Colstudent Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures il y a 10 minutes, Wallaby a dit : Sources officielles : https://www.politico.eu/article/ukraine-volodymyr-zelenskyy-announces-its-total-military-casualties-first-time/ (8 décembre 2024) Depuis le début de l'invasion russe en février 2022, l'Ukraine a perdu 43 000 soldats tués au combat et 370 000 autres ont été blessés, a déclaré dimanche le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy, lors de la première divulgation par Kiev du nombre total de victimes dans ce conflit qui dure depuis près de trois ans. https://war.ukraine.ua/faq/what-are-the-russian-death-toll-and-other-losses-in-ukraine/ Au 15 janvier 2025, les pertes russes au combat s'élevaient à 812 670 soldats, selon l'état-major général des forces armées ukrainiennes. Sources "bien pensantes" : https://kyivindependent.com/economist-casualties-estimates/ (27 novembre 2024) Entre 60 000 et 100 000 soldats ukrainiens ont été tués dans la guerre totale, et 400 000 autres sont trop blessés pour continuer à se battre, selon les estimations de The Economist publiées le 26 novembre. En septembre, le Wall Street Journal a fourni des estimations similaires, affirmant que l'Ukraine avait perdu 80 000 soldats tués et 400 000 blessés. Le journal estimait les pertes russes à 200 000 morts et 400 000 blessés. Source : Trump https://www.politico.eu/article/donald-trump-vladimir-putin-russia-ukraine-war-destroying/ (21 janvier 2025) « Nous disposons de chiffres indiquant que près d'un million de soldats russes ont été tués. Environ 700 000 soldats ukrainiens ont été tués. La Russie est plus grande, elle a plus de soldats à perdre, mais ce n'est pas une façon de diriger un pays », a-t-il ajouté. L'Ukraine a déjà démenti les chiffres de M. Trump, affirmant avoir perdu plus de 43 000 soldats tués au combat et plus de 370 000 blessés. Le Kremlin ne révèle pas le nombre officiel de ses victimes, mais l'Ukraine estime que pour la seule année 2024, la Russie a perdu 150 000 soldats tués et plus de 400 000 blessés. Encore une fois....les Russes perdent pour des km2 gagnés, les Ukrainiens perdent pour des Km2 perdus.... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) il y a 14 heures Share Posté(e) il y a 14 heures il y a une heure, Colstudent a dit : Encore une fois....les Russes perdent pour des km2 gagnés, les Ukrainiens perdent pour des Km2 perdus.... On peut aussi se dire que sans ces pertes Ukrainiennes, les Russes seraient à Lviv. L'assertion devient alors : Les Russes perdent des hommes pour chaque km² gagné ; les Ukrainiens perdent des hommes pour chaque km² non gagné (par les Russes). C'est sensiblement différent et tout aussi vrai. La seule vérité absolue, c'est que les Ukrainiens perdent des hommes pour en faire perdre aux Russes, et inversement. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Colstudent Posté(e) il y a 13 heures Share Posté(e) il y a 13 heures il y a une heure, FATac a dit : On peut aussi se dire que sans ces pertes Ukrainiennes, les Russes seraient à Lviv. L'assertion devient alors : Les Russes perdent des hommes pour chaque km² gagné ; les Ukrainiens perdent des hommes pour chaque km² non gagné (par les Russes). C'est sensiblement différent et tout aussi vrai. La seule vérité absolue, c'est que les Ukrainiens perdent des hommes pour en faire perdre aux Russes, et inversement. Tu me fais penser à Bruno Lemaire qui explique pourquoi on a perdu du pognon pour sauver l'économie... Bien sur et heureusement que les Ukrainiens font perdre des hommes aux Russes mais malheureusement dans l'histoire je me rappelle pas de conquêtes ou on déplore les morts alors que les gains territoriaux restent. Le point ou je suis d'accord c'est que sans une farouche résistance le pays aurait été bien plus occupés. Mais trouve un jour via les cartes en live ou le front se stabilise et ou les Russe recule depuis un an sur le territoire Ukrainien ? (Sans parler de Koursk qui à l'inverse est une victoire Ukrainienne tant que les Russes ne seront pas en mesure de les repousser) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) il y a 12 heures Share Posté(e) il y a 12 heures Il y a 19 heures, Teenytoon a dit : Je pense, cela n'engage que moi, que de ne parler que d'un seul aspect des choses fini par faire penser qu'on ne pense que celui-là. Parler sur plusieurs posts d'affilée de la responsabilité occidentale, éclipse quelque peu les autres. Dans un débat contradictoire, on ne parle pas en permanence que d'un seul point de vue. La question c'est surtout que la responsabilité n'est pas absolu c'est un argument émis par un individu donné dans un contexte donné. A partir du moment ou l'occident s'est engagé dans la guerre moins que les ukrainiens s'il y a une défaite il est assez logique pour les ukrainiens d'expliqué que ce n'est pas de leur "faute", mais que c'est leur allié qui a été trop peut engagé dans la guerre et ne leur à pas permis de gagner. Et donc la responsabilité ici ne se joue qu'entre deux acteurs Ukraine, et "alliés" de l'Ukraine, parce qu'on parle bien de la responsabilité de la défaite. A ce moment les alliés seront aussi responsable au yeux des ukrainiens de la victoire russe par exemple. Les russes se verront probablement responsable de leur propre victoire, s'il voit la fin des événements sous cet angle. Mais à mon sens cette obsession de la responsabilité n'a pas beaucoup de sens dans les relations internationale, c'est juste un levier pour essayer de faire culpabiliser un adversaire ou un soutien. Tant qu'il n'y a pas de garant au dessus pour établir une forme de justice civil et arbitrer les responsabilité et les dommages, on discute dans le vide. Dans les relations internationale comme dans le sport, seule la victoire compte, le reste passe rapidement par perte et profit. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) il y a 8 heures Share Posté(e) il y a 8 heures https://www.ouest-france.fr/europe/ukraine/carte-guerre-en-ukraine-zelensky-a-davos-suspension-des-aides-americaines-le-point-du-jour-baf4d592-d80a-11ef-8f51-eac5203dc552 (21 janvier 2025) Le psychiatre en chef de l’armée ukrainienne arrêté La traque contre la corruption continue dans les rangs de l’armée ukrainienne. « Des officiers du SBU (services de sécurité ukrainiens), avec l’assistance du ministre de la Défense et du commandant en chef des forces armées, ont arrêté le psychiatre en chef des forces armées », ont annoncé les services de sécurité ukrainiens (SBU) qui suspecte un cas de corruption. Depuis 2022, date du début de l’invasion russe de l’Ukraine, l’homme aurait acquis des actifs à hauteur d’un million de dollars sans les déclarer ou en les enregistrant aux noms de membres de sa famille. Le suspect aurait ainsi acheté trois appartements, une maison, des terrains et quatre voitures de luxe. Les enquêteurs ont trouvé à son domicile 152 000 $ américains (environ 145 800 €) et 34 000 € en liquide, une photo jointe au communiqué montrant des liasses de billets couvrant le sol. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) il y a 6 heures Share Posté(e) il y a 6 heures « Réinitialisation complète » : tous les employés responsables de l'Ukraine ont été renvoyés du Pentagone Selon le journaliste ukrainien Roman Bochkala, un nouveau format de relations attend l’Ukraine et les États-Unis, ce qui le rend « alarmé » (...) "Tous ceux qui étaient responsables de l'Ukraine ont été licenciés ou suspendus ou seront transférés quelque part à d'autres postes", a écrit Bochkala. Il a expliqué qu'il avait reçu cette information d'un journaliste du Washington Post, responsable des questions ukrainiennes, et qu'il s'était rendu au Pentagone pour savoir ce qu'il avait entendu sur l'Ukraine. "Il y aura donc certainement des changements. Un nouveau format de relations est un peu alarmant, mais d'une manière ou d'une autre, cela se produira", a souligné Bochkala Signe frappant de bouleversements à venir S'agit-il d'un remplacement généralisé par des personnes "alignées MAGA", ou d'une cessation des activités de support à l'Ukraine ? La première option semblerait la plus probable. Sinon, Trump réduirait encore sa faible marge de négociation face à Poutine. Mais il semble bizarre que tout le monde soit licencié ou suspendu d'un bloc, avant même que les remplaçants arrivent. Alors, comment faire la passation ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) il y a 5 heures Share Posté(e) il y a 5 heures Guerre en Ukraine : la nouvelle stratégie de Trump face à Poutine Le nouveau président américain a estimé qu'en continuant la guerre en Ukraine, Vladimir Poutine est en train de « détruire son pays » sur le plan économique. « Il faut un deal ! » a de nouveau martelé Donald Trump, lundi soir, en évoquant un accord entre la Russie et l'Ukraine pour mettre fin à la guerre, ce qui correspond à l'un de ses engagements majeurs. Dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche qu'il a retrouvé pour la première fois depuis quatre ans, le nouveau président a estimé devant la presse que l'invasion de l'Ukraine par la Russie était source « de gros ennuis » pour Vladimir Poutine. Ce qui est évident sur le plan militaire, avec notamment la perte de la moitié des blindés russes en trois ans de combats et l'incapacité à reprendre la totalité de la poche de Koursk aux forces ukrainiennes, malgré cinq mois d'assauts intenses, mais aussi sur le plan économique, sans doute l'élément le plus important aux yeux de Donald Trump. Il a d'ailleurs précisé : « Je pense que la Russie a de gros problèmes. Regardez leur économie, regardez l'inflation. » Recul du rouble Cette dernière, en raison du déficit budgétaire suscité par la guerre, de la suspension d'importations occidentales et de la surchauffe du complexe militaro-industriel, dépasse actuellement 9,5 % en rythme annuel. Le troisième niveau le plus élevé parmi les cinquante plus grandes économies du monde derrière l'Argentine, en passe de la juguler, et la Turquie. Les loyers flambent à Moscou, tout comme le prix de certains aliments de base, de 40 % depuis un an. Pour la brider, la banque centrale a dû se résoudre à augmenter les taux d'intérêt jusqu'à 21 % récemment, là encore le niveau le troisième plus élevé des grandes économies. Le coût des emprunts empêche tout nouveau projet d'investissement d'être rentable et rend prohibitif le fonds de roulement de la plupart des entreprises. Le rouble a perdu 8 % face au dollar sur le seul mois de novembre, au plus bas depuis le début de la guerre. Donald Trump a ajouté : « Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, m'a dit qu'il voulait conclure un accord, je ne sais pas si Poutine le veut […]. Je pense qu'il devrait conclure un accord. Je pense qu'il est en train de détruire la Russie en ne concluant pas d'accord. » En saluant la volonté de Kiev de chercher un compromis et en évoquant les « gros ennuis » de Poutine, le nouveau président américain semble ainsi mettre légèrement plus la pression sur le Kremlin, sans évoquer toutefois pour autant la possibilité d'armer l'Ukraine. Volodimir Zelensky a, de son côté, dit mardi travailler à une rencontre avec Donald Trump pour discuter d'un accord de paix avec la Russie, lors du Forum économique de Davos. Il a au passage affirmé qu'il faudrait une force de maintien de la paix européenne, en cas d'accord, d'«au moins 200.000 hommes». «C'est le minimum, sinon ça ne sert à rien», a-t-il dit. « Je m'entends très bien avec Poutine » Le principal conseiller de Donald Trump sur l'Ukraine, Keith Kellogg, avait présenté sa doctrine en la matière : menacer l'Ukraine de suspendre les livraisons d'armes et munitions si elle ne se montre pas sincèrement prête à un compromis, et à l'inverse menacer le Kremlin de fournir une aide militaire massive à Kiev s'il ne cherchait pas la paix. Les contours d'un accord restent toutefois difficiles à imaginer, les positions de Vladimir Poutine et du régime ukrainien s'avérant antagonistes. On peut même estimer qu'il s'agit d'une question de vie ou de mort pour la nation ukrainienne, comme pour le président russe. « Je m'entends très bien avec Poutine, j'espère qu'il veut conclure un accord », veut toutefois croire Donald Trump. L'impact des sanctions Reste aussi à savoir si l'impact des sanctions économiques, que Donald Trump n'avait pas approuvé jadis, sera suffisant pour pousser Poutine à un règlement politique. Certes, elles commencent à faire mal, comme l'illustre le fait que la « flotte fantôme » de pétroliers permettant de contourner les sanctions ne peuvent plus accoster nulle part depuis quelques jours, même en Chine. Vladislav Inozemtsev, un des auteurs d'un rapport du Centre pour l'analyse et la stratégie en Europe, estime toutefois que les sanctions « ne contraignent pas substantiellement la capacité du Kremlin à faire la guerre ». Pour lui, les capacités d'emprunt de Moscou, dont la dette dépasse à peine 18 % du PIB, restent importantes, et la politique de taux d'intérêt élevés n'a pas encore provoqué de vagues de faillites. A l'inverse, les économistes du cabinet Capital Economics considèrent que « la Russie court désormais un risque élevé de crise bancaire […] avec la hausse des taux d'intérêt et du service de la dette, une augmentation des défauts de paiements d'entreprises ». Tandis qu'Alexandra Prokopenko, de Carnegie Politika, affirme que « nous assistons à une marche irréversible de la Russie vers la stagnation économique ». 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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