Titus K Posté(e) le 2 février Share Posté(e) le 2 février Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 7 février Share Posté(e) le 7 février (modifié) "In January 2025, the European manufacturer received orders for 55 new aircraft, four cancellations, and delivered 25 new Airbuses." https://www.scramble.nl/civil-news/airbus-january-2025-orders-deliveries un petit chiffre ! Ils ont sorti tout ce qu'ils pouvaient en décemmbre au titre de 2024 ... Et là forcément c'est "faible" https://air-cosmos.com/article/airbus-a-livre-25-avions-sur-le-mois-de-janvier-2025-69904 "Avec 25 avions livrés au mois de janvier 2025, Airbus fait moins bien que sur la même période de 2024. Il est encore trop tôt pour déceler une tendance sur le reste du premier trimestre." "Les livraisons d'A320neo butent toujours sur les problèmes d'approvisionnement." Modifié le 7 février par Bechar06 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 11 février Share Posté(e) le 11 février 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 13 février Share Posté(e) le 13 février Le 12/02/2025 à 00:04, Titus K a dit : 21:30: Q: c'est quoi l'environnement concurrentiel d'Airbus c'est qui vos adversaires dans dans dans ce monde là? R: On pense tout de suite à Boeing le géant américain Boeing Airbus Airbus Boeing la compétition mais ailleurs dans le monde il y a aussi d'autres géants comme ça. Alors celui qui a la forme la plus proche d'Airbus c'est effectivement Boeing qui fait qui fait des avions civils des avions militaires de différents types qui fait de l'espace qui fait des services on parle pas beaucoup parce que ça parle un petit peu moins de tout ce qui toute la dimension service une fois qu'on a livré nos avions à nos clients faut qu'il volent quand même et et ça ça ça nous occupe un peu. Boeing a une forme assez proche j'allais dire on colle pas à 100 % mais c'est peut-être l'entreprise qui est la plus proche en forme. Après on a des géants militaires typiquement qui font pas beaucoup de civil comme les géants américains Lockheed Martin, Northrop Grumman, Raytheon, qui sont des entreprises de défense et eux dans le civil on on les voit pas trop. Ils ont un peu de filiales qui font de la défense mais on en voit peu et après on a en Europe des grosses boîtes qui ont aussi des des similitudes avec Airbus mais à une taille plus réduite comme Leonardo en Italie BAE au Royaume-Uni qui est qui est une entreprise elle de défense aussi et à part ça il faut aller chercher en Russie et en Chine mais là on tombe plutôt sur des arsenaux sur des organismes d'état quelque part et on n'est pas on n'est pas tout à fait sur le même schéma qu'Airbus et tu citais Gill tout à l'heure Embraer au Brésil qui est qui est aussi une entreprise assez polyvalente mais d'une taille plus plus réduite je crois que c'est les chinois sont en train de construire un un Airbus ils construisent tout oui ils construisent tout les chinois sont sont sont effectivement en développement sur sur tous les segments qui sont les nôtres. ...Il manquerait pas quelqu'un? Bon allez, lot de consolation plus tard à 1:24:40, on apprend quand même à propos du SCAF que "sur l'avion le leadership est chez Dassault". MIRACLE! 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) mardi à 11:42 Share Posté(e) mardi à 11:42 https://www.boursorama.com/bourse/actualites/des-sources-indiquent-qu-airbus-va-retarder-son-nouvel-avion-cargo-en-raison-des-problemes-persistants-de-l-a350-007af9c83abfa0179436a351a5746ac4 ..."Airbus AIR.PA retarde de près d'un an l'arrivée d'une version cargo de son A350 et se heurte à des obstacles pour augmenter la production de sa famille d'avions plus large, l'A350, dans les mois à venir, car il est confronté à des problèmes d'approvisionnement, ont dit des sources industrielles à Reuters. Le retard pris par le dernier avion cargo de l'industrie pourrait être annoncé dès jeudi, lors de la publication des résultats annuels du constructeur européen, ont déclaré ces sources, qui ont demandé à ne pas être nommées en raison du caractère confidentiel des discussions. Airbus a refusé de commenter le calendrier de l'avion-cargo, dont l'entrée en service est actuellement prévue pour 2026. Le revers subi par l'A350F survient alors qu'Airbus peine également à augmenter la production des avions de passagers A350 existants, notamment en raison des retards persistants dans l'arrivée des pièces de fuselage de Spirit AeroSystems SPR.N , ont indiqué des sources industrielles. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) jeudi à 08:43 Share Posté(e) jeudi à 08:43 … Comparaison n'est pas raison, il n'empêche, article assez factuel sur les chiffres des 2 mastodontes. https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/02/20/airbus-conforte-sa-place-de-leader-mondial-de-l-aeronautique_6555616_3234.html Révélation Airbus conforte sa place de leader mondial de l’aéronautique Avec un profit tout près de son record et plus de 800 nouvelles commandes, l’avionneur européen a connu une année faste en 2024. Il compte encore monter en cadence en livrant 1 000 appareils par an d’ici deux ans. Par Guy Dutheil « Nous avons enregistré de solides prises de commandes dans toutes les activités en 2024, confirmant la forte demande pour nos produits et services », s’est félicité Guillaume Faury, PDG d’Airbus, à l’occasion de la publication des résultats annuels de l’avionneur européen, jeudi 20 février. Le patron d’Airbus a de quoi être satisfait, l’an passé, sa division aviation commerciale a enregistré 826 commandes nettes d’appareils supplémentaires. Au total, le carnet de commandes d’Airbus était valorisé, fin 2024, à 629 milliards d’euros contre 554 milliards d’euros il y a un an. Avec cette performance, l’avionneur européen tutoie ses sommets et s’impose comme le numéro un incontesté de l’aviation civile. En 2024, son bénéfice net a progressé de 12 % pour atteindre 4,232 milliards d’euros et approcher le record de 4,247 milliards d’euros de 2022, à comparer à la perte abyssale de Boeing (–1,4 milliards d’euros, dont presque –8 milliards pour sa seule division aviation commerciale) et à ses 377 commandes engrangées en 2024. Sans surprise, le PDG d’Airbus veut, à l’avenir, surfer sur cette bonne vague. M. Faury prévoit déjà qu’en 2025 Airbus livrera 820 appareils contre seulement 766 en 2024. Ce n’est pas la première fois qu’Airbus se montre optimiste en début d’année avant de revoir à la baisse ses prévisions de livraisons en cours d’exercice, mais, affirme le PDG, « nous avons recentré nos efforts sur nos priorités clefs, notamment la montée en puissance de la production ». En effet, ces deux dernières années, les ratés de la chaîne de fournisseurs, la « supply chain », ont freiné la montée en cadence de la production prévue par Airbus. Il n’empêche, l’avionneur prévoit toujours de sortir, chaque mois, 75 moyen-courriers A320 de ses chaînes d’assemblage en 2027 contre seulement 50 exemplaires aujourd’hui. Pour parvenir à livrer quelque 1 000 avions par an d’ici deux ans, Airbus table notamment sur le succès de son A321XLR. Son nouveau best-seller, déjà commandé à plus de 500 exemplaires, offre aux compagnies clientes les performances d’un long-courrier mais avec les coûts d’un moyen-courrier. « Un très bon début d’année » Si Airbus fait la course en tête de l’aéronautique, son rival Boeing donné comme moribond, il y a encore quelques mois, retrouve depuis peu quelques couleurs. A l’occasion de la publication des résultats annuels de Safran, vendredi 14 février, Olivier Andriès, directeur général du motoriste, a salué le retour en forme de l’avionneur américain En janvier, Boeing a livré 45 appareils à ses clients. Une performance qu’il n’avait pas reproduit depuis 2019. Pour le patron de Safran, pas de doute, c’est « un très bon début d’année ». M. Andriès se veut désormais confiant en les performances de son client. « Je n’ai aucun doute sur le fait que Boeing atteindra la cadence 38 [38 avions sortis des chaînes d’assemblage chaque mois] au cours du premier semestre de l’année 2025 et qu’il atteindra la cadence 42 avant la fin de l’année 2025 », prévoit le patron de Safran. Toutefois avant de repartir véritablement de l’avant, Boeing devra d’abord obtenir à nouveau la certification de son 737 Max et du long-courrier 787 de l’Agence fédérale américaine de l’aviation (FAA). Depuis les deux crashs, fin 2018 et début 2019, du 737 Max qui avaient causé la mort de 346 passagers et membres d’équipages, la FAA se montre beaucoup plus sourcilleuse avant d’accorder son feu vert à Boeing. De fait, l’avionneur américain n’est pas encore tiré d’affaire, loin de là ! En 2024 ses pertes abyssales étaient liées à la faiblesse des livraisons d’avions, seulement 377 l’an passé, mais aussi à la grève qui a paralysé pendant plusieurs semaines les usines historiques de Renton et d’Everett dans la grande banlieue de Seattle (Etat de Washington). Un bon score qui doit toutefois être modéré car ces livraisons incluent beaucoup d’appareils qui étaient garés sur des parkings depuis des mois. Une centaine serait d’ailleurs encore en attente autour des usines. « La menace chinoise » Pour repartir de l’avant de façon pérenne, Boeing doit aussi en finir avec les problèmes de qualité de sa production. Pendant la crise liée au Covid-19, Boeing a taillé à la hache dans ses effectifs, supprimant plus de 10 000 emplois, et perdant des personnels d’expérience. Depuis la fin de la pandémie, l’avionneur a toutes les peines du monde à recruter du personnel qualifié. L’avenir ne semble toutefois pas bouché car, estime Remy Bonnery, spécialiste de l’aéronautique pour le cabinet de conseils Archery Strategy Consulting : « Les Etats-Unis ne laisseront jamais Boeing disparaître car il n’y pas d’alternative. Et ce n’est pas non plus l’intérêt d’Airbus » qui peine à effectuer la remontée en cadence de ses productions. Enfin, malgré ses ennuis à répétition, Boeing possède toujours un carnet de commandes bien garni de 5 554 appareils encore à produire et à livrer. « Il n’a pas à rougir » de la comparaison avec Airbus, ajoute M. Bonnery, même si ce dernier est loin devant avec, fin 2024, 8 658 avions en commande soit plus de onze années de production garantie. Avec un Airbus ralenti par sa chaîne de fournisseurs et un Boeing encore convalescent, un espace s’entrouvre pour l’arrivée d’un concurrent. « La menace chinoise » se profile, prévient un spécialiste de l’aéronautique qui souhaite rester anonyme car Airbus et Boeing figurent parmi ses clients. Mais elle restera longtemps limitée. Le C919, le moyen-courrier développé par le chinois Comac, pourrait prendre seulement « 3 % du marché d’ici 2030 et 5 % en 2035 » soit environ « 1 600 appareils », précise Florian Aknin, du cabinet de conseils Roland Berger. Pour l’heure, Comac, faute d’avoir fait certifier le C919 en Europe ou aux Etats-Unis, ne vend ses avions qu’à des compagnies aériennes chinoises. « Pour Airbus et Boeing, c’est le scénario idéal », pointe le spécialiste de Roland Berger. En revanche, « la vraie menace serait que Comac parvienne à livrer des avions à des compagnies à bas coûts asiatiques hors du marché chinois », prévient-il. Révélation Airbus prévoit d’arrêter la production de l’A400M L’avionneur européen a prévenu, jeudi 20 février, qu’il prévoyait un « arrêt de la production » de l’avion militaire A400M après 2028. Faute de commandes en nombre suffisant, Airbus a été contraint de passer une provision de 121 millions d’euros. « Compte tenu des incertitudes concernant le niveau des commandes d’avions, la société continue d’évaluer l’impact potentiel sur les activités de fabrication du programme », fait savoir le groupe présidé par Guillaume Faury. Une manière de faire pression sur les Etats, notamment sur la France. Celle-ci, qui a commandé une cinquantaine d’exemplaires de l’A400M, ne veut toutefois en recevoir que 35, dans un premier temps. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) jeudi à 12:48 Share Posté(e) jeudi à 12:48 (modifié) Objectif de 820 livraisons d'avions commerciaux en 2025 Cadences : A220 : toujours 14/mois en 2026 A320 : toujours 75/mois en 2027 A330 : stabilisation autour de 4/mois A350 : toujours 12/mois en 2028 Modifié jeudi à 13:38 par Titus K 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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