Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

FCAS SCAF et connexes (NGWS, drone FCAS - DP etc.)


prof.566

Messages recommandés

il y a une heure, TarpTent a dit :

 

 Personne pour apprécier ce magnifique passage dans le premier paragraphe de la première page, je cite :

 « (...) il faut savoir que l’on parle ici d’une mise en service à l’horizon 2040. Et pour cause : conçu dans les années 1980 et mis en service vers 2000, le Rafale atteindra l’âge de la retraite a cette date. »

Et la légende sous le Rafale : «  En Service depuis 2000, le Rafale devra être remplacé d’ici 20 ans ».

 

Quand je pense qu’on vient d’expliquer aux Suisses que l’appareil sera encore bon et maintenu en 2050/2060, et là, on apprend la Terrible vérité dans un journal français : Les Rafale suisses seront déjà des pré-retraités quand ils vont les recevoir, on va devoir leur livrer les cannes blanches avec !

Surtout avec ça entretemps:

aLDA69N.png

  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 12 heures, Patrick a dit :

Merci mais je suis pas aérodynamicien non plus et mes compétences se limitent à de l'aéromodélisme il fut un temps.

Je n'ai pas tout lu, parce que :

- Les tunnels moteurs, aussi marqués soient-ils, se retrouvent inévitablement masqués lors des vols à forte incidence/basse vitesse où la dérive est censée assurer la stabilité, mais des soucis sont aussi à prévoir en supersonique.

- L'aérodynamicien en question fait bien le distingo entre un drone tactique et un chasseur puis en déduit logiquement des particularités, alors que tu mets tout dans le même sac en faisant fi des capacités spécifiques exigées.

Donc tant pis pour ton long texte illustré, je préfère le son de cloche de Science&Vie.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

ben moi je pilote que des trapanelles. Mais plus l'incidence est marquée, plus le controle en lacet de la dérive craint (saut si envie de démauser) parce que caché par le corps de l'avion. Nous devrions avoir une belle maquette à PAS19.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 2 minutes, prof.566 a dit :

ben moi je pilote que des trapanelles. Mais plus l'incidence est marquée, plus le controle en lacet de la dérive craint (saut si envie de démauser) parce que caché par le corps de l'avion.

Et pourtant ta dérive fait une certaine hauteur. Tu imagines bien que si tu l'amputes de son sommet ça devient encore plus vite rock&roll.

Les double-dérives, inclinées, participent à mitiger cet effet de masquage tout en étant de taille réduite.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

je suis bien d'accord. Mais quand on voit la surface des flaps du NGF....

4 minutes ago, DEFA550 said:

Et pourtant ta dérive fait une certaine hauteur. Tu imagines bien que si tu l'amputes de son sommet ça devient encore plus vite rock&roll.

Les double-dérives, inclinées, participent à mitiger cet effet de masquage tout en étant de taille réduite.

cela dit on arrive à le mettre en vrille et le récupérer le vieux guerrier. A l'aeroclub on en a un qui date de la 12F, pas moyen de rentrer en contact avec leur tradi pour faire un chti article

Modifié par prof.566
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Voui, la dérive c’est l’evidence et bien connu: http://www.aeroweb-fr.net/forum/aviation-militaire/5318/1

 


« La dérive c'est la quille du bateau , Ele permet de voler bien droit dans l'air . Quand l'avion est cabré , la dérive est masquée en partie par le fuselage , elle est mal ventilée , c'est à dire qu' elle est abritée du courant d'air dans sa partie inférieure , et donc moins efficace. Il faudrait qu'elle soit beaucoup plus grande pour maintenir l'avion en ligne droite . Quand la dérive est masquée l'avion est comme un savonnette dans un bac à douche .Faire une dérive très grande n'est pas possible pour plusieurs raisons ( solidité , vibrations , encombrement ) . Alors on en fait 2 qui sont penchées pour s'écarter du fuselage et mieux rester dans le courant d'air quand l'avion se cabre .
Une autre façon de mieux ventiler une dérive partiellement cachée c'est de créer à l'avant du fuselage ,de chaque côté , un tourbillon à l'aide de surfaces ( Apex , aigrettes , canards ) qui font éclater le courant d'air derrière ces profils . Les tourbillons ainsi généreés prennent la dérive en sandwich et lui conserve une efficacité . »

Mais si on a tout lu (:chirolp_iei:) le post de Patrick avant de se mettre en pétard, on sait aussi ( même moi) que ça fait longtemps qu’on essaie de la sucrer cette fichu dérive, car ça traîne, c’est encombrant, fragile, lourd, et désormais on questionne aussi sa discrétion radar.

« La surface verticale est certainement un facteur prépondérant de la signature. Un peu comme si un soldat caché dans un trou lève un drapeau au-dessus de sa tête ! 
Maintenant, la surface de dérive est calculée en fonction des besoins de stabilité. Le B-2 n'a pas de dérive, mais il est stabilisé par une boucle électronique. Nago a raison puisque l'effet de stabilisation d'une dérive s'appelle l'"effet girouette", c'est aussi le mode de stabilisation des plumes d'une flèche d'arc.

Pour la boucle électronique, je veux dire un asservissement électronique qui détecte le moindre écart et le corrige avec des gouvernes exotiques (ailerons crocodile, élevons, spoilers, etc.) avant que l'avion ne s'embarque dans un mouvement incontrôlable pour un pilote humain. C'est du travail d'équilibriste, mais mille fois plus précis. L'avion n'est piloté que par des ordinateurs spécialisés et le pilote se contente de contrôler l'ordinateur. Pour le B-2, je dirais qu'il est impilotable sans l'électronique et relève plus du jeu vidéo que de de l'habileté et des qualités du pilote.

Le B2 est un bombardier stratégique, mais les formules progresseront et on nous répète par ailleurs que les chasseurs ne continueront pas longtemps à devoir s’enrouler en dog. Alors pourquoi pas explorer ça pour le FCAS? »

Quelle est la contrainte particulière pour les vitesses supersoniques ?

 

Modifié par Hirondelle
Oubli d’un cop/coll, l’enfer des smartphones...
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 5 minutes, Hirondelle a dit :

Mais si on a tout lu (:chirolp_iei:) le post de Patrick avant de se mettre en pétard, on sait aussi ( même moi) que ça fait longtemps qu’on essaie de la sucrer cette fichu dérive, car ça traîne, c’est encombrant, fragile, lourd, et désormais on questionne aussi sa discrétion radar.

Je n'avais effectivement pas besoin de tout lire pour le savoir (:tongue:). Si ça fait longtemps qu'on essaye de la supprimer, ça fait tout aussi longtemps qu'on échoue pour les mêmes raisons.

On peut donc parier sur un nouvel échec, ou penser que cette fois-ci sera la bonne. Les paris sont ouverts. :biggrin:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 8 minutes, DEFA550 a dit :

Je n'avais effectivement pas besoin de tout lire pour le savoir (:tongue:). Si ça fait longtemps qu'on essaye de la supprimer, ça fait tout aussi longtemps qu'on échoue pour les mêmes raisons.

On peut donc parier sur un nouvel échec, ou penser que cette fois-ci sera la bonne. Les paris sont ouverts. :biggrin:

Je me doute que tu savais, mais en tant que naïf ici j’aime bien quand les cadors prennent le temps de m’instruire :rolleyes:

Peux tu par exemple m’expliquer la particularité aux vitesses supersoniques que tu évoquais ?

Et le pilotage « en force » genre pif paf ?

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je suis surpris par cette passion pour la formule sans dérive.

Il faut d'abord connaitre le bilan de ce qu'on va demander à l'objet volant.

Plus on va en demander, plus il faut se rappeler les fondamentaux : il faut que ça vole et qu'on puisse se le payer.

voilà. Après, qu'il y ait une ou plusieurs ou pas de dérive, si toutes les attentes de base sont satisfaites sans trop de sacrifices alors ça me va.

Si on prend l'exemple du F35, il arrive que je me demande s'il ne fait pas plus de dégâts chez l'initiateur (résultat/prix) qu'il n'en puisse faire chez l'adversaire.

Modifié par capmat
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 18 heures, Ponto Combo a dit :

Faut pas s’inquiéter, la dérive sera escamotable comme dans la DS de Fantomas. Elle sortira quand il aura besoin de manœuvrer serré....

->[ ]

le tomcat le fait bien avec ses ailes pour d'autres raisons :P,  made in dassault Mirage G8, on peut pousser beaucoup plus loin le principe avec la dérive, après c'est le boulot des ingénieurs d'y réfléchir après avoir dit que c'est  impossible. c'est Fantomas qui a volé l'idée à Dassault :P

450px-US_Navy_051105-F-5480T-005_An_F-14

 

Grumman_F-14_Tomcat_SDASM.jpg

 

 

 

Modifié par zx
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 6 heures, DEFA550 a dit :

Je n'avais effectivement pas besoin de tout lire pour le savoir (:tongue:). Si ça fait longtemps qu'on essaye de la supprimer, ça fait tout aussi longtemps qu'on échoue pour les mêmes raisons.

On peut donc parier sur un nouvel échec, ou penser que cette fois-ci sera la bonne. Les paris sont ouverts. :biggrin:

Je renvoie vers cet article de Portail-aviation:
http://www.portail-aviation.com/blog/2019/01/31/le-scaf-par-ses-concepteurs/

Citation

 

Ingénieur de l’Armement Philippe Koffi :

Pour arriver à ce système en 2040, l’innovation devra se mener sur 3 axes: L’innovation technologique d’abord, la modularité de l’architecture du système également, et enfin de nouveaux modes de fonctionnement entre l’État, l’industrie, les PME et la recherche scientifique.

Sur la technologie, les grandes briques sont:

– La furtivité, domaine sensible s’il en est. Pour vous donner un exemple, on veut supprimer les dérives du futur avion de combat parce qu’elles génèrent un fort retour radar, mais autant on sait faire voler des avions subsoniques sans dérive comme l’a montré le nEUROn, autant pour les vols supersoniques, l’absence de dérive pose un problème de contrôle de vol.

– La manœuvrabilité : si on supprime les dérives, on perd en maniabilité. Nous envisageons d’utiliser des gouvernes fluidiques pour réduire la taille des surfaces de contrôle en général, et aussi la poussée vectorielle, mécanique ou par injection fluidique.

 

Je fais le choix de parier sur l'absence totale ou partielle de dérives.

- Soit remplacées par des moignons comme sur FACE, qui seraient également bien utiles en termes de géométrie pure pour y placer des capteurs à plus longue portée et plus large champ de vision, notamment vers l'arrière en l'absence de dard ou de provision sous une monodérive comme sur le Rafale.

- Soit totalement absentes et dont la fonction serait émulée par certaines parties très saillantes de la structure de l'avion, je pense à la jonction aile-fuselage à l'intrados si la formule aérodynamique devait rester en l'état (ce qui est loin d'être certain):

DqLZ4ZzX4AAPz82.jpg

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit :

Et voilà, les Allemands revendiquent comme d'habitude 50% du coût et du travail !

German spat over Airbus could spoil fighter fest at Paris Air Show

https://www.defensenews.com/global/europe/2019/06/07/german-spat-over-airbus-could-foil-fighter-fest-at-paris-air-show/

Et la totalité de la (co-)propriété intellectuelle sur tout, d'après le vote du Bundestag, tel que signalé dans le message de @Skw. Traduction :

Révélation

La répartition des coûts dépend également des pays qui participent encore au projet - et au fil des ans, jusqu'à ce que le projet soit prêt à fonctionner, rien n'a été dit, a averti le gouvernement fédéral : les besoins financiers pour les phases suivantes de développement, de production et d'utilisation ne peuvent être estimés actuellement en raison de nombreux facteurs inconnus (concept de système concret, concept logistique, pays partenaires, quantités, exportation).

Même dans la phase initiale, il y a deux problèmes politiques très fondamentaux : Tout d'abord, la crainte du côté allemand que la France, avec son leadership dans l'ensemble du projet, soit également décisive sur le plan économique. D'autre part, il y a la question de savoir à quoi ressembleront les exportations du système développé, qui seront très réelles dans 20 ans au plus tôt.

La commission du budget du Bundestag a donc combiné le déblocage des fonds pour la première étude avec une soi-disant "décision d'établir une norme", qui fixe certaines conditions pour que le gouvernement fédéral procède avec ce système. Il dit, entre autres choses :

La commission du budget demande au gouvernement fédéral de veiller à ce que les négociations se poursuivent,
- que l'Allemagne obtienne les mêmes droits de propriété intellectuelle sur le système d'armes de la prochaine génération (NGWS) / futur système aérien de combat (FCAS) que le partenaire français, suffisants pour une exploitation, une maintenance et un développement indépendant.
- que le rapport coût/partage des tâches (50/50) entre l'Allemagne et la France soit respecté et garanti par une structure de programme industriel et des processus décisionnels appropriés. (…)
- mettre au point une procédure transparente et compréhensible pour l'attribution des contrats et la sélection des contractants dans le cadre de la part allemande du FCAS.
- Établir un système d'établissement de rapports pour surveiller le flux réel des retours à l'échelle nationale au FCAS.
- de décrire comment une structure industrielle basée en Allemagne (maisons système, industrie des fournisseurs) doit être mise en place pour le projet FCAS afin de sauvegarder les intérêts nationaux. Les aspects organisationnels, juridiques et locaux doivent être pris en compte dans la présentation.

Non inclus dans les décisions actuelles de la Commission budgétaire, mais dans l'esprit des parlementaires responsables et du gouvernement fédéral : outre le projet commun FCAS pour les forces aériennes des deux pays, le projet d'un futur système de combat terrestre principal (MGCS) pour les forces terrestres devrait également être inclus. C'est l'Allemagne qui en est responsable, mais on ne sait pas encore très bien comment cela sera réglementé sur le plan industriel. Et du point de vue allemand, il s'agira également d'assurer un équilibre avec la France.

Les règlements d'exportation - non seulement pour le FCAS, mais pour tous les projets d'armement conjoints des deux pays - sont encore en cours de négociation. Il est vrai que le traité d'Aix-la-Chapelle conclu au début de l'année et un accord complémentaire entre l'Allemagne et la France prévoient qu'un pays ne peut opposer son veto à une exportation d'un autre pays que dans des cas graves. Toutefois, on n'a pas encore déterminé de façon concluante quels sont exactement ces cas graves.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator

A la relecture, il ne s'agirait que d'une demande de la Commission des Finances du Bundestag au gouvernement, pas d'un texte ayant force de contrainte. Mais ça la fout un peu mal : si le Parlement allemand embraye sur des décisions stupides parce qu'iniques, le projet doit s'arrêter. Il reste encore un peu de temps pour prendre une décision puisqu'on n'est qu'aux toutes premières études de définition de concept, mais ça n'augure rien de bon.

 

  • J'aime (+1) 1
  • Merci (+1) 1
  • Upvote (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 2 heures, Picdelamirand-oil a dit :

Et voilà, les Allemands revendiquent comme d'habitude 50% du coût et du travail !

German spat over Airbus could spoil fighter fest at Paris Air Show

https://www.defensenews.com/global/europe/2019/06/07/german-spat-over-airbus-could-foil-fighter-fest-at-paris-air-show/

 

il y a 27 minutes, Boule75 a dit :

Et la totalité de la (co-)propriété intellectuelle sur tout, d'après le vote du Bundestag, tel que signalé dans le message de @Skw. Traduction :

  Révéler le texte masqué

La répartition des coûts dépend également des pays qui participent encore au projet - et au fil des ans, jusqu'à ce que le projet soit prêt à fonctionner, rien n'a été dit, a averti le gouvernement fédéral : les besoins financiers pour les phases suivantes de développement, de production et d'utilisation ne peuvent être estimés actuellement en raison de nombreux facteurs inconnus (concept de système concret, concept logistique, pays partenaires, quantités, exportation).

Même dans la phase initiale, il y a deux problèmes politiques très fondamentaux : Tout d'abord, la crainte du côté allemand que la France, avec son leadership dans l'ensemble du projet, soit également décisive sur le plan économique. D'autre part, il y a la question de savoir à quoi ressembleront les exportations du système développé, qui seront très réelles dans 20 ans au plus tôt.

La commission du budget du Bundestag a donc combiné le déblocage des fonds pour la première étude avec une soi-disant "décision d'établir une norme", qui fixe certaines conditions pour que le gouvernement fédéral procède avec ce système. Il dit, entre autres choses :

La commission du budget demande au gouvernement fédéral de veiller à ce que les négociations se poursuivent,
- que l'Allemagne obtienne les mêmes droits de propriété intellectuelle sur le système d'armes de la prochaine génération (NGWS) / futur système aérien de combat (FCAS) que le partenaire français, suffisants pour une exploitation, une maintenance et un développement indépendant.
- que le rapport coût/partage des tâches (50/50) entre l'Allemagne et la France soit respecté et garanti par une structure de programme industriel et des processus décisionnels appropriés. (…)
- mettre au point une procédure transparente et compréhensible pour l'attribution des contrats et la sélection des contractants dans le cadre de la part allemande du FCAS.
- Établir un système d'établissement de rapports pour surveiller le flux réel des retours à l'échelle nationale au FCAS.
- de décrire comment une structure industrielle basée en Allemagne (maisons système, industrie des fournisseurs) doit être mise en place pour le projet FCAS afin de sauvegarder les intérêts nationaux. Les aspects organisationnels, juridiques et locaux doivent être pris en compte dans la présentation.

Non inclus dans les décisions actuelles de la Commission budgétaire, mais dans l'esprit des parlementaires responsables et du gouvernement fédéral : outre le projet commun FCAS pour les forces aériennes des deux pays, le projet d'un futur système de combat terrestre principal (MGCS) pour les forces terrestres devrait également être inclus. C'est l'Allemagne qui en est responsable, mais on ne sait pas encore très bien comment cela sera réglementé sur le plan industriel. Et du point de vue allemand, il s'agira également d'assurer un équilibre avec la France.

Les règlements d'exportation - non seulement pour le FCAS, mais pour tous les projets d'armement conjoints des deux pays - sont encore en cours de négociation. Il est vrai que le traité d'Aix-la-Chapelle conclu au début de l'année et un accord complémentaire entre l'Allemagne et la France prévoient qu'un pays ne peut opposer son veto à une exportation d'un autre pays que dans des cas graves. Toutefois, on n'a pas encore déterminé de façon concluante quels sont exactement ces cas graves.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator

A la relecture, il ne s'agirait que d'une demande de la Commission des Finances du Bundestag au gouvernement, pas d'un texte ayant force de contrainte. Mais ça la fout un peu mal : si le Parlement allemand embraye sur des décisions stupides parce qu'iniques, le projet doit s'arrêter. Il reste encore un peu de temps pour prendre une décision puisqu'on n'est qu'aux toutes premières études de définition de concept, mais ça n'augure rien de bon.

 

ET puis si ils veulent pareil que la France il auront moins que 50% puisque les espagnols vont aussi revendiquer leur part. En plus la coalition a du plomb dans l'aile depuis les élections européennes. Donc comme dit par  @TarpTent laissons braire un peu puisqu'ils ont fait "pouce" et après s'ils sont pas contant ils iront chercher du workshare auprès de LM.

Modifié par herciv
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce qu'ils veulent n'est pas forcément ce qu'ils auront (c'est à vous de négocier ça) et par ailleurs, attention à ne pas confondre NGF et SCAF. Ils peuvent récupérer la plus grande part du SCAF sans avoir la plus grande part du NGF...

Modifié par mehari
  • J'aime (+1) 1
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

22 minutes ago, kotai said:

Et par quel miracle cette avion ne va pas couter 300 millions d'euro, un avion furtif coute vraiment cher.

Le F-22 coûte cher. Le F-35 a coûté beaucoup moins en comparaison (et même lui a fait face à d'énormes surcoûts). Je pense qu'il y a moyen de faire un peu mieux.

Cependant, furtif ou pas, c'est un fait: un avion moderne coûte cher...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

il y a une heure, Patrick a dit :

La seule chose valable qu'apporte ce "programme", c'est de sanctuariser des dépenses côté français pour assurer l'après-Rafale. L'idéal étant qu'une scission survienne à terme, menant à un Rafale bis en France, pendant que le reste de l'Europe se viande en essayant de faire un Eurofighter-bis et de payer ses F-35 sur lesquels elle récolte des miettes industrielles. Ils n'achèteront jamais français quoi qu'il en soit.

Si on refait une comparaison de l'époque Rafale et Typhoon, je me demande ce qu'on les anglais et allemands à la place du BAe p125 et du MBB Lampyridae. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
  • Statistiques des membres

    6 005
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    cilom
    Membre le plus récent
    cilom
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...