pascal Posté(e) il y a 6 heures Share Posté(e) il y a 6 heures Jo Kennedy n'était pas démocrate il était bootlegger... Se payer les démocrates en évoquant Jo Kennedy est aussi fallacieux que de ramener le GOP à Trump 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures Il y a 2 heures, herciv a dit : Actuellement chaque fois que Trump dit qu'il va rencontrer Poutine, et Poutine et les Européens et Zelensky font tout pour le neutraliser et faire semblant que c'est lui qui maitrise le scénario en cours. Plus personne ne croit qu'il obtiendra une quelconque avancé de Poutine et comme il ne veut plus alimenter les ukrainiens, il est hors jeu. Note qu'il s'y est mis tout seul mais que même sans lui les US avaient de plus en plus de mal à alimenter ce conflit à cause de stock et de capacité industrielles à la traine sur plusieurs plans. Tu explicite toi-même que DT est au centre du jeu tout en proclamant ensuite l'inverse... Il n'y a guère de doute qu'il l'est toujours, et pour quelques temps. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures Non mais c'est pas possible que Poutine n'ait pas quelque chose contre Trump. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures il y a une heure, Ciders a dit : Non mais c'est pas possible que Poutine n'ait pas quelque chose contre Trump. Oh really ? Non je t'assure, onapalapreuve. D'ailleurs, honni soit qui mal y pense, car le premier qui dégaine se fera détruire par les services fédéraux. Comey ou Bolton en savent quelque chose. Mais chut, ce ne sont pas des preuves, et un agent à la botte de Poutine aurait surement fait différemment. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/09/26/l-inculpation-de-james-comey-ancien-directeur-du-fbi-marque-le-debut-des-vengeances-judiciaires-de-donald-trump_6642977_3210.html Citation L’inculpation de James Comey, ancien directeur du FBI, marque le début des vengeances judiciaires de Donald Trump Le président américain avait demandé à la ministre de la justice de poursuivre l’ancien responsable de la police fédérale, désormais accusé de faux témoignage et d’obstruction. D’autres adversaires politiques pourraient subir le même sort. Par Piotr Smolar (Washington, correspondant) « Justice en Amérique ! », a triomphé Donald Trump, en lettres capitales, sur son réseau, Truth Social. La vengeance promise par le président américain à ceux qui l’ont tourmenté par le passé a dorénavant un premier visage : celui de l’ancien directeur de la police fédérale (FBI) James Comey. Il a été inculpé, jeudi 25 septembre, par un grand jury de Virginie pour « faux témoignage » et « obstruction d’une procédure au Congrès ». Il ne fait aucun doute que cet acte d’une gravité historique, aux conséquences judiciaires encore très incertaines, relève d’un ordre de Donald Trump lui-même, malgré ses dénégations. Il s’agit, par conséquent, d’une promesse de persécutions plus larges, au périmètre non défini, alors que le président des Etats-Unis a étendu son pouvoir comme aucun de ses prédécesseurs. Pour lui, la présomption d’innocence est un concept ne s’appliquant pas à ses ennemis. Le président a qualifié James Comey, dans son message, d’« un des pires êtres humains auxquels ce pays ait jamais été exposé », évoquant ses « crimes contre la nation ». Le document d’inculpation ne fait qu’une page et demie. Il a été rédigé sous l’autorité de la procureure générale du district est de Virginie, Lindsey Halligan, en poste depuis lundi 22 septembre seulement. Ancienne avocate de Donald Trump, puis conseillère à la Maison Blanche, elle a été nommée en urgence à la place d’Erik Siebert, qui n’obéissait pas aux ordres du président. Ce dernier a clairement exprimé son souhait, sur Truth Social, de voir déclencher des poursuites contre James Comey, ainsi que contre Letitia James, la procureure de l’Etat de New York, sa ville de cœur, où il a été condamné au pénal pour falsification de documents comptables. « Ça tue notre crédibilité » Dans un message, publié le 20 septembre, qui semblait être destiné à la seule lecture de la ministre de la justice, Pam Bondi, Donald Trump exprimait son exaspération, en citant ces deux personnalités, ainsi que le sénateur démocrate de Californie Adam Schiff. « Nous ne pouvons plus reporter, ça tue notre réputation et notre crédibilité », prétendait le président. « Justice doit être faite, maintenant !!! », concluait-il. L’ordre était donné, la vengeance politique le motivait. Donald Trump était d’autant plus pressé que la prescription des faits pour James Comey débutait dans quelques jours. Depuis presque une décennie, son nom, assorti d’insultes, revient de façon obsessionnelle dans les discours de Donald Trump lorsqu’il prétend dénoncer les basses œuvres d’un Etat profond ligué contre lui. L’ancien directeur du FBI est mis en cause pour d’éventuels mensonges à l’occasion de son témoignage devant le Congrès, le 30 septembre 2020, dans l’enquête sur les soupçons de collusion entre la Russie et l’équipe de campagne de Donald Trump, en 2016. Une collusion qui aurait permis la révélation par le site WikiLeaks des e-mails du comité national démocrate sur la campagne de Hillary Clinton. James Comey avait, pour sa part, rouvert l’enquête sur les courriers électroniques privés de la candidate seulement onze jours avant l’élection présidentielle de novembre 2016, favorisant ainsi, par ricochet, la victoire de Trump. Selon le document d’inculpation, James Comey aurait menti, devant la commission sénatoriale, en prétendant qu’il n’avait jamais autorisé quiconque dans son entourage au FBI à organiser des fuites concernant le milliardaire vers la presse. Ce quiconque aurait été son adjoint, Andrew McCabe. « Je n’ai pas peur » Donald Trump avait renvoyé James Comey de son poste de directeur, en mai 2017, alors qu’il effectuait la quatrième année d’un mandat de dix ans. Quelques jours plus tard, le FBI ouvrait une nouvelle enquête visant le président en exercice, pour tenter d’établir si ce dernier travaillait au profit des intérêts de la Russie. Dans son rapport publié en mars 2019, le procureur spécial Robert Mueller avait conclu qu’il n’était pas possible de démontrer que « des responsables de la campagne Trump, ni aucune personne qui y était associée, ont conspiré ou se sont coordonnés avec le gouvernement russe, en dépit de multiples offres d’individus liés à la Russie pour [les] aider ». Après avoir dénigré le travail de M. Mueller pendant toute son enquête, Donald Trump s’était réjoui de ses conclusions. Elles lui avaient servi d’appui pour dénoncer la supercherie dite « du Russia, Russia, Russia » et l’instrumentalisation de la justice et du FBI contre lui. Dans une courte vidéo à la teneur assez extraordinaire, James Comey a réagi, jeudi soir, sur Instagram. « Ma famille et moi savions depuis des années qu’il y avait un coût à s’opposer à Donald Trump, mais on ne pouvait pas s’imaginer vivre d’une autre façon, explique-t-il. Nous ne vivrons pas à genoux, et vous ne devriez pas vivre ainsi non plus. Quelqu’un que j’aime profondément [sa fille, Maurene Comey, procureure fédérale de Manhattan, licenciée brutalement en juillet par le ministère de la justice] a dit récemment que la peur est l’instrument des tyrans, et elle a raison. Mais je n’ai pas peur. Et j’espère que vous non plus. J’espère, au contraire, que vous êtes engagés, que vous prêtez attention, et que vous voterez comme si votre pays adoré en dépendait, ce qui est le cas. Mon cœur saigne pour le département de la justice, mais j’ai une grande confiance dans le système judiciaire fédéral. Je suis innocent. Alors allons au procès, et gardons la foi. » Il s’agit d’une « journée triste, sombre et vraiment effrayante pour l’Amérique », a résumé, sur CNN, le sénateur démocrate du Connecticut Richard Blumenthal, membre de la commission judiciaire. Au-delà du seul sort de James Comey, la gravité du moment réside dans le naufrage de l’Etat de droit aux Etats-Unis. L’un des principes cardinaux, depuis un demi-siècle et le scandale du Watergate, sous le mandat de Richard Nixon, était la muraille dressée entre le pouvoir exécutif et le ministère de la justice sur les affaires sensibles, pour éviter toute manipulation. Une muraille qui a justifié, de façon régulière, la désignation de procureurs spéciaux pour enquêter avec une latitude complète. Une muraille anéantie depuis le retour de Donald Trump. Le directeur actuel du FBI, Kash Patel, et Pam Bondi assument ouvertement que leur mission consiste à servir les intérêts et les demandes du président. L’adjoint de la ministre ? Il s’agit de Todd Blanche, l’un des avocats les plus impliqués dans la défense de Donald Trump, en 2023 et en 2024, lors des inculpations et du procès de ce dernier, à New York. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures (modifié) il y a 22 minutes, olivier lsb a dit : Non je t'assure, onapalapreuve. D'ailleurs, honni soit qui mal y pense, car le premier qui dégaine se fera détruire par les services fédéraux. Comey ou Bolton en savent quelque chose. Mais chut, ce ne sont pas des preuves, et un agent à la botte de Poutine aurait surement fait différemment. Exactement. Mais non, tout le monde sait, partout, depuis toujours, et se tait, évidemment. Même les anciens responsables des services spéciaux US opposés ouvertement à DT et qui n'ont pas même évoqué cette hypothèse. Mais ce n'est pas du complotisme hein, car c'est EVIDENT! On évite d'en reparler quand cela apparait complètement incohérent avec les faits, mais de temps en temps il y vaguement quelque chose qui pourrait s'y rapporter et il faut alors sauter sur l'occasion... Modifié il y a 2 heures par gustave 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rivelo Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures 2 minutes ago, gustave said: Exactement. Mais non, tout le monde sait, partout, depuis toujours, et se tait, évidemment. Mais ce n'est pas du complotisme hein, car c'est EVIDENT! On évite d'en reparler quand cela apparait complètement incohérent avec les faits, mais de temps en temps il y vaguement quelque chose qui pourrait s'y rapporter et il faut alors sauter sur l'occasion... OK, question sérieuse pour toi alors si Trump n'est pas soumis à un chantage Epstein/Mossad/ SVR : c'est quoi alors ta théorie alternative pour expliquer pourquoi Trump essaye de briser le président ukrainien, par extension l'Ukraine, pour les forcer à accepter une paix dictée par la Russie ? On est loin d'un isolationnisme classique (dans ce cas, il se désintéresserait juste du truc après avoir coupé les financements, là il mouille la chemise). Une question d'ego (il voudrait mettre un armistice entre la Russie et l'Ukraine à son tableau de chasse, et peu importe les moyens pour arriver à cette fin) ? Une question de gros sous (il a prévu de se faire lui et son clan un max de blé dans des opérations commerciales futures avec la Russie) ? Parmi ses soutiens, quelqu'un a un intérêt très fort à faire la paix avec le Russie et il est en mission ? La CIA sait que la date d'invasion de Taiwan est fixée au 5 Novembre et il est urgent d'obtenir un armistice sur le front de l'Est de l'Europe ?? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures "Trump" pense/espère que la Russie est reconciliable... Et surtout qu'il en a besoin dans le cadre de la confrontation avec la Chine. L'autre souci c'est qu'à mon sens les USA estiment qu'ils sont trop loin et la Russie trop près pour pouvoir gagner durablement sans que cela ait un coût inapproprié avec les besoins des USA. C'était déjà la position sous Obama d'ailleurs. Pour le reste Trump et les USA n'aiment pas que leur vassaux exprime via une capacité de nuisance trop importante une possibilité de chier sur la table... Et donc régulièrement ils ressentent le besoin de montrer qu'ils brisent le bras de celui qui ne veut pas suivre leur plan. Reste que la position publique des USA a à mon sens plus à voir avec une posture médiatique qu'avec l'expression de tel ou tel plan. Dans toutes les communications de politiques étrangère une grande partie du message vise la clientèle domestique... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures Il y a 2 heures, Ciders a dit : Non mais c'est pas possible que Poutine n'ait pas quelque chose contre Trump. il y a une heure, olivier lsb a dit : Oh really ? Non je t'assure, onapalapreuve. D'ailleurs, honni soit qui mal y pense, car le premier qui dégaine se fera détruire par les services fédéraux. Comey ou Bolton en savent quelque chose. Mais chut, ce ne sont pas des preuves, et un agent à la botte de Poutine aurait surement fait différemment. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/09/26/l-inculpation-de-james-comey-ancien-directeur-du-fbi-marque-le-debut-des-vengeances-judiciaires-de-donald-trump_6642977_3210.html il y a 44 minutes, gustave a dit : Exactement. Mais non, tout le monde sait, partout, depuis toujours, et se tait, évidemment. Même les anciens responsables des services spéciaux US opposés ouvertement à DT et qui n'ont pas même évoqué cette hypothèse. Mais ce n'est pas du complotisme hein, car c'est EVIDENT! On évite d'en reparler quand cela apparait complètement incohérent avec les faits, mais de temps en temps il y vaguement quelque chose qui pourrait s'y rapporter et il faut alors sauter sur l'occasion... il y a 34 minutes, Rivelo a dit : OK, question sérieuse pour toi alors si Trump n'est pas soumis à un chantage Epstein/Mossad/ SVR : c'est quoi alors ta théorie alternative pour expliquer pourquoi Trump essaye de briser le président ukrainien, par extension l'Ukraine, pour les forcer à accepter une paix dictée par la Russie ? On est loin d'un isolationnisme classique (dans ce cas, il se désintéresserait juste du truc après avoir coupé les financements, là il mouille la chemise). Une question d'ego (il voudrait mettre un armistice entre la Russie et l'Ukraine à son tableau de chasse, et peu importe les moyens pour arriver à cette fin) ? Une question de gros sous (il a prévu de se faire lui et son clan un max de blé dans des opérations commerciales futures avec la Russie) ? Parmi ses soutiens, quelqu'un a un intérêt très fort à faire la paix avec le Russie et il est en mission ? La CIA sait que la date d'invasion de Taiwan est fixée au 5 Novembre et il est urgent d'obtenir un armistice sur le front de l'Est de l'Europe ?? il y a 13 minutes, g4lly a dit : "Trump" pense/espère que la Russie est reconciliable... Et surtout qu'il en a besoin dans le cadre de la confrontation avec la Chine. L'autre souci c'est qu'à mon sens les USA estiment qu'ils sont trop loin et la Russie trop près pour pouvoir gagner durablement sans que cela ait un coût inapproprié avec les besoins des USA. C'était déjà la position sous Obama d'ailleurs. Pour le reste Trump et les USA n'aiment pas que leur vassaux exprime via une capacité de nuisance trop importante une possibilité de chier sur la table... Et donc régulièrement ils ressentent le besoin de montrer qu'ils brisent le bras de celui qui ne veut pas suivre leur plan. Reste que la position publique des USA a à mon sens plus à voir avec une posture médiatique qu'avec l'expression de tel ou tel plan. Dans toutes les communications de politiques étrangère une grande partie du message vise la clientèle domestique... Je pense que le poutinisme de Donald tient probablement juste à une affinité pour les "hommes forts" et les autocrates en tout genre. L'idée d'un chantage me dérange, car pour ce qu'on en sait, Trump est peut être effectivement un amateur d'urophile et que les services russes en ont la preuve en image avec des prostitués lui faisant pipi dessus ; mais le truc est que j'ai du mal à imaginer Trump avoir honte de quoique ce soit... Après tout Epstein - une autorité en la matière...-se confiant à un ami disait de lui que "son problème était qu'il n'avait pas de conscience". probablement à traduire par "il n'existe pas de levier sur lui par l'intermédiaire du chantage". Bref, l'hypothèse n'est pas déraisonnable en soi, mais quelque peu superflue au vu de ce que l'on sait de l'actuel locataire de la Maison Blanche. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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