pascal Posté(e) le 2 novembre 2016 Share Posté(e) le 2 novembre 2016 Çà a été traité ici en long large travers et profondeur ... Merci de faire le nécessaire avec l'outil recherche. Et accessoirement de passer par la case présentation :) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tonton Charlie Posté(e) le 2 novembre 2016 Share Posté(e) le 2 novembre 2016 il y a 47 minutes, pascal a dit : Çà a été traité ici en long large travers et profondeur ... Merci de faire le nécessaire avec l'outil recherche. Et accessoirement de passer par la case présentation :) Hmm, je n'y avais pas pensé.. J'y vais de suite chef ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 2 novembre 2016 Share Posté(e) le 2 novembre 2016 Le 31/10/2016 à 22:26, Kovy a dit : Au passage, j'en profite pour (re?)-poster les profils de Frank Fischer que je trouve géniaux : http://aviationprofilart.blogspot.fr/2016/04/dassault-rafale-m.html http://aviationprofilart.blogspot.fr/2016/01/dassault-rafale-b-c.html http://aviationprofilart.blogspot.fr/2015/10/dassault-rafale-demonstrateur-et.html Y'avait pas une section avions de rêve dans lequel ce blog aurait toute sa place ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ponto Combo Posté(e) le 2 novembre 2016 Share Posté(e) le 2 novembre 2016 Il y a 4 heures, tipi a dit : Tout à fait, la voie IR de l'OSF était très complexe et d'une fiabilité parfois capricieuse. Et je partage tes interrogations, dans les Magic le détecteur était refroidi par une bouteille d'azote de petite dimensions. J'imaginais que c'était pareil pour le MICA, mais peut être le fluide est il amené depuis un reservoir situé dans l'avion ? Si quelqu'un sait nous éclairer ... Le MICA comporte son propre "système" cryogénique ce qui lui permet de faire un paquet d'heures de vol sans maintenance. C'était une des préoccupation de l'armée de l'air au début du programme d'éviter ces opérations de remplacement de bouteilles. Logistique merdique. Il a même été envisagé une centrale cryogénique centralisée pour alimenter tous les capteurs IR à bord de l'avion et même pour le détecteur du radar (pour un gain de performance symbolique). Un cauchemar de tuyauteries et pas besoin de faire d'AMDEC très poussée pour abandonner le principe. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 2 novembre 2016 Share Posté(e) le 2 novembre 2016 (modifié) Il y a 5 heures, Bon Plan a dit : Il y a 2 choses qui me surprenne dans la solution MICA IR : 1) l'autodirecteur ne doit il pas être refroidie? (comme celui du Mistral). Si oui ca ne dure qu'un temps. assez court. 2) la durée de vie d'un autodirecteur est prévue courte (le temps de vol du missile + temps d'accrochage si accrochage avant tir + petite marge). Rien de comparable avec celle d'un capteur fixe. 1) Le refroidissement du capteur du MICA IR repose sur un système cryogénique Stirling miniature embarqué, sans rechargement ni entretien. 2) La limite de fonctionnement (= durée d'utilisation maximale avant retour chez l'industriel) de cet autodirecteur IR est de 500 heures de vol. Le temps de fonctionnement réel de telle ou telle partie/fonction n'est pas suivi et n'est donc pas une limite. Il en résulte que l'autodirecteur du MICA IR peut théoriquement fonctionner de manière optimale pendant 500 heures. Modifié le 2 novembre 2016 par DEFA550 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 2 novembre 2016 Share Posté(e) le 2 novembre 2016 Mais il est activée dès qu'on met le contact ? Ou c'est à la demande du pilote ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kovy Posté(e) le 2 novembre 2016 Share Posté(e) le 2 novembre 2016 il y a 21 minutes, DEFA550 a dit : 1) Le refroidissement du capteur du MICA IR repose sur un système cryogénique Stirling miniature embarqué, sans rechargement ni entretien. 2) La limite de fonctionnement (= durée d'utilisation maximale avant retour chez l'industriel) de cet autodirecteur IR est de 500 heures de vol. Le temps de fonctionnement réel de telle ou telle partie/fonction n'est pas suivi et n'est donc pas une limite. Il en résulte que l'autodirecteur du MICA IR peut théoriquement fonctionner de manière optimale pendant 500 heures. Est ce un cas unique ou y a-t-il d'autres missiles IR qui utilisent le même principe ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 2 novembre 2016 Share Posté(e) le 2 novembre 2016 il y a 18 minutes, Teenytoon a dit : Mais il est activée dès qu'on met le contact ? Ou c'est à la demande du pilote ? C'est à la demande du pilote, comme la plupart des systèmes. il y a 16 minutes, Kovy a dit : Est ce un cas unique ou y a-t-il d'autres missiles IR qui utilisent le même principe ? A priori l'AIM-9X utilise un système Peltier pour le refroidissement. Il me semble que ça ne permet pas d'atteindre des températures aussi basses qu'un refroidisseur cryogénique, mais je ne suis pas spécialiste. L'ASRAAM et l'IRIS-T, comme le MAGIC-II, exigent une source externe (bouteille ou générateur de gaz comprimé) pour assurer le refroidissement. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 2 novembre 2016 Auteur Share Posté(e) le 2 novembre 2016 34 minutes ago, DEFA550 said: A priori l'AIM-9X utilise un système Peltier pour le refroidissement. Il me semble que ça ne permet pas d'atteindre des températures aussi basses qu'un refroidisseur cryogénique, mais je ne suis pas spécialiste. Peltier c'est assez modeste ca permet juste de doperun radiateur. En pratique ca pompe des calorie d'un coté d'un plaque métallique vers l'autre. Une face refroidie l'autre chauffe d'autant plus le perte en rendement, tout ca a cause d'un flux électrique dans la plaque. Résultat on ne fait que déplacer le probleme d'un coté a l'autre de la plaque et si la face chaude n'est pas refroidie par un radiateur et un flux caloporteur - air, eau ou n'importe quoi d'autre - la pompe fini rapidement pas plus pomper assez pour assurer l'augmentation de différence de température. En résumé la face chaude étant plus chaude ... la puissance d'échange de cette face avec le caloporteur de même température que le cas sans Peltier est plus élevé - puissance proportionnel a la différence de température entre les deux medium -. A défaut d'avoir un refroidissement "puissant" - on reste limité par la température atmosphérique qui sert de source froide, même si on a un effet pompe a chaleur, en général l'effet Peltier ne permet pas de miracle sinon on s'en servirait pour les climatiseurs -, on a un système robuste, durable, a priori tres bon marché et fonctionnel tant qu'il y a de l'alimentation électrique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jeansaisrien Posté(e) le 2 novembre 2016 Share Posté(e) le 2 novembre 2016 bonjour, pour le Sidewinder http://wiki.scramble.nl/index.php/Sidewinder_article#Cooling Cooling With an infra-red guided missile such as the Sidewinder, the discriminating ability of the seeker head — i.e. the ability to discriminate between different heat sources and their respective backgrounds — depends on the seeker head's own temperature, relative to the temperature of the ambient air. Therefore, the seeker head of an active missile is cooled up to minus 160 degrees Celsius in order to establish optimal sensitivity. The effective range of a cooled missile is 10-16 km, depending on the weather conditions — clouds tend to "mask" infra-red radiation — and the degree of humidity. The initial AIM-9B was uncooled. As a result, target acquisition and lock-on was extremely difficult, as experienced in combat by he US services. From the AIM-9D model on, the infra red detector was cooled. The US Navy and US Marine Corps used 6 litre nitrogen bottles in the LAU-7 launch rail, providing for 2.5 hours of seeker cool down, reflecting the primary fleet defence requirement. The US Air Force opted for Peltier thermoelectric cooling, allowing unlimited cooling time while the missile was on the launch rail (and – of course – power was applied). Later models use an internal Argon cooling system, eliminating the need for use of nitrogen bottles or internal bottles. The seeker head is cooled with specially treated air (officially the expensive Argon should be used instead). The air is filtered and de-hydrated, then compressed to 345 bar (5,000 psi) and stored in a small stainless-steel bottle, which is placed near the missile foreplanes. The de-hydration process is necessary in order to prevent the head from being frozen. A small amount of compressed air is continuously being expanded, causing a small stream of air, cooling the seeker head. Within two minutes the seeker head temperature is at the required level. The initial cooling is taking up most of the air; maintaining the temperature at the required level is taking up relatively less air. Nevertheless, the time the seeker head temperature can be maintained at the required level is limited. During long missions, the amount of compressed air available must be used wisely. Therefore, in most cases the missiles will only be activated when they actually will be used. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 3 novembre 2016 Share Posté(e) le 3 novembre 2016 Il y a 10 heures, DEFA550 a dit : 1) Le refroidissement du capteur du MICA IR repose sur un système cryogénique Stirling miniature embarqué, sans rechargement ni entretien. 2) La limite de fonctionnement (= durée d'utilisation maximale avant retour chez l'industriel) de cet autodirecteur IR est de 500 heures de vol. Le temps de fonctionnement réel de telle ou telle partie/fonction n'est pas suivi et n'est donc pas une limite. Il en résulte que l'autodirecteur du MICA IR peut théoriquement fonctionner de manière optimale pendant 500 heures. Eh ben.... Je ne m'attendais pas à ca. 1) comment est alimenté ce systeme Stirling ? via une alim électrique du porteur? 2) J'avais lu que la durée de vie sous l'aile du MICA était initialement de 50 heures. Ca devait être amélioré car ca faisait peu. Mais de là à aller à 500 heures et en plus avec autodirecteur allumé.... bref ca m'en bouche un coin. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 3 novembre 2016 Share Posté(e) le 3 novembre 2016 (modifié) il y a 13 minutes, Bon Plan a dit : Eh ben.... Je ne m'attendais pas à ca. 1) comment est alimenté ce systeme Stirling ? via une alim électrique du porteur? 2) J'avais lu que la durée de vie sous l'aile du MICA était initialement de 50 heures. Ca devait être amélioré car ca faisait peu. Mais de là à aller à 500 heures et en plus avec autodirecteur allumé.... bref ca m'en bouche un coin. Va voir sur le site de SOFRADIR tu trouveras toutes leurs réalisations avec des peltiers. Modifié le 3 novembre 2016 par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ponto Combo Posté(e) le 3 novembre 2016 Share Posté(e) le 3 novembre 2016 il y a 10 minutes, Bon Plan a dit : Eh ben.... Je ne m'attendais pas à ca. 1) comment est alimenté ce systeme Stirling ? via une alim électrique du porteur? 2) J'avais lu que la durée de vie sous l'aile du MICA était initialement de 50 heures. Ca devait être amélioré car ca faisait peu. Mais de là à aller à 500 heures et en plus avec autodirecteur allumé.... bref ca m'en bouche un coin. C'est un moteur électrique qui entraine un piston. Celui-ci génère une onde de pression de l'hélium contenu dans le système. Cela fait déplacer un autre piston en matière poreuse dans le doigt froid du cryostat qui est alternativement poussé puis aspirer. Au moment de l'aspiration, il y a détente de l'hélium à l'extrémité du doigt froid qui permet d'obtenir une température de l'ordre de 77K. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 3 novembre 2016 Share Posté(e) le 3 novembre 2016 Il y a 1 heure, Bon Plan a dit : 1) comment est alimenté ce systeme Stirling ? via une alim électrique du porteur? Tant que le missile est sur rail il est alimenté par l'avion (généralité applicable à tous les missiles). Après tir, il est alimenté par sa propre batterie (amorcée/mise en oeuvre au moment du tir) dont l'autonomie dépasse largement celle du missile. Quant aux 500 heures, c'est pour l'autodirecteur IR seul (identique sur missiles BDG et d'entraînement). L'autodirecteur EM et le propulseur ont leurs limites propres. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 3 novembre 2016 Share Posté(e) le 3 novembre 2016 il y a 34 minutes, DEFA550 a dit : Après tir, il est alimenté par sa propre batterie (amorcée/mise en oeuvre au moment du tir) dont l'autonomie dépasse largement celle du missile. D'ailleurs, s'agit il réellement de batteries, ou alors de dispositifs tels que les piles thermiques ? Les secondes conservent leur potentiel de charge intact pendant des années, tant que la réaction chimique nécessaire à la production d'électricité n'a pas été amorcée - comme elle pourrait l'être par la commande de tir de la munition. C'est donc un avantage certain pour des missiles - même si la production de chaleur qui accompagne cette réaction peut nécessiter un confinement vis à vis du refroidissement de l'autodirecteur, d'une part, et du pain de poudre de la propulsion d'autre part. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 3 novembre 2016 Share Posté(e) le 3 novembre 2016 (modifié) Le "amorcée" n'était pas là par hasard Modifié le 3 novembre 2016 par DEFA550 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 4 novembre 2016 Share Posté(e) le 4 novembre 2016 http://www.defensenews.com/articles/french-pilot-training-suffers-at-expense-of-rafale-sales-support laformation des pilotes de rafale souffre Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 4 novembre 2016 Share Posté(e) le 4 novembre 2016 Il y a 1 heure, mgtstrategy a dit : http://www.defensenews.com/articles/french-pilot-training-suffers-at-expense-of-rafale-sales-support laformation des pilotes de rafale souffre C'est une saine souffrance.... pour la meilleure cause qui soit ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 4 novembre 2016 Share Posté(e) le 4 novembre 2016 Les OPEX constituent également un soucis pour la formation des jeunes mais çà c'est un peu plus gênant et emm... à gèrer en ces temps de misère. Antre soucis aussi le MCO mais là on aborde vraiment les sujets qui fâchent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 4 novembre 2016 Share Posté(e) le 4 novembre 2016 (modifié) French Air Force Evaluating Smart Bomb Requirements http://www.defensenews.com/articles/french-air-force-evaluating-smart-bomb-requirements Modifié le 4 novembre 2016 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kovy Posté(e) le 5 novembre 2016 Share Posté(e) le 5 novembre 2016 Le 11/1/2016 à 00:22, DEFA550 a dit : Je ne sais pas qui fabrique quoi, mais à priori Dassault ne fabrique rien, MBDA fournit les lance-missiles, Alkan et Rafaut se partagent les dispositifs d'emport (pylônes, adaptateurs et déclencheurs/éjecteurs). Rafaut fabrique le PU-708 monté en point 2 de voilure (http://www.rafaut.fr/wp/portfolio-items/pu708/) mais aussi le PU de fuselage spécifique à l'emport du pod recco-NG, pour le compte de Thales (http://www.rafaut.fr/wp/portfolio-items/pod-reco/?portfolioID=4183). A partir de là on peut penser qu'Alkan fabrique les autres pylônes. Pour le pylône du point 1 de voilure (celui qui est utilisé pour les RPL) je viens de retrouver cette photo dans mes archives (2006) : Serait-ce donc un pylône "PE 156A02" fabriqué par Dassault aviation ? Que signifie la mention BIAS N°1040 ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. DEFA550 Posté(e) le 5 novembre 2016 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 5 novembre 2016 Il y a 4 heures, Kovy a dit : Pour le pylône du point 1 de voilure (celui qui est utilisé pour les RPL) je viens de retrouver cette photo dans mes archives (2006) : Serait-ce donc un pylône "PE 156A02" fabriqué par Dassault aviation ? Que signifie la mention BIAS N°1040 ? En tout cas Dassault endosse la paternité du truc. F6117 est leur "code fabriquant" et la référence renvoie à la nomenclature OTAN 1560-14-5345377 avec une référence alternative en CRB201C3 (Dassault, elle aussi). Quant au BIAS, il s'agit probablement d'un boitier d'interface intégré au pylône, dont le numéro de série est reporté sur la plaque signalétique de ce pylône pour en faciliter le suivi. 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ponto Combo Posté(e) le 7 novembre 2016 Share Posté(e) le 7 novembre 2016 Quelques images de l'OSF et Damocles à partir de 0.43 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rufus Shinra Posté(e) le 7 novembre 2016 Share Posté(e) le 7 novembre 2016 Je crois bien que c'est la première fois que je vois un impact de SCALP. Et c'est de la jolie vidéo, pas du machin US qui sature brusquement lors du boum. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 7 novembre 2016 Share Posté(e) le 7 novembre 2016 La base terrestre c'est H5 ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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