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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques


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il y a 10 minutes, Ciders a dit :

Cette simple explication "gros sous" est plus que réductrice et nie tous les aspects ethniques, culturels et religieux qui ont fracturé l'URSS de l'intérieur. L'Ukraine n'était pas la Flandre ou la Transpadanie.

Je rajouterai qu'on parle d'une indépendance votée à plus de 90%, avec des scores écrasants même dans l'est du Pays. On est pas sur un scénario de quasi 50/50%. Je suis tout à fait d'accord pour dire que le vote de l'indépendance découle également de problématiques économiques et politiques très spécifiques à la période de la désagrégation de l'URSS et qu'il faut se méfier avant d'y plaquer dessus une grille de lecture issue du nationalisme ukrainien post-2014, mais quand même. Surtout, on peut constater que même une fois que la situation de l'Ukraine et de la Russie indépendantes se sont "stabilisées" dans les années 90, il n'a jamais été question côté ukrainien de reformer une espèce d'union avec la Russie, contrairement à ce qu'il s'est passé en Biélorussie. 

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il y a 21 minutes, CortoMaltese a dit :

Je rajouterai qu'on parle d'une indépendance votée à plus de 90%, avec des scores écrasants même dans l'est du Pays. On est pas sur un scénario de quasi 50/50%.

C'est ce que je dis. Les russophones et les ukrainophones ont voté presque de la même façon, ce qui indique qu'ils ne se sont pas séparés sur des questions culturelles qui n'étaient pas l'enjeu de ce référendum.

il y a 25 minutes, CortoMaltese a dit :

il n'a jamais été question côté ukrainien de reformer une espèce d'union avec la Russie, contrairement à ce qu'il s'est passé en Biélorussie. 

L'Ukraine a adhéré à la Communauté des Etats Indépendants dès 1991. Elle a bénéficié de tarifs préférentiels pour le gaz russe jusqu'à relativement récemment. La Russie est resté pendant de longues années après l'indépendance le premier partenaire économique de l'Ukraine.

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il y a une heure, Wallaby a dit :

C'est ce que je dis. Les russophones et les ukrainophones ont voté presque de la même façon, ce qui indique qu'ils ne se sont pas séparés sur des questions culturelles qui n'étaient pas l'enjeu de ce référendum.

L'Ukraine a adhéré à la Communauté des Etats Indépendants dès 1991. Elle a bénéficié de tarifs préférentiels pour le gaz russe jusqu'à relativement récemment. La Russie est resté pendant de longues années après l'indépendance le premier partenaire économique de l'Ukraine.

 

Pour la CEI : comme tous les pays de l'ex-URSS, rien à voir avec le projet d'union entre la Russie et la Biélorussie en terme de degré d'intégration. 

Pour les résultats du référendum : car tu considère qu'il existe une fracture culturelle basé sur le langage. Cette guerre montre à l'inverse qu'on peut tout à fait être 1) Russophone 2) patriote ukrainien, et que l'espèce de sophisme russophone = russe/pro-russe est complètement foireux, et l'était sans doute déjà en 1991, surtout dans un contexte où l'indépendance politique n'était probablement pas vécu comme une rupture radicale et définitive avec la Russie culturellement parlant. 

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Il y a 11 heures, CortoMaltese a dit :

Je rajouterai qu'on parle d'une indépendance votée à plus de 90%, avec des scores écrasants même dans l'est du Pays. On est pas sur un scénario de quasi 50/50%. Je suis tout à fait d'accord pour dire que le vote de l'indépendance découle également de problématiques économiques et politiques très spécifiques à la période de la désagrégation de l'URSS et qu'il faut se méfier avant d'y plaquer dessus une grille de lecture issue du nationalisme ukrainien post-2014, mais quand même. Surtout, on peut constater que même une fois que la situation de l'Ukraine et de la Russie indépendantes se sont "stabilisées" dans les années 90, il n'a jamais été question côté ukrainien de reformer une espèce d'union avec la Russie, contrairement à ce qu'il s'est passé en Biélorussie. 

Parce que l'Ukraine a une histoire propre que la Biélorussie peut difficilement se prévaloir d'avoir. Il était plus naturel que l'Ukraine fonctionne de façon séparée que la Biélorussie.

Mais je le répète, point de scénario à la flamande ici. Il n'y a pas que la seule donnée économique qui a primé en 1990.

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Il y a 18 heures, CortoMaltese a dit :

Pour la CEI : comme tous les pays de l'ex-URSS, rien à voir avec le projet d'union entre la Russie et la Biélorussie en terme de degré d'intégration. 

Je n'ai pas dit que cela avait "à voir". J'ai dit, en reprenant ta formule que c'était "une espèce d'union", parmi d'autres. Refuser de considérer que la CEI constitue "une espèce d'union", c'est tiré par les cheveux.

Il y a 18 heures, CortoMaltese a dit :

Pour les résultats du référendum : car tu considère qu'il existe une fracture culturelle basé sur le langage.

Je me fais une extinction de voix à force de répéter que ce n'est pas ce que je considère pour le référendum de 1991. J'exprime une divergence avec l'affirmation précédente de @Ciders , qui revenait à considérer que le référendum de 1991 exprimait un rejet culturel de la Russie.

Il y a 18 heures, CortoMaltese a dit :

Cette guerre montre à l'inverse qu'on peut tout à fait être 1) Russophone 2) patriote ukrainien, et que l'espèce de sophisme russophone = russe/pro-russe est complètement foireux, et l'était sans doute déjà en 1991, surtout dans un contexte où l'indépendance politique n'était probablement pas vécu comme une rupture radicale et définitive avec la Russie culturellement parlant. 

Il faut cependant interpréter ce qui s'est passé entre ces deux dates (1991 et 2022). Une interprétation assez dominante dans nos médias a été que le vote Ianoukovitch avait été un vote pour un président "pro-russe", voire "pro-Poutine", [ ce que j'ai contesté ici : http://www.air-defense.net/forum/topic/19078-ukraine-3/page/152/#comment-1472161  et là  http://www.air-defense.net/forum/topic/26674-guerre-russie-ukraine-2022-répercussions-géopolitiques-et-économiques/page/61/#comment-1499796 ], avec des scores très élevés dans les régions russophones. Il y a une corrélation entre les préférences linguistiques et le vote Ianoukovitch qu'il convient d'expliquer.

 

Modifié par Wallaby
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https://www.lefigaro.fr/societes/guerre-en-ukraine-l-industrie-francaise-de-la-defense-prete-a-accelerer-la-production-20220702

Guerre en Ukraine : l'industrie française de la défense prête à accélérer la production, selon Lecornu

Le ministre de la Défense a souhaité répondre aux inquiétudes concernant la capacité de la France à répondre aux besoins croissants de munitions de l'armée ukrainienne.

Les entreprises françaises du secteur de la défense sont «prêtes» à accélérer la production, comme voulu par le gouvernement, a indiqué samedi le ministre de la Défense Sébastien Lecornu, soulignant que l'un des obstacles était la difficulté à embaucher. Il s'exprimait à l'occasion d'une visite chez l'équipementier Aresia, qui a débuté en 2020 près de Valenciennes (Nord) la production de bombes de forte puissance pour l'aviation, pesant jusqu'à 1 tonne, auparavant importées des États-Unis.

«La base industrielle et technologique de défense française souhaite avancer vite» pour accélérer sa production, a souligné Sébastien Lecornu, interrogé au sujet de la capacité de la France à répondre aux besoins croissants de munitions de l'armée ukrainienne. «Pour pouvoir fournir une armée amie, il faut pouvoir produire», a-t-il néanmoins indiqué, soulignant qu'«il y a des enjeux d'emploi» dans certains territoires où «des industries ont du mal à embaucher et on se retrouve avec des retards dans la production».

«Produire davantage»

«Pour gagner plusieurs mois voire plusieurs années (...), ce sont une multiplicité de petites décisions qu'il faut prendre à divers niveaux», au sein des entreprises de la filière mais aussi de l'État, a-t-il souligné. Le ministre a indiqué qu'il allait écrire cette semaine aux acteurs de la filière défense française pour solliciter leurs propositions afin d'élaborer un «plan» dans ce sens, «qui viendra s'accoler à la loi de programmmation militaire».

Le président Emmanuel Macron avait estimé jeudi que l'industrie de défense française devait apprendre à «produire davantage» et «plus vite», disant vouloir «tirer les enseignements de la guerre en Ukraine» dans la prochaine loi de programmation militaire.

«On a une capacité d'accélération assez large» de la cadence de production, a déclaré de son côté à l'AFP Bruno Berthet, président d'Aresia, tout en indiquant travailler à «plus de réactivité» pour faire face à une augmentation brusque de la demande en cas de crise. Le budget du ministère des Armées est reparti à la hausse ces dernières années, et va croître de trois milliards d'euros par an d'ici 2025, pour atteindre 50 milliards en 2025.

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Alors que la Russie fait des profits record avec les exportations d'hydrocarbures, Gazprom n'a payé de dividendes aux actionnaires, une première en ce siècle. L'argent partira dans les caisses de l'État russe :

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/gazprom-chute-en-bourse-le-groupe-renonce-a-payer-un-dividende-7f38a37eabfe388beaf4f5abfbfba5b3

À la Bourse de Moscou, l'action Gazprom perdait plus de 29% en fin de séance après cette annonce, qui annule la recommandation par le conseil d'administration d'un dividende de 52,53 roubles par titre, qui aurait été le plus important de l'histoire du groupe.

"C'est un désastre pour l'action Gazprom car les dividendes constituaient le seul attrait de la société. Cette décision est liée en partie à la volonté du ministère des Finances d'augmenter (...) les recettes fiscales" ont commenté les analystes de Tinkoff Investments.

Les députés russes ont en effet approuvé jeudi un projet de loi qui devrait se traduire par une augmentation exceptionnelle de 1.200 milliards de roubles (près de 22 milliards d'euros) des impôts et taxes payés par Gazprom sur la période septembre-novembre.

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Selon le Spiegel allemand, la Commission européenne s'apprête à publier une clarification des règles des sanctions contre la Russie qui permettra à celle-ci de continuer à transférer toutes sortes de biens vers l'enclave de Kaliningrad en passant par le territoire de l'UE. La seule limite serait de ne pas transférer davantage de biens qu'avant la guerre.

Décision qui serait soutenue à Berlin, mais ne ferait pas que des heureux en Lituanie.

La clarification de la Commission européenne s'applique expressément à tous les États membres de l'UE, mais elle ne concerne essentiellement que la situation à Kaliningrad. Selon le document, la Russie sera autorisée à transporter des marchandises sanctionnées vers Kaliningrad, mais uniquement dans des quantités comparables aux livraisons d'avant l'invasion. (...)

Avec cette solution, la Commission espère offrir à la Lituanie un moyen de sauver la face en suspendant son blocus actuel. Néanmoins, certains à Vilnius la considèrent comme une défaite. 

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Je ne sais pas si certains ont vu ici le doc de Guy Lagache, dont on a eu quelques extraits avec les conversations téléphoniques rapportées du PR et VVP. 

Les conclusions de Piotr Smolar (dont j'ai partagé plusieurs de ses articles rédigés pour le Monde) rejoignent en creux ce que j'ai pu dire ici à plusieurs reprises: foi aveugle dans ses capacités de persuasion, négligence des services Diplo (et peut être rens ?), ignorance des partenaires Européens, naïveté confondante etc...

 

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https://www.rfi.fr/fr/europe/20220701-la-russie-reprend-en-main-le-projet-de-pétrole-et-de-gaz-sakhaline-2

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La Russie reprend en main le projet de pétrole et de gaz Sakhaline-2

Un décret de Moscou annonce une reprise en main du projet pétro-gazier Sakhaline-2. Deux entreprises nippones en sont parties prenantes aux côtés du russe Gazprom et de la société néerlandaise Shell. AFP - KIRILL KUDRYAVTSEV

Le Japon va « examiner attentivement » le décret de Moscou qui annonce une reprise en main du projet pétro-gazier Sakhaline-2. Deux entreprises nippones en sont parties prenantes aux côtés du russe Gazprom et de la société néerlandaise Shell. Dans la guerre économique qui oppose Moscou aux Occidentaux et leurs alliés, Vladimir Poutine n'hésite plus à s'en prendre aux actifs étrangers.

Le choc promet d'être immense pour le Japon, dont les importations de gaz naturel liquéfié proviennent à 8% de la Russie, pays où le climat des affaires s'est durci depuis le début de l'offensive contre l'Ukraine. Plusieurs groupes étrangers s'en sont d’ailleurs retirés.

Les Japonais, malgré la participation de leur État aux sanctions prises contre Moscou, ont maintenu leur présence dans le projet Sakhaline-2 mais ils risquent maintenant de devoir y renoncer contraints et forcés.

Le décret signé par Vladimir Poutine ce jeudi crée une nouvelle entreprise russe chargée de reprendre les droits et obligations de la Sakhalin Energy Investment Co, consortium dans lequel domine Gazprom. Un peu moins de 50% des parts étant détenues par deux sociétés commerciales japonaises Mitsui & Co et Mitsubishi Corp et l'anglo-néérlandaise Shell.

Ces partenaires étrangers ont un mois pour dire s'ils veulent prendre des parts dans la nouvelle entité russe, si oui ils devront alors attendre le feu vert des autorités. Autrement dit, le Kremlin prépare le terrain à une expropriation en règle. Shell, comme la partie japonaise, ont affirmé toutes deux, comme prises de court, qu'elles étudieraient les implications du décret présidentiel.

 

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https://www.rfi.fr/fr/europe/20220629-g7-le-plafonnement-du-prix-du-pétrole-russe-une-usine-à-gaz-à-visée-politique

Quote

G7: «Le plafonnement du prix du pétrole russe, une usine à gaz à visée politique»

Les dirigeants des sept pays les plus industrialisés du monde (G7) se sont engagés à chercher un moyen pour plafonner le cours du pétrole russe afin de réduire les recettes du Kremlin. Les pays les plus industrialisés du monde veulent convaincre, notamment l'Inde, de ne pas payer trop cher l’or noir russe. Trois questions à Thierry Bros, spécialiste des questions énergétiques.

RFI : Les pays membres du G7 ont décidé de plafonner le cours du pétrole russe. Est-ce faisable ?

Thierry Bros : Non, c’est extrêmement compliqué à mettre en place. Les Russes vont essayer de vendre leur pétrole à d’autres. Et ces autres-là, qui ne respectent pas les règles de marché, en particulier la Chine ou l’Inde, ont aujourd’hui la capacité de demander une réduction à la Russie. Dans le G7, vous avez les États-Unis qui ont déjà un embargo sur le pétrole russe. Pourquoi dans ce cas mettre un prix maximum ? Vous avez le Canada qui est un exportateur, lui n’est donc pas touché pas cette mesure. Et enfin, l’Union européenne, elle, a décidé de mettre un embargo sur le pétrole russe d'ici à la fin de l’année.

Donc, on est en train de construire une usine à gaz qui va prendre plus de temps à se mettre en œuvre que notre sortie de la dépendance au pétrole russe. Il faut dire que certains leaders sont déconnectés des principes de marché. Pourquoi est-ce que les États-Unis font cela ? Ils pourraient interdire à ce que les transactions sur le pétrole russe se fassent en dollars. Ce qui en outre compliquerait la tâche de l’Inde et de la Chine. Je crois que tout cela vise plutôt à avoir bonne presse vis-à-vis de leur opinion interne, plus qu’autre chose.

L’embargo sur le pétrole et le gaz russe vous paraît-il plus efficace ?

Pour ce qui est de l’embargo sur le pétrole russe, ça marche déjà aux États-Unis. Je pense aussi que cela marchera au niveau européen, puisque nous avons décidé ce train de mesures collectivement, à l’exception de la Hongrie et de la République tchèque qui vont continuer d'importer du pétrole et des produits pétroliers russes. Ce sera marginal, donc on peut imaginer que l’Union européenne va suivre. Je crois que c’est cela qu’il faut voir. Nous, les Européens, on va sortir du charbon russe à la fin du mois d’août, on va sortir de notre dépendance au pétrole russe à la fin de l’année, et enfin de la dépendance au gaz russe d’ici à 2023. Aujourd’hui, l’Union européenne envoie à la Russie 400 millions de dollars par jour pour le pétrole et 100 millions de dollars par jour pour le gaz. L’idée est de réduire ces factures.

La grande question de ce concept flou de plafonnement du prix du pétrole russe, c’est à quel niveau on le fixe ? Vous voyez bien que pour le savoir, on va entrer dans les discussions à l’infini. Et puis, est-ce que ce plafonnement correspondra aux sept pays membres du G7, ou est-ce qu’il concernera aussi les 27 pays européens ? Vous voyez bien que c’est un système extrêmement compliqué que l’on est en train de mettre en place. Or, on n’a pas le temps. Le temps est contre nous. Il faut absolument réduire les flux financiers vers la Russie. La seule façon est celle de se dire qu’à moyen terme, nous n’allons acheter ni de pétrole, ni de charbon, ni de gaz russe.

Selon vous, cette guerre en Ukraine, elle se joue autant au niveau d’armes fournies aux Ukrainiens qu’au niveau de l’énergie ?

Nous ne gagnerons jamais une guerre si nous ne disposons pas d’énergie. Notre pensée magique depuis quinze ans, qui consistait à se dire que nous allions vers la seule énergie décarbonée, c’est-à-dire vers du solaire et de l'éolien, on voit bien que le G7 y a mis un terme. Nous avons finalement compris que pour gagner une guerre physiquement, nous allons avoir besoin de plus d’énergie, et non pas de moins. C’est là, je pense, la réalité que nous prenons en pleine face.

 

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Il y a 2 heures, olivier lsb a dit :

Je ne sais pas si certains ont vu ici le doc de Guy Lagache, dont on a eu quelques extraits avec les conversations téléphoniques rapportées du PR et VVP. 

Les conclusions de Piotr Smolar (dont j'ai partagé plusieurs de ses articles rédigés pour le Monde) rejoignent en creux ce que j'ai pu dire ici à plusieurs reprises: foi aveugle dans ses capacités de persuasion, négligence des services Diplo (et peut être rens ?), ignorance des partenaires Européens, naïveté confondante etc...

 

Oui vu. Comme quoi on peut avoir deux analyses différentes.

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il y a 26 minutes, MoX a dit :

J'espère que sur les fora étrangers, ils ne prennent pas en référence les conneries des plus cons de nos députés pour tirer des généralités sur la politique française ...

Il me semble hélas que fut un temps, Son-Forget passait sur RT.

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