nucléaires. Le manque de personnel qualifié va probablement empirer, expliquent-ils, "aggravé par la concurrence des projets nucléaires civils". Le rapport souligne que la construction des SNA de la classe Astute, à propulsion nucléaire mais à armes conventionnelles, a 41 mois de retard et dépasse le budget initial d’1 milliard £.

Le gouvernement indique que la Grande-Bretagne doit commencer à envoyer ses nouveaux SNLE en patrouille en 2024. Chaque sous-marin a besoin de 2 ans d’essais après le lancement, de 8 ans de construction et de 5 ans de conception, selon le NAO. Un contrat de conception des sous-marins doit être signé au plus tard en septembre prochain si le gouvernement veut respecter son calendrier.

Référence :

The Gardian (Grande-Bretagne)"

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Site Corlobé, 11/11/08,

Fuite radioactive sur un sous-marin britannique à quai

Des centaines de litres de liquide de refroidissement nucléaire ont fui d’un sous-marin de la Royal Navy à quai dans une rivière, a confirmé le ministère britannique de la défense.

Quelques 280 litres de liquide se sont échappés vendredi de la base de Devonport à Plymouth dans la rivière Tamar au cours d’un incident impliquant le HMS Trafalgar.

Les responsables indiquent qu’un tuyau s’est rompu pendant le transfert du liquide de refroidissement primaire dans un réservoir à effluent sur une jetée.

Le ministère de la défense a indique qu’une analyse de la rivière n’avait montré aucune contamination détectable.

Personne n’a été blessé au cours de cet incident.

L’Agence de l’Environnement, le Health and Safety Executive et le Defence Nuclear Safety Regulator ont été informés.

Le risque environnemental a été considéré comme négligeable et des experts surveillent la situation, a précisé le ministère.

Il a expliqué que le liquide primaire de refroidissement était de l’eau extrêmement pure qui était utilisé pour le transfert de la chaleur du coeur du réacteur du sous-marin vers les générateurs de vapeur qui alimentent le sous-marin.

Cependant, un consultant nucléaire indépendant, John Large, a indiqué que le liquide de refroidissement n’était pas complètement sans danger.

Il explique : "Le fait même que ce liquide était transféré dans un réservoir à effluent et qu’il aurait ensuite suivi un processus de traitement radioactif signifie qu’il n’était pas dans un état permettant son déversement direct dans l’environnement.

"Le risque n’est pas que le public puisse être affecté. Cette quantité de liquide primaire se sera dilué et dispersé dans la rivière, donc il n’y a aucun impact significatif à cet égard. Le problème concerne les travailleurs du chantier.

"Si la fuite n’avait pas été détectée, ces travailleurs auraient pu marcher dedans, la répandre et la transférer dans des zones non-radioactives et non-contrôlées."

L’Agence de l’Environnement se dit certaine qu’il n’y a pas eu d’impact sérieux, mais a ajouté qu’elle avait aussi pris ses propres échantillons pour s’en assurer.

Le HMS Trafalgar est l’un des SNA britanniques de la classe Trafalgar.

Référence :

BBC (Grande-Bretagne)"

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Image IPB

Le quatrieme T45, Dragon (D35), ce matin avant son lancement sur le slipway a Govan.

Peint dessus est un dragon gallois (elle sera associe au ville de Cardiff).

Elle va bientot etre en route vers Scotstoun pour son fitting out et doit joindre la Flotte en 2012.

http://www.royalnavy.mod.uk/server/show/ConWebDoc.14251/changeNav/6568

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Magnifiques photos qui mettent neamoins en relief un phénomène qui se retrouve sur les Forbin le CDG et en général tous les navires récents dotés de larges surfaces planes (sauf peut être ceux de l'US Navy). Je veux parler de l'aspect "gauffré" des tôles notamment des superstructures.

Cà témoigne des faibles épaisseurs des revêtements avec derrière le maillage des renforts...

On peut remarquer aussi la différence de proportion entre la Type 42 "strech" et les T45. La 42 fait quand même 6 mètres de moins exactement que la 45 en largeur soit près de 40 % de moins c'est considérable et çà explique l'aspect massif et le tirant d'air important des Daring avec plus de 21,2 mètres de large ce sont des navires a priori assez stables de formes.

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Magnifiques photos qui mettent neamoins en relief un phénomène qui se retrouve sur les Forbin le CDG et en général tous les navires récents dotés de larges surfaces planes (sauf peut être ceux de l'US Navy). Je veux parler de l'aspect "gauffré" des tôles notamment des superstructures.

Cà témoigne des faibles épaisseurs des revêtements avec derrière le maillage des renforts...

Il me semble que ce phénomène se retrouve aussi sur les navires plus anciens. Il est vrai que ceux-ci avaient l'excuse des surfaces battues et deformées par les flots, les vagues et la houle ...

Regardez les photos du Duquesne, du Du Chayla, du Mallé Brézé, ou du HMS Sheffield (l'ancien). L'aspect gauffré y était déjà, et pas que sur les "a-plats", mais même sur les surfaces courbes ou cintrées.

J'ai mis les URL, et pas les photos, pour ne pas polluer plus que de raison ce fil sur la RN.

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