Ciders Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 (modifié) il y a 1 minute, wagdoox a dit : Dans le monde anglo saxon ou juste en france ? je ne pense pas que les americains s’inquietent de quoi que ce soit. Ils viennent de prendre une deroute monumentale en afga et prennent toujours plus de commandes alors les concequences … ensuite, il faut voir aussi comme les americains pensent les francais. Comme des laches et autre surender monkey a partir de là … L'avis du pouilleux texan de base ou de l'ahuri consanguin de Blackburn importe peu. C'est à haut niveau que ça se joue. Les Américains sont peut-être en pleine hubris et/ou délire stratégique... mais s'ils veulent peser contre la Chine, ils ont besoin de gras. Et ce ne sont les étiques armées britanniques avec leurs F-35 à crédit et les Australiens qui vont finir par louer des Irlandais pour armer leur flotte qui feront la différence. Se mettre à dos la France n'est en aucun cas une bonne nouvelle. Modifié le 16 septembre 2021 par Ciders Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 (modifié) il y a 8 minutes, Pierre_F a dit : Et tous les gens dans les coulisses aux US, au R.U et en Australie ont pouffé de rire ... Et avec celle ci ... ils se roulent par terre ! C'est un début. A écouter certains, il faudrait quitter l'OTAN, entrer dans le Pacte de Varsovie et torturer Clint Eastwood. Par contre... on ne peut pas laisser passser ça : Modifié le 16 septembre 2021 par Ciders 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lezard-vert Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 il y a 2 minutes, Ciders a dit : C'est un début. A écouter certains, il faudrait quitter l'OTAN, entrer dans le Pacte de Varsovie et torturer Clint Eastwood. pourquoi clint Eastwood ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 Quitter l'OTAN me parait de plus en plus sensé... D'une part c'est une excuse commode pour renoncer peu à peu à des pans de notre autonomie stratégique, d'autre part c'est nous mettre au service de gens qui ne nous veulent pas du bien. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 il y a 1 minute, Lezard-vert a dit : pourquoi clint Eastwood ? James Dean est indisponible. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Jésus Posté(e) le 16 septembre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 septembre 2021 (modifié) il y a une heure, Lezard-vert a dit : commençons par quitter le commandement intégré de l'OTAN comme l'avait fait le général et donnons nous de l'air avec cette organisation tournée vers la confrontation avec la Russie.et qui voudrait étendre sa zone de "chalandise" au pacifique. Pour le reste mettons les choses au point avec les pays trop atlantistes qui font tant de mal à l'Europe et sa défense. mais qui nous arrivent pas à la cheville quand au niveau de leur forces armées. Et donc ainsi on va vendre des sous-marin à tout le monde? C'est bien beau de vouloir pousser une gueulante, mais ça ne changera pas le monde.Ce n'est ni l'OTAN ni les pays trop "atlantistes" qui empêchent la France d'exister et ce n'est pas nous en sortant de l'OTAN (ou de son commandement) ou en faisant une mise au point avec ceux qu'on aimerait moins proche des américains qui allons tout chambouler. Tout cela c'est idéologique, c'est du symbolique et produira les effets inverses à ce qu'on imagine, c'est à dire une France qui ne sera pas plus forte, ni plus respectée, ni plus influente, une France qui s'opposera à ses anciens alliés et qui se fera manipulée par des pays, comme la Russie, qui cherchera à exploiter la situation pour avoir une brebis galeuse au milieu de l'Otan, un peu comme ils le font avec la Turquie. Il faut être intelligent et éviter de vouloir à tout prix du symbolique pour décharger sa rancoeur contre des alliés qu'on veut punir, comme s'ils devraient tout faire pour nous faire plaisir, comme si nous, on serait pas très actifs pour faire perdre par exemple le F-35 face à un Rafale. Le problème si les américains "gagnent", ce n'est pas parce que nous sommes trop proches d'eux, mais parce qu'ils sont puissants et c'est cette puissance qui s'impose naturellement et cela n'a rien de propre à eux, si la Suisse serait aussi puissante que les USA, ce serait pareil. Pour la France il faut donc devenir puissant, mais le faire de manière intelligente, c'est à dire de comprendre que cela ne se fera pas en un claquement de doigt ou en une sortie de l'OTAN, que ça prendra des années, que durant tout ce temps, vaut mieux se garder de se faire l'ennemi de nos alliés et la marionnette de pays qui feront semblant d'être nos nouveaux alliés alors qu'ils cherchent juste à amplifier l'animosité entre nous et nos anciens alliés. On doit se renforcer militairement, on se doit de devenir sérieux. Il n'y a rien d'incompatible à le faire dans l'OTAN, en tant qu'allié des américains, ils ne sont pas un frein à cela, cessons de faire semblant qu'on serait comme enfermé dans une boite avec des chaines autour. L'OTAN n'a pas guidé et ne guide pas nos OPEX, elle ne plafonne pas nos dépenses militaires, elle n'oblige pas à faire la guerre, qu'on le veuille ou non, l'OTAN reste une alliance défensive ou les états restent indépendants de faire ce qu'ils veulent et le cas de la Turquie est très typique. Il n'y a aucun outils dans l'OTAN qui empêche l'action unilatérale, si demain on veut envoyer 10 000 hommes sur la lune, l'Otan ne l'empêchera pas. Tout est une question de poids géostratégique, de poids militaire, de poids économique. L'influence se gagne en étant influent et en apportant des solutions, on ne changera pas l'influence américaine en quittant l'OTAN ou en rouspétant sur d'autres pays. Il faut peser sur ce que j'ai indiqué avant, la France a un poids géostratégique important et dans ce poids il y a son réseau d'alliance dont l'OTAN, il y a sa place centrale dans l'UE. La France à un poids militaire internationale, elle a un poids nucléaire, mais elle manque d'un outil conventionnel plus fort. Le poids économique de la France est négligeable. Je le redis, il faut être intelligent, nous ne sommes pas dans une mauvaise posture au point de vouloir agir bêtement sur des sorties symboliques conduisant à un isolement progressif. Il faut exploiter la situation qui permet justement de gagner tranquillement en puissance. Quand on se sera renforcé (et c'est une question politique) on sera en position d'influer, en position d'amener à une Europe de la défense une solution de remplacement des américains. Ce n'est pas en dégageant les américains qu'on va créer une Europe de la défense, on va au contraire diviser l'Europe et voir des pays préférer sortir de l'UE pour garder des liens avec les américains que d'être dans une Europe qui va dire aux pays de l'Est que la Russie n'est pas une menace ou qui va envoyer 400 soldats dans un effort collectif qui aura été débattu 8 mois. Modifié le 16 septembre 2021 par Jésus 1 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 il y a 27 minutes, Ciders a dit : L'avis du pouilleux texan de base ou de l'ahuri consanguin de Blackburn importe peu. C'est à haut niveau que ça se joue. Les Américains sont peut-être en pleine hubris et/ou délire stratégique... mais s'ils veulent peser contre la Chine, ils ont besoin de gras. Et ce ne sont les étiques armées britanniques avec leurs F-35 à crédit et les Australiens qui vont finir par louer des Irlandais pour armer leur flotte qui feront la différence. Se mettre à dos la France n'est en aucun cas une bonne nouvelle. C’est toi qui en parle. moi je regarde la presse us et pour eux la france ce mauvais allié surreagit. en gros c’est « qu’est ce qu’ils vont faire » Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 il y a 18 minutes, wagdoox a dit : C’est toi qui en parle. moi je regarde la presse us et pour eux la france ce mauvais allié surreagit. en gros c’est « qu’est ce qu’ils vont faire » Tu lis quoi comme presse ? Parce que moi, je lis Blinken qui fait le SAV. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 J'attends avec impatience l'avis de Zemmour, de RMC et d'Europe 1 sur le déclin français. En attendant, Blinken fait feu de tout bois pour sauver les apparences et lui aussi commence à s'en prendre plein la tronche. On cite aussi la réponse de Araud. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lezard-vert Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 il n'y a qu'n seul australien digne de confiance dans le monde, c'est lui : 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 (modifié) il y a 27 minutes, Lezard-vert a dit : il n'y a qu'n seul australien digne de confiance dans le monde, c'est lui : Tu oublies Crocodile Dundee Révélation Et Skippy le kangourou Révélation Modifié le 16 septembre 2021 par Shorr kan 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 à l’instant, Pierre_F a dit : Si les Allemands étaient « cool » , ils annuleraient leur intention d’acheter des f/18 pour prendre des Rafale ASMPA ..ou au minimum des Atlantiques pour leur surveillance maritime. (La France payant les indemnités contractuelles) La comparaison avec l'Australie doit mener à réévaluer le comportement de l'Allemagne sur les projets de défense. L'Allemagne a par exemple annulé le projet d'avion de patrouille maritime commun avec la France (MAWS). Mais : - Les discussions et les doutes étaient assez ouverts. La France a pu voir venir la chose de loin, parce que les autorités allemandes ne se sont pas cachées - Du coup, Paris a eu le temps de tenter de sauver le projet, en proposant à Berlin une solution d'attente temporaire en attendant le MAWS - Au final, quand le Bundestag a voté l'achat d'appareils américains sur étagère, personne en France n'a été surpris C'était une décision négative pour nous, et l'Allemagne choisissait de refuser une coopération avec la France. Le fond est comparable, oui. Mais la forme ? - Dans un cas, un partenaire qui souhaite s'éloigner de nous sur un dossier, mais est assez ouvert assez en amont, en somme ne rajoute au moins pas d'insulte à la décision qu'il a prise - Dans l'autre... une gifle, purement et simplement. Et gratuite, avec ça Ce genre de chose doit se payer. Et je parle bien de l'Australie. Aucune rancune, bien sûr. Simplement, c'est une nécessité, afin d'éviter que l'idée se crée que l'on peut gifler gratuitement la France sans en subir de conséquence. Pas tellement pour ce qu'on en penserait parmi les dirigeants australiens. Plutôt pour ce qu'on en penserait parmi les dirigeants des autres pays du Monde. Dont tous ne nous veulent pas du bien. Une fois que la France aura giflé l'Australie - pas nécessairement maintenant, pas nécessairement sur le même terrain - le dossier pourra être clos. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) le 16 septembre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 septembre 2021 (modifié) Il y a 2 heures, Ciders a dit : Est-ce que quelqu'un a l'article ? Quelle belle invention que la wayback machine... https://web.archive.org/web/20210916200247/https://www.nytimes.com/2021/09/16/world/europe/france-australia-uk-us-submarines.html France Is Outraged by U.S. Nuclear Submarine Deal With Australia French officials accused President Biden of acting like his predecessor, saying they were stabbed in the back and not consulted. President Emmanuel Macron of France, second from left, and Malcolm Turnbull, then prime minister of Australia, third from left, on an Australian submarine during a 2018 visit by Mr. Macron to Sydney.Credit...Ludovic Marin/Agence France-Presse — Getty Images By Roger Cohen Sept. 16, 2021Updated 1:12 p.m. ET PARIS — France reacted with fury on Thursday to President Biden’s announcement of a deal to help Australia deploy nuclear-powered submarines, calling it a “unilateral, brutal, unpredictable decision” that resembled the rash and sudden policy shifts common during the Trump administration. The angry words from Jean-Yves Le Drian, the foreign minister, in an interview with Franceinfo radio, followed an official statement from him and Florence Parly, the minister of the Armed Forces, calling “the American choice to exclude a European ally and partner such as France” a “regrettable decision” that “shows a lack of coherence.” The degree of French anger recalled the acrimonious rift in 2003 between Paris and Washington over the Iraq war and involved language not seen since then. “This is not done between allies,” Mr. Le Drian said. His specific comparison of President Biden to his predecessor appeared certain to infuriate the American president. His indignation reflected the fact that France had its own deal with Australia, reached in 2016, to provide it with conventional, less technologically sophisticated submarines. That $66 billion deal has now collapsed, but a harsh legal battle over the contract appears inevitable. “A knife in the back,” Mr. Le Drian said of the Australian decision, noting that Australia was rejecting a deal for a strategic partnership that involved “a lot of technological transfers and a contract for a 50-year period.” Scott Morrison, the Australian prime minister, did not even mention France in the videoconference with Mr. Biden and British Prime Minister Boris Johnson, during which the deal was announced Wednesday. Nor was France consulted on the Australian about-face and the new agreement. “We heard about it yesterday,” Ms. Parly told RFI radio. “This looks like a new geopolitical order without binding alliances,” Nicole Bacharan, an expert on French-American relations, said. “To confront China, the United States appears to have chosen a different alliance, with the Anglo-Saxon world confronting France.” She predicted a “very hard” period in the old friendship between Paris and Washington. Mr. Biden said the deal was “about investing in our source of strength, our alliances, and updating them.” At least with respect to France, one of America’s oldest allies, that claim appeared to have backfired. Video TRANSCRIPT 0:00/1:14 Biden Announces a Defense Deal to Counter China President Biden said that the United States and Britain would help Australia deploy nuclear-powered submarines, adding to the Western presence in the Pacific. Today, we’re taking another historic step to deepen and formalize cooperation among all three of our nations, because we all recognize the imperative of ensuring peace and stability in the Indo-Pacific over the long term. We need to be able to address both the current strategic environment in the region and how it may evolve, because the future of each of our nations and indeed the world depends on a free and open Indo-Pacific enduring and flourishing in the decades ahead. This is about investing in our greatest source of strength, our alliances, and updating them to better meet the threats of today and tomorrow. You know, as the key project under AUKUS, we are launching consultations with Australia’s acquisition of conventionally armed, nuclear-powered submarines for its navy. Conventionally armed. I want to be exceedingly clear about this. We’re not talking about nuclear-armed submarines. These are conventionally armed submarines that are powered by nuclear reactors. This technology is proven; it’s safe. The United States and the U.K. have been operating nuclear-powered submarines for decades. President Biden said that the United States and Britain would help Australia deploy nuclear-powered submarines, adding to the Western presence in the Pacific.CreditCredit...Doug Mills/The New York Times Britain is the American partner in the deal, another irritant to France after the British exit from the European Union and Mr. Johnson’s embrace of a “Global Britain” strategy aimed largely at the Indo-Pacific region. French suspicion of an Anglophone cabal pursuing its own strategic interests to the exclusion of France is never far beneath the surface. At a deeper level, the deal challenged Emmanuel Macron, the French president, in some of his central strategic choices. He is determined that France should not get sucked into the increasingly harsh confrontation between China and the United States. Rather, Mr. Macron wants France to lead the E.U. toward a middle course between the two great powers, demonstrating the “European strategic autonomy” that stands at the core of his vision. He has spoken about an autonomous Europe operating “beside America and China.” Such comments have been an irritant — if no more than that given how far Europe stands militarily from such autonomy — to the Biden Administration. President Biden is particularly sensitive on the question of American 20th-century sacrifice for France in two world wars and French prickliness over its independence within the alliance. Mr. Macron has not visited the White House since Mr. Biden took office, nor is there any sign that he will soon. The European Union released a long statement Thursday called “The E.U. Strategy for Cooperation in the Indo-Pacific,” committing European nations to deeper involvement at all levels in the region. It said the bloc would pursue “multifaceted engagement with China,” cooperating “on issues of common interest” while “pushing back where fundamental disagreement exists with China, such as on human rights.” The wording broadly reflected Mr. Macron’s quest for a policy that does not risk rupture with China but does not bow to Beijing either. France said the strategy confirmed “its desire for very ambitious action in this region aimed at preserving the ‘freedom of sovereignty’ of all.” The document did not mention the American and British deal with Australia that will allow Australian submarines, potentially armed with cruise missiles, to become a potent player in the Pacific in a way that may alter the naval balance of power in an area where China has been extending its influence. Presenting Europe’s strategy, Josep Borrell Fontelles, the E.U. foreign policy chief, said in Brussels that the submarine deal reinforced the bloc’s need for more strategic autonomy. “I suppose that a deal like that wasn’t cooked the day before yesterday,” Mr. Borrell said. “Despite that, we weren’t informed.” The American-British-Australian agreement, he argued, was another proof that the E.U. needs to “exist for ourselves, since the others exist for themselves.” Modifié le 16 septembre 2021 par Patrick 4 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 il y a 44 minutes, Ciders a dit : On cite aussi la réponse de Araud. Il n'est pas occupé à conseiller ses amis israéliens de chez Pegasus qui espionnent le gouvernement français ? 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 Il y a 2 heures, Ciders a dit : Mais je me dis que peut-être qu'un responsable américain de haut rang comprendra à un moment donné qu'ils ont peut-être légèrement été trop loin et qu'ils se doivent de faire quelque chose pour au moins essayer de calmer la douleur. Tkt MC Sleepy Joe va sortir un gros "come on man!" à Macron et tout ira bien. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 16 septembre 2021 Auteur Share Posté(e) le 16 septembre 2021 il y a 5 minutes, Patrick a dit : he American-British-Australian agreement, he argued, was another proof that the E.U. needs to “exist for ourselves, since the others exist for themselves.” Si seulement il pouvait être entendu. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) le 16 septembre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 septembre 2021 Cet article est quand même "fort de café" ... Pour ne pas dire que le journaliste se f... du monde il y a 11 minutes, Patrick a dit : Son indignation reflétait le fait que la France avait son propre accord avec l'Australie, conclu en 2016, pour lui fournir des sous-marins conventionnels, moins sophistiqués technologiquement. La classe Attack était prévue à propulsion conventionnelle... parce que c'est ce que l'Australie avait demandé à l'époque ! La France sait faire de la propulsion nucléaire, comme le journaliste doit le savoir - sauf à être ignorant du sujet. Quant à "moins sophistiqué technologiquement" ... les Attack étaient conçus comme dérivés non nucléaires des SNA type Suffren, probablement les meilleurs au monde aujourd'hui. De toute façon, le type de sous-marin qui sera vendu par les Etats-Unis (et la Grande-Bretagne... pause pour le rire...) à l'Australie n'est pas encore connu, ni peut-être même décidé. Faire une comparaison est impossible à ce stade. il y a 11 minutes, Patrick a dit : Le soupçon français d'une cabale anglophone poursuivant ses propres intérêts stratégiques à l'exclusion de la France n'est jamais loin sous la surface. On se demande bien pourquoi ces Français imaginent une chose pareille... il y a 11 minutes, Patrick a dit : Le président Biden est particulièrement sensible sur la question du sacrifice américain du XXe siècle pour la France lors des deux guerres mondiales et de la susceptibilité française quant à son indépendance au sein de l'alliance. Wo p..ain ! - Il n'y a pas eu de "sacrifice américain" pour la France pendant la première guerre mondiale. Rappelons que l'Amérique n'a eu qu'une petite part dans la victoire, et elle avait bien évidemment ses propres intérêts - L'Amérique a été la principale force rendant possible la libération de la France en 1944. De même que la France a été la principale force rendant possible l'indépendance des Etats-Unis au XVIIIème siècle. Le président Macron est particulièrement sensible sur la question du sacrifice français pour l'Amérique à cette époque, surtout qu'il paraît que l'Amérique n'obéirait pas toujours à ce que lui ordonne la France ? - Car bien sûr ces reproches américains portent sur les propositions de la France à ses voisins de devenir autonomes en matière de défense. Reproches totalement incohérents du point de vue des intérêts de l'Amérique naturellement, puisqu'avoir des alliés plus puissants et rapatrier ses troupes d'Europe serait pour les Etats-Unis un avantage important. Mais reproches récurrents voire permanents Deux citations. - Mitterrand : « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort. » - De Gaulle qui expliquait que c'était une excellente chose que l'Amérique existât, afin de protéger contre une hégémonie soviétique. Et une excellente chose que l'Union soviétique existât, afin de ... Et oui, c'est une excellent chose que l'Amérique existe. Et une excellente chose que la Chine existe. 1 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 Il y a 2 heures, Ciders a dit : Tu lis quoi comme presse ? Parce que moi, je lis Blinken qui fait le SAV. Google, j’ai lu nytimes, msnbc… Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 (modifié) Il y a 1 heure, Ciders a dit : J'attends avec impatience l'avis de Zemmour sur le déclin français. Zemmour pourra se réjouir en apprenant que les futurs sous-marins australiens mais de provenance étrangère seront baptisés de noms aborigènes dans une logique assimilationniste Modifié le 16 septembre 2021 par Skw 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 il y a 14 minutes, Skw a dit : Zemmour pourra se réjouir en apprenant que les futurs sous-marins australiens mais de provenance étrangère seront baptisés de noms aborigènes dans une logique assimilationniste Et macron de se rassurer, les sous marins fr n’ont pas de passeport comme le covid. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Wallaby Posté(e) le 16 septembre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 septembre 2021 https://www.lepoint.fr/monde/sous-marins-la-france-annule-une-ceremonie-a-washington-16-09-2021-2443530_24.php Cette réception, à la résidence de l'ambassadeur de France à Washington, était censée célébrer l'anniversaire d'une bataille navale décisive de la guerre d'indépendance des États-Unis, conclue par une victoire de la flotte française sur la flotte britannique, le 5 septembre 1781. La bataille de la baie de Chesapeake, aussi connue sous le nom de bataille des caps de Virginie, opposant la flotte de l'amiral britannique Thomas Graves à celle du lieutenant-général des armées navales François Joseph Paul de Grasse, a été jugée cruciale pour la victoire finale des armées coalisées de George Washington, Rochambeau et La Fayette. D'autres événements s'inscrivant dans la célébration de ce 240e anniversaire ont été toutefois maintenus, comme l'escale d'une frégate française à Baltimore et celle d'un sous-marin à Norfolk, ou encore la dépose d'une gerbe sur un monument à Annapolis. Il y a 2 heures, Jésus a dit : Le problème si les américains "gagnent", ce n'est pas parce que nous sommes trop proches d'eux, mais parce qu'ils sont puissants et c'est cette puissance qui s'impose naturellement et cela n'a rien de propre à eux, si la Suisse serait aussi puissante que les USA, ce serait pareil. Et le propre des grandes puissances, nous dit l'ancien premier ministre australien Paul Keating, est d'être "malpolies" : https://johnmenadue.com/provoking-china-to-please-the-us/ (6 septembre 2021) Il est vrai que la Chine, comme tous les grands États, est devenue plus impolie à mesure qu'elle grandissait. Sous la direction de Xi Jinping et dans le cadre de sa nouvelle politique étrangère adolescente - son grand coming out - elle attend des autres États qu'ils lui témoignent de la déférence et qu'ils se mettent à son diapason. Mais les grands États sont invariablement impolis ; c'est le rôle de la politique étrangère de naviguer entre les dangers, sans conflit militaire. Pour constater l'impolitesse des grands États, il suffit de regarder l'Irak et le Vietnam. Mais la suite est intéressante aussi : Mais nous avons maintenant un ambassadeur aux États-Unis, Arthur Sinodinos, qui usurpe le rôle du ministre des affaires étrangères en faisant des déclarations pour affirmer que la coercition de la Chine dans le Pacifique est désormais une menace plus importante que le terrorisme du 11 septembre et que l'ANZUS va accélérer les liens militaires et économiques pour contrer Pékin. Sinodinos a même inventé un défi chinois s'opposant à "la façon dont nous gérons notre économie nationale". Toute personne saine d'esprit suggérerait-elle que les diverses interdictions commerciales chinoises sont un motif de guerre ? Mais Sinodinos le fait. Le ministre de la défense, Peter Dutton, déclare que l'Australie doit être en mesure de défendre ses eaux au nord et au sud - laissant entendre, sans aucun fondement, que la Chine pourrait être un agresseur militaire. C'est une attitude que la Chine n'a jamais montrée. Le gouvernement Morrison pousse inutilement et de manière irresponsable l'Australie vers une confrontation frontale avec la Chine, et ce, principalement pour être perçu à Washington comme un acolyte flatteur de l'Amérique. Toute la notion du droit de l'Australie à une politique étrangère indépendante - un droit d'être elle-même et d'agir dans ses propres intérêts - est bafouée par un gouvernement déterminé à subordonner ses intérêts à ceux d'un autre pays. Dans les années 1930 et 1940, les conservateurs ont placé toute leur foi stratégique dans la Grande-Bretagne. Aujourd'hui, en plus grand manque d'imagination que jamais, et avec la même peur de l'abandon, ils placent leur foi dans les États-Unis - n'ayant aucune confiance dans la capacité de l'Australie à faire son chemin en Asie en tant qu'État fier, ingénieux et intelligent à part entière. Et puis le début valait le détour aussi, comme cela le texte est entièrement traduit : Le gouvernement Morrison pousse l'Australie vers une confrontation avec Pékin, principalement pour être vu comme un acolyte lèche-botte à Washington. Le gouvernement Morrison conduit délibérément l'Australie dans une impasse stratégique par ses provocations inutiles contre la Chine. La Chine n'est pas l'ancienne Union soviétique. Elle n'attaque pas ou n'intègre pas de force des pays dans une grande union, et n'exporte pas une sorte d'idéologie universelle. Et elle ne menace pas quotidiennement d'Armageddon nucléaire, comme le faisait l'Union soviétique. À l'exception de sa façade, la mer de Chine méridionale, elle reste largement isolée. Son grand problème est qu'elle est désormais un État aussi grand que les États-Unis, et avec le potentiel d'être beaucoup plus grand - un péché impardonnable pour les triomphalistes américains. Et ce péché a irradié sur les Australiens qui ont une attitude obséquieuse envers les États-Unis. Comment la Chine ose-t-elle mettre en avant la prééminence économique américaine ? C'est de cela qu'il s'agit dans tout ce bellicisme - la présence et l'ampleur de la Chine. La montée en puissance de la Chine n'est tout simplement pas dans le cahier des charges américain - son existence même et à cette échelle est un affront à l'idée que l'Amérique se fait d'elle-même en tant qu'État exceptionnel, le prosélyte de la providence divine. L'Australie est un continent qui ne partage une frontière avec aucun autre État. Elle n'a aucun différend territorial avec la Chine - en fait, la Chine est à 12 heures de vol des côtes australiennes. Pourtant, le gouvernement, tant par son incompétence en matière de politique étrangère que par sa complaisance à l'égard des États-Unis, nous a effectivement engagés dans une guerre froide avec la Chine. Et ceci, qui est d'un autre auteur, est intéressant aussi : https://johnmenadue.com/history-repeats-as-morrison-provokes-china-hostility/ (15 septembre 2021) La visite officielle du président chinois Xi Jinping en 2014 a été le point culminant des relations sino-australiennes. Depuis, la situation n'a cessé de se dégrader. En quelques années, des dirigeants politiques et des bureaucrates de premier plan se sont mis à parler de guerre presque, semble-t-il, avec délectation. L'opinion publique a évolué dans le même sens. L'Australie avait trouvé un nouvel ennemi. Il est devenu populaire de parler de "tenir tête à la Chine". Un changement aussi spectaculaire réclame des explications, étant donné que la Chine est restée, pendant tout ce temps, notre principal partenaire commercial, et de loin. De nombreux développements, tant internes qu'externes, ont joué un rôle. Mais il ne fait aucun doute qu'il y a eu une campagne concertée, et même coordonnée, pour faire virer de bord le navire de l'État. De nombreuses mains ont aidé - l'establishment de la défense et de la sécurité, la presse Murdoch, les groupes de réflexion de droite et, sans aucun doute, des alliés américains volontaires. Mais même les militants ont dû être surpris par la rapidité et la facilité de la transformation. Ils avaient manifestement puisé dans les profonds courants ancestraux du sentiment anti-asiatique... consciemment ou non. Cela étant, il sera instructif de rappeler les événements d'il y a un siècle, lorsque l'Australie a été confrontée à la montée en puissance du Japon, qui était encore plus spectaculaire et inattendue que l'émergence récente de la Chine en tant que grande puissance. Il est bien connu que les colonies australiennes étaient profondément préoccupées par la perspective d'une migration chinoise, ce qui a donné lieu à une législation restrictive dans les années 1880, suivie de l'adoption de l'Immigration Restriction Act par le premier parlement fédéral en 1901. Mais la crainte était d'ordre démographique et le danger connexe de ce que l'on appelait ouvertement la contamination raciale. On ne s'inquiétait pas de la puissance stratégique chinoise. Les Australiens n'avaient guère prêté attention à la victoire du Japon sur la Chine en 1896 et à l'annexion de Taïwan qui en résulta. Mais ils ont été complètement surpris en 1902 par la négociation d'un traité entre la Grande-Bretagne et le Japon, puis profondément troublés par la victoire spectaculaire des forces japonaises sur la Russie en 1905 et notamment par la destruction de la flotte russe lors de la bataille de Tsushima. Cette situation n'est guère surprenante. La victoire japonaise a été célébrée dans tout le monde non-européen comme un événement historique. Les grandes marées de l'histoire se déplacent. Dans les années qui précèdent la Première Guerre mondiale, la probabilité d'une guerre raciale imminente est largement débattue en Europe et en Amérique du Nord. Cette inquiétude était largement amplifiée en Australie. Elle a dominé notre réflexion sur le monde. La race étant au cœur de la psyché nationale, les Australiens en sont venus naturellement à supposer que le Japon avait des intentions hostiles à leur égard. D'autre part, l'idée d'affinité raciale, du lien de sang avec la Grande-Bretagne, renforçait la loyauté envers l'Empire. Le fait que les dirigeants australiens connaissaient très peu le Japon et n'avaient pas de représentation diplomatique dans ce pays - ou ailleurs d'ailleurs - a contribué à perpétuer leur incapacité à prendre des décisions pragmatiques concernant le monde dans lequel ils vivaient. Les dirigeants du gouvernement impérial savent comment exploiter les phobies largement connues de l'Australie. Leur ambition première était d'encourager le pays à dépenser davantage pour la défense et surtout à former un corps expéditionnaire qui serait prêt à servir à l'étranger pour renforcer la petite armée professionnelle britannique. Compte tenu de leur alliance avec le Japon, ils trouvent les craintes de l'Australie ridicules mais utiles. S'ils jouaient en privé la carte japonaise, l'Australie mobiliserait volontiers une force pour le service impérial en Europe et au Moyen-Orient. Et c'est ainsi que les choses se sont passées. L'ironie de la Grande Guerre, c'est qu'elle était, par-dessus tout, une guerre d'hommes blancs. Le Japon a combattu avec les alliés, la Turquie a combattu aux côtés des Allemands. La France et la Grande-Bretagne ont fait venir en Europe un grand nombre d'Asiatiques et d'Africains pour participer à l'effort de guerre. Les Japonais pensaient qu'en conséquence, ils seraient désormais acceptés comme des égaux parmi les grandes puissances et que les préjugés raciaux humiliants seraient laissés derrière eux. Les discours de Woodrow Wilson sur l'égalité et l'autodétermination furent largement lus au Japon et encouragèrent l'espoir que la future Société des Nations consacrerait le principe de l'égalité raciale. Cette question a dominé le débat national au Japon pendant des mois à la fin de 1918 et au début de 1919. La délégation japonaise arrive à Paris au début de 1919 dans l'espoir de faire reconnaître ses préoccupations en matière d'égalité raciale dans le Pacte de la Société des Nations. Elle reçoit un soutien considérable de la part de diverses délégations et les premiers encouragements des Américains. La délégation britannique, après avoir manifesté un intérêt initial, a évolué de façon spectaculaire dans la direction opposée, poussée par l'opposition véhémente des dominions de colons blancs - Australie, Nouvelle-Zélande, Canada et Afrique du Sud. De son côté, Wilson suit de près l'opinion en Californie, dans l'État de Washington et dans l'Oregon, qui sont politiquement importants pour lui. L'opposition des sociétés de colons blancs est suffisante pour faire échouer la proposition japonaise. Wilson passe outre le soutien considérable dont il bénéficie en déclarant qu'une innovation aussi importante nécessite un vote unanime. Les Japonais sont dévastés et le sentiment d'humiliation nationale est généralisé. Personne ne jubile davantage que le premier ministre australien Billy Hughes, qui avait été l'adversaire le plus franc et le plus acharné de l'égalité raciale. Il revient de Paris convaincu d'avoir, presque à lui seul, vaincu l'engagement en faveur de l'égalité raciale qu'il affirme que "95 Australiens sur 100 rejettent". Mais ce qui est clair, c'est que les dirigeants britanniques et des autres dominions, ainsi que les Américains, ne sont que trop heureux de laisser le fanfaron Hughes porter la lourde responsabilité de la défaite d'une proposition largement soutenue dans le monde entier. Hughes a tenu tête au Japon, provoquant une hostilité qui n'existait pas auparavant. Cent ans plus tard, Scott Morrison joue la même carte avec la Chine. Comme Hughes, il a peu d'expérience diplomatique. Ses manières effrontées, qui fonctionnent bien dans son pays, peuvent sembler maladroites à l'étranger et provoquer des vexations inutiles. Et dans de nombreuses régions du monde, que ce soit justifié ou non, l'Australie doit encore faire oublier son histoire notoire de racisme. Il est évident que personne n'oserait suggérer que 95 % des Australiens d'aujourd'hui sont opposés à l'égalité raciale, mais les habitudes de pensée qui se sont développées à partir de racines racistes ont survécu sous une forme modifiée. De nombreuses personnes ont du mal à accepter les grands changements en cours et le déplacement du pouvoir et de la richesse de l'Europe occidentale et de l'Amérique du Nord, des développements annoncés par la montée en puissance du Japon. Il semble très difficile pour les Australiens de croire que la Chine a droit au respect accordé aux grandes puissances. Beaucoup voient clairement les Chinois comme des parvenus. Ces idées se manifestent de diverses manières. Les investissements chinois suscitent l'opposition de personnes qui, jusqu'à présent, n'ont jamais pris position contre la propriété étrangère massive de nos ressources. Il y a eu l'hostilité mal déguisée à l'égard de l'augmentation rapide du nombre de touristes et d'étudiants chinois dans les années qui ont précédé la pandémie et de nombreux rapports font état d'une augmentation des abus et des attaques raciales dans les rues et dans les transports publics. Mais la conséquence la plus importante à long terme est la croissance soudaine et rapide de la croyance que la Chine a effectivement des intentions hostiles et constitue une menace sérieuse pour notre souveraineté et notre sécurité. Les échos de notre ancienne obsession de l'hostilité supposée du Japon ne sont que trop apparents. Nous n'avons manifestement pas appris que si nous supposons que nous avons un ennemi et que nous agissons en conséquence, cette éventualité se réalisera. Et comme nous l'avons fait à Versailles il y a 100 ans, nous nous tournons vers les membres blancs anglo-saxons du club exclusif des cinq yeux pour obtenir sécurité et réconfort. 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) le 16 septembre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 septembre 2021 il y a 18 minutes, herciv a dit : Si seulement il pouvait être entendu. VOEU PIEUX! "l'Europe de la défense" c'est "j'achète US". L'allemagne est bien pire que l'australie ou même que la GB en faux-nez des USA. Et elle n'est pas seule en Europe. Je n'ai plus le courage de répéter ad nauseam ce que je rabâche en boucle comme un perroquet-cyborg depuis des années. À un moment si les gens comprennent pas c'est pas la peine. Certains ont dit sur le forum que la France aurait "un futur de rogue state." Je dis "CHIC!" On va enfin pouvoir regagner un pouvoir de nuisance et donc de respectabilité. Parce que visiblement c'est comme ça que ça marche. 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. wagdoox Posté(e) le 16 septembre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 septembre 2021 Trump me manque … 7 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Snapcoke Posté(e) le 16 septembre 2021 Share Posté(e) le 16 septembre 2021 il y a 47 minutes, Patrick a dit : VOEU PIEUX! "l'Europe de la défense" c'est "j'achète US". L'allemagne est bien pire que l'australie ou même que la GB en faux-nez des USA. Et elle n'est pas seule en Europe. Je n'ai plus le courage de répéter ad nauseam ce que je rabâche en boucle comme un perroquet-cyborg depuis des années. À un moment si les gens comprennent pas c'est pas la peine. Certains ont dit sur le forum que la France aurait "un futur de rogue state." Je dis "CHIC!" On va enfin pouvoir regagner un pouvoir de nuisance et donc de respectabilité. Parce que visiblement c'est comme ça que ça marche. Exactement... Le vrai problème c'est pas Rogue state ou cool state. Le vrai problème est que l'on ne nous respecte plus, pire encore, on nous méprise. Quelques coups bien tordue pourrait ramené tout le monde a la méfiance et au Respect. Des trucs simple : Pour les anglais :soutiens diplomatique a l'indépendance de l'Écosse, célébration de la Auld Alliance, exercices poker avec pour cible virtuelle... Les cotes anglaises. pour les Australiens, exercices militaires avec l'Indonésie, discuter d'éventuelles vente militaires. quelques appels du pieds à l'amitié franco/Chinoise. et pour les ricains : visite de Macron en Iran, petits fours et ouvertures commerciale, pression pour exclure la Turquie de l'OTAN, histoire de mettre les ricains en porte à faux. le must rappel des ambassadeurs expulsions des diplomates et exigeance de destruction du dernière étages de leurs ambassade ( sous peine de grande difficulté ) tout le monde sais qu'ils nous espionnent, tout le monde trouverais cela normal... enfin la routine d'une nation souveraine qui viens d'être lésé... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 17 septembre 2021 Share Posté(e) le 17 septembre 2021 Je rappels que contrat polonais pour les helico et australien pour les soum ont ete fait apres l’annulation du contrat bpc russe. on donnerait 1 bcp a la russie que tout ce monde touneraient sur lui meme … 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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