Manuel77 Posté(e) le 12 juillet Share Posté(e) le 12 juillet Il y a 2 heures, Rouletabille a dit : Le chef de la Bundeswehr vient d'annoncer la production d'armes longues portées en Allemagne, pour l'Ukraine. Des missiles BARS manifestement, plusieurs centaines. Ça s'ajoute aux déjà 500 Lyutyi (75kg de charge militaire, portée de 2.000km) financés par l'Allemagne. https://x.com/deaidua/status/1943779478318330268#m C'est une chose très confuse. Freuding n'est pas le chef de la Bundeswehr, il est le coordinateur de l'aide à l'Ukraine, bientôt il sera le chef de l'armée de terre. On ne comprend pas de quoi il s'agit : Armes fabriquées en Allemagne ? Des armes fabriquées en Ukraine, avec des composants allemands ? Des armes qui ont été développées en Allemagne et qui sont fabriquées en Ukraine avec l'aide de l'Allemagne ? Parfois, il est question de financement, parfois de livraison. Il ne peut pas être question de Taurus, il n'est jamais possible d'en livrer des centaines. Il dit textuellement : "L'Allemagne est prête à fournir des systèmes d'armes de grande envergure. On l'interrompt ensuite pour lui demander s'il livrerait des Taurus. Il répond que tout a été dit sur Taurus, nous livrons « de tels » systèmes d'armes. Nous avons assisté ici aujourd'hui à une signature entre l'industrie ukrainienne et le ministère de la Défense ukrainien, financée par l'Allemagne. Nous n'avons lancé cette initiative que fin mai. Et les forces armées ukrainiennes recevront les premières armes de grande envergure à la fin de ce mois (juillet). Cela renforcera la défense aérienne ukrainienne (sic !), cela renforcera massivement les capacités ukrainiennes dans les prochains mois. Malheureusement, Freuding a une façon de parler très autiste et cryptique. 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rouletabille Posté(e) le 12 juillet Share Posté(e) le 12 juillet (modifié) il y a 2 minutes, Manuel77 a dit : C'est une chose très confuse. Freuding n'est pas le chef de la Bundeswehr, il est le coordinateur de l'aide à l'Ukraine, bientôt il sera le chef de l'armée de terre. On ne comprend pas de quoi il s'agit : Armes fabriquées en Allemagne ? Des armes fabriquées en Ukraine, avec des composants allemands ? Des armes qui ont été développées en Allemagne et qui sont fabriquées en Ukraine avec l'aide de l'Allemagne ? Parfois, il est question de financement, parfois de livraison. Il ne peut pas être question de Taurus, il n'est jamais possible d'en livrer des centaines. Il dit textuellement : "L'Allemagne est prête à fournir des systèmes d'armes de grande envergure. On l'interrompt ensuite pour lui demander s'il livrerait des Taurus. Il répond que tout a été dit sur Taurus, nous livrons « de tels » systèmes d'armes. Nous avons assisté ici aujourd'hui à une signature entre l'industrie ukrainienne et le ministère de la Défense ukrainien, financée par l'Allemagne. Nous n'avons lancé cette initiative que fin mai. Et les forces armées ukrainiennes recevront les premières armes de grande envergure à la fin de ce mois (juillet). Cela renforcera la défense aérienne ukrainienne (sic !), cela renforcera massivement les capacités ukrainiennes dans les prochains mois. Malheureusement, Freuding a une façon de parler très autiste et cryptique. Ah, effectivement ! C'est beaucoup moins clair quand on regarde ce qu'il dit textuellement... J'imagine qu'on aura plus ou moins la réponse d'ici la fin de l'été. J'espère que ce sera plus concluant que les drones Helsing qui, pour le modèle HF-1, se sont montrés pratiquement inutilisables sur le terrain. Modifié le 12 juillet par Rouletabille 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 12 juillet Share Posté(e) le 12 juillet Le 11/07/2025 à 19:29, olivier lsb a dit : Impossible, les US n'ont plus de stock disponible. Je l'ai lu ici il n'y a pas longtemps, par les mêmes qui critiquaient le renseignement britannique sur l'état des stocks de MdC russes. Je ne sais pas ce que tu as lu ici, mais personne n'a dit que c'était impossible, juste que les stocks de missiles Patriot étaient très vraisemblablement inférieurs au souhait des forces US. Beau trollage cependant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 12 juillet Share Posté(e) le 12 juillet (modifié) Il y a 11 heures, gustave a dit : Je ne sais pas ce que tu as lu ici, mais personne n'a dit que c'était impossible, juste que les stocks de missiles Patriot étaient très vraisemblablement inférieurs au souhait des forces US. Beau trollage cependant. On en sait rien, à part qu'il y a eu: - une déclaration contraire de Sean Parnell - Une décision prise solo de Hegseth, dont les compétences militaires ne sont pas la première des qualités - POTUS maintenu hors de la décision, qui semble vouloir faire machine arrière - Un équilibre production / consommation de PAC3 difficile à estimer, mais pas nécessairement négatif, avec des accroissements significatifs de capacités industrielles (cf l'usine en Allemagne en cours d'ouverture). Modifié le 13 juillet par olivier lsb Précision 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 13 juillet Share Posté(e) le 13 juillet il y a une heure, Patrick a dit : Une remarque qui ne manque pas de piquant dans le contexte du négationnisme culturel russe à l'égard des Ukrainiens dont tu aimes tant te faire le porte-parole... En Ukraine, il y a surtout une négation du fait culturel russe avec des gens qui démontent la statue de Catherine la Grande à Odessa, ou un négationnisme de la Shoah comme le dit Arno Klarsfeld. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 13 juillet Share Posté(e) le 13 juillet il y a 11 minutes, Wallaby a dit : En Ukraine, il y a surtout une négation du fait culturel russe avec des gens qui démontent la statue de Catherine la Grande à Odessa, ou un négationnisme de la Shoah comme le dit Arno Klarsfeld. En Russie, il y a surtout une négation de la culture ukrainienne, de l'existence même du peuple ukrainien, avec des gens qui démontent les monuments ukrainiens et modifient les programmes scolaires en ce sens. On ne va pas non plus devoir revenir sur l'antisémitisme en Russie ? Si il y a actuellement un million d'Israéliens d'origine russe, ce n'est sûrement pas un hasard... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 13 juillet Share Posté(e) le 13 juillet Il y a 4 heures, Ciders a dit : On ne va pas non plus devoir revenir sur l'antisémitisme en Russie ? Non. Shlapentokh (1926-2015) était né soviétique, et juif, à Kiev. Il fut l’un des fondateurs de la sociologie empirique en langue russe à l’époque brejnévienne. Son Freedom, Repression, and Private Property in Russia a été publié en 2013 aux Cambridge University Press. Quand on l’a lu, il devient facile de définir le régime de Poutine, non comme l’exercice du pouvoir d’un monstre extraterrestre subjuguant un peuple passif et demeuré, mais comme un phénomène compréhensible, qui s’inscrit dans la continuité d’une histoire générale de la Russie. Bien entendu, la Russie n’est pas devenue une démocratie libérale. Le régime de Poutine est surtout remarquable par quelques traits qui, à eux seuls, signent une rupture radicale avec l’autoritarisme de type soviétique. D’abord, comme l’a rappelé James Galbraith, un attachement viscéral à l’économie de marché. Attachement indéfectible de Poutine à la liberté de circulation. Avec lui, les Russes ont le droit de sortir de Russie et ils le conservent en temps de guerre. Où l’on retrouve l’une des caractéristiques de la démocratie libérale : une liberté totale de sortie. Absence complète d’antisémitisme. Le 09/01/2024 à 15:17, Wallaby a dit : https://www.librairie-gallimard.com/livre/9782073041135-la-defaite-de-l-occident-emmanuel-todd/ Emmanuel Todd - La Défaite de l'Occident - Gallimard 11 janvier 2024 - cliquer sur "extrait gratuit" Chapitre 1 - La stabilité russe La solidité de la Russie a été l’une des grandes surprises de la guerre. Elle n’aurait pas dû l’être ; il était facile de la prévoir et il sera facile de l’expliquer. Pour montrer l’énormité d’une erreur de perception qui s’est étalée sur toutes les années Poutine, partons du titre d’une chronique parue dans Le Monde le 2 mars 2022, signée de Sylvie Kauffmann, éditorialiste du journal : « Le bilan de Poutine à la tête de la Russie est une longue descente aux enfers d’un pays dont il a fait un agresseur. » Voilà comment le grand journal de référence français décrivait une période qui, après l’effondrement des années 1990, fut précisément celle de la sortie des enfers. Il ne s’agit pas ici de dénoncer, de s’indigner, d’accuser de mauvaise foi – les personnes qui pensent ainsi sont sincères –, mais de comprendre comment de telles absurdités ont pu être écrites alors qu’il était si facile de voir que la Russie allait beaucoup mieux. Entre 2000 et 2017, phase centrale de la stabilisation poutinienne, le taux de décès par alcoolisme est tombé en Russie de 25,6 pour 100 000 habitants à 8,4, le taux de suicide de 39,1 à 13,8, le taux d’homicide de 28,2 à 6,2. Cela signifie, en chiffres bruts, que les décès par alcoolisme sont passés de 37 214 par an à 12 276, les suicides de 56 934 à 20 278 et les homicides de 41 090 à 9 048. Et c’est un pays qui a vécu cette évolution qu’on nous déclare pris dans « une longue descente aux enfers ». Comme nous l’apprend David Teurtrie dans son ouvrage de 2021, la Russie a réussi, en l’espace de quelques années, non seulement à atteindre l’autosuffisance alimentaire, mais à devenir l’un des plus importants exportateurs de produits agricoles au monde. Un splendide pied de nez à l’époque soviétique qui fut, comme on sait, marquée par l’échec de l’agriculture. En 2012, la Russie produisait 37 millions de tonnes de blé, en 2022 80 millions. En 1980, au moment de l’arrivée au pouvoir de Reagan, la production de blé américaine s’élevait à 65 millions de tonnes. En 2022, elle n’était plus que de 47 millions. Premier exportateur de centrales nucléaires. « Concurrence véritable entre les Gafa et leurs équivalents locaux » (Teurtrie) En avril 2015 était lancé le Système national des cartes de paiement (NSPK), « qui garantit le fonctionnement des cartes délivrées par des banques russes sur le territoire national même en cas de sanctions occidentales » (Teurtrie) Les sanctions occidentales de 2014, si elles ont causé quelques difficultés à l’économie russe, ont aussi été pour elle une chance : elles l’ont obligée à trouver des substituts à ses importations et à se redéployer en interne. Dans un article d’avril 2023, l’économiste américain James Galbraith a estimé que les sanctions de 2022 ont eu le même effet. Shlapentokh (1926-2015) était né soviétique, et juif, à Kiev. Il fut l’un des fondateurs de la sociologie empirique en langue russe à l’époque brejnévienne. Son Freedom, Repression, and Private Property in Russia a été publié en 2013 aux Cambridge University Press. Quand on l’a lu, il devient facile de définir le régime de Poutine, non comme l’exercice du pouvoir d’un monstre extraterrestre subjuguant un peuple passif et demeuré, mais comme un phénomène compréhensible, qui s’inscrit dans la continuité d’une histoire générale de la Russie. Bien entendu, la Russie n’est pas devenue une démocratie libérale. Le régime de Poutine est surtout remarquable par quelques traits qui, à eux seuls, signent une rupture radicale avec l’autoritarisme de type soviétique. D’abord, comme l’a rappelé James Galbraith, un attachement viscéral à l’économie de marché. Attachement indéfectible de Poutine à la liberté de circulation. Avec lui, les Russes ont le droit de sortir de Russie et ils le conservent en temps de guerre. Où l’on retrouve l’une des caractéristiques de la démocratie libérale : une liberté totale de sortie. Absence complète d’antisémitisme. Ce qui distingue fondamentalement l’économie russe de l’économie américaine, c’est, parmi les personnes qui font des études supérieures, la proportion bien plus importante de celles qui choisissent de suivre des études d’ingénieur : vers 2020, 23,4 % contre 7,2 % aux États-Unis [Japon 18,5 %, Allemagne 24,2 %, France 14,1 %]. Malgré la disproportion des populations, la Russie parvient à former nettement plus d’ingénieurs que les États-Unis. Je suis conscient du caractère partiel de ce calcul, qui ne tient pas compte du fait que les États-Unis importent des ingénieurs. La disparition de notre aptitude à concevoir la diversité du monde nous interdit une vision réaliste de la Russie. Il était évident que la Russie post-communiste allait conserver des traits communautaires malgré l’adoption de l’économie de marché ; l’acceptation, à des degrés divers, dans toutes les classes de la société – plus forte dans les milieux populaires, plus mitigée dans les classes moyennes –, d’une certaine forme d’autoritarisme et d’aspiration à l’homogénéité sociale. Il subsiste en Russie suffisamment de valeurs communautaires – autoritaires et égalitaires – pour qu’y survive l’idéal d’une nation compacte et que réapparaisse une forme particulière de patriotisme. Shlapentokh soulignait, quant à lui, que jamais les conditions de vie en Russie n’avaient été aussi bonnes, liberté comprise, que sous Poutine. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 13 juillet Share Posté(e) le 13 juillet https://www.theguardian.com/world/2025/jul/10/concern-ukraine-will-be-split-up-reconstruction-talks (10 juillet 2025) La crainte d'une partition de l'Ukraine jette une ombre sur les négociations relatives à la reconstruction Les dirigeants se réunissent à Rome alors que l'on prévoit que plus d'un tiers des coûts de reconstruction pourrait revenir à la Russie si l'Ukraine cède du terrain. L'escalade des attaques de drones russes et la crainte d'une scission de l'Ukraine dans le cadre d'un futur plan de paix ont jeté une ombre sur la réunion des dirigeants européens visant à planifier la reconstruction éventuelle du pays. Volodymyr Zelenskyy, Friedrich Merz (Allemagne), Giorgia Meloni (Italie) et Donald Tusk (Pologne) participent à cette conférence, la quatrième du genre. Elle intervient à un moment où l'économie ukrainienne est soumise à une pression sans précédent, Vladimir Poutine élargissant ses cibles à travers l'Ukraine et déployant un nombre record de drones à longue portée. Une grande incertitude entoure le plan de paix dirigé par les États-Unis, qui devrait inclure des concessions territoriales. Un rapport publié le mois dernier a révélé que plus d'un tiers des coûts de reconstruction estimés de l'Ukraine, soit près de 200 milliards de dollars (150 milliards de livres sterling), reviendraient à une Russie en faillite si l'Ukraine était contrainte de concéder la perte de contrôle de quatre territoires dans le cadre d'un éventuel accord de paix. Ce chiffre - un défi lancé aux décideurs politiques réunis à Rome dans le cadre de la conférence sur la reconstruction de l'Ukraine - souligne la probabilité que l'avenir de l'Ukraine soit marqué non seulement par la division politique, mais aussi par des divergences en termes de richesse et de croissance économique, les territoires de l'est tenus par la Russie étant susceptibles de souffrir de manière significative. L'objectif de la conférence est d'encourager les investissements à long terme du secteur privé, mais il a été éclipsé par la nécessité urgente de protéger la population et l'économie ukrainiennes de l'impact des frappes de drones, qui ne cesse de s'aggraver. L'Institut d'études politiques internationales (ISPI), un groupe de réflexion italien, a prédit, sur la base d'une étude de la Banque mondiale, que les coûts de reconstruction dans quatre régions majoritairement tenues par la Russie - Donetsk, Luhansk, Zaporizhzhia et Kherson - s'élèveraient à 188 milliards de dollars. Ces régions pourraient rester dans le giron de la Russie dans le cadre d'un futur accord de paix, bien que Kiev n'ait pas donné son accord. Dans l'ensemble, la Banque mondiale prévoit qu'un plan décennal de reconstruction et de redressement, à mettre en œuvre entre 2025 et 2035, nécessiterait des investissements d'au moins 524 milliards de dollars. Bien que l'ensemble du territoire ukrainien ait été touché par les attaques depuis le 24 février 2022, 66 % des dommages directs (116 milliards de dollars) et 47 % des coûts totaux de rétablissement et de reconstruction (248 milliards de dollars) sont imputables à Donetsk, Louhansk, Zaporizhzhia et Kherson ainsi qu'à Kharkiv. « Si Kiev décide de concéder les quatre régions contestées afin de mettre fin aux hostilités, il est plausible que la Russie doive assumer une part importante des coûts de reconstruction », a déclaré l'ISPI. La difficulté pour les planificateurs de l'après-guerre de concevoir des scénarios réalistes est soulignée par le fait que depuis la dernière conférence sur la reconstruction, qui s'est tenue à Berlin en 2024, les dommages causés aux infrastructures énergétiques ont augmenté de 93 % en un an. Les secteurs les plus touchés sont le logement (57 milliards de dollars de dégâts), les transports (environ 36 milliards de dollars) et l'énergie et l'exploitation minière (environ 20 milliards de dollars). L'expansion de la guerre par le biais de drones et l'élargissement de la ligne de front, notamment dans les régions de Dnipro et de Soumy, ont également eu un impact sur l'économie. Les dépenses de guerre élevées entraînent une hausse de l'inflation, qui a récemment atteint 15 %. La croissance économique ralentit, en partie à cause des attaques croissantes contre l'industrie et les infrastructures. La Banque mondiale a révisé ses prévisions de croissance pour cette année de 4,5 points de pourcentage, à seulement 2 %. Les analystes sont frustrés par le fait que la succession de conférences sur la reconstruction n'a pas produit de résultats significatifs. https://kyivindependent.com/blackrock-halted-ukraine-recovery-fund-following-trump-victory-france-working-on-replacement-bloomberg-reports-06-2025/ (5 juillet 2025) BlackRock a interrompu le fonds de redressement de l'Ukraine à la suite de la victoire de Trump BlackRock a interrompu sa recherche d'investisseurs institutionnels en janvier, ce qui a fait échouer le projet de financement qui visait à obtenir 500 millions de dollars de la part de gouvernements, de subventions de développement et de banques d'investissement, ainsi que 2 milliards de dollars supplémentaires de la part d'investisseurs privés. La société d'investissement a interrompu ses discussions avec les investisseurs institutionnels en janvier en raison du manque d'intérêt suscité par l'incertitude qui règne en Ukraine. Le fonds devait être dévoilé par BlackRock lors de la prochaine conférence sur le redressement de l'Ukraine, qui se tiendra les 10 et 11 juillet à Rome, selon Bloomberg. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet https://www.theguardian.com/world/2025/jul/14/ukraine-war-briefing-trump-says-he-will-send-patriot-missile-defence-systems-to-kyiv Le ministre français de la défense, Sébastien Lecornu, a quant à lui déclaré dans une interview publiée dimanche dans La Tribune Dimanche que les responsables européens avaient plaidé auprès de l'administration Trump en faveur d'un renforcement des capacités de défense aérienne dans le cadre de tout paquet à venir. Il a déclaré que la France se trouvait dans un « trou de capacité » et devrait attendre l'année prochaine avant de pouvoir fournir à l'Ukraine de nouveaux missiles sol-air. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet Il y a 3 heures, Wallaby a dit : https://www.theguardian.com/world/2025/jul/14/ukraine-war-briefing-trump-says-he-will-send-patriot-missile-defence-systems-to-kyiv Le ministre français de la défense, Sébastien Lecornu, a quant à lui déclaré dans une interview publiée dimanche dans La Tribune Dimanche que les responsables européens avaient plaidé auprès de l'administration Trump en faveur d'un renforcement des capacités de défense aérienne dans le cadre de tout paquet à venir. Il a déclaré que la France se trouvait dans un « trou de capacité » et devrait attendre l'année prochaine avant de pouvoir fournir à l'Ukraine de nouveaux missiles sol-air. The Guardian citait une interview de Lecornu par La Tribune Dimanche La voici, avec le passage concerné "Mais, dans l'immédiat, l'Ukraine a surtout besoin de protéger son ciel... C'est vrai et c'est pour cela que nos échanges continuent avec les États-Unis pour maintenir un niveau d'aide important sur le volet sol-air. C'est évidemment le domaine dans lequel l'aide américaine est la plus déterminante puisque la disponibilité des systèmes Patriot reste sous dépendance américaine. De notre côté, nous sommes dans un moment de trou capacitaire, car les choix du passé nous conduisent à devoir attendre 2026 et la nouvelle génération de dispositifs de défense sol-air SAMP/T-NG" Sauf erreur, le premier tir de qualification SAMP/T-NG a eu lieu fin 2024. Les premiers systèmes seront livrés en 2026. C'est donc à ce moment qu'il deviendra possible de fournir à l'Ukraine d'anciens systèmes SAMP/T devenus excédentaires Lecornu a raison, il s'agit des "choix du passé". En l'occurrence la diminution du nombre de SAMP/T, de 12 à 10 batteries sous Sarkozy, de 10 à 8 sous Hollande. La France est donc "à l'os" alors que nous n'en avons donné qu'un à Kiev A noter que les 12 batteries NG doivent être livrées entre 2026 et... 2035 (!) Heureusement que l'Europe est parfaitement en paix et qu'aucune guerre impliquant la France n'y est envisageable d'ici dix ans ! Sinon, s'il fallait par exemple imaginer une agression russe contre un pays Balte menant à affrontement contre Moscou en vertu du traité de l'alliance atlantique, avec donc potentielles frappes conventionnelles sur le territoire national au Kalibr, Kinjal ou Zircon, il faudrait craindre l'impossibilité de protéger suffisamment les principaux sites militaires et de la BITD française, par manque de batteries en nombre suffisant. Vous imaginez ? Heureusement, heureusement que c'est tout à fait improbable ! 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) le 14 juillet C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 juillet (modifié) Selon Axios (je n'ai pas d'avis sur la crédibilité de ce site), - Trump se préparerait à annoncer de grosses livraisons d'armes américaines à l'Ukraine, entièrement payées par les Européens, incluant non seulement des Patriot mais des armes à longue portée capables même d'atteindre Moscou (... Des Precision Strike Missile alors qu'ils viennent juste d'entrer en service ? Des JASSM-ER, plus probablement ?) - Ceci alors que Poutine aurait dit à Trump le 3 juillet que dans les 60 jours il lancerait une nouvelle offensive à grande échelle contre l'Ukraine (Ouverture d'un nouveau front du côté de Cherhihiv ? Poussée majeure vers Zaporijjia ?) "Le président Trump annoncera lundi un nouveau plan d'armement de l'Ukraine, qui devrait inclure des armes offensives, ont indiqué à Axios deux sources proches du dossier. Pourquoi est-ce important : L'envoi d'armes offensives constituerait un changement majeur pour Trump, qui s'était jusqu'à récemment efforcé de ne fournir que des armes défensives afin d'éviter une escalade du conflit. Les responsables américains, ukrainiens et européens espèrent que ces armes modifieront la trajectoire de la guerre et les prévisions du président russe Vladimir Poutine concernant un cessez-le-feu. Deux sources ont indiqué à Axios avoir des raisons de penser que le plan inclurait probablement des missiles longue portée capables d'atteindre des cibles situées en profondeur sur le territoire russe, y compris Moscou. Cependant, aucune des deux sources n'était au courant de la décision finale. « Trump est vraiment furieux contre Poutine. Son annonce de demain sera très agressive », a déclaré à Axios le sénateur Lindsey Graham (Républicain-Caroline du Sud). À la une : La nouvelle initiative, qui sera dévoilée lors d’une rencontre entre Trump et le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, impliquera le financement par les pays européens d’armes de fabrication américaine destinées à l’Ukraine. La Maison Blanche n’a pas répondu à une demande de commentaire. En coulisses : Le projet a été proposé par le président ukrainien Volodymyr Zelensky lors du sommet de l’OTAN il y a deux semaines. Des responsables américains et ukrainiens ont déclaré que la rencontre entre Trump et Zelensky lors du sommet était leur meilleure jusqu’à présent. « Zelensky est venu comme un être humain normal, pas fou, et était habillé comme quelqu’un qui devrait être à l’OTAN. Il était accompagné d’un groupe de personnes qui ne semblaient pas folles non plus. Ils ont donc eu une conversation enrichissante », a déclaré un responsable américain. Zelensky portait un costume lors du sommet pour la première fois depuis 2022. L’autre côté du rideau : Trump est de plus en plus frustré ces deux dernières semaines face à la réticence de Poutine à s’engager vers un cessez-le-feu et à l’escalade des attaques russes contre Kiev et d’autres villes. L'un des éléments qui a convaincu Trump d'emprunter cette voie a été l'appel téléphonique du 3 juillet, au cours duquel Poutine a clairement indiqué son intention d'intensifier la guerre. Poutine a indiqué qu'au cours des 60 prochains jours, il redoublerait d'efforts pour occuper des territoires jusqu'aux frontières administratives des régions ukrainiennes où la Russie a une présence significative. « Il veut tout prendre », a déclaré Trump au président français Emmanuel Macron peu après son appel avec Poutine, selon une source proche du dossier. Dans les jours qui ont suivi, le projet d'armement est passé du stade d'idée à celui de projet plus concret. Ce qu'il dit : Trump a déclaré aux journalistes dimanche soir que les armes qu'il enverrait à l'Ukraine via les pays européens comprendraient « divers équipements militaires très sophistiqués », dont des batteries de défense aérienne Patriot. Trump a déclaré que les pays européens « nous les paieraient à 100 %. Ce sera une affaire pour nous ». Il a ajouté qu'il était « très déçu » par Poutine, qui a déclaré vouloir la paix et intensifié ses attaques contre l'Ukraine." Encore une fois, je ne sais pas ce que vaut ce site. Mais comme ils font une prédiction précise du contenu de l'allocution de Trump aujourd'hui, ils seront aujourd'hui soit démentis soit confirmés Et dans ce cas on pourra parler du reste. L'offensive majeure qu'aurait annoncée Poutine, notamment Modifié le 14 juillet par Alexis 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cunégonde Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet (modifié) Axios et Politico sont plutôt fiables et réputés, comme sources. Modifié le 14 juillet par Cunégonde 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet Ce n'est pas tant le problème des sources à mon sens. C'est que Trump lui-même ne sait pas l'heure d'avant ce qu'il va faire. Quant à Lindsey Graham, ce n'est pas une source fiable non plus et il n'est pas dans le premier cercle. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet Le 12/07/2025 à 23:42, olivier lsb a dit : On en sait rien, à part qu'il y a eu: - une déclaration contraire de Sean Parnell - Une décision prise solo de Hegseth, dont les compétences militaires ne sont pas la première des qualités - POTUS maintenu hors de la décision, qui semble vouloir faire machine arrière - Un équilibre production / consommation de PAC3 difficile à estimer, mais pas nécessairement négatif, avec des accroissements significatifs de capacités industrielles (cf l'usine en Allemagne en cours d'ouverture). Au vu des engagements planifiés par les US, des RETEX récents et des productions passées connues, il serait très surprenant que les stocks de Patriot existant au sein de l'armée US soient à la hauteur des ambitions US, et pour longtemps... Ceci dit les décisions de POTUS prévaudront en effet. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet https://www.russiamatters.org/blog/no-perfect-solutions-jake-sullivan-policy-making-strategy-turbulent-times (9 mai 2025) M. Sullivan a expliqué que la décision de ne pas fournir d'ATACMS avait été prise sur la base de l'état de préparation militaire et non de préoccupations liées à l'escalade. Le secrétaire à la défense de l'époque, Lloyd Austin, avait indiqué à M. Sullivan que la fourniture des ATACMS demandés par l'Ukraine rendrait les stocks américains restants insuffisants pour dissuader les adversaires et assurer la défense du territoire. Le transfert d'ATACMS à l'Ukraine n'a été possible que grâce à une initiative réussie en 2023 visant à augmenter les stocks américains d'ATACMS. M. Sullivan a également répondu aux préoccupations selon lesquelles ces décisions ont été prises avec une prudence excessive liée à la crainte d'une escalade nucléaire russe. M. Sullivan a insisté sur un thème omniprésent dans son discours, à savoir que le calcul des risques par les États-Unis avait considérablement changé depuis 2022. L'espace de bataille de 2022, a fait valoir M. Sullivan, avec le front pliant sous l'avancée ukrainienne et les forces russes battant en retraite, était intrinsèquement différent de celui de 2024. Les approches américaines ont été modifiées en conséquence et l'ATACMS a reçu l'autorisation de tirer en territoire russe. M. Sullivan a conclu qu'à ce jour, les États-Unis ont fourni à l'Ukraine la plus grande partie possible de leur stock d'ATACMS et qu'ils « n'ont plus rien à donner ». Interrogé sur son évaluation des contributions européennes à l'effort ukrainien, M. Sullivan a fermement défendu le bilan des alliés des Etats-Unis. Collectivement, les pays européens ont fourni plus d'aide financière à l'Ukraine que les États-Unis, a affirmé M. Sullivan, tout en renforçant les sanctions ainsi que la production et la fourniture d'armes à l'Ukraine. M. Sullivan a également souligné que certains pays européens, comme l'Allemagne, avaient pris la décision très difficile de réduire leur dépendance à l'égard du gaz russe bon marché, ce qui continue d'avoir des conséquences politiques pour les gouvernements qui ont pris cette décision. 16 avril 2025. 01:03:10 Jake Sullivan : Je voudrais juste dire pour conclure, que nous avons fini par fournir à l'Ukraine un nombre très significatif de ces systèmes, jusqu'au point où, encore une fois, nous n'en n'avons plus à donner. Mais l'idée qu'ils ont fait une différence majeure opérationnellement dans la guerre n'est pas étayée par les preuves. Beaucoup a été mis sur la décision des ATACMs pour suggérer : "oh si seulement vous aviez donné des ATACMs, la guerre aurait changé du tout au tout". Et pourtant le retour d'expérience de l'utilisation des ATACMs par l'Ukraine sur le champ de bataille suggère, je pense, que tel n'est pas le cas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet https://news.un.org/fr/story/2025/07/1157099 (10 juillet 2025) À Rome, la reconstruction de l’Ukraine se heurte à l’escalade du conflit Près de quatre millions de personnes sont encore déracinées à l’intérieur de l’Ukraine, et cinq millions de réfugiés vivent à l’étranger, selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Selon l’OIM, plus de quatre millions de personnes sont déjà revenues dans leur région d’origine, dont un quart depuis l’étranger, souvent sans accompagnement ni soutien structuré. L’agence onusienne plaide pour des approches « fondées sur les territoires » et une implication active de la diaspora. Selon de nouvelles données publiées jeudi par l’Unicef, 70 % des enfants en Ukraine – soit 3,5 millions – sont aujourd’hui privés d’accès à des biens et services de base, tels qu’une alimentation suffisante, un logement adapté ou des fournitures scolaires. Ce chiffre est quatre fois plus élevé qu’avant l’invasion à grande échelle de février 2022. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet il y a 53 minutes, Wallaby a dit : 16 avril 2025. 01:03:10 Jake Sullivan : Je voudrais juste dire pour conclure, que nous avons fini par fournir à l'Ukraine un nombre très significatif de ces systèmes, jusqu'au point où, encore une fois, nous n'en n'avons plus à donner. Mais l'idée qu'ils ont fait une différence majeure opérationnellement dans la guerre n'est pas étayée par les preuves. Beaucoup a été mis sur la décision des ATACMs pour suggérer : "oh si seulement vous aviez donné des ATACMs, la guerre aurait changé du tout au tout". Et pourtant le retour d'expérience de l'utilisation des ATACMs par l'Ukraine sur le champ de bataille suggère, je pense, que tel n'est pas le cas. L'arme miracle n'existe pas, mais elles demeurent une condition nécessaire (mais pas suffisante). Sullivan nous sert un faux dilemme, mais on avait l'habitude avec lui. Il voudrait par ailleurs qu'on lui démontre qu'en l'absence de ces armes, la situation n'aurait pas empiré, c'est ridicule. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet il y a 11 minutes, olivier lsb a dit : Sullivan nous sert un faux dilemme, mais on avait l'habitude avec lui. Il voudrait par ailleurs qu'on lui démontre qu'en l'absence de ces armes, la situation n'aurait pas empiré, c'est ridicule. Ridicule est un point de vue, car l'inverse est aussi vrai : J'ai installé des sifflets anti ours autour de la maison, je n'en ai pas vu un seul depuis. Est ce que ça démontre que mon équipement est efficace, où est ce qu'il faut que je me demande si ils étaient nécessaires et qu'ils ont changés la donne ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet il y a 27 minutes, olivier lsb a dit : L'arme miracle n'existe pas, mais elles demeurent une condition nécessaire (mais pas suffisante). Sullivan nous sert un faux dilemme, mais on avait l'habitude avec lui. Il voudrait par ailleurs qu'on lui démontre qu'en l'absence de ces armes, la situation n'aurait pas empiré, c'est ridicule. Ce n'est pas ridicule, c'est aussi une critique des pressions exercées sous une forme d'ultimatum, avec un choix présenté tout aussi faux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet Donc Trump va peut être finir par envoyer des armes à l'Ukraine, pour que sa femme arrête de se moquer de lui... Epoque extraordinaire. 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet il y a 8 minutes, olivier lsb a dit : Donc Trump va peut être finir par envoyer des armes à l'Ukraine, pour que sa femme arrête de se moquer de lui... Epoque extraordinaire. Les agents du FSB ne sont plus ce qu'ils étaient!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Colstudent Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet Il faudrait combien de Patriot pour rendre le ciel Ukrainien a peu prêt imperméable ? Les Russes peuvent se retrouver à réfléchir si du quantitatif arrive sur le front ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet il y a 3 minutes, Colstudent a dit : Il faudrait combien de Patriot pour rendre le ciel Ukrainien a peu prêt imperméable ? Les Russes peuvent se retrouver à réfléchir si du quantitatif arrive sur le front ? Toute arrivée sera utile aux FAU et néfaste aux Russes, mais espérer rendre étanche le ciel ukrainien est illusoire, comme l'exemple israélien le démontre. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet (modifié) Il y a 9 heures, Alexis a dit : The Guardian citait une interview de Lecornu par La Tribune Dimanche La voici, « Mais nous ne sommes pas là pour agiter les peurs ou les inquiétudes ». Le même Lecornu qui disait "nous ne sommes plus en paix", mais c'était pas pour agiter les peurs, hein. https://www.defense.gouv.fr/actualites/paris-defence-and-strategy-forum-renforcer-defense-europeenne Nous ne sommes pas en guerre, mais nous ne sommes plus en paix. C’est ce qu’il fallait retenir du discours de Sébastien Lecornu, ministre des Armées, pour l’ouverture de la seconde édition du Paris Defence and Strategy Forum, ce 11 mars 2025. En tout cas ces gens qui n'ont que le mot de "défense" à la bouche, ne se mobilisent pas pour défendre la langue française ! Sur ce terrain, c'est la capitulation qui est à l'ordre du jour. Modifié le 14 juillet par Wallaby 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 14 juillet Share Posté(e) le 14 juillet Il y a 2 heures, gustave a dit : Les agents du FSB ne sont plus ce qu'ils étaient!!! Je reste très sceptique sur cette annonce: elle n'est pas encore matérialisée et reprend la philosophie de l'administration Biden (aide au compte goutte) + facturation au client européen. On est très très loin du Trump art of the deal, qui va menacer Poutine d'une aide massive à l'Ukraine s'il ne s'assoit pas sérieusement à la table des négociations. D'ailleurs, on est passé de deux semaines de temps réglementaires de réflexion, à 50 jours donnés à Poutine. Il en tremble ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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