Desty-N Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures Il y a 16 heures, Rivelo a dit : Pour rendre le truc encore plus clair... ou pas : https://www.theguardian.com/world/2025/nov/19/us-and-russian-officials-draft-new-peace-plan-based-on-capitulation-from-ukraine Pour rajouter à la clarté, Moscou accuse Kiev d’avoir tiré sur Voronezh , dans le sud de la Russie, avec des missiles ATACMS américains https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/russia-says-ukraine-fired-us-made-atacms-missiles-voronezh-2025-11-19/ Reuters precise bien que l’Ukraine possède ce genre d’armes depuis 2023, maïs Washington en avait initialement interdit l’usage sur le territoire russe. Je commence à trouver que ça ressemble beaucoup à une bonne vieille tactique « carotte et bâton »: « Regarde Vladimir, si tu signes ce traité, tu auras tout ce que tu réclames… Tu traînes les pieds? D’accord, mais dans ce cas, tu risques de te prendre quelques méchants missiles en plus. » Pas sûr que ça marche, mais il y aurait une certaine logique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures (modifié) il y a 19 minutes, Ciders a dit : Capitulation donc : Corentin Sellin sur X/Twitter : Il faut mesurer le changement- pour le coup- vraiment historique de cap des #EtatsUnis en 10 mois: de la défense de la #démocratie en Europe dans la lignée de FDR avec l'#Ukraine comme rempart à l'alignement sur la dictature russe et le lâchage en rase campagne des Européens...2/ Il faudrait que quelqu'un explique à Mr Sellin - "Prof agrégé d'histoire" quand même - que FDR est le président américain qui a signé... Yalta. Si Trump devait parvenir avec Poutine à un nouveau partage de l'Europe en zones d'influences, il serait le digne successeur de FDR et non un changeur de cap. Et demandez aux Polonais s'ils n'ont pas été "lâchés en rase campagne" par FDR. Modifié il y a 3 heures par Wallaby Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures il y a 48 minutes, Wallaby a dit : Corentin Sellin sur X/Twitter : Il faut mesurer le changement- pour le coup- vraiment historique de cap des #EtatsUnis en 10 mois: de la défense de la #démocratie en Europe dans la lignée de FDR avec l'#Ukraine comme rempart à l'alignement sur la dictature russe et le lâchage en rase campagne des Européens...2/ Il faudrait que quelqu'un explique à Mr Sellin - "Prof agrégé d'histoire" quand même - que FDR est le président américain qui a signé... Yalta. Si Trump devait parvenir avec Poutine à un nouveau partage de l'Europe en zones d'influences, il serait le digne successeur de FDR et non un changeur de cap. Et demandez aux Polonais s'ils n'ont pas été "lâchés en rase campagne" par FDR. Il faudrait rappeler qu'à Yalta, Américains et Soviétiques étaient alliés contre un ennemi identifié. Est-ce à dire que dans ton esprit, l'Ukraine est l'ennemie commune des Etats-Unis et de la Russie ? Quant aux Polonais, il est tout aussi intéressant de constater qu'entre le souvenir de la 2GM et celui de la Guerre Froide, ils aient choisi de se protéger de façon extrêmement forte contre la Russie. Il faut croire que certaines périodes ont laissé plus de traces que d'autres. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rivelo Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures 49 minutes ago, Desty-N said: Pour rajouter à la clarté, Moscou accuse Kiev d’avoir tiré sur Voronezh , dans le sud de la Russie, avec des missiles ATACMS américains https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/russia-says-ukraine-fired-us-made-atacms-missiles-voronezh-2025-11-19/ Reuters precise bien que l’Ukraine possède ce genre d’armes depuis 2023, maïs Washington en avait initialement interdit l’usage sur le territoire russe. Je commence à trouver que ça ressemble beaucoup à une bonne vieille tactique « carotte et bâton »: « Regarde Vladimir, si tu signes ce traité, tu auras tout ce que tu réclames… Tu traînes les pieds? D’accord, mais dans ce cas, tu risques de te prendre quelques méchants missiles en plus. » Pas sûr que ça marche, mais il y aurait une certaine logique. Cela ressemble un peu à ça... Autre information : à la machine à café ce matin (... comme quoi cela sert de temps en temps !), j'ai appris en discutant avec un juriste de ma boite que les sanctions américaines contre Lukoil Retail qui devaient être mise en œuvre le 14 Novembre avait été décalée d'un mois (nouvelle échéance 13 Décembre) à la dernière minute vendredi dernier. C'était tombé un peu par surprise alors que l'on faisait de préparatifs pour arrêter certains flux financiers. Je trouve que cela éclaire d'un jour nouveau cette discussion à Miami qui a eu lieu en dehors des canaux diplomatiques habituels ces derniers jours... 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures https://www.nytimes.com/2025/11/19/world/europe/us-russia-ukraine-peace-plan.html Il s'agit de la dernière initiative de l'administration Trump pour relancer les négociations de paix qui sont au point mort depuis près de quatre ans. Mais certains commentateurs ukrainiens ont également vu dans cette proposition une tentative de la Russie de faire pression sur l'Ukraine pour obtenir des concessions alors que le gouvernement du président Volodymyr Zelensky est affaibli par un scandale de corruption à haut niveau, qui pourrait dissuader les alliés d'envoyer de l'aide. Kiev subit également une pression croissante sur le champ de bataille, les forces de Moscou remportant des victoires contre une armée ukrainienne qui est à bout de souffle. « Une chose est claire », a déclaré Kostiantyn Yelisieiev, ancien conseiller présidentiel en politique étrangère. « La position de l'Ukraine n'est pas forte actuellement, et cela est visible non seulement à l'intérieur du pays, mais aussi par nos partenaires, y compris les États-Unis, et bien sûr par l'agresseur. » M. Yelisieiev fait partie de l'opposition politique à M. Zelensky. Une délégation de hauts responsables militaires américains est arrivée mercredi à Kiev pour s'entretenir avec les autorités ukrainiennes afin de sortir de l'impasse. M. Zelensky cherche lui aussi à relancer les pourparlers de paix, au point mort depuis longtemps. Il a rencontré mercredi en Turquie, où l'Ukraine et la Russie ont déjà mené plusieurs cycles de discussions, le président Recep Tayyip Erdogan. M. Erdogan a proposé de servir de médiateur entre la Russie et l'Ukraine. L'armée ukrainienne est sous tension et manque de soldats. Des analystes et des membres du Parlement ukrainien affirment que des brèches de plus de 500 mètres se sont ouvertes sur certains tronçons de la ligne de front. De plus en plus, l'Ukraine ne compte plus sur l'infanterie dans les tranchées, mais sur des soldats pilotant des drones explosifs pour ralentir l'assaut. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Desty-N Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures J'ai vu passer quelques mentions sur la société Alta Ares, mais elles restent centrées sur les drones. A ma connaissance seul @Picdelamirand-oil a fait le lien avec le JATEC (Joint Analysis, Training and Education Centre) Pour essayer de résumer ce que j'ai lu sur différents postes et d'autres sites : le JATEC a pour mission d' analyser les leçons tirées de la guerre en Ukraine, en intégrant l'expérience du conflit dans les doctrines, la formation et les capacités militaires de l'OTAN et de l'Ukraine. Vers avril, ils ont lancé un appel d'offre pour lutter contre les drones type Sahed, et c'est Alta Ares qui a été sélectionnée. Les drones ne constituent qu'une partie d'une plateforme modulaire, mais visiblement, la partie cruciale, c'est "Pixel Lock" , l'algorithme d’IA embarqué à des fins de ciblage. A priori, ça sert pour le guidage terminal. Dès que la cible apparait sur les capteurs optroniques, l'engin ukrainien l'identifie et se dirige vers elle pour l'intercepter. Alta Ares promet que ce processus sera entièrement automatisé, avec un taux de succès passant de 45 à 65% et une portée d'au moins 18 km. Ils entendent aussi fabriquer leurs propres drones x-wings, dont 85 % des composants seraient européens (les 15 % restants viendraient de Taïwan) et dans une usine capable de produire en grande série, sans risquer de se prendre un missile russe ( https://www.challenges.fr/entreprise/defense/ce-drone-est-une-premiere-mondiale-alta-ares-degaine-un-drone-tueur-de-shahed-ultra-rapide_630888 ) Vu qu'on augmente pas la cadence d'une chaine de production en claquant des doigts, et que les annonces officielles datent de fin octobre, je m'attend à un déploiement (très) progressif. Mais je pense que pour la fin de l'année, on devrait 2-3 sites placés sous la protection de ce genre de dômes. Cela m'étonnerait que Kiev crie sur les toits quelles installations seront concernées, mais Wikipedia ( https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_power_stations_in_Ukraine ) donne une liste des principales centrales électriques en Ukraine. Je serais curieux de savoir si certaines d'entre elles subiront moins de dégâts d'ici Pâques prochain? Tout comme il pourrait s'avérer intéressant de comparer la fréquence des coupures de courant au premier trimestre 2026, par rapport à la même période en 2025, en Ukraine. Par contre, je n'ai aucun doute sur le fait que les Russes vont réagir et déployer des contre-mesures, à commencer par le Geran-3, utilisant des réacteurs, et donc plus rapide , ce qui va le rendre très difficile à atteindre pour un engin à hélices comme le X-wing. En revanche, ça va le rendre plus cher et avec une portée moindre. Sans oublier qu'Alta Ares se prépare sûrement déjà à cette évolution avec le BlackBird, lui aussi équipé de réacteurs, comme l'a mentionné @Bechar06 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures https://carnegieendowment.org/research/2025/10/unfreezing-politics-ukraines-internal-battlefield (23 octobre 2025) Alors que la plupart des Ukrainiens sont confrontés à une aggravation de la pauvreté, les revenus des responsables gouvernementaux et des fonctionnaires augmentent. Cette tendance a commencé en 2024, lorsque le Conseil des ministres a contourné le Parlement pour augmenter les salaires. Une loi récemment adoptée prévoit de presque doubler les salaires des responsables gouvernementaux cette année. Les employés ordinaires des ministères gagnent désormais entre 40 000 et 50 000 hryvnia ukrainiennes par mois (environ 1 000 à 1 200 dollars), et les hauts fonctionnaires plus de 200 000 hryvnia (près de 5 000 dollars). Cela dépasse de loin le salaire mensuel moyen estimé à environ 24 500 hryvnia (environ 600 dollars). Aujourd'hui, les quelque 2,5 millions de fonctionnaires forment une classe bureaucratique privilégiée, bénéficiant de revenus relativement sûrs et d'un accès à des logements et des services financés par l'État. Cette nouvelle élite administrative pourrait devenir un élément clé de la base électorale de Zelensky. Bien que les positions ouvertement pro-russes restent politiquement toxiques, les appels à une paix négociée – présentée non pas comme une capitulation mais comme un réalisme stratégique – refont surface. Cet espace, politiquement non représenté mais socialement présent, n'est pas insignifiant. Il a soutenu les percées électorales de Porochenko en 2014 et de Zelensky en 2019, qui ont tous deux fait campagne sur un programme de paix. Face à une opposition fragmentée et réactive, la présidence met en place une structure plus centralisée et sophistiquée d'alternatives politiques contrôlées. Cette stratégie, fondée sur une conception préventive et une pluralité contrôlée, n'est pas nouvelle, mais son ampleur actuelle marque une rupture significative avec les pratiques passées. Ces formations comprennent un bloc présidentiel rebaptisé, potentiellement dirigé par Zaluzhny, s'il coopère, ou par Mykhailo Fedorov, le vice-Premier ministre populaire et féru de technologie. Une autre idée qui circule dans les cercles politiques de Kiev est la création d'un parti militaro-patriotique ancré par Budanov et des unités de combat d'élite comme le régiment Azov et la 3e brigade d'assaut, destiné à mobiliser les vétérans et les nationalistes. Le flanc libéral-démocrate peut se rallier autour de figures progressistes urbaines telles que Serhiy Prytula, un showman devenu activiste, et Serhiy Sternenko, activiste de l'époque de la Révolution de la dignité. (Les deux hommes dirigent la plus grande fondation d'Ukraine, qui collecte des dons pour l'armée). Le bureau du président chercherait également à mettre en place un mouvement « d'opposition » destiné aux électeurs de l'est du pays, qui pourrait être dirigé par le député indépendant Vadym Stolar ou par Yevhen Shevchenko, un autre parlementaire actuellement détenu pour haute trahison mais qui reste influent. Ces différentes initiatives suggèrent une volonté stratégique de la part du cabinet présidentiel de dominer la scène politique d'après-guerre plutôt que de laisser libre cours à la concurrence. Pourtant, même au sein de l'entourage présidentiel, la cohésion est mise à rude épreuve. Le chef de la faction parlementaire Serviteur du peuple, Davyd Arakhamia, envisagerait de lancer son propre projet politique. L'une des options envisagées serait de s'associer à des maires influents, notamment ceux de Dnipro, Kharkiv et Odessa, pour former un nouveau groupe « centriste ». La récente décision de Zelensky de neutraliser le maire d'Odessa pourrait s'inscrire dans une stratégie visant à perturber ou à contenir un tel mouvement. Si la loi martiale a suspendu les processus démocratiques officiels, elle n'a pas pour autant éteint les ambitions démocratiques de l'Ukraine ni effacé son bilan en matière de politique concurrentielle et de liberté des médias. Le pays se trouve dans une phase de suspension de la concurrence, animée par des rivalités discrètes, des alliances émergentes, le retour de la violence politique et la reconfiguration progressive du pouvoir. La politique électorale fera son retour, probablement l'année prochaine. Ce qui reste incertain, ce n'est pas seulement qui dirigera le pays, mais aussi si le prochain chapitre renouvellera le contrat démocratique de l'Ukraine ou se contentera de mettre en scène une nouvelle représentation sur une scène politique familière. Le prochain parlement ne devrait pas donner lieu à une majorité d'un seul parti comme en 2019, ce qui annonce un retour à un véritable pluralisme. Et si les conditions de guerre ont rehaussé l'image des personnalités militaires dans l'imaginaire collectif, l'après-guerre pourrait au contraire voir un regain de préférence pour les dirigeants civils, ouvrant ainsi le champ politique de manière bien moins prévisible que ne le laisse supposer la configuration actuelle du pouvoir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure https://carnegieendowment.org/russia-eurasia/politika/2025/10/russia-refinery-damages (3 octobre 2025) Les drones ukrainiens ont-ils vraiment détruit 38 % des capacités de raffinage pétrolier de la Russie ? Sur le papier, la Russie peut raffiner 327 millions de tonnes de pétrole chaque année (soit 6,5 millions de barils par jour). Et la capacité des 16 raffineries qui ont été attaquées par des drones ukrainiens en août et septembre est de 123 millions de tonnes par an, soit 38 % du total. En d'autres termes, 38 % est la limite supérieure des dommages potentiels. Trois questions importantes doivent être posées pour évaluer l'ampleur actuelle des dégâts subis par les raffineries de pétrole russes : fonctionnaient-elles à pleine capacité avant les attaques ? Les dégâts sont-ils totaux ou partiels ? Ont-ils été réparés ou continuent-ils d'entraver la production ? Bien que les informations accessibles au public ne soient pas suffisantes pour apporter des réponses exhaustives, nous pouvons tirer certaines conclusions. Au cours de la campagne de 2024, la plupart des raffineries ont continué à fonctionner, au moins en partie, après les attaques, et ont retrouvé leur pleine capacité de production en quelques semaines, ce qui est également le cas aujourd'hui. La raffinerie de Volgograd, par exemple, a pu réparer entièrement les dommages causés par les attaques de plusieurs drones les 13 et 14 août, et a repris son activité normale dès le 25 août. Le point de départ des calculs peut également être trompeur. La capacité de raffinage de la Russie n'est pas égale à sa production. Chaque année, la Russie raffine jusqu'à 270 millions de tonnes, ce qui signifie qu'au moins 22 % de la capacité totale du pays est toujours inutilisée (il y a plusieurs raisons à cela, mais l'une d'entre elles est qu'il existe de nombreux équipements anciens qui n'ont tout simplement pas été mis hors service). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure il y a 5 minutes, Wallaby a dit : https://carnegieendowment.org/russia-eurasia/politika/2025/10/russia-refinery-damages (3 octobre 2025) Les drones ukrainiens ont-ils vraiment détruit 38 % des capacités de raffinage pétrolier de la Russie ? Sur le papier, la Russie peut raffiner 327 millions de tonnes de pétrole chaque année (soit 6,5 millions de barils par jour). Et la capacité des 16 raffineries qui ont été attaquées par des drones ukrainiens en août et septembre est de 123 millions de tonnes par an, soit 38 % du total. En d'autres termes, 38 % est la limite supérieure des dommages potentiels. Trois questions importantes doivent être posées pour évaluer l'ampleur actuelle des dégâts subis par les raffineries de pétrole russes : fonctionnaient-elles à pleine capacité avant les attaques ? Les dégâts sont-ils totaux ou partiels ? Ont-ils été réparés ou continuent-ils d'entraver la production ? Bien que les informations accessibles au public ne soient pas suffisantes pour apporter des réponses exhaustives, nous pouvons tirer certaines conclusions. Au cours de la campagne de 2024, la plupart des raffineries ont continué à fonctionner, au moins en partie, après les attaques, et ont retrouvé leur pleine capacité de production en quelques semaines, ce qui est également le cas aujourd'hui. La raffinerie de Volgograd, par exemple, a pu réparer entièrement les dommages causés par les attaques de plusieurs drones les 13 et 14 août, et a repris son activité normale dès le 25 août. Le point de départ des calculs peut également être trompeur. La capacité de raffinage de la Russie n'est pas égale à sa production. Chaque année, la Russie raffine jusqu'à 270 millions de tonnes, ce qui signifie qu'au moins 22 % de la capacité totale du pays est toujours inutilisée (il y a plusieurs raisons à cela, mais l'une d'entre elles est qu'il existe de nombreux équipements anciens qui n'ont tout simplement pas été mis hors service). Il n'a jamais été question de plus de 18 %, et dans les estimations les plus optimistes. Du reste, ce chiffre de 38 % correspondrait à une destruction totale, ce qui n'a jamais été réalisé. Même les Irakiens, avec des moyens autrement plus lourds et des frappes plus régulières, n'ont jamais été en mesure de détruire les sites iraniens dans les années 1980. Et Ploiesti et Leuna n'ont été neutralisés qu'après des opérations bien plus massives encore. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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