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Pologne


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Le 19/03/2019 à 14:28, Alexis a dit :

Waouh, c'est cher les Patriot :happy: !

En fait cher. Mais après quelques dizaines d'années, il faut acheter quelque chose. Les systèmes soviétiques Newa et Kub ne donnent que l'illusion d'une défense anti-aériens.

Aucun pays d'Europe de l'Est n'est capable d'exploiter seul un système coûteux (comme le système anti-aériens ou l’avion multirole). Sans politique de défense de UE, les Américains gagneront toujours.

La Pologne voulait entrer dans le programme MEADS et avoir un système commun avec l'Allemagne. Jusqu'à aujourd'hui, il n'y a pas de décision en Allemagne sur l'avenir du projet.

 

Radosław Sikorski a parlé de la base Aegis Ashore de Redzikowo. Ce politicien a commencé sa carrière en tant que conservateur, mais il a finalement rejoint PO. Dans le gouvernement de Donald Tusk, il était enthousiasmé par les projets militaires conjoints avec la France.

 

Si les États-Unis conservent leur rôle dominant dans le système de défense de l'Europe, leur armement sera toujours préféré.  Recommandations pour la Pologne:

https://csbaonline.org/uploads/documents/Stengthening_the_Defense_of_NATOs_Eastern_Frontier_WEB.pdf

 

Le 19/03/2019 à 17:54, Wallaby a dit :

Je rappelle que la PO est au Parti Populaire Européen, ce qui, jusqu'à plus ample informé, n'est pas le cas de Macron.

PiS est anti-européens dans sa rhétorique, et PO avec Donald Tusk représente des enthousiastes de UE en Pologne.

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  • 3 weeks later...

https://www.ledevoir.com/monde/europe/551703/pologne-des-centaines-de-taxis-manifestent-contre-uber-a-varsovie (8 avril 2019)

Grève des taxis :

Leurs représentants ont notamment dénoncé une lettre envoyée au gouvernement polonais par l’ambassadrice américaine Georgette Mosbacher, qui aurait fait planer la menace, selon des fuites dans les médias polonais, en cas de difficultés pour Uber, de geler les investissements américains en Pologne.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/pologne-ecoles-fermees-a-cause-d-une-greve-nationale-20190408 (8 avril 2019)

Grève des enseignants :

La grève a été lancée après l'échec des discussions «de dernière chance» tenues dimanche soir entre les syndicats et le gouvernement conservateur, à deux jours des examens de fin de collège et à huit jours de ceux de fin de primaire. «Il est difficile de se déclarer satisfait d'une augmentation de 40 à 50 euros sachant que les enseignants polonais sont ceux qui gagnent le moins en Europe», a déclaré à l'AFP Slawomir Broniarz, président du syndicat d'enseignants ZNP. Les syndicats réclament une hausse de 1.000 zlotys (233 EUR).

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https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/04/06/en-pologne-l-est-peine-a-se-developper_5446652_3234.html (6 avril 2019)

La Podlachie se vide de ses habitants, qui partent à l’ouest du pays, voire dans d’autres Etats européens.

« Notre ville est belle mais aucun investisseur n’a envie de s’installer si près de la Biélorussie. L’essentiel des exportations polonaises va vers l’Allemagne, de l’autre côté du pays, alors les industries se développent là-bas. »

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La Podlachie/Podlasie était déjà une région pauvre sous le régime communiste. En gros, des marais, des forêts et des tourbières. Des champs de patates, très peu de ressources minérales. Un seul centre industriel digne de ce nom, Bialystok : les communistes y avaient développé le textile. On y trouve aussi le plus important centre d'intérêt de la région (si si), l'usine qui fabrique la Żubrówka. Et rien que çan je dis, il faut investir là-bas. Mais enfin bon, même dans les années 1970 quand c'était à peu près encore tenu, c'était clairement l'endroit le plus pauvre, le plus reculé, le moins développé du pays.

Alors aujourd'hui... la Biélorussie voisine n'offre rien d'intéressant, la région est dépeuplée, il y a fort peu de passage (les corridors vers la Lituanie ne drainent pas assez de monde) et niveau tourisme il y a encore du travail. Tu rajoutes là-dessus le fait que les Polonais eux-mêmes n'investissent pas, que l'armée est en grande partie... partie. Bref. Bienvenue dans les Ardennes polonaises. Mais bien Ardennes. Givet un dimanche quand il pleut.

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Ils ont aussi une forêt primaire avec des bisons :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Forêt_de_Białowieża

La forêt de Białowieża (en polonais : Puszcza Białowieska et en biélorusse : Белавежская пушча) appelée aussi forêt de Belovej, est l'une des dernières forêts primaires d'Europe. Formée il y a 10 000 ans, lors de la dernière période glaciaire, elle est restée à l'écart de la plupart des influences humaines. À cheval sur les territoires polonais et biélorusse, elle fut, dans le passé, appelée forêt de Bialovèse en français.

Białowieża signifie « Tour Blanche » en ancien polonais.

Ce site est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO en 1979 et il est également reconnu par l'UNESCO en tant que réserve de biosphère depuis 1976. C'est l'un des derniers vestiges de l'immense forêt qui a recouvert les plaines du nord et du centre de l'Europe après la dernière période glaciaire et de la forêt hercynienne qui lui a succédé jusqu'au début de l'ère chrétienne.

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https://www.franceculture.fr/emissions/grand-reportage/pologne-lempire-mediatique-du-pere-rydzyk (12 avril 2019)

Depuis 30 ans, le Père rédemptoriste Tadeusz Rydzyk bâtit patiemment un véritable empire médiatique, véhiculant un message nationaliste et ultra-catholique. Il est devenu le personnage le plus puissant de l'église polonaise et une des chevilles ouvrières de la victoire des conservateurs au pouvoir.

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  • 3 weeks later...

Il y a des choses à retenir de l'expérience de la Pologne, notamment en matière économique.

Voir cette tribune du premier ministre polonais Mateusz Morawiecki sur le bilan pour son pays de ses 15 premières années dans l'UE.

Citation

Dans la perspective de la convergence avec l’Europe, le PIB polonais per capita est passé de 46 % en 2004 à 66 % en 2017 par rapport à la moyenne de la zone euro. (...) Le chômage a baissé de 19 % à 4 % selon l’Eurostat. (...) En même temps, l’indice des inégalités GINI a baissé : de 0,33 en 2005 à 0,28 en 2016. (...)

La crise à l’intérieur de la zone euro a montré que les déséquilibres macroéconomiques sont loin d’être résorbés. Les pays du Sud, comme la Grèce, le Portugal ou l’Italie, n’ont toujours pas retrouvé leur compétitivité d’avant. En adoptant l’euro, les pays de la zone ont perdu la possibilité de dévaluation qui constitue le meilleur moyen de réagir à une crise. (...) La Pologne forte de son zloty possède des instruments lui permettant de mener sa propre politique économique. Protecteurs en période de crise, ces instruments accélèrent également la convergence avec l’Europe de l’Ouest.

Oui, l'une des raisons pour lesquelles l'expérience économique de la Pologne en UE a été fortement positive, au-delà des bienfaits des fonds structurels européens, de l'accès à un grand marché et de l'effet "rattrapage" pour une économie qui fut longtemps communiste, c'est d'avoir une monnaie nationale rendant possible une politique économique adaptée au pays, sans obligation de s'aligner sur la politique économique unique de l'UE.

Une leçon qui pourrait être utile en dehors même des frontières polonaises...

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il y a 37 minutes, Alexis a dit :

avoir une monnaie nationale rendant possible une politique économique adaptée au pays, sans obligation de s'aligner sur la politique économique unique de l'UE.

Vade retro satanas !

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Après il ne faut pas oublier que le taux de chômage très bas en Pologne vient tout simplement du fait que les chômeurs polonais trouvent de l'emploi à l'étranger comme travailleurs détachés. On se souvient tous du coup du plombier polonais, érigé en symbole de la concurrence déloyale entre travailleurs.

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Il y a 6 heures, Alexis a dit :

C'est courageux de la part de l'opinion de considérer que la droite polonaise ne doit pas être censurée, mais a droit à une place à la table du débat européen. Cela dit, plutôt qu'une tribune libre, je préfèrerais une interview, car je trouve monsieur Morawiecki très irrespectueux et très arrogant vis à vis de ses lecteurs de L'Opinion du simple fait qu'il ne dit pas un seul mot sur la France.

Je pense que les Français ont quand même le droit d'avoir un certain nombre de réponses à un certain nombre de questions, et cette tribune n'y répond pas.

On a un contentieux sur l'affaire du contrat des hélicoptères. Où en est-on ?

On est dans quelque chose d'assez abstrait, hors sol, et finalement assez égoïste et centré sur soi. Cette communication est en trompe l'oeil. Elle ne dénote pas une volonté de dialogue entre la Pologne et la France.

La Pologne utilise peut-être l'Europe pour nier la France, et la réciproque est peut-être vraie.

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Il y a 9 heures, Alexis a dit :

Il y a des choses à retenir de l'expérience de la Pologne, notamment en matière économique.

Voir cette tribune du premier ministre polonais Mateusz Morawiecki sur le bilan pour son pays de ses 15 premières années dans l'UE.

Oui, l'une des raisons pour lesquelles l'expérience économique de la Pologne en UE a été fortement positive, au-delà des bienfaits des fonds structurels européens, de l'accès à un grand marché et de l'effet "rattrapage" pour une économie qui fut longtemps communiste, c'est d'avoir une monnaie nationale rendant possible une politique économique adaptée au pays, sans obligation de s'aligner sur la politique économique unique de l'UE.

Une leçon qui pourrait être utile en dehors même des frontières polonaises...

Et pourtant on peut se demander en quoi cette indépendance monétaire sert la bonne tenue de l'économie polonaise : en joue-t-elle ?

  • Dévalue-t-elle périodiquement sa monnaie pour regagner en compétitivité ? Pas depuis 10 ans., stabilité globale face à l'Euro.
  • Profite-t-elle de sa liberté pour emprunter dans sa devise ? Pas plus apparemment.
    Ce deuxième lien montre une remarquable modération budgétaire, soit dit en passant (déficit du gouvernement de 0,4% du PIB sur 2018, si je lis bien).

Ce que je n'ai pas, c'est l'évolution de la masse monétaire, mais je soupçonne qu'il faille chercher les réponses à l'assez remarquable tenue de la macro-économie polonaise ailleurs que dans son indépendance monétaire : influx massif d'investissements et accueil de productions antérieurement réalisées ailleurs, fonds structurels européens, rattrapage après des années de castration, etc...

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  • 1 month later...

On serait à la veille d'une annonce significative en terme de déploiement militaire américain en Pologne, en ce jour de la visite du président polonais Andrzej Duda à Washington où il rencontrera Donald Trump.

Les États-Unis vont renforcer leur présence militaire « en qualité et en quantité » en Pologne

Citation

Lors d’un déplacement à Washington, en septembre 2018, le président polonais, Andrzej Duda, avait plaidé en faveur d’une présence militaire américaine permanente dans son pays. Et il était même prêt à financer l’implantation d’une base à hauteur de 2 milliards de dollars. Un argument qui ne pouvait pas laisser insensible Donald Trump, le chef de la Maison Blanche.

Cela étant, au moment de la requête faite par M. Duda, la présence militaire américaine en Pologne était déjà conséquente, avec environ 5.000 militaires envoyés dans ce pays. Ainsi, dans le cadre de l’Otan, les États-Unis y déploient, par rotation, l’équivalent d’une brigade blindée.

Et il vient s’y ajouter un détachement du 52nd Expeditionary Operations Group qui met en oeuvre des drones MQ-9 Reaper depuis la base de Miroslawiec, les renforts temporaires pour des exercices ponctuels ou encore l’installation – en cours – d’un système AEGIS Ashore à Redzikowo, au titre de la défense antimissile de l’Otan.

(...) Devant rencontrer M. Trump à Washington, ce 12 juin, le président polonais a fait savoir qu’un accord avait été trouvé pour le renforcement de la présence militaire des États-Unis dans son pays.

Même chose du côté de l’administration américaine, qui a évoqué une « annonce significative » qui portera sur la « nouvelle facette » des relations militaires entre la Pologne et les États-Unis.

(...) Cela étant, en février, Georgette Mosbacher, l’ambassadrice des États-Unis en poste à Varsovie, avait évoqué un envoi « significatif » de renforts en Pologne. Sans plus de précisions.

Dans un entretien publé le 10 juin par l’agence Reuters, le président Duda a parlé d’un « passage à une deuxième phase » et dit s’attendre à « un renforcement des capacités de commandement, de la logistique et des forces spéciales ». Et d’ajouter : « C’est une augmentation à la fois en quantité et en qualité. » En outre, une base pour des drones serait « également en discussion ».

Interrogé sur l’éventualité d’une base permanente américaine en Pologne, le chef du Pentagone, Patrick Shanahan a été évasif. « Pourquoi ne laissons-nous pas le président Trump faire une telle annonce? », a-t-il répondu, le 11 juin.

 

Bon cela dit, quelles que soient les annonces prochaines, j'imagine assez mal les Polonais dépasser les Allemands, qui accueillent sur leur territoire de l'ordre de 50 000 militaires américains en permanence :tongue: (*)

443px-US_military_bases_in_Germany_2017.

"Et alors, les Polacks, envieux ? C'est nous les Allemands qui sommes les plus forts... Es lebe Deutschland !"

 

(*) A comparer avec Italie et Royaume-Uni, guère plus de 10 000 militaires américains déployés en permanence chacun. L'Allemagne est le domicile d'à peu près les deux tiers du total des forces américains installées en Europe

Modifié par Alexis
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Il n'y a plus grand en comparaison avec les années 1980. Presque tout a fermé ou presque.

Et si la Pologne se montre ouverte, il y a des chances qu'ils transfèrent ce qu'il reste en Allemagne vers l'est. Surtout si Varsovie paie.

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Le 12/06/2019 à 16:51, Ciders a dit :

Il n'y a plus grand en comparaison avec les années 1980. Presque tout a fermé ou presque.

Et si la Pologne se montre ouverte, il y a des chances qu'ils transfèrent ce qu'il reste en Allemagne vers l'est. Surtout si Varsovie paie.

Beaucoup moins qu'il y a trente ans, certes. Mais quand même les deux tiers de ce qui reste en Europe.

Et huit ou dix fois plus que ce qui sera en Pologne une fois le renforcement effectué : 50 000 contre 5 ou 6 000.

Ce n'est pas la Pologne, l'État européen qui s'appuie le plus sur la protection US.

Mais bien l'Allemagne. Et à vue humaine, guère de raison de prévoir que ça change.

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il y a 41 minutes, pascal a dit :

le statut de cette présence n'a-t-il pas été revu ?

Non mais t'en as pas marre de ces subtilités, hein ? Puisqu'on te dit que c'est une armée d'occupation !

D'ailleurs, en Allemagne, les GIs s'occupent : bière, bretzel, charcutaille, pâtisseries...

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il y a 47 minutes, pascal a dit :

le statut de cette présence n'a-t-il pas été revu ?

Bien sûr, mais ça explique pourquoi ils ont pu prendre autant de place au départ. La Guerre Froide leur a permis d'avoir un prétexte pour rester après la fin de l'occupation proprement dite, la Trouée de Fulda à tenir, tout ça.

Mais de nos jours, on se demande bien pourquoi ils sont toujours là en nombre...

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il y a 51 minutes, Kelkin a dit :

Bien sûr, mais ça explique pourquoi ils ont pu prendre autant de place au départ. La Guerre Froide leur a permis d'avoir un prétexte pour rester après la fin de l'occupation proprement dite, la Trouée de Fulda à tenir, tout ça.

Mais de nos jours, on se demande bien pourquoi ils sont toujours là en nombre...

C'est aux Allemands qu'il faut le demander :happy:

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Le 12/06/2019 à 16:41, Alexis a dit :

A comparer avec Italie et Royaume-Uni, guère plus de 10 000 militaires américains déployés en permanence chacun. L'Allemagne est le domicile d'à peu près les deux tiers du total des forces américains installées en Europe

Comparons ce qui est comparable, chez les brits c'est uniquement des unités de l'US Air Force et chez les italiens c'est surtout US Air Force et US Navy (6ème Flotte), l'US army n'étant représenté que par ses unités para de la 173rd Airborne Brigade Combat Team (3000 hommes).

A titre de comparaison l'Allemagne regroupe le gros des moyens de l'US Army Europe du fait de sa position centrale. Mais même là c'est devenu symbolique avec une brigade de stryker, le 2nd Cavalry Regiment (4500 hommes 300 strykers), une brigade d'artillerie MRLS, la 41st Field Artillery Brigade et une brigade d'aviation, la 12th Combat Aviation Brigade (Apache, Blackhawk et Chinook). Il y a aussi le commandement de défense aérienne, le 10th Army Air and Missile Defense Command auquel est rattaché le 5th Battalion 7th Air Defense Artillery Regiment. Tout le reste c'est du commandement (unité OTAN en particulier), entrainement,  soutient, liaison, logistique et même le spectacle.

L'Air Force est aussi en force en Allemagne avec son aviation tactique (transport et chasse) sur Ramstein et Spangdahlem avec le 86th Airlift Wing avec son soutient 435th Air Ground Operations Wing pour la première et la maison du 52nd Fighter Wing, auquel il ne reste plus que ses F16, pour la seconde. Pour l’anecdote, la zone de Kaiserslautern où se trouve la base de Ramstein, c'est déjà 13000 militaires pour l'ensemble des installations.

Révélation

US_Army_Europe_Structure_2018.png

https://militarybases.com/overseas/germany/

https://en.wikipedia.org/wiki/United_States_Army_Europe

https://en.wikipedia.org/wiki/United_States_Air_Forces_in_Europe_–_Air_Forces_Africa

https://en.wikipedia.org/wiki/United_States_Naval_Forces_Europe_-_Naval_Forces_Africa

Vu qu'ils sont au strict minimum en Allemagne, si les USA devaient encore bouger une unité, je pense que l'ensemble devra bouger pour garder une cohérence opérationnelle sur le nouveau site. Mais bon pour le moment c'est un bon levier de pression sur l'Allemagne car en plus des militaires, vous avez le personnel civil et leurs familles sur site en plus de employés allemands, ça représente un poids économique important pour les 3 Landers concernés.

Modifié par Arland
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