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Argentine


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Un nouveau président, Mauricio Macri, a été élu à une courte majorité de 51,3% le 10 décembre 2015. Comme en Pologne, il y a une vague de remplacement de fonctionnaires à la tête de l'État et une controverse sur des nominations de juges constitutionnels. En revanche le changement de politique économique est inversé par rapport à la Pologne : l'Argentine passe en effet d'un gouvernement anti-libéral à un gouvernement libéral.

http://www.lecourrier.ch/135756/virage_a_180_degres_en_argentine (17 janvier 2016)

Un député d'opposition : « En voulant bouleverser tout cela alors même qu’il ne dispose pas de majorité parlementaire, Macri méconnaît la légitimité démocratique. Ses décrets intempestifs, ses interventions dans la composition de la Cour suprême de justice par la désignation de deux nouveaux membres sans l’aval du Sénat, tout cela a causé un tel scandale, qui a forcé Macri à reculer ».

« Les mesures les plus significatives de ces premières semaines: une dévaluation du peso de 40% par rapport au dollar, ce qui implique un énorme transfert de richesses de la majorité des secteurs populaires aux secteurs financiers et exportateurs de matières premières. Les salaires, les pensions et les retraites, l’allocation universelle pour les enfants, les programmes de protection sociale ont perdu leur pouvoir d’achat en proportion de la dévaluation monétaire. Les limites aux importations (mesures de protection de l’industrie nationale) ont été levées. On a éliminé les impôts sur l’exportation des principaux produits agricoles et de la viande. Dans cette première étape, les prix de tous les dérivés du pétrole ont augmenté de 6%, mais cette ligne continuera de s’approfondir. Il est clair que l’annonce en fut faite par le ministre de l’Energie, qui se trouve être précisément l’ex-président de Shell Argentine ! ».

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  • 1 month later...

http://www.podcastjournal.net/Argentine-l-etat-d-urgence-est-decrete_a21584.html (13 février 2016)

Le 19 janvier 2016, le gouvernement Macri a décrété l'état d’urgence sur le sol argentin, et ce pour une durée d'un an. Cette mesure a été prise dans le but de lutter contre le crime organisé et notamment le narcotrafic, combat au cœur des promesses électorales de Mauricio Macri.

http://www.lopinion.fr/edition/international/l-argentin-mauricio-macri-etoile-montante-l-amerique-latine-97403 (22 février 2016)

La monnaie a été dévaluée de près de 30 % et les tarifs du gaz et de l’électricité se sont envolés de 40 % à 500 %. Un choc d’autant plus fort que l’inflation a avoisiné les 30 % l’an dernier. Il a fallu que le gouvernement lâche du lest, ces dernières semaines, en relevant les retraites de 15 % et en augmentant les allocations familiales. Les négociations avec les syndicats péronistes qui réclament des augmentations salariales de 35 à 40 % s’annoncent difficiles.

http://www.opinion-internationale.com/2016/03/01/macri-hollande-la-strategie-du-rassembleur_41123.html (1er mars 2016)

Par « refonte des structures de l’État », il fallait entendre épuration de milliers de fonctionnaires sous prétexte qu’ils avaient été nommés par la présidente précédente. Par « professionnalisation et indépendance des médias », comprendre plutôt chasse aux journalistes supposés liés ou juste favorables à l’ancien gouvernement. À cela s’ajoute un renforcement de la présence policière en ville et un durcissement de la répression dans les rassemblements monstres qui se multiplient dans tout le pays ces derniers mois. La tension est particulièrement montée après l’emprisonnement de Milagro Sala, fondatrice de l’organisation Tupac Amaru œuvrant dans les quartiers populaires du Nord de l’Argentine. Elle est érigée en martyre de la répression subie par les acteurs sociaux et soutenue notamment par le pape François qui a demandé publiquement sa libération.

http://www.humanite.fr/argentine-greve-generale-contre-les-licenciements-massifs-600283 (25 février 2016)

[Macri] est à l’initiative de près de 42 000 licenciements dans les secteurs public et mixte. Et il ne compte pas en rester là. Le ministre de la Modernisation de l’Argentine, Andres Ibarra, a annoncé mardi que 25 000 autres fonctionnaires embauchés ces trois dernières années connaîtront le même sort. « Ils ne remplissent aucune fonction ou ils sont militants », a-t-il osé déclarer.

http://www.boursorama.com/actualites/argentine-premiere-grande-greve-dans-le-public-pour-macri-3f6517a2a911f9bfb75fff4be9be8a49 (24 février 2016)

La cote de popularité du gouvernement, si elle est encore relativement élevée à 60%, a chuté de 11 points depuis l'investiture du président Macri.

http://geopolis.francetvinfo.fr/argentine-le-president-macri-en-passe-de-solder-les-mauvais-comptes-de-kirchner-97913 (7 mars 2016)

En indemnisant avec une décote de 25% des fonds spéculatifs détenteurs de 7% de sa dette, l'Argentine a aujourd'hui l'occasion de tourner une page, de redevenir un pays intégré au modèle économique international et de lever des fonds sur les marchés de capitaux. Pour les fonds vautours, certes, c'est une victoire spectaculaire.

http://www.lopinion.fr/edition/international/l-argentin-mauricio-macri-etoile-montante-l-amerique-latine-97403 (22 février 2016)

Dès lors que le Congrès argentin aura donné son feu vert aux 6,5 milliards de dollars de dédommagements proposés [aux fonds vautours, Macri devrait] lancer son vaste programme d’infrastructures… qui intéresse tant ses visiteurs.

http://www.lesechos.fr/monde/ameriques/021725474613-argentine-hollande-soutient-macri-1202975.php (25 février 2016)

Forte de ses bonnes relations retrouvées avec la France, l’Argentine espère également avancer sur l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur (le Marché commun des pays d’Amérique du Sud). Les négociations piétinent depuis quinze ans.

http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=1244207 (29 février 2016)

Interview de Sébastien Velut professeur à l'université Paris 3 (13 minutes).

10:05 Mauricio Macri ne peut pas mettre fin aux politiques sociales en faveur des plus démunis (...) je ne pense pas que ce soit remis en cause.

12:52 L'Argentine est un réservoir de cerveaux extrêmement bien formés, avec un système universitaire de qualité.

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2 hours ago, Wallaby said:

L'Argentine est un pays riche. J'imagine que c'est un pays consommateur, plus que producteur de substances prohibées.

Pendant longtemps c'était un pays de transit du stup, maintenant c'est un pays de forte consommation en plus.

En pratique l'Argentine paye la lutte contre le narcotrafic des voisins, les narcos se diversifiant géographiquement pour survivre on investit en Argentine aussi bien pour la production, le transit que la consommation.

C'était assez facile, puisque le pays le moins touché par le narco trafic était aussi le pays le moins armé contre ... s'y installé pour les narcos ça a été facile et sans risque. Notamment le fait que l'espace aérien Argentin est largement incontrôlé ce qui facilite le trafic par avion.

Le fond du pays - corruption etc. - est le même qu'au Brésil par exemple, ou même en Colombie ou au Mexique. La production Andine de C, et la pauvreté galopante ont fait le reste - coté production trafic - . Aujourd'hui la situation et du même acabit que le Brésil, du moins dans les centres urbains fort réservoir de consommateurs - il y a encore des riches donc qui sont susceptible de consommer beaucoup -.

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  • 10 months later...

http://foreignpolicy.com/2017/01/24/china-made-mauricio-macri-a-deal-he-couldnt-refuse/ (24 janvier 2017)

Macri voulait inverser la politique de son prédécesseur de dépendance vis à vis de la Chine. Il y a renoncé. Il voulait supprimer les projets de barrages tout en gardant le projet ferroviaire lancés par Cristina Kirchner et Xi Jinping. Finalement il garde tout avec quelques révisions à la baisse de l'ampleur des barrages.

http://www.la-croix.com/Monde/Ameriques/LArgentine-Mauricio-Macri-attend-lembellie-2017-01-18-1200818051 (18 janvier 2017)

Le pays est en récession : décroissance de 2,4%, inflation de 40% liée à la suppression des subventions sur l'énergie et les transports, chômage de 10%.

Modifié par Wallaby
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  • 10 months later...

Quelqu'un a des infos sur le pourquoi du mandat d'arrêt touchant l'ex présidente concernant des témoins iraniens sur l'affaire de l'attentat de l'AMIA :

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/12/07/97001-20171207FILWWW00336-argentine-le-mandat-d-arret-viole-l-etat-de-droit.php

Résumé de l'affaire non mit a jour :

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Attentat_de_Buenos_Aires_en_1994

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  • 1 month later...
  • 7 months later...

L'évolution de la situation économique en Argentine est importante pour elle-même, mais également en comparaison avec la situation de la Turquie :

http://www.liberation.fr/planete/2018/08/31/en-argentine-rien-n-arrete-la-chute-du-peso_1675771 (31 août 2018)

La devise a perdu la moitié de sa valeur face au dollar depuis janvier. Malgré l'aide du FMI, le gouvernement Macri semble impuissant à freiner la récession et l'inflation.

La CGT, principal syndicat du pays, a appelé à une grève nationale le 25 septembre.

Modifié par Wallaby
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Le 29/01/2018 à 20:57, collectionneur a dit :

Un quart des postes de l'exécutif soit un millier supprimé pour cause de restrictions budgétaires :

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/01/29/97001-20180129FILWWW00309-argentine-un-quart-des-hauts-postes-de-l-executif-supprime.php

mouais ... si les dirigeants qui se sont succédé en  Argentine avaient été moins corruptibles.....mais ils sont bientôt tous en prison. Les décideurs de ces mesures sont peut être plus pourris que ceux qui trinquent...

 

 

Modifié par Lezard-vert
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Face à la crise monétaire, l'Argentine annonce un plan d'austérité

L’Argentine a annoncé lundi un plan d'austérité comprenant notamment la suppression de plusieurs ministères et une hausse des taxes aux exportations, afin d'atteindre l'équilibre budgétaire en 2019 et de stabiliser son économie, confrontée à un effondrement du peso.

"Cette crise, ce n'est pas une crise de plus, elle doit être la dernière. Nous avons tout pour nous en sortir", a déclaré le président argentin de centre-droit Mauricio Macri, dans un message enregistré.

Depuis le début de l'année, le peso a perdu 50% de sa valeur face au dollar et la banque centrale a engagé des mesures drastiques et coûteuses pour freiner cette dégringolade.

Cette annonce intervient à la veille d'une réunion mardi à Washington où l'Argentine va solliciter au Fonds monétaire international (FMI) une accélération du programme d'aide à la troisième économie d'Amérique latine.

"Nous devons faire face à un problème de base: ne pas dépenser plus que ce que nous avons, nous devons tous faire les efforts pour équilibrer les comptes de l’État", a exhorté Mauricio Macri. "Nous allons demander leur contribution à ceux qui en ont la plus grande capacité: ceux qui exportent".

"Nous savons que c'est une mauvaise taxe, mais je vous demande de comprendre que c'est une urgence", a-t-il dit à l'adresse des riches exportateurs agricoles.

Mauricio Macri s'est par ailleurs voulu rassurant: "Nous affrontons les difficultés de la meilleure manière. On va surmonter la crise en prenant soin des plus nécessiteux".

Il a promis "le renforcement des allocations, les programmes alimentaires et le plafonnement du prix de certains produits de base".

- Inflation de 30% -

Plusieurs ministères seront supprimés, ce qui se traduira par une baisse de budget et d'effectifs.

Après l'intervention du président, le ministre de Economie Nicolas Dujovne a précisé les mesures: le nouvel objectif sera de parvenir à l'équilibre budgétaire dès 2019, alors que l'objectif pour 2019 était de 1,3% dans le cadre de l'accord avec le FMI conclu en juin, qui comprend un prêt de 50 milliards de dollars.

Alors que le déficit était passé de 6% en 2015 à 3,9% en 2017, le gouvernement s'était engagé auprès du FMI à le réduire à 2,7% cette année, 1,3% en 2019, et de parvenir à l'équilibre en 2020.

"L’Argentine traîne depuis 70 ans un déficit chronique. En réduisant le déficit budgétaire, la nécessité d'émettre de la dette diminue. L'unique manière de construire un pays stable et d'éradiquer la pauvreté, est d'assainir nos comptes publics", a souligné le ministre, reconnaissant que "des erreurs" avaient été commises.

Le gouvernement avait déjà pris des mesures pour réduire le déficit budgétaire, qui alimente l'inflation. Celle-ci dépassera les 30% en 2018.

M. Dujovne doit s'envoler lundi soir pour Washington. Mardi, il a rendez-vous avec la directrice générale du FMI Christine Lagarde pour négocier une révision de l'accord signé en juin entre l'Argentine et le Fonds monétaire international.

Depuis l'attribution d'un prêt de 50 milliards de dollars, dont la première tranche de 15 milliards a déjà été versée à Buenos Aires et en partie consommée, la fragile économie argentine s'est encore dégradée.

La crise monétaire s'est aggravée en août. La semaine dernière, le peso a chuté de 17%, avant de se ressaisir vendredi.

En plus de la crise monétaire et de l'inflation élevée, l'économie tourne au ralenti. Le gouvernement prévoit une récession de 1% en 2018, après une croissance de près de 3% en 2017.

La baisse du pouvoir d'achat est généralisée dans ce pays de 41 millions d'habitants, où les mécanismes de revalorisation des salaires ont dans la plupart des cas un temps de retard sur l'inflation. Une grève générale est annoncée pour le 25 septembre.



(©AFP / (03 septembre 2018 17h59)

 

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  • 8 months later...

https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/05/16/en-argentine-le-fmi-est-condamne-a-reussir_5462659_3232.html (16 mai 2019)

Jusqu’ici, l’actuel gouvernement de Mauricio Macri a suivi plutôt fidèlement les ordonnances du Fonds. Pourtant, la situation économique est calamiteuse. L’inflation galope à plus de 50 %. Nul ne voit le bout de la récession.

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  • 5 weeks later...
  • 1 month later...

https://www.lemonde.fr/international/article/2019/08/12/primaires-en-argentine-large-victoire-du-peroniste-fernandez-face-au-president-macri_5498624_3210.html (12 août 2019)

Primaires en Argentine : large victoire du péroniste Fernandez face au président Macri.

Selon des résultats partiels portant sur 58,7 % des bureaux de vote, M. Fernandez et sa colistière Cristina Fernandez de Kirchner, l’ancienne présidente du pays, ont obtenu 47,01 % des suffrages, contre 32,66 % pour le tandem composé de Mauricio Macri et du dirigeant péroniste Miguel Angel Pichetto.

Autre particularité, des péronistes se présentaient dans trois camps différents.

Mauricio Macri, 60 ans, avait quant à lui créé la surprise en choisissant comme colistier le dirigeant péroniste Miguel Angel Pichetto, rompant avec sa doctrine qui l’avait conduit jusque-là à tenir à l’écart les péronistes de son gouvernement.

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  • 2 weeks later...
Le 12/08/2019 à 21:22, Wallaby a dit :

https://www.lemonde.fr/international/article/2019/08/12/primaires-en-argentine-large-victoire-du-peroniste-fernandez-face-au-president-macri_5498624_3210.html (12 août 2019)

Primaires en Argentine : large victoire du péroniste Fernandez face au président Macri.

Selon des résultats partiels portant sur 58,7 % des bureaux de vote, M. Fernandez et sa colistière Cristina Fernandez de Kirchner, l’ancienne présidente du pays, ont obtenu 47,01 % des suffrages, contre 32,66 % pour le tandem composé de Mauricio Macri et du dirigeant péroniste Miguel Angel Pichetto.

Autre particularité, des péronistes se présentaient dans trois camps différents.

Mauricio Macri, 60 ans, avait quant à lui créé la surprise en choisissant comme colistier le dirigeant péroniste Miguel Angel Pichetto, rompant avec sa doctrine qui l’avait conduit jusque-là à tenir à l’écart les péronistes de son gouvernement.

A noter que le résultat de ces primaires (quasiment la répétition des élections présidentielles) a causé de gros chocs :

  • les marchés financiers argentins se sont effondrés de 60%, effrayés par perspective d'une victoire probable des péronistes (et le retour de l'ex présidente Kirchner ...)
  • le président sortant tente de se refaire avec les recettes habituelles : annonce de la hausse du salaire minimum et des baisses d'impôts
    Pas sûr que ça suffise , avec 15% de retard sur son rival

https://www.lemonde.fr/international/article/2019/08/21/en-argentine-crise-de-legitimite-pour-macri-a-deux-mois-de-la-presidentielle_5501320_3210.html

https://www.lemonde.fr/international/article/2019/08/14/hausse-du-salaire-minimal-et-baisses-d-impots-en-argentine_5499460_3210.html

https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/08/14/les-marches-secoues-en-argentine-apres-le-revers-electoral-inflige-a-mauricio-macri_5499275_3234.html

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Par ailleurs, la nouvelle est presque passé inaperçue.

Un hacker a publié 700 Gb (!!! ) de données piratées de la police, incluant les dossiers en cours, les preuves, les listes et adresses de policier.
L'énorme fuite, surnommée LaGorraLeaks, a été annoncée via Telegram et le compte twitter (piraté aussi) de la préfécture navale.
Un pirate a revendiqué l'attaque, sous le surnom (Nicolái Lobachevski, un ancien mathématicien russe).

A ce stade de l'enquête, l'attribution est impossible (malgré le pseudo d'origine russe) :
l'attaque n'est pas forcément difficile à accomplir (pas de double authentification pour le compte tweeter), et la fuite de données n'a pas influencé les élections primaires (contrairement aux MacronLeaks et Wikileaks).
(et je ne vois d'intérêt évident étatique à destabiliser l'Argentine)

Bref, mystère... mais c'est peut être simplement un pirate tendance anar / anonymous.
https://www.lawfareblog.com/hackers-leaked-sensitive-government-data-argentina-and-nobody-cares

 

Modifié par rogue0
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  • 2 months later...

https://theconversation.com/argentine-quel-retour-du-peronisme-126318 (3 novembre 2019)

Au sein de la coalition du nouveau président Frente de Todos, le kirchnerisme préserve néanmoins un poids parlementaire fort (70 députés et le contrôle du Sénat) et un pouvoir territorial important, notamment à travers Axel Kicillof, pur kirchneriste non affilié au parti péroniste, élu gouverneur de la Province de Buenos Aires au premier tour avec 52 % des voix, le 27 octobre aussi.

Il s’agit de la province la plus importante du pays, qui compte un tiers de la population et pèse un tiers du PIB national. Dans l’État fédéral qu’est l’Argentine, il s’agit d’un poste-clef pour assurer la gouvernabilité : si Alberto Fernández veut une présidence stable, il devra se garantir les bonnes grâces des secteurs les plus kirchneristes au sein de sa coalition.

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