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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


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il y a 7 minutes, Conan le Barbare a dit :

Je savais pas qu’on leur avait filé les énormes lunettes félin.

 

La photo avait déjà été postée ici, depuis on a appris dans le document du Sénat de que fusils de précision et des Famas ont été donnés, sans doute quelques Félin en plus

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2 hours ago, ksimodo said:

Le rajouterai qu'un sol air anti missile a une charge explo bien maigre, et est construit pour aller vite et pas trop loin. C'est une formule 1, sensible au poids du pilote et du lest, puissante, légère, et peu endurante.

Le MdC ..comment dire, c'est pas tout à fait çà :biggrin:

Le MdC serait le gros SUV, long rayon d'action, grosse charge emportée, vitesse et agilité moindre. 

Si le missile idéal est un cayenne, on partira plus d'un chassis de Duster que d'un chassis de Clio RS pour y arriver, non ?

Kiev est défendu par du Patriot. Donc ça marche à 110% donc il faut une "excuse" sinon "on" recevra encore moins de consommables. Alors que pour de vrai, une défense qui se fait trouer ben.....oui ça arrive. 

Un missile anti missile, pour arriver à Kiev, soit il arrive trés trés lentement ( avec moteur sous dimensionné ) pour préserver sa capacité carbu ( il n'est pas conçu pour grande distance ), soit il est rapide mais il n'arrive pas et tombe bien avant....Un S300 est annoncé à 140 kg de charge explo pour 1.8 tonnes ( donc la capa carbu est énorme en masse ) si des experts pensent que c'est compatible avec la vidéo ( 140 kg explo ), et des balcons cramés au 6eme étage, alors c'est un S300 qui vient de ...qq kilomètres.

Enfin, mentir est compréhensible, mais normalement AD n'est pas BFM.

 

J'ai rien compris à ton post... Tu veux dire que dans la salve de missiles qui a frappé Kiev, il n'y avait pas de 40N6E et que c'était uniquement des Iskander et éventuellement des drones ? Et que l'histoire servie par les ukrainiens servirait à couvrir un tir de Patriot qui aurait foiré ?

Je ne vois pas en quoi cette explication est plus plausible que la thèse officielle. L'usage de missiles anti-aérien des systèmes S200/S300 reconvertis en missiles sol-sol est avéré dans les deux camps. Ce sont des beaux bébé de 300 à 400km de portée avec des charges explosives de 140kg à 180kg donc pas négligeable (c'est pas des VL MICA). Ma surprise venait surtout du fait que des munitions de s-400 soient utilisées à cet usage aussi, et je me demandais si c'était pour un usage tactique particulier face aux batteries de Patriot qui défendent Kiev.

Je n'ai pas du comprendre ce que tu voulais dire :sad:

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il y a 53 minutes, Rivelo a dit :

Je n'ai pas du comprendre ce que tu voulais dire :sad:

La même chose que Umbria.

Un anti missile a une construction de base. Une puissance max, une capacité carbu et une capacité explo. 

Un S300 est hyper véloce sur qq dizaines de kilomètres tout au plus. 

A 300 kilomètres il ne peut pas venir depuis la zone occupée par les Ru en Ukr et même à 400 c'est chaud chaud. A 300 / 350 pour arriver à Kiev, il peut venir de Russie aux frontières les plus proches ( mais mon petit doigt me dit qu'il y a de la surveillance radar forte ).

Un S300 ne pas arriver de super loin ET arriver super vite ( ou alors son réservoir a été triplé et son poids doublé - mais là c'est pas de l'amélioration c'est un nouveau produit ) C'est incompatible. Le récit du journal tombe à l'eau, ce qui n'exclut pas que l'utilisation ait été faite en sol sol dans le passé.....mais ...à courte portée.

Donc les dégâts de la vidéo, c'est soit du drone lent non intercepté, soit du missile de la mort ( mais un truc facile pour du patriot )  mais qui a troué la déf', soit du patriot ou du S300 retombé.

En terme de comm', le missile de défense qui retombe ça pue.

En terme de comm', la défense trouée ça pue ( inconcevable sur patriot dont l'efficacité dépasse 100 % et encore plus que Chuck Norris, et délicat à admettre pour du S300 défensif mené par des Ukr ( puisque le même S300 opéré Orc n'intercepte rien ou bien retombe pour exploser du collatéral ) 

En terme comm', une défense trouée car stock d'anti missile à sec, ou batteries de défenses parties ailleurs, ça pue aussi. C'était calme sur Kiev, ça a pu dégager ailleurs, une piqure de rappel a été envoyée.

Bref, il n'y a aucune réponse raisonnable, donc il faut sortir la machine à bobards.

 

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Un retex assez dur et assez étonnant pour le CAESAR, mais qui transpire bien la boue et la dureté du conflit actuel. Quelqu'un pour corroborer cette histoire de liaison satellite ? Il n'y a pas de mode manuel pour tirer ? En tout cas, on a encore beaucoup à apprendre du conflit en cours. La partie sur le M-777 me parait en revanche assez fantaisiste. 

https://www.lemonde.fr/international/article/2023/12/14/dans-le-donbass-les-soldats-ukrainiens-en-panne-de-munitions_6205755_3210.html

Citation

Dans le Donbass, les soldats ukrainiens en panne de munitions

L’armée de Kiev résiste tant bien que mal à une nouvelle poussée russe, sur fond d’asymétrie croissante. Les militaires sont contraints d’installer leurs propres ateliers de production à proximité du front.

Par Emmanuel Grynszpan (Kramatorsk (Ukraine), envoyé spécial)

Publié aujourd’hui à 06h00

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Un soldat ukrainien derrière un BM-21 Grad, véhicule lance-roquettes, près de la ligne de front, dans le Donbass, dans l’est de l’Ukraine, le 9 décembre 2023. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE »

Tenir coûte que coûte ou préparer le repli vers des lignes plus faciles à défendre ? La question hante les hauts gradés ukrainiens alors que l’armée russe multiplie les assauts sur une large portion du front dans le Donbass, profitant d’un déficit de plus en plus criant de munitions d’artillerie côté ukrainien. Et les assauts adverses sont désormais quotidiens sur une ligne de 80 kilomètres de long allant de Khromove, au nord, près de Bakhmout, jusqu’à Marïnka, au sud-ouest de Donetsk.

Le 10 décembre, le commandant des forces terrestres, Oleksandr Syrsky, qualifiait la situation opérationnelle à l’est du pays de « difficile ». « L’ennemi, avouait-il sur sa chaîne Telegram, ne cesse de mener des actions offensives sur l’ensemble du front. » Le même jour, Roman Svitan, l’un des experts militaires les plus écoutés du pays, avertissait qu’une percée russe au niveau de la ville d’Avdiïvka risquait d’engendrer « un repli de 20 kilomètres » et de « provoquer l’effondrement de tout le front » du Donbass. Tenir Avdiïvka, ajoutait-il, n’est « pas une question politique [en référence à la résistance acharnée à Bakhmout durant l’hiver précédent], mais une nécessité purement militaire ».

A 25 kilomètres du front, le commandant de la 56e brigade d’infanterie motorisée brosse également un tableau sombre de la situation. « Si la tendance se poursuit, à savoir une diminution des livraisons de munitions d’artillerie, il sera impossible de tenir », s’inquiète Yan Iatsychen, connu sous le nom de guerre « Nocturne ». A 38 ans, il commande 7 000 hommes positionnés en défense sur une section du front de 18 kilomètres. Il reçoit au quartier général de la brigade, dont il a ordonné la construction sous terre, lors de sa prise de fonctions, il y a six mois, dans un lieu discret à proximité de la ville de Kramatorsk.

« Le précédent QG a été détruit par un missile russe, explique Serhiï, un aide du commandant. Pour l’instant, ils n’ont pas repéré celui-ci. En tout cas, nous n’avons jamais été bombardés. » Plusieurs soldats montent la garde à l’entrée de la base. A l’intérieur, une galerie longue d’au moins cent mètres mène vers le bureau du commandant. Une odeur de pin fraîchement coupé emplit l’air : toute la structure est en bois. Des containers font office de bureau et de lieu de réunion pour les combattants de la 56e, qui vivent pour l’essentiel dispersés dans des maisons et des appartements de Kramatorsk afin d’éviter d’être repérés et décimés par les missiles balistiques russes.

Les hommes manquent aussi

Sur une carte d’état-major étalée devant lui sur la table, le commandant montre une position ukrainienne attaquée « pendant trois jours sans répit » par 120 fantassins russes divisés en onze groupes. La position est défendue par cinq à huit de ses soldats. « Les Russes attaquent de trois ou quatre côtés à la fois. Ces groupes d’assaut sont composés de “zeks” [des prisonniers, recrutés en Russie pour être envoyés à la guerre] entraînés par [le Groupe] Wagner. Leurs officiers n’ont aucun égard pour eux : les blessés ne sont pas évacués, les morts sont abandonnés », détaille Yan Iatsychen. « Grâce à nos drones de reconnaissance, poursuit-il, nous observons tous leurs mouvements. Nous les voyons distinctement approcher. Nous notons leurs itinéraires de manière à frapper avec précision à coups de mortier leurs renforts, qui empruntent ces mêmes itinéraires. »

En retrait de la position ukrainienne, une petite section se tient prête pour évacuer les blessés et les morts. « Si on a un blessé, quatre vont le chercher et le cinquième prend sa place dans la position. » C’est une opération périlleuse. « Les chances de survie sont de 70 % quand on reste dans la position, raconte Yan Iatsychen. Elles peuvent tomber à 10 % si on évacue la position. »

Le commandant dit manquer d’hommes et être dans l’impossibilité d’envoyer ses soldats au repos ou même en formation. Mais l’aspect le plus problématique, insiste-t-il, concerne le déficit de munitions. « La tendance se dessine depuis cet été. Or, côté russe, c’est tout le contraire. Ils ont reçu le renfort d’une nouvelle brigade d’artillerie, cinq divisions, avec deux [lance-roquettes multiples] Tornado, et des Grads, ainsi que des canons automoteurs 2S3. En face de moi, j’ai trente obusiers MSTA-B tandis que je n’en ai que deux. Ils ont tiré 5 000 obus au cours des dernières vingt-quatre heures. Il n’y a jamais eu une telle asymétrie ! »

La veille, ses hommes étaient parvenus à anéantir tout un bataillon de mortiers de 82 mm et de 120 mm. « Le lendemain, douze nouveaux mortiers apparaissaient pour soutenir leurs assauts d’infanterie », peste l’officier.

Drones kamikazes

Malgré ses traits tirés par le manque de sommeil, Yan Iatsychen parle avec énergie. « Nous ne restons pas assis sur nos derrières à déplorer la situation. J’ai mis en place une production locale de munitions, ici à Kramatorsk. » Il montre sur son téléphone portable une vidéo filmée dans un vaste atelier souterrain. Du personnel s’affaire autour de pièces de munition. On distingue des imprimantes 3D. « L’atelier produit des munitions pour les drones kamikazes et des mines antipersonnel, décrit-il. Nous possédons aussi une grande quantité de mines antipersonnel récupérées sur les stocks abandonnés par les Russes quand ils ont déguerpi de Kherson [en novembre 2022]. Nous minons à distance à l’aide de drones, toujours sur les itinéraires empruntés par les Russes lors de leurs assauts. » La précision des drones kamikazes permettrait, selon lui, de compenser le déficit de l’artillerie.

Reste que l’incapacité de l’industrie de défense ukrainienne à subvenir aux besoins de son armée exaspère l’officier et lui inspire une bordée de jurons. « Ces gens-là n’ont visiblement pas ressenti les effets de la guerre. Ils n’ont pas perdu de proches au front, ni leurs maisons, ni leurs terres, comme les gens d’ici ». Il note aussi que le niveau d’approvisionnement en munitions pour les armes ukrainiennes est très inférieur à celui fourni par les alliés occidentaux. « De fabrication ukrainienne, je n’ai vu que des obus de 120 mm. » Il fait une exception pour le missile guidé antichar Stugna-P, dont il se dit très satisfait de la qualité.

« Le canon Caesar très vulnérable »

Ses critiques n’épargnent cependant pas, non plus, les armes occidentales. « Votre canon automoteur Caesar [fabriqué par le groupe français Nexter] tire très vite et avec une précision d’orfèvre. Mais je l’utilise très peu parce qu’il est très vulnérable et mal adapté aux réalités de la guerre. » A cause de sa taille importante, le Caesar serait rapidement repéré par les drones russes, qui en font une cible prioritaire.

« Si je le sors en terrain découvert pour tirer, il devient la cible de tirs de contrebatterie au bout de trois à quatre minutes. Je n’ai pas le temps de l’évacuer hors de la zone de danger [le Caesar a besoin d’au moins cinq minutes pour tirer puis fuir]. Tandis qu’avec le M-777 [obusier américain remorqué], je peux tirer 300 obus par jour en moyenne, poursuit le commandant. Avec le Caesar, si j’en tire cinq, c’est bien. Le M-777 est facile à dissimuler, et je peux installer une carcasse métallique autour pour le protéger du [drone kamikaze russe] Lancet. » Selon le site Oryx, qui recense les pertes matérielles attestées des deux belligérants, sur les trente exemplaires du Caesar fournis à l’Ukraine, quatre ont été détruits et deux endommagés, au cours des derniers mois. A chaque fois, semble-t-il, par le Lancet russe.

« Cacher le Caesar revient à dégrader sa liaison satellite, sans laquelle il devient impossible de guider le tir. Il faudrait soit pouvoir guider le tir en mode manuel, soit que l’antenne satellite soit détachable », suggère le commandant « Nocturne », qui raille aussi la vulnérabilité du canon à la saleté : « Cette dame [le Caesar] aime trop la propreté. Ses opérateurs sont comme des chirurgiens, toujours avec des gants et des couvre-chaussures, contraints de dormir dedans pour ne pas la salir. » Du coup, il ne manque pas de munitions pour le Caesar. Mais ce ne sont pas celles-ci qui le préoccupent.

 

Modifié par olivier lsb
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Voilà un retex intéressant qui montre une vulnérabilité du CAESAR dont on avait pas parlé avant. Tout ce qui est gros ou mobile est immédiatement spotté par les drones.

En clair un gros véhicule n'est utilisable qu'à très grande distance de la ligne de front, là où la densité de drone ennemie diminue fortement. Je pense minimum 25/30 kilomètres. Ca explique aussi pourquoi il n'y a pas de grande concentration de matériel.

Bref sur un tel champ de bataille il va falloir être capable de se cacher, soit en étant petit soit avec des camouflages très performant.

Il y a un gros "mais". En effet il y a un équilibre à trouver car quand on est petit et nombreux on a une logistique beaucoup plus dense ... et donc facile à spotter. L'officier oubli ce "détail" avec ses m-777 ravitaillé sûrement par de simple voiture sur les derniers kilomètres mais dont les stocks pas si loin du front doivent faire l'objet d'une recherche constante des drones? 

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Donc le Caesar mobile avec une grande portée est vulnérable a la contre batterie, mais le M777 qui tire moins loin et n'est pas mobile il n'y a pas de problème :dry:

Même si ça semble être davantage une lassitude concernant le manque de munitions

 

Modifié par Banzinou
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il y a 36 minutes, Banzinou a dit :

Donc le Caesar mobile avec une grande portée est vulnérable a la contre batterie, mais le M777 qui tire moins loin et n'est pas mobile il n'y a pas de problème :dry:

Même si ça semble être davantage une lassitude concernant le manque de munitions

C'est quoi ces conneries encore?

Le Caesar est avec le Himars l'engin le moins susceptible d'être visé par la contre-batterie en Ukraine.

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Il y a 19 heures, Rivelo a dit :

Attaque cette nuit sur Kiev avec des missile 48N6 (faisant partie du système S400) d'après les Ukrainiens : https://information.tv5monde.com/international/une-attaque-russe-dampleur-sur-kiev-fait-53-blesses-lukraine-en-quete-daide-2682703

Est-ce que quelqu'un comprend la raison pour laquelle les russes auraient utilisé ces missiles en les détournant de leur utilisation normale ? C'est un ersatz de Kinjal (je comprends que le missile intercepteur 48N6 est hypersonique) ? Ou alors un bricolage (comme ceux fait par l'Ukraine avec les S200) pour palier le manque d'Iskander ? Ou une nouvelle tactique pour essayer de feinter les Patriot vu que les Kinjal n'ont pas réussi à en venir à bout ???

C'est bizarre quand même cette news... :huh:

la mention 48N6 est indiquée à quelle endroit ?

Je n'ai relevé que "dix missiles balistiques" pour Kiev et des Shahed pour Odessa.

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il y a 7 minutes, Patrick a dit :

C'est quoi ces conneries encore?

Le Caesar est avec le Himars l'engin le moins susceptible d'être visé par la contre-batterie en Ukraine.

 

il y a 2 minutes, pascal a dit :

Ces conneries c'est Twitter ... Comme d'habitude ...

Ben en l'occurrence c'est Le Monde qui fait un reportage sur le terrain et recueille le témoignage d'un commandant de brigade ukrainien.

C'est quand même plus sérieux que Dédé stratège en chambre qui déblatère sur Twitter.

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il y a 3 minutes, pascal a dit :

Ces conneries c'est Twitter ... Comme d'habitude ...

Euh... c'est extrait de l'article du Monde...

Mais ce dernier étant payant, l'extrait qui nous intéresse sur le Caesar n'est pas visible autrement

https://www.lemonde.fr/international/article/2023/12/14/dans-le-donbass-les-soldats-ukrainiens-en-panne-de-munitions_6205755_3210.html

Modifié par Banzinou
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il y a 8 minutes, Banzinou a dit :

Mais ce dernier étant payant, l'extrait qui nous intéresse sur le Caesar n'est pas visible autrement

https://www.lemonde.fr/international/article/2023/12/14/dans-le-donbass-les-soldats-ukrainiens-en-panne-de-munitions_6205755_3210.html

Ah c'est dommage hein :sad: ...

Ah oui, c'est vraiment dommage https://archive.is/https://www.lemonde.fr/international/article/2023/12/14/dans-le-donbass-les-soldats-ukrainiens-en-panne-de-munitions_6205755_3210.html :happy:

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il y a 24 minutes, Ardachès a dit :

… Sous les bombes et entouré par la mort qui rode on peut aisément comprendre l'ironie et la lassitude de cet officier par contre il ne va falloir trop que ce type de discours s'amplifient parce qu'a un moment ça risque - si la comm n'est pas mieux maîtrisé en amont - de se retourner contre eux. Fatalement.

Le Caésar est trop gros et "fragile" ? Ok, buddy … on va voir comment tu vas faire pour balancer des pélots à 40 bornes si tu n'en n'a plus ! 

Voilà, pour le "péquin" moyen ce qui risque de se répandre comme réaction a ce type de discours en France et chez tous les autres "donateurs" … un certain ras le bol dû a ce que l'on peu facilement interpréter comme un manque flagrant reconnaissance.

Je ne serais pas surpris que le journal Le Monde ait volontairement été « intoxiqué » dans une opération d’influence qui ne dit pas son nom.

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