R force Posté(e) le 24 juillet 2023 Share Posté(e) le 24 juillet 2023 il y a une heure, bubzy a dit : De ce que j'ai compris, le missile accroche sa cible avant le lancement avec son propre autodirecteur. Partant de ce principe, il n'y a pas de liaison à avoir. Ca c'est le cas d'emploi lorsqu'il est intégré sous Mirage 2000D, qui n'a pas un radar air air décent. Sous Rafale le MICA peut être tiré en BVR sur point d'interception prévisionnel, rafraichi en cours de route via LAM. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) le 24 juillet 2023 Share Posté(e) le 24 juillet 2023 il y a une heure, mgtstrategy a dit : un post de @Kovyet de @TMor dans la meme page (2085), c'etait pas arrivé depuis lgt.... Champagne pr feter ça ! En parlant de champagne tu m'en dois une ! (Inde avant Irak) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
R force Posté(e) le 24 juillet 2023 Share Posté(e) le 24 juillet 2023 il y a 2 minutes, bubzy a dit : En parlant de champagne tu m'en dois une ! (Inde avant Irak) aucun contrat n'a encore été signé, et l'avance encore moins virée.... donc.... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) le 24 juillet 2023 Share Posté(e) le 24 juillet 2023 il y a 7 minutes, R force a dit : aucun contrat n'a encore été signé, et l'avance encore moins virée.... donc.... Annonce officielle d'abord, puis ensuite contrat, puis versement de l'accompte, et enfin livraison. Tout dépend où on veut mettre le curseur. Tout le monde savait qu'un contrat ne serait pas signé. mais c'est la première annonce officielle d'un pays DEJA client qui sélectionne donc le Rafale au détriment du Super Hornet et engage la phase de négociations. L'Irak ? Rien de tout ça. C'est pas un client, au mieux un prospect. On a droit à quelques rumeurs mais pas plus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 24 juillet 2023 Share Posté(e) le 24 juillet 2023 il y a 44 minutes, R force a dit : aucun contrat n'a encore été signé, et l'avance encore moins virée.... donc.... Ce ne serait pas la première fois que l'Inde se ferait doubler entre l'annonce du contrat et la livraison des avions. Bon, ça ressemble quand même à une excuse de mauvais perdant... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kovy Posté(e) le 24 juillet 2023 Share Posté(e) le 24 juillet 2023 Il y a 4 heures, bubzy a dit : De ce que j'ai compris, le missile accroche sa cible avant le lancement avec son propre autodirecteur. Partant de ce principe, il n'y a pas de liaison à avoir. Avant ou après, suivant le mode de tir. Les deux options sont possibles. le Mica IR à la même antenne LAM que le EM. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LePetitCharles Posté(e) le 24 juillet 2023 Share Posté(e) le 24 juillet 2023 Il y a 6 heures, Patrick a dit : Les deux sortes de munitions "blanches" sont émiriennes. La première est un dérivé de la gamme Al Tariq, elle même issue de l'Umbani sud-africaine. La seconde une sorte de JDAM ITAR free, de la gamme Halcon. Elles sont d'ores et déjà validées sous Rafale ? Ou est ce que cela reste a faire dans le cadre du mega contrat émirati ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 24 juillet 2023 Share Posté(e) le 24 juillet 2023 5 hours ago, bubzy said: On a droit à quelques rumeurs mais pas plus. As tu seulement le droit d'en savoir? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 24 juillet 2023 Share Posté(e) le 24 juillet 2023 https://www.ft.com/content/28753610-444d-46b6-9e39-abdf7d6c83ee?shareType=nongift Article du FT sur le Fafale Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 24 juillet 2023 Share Posté(e) le 24 juillet 2023 il y a 46 minutes, LePetitCharles a dit : Elles sont d'ores et déjà validées sous Rafale ? Ou est ce que cela reste a faire dans le cadre du mega contrat émirati ? Je n'en sais rien mais oui c'est dans le cadre du contrat émirati évidemment. Pour la Halcon P32 (https://products-webfiles.edgegroup.ae/s3fs-public/2022-10/p31-32-1.pdf) je pense que ce sera assez aisé parce que c'est essentiellement une Mk82 qui, elle, est intégrée sous Rafale, je parle bien de la version à chute libre sans guidage GPS ni de la GBU-12. Une des raisons pour lesquelles je trouve étrange que la JDAM ne soit pas encore disponible sous Rafale d'ailleurs. Pour la Al Tariq S qui est une version produite sous licence de l'Umbani sud-africaine (https://products-webfiles.edgegroup.ae/s3fs-public/2022-12/al-tariq-marketing-flyer-en-v3.pdf) je pense que ce sera proche de l'AASM puisque ça reste là encore un corps de bombe mk82 encapsulé dans une cellule préservant l'aérodynamique de l'ensemble corps de bombe + guidage + propulsion. Tu noteras cependant que ce n'est pas la version LR à voilure déployable qui elle est intégrée au Mirage 2000-9 émirien, et même aux Mirage 2000 EM/BM égyptiens (c'est d'ailleurs a priori avec ça qu'ils ont tapé la base de Al Watiya utilisée par les turcs en 2020. https://www.reuters.com/article/us-libya-security-idUSKBN24608H même si on a longtemps cru que c'était le couple Rafale + AASM qui avait fait le taf). Et pour radoter encore, je suis toujours aussi déçu que Safran n'ait pas intégré de kit de voilure déployable de ce genre en sus de l'empennage de l'AASM, pour lui permettre d'atteindre les mêmes performances (120km) que l'Umbani - Al Tariq LR. Mais bon, je ne connais pas toute l'affaire. Noter que les deux entités distinctes produisant ces deux armements et leurs variantes, font malgré tout partie du même conglomérat émirien, à savoir EDGE Group. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) le 24 juillet 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 24 juillet 2023 il y a 45 minutes, mgtstrategy a dit : https://www.ft.com/content/28753610-444d-46b6-9e39-abdf7d6c83ee?shareType=nongift Article du FT sur le Fafale Tout le monde n'est pas abonné au FT, vieux panda farceur! ...Bon moi non plus, mais moi je suis gentil (des fois) Capture d'écran: Révélation Transcription de l'article: Révélation How the sky became the limit for France’s Rafale jet Sales of the twin-engined jet have grown thanks to tougher US rules diverting defence orders elsewhere The roar of France’s Rafale fighter jets is a fixture of Bastille Day flyovers in Paris. But this year’s show included three that belong to the Indian air force, a tribute to war veterans and a nod to defence deals between the two countries that include a significant Indian order of the jets. For manufacturer Dassault Aviation, it is the latest in a series of wins. Foreign sales of the Rafale have been on the up since 2015 and in recent tenders they have outsold all competitors bar the F35 made by US rival Lockheed Martin. In the latest deal, the Indian navy chose 26 Rafale jets over the Boeing-made Super Hornet, a star attraction in the latest Top Gun film. In 2016, the Indian air force had already bought 36 Rafales. The French government, the ultimate broker of these deals, believes this repeat endorsement will spark others. “This consolidates India’s position as a major partner in what we can call the Rafale club of countries,” a French official said. “India, Egypt and the United Arab Emirates — it’s a real group now and a political axis on which we can work.” It was not always so. As a nuclear nation, France has a long-running policy of self-reliance: manufacturing its own planes capable of carrying nuclear warheads. The Rafale was the successor to Dassault’s Mirage and was first adopted by the French navy in 2004. Indian Air Force Rafale fighter jets line the runway © Dibyangshu Sarkar/AFP via Getty Images But overseas, its fortunes took off much later, helped by geopolitical tailwinds. These included tougher US defence export rules, which diverted a number of orders from Middle East states elsewhere. The Rafale is also expected to benefit from countries turning away from Russian suppliers because of the Ukraine war. The US and Russia still dominate the industry but orders for the Rafale reached a record €21bn last year, and France increased its share of world arms sales to 11 per cent in 2022, from 7 per cent previously. “Some countries do not want to buy Russian anymore, but also do not want American [jets],” Dassault Aviation chief executive Éric Trappier told journalists in June. “So France can be that country that traditionally is a little bit more neutral.” A combination of diversification, French diplomacy and the Rafale’s versatility are expected to drive more sales. In the latest Indian deal, certain specifications of the French jet were key according to people close to the talks, including its smaller size, which makes it a better fit for the lifts in India’s aircraft carriers. According to French newspaper Les Echos, the whole deal, including associated missiles, was worth at least €3bn to €4bn. ---------- Dassault Aviation is the main pillar of Dassault, a French industrial conglomerate that is still controlled by the descendants of aeroplane inventor Marcel Dassault nearly 100 years after he started the business. The parent group also wields influence through its ownership of Le Figaro newspaper. Éric Trappier, Dassault Aviation chief executive © Thomas Samson/AFP via Getty Images The aviation business has the same challenges that are common across the industry — difficulties finding staff and supply chain disruptions. Its revenues have doubled since 2014 and it currently has a market capitalisation of nearly €14bn, but shares slid last week after it warned in half-year results that supply problems were getting worse and affecting production. Nonetheless, orders for the Rafale now dwarf those for the company’s Falcon private jets. The Rafale takes three years to assemble and last year, 14 were delivered. Analysts say technical improvements have been made over the years without a huge rise in price, which is estimated at between €80mn and €100mn. The eventual aim it to make at least three deliveries a month, by increasing capacity at Dassault Aviation’s seven French factories. Lockheed, by contrast is aiming to produce 156 F-35s this year. To date, Rafale deliveries and orders globally are just shy of 500, about half the number of F-35s that will have been delivered by the end of 2023. It is also a lower tally than that of the Super Hornet and of Lockheed’s older F-16s, but exceeds Sweden’s Gripen and is catching up with the 680-plus sales of the Eurofighter Typhoon backed by the UK, Germany, Italy and Spain. ---------- The outlook for global sales of the French twin-engined jet improved in the middle of the last decade when Washington hesitated to approve some F-35 exports and demanded strict conditions on how US fighter planes and associated weapons could be deployed. In 2015, Egypt became the Rafale’s first foreign client. Dassault capitalised in particular on relationships with countries that were once Mirage clients, including Egypt, Qatar and Greece. And like French presidents before him, Emmanuel Macron lent his efforts to selling the planes. In Dubai in 2021, he celebrated a record order for 80 Rafales from the UAE. The going has been more difficult in Europe despite recent increases in defence budgets. It is partly a reflection of deep-seated Atlanticism: most of the region views the US as the guarantor of European security. Last year Germany, which stockpiles US nuclear weapons under a Nato weapons-sharing agreement, ordered F-35 jets. One French air force pilot at the Paris air Show said the Rafale was much more versatile than the older Mirages © Geoffroy van der Hasselt/AFP via Getty Images That US allegiance has at times rankled. In a 2018 interview with Belgian newspaper Le Soir, Trappier described himself as a “reverse Donald Trump”, saying he believed Europe was “for the Europeans”. He had been trying to persuade the Belgian government to buy Rafales. Lockheed’s best-seller won out. In the longer run, analysts said it would always be hard to compete with the US, despite Europe wide collaboration on the next generation of military aircraft. Dassault, along with Airbus, is working on the Future Combat Air System, backed by France and Germany. Britain, Italy and Japan are collaborating on a fighter jet programme called Tempest. These are supposed to start replacing Rafales and Eurofighters in the late 2030s to 40s onwards. “Their investments and infrastructure have been far outpaced by the US,” said Tristan Saeur, a defence analyst at consultancy GlobalData. But there should be more wins for the Rafale before then. Trappier has said there is a potential contract in Colombia and Serbia has acknowledged looking at the jets to replace its Soviet-era MiG-29s. At the Paris air show in June, the people who know the jets best were out in force. As F-35s and Rafales blasted overhead, one French air force pilot, said the Rafale, used in assault campaigns, reconnaissance missions and across land and sea, was much more versatile than the older Mirages. “There’s just no comparison. The Rafale can be sent on so many different missions,” he said. “As a pilot, that’s extremely rewarding.” Additional reporting by Leila Abboud Traduction DeepL: Révélation Comment le ciel est devenu la limite de l'avion français Rafale Les ventes du biréacteur ont augmenté grâce au durcissement de la réglementation américaine, qui a détourné les commandes de défense vers d'autres pays. Le rugissement des avions de combat français Rafale est un élément incontournable des survols de Paris le jour de la Bastille. Mais cette année, l'exposition en comprenait trois qui appartiennent à l'armée de l'air indienne, en hommage aux vétérans de la guerre et en clin d'œil aux accords de défense entre les deux pays, qui comprennent une importante commande indienne de ces avions. Pour le constructeur Dassault Aviation, il s'agit de la dernière d'une série de victoires. Les ventes à l'étranger du Rafale sont en hausse depuis 2015 et, lors d'appels d'offres récents, elles ont dépassé celles de tous les concurrents, à l'exception du F35 fabriqué par le rival américain Lockheed Martin. Lors du dernier appel d'offres, la marine indienne a choisi 26 Rafale plutôt que le Super Hornet de Boeing, vedette du dernier film Top Gun. En 2016, l'armée de l'air indienne avait déjà acheté 36 Rafale. Le gouvernement français, qui est l'intermédiaire ultime de ces contrats, pense que ce nouvel appui en appellera d'autres. "Cela consolide la position de l'Inde en tant que partenaire majeur dans ce que l'on peut appeler le club des pays Rafale", a déclaré un fonctionnaire français. "L'Inde, l'Égypte et les Émirats arabes unis constituent désormais un véritable groupe et un axe politique sur lequel nous pouvons travailler. Il n'en a pas toujours été ainsi. En tant que nation nucléaire, la France mène depuis longtemps une politique d'autosuffisance : elle fabrique ses propres avions capables de transporter des ogives nucléaires. Le Rafale, successeur du Mirage de Dassault, a été adopté pour la première fois par la marine française en 2004. Des avions de combat Rafale de l'armée de l'air indienne alignés sur la piste © Dibyangshu Sarkar/AFP via Getty Images Mais à l'étranger, sa fortune a décollé bien plus tard, aidée par des vents contraires géopolitiques. Il s'agit notamment du durcissement des règles américaines en matière d'exportation de matériel de défense, qui a détourné un certain nombre de commandes des États du Moyen-Orient vers d'autres pays. Le Rafale devrait également bénéficier du fait que les pays se détournent des fournisseurs russes en raison de la guerre en Ukraine. Les États-Unis et la Russie dominent toujours le secteur, mais les commandes de Rafale ont atteint le chiffre record de 21 milliards d'euros l'année dernière, et la France a augmenté sa part des ventes d'armes dans le monde pour atteindre 11 % en 2022, contre 7 % auparavant. "Certains pays ne veulent plus acheter d'avions russes, mais ne veulent pas non plus d'avions américains", a déclaré Éric Trappier, directeur général de Dassault Aviation, à des journalistes en juin. "La France peut donc être ce pays qui, traditionnellement, est un peu plus neutre. La diversification, la diplomatie française et la polyvalence du Rafale devraient permettre d'accroître les ventes. Dans le dernier contrat indien, certaines spécifications du jet français étaient essentielles, selon des personnes proches des négociations, notamment sa taille plus petite, qui lui permet de mieux s'adapter aux ascenseurs des porte-avions indiens. Selon le journal français Les Échos, l'ensemble du contrat, y compris les missiles associés, s'élève au moins à 3 ou 4 milliards d'euros. ---------- Dassault Aviation est le principal pilier de Dassault, un conglomérat industriel français toujours contrôlé par les descendants de l'inventeur d'avions Marcel Dassault, près de 100 ans après la création de l'entreprise. Le groupe mère exerce également une influence par l'intermédiaire de sa propriété du journal Le Figaro. Éric Trappier, directeur général de Dassault Aviation © Thomas Samson/AFP via Getty Images Le secteur de l'aviation est confronté aux mêmes défis que l'ensemble de l'industrie : difficultés à trouver du personnel et perturbations de la chaîne d'approvisionnement. Ses revenus ont doublé depuis 2014 et sa capitalisation boursière s'élève actuellement à près de 14 milliards d'euros, mais les actions ont chuté la semaine dernière après que l'entreprise a averti, dans ses résultats semestriels, que les problèmes d'approvisionnement s'aggravaient et affectaient la production.Néanmoins, les commandes de Rafale éclipsent désormais celles des jets privés Falcon de la société.L'assemblage du Rafale prend trois ans et l'année dernière, 14 avions ont été livrés. Selon les analystes, des améliorations techniques ont été apportées au fil des ans sans que le prix, estimé entre 80 et 100 millions d'euros, n'augmente considérablement.L'objectif final est d'effectuer au moins trois livraisons par mois, en augmentant la capacité des sept usines françaises de Dassault Aviation.Lockheed, en revanche, vise à produire 156 F-35 cette année. À ce jour, les livraisons et les commandes de Rafale dans le monde s'élèvent à un peu moins de 500, soit environ la moitié du nombre de F-35 qui auront été livrés d'ici à la fin de l'année 2023. Ce chiffre est également inférieur à celui du Super Hornet et des anciens F-16 de Lockheed, mais il dépasse celui du Gripen suédois et rattrape les plus de 680 ventes de l'Eurofighter Typhoon soutenues par le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne. ---------- Les perspectives de ventes mondiales du biréacteur français se sont améliorées au milieu de la dernière décennie, lorsque Washington a hésité à approuver certaines exportations de F-35 et a exigé des conditions strictes sur la manière dont les avions de combat américains et les armes associées pourraient être déployés. En 2015, l'Égypte est devenue le premier client étranger du Rafale. Dassault a capitalisé en particulier sur les relations avec les pays qui étaient autrefois clients du Mirage, notamment l'Égypte, le Qatar et la Grèce. Et comme les présidents français avant lui, Emmanuel Macron s'est investi dans la vente des avions.À Dubaï en 2021, il a célébré une commande record de 80 Rafale de la part des Émirats arabes unis. Les choses ont été plus difficiles en Europe, malgré les récentes augmentations des budgets de défense. C'est en partie le reflet d'un atlantisme profondément ancré : la plupart des pays de la région considèrent les États-Unis comme les garants de la sécurité européenne. L'année dernière, l'Allemagne, qui stocke des armes nucléaires américaines dans le cadre d'un accord de partage des armes de l'OTAN, a commandé des avions F-35. Un pilote de l'armée de l'air française présent au salon de l'aéronautique de Paris a déclaré que le Rafale était beaucoup plus polyvalent que les anciens Mirages © Geoffroy van der Hasselt/AFP via Getty Images Cette allégeance aux États-Unis a parfois suscité l'irritation. Dans une interview accordée en 2018 au journal belge Le Soir, Trappier s'est décrit comme un "Donald Trump inversé", affirmant qu'il pensait que l'Europe était "pour les Européens". Il avait tenté de persuader le gouvernement belge d'acheter des Rafales. Le best-seller de Lockheed l'a emporté. À plus long terme, les analystes estiment qu'il sera toujours difficile de rivaliser avec les États-Unis, malgré la collaboration de l'Europe sur la prochaine génération d'avions militaires. Dassault, avec Airbus, travaille sur le Future Combat Air System, soutenu par la France et l'Allemagne. La Grande-Bretagne, l'Italie et le Japon collaborent à un programme d'avions de combat appelé Tempest. Ces avions sont censés commencer à remplacer les Rafales et les Eurofighters à partir de la fin des années 2030 ou des années 40. "Leurs investissements et leurs infrastructures ont été largement dépassés par ceux des États-Unis", a déclaré Tristan Saeur, analyste en matière de défense au cabinet de conseil GlobalData. Mais le Rafale devrait connaître d'autres succès d'ici là. M. Trappier a déclaré qu'il existait un contrat potentiel en Colombie et la Serbie a reconnu qu'elle envisageait de remplacer ses MiG-29 de l'ère soviétique par des avions à réaction. Lors du salon aéronautique de Paris en juin, les personnes qui connaissent le mieux les avions à réaction étaient présentes en force.Alors que les F-35 et les Rafale passaient au-dessus de sa tête, un pilote de l'armée de l'air française a déclaré que le Rafale, utilisé dans les campagnes d'assaut, les missions de reconnaissance sur terre et sur mer, était beaucoup plus polyvalent que les anciens Mirages."Il n'y a aucune comparaison possible. Le Rafale peut être envoyé dans tellement de missions différentes", a-t-il déclaré."En tant que pilote, c'est extrêmement gratifiant. Reportage complémentaire de Leila Abboud 1 9 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) le 25 juillet 2023 Share Posté(e) le 25 juillet 2023 Il y a 5 heures, mgtstrategy a dit : As tu seulement le droit d'en savoir? Mauvais perdant va ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) le 25 juillet 2023 Share Posté(e) le 25 juillet 2023 Il y a 5 heures, mgtstrategy a dit : https://www.ft.com/content/28753610-444d-46b6-9e39-abdf7d6c83ee?shareType=nongift Article du FT sur le Fafale Je n'ai pas d'abonnement, même pas accès au chapeau pour savoir de quoi ça parle Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ogo Posté(e) le 25 juillet 2023 Share Posté(e) le 25 juillet 2023 Il y a 5 heures, bubzy a dit : Je n'ai pas d'abonnement, même pas accès au chapeau pour savoir de quoi ça parle Citation The roar of France’s Rafale fighter jets is a fixture of Bastille Day flyovers in Paris. But this year’s show included three that belong to the Indian air force, a tribute to war veterans and a nod to defence deals between the two countries that include a significant Indian order of the jets. For manufacturer Dassault Aviation, it is the latest in a series of wins. Foreign sales of the Rafale have been on the up since 2015 and in recent tenders they have outsold all competitors bar the F35 made by US rival Lockheed Martin. In the latest deal, the Indian navy chose 26 Rafale jets over the Boeing-made Super Hornet, a star attraction in the latest Top Gun film. In 2016, the Indian air force had already bought 36 Rafales. The French government, the ultimate broker of these deals, believes this repeat endorsement will spark others. “This consolidates India’s position as a major partner in what we can call the Rafale club of countries,” a French official said. “India, Egypt and the United Arab Emirates — it’s a real group now and a political axis on which we can work.” It was not always so. As a nuclear nation, France has a long-running policy of self-reliance: manufacturing its own planes capable of carrying nuclear warheads. The Rafale was the successor to Dassault’s Mirage and was first adopted by the French navy in 2004. But overseas, its fortunes took off much later, helped by geopolitical tailwinds. These included tougher US defence export rules, which diverted a number of orders from Middle East states elsewhere. The Rafale is also expected to benefit from countries turning away from Russian suppliers because of the Ukraine war. The US and Russia still dominate the industry but orders for the Rafale reached a record €21bn last year, and France increased its share of world arms sales to 11 per cent in 2022, from 7 per cent previously. “Some countries do not want to buy Russian anymore, but also do not want American [jets],” Dassault Aviation chief executive Éric Trappier told journalists in June. “So France can be that country that traditionally is a little bit more neutral.” A combination of diversification, French diplomacy and the Rafale’s versatility are expected to drive more sales. In the latest Indian deal, certain specifications of the French jet were key according to people close to the talks, including its smaller size, which makes it a better fit for the lifts in India’s aircraft carriers. According to French newspaper Les Echos, the whole deal, including associated missiles, was worth at least €3bn to €4bn. Dassault Aviation is the main pillar of Dassault, a French industrial conglomerate that is still controlled by the descendants of aeroplane inventor Marcel Dassault nearly 100 years after he started the business. The parent group also wields influence through its ownership of Le Figaro newspaper. The aviation business has the same challenges that are common across the industry — difficulties finding staff and supply chain disruptions. Its revenues have doubled since 2014 and it currently has a market capitalisation of nearly €14bn, but shares slid last week after it warned in half-year results that supply problems were getting worse and affecting production. Nonetheless, orders for the Rafale now dwarf those for the company’s Falcon private jets. The Rafale takes three years to assemble and last year, 14 were delivered. Analysts say technical improvements have been made over the years without a huge rise in price, which is estimated at between €80mn and €100mn. The eventual aim it to make at least three deliveries a month, by increasing capacity at Dassault Aviation’s seven French factories. Lockheed, by contrast is aiming to produce 156 F-35s this year. To date, Rafale deliveries and orders globally are just shy of 500, about half the number of F-35s that will have been delivered by the end of 2023. It is also a lower tally than that of the Super Hornet and of Lockheed’s older F-16s, but exceeds Sweden’s Gripen and is catching up with the 680-plus sales of the Eurofighter Typhoon backed by the UK, Germany, Italy and Spain. The outlook for global sales of the French twin-engined jet improved in the middle of the last decade when Washington hesitated to approve some F-35 exports and demanded strict conditions on how US fighter planes and associated weapons could be deployed. In 2015, Egypt became the Rafale’s first foreign client. Dassault capitalised in particular on relationships with countries that were once Mirage clients, including Egypt, Qatar and Greece. And like French presidents before him, Emmanuel Macron lent his efforts to selling the planes. In Dubai in 2021, he celebrated a record order for 80 Rafales from the UAE. The going has been more difficult in Europe despite recent increases in defence budgets. It is partly a reflection of deep-seated Atlanticism: most of the region views the US as the guarantor of European security. Last year Germany, which stockpiles US nuclear weapons under a Nato weapons-sharing agreement, ordered F-35 jets. One French air force pilot at the Paris air Show said the Rafale was much more versatile than the older Mirages That US allegiance has at times rankled. In a 2018 interview with Belgian newspaper Le Soir, Trappier described himself as a “reverse Donald Trump”, saying he believed Europe was “for the Europeans”. He had been trying to persuade the Belgian government to buy Rafales. Lockheed’s best-seller won out. In the longer run, analysts said it would always be hard to compete with the US, despite Europe wide collaboration on the next generation of military aircraft. Dassault, along with Airbus, is working on the Future Combat Air System, backed by France and Germany. Britain, Italy and Japan are collaborating on a fighter jet programme called Tempest. These are supposed to start replacing Rafales and Eurofighters in the late 2030s to 40s onwards. “Their investments and infrastructure have been far outpaced by the US,” said Tristan Saeur, a defence analyst at consultancy GlobalData. But there should be more wins for the Rafale before then. Trappier has said there is a potential contract in Colombia and Serbia has acknowledged looking at the jets to replace its Soviet-era MiG-29s. At the Paris air show in June, the people who know the jets best were out in force. As F-35s and Rafales blasted overhead, one French air force pilot, said the Rafale, used in assault campaigns, reconnaissance missions and across land and sea, was much more versatile than the older Mirages. “There’s just no comparison. The Rafale can be sent on so many different missions,” he said. “As a pilot, that’s extremely rewarding.” Additional reporting by Leila Abboud 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) le 25 juillet 2023 Share Posté(e) le 25 juillet 2023 il y a 17 minutes, ogo a dit : Merci beaucoup. Ben c'est plutôt pas mal pour un article très général. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PolluxDeltaSeven Posté(e) le 25 juillet 2023 Share Posté(e) le 25 juillet 2023 Il y a 18 heures, FATac a dit : Il me semble pourtant bien que le MICA-IR dispose de la capacité LOAL (Lock-On After Launch). Yep. Il peut même être tiré par dessus l'épaule, donc ça implique forcément du LOAL. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 25 juillet 2023 Share Posté(e) le 25 juillet 2023 1 hour ago, bubzy said: Merci beaucoup. Ben c'est plutôt pas mal pour un article très général. oui, mais pr une fois qu'on se fait pas cracher dessus par le AUKUS... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) le 25 juillet 2023 Share Posté(e) le 25 juillet 2023 il y a 7 minutes, mgtstrategy a dit : oui, mais pr une fois qu'on se fait pas cracher dessus par le AUKUS... Je sais pas quel genre d'expérience tu as dans la vie, mais contrairement aux chiens, les humains évitent de se renifler le derrière... ça évite ce genre d'expériences traumatisantes. Révélation C'est dégueu, mais... Vous l'avez ? il y a 36 minutes, PolluxDeltaSeven a dit : Yep. Il peut même être tiré par dessus l'épaule, donc ça implique forcément du LOAL. Tant que c'est pas par dessus la jambe...C'est qu'ils nous coûtent cher nos MICA ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
R force Posté(e) le 25 juillet 2023 Share Posté(e) le 25 juillet 2023 Il y a 1 heure, mgtstrategy a dit : oui, mais pr une fois qu'on se fait pas cracher dessus par le AUKUS... Tu n'auras ainsi pas mal AUKUS. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PolluxDeltaSeven Posté(e) le 25 juillet 2023 Share Posté(e) le 25 juillet 2023 L'humour gras, certainement pas sur ce fil ! 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 25 juillet 2023 Share Posté(e) le 25 juillet 2023 Il y a 8 heures, bubzy a dit : Je n'ai pas d'abonnement, même pas accès au chapeau pour savoir de quoi ça parle ...Tu étais pas réveillé quand tu as posté ce message au point de ne pas voir ce qu'il y a 2 messages au-dessus du tiens? 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. TMor Posté(e) le 26 juillet 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 26 juillet 2023 (modifié) Vu cette image sur X (Twitter) : Intéressante cette vue où côte à côte, on voit une image "TV" et l'autre qui ressemble à de l'IR. Dans le centre du cadre, on voit ces lignes en symétrie axiale qui ressemblent aux échelles qu'on voit dans les mires de tir au canon air-air pour aider à apprécier la distance de la cible. Modifié le 26 juillet 2023 par TMor J'ai vue des fautes de français, ça m'a donné envie de vomir. 3 5 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 26 juillet 2023 Share Posté(e) le 26 juillet 2023 il y a une heure, TMor a dit : Intéressante cette vue où côte-à-côte, on voit une image "TV" et l'autre qui ressemble à de l'IR. Déjà vu dans les vidéos promotionnelles pour la nacelle Talios. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ponto Combo Posté(e) le 26 juillet 2023 Share Posté(e) le 26 juillet 2023 Au passage ils font les essais sur 2000... 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 26 juillet 2023 Share Posté(e) le 26 juillet 2023 il y a 45 minutes, Patrick a dit : Déjà vu dans les vidéos promotionnelles pour la nacelle Talios. Merci, je n'y avais pas prêté attention. Ça a l'air pratique. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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