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Pologne


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Pour la participation à la manifestation de l'opposition début mai à Varsovie, donnant 240.000 manifestants (chiffre donné par la mairie de Varsovie (opposition)) repris par la totalité des média en France, alors que d'autres sources donnaient 45.000 participants.

La mairie de Varsovie avoue qu'elle s'est "un peu" trompé: (surestimation de densité, gens qui marchaient au petit pas, donc pas un comptage réel)

http://niezalezna.pl/80158-fatalne-wiesci-dla-kod-warszawski-ratusz-przyznal-ze-zawyzal-dane-marszu

 

Modifié par Zalmox
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http://www.inaglobal.fr/television/article/radio-et-tv-en-pologne-du-communisme-aux-medias-de-service-public-8535 (22 septembre 2015)

Donc ce texte a été écrit avant les élections d'octobre 2015 :

Même si l’indépendance des médias en Pologne est inscrite dans la loi (...), dans la réalité, elle demeure toute relative, et particulièrement en ce qui concerne la radio et la télévision publiques. Les partis politiques continuent à exercer leur emprise sur les médias du secteur public, considérés presque comme un butin de guerre qui change de mains au gré des alternances politiques. En effet, à la suite des élections, les vainqueurs procèdent à une nouvelle attribution des postes à la tête des sociétés polonaises de la radio et de la télévision, souvent sans rapport avec les compétences de candidats dans le domaine des médias électroniques. Une politisation qui va aussi parfois à l’encontre de l’objectivité journalistique, lorsque certains journalistes n’hésitent pas à exprimer ouvertement à l’antenne leurs préférences politiques.

La « particratie » règne jusqu’au sein de la Krajowa Rada Radiofonii i Telewizji (KRRiT) [,] l’organisme de régulation du secteur de l’audiovisuel.

Enfin, comme tous les médias mainstream du monde, les médias publics polonais privilégient des opinions majoritaires, au point d’être accusés de diffuser de « l’europropagande » au moment où la Pologne s’apprêtait à intégrer l’Union européenne en 2004.

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  • 3 weeks later...

http://www.newsweek.pl/prof-domanski-czeka-nas-30-lat-dominacji-prawicy,artykuly,383528,1.html (8 avril 2016)

Domanski : 30 années de domination de droite nous attendent

Les résultats de la recherche sociologique sont clairs - l'attitude des jeunes Polonais est négative quant à la venue dans notre pays d'immigrants, et leurs points de vues sur des questions telles que l'attitude face à l'avortement et l'euthanasie sont très conservateurs. Cela peut venir comme une surprise, car généralement les jeunes ont été considérés comme la génération la plus ouverte et progressiste.

Les principales raisons de cet état de choses que Domanski [Henryk Domanski, sociologue à l'Académie polonaise des sciences] mentionne sont surtout la crise économique et la crise de la démocratie en tant que telle.  Parmi les jeunes d'aujourd'hui, le chômage est élevé, et en même temps, ils sont plus en risque de perdre leur emploi. Certains d'entre eux n'ont pas fini l'école, mais la vision d'un avenir incertain peut les effrayer. Les jeunes ne disposent pas d'une expérience positive de la démocratie depuis le moment de la prospérité, alors qu'ils ont avec elle beaucoup de mauvaises associations, ajoute Domanski.

Selon le sociologue, la jeune génération actuelle ne sera plutôt jamais sensible à une idéologie de gauche, car le phénomène naturel est que la croissance du conservatisme idéologique suit avec l'âge. Il n'y a pas lieu de conclure que l'humeur dans un proche avenir aille s'affaiblir et opère un retour dans l'autre sens, conclut le Prof. Domanski.

Modifié par Wallaby
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http://www.thenews.pl/1/10/Artykul/258994,New-EU-superstate-plan’-by-France-Germany-report (27 juin 2016)

Les propositions Ayrault-Steinmeier dont j'ai parlé ici (1) sont présentées à la télévision publique TVP Info comme en faveur d'un "superÉtat" européen, en affirmant qu'il constitue un "ultimatum". Les États membres perdraient le droit à avoir :

- leur propre armée

- leur propre code pénal

- leur propre fiscalité

- leur propre monnaie

- le contrôle des frontières et des admissions de réfugiés

Waszczykowski a dit que c'étaient de "vieilles idées" ne tenant pas compte du résultat du référendum puisque rédigées avant celui-ci.

(1) http://www.air-defense.net/forum/topic/6986-union-europ%C3%A9enne-nos-projets-son-futur/?do=findComment&comment=975829

version en français ici : http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/IMG/pdf/une_europe_plus_forte_dans_un_monde_incertain_2__cle8198f6.pdf

 

Modifié par Wallaby
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20 minutes ago, Wallaby said:

http://www.irishtimes.com/news/world/uk/eu-leaders-call-for-practical-reforms-after-brexit-shock-1.2703909 (29 juin 2016)

Jaroslaw Kaczynski a appelé à une "Europe des nations" constituée en "confédération" et a averti que "plus d'Europe" veut dire "plus de pouvoir pour Berlin".

C'est pas comme si on s'en doutait pas :bloblaugh:

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Il y a 3 heures, Wallaby a dit :

http://www.irishtimes.com/news/world/uk/eu-leaders-call-for-practical-reforms-after-brexit-shock-1.2703909 (29 juin 2016)

Jaroslaw Kaczynski a appelé à une "Europe des nations" constituée en "confédération" et a averti que "plus d'Europe" veut dire "plus de pouvoir pour Berlin".

Il a dû oublier de dire que sinon les Panzer seront en Pologne, ah merde, il y en a qui appartiennent à l'Armée Polonaise :bloblaugh:

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il y a 17 minutes, judi a dit :

Il a dû oublier de dire que sinon les Panzer seront en Pologne, ah merde, il y en a qui appartiennent à l'Armée Polonaise :bloblaugh:

Enfin bon on ne va pas non plus compter sur la Pologne pour ça - notre défense commune -. :bloblaugh:

 

 

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http://www.drb.ie/blog/the-book/2013/10/20/censorship-polish-style (20 octobre 2013)

Le sérieux avec lequel est traitée la liberté d'expression se voit dans le verdict rendu à Varsovie le 18 octobre dans l'affaire où le Premier Ministre Donald Tusk a porté plainte contre le magazine Nie (non) pour avoir publié un article de poisson d'avril se présentant comme la transcription d'une conversation enregistrée clandestinement mélangée à des jurons échangés entre lui et plusieurs autres hommes politiques sur une terrasse de football. Le magazine a été sommé de présenter des excuses à Mr Tusk.

http://www.drb.ie/new-books/what-i-got-from-ireland

Les Polonais qui habitent en Irlande sont généralement divisés en deux groupes : les cool et les pas cool.

 

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https://euobserver.com/institutional/134070 (28 juin 2016)

[Jaroslaw Kaczynski] a dit que l'UE devait simultanément devenir une "superpuissance", avec un président du Conseil Européen qui commanderait une "armée" de l'UE et aurait la charge d'une politique étrangère plus robuste envers la Chine, la Russie et les États-Unis.

Waszczykowski, dans son allocution à la presse, a ajouté que les pays de l'UE devraient cesser de se rencontrer dans des nouveaux formats comme le groupe des six fondateurs ou le format Normandie, dans lequel la France et l'Allemagne ont en charge des pourparlers avec la Russie sur l'Ukraine.

 

Il a mis en garde contre les divisions que créereait une intégration plus profonde des États de la zone euro, sachant que si la Pologne devait adopter l'euro dans les conditions actuelles, cela créerait une "catastrophe économique" en Pologne.

http://www.dw.com/en/german-chancellor-favors-creation-of-european-army/a-2415318 (23 mars 2007)

L'an dernier [2006], le président Lech Kaczynski a dit que son pays voulait une nouvelle armée européenne de 100.000 hommes conçue pour collaborer avec l'OTAN dans des points chauds ou pour défendre l'Europe.

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  • 3 weeks later...

http://www.welt.de/politik/ausland/article157292521/Polens-befremdlicher-Blick-auf-die-Gewalt-in-Deutschland.html (25 juillet 2016)

Revue de la presse polonaise en réaction à la vague de violences en Allemagne. Beaucoup de Schadenfreude et de déformation des faits. Le ministre des affaires étrangères Witold Waszczykowski a déclaré : "On nous avait assurés que l'accueil d'autant de réfugiés en Europe ne posait pas de problèmes. Maintenant il apparaît qu'il y a pourtant des problèmes." Un député de Kukiz'15 demande l'extradition de l'auteur du crime de Reutlingen dont la victime est polonaise.

 

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  • 2 months later...

Pour expliquer la situation politique en Pologne.

Citation

In Poland, a preview of what Trump could do to America

It’s important to acknowledge when you’ve been wrong, and I’ve probably never been so wrong as I was in an op-ed published on April 13, 2010. At the time, I was stunned by a terrible tragedy: the crash of a plane that had carried the Polish president, Lech Kaczynski. He had been flying to the Russian city of Smolensk to visit the memorial at Katyn, where Stalin murdered 20,000 Polish officers in 1940. Several dozen senior military figures and politicians were also on the plane, many of them friends of mine and colleagues of my husband, who was then the Polish foreign minister. Among them was his deputy, Andrzej Kremer, a wonderful man and brilliant diplomat.

In the sweep of emotion that followed the crash, comparing the event to Katyn, I wrote this sentence: “This time around, nobody suspects a conspiracy.” As an excuse, I offer the fact that the tragedy initially seemed to bring people together. Politicians of all parties, from right to left, had been on the plane. Widely attended funerals were held across the country. Even Vladimir Putin, then the Russian prime minister, seemed moved. He arranged for the broadcast of “Katyn” — an emotional and very anti-Soviet Polish film — on Russian state television as a kind of memorial. Nothing like it has ever been shown so widely in Russia, before or since.

But my optimism was premature. The president’s brother, Jaroslaw Kaczynski, then the unpopular leader of the parliamentary opposition, seems to have initially believed, as all the evidence has always shown, that the crash was an accident. Then he changed his mind. Perhaps he could not accept that his beloved twin had died randomly, in a pointless crash. Perhaps he was maddened by grief. Perhaps he felt guilty: He had helped plan the trip. Or perhaps, like Donald Trump, he saw that a conspiracy theory could help bring him to power.

Much as Trump used birtherism to inspire his core voters, Kaczynski, in the years that followed, used the Smolensk crash to motivate his supporters, that minority of the Polish population that remains convinced that unnamed secret forces control the country, that the “elite” is manipulated by foreigners and that everything that has happened in the country since 1989 is part of a sinister plot. And it worked. Last year, thanks to flukes of the electoral system, less than 40 percent of the vote — reflecting 18 percent of the adult population — proved sufficient for his nationalist-populist party, Law and Justice, to win a slim parliamentary majority.

Readers familiar with my recent op-eds will know that I am not shy about pointing out Russian plots when I see them. But there is just no evidence of one at Smolensk. Within hours of the crash, Polish forensic experts were on the ground. They immediately obtained the black boxes and transcribed them meticulously. The cockpit tape can be heard online, and it makes the circumstances painfully clear. The president was late; he had planned a live broadcast from Katyn. When Russian air traffic controllers wanted to divert the plane because of heavy fog, he did not agree. The chief of the air force sat in the cockpit during the final minutes of the flight and pushed the pilots to land: “Be bold, you’ll make it,” he told them. According to the official report, written by the country’s top aviation experts, the plane hit a tree, then the ground, and then broke up.

In the wake of Trump’s grudging renouncement of birtherism, the insidious, racist theory that gave rise to his political career, it’s worth pondering what happened when Law and Justice came to power. Within days of taking office, the new government removed the official report from its website. (It’s still available online.) More recently, police and prosecutorsentered the homes of the aviation experts who testified in the original investigation, interrogated them and confiscated their computers.

A new (and well-paid) government commission was formed, containing a group of cranks and “experts” — including an ethnomusicologist, a retired pilot, a psychologist and other people with no knowledge of air crashes. The defense minister, Antoni Macierewicz, who is obsessed with conspiracies of all kinds — famously, he has given credence to the Protocols of the Elders of Zion, an infamous, Czarist-era anti-Semitic forgery — has floated multiple theories, many of which contradict one another. Sometimes the previous Polish government is blamed, sometimes Putin. Sometimes there has been an explosion, sometimes a deliberate controller error. Sometimes “the government,” which was of a different party than the president, is said to have sabotaged a trip that in fact was prepared by the president’s office. None of these theories has ever been accompanied by the slightest hint of genuine evidence.

Because they have been unable to disprove the original report, the ruling party instead ordered the creation of a fake version of reality in the form of a film. “Smolensk” came out two weeks ago and purports to show the “true story” of the crash and the “coverup.” The conclusion — it involves an onboard explosion — is so preposterous that some viewers have howled with laughter. Nevertheless, the film has been declared “true” by Kaczynski, and the education minister has suggested that schoolchildren ought to see it. As in communist Poland, a fictionalized version of history, one that suits those in power, could eventually be on the curriculum.

In due course, there may be other consequences. One of the first things Law and Justice officials did upon taking power was launch an open attack on Poland’s constitutional court, and to re-politicize the independent prosecutor’s office. At the same time, they have put all of the country’s secret services in the hands of a man who has been convicted of fabricating documents, and whom they then pardoned. They might have had many motives for making these changes. But if nothing else, they could use these tools to “prove” one of the ludicrous theories using faked evidence at public show trials, another communist innovation. That kind of drama might satisfy Kaczynski emotionally; he might also reckon it would help him politically.

I realize that there is far more detail here about Poland than most non-Polish readers care to know. But I’m offering it for a reason. Trump, like Kaczynski, pushed a patently false conspiracy theory hard for many years, despite the utter lack of evidence. Last week, he found it expedient to discard that theory, but once he is president, he might find it expedient to adopt it again — or perhaps to push one of the many others he has championed. As president, he can then use the state — the Justice Department, the security bureaucracy, the FBI — to pursue them. A Trump administration could make birtherism the excuse for fake investigations, hearings and even trials that would do terrible and irreversible damage to U.S. politics and the rule of law.

It all sounds unthinkable, of course. But if you’d asked me five years ago, or even one year ago, I would have told you that the transformation of the Smolensk conspiracy theory into state ideology was unthinkable, too. And yet it has come to pass.

By Anne Applebaum

https://www.washingtonpost.com/opinions/global-opinions/in-poland-a-preview-of-what-trump-could-do-to-america/2016/09/19/71515d02-7e86-11e6-8d13-d7c704ef9fd9_story.html?utm_term=.b5f8580f9eef

 

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  • 3 weeks later...

Le POSITIONNEMENT ACTUEL de la POLOGNE vu par LE MONDE:  libres extraits

"...tout sépare aujourd’hui Varsovie de Paris et Berlin, ses deux plus importants partenaires au sein de l’Union européenne  ...la Pologne de Jaroslaw Kaczynski, le président du PiS, qui est, en réalité, celui qui tire les ficelles à Varsovie, a tout à perdre à ce jeu. En rompant le contrat des hélicoptères, dont elle aurait assuré une partie de la production, elle a renoncé à la possibilité de devenir l’un des piliers d’Airbus et de l’industrie de défense européenne. En délicatesse avec l’Allemagne et la France, elle ne peut plus compter sur son allié britannique, trop occupé à négocier son retrait de l’UE. Elle est en conflit ouvert avec Bruxelles, dont elle vient de rejeter les recommandations sur le conflit du gouvernement du PiS avec le Tribunal constitutionnel polonais. Son seul véritable allié au sein de l’UE est la Hongrie de Viktor Orban....Au lendemain de la chute du communisme, la Pologne, sixième pays de l’UE par sa population et pionnière dans les réformes économiques, était promise à un statut de puissance de poids au sein de l’Europe. Le PiS a choisi l’isolement dans le camp occidental. C’est dommage."

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/11/02/pologne-le-choix-de-l-isolement_5024119_3232.html#seVs28IEx5wWVPe1.99"

Mon questionnement : qu'est ce qui pousse intimement des pays et surtout certains de leurs dirigeants dans la division ? 

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Le 05/11/2016 à 17:55, Bechar06 a dit :

Mon questionnement : qu'est ce qui pousse intimement des pays et surtout certains de leurs dirigeants dans la division ? 

Désolé mais je ne comprends pas la question.

Si tu veux dire jouer contre l'UE, alors c'est la même chose partout : la peur de perdre son identité en temps que peuple, la déception vis à vis de certaines décisions de l'UE, la volonté de continuer à vivre comme on l'entend sans qu'une madame ou un monsieur je sais tout vienne imposer des choses chez soit,... 

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Il y a 11 heures, rendbo a dit :

Désolé mais je ne comprends pas la question.

Si tu veux dire jouer contre l'UE, alors c'est la même chose partout : la peur de perdre son identité en temps que peuple, la déception vis à vis de certaines décisions de l'UE, la volonté de continuer à vivre comme on l'entend sans qu'une madame ou un monsieur je sais tout vienne imposer des choses chez soit,... 

Ha ma bonne dame mais laissez nous fouler notre état de droit comme on l'entend ! C'est à nos concitoyen d'le dire si sont pas content qu'on foule certains principes de base qui nous mène a être en conflit avec notre propre cours constitutionnel. Vous voyez font pas la révolution donc tout va bien. Comment ça on est rentré dans une union économique et politique de notre plein gré avec des conditions ??? Mais rien à foutre moi je suis rentré que pour le portefeuille !

Et le torpillage d'une position de choix dans le consortium Airbus ? M'en fou c'est pour vivre comme je l'entends ! Comment ça y a pas de rapport ?

 

 



 

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Avec l'election de Trump, je suis en train de me dire que la Pologne viens de se faire avoir en beauté. Elle avait annulée le contrat caracal en partie pour faire plaisir aux américains dans le but que ceux ci la protègent de la Russie, et ils se retrouvent avec un isolationniste admirateur de Poutine comme allié. Je serais eux je me ferait des cheveux blancs

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Le 4/6/2016 à 10:42, Zalmox a dit :

Pour la participation à la manifestation de l'opposition début mai à Varsovie, donnant 240.000 manifestants (chiffre donné par la mairie de Varsovie (opposition)) repris par la totalité des média en France, alors que d'autres sources donnaient 45.000 participants.

La mairie de Varsovie avoue qu'elle s'est "un peu" trompé: (surestimation de densité, gens qui marchaient au petit pas, donc pas un comptage réel)

http://niezalezna.pl/80158-fatalne-wiesci-dla-kod-warszawski-ratusz-przyznal-ze-zawyzal-dane-marszu

 

http://www.la-croix.com/Debats/Forum-et-debats/Les-conservateurs-du-PiS-prolongent-le-miracle-economique-polonais-2016-10-06-1200794280 (6 octobre 2016)

Ces chiffres, propagés par la maire de Varsovie, vice-secrétaire de la PO, ont été repris également par Gazeta Wyborcza, principal journal d’opposition.

La maire de Varsovie et ce journal défraient désormais la chronique. La première pour des soupçons de favoritisme au bénéfice de ses proches lors de la reprivatisation de terrains dans la capitale. Le second, principal instrument de la fronde contre le PiS, est le quotidien le plus proche de la PO. Il avait bénéficié sous le gouvernement libéral de plus de 50 % des fonds publics alloués aux journaux nationaux, alors même qu’il n’atteignait pas les 20 % de tirages, loin derrière le tabloïd Fakt. C’est là que le bât blesse, car l’intense lutte pour la dé-légitimation du PiS doit aussi s’analyser au regard de la menace que faisait planer l’arrivée au pouvoir des conservateurs sur les petits arrangements, peu ragoûtants, d’un certain écosystème.

http://www.dailymail.co.uk/wires/reuters/article-3823588/Abortion-protests-rattle-Polish-ruling-party-prompt-rethink.html  (5 octobre 2016)

100.000 femmes manifestent contre le durcissement de la loi sur l'avortement. Le gouvernement tente de se distancer du projet de loi de durcissement soutenu par l'Église catholique.

Ce qui est inquiétant pour le PiS, les manifestants incluent des femmes qui ont voté pour le parti durant les dernières élections d'octobre [2015], mais menacent de ne plus le faire à cause de la tentative de durcir la loi sur l'avortement.

http://www.eurotopics.net/fr/168899/facebook-bloque-les-pages-de-nationalistes-polonais (3 novembre 2016)

Selon les médias, le réseau social en ligne Facebook aurait bloqué sur son site plusieurs pages de nationalistes polonais. Le vice-ministre de la Justice Patryk Jaki a aussitôt dénoncé une forme de censure, indiquant que le gouvernement envisageait des recours. Les contenus des pages incriminées auraient été signalés par des utilisateurs comme 'racistes' et 'incitant à la haine'. Les chroniqueurs s'interrogent sur le bien fondé et la légalité du choix de Facebook.

 

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  • 2 weeks later...

http://hu-lala.org/nationaliser-societe-civile-polonaise-pis/ (24 novembre 2016)

La Première ministre polonaise, Beata Szydło, a annoncé cette semaine la création d’un « Centre national de la société civile » qui centralisera tous les programmes de subventions destinés au monde associatif afin de redistribuer les fonds de façon plus « transparente ». L’opération a été préparée en amont par une campagne de communication controversée.

http://www.eurotopics.net/fr/170194/la-pologne-veut-sanctionner-les-ex-agents-du-renseignement (25 novembre 2016)

Le parti national-conservateur au pouvoir en Pologne, PiS, veut réduire les retraites des anciens agents des services secrets et des policiers actifs sous le régime communiste et qui étaient restés à leur poste en 1990. Quelque 32 000 personnes verraient leur retraite confortable passer à un niveau moyen. S'agit-il d'une mesure juste ?

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