Ardachès Posté(e) le 4 juin Share Posté(e) le 4 juin Il y a 14 heures, herciv a dit : Atterrissage d'urgence pour DEUX F-35s simultanément. https://simpleflying.com/2-japanese-stealth-fighters-make-emergency-landing-commercial/ « Deux chasseurs furtifs F35A appartenant à la base aérienne de Misawa, dans la préfecture d'Aomori, ont atterri d'urgence l'un après l'autre à l'aéroport d'Aomori, lundi vers 9 heures. Aucun blessé n'a été signalé ». - Japan News Japan News rapporte que les responsables de la base aérienne de Misawa enquêtent sur les causes de l'incident. Les autorités japonaises n'ont pas fourni de détails sur l'incident, mais elles ont indiqué qu'il n'y avait eu ni blessés ni dégâts. L'Associated Press a rapporté que les responsables de l'aéroport avaient déclaré que l'un des avions avait eu un « problème mécanique non spécifié et avait demandé un atterrissage d'urgence ». L'agence a également indiqué que les forces aériennes d'autodéfense du Japon avaient refusé de fournir des détails. Traduit avec DeepL.com (version gratuite) … Notons une amélioration de la situation suite au précédent événement, là, les autorités compétentes n’auront aucun problèmes pour connaître les raisons de ces atterrissages d’urgence, les avions, sont … entiers ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 4 juin Share Posté(e) le 4 juin (modifié) il y a 8 minutes, Ardachès a dit : … Notons une amélioration de la situation suite au précédent événement, là, les autorités compétentes n’auront aucun problèmes pour connaître les raisons de ces atterrissages d’urgence, les avions, sont … entiers ! Je soupçonne que l'incident mécanique de l'un, par exemple en fin de mission, aurait provoqué le déroutement de l'autre forcé de l'accompagner à une altitude optimal pour l'éjection mais pas pour le refroidissement. Il pourrait s'être retrouvé alors en Bingo "Heat" ou "fuel". Dans ces conditions rien de bien grave. Ca arrive régulièrement ces déroutements avec les F-35 dernièrement plutôt en Corée ou au Japon qui ont peut-être moins de ravitailleurs dispo en vol. Modifié le 4 juin par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 4 juin Share Posté(e) le 4 juin Il y a 23 heures, Picdelamirand-oil a dit : Podcast: The F-35 Has A Case Of Long COVID Podcast : Le F-35 a un cas de COVID prolongé Transcription Robert Wall : Bienvenue à tous dans le podcast Check 6 d'Aviation Week. Aujourd'hui, nous examinons la situation du Lockheed Martin F-35 Joint Strike Fighter qui, selon les derniers chiffres du Government Accountability Office, s'est transformé en un programme américain de 2 000 milliards de dollars sur sa durée de vie prévue. Le F-35 est, selon les personnes auxquelles on s'adresse, un échec retentissant ou un énorme succès. Mais quelle que soit la position que l'on occupe sur ce spectre, une chose est claire. Le F-35 s'est très bien vendu à l'étranger, même s'il n'est pas encore tout à fait au point. Steve Trimble, rédacteur en chef de la section défense d'Aviation Week, et Tony Osborne, notre chef de bureau à Londres, sont là pour vous aider à décortiquer tout cela. Je suis Robert Wall, rédacteur en chef d'Aviation Week pour la défense et l'espace. Steve, permettez-moi de commencer par vous. Le GAO a récemment publié un autre rapport sur le F-35, avec de nouveaux détails sur certains des problèmes liés au développement des dernières mises à jour, le TR-3, et d'autres questions. Il est frappant de constater que Lockheed Martin a livré 91 % des avions à la fin de l'année dernière et que Pratt & Whitney, le fournisseur de moteurs, n'a livré aucun moteur dans les délais au cours de cette période. Mais Steve, je suis curieux de savoir ce que vous avez retenu du rapport du GAO. Steve Trimble : Tout au long de la vie du programme F-35, le GAO s'est montré critique à l'égard de la manière dont il était géré par le bureau de programme, mais cette fois-ci, il s'est montré particulièrement critique, et il y a de nouveaux détails très intéressants sur certains des problèmes auxquels il est confronté actuellement. Il est important de comprendre qu'il y a deux voies de mise à niveau spécifiques qui sont discutées ici. La première est la mise à jour technologique 3, qui ajoute un nouveau processeur intégré, c'est-à-dire un supercalculateur moderne que l'on installe dans l'avion. Ensuite, il y a la modernisation du bloc 4. Et il n'y a pas de modernisation du bloc 4 sans rafraîchissement technologique ou TR-3, TR-3. Le bloc 4 comprendra un nouveau radar, pour les clients américains uniquement, l'APG-85, qui remplacera l'APG-81. Les clients internationaux conserveront l'APG-81. Nous disposons également d'un système de guerre électronique beaucoup plus puissant. Au lieu de huit récepteurs, nous en avons 20. Il s'agira essentiellement d'une ferme d'antennes à bord de l'avion. Et un grand nombre de nouvelles munitions, tant américaines qu'étrangères. Tout cela arrive, mais tardivement, n'est-ce pas ? Le TR-3 était censé être livré, le nouveau matériel avec la première version du logiciel Block 4, en juillet de l'année dernière. Cela n'a pas été le cas. Il est toujours en cours de certification. Et depuis juillet, le Joint Program Office a refusé d'accepter la livraison de tout nouvel avion F-35 qui sortirait de la chaîne sans cette certification. Lockheed a donc continué à construire des F-35 au même rythme, ce qui fait que des dizaines, voire plus d'une centaine de F-35 ont été construits et ont été directement stockés depuis le mois de juillet. Et maintenant, nous recevons ce rapport du GAO qui dit que, d'une certaine manière, la bonne nouvelle est qu'ils vont commencer à livrer des F-35 équipés de TR-3, en principe en juin. En gros, ce mois-ci. C'est donc une bonne nouvelle, sauf que ces avions équipés du TR-3 n'utiliseront qu'un logiciel limité. Il ne s'agira probablement que de logiciels codés pour l'entraînement, et non pour le combat. Aucune des nouvelles capacités qui devaient être introduites avec la première version du Block 4 ne sera incluse. Et ce logiciel ne sera pas définitivement certifié, selon le rapport du GAO, avant au moins 2025. Nous parlons donc maintenant d'un retard d'au moins deux ans pour la capacité TR-3 avec la version initiale du Block 4. C'est donc un problème. Mais il est également question des coûts qui en découleront. Il y a des problèmes avec le développement de l'APG-85 AESA. Il s'agit d'un programme très confidentiel dont nous ne savons pas grand-chose. En fait, nous ne comprenons pas comment il a été inclus dans le bloc 4. Il n'a été reconnu qu'il y a quelques années. Le rapport du GAO en parle pour la première fois et indique que le bureau du programme envisage de reporter certaines des grandes améliorations du bloc 4 qui dépendent de la gestion thermique et des améliorations de la poussée et de la puissance des moteurs qui sont également financées sur une voie distincte et qui ne seront pas livrées avant 2030 ou 2032, dans ce délai. L'examen porte donc sur le fait de ne pas différer les capacités du bloc 4 qui dépendent de ces améliorations de l'infrastructure de l'avion jusqu'à ce qu'elles soient prêtes. [...] C'est moi ou ils oublient que non seulement le "logiciel" Block 4 dépend du nouvel "ordinateur" TR3, mais qu'en prime le TR3 dépend du nouveau réacteur, et que ce dernier n'est pas du tout au point puisque qu'il est encore... en phase de définition ? Peut-être ce réacteur sera-t-il moins nécessaire pour les F-35 européens qui conserveront le "vieux" radar ? Ces derniers pourront-ils alors bénéficier de toutes les armes, et de mises à jour au même rythme ? Au passage, je découvre qu'il y aura donc encore une plus grande variété de standards de F-35... donc une plus grande combinatoire à adresser pour les mécanos, les ingénieurs, les gestionnaires du parc, pour les tests tout simplement. N'y aurait-il pas comme une petite odeur de NH-90, en bien pire ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 4 juin Share Posté(e) le 4 juin il y a 41 minutes, Boule75 a dit : N'y aurait-il pas comme une petite odeur de NH-90, en bien pire ? Tu veux dire de versions de Tornado ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 4 juin Share Posté(e) le 4 juin il y a une heure, Boule75 a dit : C'est moi ou ils oublient que non seulement le "logiciel" Block 4 dépend du nouvel "ordinateur" TR3, mais qu'en prime le TR3 dépend du nouveau réacteur, et que ce dernier n'est pas du tout au point puisque qu'il est encore... en phase de définition ? Peut-être ce réacteur sera-t-il moins nécessaire pour les F-35 européens qui conserveront le "vieux" radar ? Ces derniers pourront-ils alors bénéficier de toutes les armes, et de mises à jour au même rythme ? Au passage, je découvre qu'il y aura donc encore une plus grande variété de standards de F-35... donc une plus grande combinatoire à adresser pour les mécanos, les ingénieurs, les gestionnaires du parc, pour les tests tout simplement. N'y aurait-il pas comme une petite odeur de NH-90, en bien pire ? Je suis comme toi. Je découvre que l'APG-85 ne sera pas pour l'export. Mais ce n'est pas la seule source électrique à faire fonctionner. Comme çà instinctivement je dirais que la plus problématique est le brouillage intelligent ou pas. Ils comptent plus que doubler le nombre d'émetteurs certe en changeant de techno vers le GaN beaucoup plus efficace. Mais il n'est pas sûr qu'ils aient consacré ce gain d'efficacité à réduire la conso de puissance. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 4 juin Share Posté(e) le 4 juin il y a 59 minutes, herciv a dit : Je suis comme toi. Je découvre que l'APG-85 ne sera pas pour l'export. Mais ce n'est pas la seule source électrique à faire fonctionner. Comme çà instinctivement je dirais que la plus problématique est le brouillage intelligent ou pas. Ils comptent plus que doubler le nombre d'émetteurs certe en changeant de techno vers le GaN beaucoup plus efficace. Mais il n'est pas sûr qu'ils aient consacré ce gain d'efficacité à réduire la conso de puissance. Qui vivra verra 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 5 juin Share Posté(e) le 5 juin Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 5 juin Share Posté(e) le 5 juin Pour voir la différence entre les voeux et les volonté de chacun Type Pentagon Request HASC NDAA* HAC Appropriations F-35A 42 36 44 F-35B 13 11 13 F-35C 13 11 19 TOTAL 68 58 76 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin (modifié) Le 03/05/2024 à 11:37, herciv a dit : Fast facts Program Status May 1, 2024 990+ Deliveries 842,000+ Flight Hours (rappel avril 824 000 heures) soit 18 000 heures en un mois. Soit 18 heures / F-35 ce mois-ci. Attention si les F-35 israéliens continuent à faire 3000 heures par mois. 2,430+ Pilots Trained 16,065+ Maintainers Trained Fast facts June 5, 2024 990+ Deliveries 860,000+ Flight Hours soit 18000 heures de nouveau 2,460+ Pilots Trained 16,290+ Maintainers Traine Modifié le 6 juin par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin (modifié) Pour les F35 C et B, le moteur est changé par l'arrière comme le F35 A ou par le dessous comme le Rafale ? Si c'est par l'arrière, ca pose pas un problème sur porte avion au niveau de gestion de l'espace ? Je pense notamment aux petits porte avions STOVL ou il n'y a déjà pas beaucoup d'espace ... Je me souviens que l'ingenieur Dassault en parlait dans le podcast de jumpseat récemment ... Révélation Rafale F35A Modifié le 6 juin par Titus K 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gianks Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin https://aresdifesa.it/altri-25-f-35-adir-per-israele/ 25 F-35 « Adir » supplémentaires pour Israël Le ministère israélien de la Défense a signé un accord avec le gouvernement américain pour le troisième escadron d'avions « Adir » (F-35), qui sera intégré aux Forces de défense israéliennes (FDI). Les livraisons de ces avions par Lockheed Martin débuteront au plus tôt en 2028 à raison de 3 à 5 appareils par an jusqu'à la conclusion d'une commande d'un montant d'environ 3,3 milliards de dollars, largement couverte par les fonds d'aide américains à Israël. Avec l'avion, des moteurs, des équipements et des armements supplémentaires seront également livrés à l'armée de l'air israélienne, ainsi qu'un soutien technique et de maintenance...... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FAFA Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin Une info passée sous les radars: "Les Pays-Bas sont devenus le premier pays à déclarer que leurs chasseurs furtifs F-35 sont désormais pleinement responsables du rôle de frappe nucléaire, ce qui était attendu depuis que l'avion a été entièrement certifié pour transporter la bombe thermonucléaire B61-12 au début de l'année. Alors que la Russie multiplie les coups de sabre nucléaires, cette évolution est importante dans le contexte de la posture de dissuasion nucléaire de l'OTAN en Europe. L'armée de l'air royale néerlandaise (RNLAF) a annoncé que le F-35A prendrait entièrement en charge le rôle nucléaire des Pays-Bas demain, le 1er juin. La mission sera transférée du F-16 précédemment utilisé dans le rôle nucléaire à la base aérienne de Volkel. L'unité de F-35 chargée de la mission est l'escadron 313, et ses armes sont fournies dans le cadre d'un accord de partage nucléaire de l'OTAN. La formulation de la déclaration suggère que, ces derniers mois, le F-16 et le F-35 ont partagé la responsabilité de la frappe nucléaire sur la même base, bien que cela n'ait pas été confirmé. Toutefois, la RNLAF avait précédemment déclaré qu'elle prévoyait de déclarer la pleine capacité opérationnelle de ses F-35 au début de 2024. Étant donné que la pleine capacité opérationnelle implique que l'avion peut effectuer toutes les missions antérieures du F-16, les jets furtifs étaient probablement opérationnels dans les tâches de frappe nucléaire au moins depuis cette date." La suite de l'article est ici: https://www.twz.com/air/dutch-f-35s-take-on-a-full-nuclear-role 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin il y a 41 minutes, gianks a dit : https://aresdifesa.it/altri-25-f-35-adir-per-israele/ 25 F-35 « Adir » supplémentaires pour Israël Le ministère israélien de la Défense a signé un accord avec le gouvernement américain pour le troisième escadron d'avions « Adir » (F-35), qui sera intégré aux Forces de défense israéliennes (FDI). Les livraisons de ces avions par Lockheed Martin débuteront au plus tôt en 2028 à raison de 3 à 5 appareils par an jusqu'à la conclusion d'une commande d'un montant d'environ 3,3 milliards de dollars, largement couverte par les fonds d'aide américains à Israël. Avec l'avion, des moteurs, des équipements et des armements supplémentaires seront également livrés à l'armée de l'air israélienne, ainsi qu'un soutien technique et de maintenance...... Si on retire les armes on arrive à 100 millions/F-35 pour s'équiper. Sachant que les Israéliens n'ont plus besoins de formation. C'est à peu prêt conforme à mon calcul sur la base des contrats passé entre LM, Raytheon, PW ... et le JPO. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin A l'occasion du crash de la semaine dernière un article fait le point sur la trop petite flotte de 43 F-35 pour faire les tests ... https://breakingdefense.com/2024/06/what-a-crashed-jet-means-for-an-f-35-program-already-thin-on-test-planes/ Ce qu’un avion écrasé signifie pour un programme F-35 déjà mince sur les avions d’essai Le F-35 écrasé était censé s’ajouter à la petite flotte d’essai de seulement 43 avions, dont beaucoup sont des modèles plus anciens qui peuvent souffrir de problèmes de maintenance, a déclaré le F-35 Joint Program Office à Breaking Defense. Par MICHAEL MARROWle 05 juin 2024 à 16:09 WASHINGTON - Au milieu des retards et des dépassements de coûts pour les mises à niveau clés du F-35, les responsables ont de plus en plus insisté sur la nécessité de s’attaquer à un problème majeur pour l’entreprise d’avions de combat interarmées : une infrastructure d’essai limitée et vieillissante, dont les malheurs pourraient retarder ou mettre en danger les futures mises à niveau de l’avion. Et maintenant qu’un tout nouvel avion d’essai F-35 s’est écrasé la semaine dernière, les problèmes de test du chasseur furtif pourraient encore s’aggraver, selon les chiffres de la flotte partagés exclusivement avec Breaking Defense. "Tout crash de notre avion militaire est de la plus haute préoccupation. Bien que nous sachions que l’augmentation de la capacité d’essai du F-35 est la première étape d’une transformation fondamentale du F-35, cet incident exacerbe le besoin déjà urgent de l’étendre », a déclaré le représentant Rob Wittman, un républicain de Virginie qui préside le sous-comité des forces aériennes et terrestres tactiques des services armés de la Chambre des représentants, dans un communiqué la semaine dernière. En novembre, la flotte mondiale ne comptait que 43 avions d’essai. Le porte-parole du F-35 Joint Program Office, Russ Goemaere, a refusé cette semaine de dire si la taille de cette flotte avait changé depuis que Breaking Defense a obtenu ces chiffres, mais même si les chiffres ont légèrement augmenté, cela reste une infime fraction des plus de 1 000 chasseurs furtifs construits à ce jour. Ces jets sont ensuite divisés en deux sous-ensembles, connus sous le nom d’avions d’essai de développement (DT) et d’avions d’essai opérationnel (OT). Au sein de la flotte de DT se trouvent deux types d’avions différents. L’un d’entre eux est surnommé avion des sciences du vol, qui est uniquement instrumenté pour « effectuer des événements de test spécialisés axés sur la mesure des charges structurelles et aérodynamiques sur le véhicule aérien en raison des stockages, de la propulsion ou des changements de commandes de vol », a déclaré Goemaere. Le JPO exploite actuellement quatre avions de sciences du vol, et les 16 autres avions DT sont utilisés pour tester les systèmes de mission. Selon Goemaere, le F-35B qui s’est écrasé la semaine dernière était en route vers la base aérienne d’Edwards et devait être ajouté à la flotte de DT pour soutenir les tests des systèmes de mission. L’avion était relativement frais sorti de la chaîne de production de Lockheed à Fort Worth, au Texas, avant de s’écraser, après avoir été accepté par le gouvernement en septembre. (Le pilote a pu s’éjecter.) Les 23 avions OT restants sont exploités par les services militaires. Ces jets « permettent de tester l’adéquation et l’efficacité dans un environnement opérationnel », a déclaré Goemaere. Amélioration de l’infrastructure d’essai du F-35 Le F-35, comme la plupart des grands programmes d’acquisition, s’appuie fortement sur les laboratoires pour développer des fonctionnalités telles que des mises à niveau. Ceux-ci sont ensuite présentés dans le monde réel sur des bancs d’essai comme le F-35B qui s’est écrasé le 28 mai. Le problème pour les responsables du programme est que les deux parties de cette infrastructure essentielle font défaut. Par exemple, l’espace de laboratoire logiciel a récemment été priorisé pour remédier à la refonte troublée de la mise à jour technologique 3 (TR-3) du chasseur , une décision qui, selon le Government Accountability Office (GAO) dans un rapport de mai [PDF], pourrait entraver la suite de mises à niveau du bloc 4 du chasseur qui a également besoin de cet espace de laboratoire. Le même problème s’applique au nombre limité de jets d’essai du programme. Pour compliquer le problème, selon Goemaere, la « majeure partie » de la flotte d’essai actuelle a été construite dans certains des premiers lots de production du programme, ce qui signifie que ces jets ne sont pas synchronisés avec des configurations plus modernes et parfois plus sujets à des problèmes de maintenance. Les demandes de tests, combinées à une flotte réduite, signifient que les services doivent parfois même prêter leurs propres avions OT au JEA pour les activités DT. En ce qui concerne les avions de sciences du vol, le GAO a constaté que « dans le passé, trois des quatre avions d’essai ont été arrêtés pour maintenance simultanément, ce qui a considérablement limité les tests ». Le programme a mis en place des solutions de contournement, a constaté le GAO, bien que les demandes de tests puissent augmenter encore plus une fois que les problèmes entravant le développement de nouvelles fonctionnalités auront été résolus. Goemaere a convenu que la flotte de sciences du vol doit être rafraîchie, déclarant que le programme du F-35 « le besoin le plus critique est celui des avions de sciences du vol ». À cette fin, le programme envisage des remplaçants avec une poignée déjà sous contrat. En outre, un amendement proposé par Wittman au projet de loi sur l’autorisation de la défense nationale pour l’exercice 2025, qui attend un vote de la Chambre après l’approbation du comité le 22 mai, consacrerait l’autorisation de pas moins de neuf nouveaux jets d’essai. Le langage de Wittman modifie en fait une disposition similaire qui a été incluse dans la NDAA de l’exercice 24. Grâce à son amendement, le nombre d’avions autorisés pour l’acquisition passerait de six à neuf et serait acquis dans le lot de production 18 de l’avion, au lieu du lot 19. Les jets d’essai pourraient également être fabriqués dans les variantes à décollage conventionnel, à décollage et atterrissage courts ou lancées par porte-avions. Le langage législatif, selon un membre du personnel du Congrès, est « intentionnellement ouvert » pour permettre au JPO de choisir si l’avion doit être construit dans une configuration de sciences du vol ou de systèmes de mission. En réponse à Breaking Defense, le JPO semble prêt à acheter ces jets dans la configuration des sciences du vol. Il reste les jets DT utilisés pour les tests des systèmes de mission. Selon Goemaere, « le programme F-35 évalue en permanence la nécessité et le calendrier de recapitalisation de la flotte d’avions d’essai de développement ». (Les services militaires sont séparément responsables de la recapitalisation de leurs propres avions OT.) Le comité de Wittman s’efforce également d’améliorer d’autres tests. Lors d’un briefing avec des journalistes le 15 mai, Wittman a expliqué que la décision du comité de supprimer 10 F-35 de l’achat demandé par le Pentagone au cours de l’exercice 25 aiderait à rediriger les fonds vers un « laboratoire logiciel intégré », à créer un « jumeau numérique » du chasseur et à acheter plus de bancs d’essai. En d’autres termes, « tous ceux qui auraient dû être faits il y a des années et qui ne l’ont pas été. Et c’est pourquoi nous sommes si loin derrière là où nous sommes aujourd’hui." Pourtant, les autorisateurs de la Chambre pourraient ne pas obtenir leur souhait. Les crédits de la Chambre ont dévoilé leur budget cette semaine, qui ajoute des F-35 à la demande du Pentagone au lieu de les réduire comme l’a souligné le HASC. Les détails spécifiques de la législation sur les dépenses des crédits de la Chambre devraient être dévoilés sous peu. On ne sait pas quelle sera l’ampleur des ramifications de l’accident de la semaine dernière pour le programme F-35. Mais les responsables devront certainement compter sur un jet DT de moins pour une flotte vieillissante. Le JPO « détermine toujours l’impact, le cas échéant, [l’accident] aura sur le programme F-35 », selon Goemaere. Pour Wittman, cependant, l’impact est clair. « Cet incident causera sans aucun doute un revers technique pour la modernisation du F-35 et justifie une enquête approfondie et approfondie pour déterminer la cause exacte de cet accident », a-t-il déclaré. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin C'est comme si le B-301 ne pouvait plus servir à rien parce que c'est un vieil avion. En plus si on ne peut "tirer" que 15 h de vol par mois il faut plus d'avions et si il faut recommencer les tests pour chaque type (A, B et C) il en faut 3 fois plus. Cela fini par faire... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin il y a 24 minutes, Picdelamirand-oil a dit : en plus si on ne peut "tirer" que 15 h de vol par mois il faut plus d'avions Le Retex israélien montre que c'est "localement" un choix. On pourrait largement compenser l'accident par plus d'heures de vols sur les autres avions de la flotte d'essais. Bon, en pratique, ça revient à affecter le soutien logistique d'un des F-35 des forces au centre d'essais donc à clouer au sol un autre avion. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin il y a 50 minutes, ARPA a dit : Le Retex israélien montre que c'est "localement" un choix. On pourrait largement compenser l'accident par plus d'heures de vols sur les autres avions de la flotte d'essais. Bon, en pratique, ça revient à affecter le soutien logistique d'un des F-35 des forces au centre d'essais donc à clouer au sol un autre avion. Je pense que 15 h c'est une moyenne et que le F-35 vieillit très mal. Les F-35 d'essais sont vieux et il doit être très difficile d'en tirer plus de 10h par mois. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin à l’instant, Picdelamirand-oil a dit : Je pense que 15 h c'est une moyenne et que le F-35 vieillit très mal. Les F-35 d'essais sont vieux et il doit être très difficile d'en tirer plus de 10h par mois. C'est aussi ce que je me suis laissé dire. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin il y a 8 minutes, herciv a dit : C'est aussi ce que je me suis laissé dire. Yep, avec leur 43 F-35 ils peuvent tirer 430 h par mois alors que Dassault avec 1 avion il peut tirer 350 h en un mois si nécessaire 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit : Yep, avec leur 43 F-35 ils peuvent tirer 430 h par mois alors que Dassault avec 1 avion il peut tirer 350 h en un mois si nécessaire Oui mais apres il dout faire de la regen de potentiel pendant 17 mois. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 6 juin Share Posté(e) le 6 juin il y a 39 minutes, herciv a dit : Oui mais apres il dout faire de la regen de potentiel pendant 17 mois. Non tu a pris une production "normale" de 250 h par an, mais ce n'est pas une limite de l'avion mais une décision de la France, la preuve c'est qu'on a décidé de passer à 300 h par an sans aucun problème. La limite de l'avion c'est 1000 h par an donc la régénération se fera sur 4 mois seulement. En plus ça c'est un surge temporel mais tu peux aussi faire un surge spatial tu envois 20 Rafale en mode surge, il font donc 350 * 20 = 7000 h en un mois soit 466 F-35 en mode normal, pendant ce temps là tu en prépare 20 autres pour le mois d'après mais tu as 152 Rafale donc tu peux produire 152000 h dans l'année. Si tu veux faire 7000 H par mois par roulement sur un théâtre tu consommera 84000 h et il te restera 68000 h pour les opérations habituelles qui sont de l'ordre de 26000h pour l'armée de l'air. Tu vois pourquoi on a tant d'avions... Pour le temps de paix on aurait besoin de beaucoup moins, mais il ne faut pas le dire à Bercy. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 8 juin Share Posté(e) le 8 juin The Debrief: Sweetman’s ‘Trainwreck’ Tells Other Side Of F-35’s Complicated Story Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Le compte rendu : Le « Trainwreck » de Sweetman raconte l'autre facette de l'histoire compliquée du F-35 Il y a un an, un livre coécrit par une figure clé de l'équipe de direction fondatrice de Lockheed Martin pour le F-35 arrivait à une conclusion prévisible et flatteuse sur le programme. « Pour le meilleur ou pour le pire, dans un sens très réel, l'Occident a mis tous ses jetons en jeu pour parier sur ce seul avion. Les données disponibles à ce jour, basées sur une expérience opérationnelle et des exercices limités, indiquent que c'est un pari gagnant", déclare F-35 : The Inside Story of the Lightning II, coécrit par Tom Burbage, directeur de programme de Lockheed pour l'avion jusqu'en 2013. Certains événements survenus au cours de l'année écoulée n'ont pas été favorables à cette évaluation. Le numéro de queue AF-392 - le premier F-35 équipé d'un nouveau processeur central et d'autres éléments d'avionique - était censé être livré en juillet dernier, mais l'avion est toujours stocké, en attente de certification. Des dizaines d'autres F-35 équipés de l'avionique TR-3 (Technology Refresh 3) sont dans le purgatoire des procédures. Même si Lockheed est autorisé à reprendre les livraisons dans le courant de l'année, il faudra au moins un an pour résorber le retard accumulé et encore plus de temps pour certifier l'ensemble des capacités du F-35 dotées de la technologie TR-3. Bill Sweetman, ancien rédacteur en chef de la section défense internationale d'Aviation Week, vient de publier une réfutation de 75 pages du livre de M. Burbage. Le titre de son rapport auto-publié n'est pas subtil : Trillion Dollar Trainwreck : How the F-35 Hollowed Out the United States Air Force. Il n'est pas non plus très explicite. Après avoir énuméré plusieurs des réalisations les plus notables de l'avion, M. Sweetman écrit : « Le F-35 n'en a pas moins été un échec stratégique ». L'armée de l'air achète le F-35A à décollage et atterrissage conventionnels. Selon Sweetman, son véritable ennemi n'est pas le Chengdu J-20 chinois ou le Sukhoi Su-57 russe, mais plutôt le F-35B à décollage court et atterrissage vertical (STOVL) du Corps des Marines américain. Selon M. Sweetman, les aménagements nécessaires pour assurer la furtivité et l'atterrissage vertical produisent un avion dont la longueur est insuffisante par rapport à son poids. Il note également certaines exigences de conception imposées par les clients du F-35B, telles que la longueur de 55 pieds de l'élévateur de milieu de pont du précédent porte-avions léger de la Royal Navy, le HMS Invincible. Son remplaçant, le HMS Queen Elizabeth, est doté d'un ascenseur de 85 pieds de long, mais la longueur des trois variantes du F-35 reste de 51 pieds. Mais le F-35B n'est pas le seul responsable de cette situation. Certains des problèmes les plus coûteux du programme sont dus à la seule exigence de furtivité. Pour minimiser les émissions, le F-35 ne pouvait pas compter uniquement sur son radar de transmission pour acquérir une connaissance de la situation, écrit M. Sweetman. Les concepteurs ont donc dû s'appuyer sur une série de capteurs passifs, y compris hors bord. Pour simplifier ces capteurs disparates en une image cohérente pour le pilote, écrit Sweetman, Lockheed fournit un « superordinateur aéroporté centralisé », mais il a ensuite négligé ce processeur avec une architecture défectueuse, rendant les mises à niveau coûteuses et - jusqu'à l'arrivée du TR-3 - dépendantes du contractant principal. Malgré ces faiblesses, le F-35 s'est avéré remarquablement populaire. L'affirmation de Burbage et al selon laquelle le F-35 a absorbé tous les paris de l'Occident est légèrement exagérée. Le Rafale de Dassault, par exemple, a accumulé un carnet de commandes d'une dizaine d'années. Mais le seul chasseur furtif exportable au monde a été sélectionné par tous les pays autorisés à l'acheter par le gouvernement américain. Dans un rare moment de générosité dans le livre, Sweetman concède que le « F-35 est un avion efficace dans de nombreuses missions ». Mais il nie que ce soit la raison du succès des exportations de l'avion de combat. Il cite des preuves de tractations et de torsions diplomatiques de la part des États-Unis lors des campagnes de vente du F-35 au Canada, à la Norvège et à la Corée du Sud, et affirme que cela indique une opération de pression plus large. Dans ce cas comme dans l'ensemble, le « rapport » de 75 pages - c'est ainsi que Sweetman désigne son produit publié dans le texte - est affaibli par le manque d'informations nouvelles. Trainwreck n'est pas un projet d'enquête, mais plutôt un résumé richement détaillé de recherches et de rapports déjà publiés, y compris une grande partie du travail de l'auteur. Un autre point faible est le manque d'élaboration concernant l'impact sur la flotte de l'armée de l'air américaine, malgré la manière dont la question est évoquée dans le sous-titre. En moins d'un an, deux manifestes publiés ont pris des positions opposées dans l'argumentation sur l'impact réel du F-35, mais aucun n'est à la hauteur de la tâche. L'histoire du programme F-35 mérite une étude plus approfondie. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 8 juin Share Posté(e) le 8 juin Our Incredible, Shrinking Air Force Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Notre incroyable force aérienne en perte de vitessePar Chris Gordon et John Tirpak La flotte de l'armée de l'air passera sous la barre des 5 000 appareils pour la première fois de son histoire et continuera à se réduire, alors même que les dirigeants s'efforcent de la moderniser. En 2025, les plans de service prévoient la cession de 250 appareils et l'achat de 91 seulement, et le lieutenant-général Richard G. Moore Jr, chef d'état-major adjoint pour les plans et les programmes, affirme que d'autres réductions sont à venir. « Je pense que cela va continuer », a déclaré le général Moore, car la loi sur la responsabilité fiscale (Fiscal Responsibility Act) plafonne les augmentations de dépenses à 1 %, indépendamment de l'inflation. « C'est le résultat d'une réduction du chiffre d'affaires et du pouvoir d'achat, et nous devons donc acheter moins d'avions. Nous avons dû trouver un équilibre. L'équilibre est une exigence ». Il a admis que la taille de la flotte de l'armée de l'air avoisinerait les 4 000 appareils. « Ce qui se passe, c'est qu'afin de maintenir la structure des forces existantes et d'essayer de les moderniser, nous sommes en train de les vider de leur substance », a déclaré M. Moore. M. Moore a fait valoir que l'armée de l'air devait se débarrasser des appareils qui ne sont pas aptes au combat, notant que la cession de 32 anciens F-22 contribuait à ce plan. Mais le Congrès s'est opposé à ce plan au cours des années précédentes, et M. Moore a admis que l'armée préférerait ne pas avoir à proposer un tel compromis. « Dans le choix de ce que nous devons absolument maintenir et du choix difficile que nous pourrions faire qui ne serait pas aussi difficile que d'autres, c'est celui-là », a déclaré M. Moore à propos du retrait des F-22 les plus anciens. En effet, ces appareils ne sont pas aptes au combat et ne peuvent pas être modernisés à un coût raisonnable. « Nous nous rappelons régulièrement que lorsque les temps sont durs, nous devons faire des choix difficiles. Celui-ci a été difficile", a-t-il déclaré. Les problèmes du F-35 Entre-temps, le Congrès est de plus en plus exaspéré par l'incapacité de Lockheed Martin à achever la mise à jour Tech Refresh 3 (TR-3) du F-35. L'armée de l'air a refusé de prendre livraison de dizaines d'avions de combat depuis l'automne dernier, dans l'attente de l'achèvement des tests et de la livraison des fonctionnalités requises. En mai, la commission des forces armées de la Chambre des représentants est intervenue en proposant de réduire de 10 à 20 appareils le budget 2025 consacré à l'achat de F-35. La « marque du président » de la commission des forces armées de la Chambre des représentants pour le projet de loi d'autorisation de la défense nationale pour 2025, qui est essentiellement la première version de la législation, propose une réduction d'un milliard de dollars du programme d'acquisition tout en investissant quelque 850 millions de dollars pour augmenter la capacité d'essai en achetant un deuxième avion Cooperative Avionics Test Bed, en développant un F-35 « jumeau numérique » et en mettant en place un deuxième laboratoire d'intégration des logiciels de mission. « Nous essayons d'attirer l'attention du Pentagone et de Lockheed Martin, a déclaré un membre du personnel de la HASC au magazine Air & Space Forces. « Nous en avons assez de parler des retards du F-35 et d'entendre des excuses. ... Une fois pour toutes, mettons les choses au clair ». Les demandes budgétaires du Pentagone pour 2025 prévoyaient 42 F-35A de l'armée de l'air, 13 F-35B du corps des Marines et 13 F-35C de la marine. Le projet signé par le président de la HASC, Mike Rogers (R-Ala.), supprimerait 10 avions, six pour l'armée de l'air et deux pour la marine et les marines. Il prévoit également la suppression de 10 autres appareils si le secrétaire à la défense et le bureau du programme interarmées ne parviennent pas à mettre en œuvre une série d'actions correctives exigées par la commission. Quoi qu'il en soit, il n'y a guère de signes que le Congrès puisse ajouter aux 42 F-35 demandés par l'armée de l'air, comme l'ont fait les législateurs ces dernières années, ce qui signifie que le rythme des livraisons restera inférieur aux besoins de l'armée de l'air. L'armée de l'air a déclaré par le passé qu'elle avait besoin d'acquérir au moins 72 avions de combat par an pour rajeunir ses forces, mais ses demandes de budget ont rarement été à la hauteur de cette exigence. La demande pour 2025 ne comprend que 60 nouveaux chasseurs, dont 18 F-15EX en plus des 42 F-35. Le lieutenant-général Michael J. Schmidt, responsable du programme F-35, a déclaré ce printemps que les essais du TR-3 avaient été ralentis en raison de l'insuffisance des moyens d'essai, un problème qui a contribué à retarder les livraisons de F-35, les avions terminés étant stationnés après avoir quitté la chaîne de production. Environ 75 avions sont actuellement stationnés et attendent d'être livrés. Les améliorations prévues pour le bloc 4 - principalement des améliorations logicielles dépendant du TR-3 - sont en train d'être « réimaginées », a déclaré M. Schmidt, ce qui reporte un grand nombre de ces capacités aux années 2030. Les essais du TR-3, qui ont déjà pris un an de retard, se poursuivent, le meilleur scénario étant une approbation tronquée du TR-3 au cours du troisième trimestre de cette année. Les partenaires internationaux du F-35 ont accepté la version tronquée, mais les États-Unis ne l'ont pas encore approuvée. M. Schmidt a déclaré que le TR-3 entièrement achevé n'arriverait pas avant 2025. Jim Taiclet, président de Lockheed Martin, a déclaré à des journalistes financiers en avril que la version tronquée permettrait aux pilotes de s'entraîner à utiliser des systèmes qui ne seront pas pleinement opérationnels avant que le TR-3 complet n'arrive à long terme. Il l'a qualifiée de « version d'entraînement apte au combat » du logiciel. Il a également indiqué que Lockheed ne livrerait que 75 à 110 F-35 cette année, soit bien moins que les 156 prévus. M. Moore a indiqué qu'à court terme, la majeure partie des avions retirés de la circulation sont des avions d'appui aérien rapproché A-10 que l'armée de l'air ne considère pas comme capables de survivre face aux menaces antiaériennes modernes. Les F-15C/D Eagles vieillissants, dont certains sont à peine en état de vol, devraient également quitter la flotte dans les années à venir. « Je ne sais pas si nous sommes aussi préoccupés par le retrait des A-10 que par d'autres retraits qui devraient avoir lieu plus tard dans le [plan de défense des années à venir] », a déclaré M. Moore. « Mais je pense que les cessions dépasseront les acquisitions pour le reste de l'horizon budgétaire. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 10 juin Share Posté(e) le 10 juin GKN Aerospace: Doubling Down on F-35 Canopy Production Traduit avec DeepL.com (version gratuite) GKN Aerospace : Doubler la production de la verrière du F-35 À une époque où la demande d'avions à hautes performances monte en flèche, GKN Aerospace fait preuve d'audace. L'entreprise a annoncé son intention de doubler la capacité de production de la verrière du F-35 sur son site de Garden Grove, en Californie. Cette expansion permettra non seulement de renforcer la position de leader de GKN Aerospace dans le domaine des transparents militaires, mais aussi de créer plus de 100 nouveaux emplois. GKN Aerospace : La puissance de l'investissement Avec un investissement client pouvant atteindre 150 millions de dollars, GKN Aerospace s'apprête à soutenir les outils et les équipements d'une nouvelle ligne de production ultramoderne. Cet investissement important permettra de répondre à la demande continue de F-35 Lightning II au cours de la prochaine décennie. Depuis le début du programme, GKN Aerospace fournit aux F-35 du monde entier sa verrière de cockpit haute performance unique en son genre. Expansion à l'horizon L'expansion, qui devrait être achevée d'ici janvier 2027, verra la nouvelle ligne de production construite à proximité du site actuel de GKN Aerospace à Garden Grove. Elle créera des postes qualifiés dans toute une série de disciplines, notamment la fabrication et l'ingénierie. Actuellement, GKN Aerospace emploie environ 540 personnes sur son site de Garden Grove, qui est à la pointe de l'industrie et qui conçoit et fabrique des transparents militaires et commerciaux avancés et en assure le service après-vente. Un mot de la direction Shawn Black, président de la division Defence Airframe de GKN Aerospace, a exprimé sa fierté et son honneur de soutenir le F-35 au cours de la prochaine décennie. Il a déclaré : « Cet investissement est une étape cruciale qui nous permettra de fournir à la flotte internationale croissante de F-35 les toutes dernières technologies en matière de transparents, afin d'assurer la sécurité des militaires et des femmes dans le monde entier. Les accords prévoient également la création de plus de 100 emplois hautement qualifiés chez GKN Aerospace, ainsi que le soutien de milliers d'autres emplois dans la chaîne d'approvisionnement mondiale. Cet investissement est une victoire pour GKN Aerospace, le programme F-35 et les nombreux pays qu'il soutient, et l'équipe est impatiente d'augmenter sa production et de livrer. Au-delà de la verrière La contribution de GKN Aerospace au programme F-35 va au-delà des verrières de cockpit. La société a fourni des composants de moteur critiques, des systèmes d'interconnexion de câblage électrique et des aérostructures composites avancées. Elle détient également des contrats pour la fourniture des portes d'ouverture en vol, des flaperons et du train d'arrêt. Une nouvelle ère dans la fabrication aérospatiale En conclusion, la décision de GKN Aerospace de doubler sa capacité de production de verrières pour le F-35 témoigne de son engagement en faveur de l'innovation et de la croissance. Alors que la demande d'avions militaires de pointe continue d'augmenter, GKN Aerospace est prête à relever ce défi, renforçant ainsi sa position de leader dans l'industrie aérospatiale. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 10 juin Share Posté(e) le 10 juin (modifié) Doubler la prod de verrières quand la prod de F-35 n'augmente pas ... Serait-ce pour la MCO ? Modifié le 10 juin par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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