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FCAS SCAF et connexes (NGWS, drone FCAS - DP etc.)


prof.566

Messages recommandés

il y a 5 minutes, Soho a dit :

Je n'ai pas envie de dire qu'il faut quitter ce projet, car cela ferait la part belle à tous les détracteurs de notre beau pays...

En fait on devrait juste se contenter de tenir le partage des tâches initial. Et ce de façon non négociable.

Au contraire, il faut savoir claquer la porte pour garder notre pays peu importe les détracteurs.

non négociable, on a déjà reculé sur le moteur. Je parle même pas de Thales, ça va être une cata 

Modifié par wagdoox
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il y a 19 minutes, wagdoox a dit :

les règles de partagent n'avaient pas été édictées quasi dès le départ? c'est fatiguant. on a lâché sur le moteur et ils semblent en profiter pour le reste. 

 

Modifié par seal33
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il y a 3 minutes, wagdoox a dit :

J’en peux plus de cette peur très française du qu’en dira-t-on ? Vous croyez que les allemands se posent des questions sur nos sentiments quand ils demandent plus. Ou essaies clairement de nous la faire à l’envers sur le mgcs ?  

Le MGCS, l'Eurodrone et le SCAF.

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Il y a 1 heure, wagdoox a dit :

MALE RPAS

D’après le blog spécalisé « Augen geradeaus!« , les conservateurs de la CDU/CSU et les sociaux-démocrates du SPD, partenaires au sein de la coalition gouvernementale dirigée par la chancelière Merkel, ont donné leur accord pour permettre à ce programme d’aller de l’avant, en votant les crédits nécessaires au Bundestag [chambre basse du Parlement allemand] d’ici mars prochain.

Seulement, et comme on pouvait s’y attendre au regard des positions qu’il a constamment affichées sur ce sujet, le SPD a posé une condition : l’Eurodrone ne devra pas être armé. Cet appareil est issu d’un « projet multinational conduit avec la France, l’Italie et l’Espagne, conçu principalement comme un système de reconnaissance. Les partenaires de la coalition acceptent de voter les résolutions nécessaires pour que les contrats de développement et d’achat puissent être signés en mars comme prévu. Le contrat industriel ne prévoit pas l’armement du drone », ont écrit les partenaires de la « grande coalition ».

Il n’est pas clair si cette disposition concernant l’armement de l’Eurodrone s’appliquera uniquement à l’Allemagne… En tout cas, cela ne fait pas les affaires de la France, qui veut un Eurodrone armé… 

FCAS :   

Par ailleurs, les programmes relatifs au Système de combat aérien du futur [SCAF] et le Main Ground Combat System [MGCS – futur char de combat] risquent de connaître quelques turbulences dans les semaines à venir.

[ après l'actuelle en cours ] ... Pour la phase suivante, qui doit permettre de développer un démonstrateur, un investissement d’un milliard d’euros est nécessaire… Mais les députés allemands auront à se prononcer de nouveau… Et leur sentiment n’a pas évolué depuis la dernière fois.

le français Safran et l’allemand MTU Aero Engines [dont l’expérience en la matière est limitée]  ont  [ ayant ] trouvé un accord pour un meilleur partage des tâches, via une co-entreprise.

Mais, visiblement, c’est encore trop peu. Lors de la conférence de presse de ce 5 février, Mme Merkel a longuement abordé le sujet du SCAF, donnant le sentiment de remettre en cause sa conduite par la France.

"Nous avons demandé aux ministres […] de créer très rapidement les conditions qui permettront de faire passer le dossier devant le comité des affaires budgétaires du Bundestag », a déclaré la chancelière allemande.

« Mais il faut pour cela que l’on ait bien finalisé le partage des tâches. […] Vous savez que c’est un projet sous leadership français mais il fait quand même que les partenaires allemands puissent être à un niveau satisfaisant face à leurs homologues [français]. Nous devons donc voir très précisément les questions de propriété industrielle, de partage des tâches et de partage de leadership », a insisté Mme Merkel

MGCS .... S’agissant du MGCS, la chancelière a été moins loquace  ( forcément ils ont le leadership ) 

Modifié par Bechar06
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Je prends le pari ce soir que Macron fera tout pour que le FCAS/MGCS/Eurodrone se fasse, quoi qu'il en coute pour la France et son industrie de défense.

Il a flingué Alstom Power et Technip en tant que ministre des finances, il a lui même été au cœur des négociations avec GE et FMC. Il flinguera la dernière industrie à la balance commerciale extérieure positive de ce pays.

On devrait jouer la montre, mettre la pression sur l'Allemagne, refuser toute refonte du partage industriel, mais on la joue petits bras parce qu'on a des gens obnubilés par leurs idéaux européistes. L'idée s'est instaurée dans l'esprit de nos décideurs que ce programme est too big to fail alors qu'il y a un champs d’alternatives mais il leur faut une belle photo avec deux beaux drapeaux de peuples réconciliés pour montrer que l'Europe ne se chie pas sur tout, notamment quand il faut des vaccins.

Modifié par Chimera
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il y a 11 minutes, Chimera a dit :

 

Il a flingué Alstom Power et Technip en tant que ministre des finances, il a lui même été au cœur des négociations avec GE et FMC. 

Non c’est le système imbriqué justice+loi extra territoriale américain qui a « prélevé » ces 2 entreprises. Soit tu cèdes soit tu meurs. (Fin du HS)

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il y a 4 minutes, Billou a dit :

Non c’est le système imbriqué justice+loi extra territoriale américain qui a « prélevé » ces 2 entreprises. Soit tu cèdes soit tu meurs. (Fin du HS)

C'est faux. Il y avait tous moyens juridiques pour s'opposer à la vente, comme l'atteste le ministre de l'industrie de l'époque dans cette longue interview :

https://www.youtube.com/watch?v=W7OY8TeglnM

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il y a 5 minutes, seal33 a dit :

Est ce que les industriels Français, peuvent refuser d'y aller? si Dassault et Tales estiment se faire "voler" leur savoir faire. 

Les PDG des grands groupes de la BITD sont nommés par le PR car les administrateurs de l'Etat, au siege du conseil ont un pouvoir d'opposition qui fait que de facto c'est l'Elysee qui choisit les nominations. Donc va t'opposer à celui qui t'as nommé.

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Il y a 2 heures, wagdoox a dit :

J'ai écouté la Vidéo encapsulée ... C'est intéressant!  Je note que le PR Macron semble connaître les sujets des 4 programmes d'armement qu'il a cité: Tigre Mk3, Eurodrone, Mgcs et Scaf ( il a bien parlé pour ces 2 là de systèmes de systèmes" )   Pour le SCAF il a dit que les problèmes seraient réglés d'ici qq semaines ( personne n'a répondu sur l'impact du changement de chancelier  sur ces 2 programmes ) 

Espérons, mais font ch... ces trop démocratiques allemands ... Leur manque "un pourvoir fort à la française"  plutôt que des coalitions ... 

Modifié par Bechar06
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il y a 7 minutes, Chimera a dit :

Les PDG des grands groupes de la BITD sont nommés par le PR car les administrateurs de l'Etat, au siege du conseil ont un pouvoir d'opposition qui fait que de facto c'est l'Elysee qui choisit les nominations. Donc va t'opposer à celui qui t'as nommé.

ok pour Thales mais pour Dassault?

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il y a 9 minutes, seal33 a dit :

ok pour Thales mais pour Dassault?

Thalès, Dassault, Naval Group, Safran... tous les groupes dans lequel l'Etat a une part, même minoritaire, qui suffit à avoir un administrateur présent au conseil pour s'opposer aux décisions stratégiques de l'entreprise, dont la nomination du PDG.

Pour Dassault, l'Etat dispose de droits au travers du pacte d'actionnaires conclu avec Airbus. La part d'Airbus au sein de Dassault, c'est la part de l'Etat français.

Modifié par Chimera
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il y a 18 minutes, Chimera a dit :

Thalès, Dassault, Naval Group, Safran... tous les groupes dans lequel l'Etat a une part, même minoritaire, qui suffit à avoir un administrateur présent au conseil pour s'opposer aux décisions stratégiques de l'entreprise, dont la nomination du PDG.

Pour Dassault, l'Etat dispose de droits au travers du pacte d'actionnaires conclu avec Airbus. La part d'Airbus au sein de Dassault, c'est la part de l'Etat français.

Il reste à Dassault à prendre des parts chez Airbus (suffisamment) pour être au conseil d'administration :rolleyes:

Blague à part, quand est ce que les Allemands vont décider d'avancer concrètement? parce qu'on va pas mettre 10 ans juste sur le partage des taches. 

Ils jouent la montre en attendant le changement de Chancelier? 

Modifié par seal33
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il y a 24 minutes, Bechar06 a dit :

Espérons, mais font ch... ces trop démocratiques allemands ... Leur manque "un pourvoir fort à la française"  plutôt que des coalitions ... 

Il faut arrêter de croire à ces fadaises. Ça les arrangent bien de se cacher derrière tout ça. Comme les américains qui imposent des traites et ensuite ne les signent pas (c’est pas ma faute c’est le sénat qui veut pas ). D’ailleurs l’un étant  issu de l’autre rien n’anormal a voir les mêmes pratique de faux culs. 

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il y a 16 minutes, seal33 a dit :

Ils jouent la montre en attendant le changement de Chancelier? 

Ils jouent sur super europeiste macron pour obtenir le max. 
Macron s’est enfermé avec l’all des le depart. 
maintenant que les usa sont redevenus fréquentables, les allemands ont le choix, macron s’est enfermé tout seul, forcement le rapport de force est maintenant en leur faveur, ils posent les couilles sur la tables. 
si jamais macron dit non, il pourra plus jouer super europe-man...

on aurait deja dû dire stop au rpas et non a rheinmetall et non a mtu et non a indra, pourquoi s’arrêter maintenant ?

Perso, je pense qu’un nfg mono de 20 tonnes puis un nfg full permettrait a dassault de remonter ses capacités de conceptions, doterait la france d’une offre complète, le tout plus simplement et pour moins cher que le scaf tel qu’il est aujourd’hui avec des acteurs d’opérettes qui se prennent pour des pointures, le tout en demandant des transferes de tech comme on demande l’heure a un passant. 

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Je vous l'avait dis que ça ferait de la merde tout ça , l'Europe se chie dessus sur tout les sujets incapable de fournir des vaccins, incapable de gérer une crise grave et maintenant incapable de gérer sa politique de matèriels militaire, Europe une faillite. Maintenant faut arréter tout ça reprendre nos billes et gérer notre destin. 

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il y a une heure, wagdoox a dit :

https://www.lopinion.fr/edition/international/industrie-defense-ca-coince-a-tous-etages-entre-france-l-allemagne-235715
ça coince a tous les étages (si qq’un a accès à l’article intégral, je suis preneur) 

Il me semble en accès libre intégral, non ?

 

Citation

 

Le conseil franco-allemand de défense et de sécurité, se réunit ce vendredi 5 février par visio-conférence, autour d’Emmanuel Macron et d’Angela Merkel, avec leurs ministres de la défense et des affaires étrangères. Selon l’Elysée, cette réunion portera sur « le renforcement de la souveraineté européenne ». La précédente réunion du conseil franco-allemand de défense et de sécurité (CFADS) s’était tenue le 16 octobre 2019 à Toulouse.

Entre la France et l’Allemagne, « ça coince à tous les étages » sur la défense, assure un bon connaisseur du dossier. Malentendus, incompréhensions réciproques et divergences de visions ou d’intérêts dominent la relation bilatérale entre les deux capitales, malgré les éléments de langage positifs et volontaristes réitérés à foison.

On l’a encore vu vendredi 5 février à l’occasion de la réunion du conseil franco-allemand de défense et de sécurité, par visioconférence, entre Emmanuel Macron et Angela Merkel, en présence des ministres de la Défense et des Affaires étrangères. Les programmes industriels en coopération, la question de l’« autonomie stratégique » portée par la France et le lien transatlantique, les opérations en Afrique ou ailleurs, rien n’est facile… « Et ne l’a jamais été », ajoutent tous les familiers du franco-allemand.

Cette « relation a franchi, avec le traité d’Aix-la-Chapelle [2019], un nouveau palier, notamment grâce à̀ un rapprochement industriel », lit-on dans l’Actualisation stratégique 2021, le nouveau document de référence du ministère français des Armées. Où en sommes-nous en matière de programmes communs ?

Projets d’armement. Le cœur de la relation se décline en deux acronymes : SCAF et MGCS, deux grands projets d’armement dans le domaine aérien et terrestre annoncés en juillet 2017 et qui peinent à se concrétiser. Le Système de combat aérien du futur (Scaf) doit être l’avion de combat de demain et tout son environnement. La phase 1A du programme a été lancée en février 2020 pour une durée de dix-huit mois. Rendez-vous donc à l’été prochain pour la suivante, qui doit déboucher sur la commande ferme d’un « démonstrateur » capable de voler en 2026.

Les professionnels comptaient sur le salon du Bourget pour l’annoncer, mais celui-ci est annulé pour cause de pandémie. Le partage des tâches entre les deux pays, auxquels il faut désormais ajouter l’Espagne, s’avère complexe, d’autant que l’industrie française a, dans l’aéronautique, des compétences supérieures à celles de l’allemande.

En principe, la France – et Dassault Aviation – a le leadership, mais Outre-Rhin, on espère profiter du Scaf pour progresser notamment dans le domaine numérique (le combat cloud) ou les commandes de vol. Un sujet qui crispe les Français. La question des brevets sur les technologies innovantes reste délicate entre les entreprises concernées. Ajoutez à cela le fait que chaque étape du programme doit être systématiquement approuvée par le Bundestag (Parlement allemand), ce qui oblige à rediscuter des termes à chaque étape et parfois, à faire monter les enchères.

Le sujet est d’autant plus sensible que, parallèlement, un autre programme est en cours, celui du char du futur MGCS (Main Ground Combat System). Fort de leur succès avec les blindés Leopard et le poids de leur industrie (Rheinmetall, Krauss-Maffei Wegmann), les Allemands comptent se tailler la part du lion. Sauf à donner la moitié du gâteau à l’un et les deux tiers à l’autre, le français Nexter risque donc de faire les frais du partage industriel. La France perdrait ainsi, pour la première fois depuis 1915, sa capacité à concevoir, développer et produire un char de combat.

Fusil d’assaut. C’est déjà le cas dans l’armement léger, avec l’abandon de la filière de fusil d’assaut Famas au profit de l’allemand Heckler&Koch. Dans les blindés, les résistances des ingénieurs et de nombreux militaires français, qui aimeraient des engins à la fois moins lourds et plus innovants, sont fortes. L’évolution de la gouvernance de KNDS, l’alliance de Nexter et de Krauss-Maffei, ne les rassure pas avec la nomination, en décembre, de l’Allemand Frank Haun.

D’autres pays européens, comme la Pologne ou l’Italie, frappent à la porte de ce programme, mais la situation est tellement compliquée entre Paris et Berlin que les deux capitales ne veulent pas rajouter d’autres partenaires. Au risque de voir apparaître des programmes concurrents, comme c’est déjà le cas dans l’aéronautique. A côté de Scaf, les Britanniques – qui étaient engagés avec les Français jusqu’en 2017 – développent le Tempest en coopération avec l’Italie et la Suède. Verra-t-on, comme dans les années 80, les Européens se doter de deux avions de combat alors que les Américains sont toujours extrêmement présents sur ce terrain ? Le risque existe.

La question des exportations d’armement semble provisoirement résolue entre les deux pays, suite au Traité d’Aix-la-Chapelle de 2019. Les Français, moins regardants que les Allemands, craignaient en effet que ceux-ci ne bloquent l’exportation de matériels produits en commun pour des raisons politiques et humanitaires. Toutefois, l’éventuelle arrivée des Verts – sensibles à ce sujet – dans la prochaine coalition à Berlin inquiète la partie française.

En matière navale, enfin, la coopération franco-allemande est totalement inexistante, les deux pays étant même à couteaux tirés sur le marché des sous-marins. Des tensions existent également dans le domaine spatial. Naguère leader incontesté, la France va ainsi céder à l’Allemagne la place de premier contributeur (23 % contre 18,5 %) au sein de l’Agence spatiale européenne.

Industrie de défense. Comme le dit le député (LR) Jean-Louis Thieriot, qui estime « vitale » la coopération entre les deux pays, « nous, Français, avons une industrie de défense et les Allemands ont une défense de l’industrie ». L’analyse est très juste, même si le secteur de l’armement n’est pas aussi stratégique en Allemagne qu’il ne l’est en France, en comparaison de l’industrie automobile par exemple.

Reste que là où les politiques et les militaires français pensent d’abord « opérations » et rôle de la France dans le monde, leurs homologues d’outre-Rhin réfléchissent en terme « capacitaires ». Et donc industriels. Pas moins de douze pays européens utilisent, par exemple, le char Léopard 2, alors que la France n’est parvenue à exporter son Leclerc qu’aux Emirats arabes unis, à perte qui plus est. L’Allemagne est également parvenu à fédérer autour d’elle, et à bas bruit, une vingtaine de pays européens dans le cadre de son concept de « Nation cadre » (Framework Nation) en poussant l’intégration des structures militaires, notamment dans le cadre de l’Otan.

 

En tout cas, je suis partagé entre énervement, exaspération et pessimisme

Heureusement que la politique n'est pas mon métier.

 

Modifié par johnsteed
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Quote

Il est évident que de telles sommes constituent une injection de fonds de premier ordre pour l'industrie de l'armement, qui est susceptible d'avoir une influence décisive sur la future architecture de l'industrie en Europe. C'est précisément pour cette raison que le FCAS - même avant les projets tout aussi importants de l'Eurodrone et des chars de bataille - est considéré comme le projet central de prestige sur la voie d'un complexe d'armement européen dominé par les Franco-Allemands.

Le député CDU Thomas Jarzombek, coordinateur du gouvernement allemand pour l'aérospatiale allemande, l'a confirmé lors de la conférence BDLI en déclarant

    Le futur système aérien de combat FCAS est un projet clé pour l'avenir de l'industrie aéronautique allemande. C'est un facteur décisif pour la future capacité de défense de l'Allemagne et de ses partenaires européens et une preuve de l'efficacité de l'industrie aéronautique en Europe. Le FCAS apporte également une contribution importante à la poursuite de l'intégration dans le domaine de la défense européenne. Il est logique et juste que les systèmes soient développés conjointement en Europe au lieu que chacun le fasse de son côté. Nous serons très attentifs à ce qu'il y ait un partenariat d'égal à égal dans ce domaine.
    Thomas Jarzombek

Mais seules l'Allemagne et la France sont sur un pied d'égalité dans le projet et, par conséquent, le projet porte la signature de ces deux pays.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

https://www.heise.de/tp/features/Das-groesste-europaeische-Ruestungsprojekt-ueberhaupt-5042688.html

 

 

Modifié par P4
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29 minutes ago, johnsteed said:

 

La question des exportations d’armement semble provisoirement résolue entre les deux pays, suite au Traité d’Aix-la-Chapelle de 2019. Les Français, moins regardants que les Allemands, craignaient en effet que ceux-ci ne bloquent l’exportation de matériels produits en commun pour des raisons politiques et humanitaires. Toutefois, l’éventuelle arrivée des Verts – sensibles à ce sujet – dans la prochaine coalition à Berlin inquiète la partie française.

Si seulement nous pouvions décrocher un contrat Rafale avec un pays infréquentable avec comme conséquence un tollé en Allemagne en pleine période éléctoraleb et un abandon de la coopération avec nous sur le SCAF pour des questions morales.

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il y a 7 minutes, P4 a dit :

Si seulement nous pouvions décrocher un contrat Rafale avec un pays infréquentable avec comme conséquence un tollé en Allemagne en pleine période éléctoraleb et un abandon de la coopération avec nous sur le SCAF pour des questions morales.

La Turquie ? La Russie ? La Chine ? l'Iran ? Les 4 ? :biggrin::chirolp_iei:

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Les politiques allemand ( comme mon ex-femme) ont fait de l'adage de Staline : " tout ce qui est à moi est à moi et tout ce qui est à toi est négociable" ! leur façon de penser.

une fois que l'on a compris cela on a tout compris.

petite pensée du samedi, totalement politiquement incorrecte, mais totalement assumé et probablement pas totalement érronée :

" on était quand même moins em... par les allemands quand l'Allemagne s'appelait RFA ( donc avant la réunification pour ceux qui n'ont pas suivit); une fois réunifié l'Allemagne se sent à nouveau une volonté économiquement hégémonique y compris dans la Défense sans en avoir les compétences (sauf quelques exceptions)."

 

comment voulez vous travaillez correctement avec un partenaire qui remets en cause continuellement ce qui est acté la veille, voir la demi-journée précedente !

Que le Scaf et le MGS se fasse en collaboration, pourquoi pas, mais certainement pas avec l'Allemagne ( cela apparait de plus en plus clairement) qui n'est pas un partenaire fiable.

il est temps d'en prendre conscience, enfin c'est juste mon avis...

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