C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 2 septembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 2 septembre (modifié) France-Pologne --> charges modulaires et peut-être obus ? https://eurenco.com/fr/eurenco-et-mesko-annoncent-louverture-de-la-nouvelle-chaine-dassemblage-polonaise-pour-les-charges-modulaires-155mm-eurenco-a-pionki/ Pionki, Pologne, 29 août 2025 – EURENCO et MESKO (groupe PGZ) sont fiers d’annoncer le lancement de la production sur une nouvelle chaîne d’assemblage pour les charges modulaire de 155 mm (Bi Modular Charge System « BMCS ») d’EURENCO, qui a atteint sa maturité opérationnelle le 25 juillet 2025. Cette étape importante a été précédée d’un processus de certification du produit qui a confirmé le respect des normes de qualité requises. MESKO S.A. a ainsi acquis une compétence clé dans la fabrication de munitions d’artillerie de gros calibre. Cette réalisation significative marque également la première étape de la stratégie de développement d’EURENCO en Pologne et en Europe de l’Est. Signé en 2024, l’accord entre EURENCO et MESKO a permis l’installation et le démarrage d’une chaîne d’assemblage locale d’une capacité pouvant atteindre 100 000 BMCS par an. EURENCO fournit la technologie et le kit de charges modulaires, provenant d’EURENCO France, tandis que MESKO assure l’assemblage local, avec ses propres poudres d’artillerie de 155 mm, pour les besoins souverains de la Pologne. Dans le cadre de la stratégie d’autonomie de la Pologne (« Poland Autonomy »), cette ligne opérationnelle permet à la Pologne d’augmenter considérablement sa capacité à approvisionner de manière indépendante ses forces armées en composants de munitions essentiels. Ce projet consolide le rôle d’EURENCO en tant que partenaire clé dans le renforcement de la résilience et de la sécurité européennes dans le domaine des matériaux énergétiques. L’acquisition par MESKO S.A. de capacités clés en matière de production du système de charges modulaires (BMCS) revêt une importance fondamentale pour la réalisation du concept de construction de trois usines de munitions d’artillerie de 155 mm en Pologne, annoncé en juillet par le Polish Armaments Group. https://knds.com/en/press-releases/up-to-200-000-shells-per-year-a-new-ambition-for-the-polish-defence-industry KNDS France offre à la Pologne la possibilité d'atteindre une production de 200 000 obus de 155 mm par an, et envisage un partenariat avec PGZ ; Le partenariat franco-polonais de longue date en matière de défense permet à KNDS France de proposer une solution qui profite directement à l'écosystème industriel local ; Le LU211, largement éprouvé au combat, représente l'état de l'art dans les munitions d'artillerie de calibre 155 mm / 52. « ENSEMBLE, NOUS ALLONS PLUS LOIN » L'instabilité à travers le continent européen et la nouvelle architecture de sécurité qu'elle implique obligent l'UE27 à renforcer son industrie de défense, dans une logique d'autonomie stratégique et de partenariats intracommunautaires renforcés. Au cours des trois dernières années, KNDS France a adopté une posture d'économie de guerre, notamment en triplant sa capacité de production de munitions de gros calibre. Dans ce contexte, KNDS est prêt à soutenir la Pologne, qui a exprimé la nécessité de produire jusqu'à 200 000 obus de 155 mm par an, grâce à un partenariat étroit. À cette fin, KNDS France et PGZ, ainsi que ses filiales, se sont engagées dans des discussions au cours des deux dernières années pour définir l'offre la plus pertinente pour renforcer l'industrie de la défense polonaise et lui permettre d'atteindre les objectifs du pays en matière de production d'obus d'artillerie. « LA VICTOIRE COMMENCE DANS L'USINE » La proposition de KNDS France a un objectif clair : permettre un large transfert de savoir-faire à l'industrie polonaise. Le modèle placerait PGZ et ses filiales (MESKO, NITRO-CHEM, DEZAMET, GAMRAT) au cœur de l'offre, en se concentrant sur le renforcement des capacités existantes plutôt que sur la proposition d'une solution ex-nihilo. KNDS France prévoira donc un renforcement rapide du tissu industriel local, de la formation du personnel à l'installation de machines-outils supplémentaires, tout en assurant une capacité de production opérationnelle immédiate grâce à l'approvisionnement en matières premières, telles que des carrosseries. La Pologne atteindrait ainsi sa pleine capacité de production en moins de trois ans. LE LU211 : UN OBUS À LA POINTE DE LA TECHNOLOGIE ET ÉPROUVÉ AU COMBAT Éprouvée au combat dans des théâtres d'opérations exigeants tels que l'Afghanistan, l'Irak et l'Ukraine, la famille d'obus LU211 a effectué plus de 2 500 missions de tir en Irak avec le plus haut niveau de tir sans incident, livrant plus de 15 000 coups pendant l'opération Chammal. En Ukraine, la forte consommation d'obus d'artillerie a démontré la pertinence du LU211, à la fois pour sa précision à longue portée et pour son effet terminal supérieur dans un environnement de conflit à haute intensité. Déployé sur les systèmes CAESAR sur le théâtre depuis avril 2022, le LU211 a prouvé sa valeur avec plusieurs milliers d'obus tirés par canon par des équipages d'artillerie ukrainiens. Adaptable aux besoins opérationnels, cette famille de coques peut être équipée d'une base creuse ou d'un kit de saige de base pour étendre sa portée. Le LU211 peut frapper des cibles jusqu'à 40 km de distance, avec le meilleur effet terminal de sa catégorie. La famille LU211 comprend également les LU214, 215, 216 et 217, fournissant des coquilles d'éclairage et de fumée à travers différents spectres. Le LU211 est également qualifié sur les obusiers K9 et KRAB, et se présente aujourd'hui comme l'obus d'artillerie de 155 mm le plus avancé disponible sur le marché. Modifié le 2 septembre par Titus K 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) dimanche à 13:49 C’est un message populaire. Share Posté(e) dimanche à 13:49 (modifié) Message de Mitsotakis à la Turquie : « Le casus belli doit disparaître – Tant qu'il existera, nous bloquerons Ankara du programme SAFE » https://www.onalert.gr/ellinotourkika/minyma-mitsotaki-stin-toyrkia-prepei-na-fygei-to-casus-belli-oso-yparchei-tha-mplokaroyme-tin-agkyra-apo-to-programma-safe/638397/ Lors de la conférence de presse à l'Exposition internationale de Thessalonique (TIF), Kyriakos Mitsotakis a été interrogé sur des questions concernant la Turquie, telles que sa politique étrangère agressive, le casus belli, mais aussi l'implantation de l'industrie turque de la défense sur le marché européen des technologies de défense et des équipements militaires. Dans un premier temps, Kyriakos Mitsotakis a souligné que la politique étrangère est dynamique et s'adapte aux situations changeantes, déclarant notamment : « Je recherche la tranquillité, mais à partir d'une position de force et de confiance en moi, sans jamais faire de concessions sur les intérêts nationaux, la souveraineté et les droits souverains de notre patrie ». Il a ensuite ajouté : « Je pense que par rapport à la situation dans laquelle nous nous trouvions il y a un an, les choses ont beaucoup changé sur le terrain ». Le Premier ministre a ensuite souligné que « la Grèce a pris des mesures qui peuvent susciter des réactions, mais les projets de la Grèce ne sont pas soumis à l'approbation de la Turquie et elle a prouvé qu'elle exerçait ses droits souverains d'une manière différente, comme les parcs marins et les recherches sur les hydrocarbures au sud de la Crète ». Interrogé sur ses relations avec le président turc Recep Tayyip Erdoğan, Kyriakos Mitsotakis a répondu : « Je continuerai à dialoguer avec M. Erdoğan afin de maintenir des canaux de communication ouverts et d'être très franc avec lui sur les questions qui nous préoccupent ». Concernant la levée du casus belli qu'il a demandée à Ankara, le Premier ministre a déclaré catégoriquement : « Il existe depuis 30 ans, depuis 1995, et si nous voulons une autre relation avec la Turquie et entrer dans son cercle, alors le casus belli doit être retiré de la table et tant qu'il existera, la Grèce bloquera la participation de la Turquie au programme SAFE ». Dendias : J'espère que dans les 45 prochains jours, un mémorandum sera signé pour les frégates Bergamini – Un projet de loi « décisif » pour les forces armées est en préparation https://www.onalert.gr/enoples-dynameis/yetha/dendias-elpizo-tis-epomenes-45-meres-na-ypografei-mnimonio-gia-tis-fregates-bergamini-erchetai-nomoschedio-tomi-gia-tis-ed-vid/638385/ Le ministre de la Défense nationale, Nikos Dendias, a participé hier, samedi 6 septembre 2025, à une discussion sur les questions de défense et l'« Agenda 2030 », au Forum de l'« Ekonomikos Tachydromos » et de in.gr, dans le cadre de la 89e Exposition internationale de Thessalonique. Voici la discussion avec les journalistes Alexandra Fotaki, Eleni Stergiou et Yiannis Baskakis. ELENI STERGIOU : Nous avons avec nous Alexandra Fotaki et Yiannis Baskakis. Et bien sûr, aujourd'hui samedi, c'est le premier week-end de la Foire internationale de Thessalonique. Nous attendons que le Premier ministre annonce les mesures qui vont changer notre vie, d'après ce que je comprends du discours du gouvernement. Comment voyez-vous le climat pour la Nouvelle Démocratie, le gouvernement et les électeurs ? NIKOS DENDIAS : Je pense qu'il est préférable d'attendre le discours du Premier ministre avant de porter un jugement. Voyons ce qu'il a à dire après l'été, ce que nous pouvons annoncer, ce que peut apporter le nouveau contexte qui se crée, et ensuite nous jugerons. ELENI STERGIOU : Quelle est l'ambiance que vous ressentez lors de votre tournée ? NIKOS DENDIAS : En août, l'ambiance n'est pas très précise. En août, les Grecs sont à la plage. Ils ne s'intéressent pas à la politique, les grandes villes sont vides... ELENI STERGIOU : Et les questions nationales ? Les questions nationales ne sont pas en reste. Ils s'intéressent aux questions nationales. NIKOS DENDIAS : Ils s'intéressent effectivement aux questions nationales, où qu'ils se trouvent. ALEXANDRA FOTAKI : Et les équipements militaires ? Parce qu'il y a tout un débat sur le « SAFE », sur l'industrie de la défense, sur les opportunités, vous en avez parlé au Parlement. Où cet argent sera-t-il investi ? NIKOS DENDIAS : Mais nous l'avons annoncé. L'armement du pays a été annoncé pour la première fois. Il y a une transparence totale sur ce qui va se passer au cours des vingt prochaines années. Ainsi, toute personne souhaitant investir dans la défense nationale – et nous faisons ici référence à un écosystème grec – est la bienvenue. ALEXANDRA FOTAKI : Il y a donc de la place pour l'industrie de la défense grecque, même pour les systèmes à double usage ? NIKOS DENDIAS : Madame Fotaki, c'est là notre objectif principal. Créer un écosystème capable de répondre aux besoins des forces armées, mais aussi de créer des produits exportables. La Grèce s'est effondrée en 2009-2010 pour deux raisons principales, l'une d'entre elles étant le déficit de la balance commerciale ou, pour le dire simplement afin que tout le monde comprenne, nos importations sont beaucoup plus importantes que nos exportations. Si nous parvenons donc, par le biais de la défense nationale et des besoins des forces armées, à créer un écosystème qui, en plus de servir les forces armées, exporte également des produits, c'est-à-dire à améliorer ce déséquilibre, je pense que cela rendrait un très grand service à l'économie et à la société grecques. ALEXANDRA FOTAKI : Dans une situation géopolitique telle que celle que nous vivons actuellement, avec deux guerres en cours dans notre voisinage et deux superpuissances dont les dirigeants sont qualifiés d'« imprévisibles », je dirais, comment voyez-vous la relation entre Erdogan et Trump et la position de la Turquie dans la région ? NIKOS DENDIAS : La Turquie est un acteur géopolitique important. La Grèce respecte la Turquie, la prend en considération, mais cela ne signifie pas pour autant que la taille de la Turquie obligera la Grèce, quel que soit le gouvernement grec en place, à renoncer à ses positions nationales établies. GIANNIS BASKAKIS : Mais la nouvelle ère Trump et les relations avec Erdogan vous inquiètent-elles ? NIKOS DENDIAS : Nous avons connu le président Trump pendant quatre ans et je dois vous dire que mon expérience à cette époque n'a pas été mauvaise du tout. J'ai signé un accord avec Mike Pompeo et nous avons eu une entente claire avec l'administration Trump dans des conditions très difficiles pour les relations gréco-turques. Je me souviens de l'été 2020, de l'été 2021. Donc, même si tout le monde doit rester prudent, je dois vous dire que le passé nous enseigne que nous pouvons avoir une très bonne coopération. Il y a bien sûr une différence entre « nous pouvons avoir » et « nous avons ». ALEXANDRA FOTAKI : Vous avez annoncé à la commission de la Chambre des députés la création d'une administration des moyens non pilotés dans la marine de guerre et la création d'un centre de formation aux drones dans l'armée de l'air. Vous avez souvent dit que nous devons changer notre façon de voir les forces armées. NIKOS DENDIAS : Qu'est-ce qui vous surprend ? ALEXANDRA FOTAKI : Sommes-nous sur le point de procéder à de telles embauches ? Non seulement en matière de systèmes, mais aussi en matière de ressources humaines ? NIKOS DENDIAS : Vous avez tout à fait raison. Le problème ne réside pas principalement dans les systèmes, même si nous voulons produire des systèmes ici, nous ne voulons pas aller acheter des systèmes. Si j'avais le temps, je vous expliquerais pourquoi il est indispensable d'avoir des lignes de production. Les besoins changent très rapidement et si vous n'avez pas la possibilité d'effectuer vous-même les changements et que vous attendez de passer commande à l'extérieur, etc., vous êtes perdu. ALEXANDRA FOTAKI : Et c'est là que l'industrie grecque de la défense veut s'implanter. NIKOS DENDIAS : Tout à fait. Tout à fait. Elle doit s'implanter et nous l'encourageons à le faire, c'est ce que fait l'ELKAK. Si vous le souhaitez, nous l'aidons à s'implanter. Et nous disposons des fonds nécessaires pour cela. Mais au-delà de cela, il est évident que ces changements auraient dû être effectués. Madame Fotaki, nous avons pris du retard, c'est la vérité. Notre espoir réside dans ce que les Anglo-Saxons appellent le « Jump Start », c'est-à-dire sauter, aller plus loin dès le départ. Pourquoi ? Parce que nous pouvons tirer les leçons des erreurs des autres. Mais si nous ne le faisons pas et si nous continuons à servir la Défense avec les formations de l'époque napoléonienne - divisions, armées, choses, miracles, mécanismes - nous n'irons nulle part. ALEXANDRA FOTAKI : Par conséquent, des cadres du secteur privé peuvent-ils être invités à rejoindre les forces armées dans un premier temps ? NIKOS DENDIAS : Nous créons un système dans lequel les conscrits qui ont des qualifications professionnelles élevées ou des connaissances dont nous avons besoin – des doctorats dans les nouvelles technologies – effectueront un service « spécial » et seront mis à profit. Au-delà de cela, nous avons encore la possibilité (vous le verrez dans un projet de loi à venir) même nos officiers à la retraite qui ont des connaissances technologiques et ont terminé leurs études dans des universités étrangères aux frais de l'État grec, qui leur a donné un savoir-faire important, de les associer à cet effort de création d'une nouvelle réalité pour les forces armées. Nous ne sommes même pas 11 millions d'habitants. Nous avons besoin de tout le capital humain que nous pouvons mobiliser. Personne n'est superflu. ELENI STERGIOU : Cette nouvelle voie, en complément de ce que vous dites, qui apporte de nouvelles technologies et la partie relative à la cybersécurité, peut également ouvrir la voie à l'attraction de cadres dans les forces armées et en dehors des cadres militaires, n'est-ce pas ? NIKOS DENDIAS : Et en dehors ? ELENI STERGIOU : En dehors des académies militaires. C'est-à-dire provenant du marché. NIKOS DENDIAS : Nous avons une possibilité qui se concrétisera dans certains cas précis. Nous ne parlons pas de grands nombres. Nous pourrons recruter des personnes qui ont des connaissances spécialisées et qui ne sont pas issues des écoles militaires. Tout à fait. ELENI STERGIOU : Toujours dans le secteur de la technologie, je comprends. NIKOS DENDIAS : C'est ce que font toutes les armées avancées dans le monde. L'erreur est que nous ne l'avons pas fait. ALEXANDRA FOTAKI : Et comment allez-vous endiguer la vague de démissions que nous avons connue récemment en raison des salaires ? NIKOS DENDIAS : Madame Fotaki, ne nous moquons pas. Nous devons faire deux choses. La première est d'améliorer les salaires. Nous le faisons déjà. ALEXANDRA FOTAKI : Y aura-t-il des annonces ? NIKOS DENDIAS : Le Premier ministre le dira aujourd'hui. Je l'ai annoncé il y a longtemps. À partir du 1er octobre, il y aura des augmentations de 13 à 25 %, qui, je tiens à le préciser, ne proviennent pas de fonds supplémentaires du Trésor public. Elles proviennent d'économies réalisées dans notre propre budget. D'argent qui existait déjà. Le contribuable grec n'est pas pénalisé. Et aussi, de meilleures conditions de vie. Un programme de logement qui, après 2030, donnera un logement à chaque cadre muté. Cela représente une augmentation de salaire de l'ordre de 30 à 40 %. Nous savons tous combien coûtent les loyers en Grèce aujourd'hui. Sans parler des îles, où il est impossible de trouver un logement. Et il est clair qu'avec les économies supplémentaires que nous pouvons réaliser, nous pourrons probablement passer dans un an ou un an et demi à un nouveau cycle d'augmentations salariales des cadres des forces armées à partir des fonds déjà disponibles. Sans compter ce qui pourrait être accordé au ministère grâce à la croissance générale de l'économie grecque. Notre modèle n'est pas le modèle habituel, où l'on se rend à la Comptabilité générale de l'État, où l'on se plaint, où l'on fait pression et où l'on attend de voir ce que l'on va obtenir. C'est un modèle dans lequel nous créons le bien de la sécurité du citoyen grec, mais nous rémunérons mieux nos cadres grâce à nos propres économies internes. ALEXANDRA FOTAKI : Par conséquent, le projet de loi qui sera présenté sur le service militaire viendra compléter tout cela. NIKOS DENDIAS : C'est un projet de loi énorme. Il concerne la carrière des officiers, des sous-officiers, des EPO, le nouveau barème des salaires, les écoles militaires, le service militaire, la réserve et comprendra diverses autres dispositions complémentaires. La justice militaire, le nouveau grand programme de logement des forces armées, qui s'étendra jusqu'en 2030 et au-delà, jusqu'à ce que nous puissions répondre pleinement aux besoins, à 100 %. Tel est l'objectif. Et il existe un financement interne pour cela. Les économies nécessaires ont été trouvées. Il s'agira donc d'un projet de loi très important que nous présenterons au Parlement. Nous sommes ouverts aux commentaires des autres partis et de la société grecque dans le cadre de la consultation. Mais j'aspire à ce que ce soit une loi révolutionnaire pour les forces armées et une loi fondamentale de l'« Agenda 2030 ». ELENI STERGIOU : Quand est-ce prévu, Monsieur le Ministre ? NIKOS DENDIAS : Il sera présenté au Conseil des ministres en septembre. De notre côté, il est presque prêt. ELENI STERGIOU : Et il sera ensuite soumis à consultation ? NIKOS DENDIAS : Il sera soumis à consultation, puis présenté au Parlement. J'espère qu'il sera voté d'ici la fin du mois d'octobre. Nous devrions avoir terminé début novembre. ALEXANDRA FOTAKI : Ce projet de loi inclura-t-il également le service militaire des femmes ? NIKOS DENDIAS : Oui, il inclut également le service militaire des femmes. Je vous ai dit qu'il devrait y avoir un service militaire volontaire pour les femmes, avec une approche plus détaillée que celle qui existe déjà dans le cadre législatif. ALEXANDRA FOTAKI : Vous avez récemment annoncé la fin du service militaire dans la marine et l'armée de l'air. NIKOS DENDIAS : Cela est également inclus. ALEXANDRA FOTAKI : Pour éviter les « mauvaises pratiques » du passé et, bien sûr, les nouveaux navires et les nouveaux systèmes ne peuvent pas... NIKOS DENDIAS : Ils sont un peu plus sophistiqués. ALEXANDRA FOTAKI : Comment allons-nous y parvenir ? NIKOS DENDIAS : C'est très simple. Aucun conscrit ne servira dans la marine ou l'armée de l'air s'il ne possède pas des compétences très spécifiques correspondant aux besoins de ces deux armes. ALEXANDRA FOTAKI : Et sur les frégates, les nouvelles frégates ? NIKOS DENDIAS : C'est un peu difficile pour l'instant. Les nouvelles frégates ont un équipage beaucoup plus réduit que les frégates existantes. Elles sont plus grandes, mais leur équipage représente 60 % de celui des frégates actuelles, soit environ 120 personnes, alors que les MEKO actuelles en comptent 180. Cependant, ces 120 personnes sont très bien formées et ont des spécialités très spécifiques, donc si quelqu'un n'est pas capable de « prendre la relève » d'un tel poste, cela n'a aucun sens. Nous n'allons pas prendre quelqu'un dans la rue et lui dire d'aller sur un « Belharra » d'un milliard d'euros pour manipuler des systèmes qui, chacun d'entre eux, nécessitent une spécialisation énorme et valent des dizaines de millions. ALEXANDRA FOTAKI : En outre, nous négocions également des systèmes avec l'Italie, notamment des frégates. NIKOS DENDIAS : En effet, les deux « Bergamini ». ALEXANDRA FOTAKI : Où en sommes-nous ? NIKOS DENDIAS : J'espère que dans les 45 prochains jours, nous pourrons parvenir à un accord avec la partie italienne et signer un protocole d'accord. ALEXANDRA FOTAKI : Parce que nous parlions aussi du « Dôme » et qu'il semblait qu'en raison des systèmes, du moins dans le dôme anti-aérien, Israël serait l'une des forces principales. À l'heure actuelle... NIKOS DENDIAS : La Direction générale de l'armement, qui est désormais dirigée par un officier en service sélectionné par le GEETHA, et non par un officier à la retraite choisi par le ministre parce qu'il est son ami et qu'il le connaît bien, est également l'une des mesures de transparence que nous avons prises. Elle négocie avec une série d'entreprises, des systèmes qui pourraient répondre aux besoins du « Tholos » qui est en cours de conception, nous savons ce que nous voulons. C'est une question de prix et aussi de coproduction. Pour le « Tholos », nous demandons une coproduction. Nous ne demandons pas simplement d'acheter quelque chose pour l'apporter en Grèce. ALEXANDRA FOTAKI : C'est pourquoi les entreprises grecques critiquent le fait que le ministère devrait les intégrer dans la chaîne de production plus large des systèmes et non pas de manière occasionnelle pour les commandes nationales. Il y a une telle... NIKOS DENDIAS : Je vais vous dire. ALEXANDRA FOTAKI : Parce que cela coûterait très cher si nous demandions que quelque chose soit fabriqué exclusivement pour les programmes grecs. NIKOS DENDIAS : Pour nous, lorsque nous choisissons un partenaire étranger pour nos systèmes avancés, l'un des éléments sur lesquels nous basons notre décision est l'investissement et le transfert de savoir-faire en Grèce. Nous faisons donc de notre mieux, et pour la première fois, nous avons fixé à 25 % la moyenne pondérée pour tous les systèmes. Nous avons annoncé l'Exposé afin d'assurer la transparence, nous faisons donc de notre mieux. Au-delà de cela, je tiens à clarifier une chose : tout se fera dans la transparence. Ce qui s'est passé dans le passé, qui a blessé le ministère, qui a blessé le monde politique, qui a blessé la société grecque, qui a conduit des ministres en prison, qui a ébranlé la confiance des citoyens grecs dans la façon dont nous gérons leur retard, ne se reproduiront pas ici. ALEXANDRA FOTAKI : Le centre d'information en cours de modernisation a éveillé mon intérêt. À quoi ressemblera ce « nouveau service de renseignement du ministère », pour ainsi dire ? NIKOS DENDIAS : Mais les besoins sont différents. Il existe deux sources principales, les sources humaines et les sources électroniques. Nous devons atteindre un certain niveau dans les deux domaines afin d'avoir une image claire de la diversité qui nous entoure, nous ne pouvons pas avancer à l'aveuglette. Vous savez, sinon, vous étiez confronté à un monde sans conflits, où vous espériez que tout serait en grande partie paisible, que l'économie continuerait à se développer, que tout le monde s'entendrait, mais nous sommes dans un monde rempli de guerres et d'instabilité. Nous sommes obligés d'avoir une vision claire. Ici, dans notre région immédiate, il y a déjà deux « États défaillants », la Syrie et la Libye. En Afrique subsaharienne, qui nous affecte également, et pas seulement en raison des flux migratoires, se trouve le « paradis » des djihadistes. Le Caucase du Sud est également instable. L'Iran, l'Irak, où que vous tourniez la tête, vous voyez des sources d'instabilité et des problèmes, vous ne pouvez pas avancer à l'aveuglette. Vous êtes obligé d'avoir une vision claire du terrain qui vous entoure. Pourquoi ? Parce que votre travail consiste à comprendre les défis afin d'assurer la sécurité des citoyens grecs. ELENI STERGIOU : Cette discussion a été très intéressante et, en vérité, nous avons dit beaucoup de choses en peu de temps. Nous attendons donc le projet de loi qui, comme vous l'avez dit, sera présenté au Conseil des ministres immédiatement après le retour de toute la Government du Salon international de Thessalonique. Vous vous réunissez pour travailler par ministère, puis il y aura le vote à la Chambre. Nous vous remercions donc vivement, Monsieur le Ministre, pour cette discussion. NIKOS DENDIAS : Je vous remercie chaleureusement. ELENI STERGIOU : Je tiens également à remercier mes collègues ici présents pour cette discussion, Alexandra Fotaki et Yiannis Baskakis. Modifié dimanche à 14:52 par Titus K 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) lundi à 14:05 Share Posté(e) lundi à 14:05 Si on parle de défense de l'Europe, la France doit être dans le sujet. Non ? Donc ce qui concerne la France aussi ? Hein ? Alleeez ! Voilà donc qui est dans le sujet. Si En plus ça ne se rapporte absolument pas à un chef de gouvernement actuel. Non, bien sûr que non ==>[ ] et vite ! P.S. : Ne continuez pas le H.S. hein ! Sinon je vais vraiment me faire allumer 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) lundi à 18:14 Share Posté(e) lundi à 18:14 Il y a 4 heures, Cunégonde a dit : Et au passage, ... Personne ne t'a lu. Personne ne te lira. D'ailleurs je n'indiquerai pas si je partage ou non ton orientation politique Attention, ce message s'autodétruira dans 10, 9, 8... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cunégonde Posté(e) lundi à 18:15 Share Posté(e) lundi à 18:15 Just now, Alexis said: Personne ne t'a lu. Personne ne te lira. D'ailleurs je n'indiquerai pas si je partage ou non ton orientation politique Attention, ce message s'autodétruira dans 10, 9, 8... Bof, c'est pas comme si j'y attachais une quelconque importance. 7,6,5... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Sillage Posté(e) lundi à 18:33 C’est un message populaire. Share Posté(e) lundi à 18:33 Je ne commente pas non plus le propos sur Bruno Retailleau. J'espère retrouver Sébastien Lecornu au ministère des armées, il a fait un très bon travail sur le plan national et international. Plusieurs de ses initiatives s'inscrivent pleinement dans l'Europe de la défense tout en préservant la souveraineté nationale. C'est un interlocuteur crédible pour ses homologues européens, les industriels et militaires. 4 9 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) lundi à 19:01 Share Posté(e) lundi à 19:01 (modifié) Il y a 1 heure, Cunégonde a dit : Et La charte... Modifié lundi à 19:29 par gustave 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) lundi à 21:48 Share Posté(e) lundi à 21:48 Il y a 3 heures, Cunégonde a dit : Bof, c'est pas comme si j'y attachais une quelconque importance. 7,6,5... Pas plus qu'on n'attache une quelconque importance à ta présence sur le Forum si c'est pour nous fournir des postes Hors Charte de cet acabit. Donc au prochain poste de ce type tu iras prendre l'air qq temps. Edit : tu n'as pas encore approuvé les points que t'as collé @collectionneur Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) lundi à 22:12 Share Posté(e) lundi à 22:12 Les États-Unis arrêtent la coopération avec les européens dans la lutte contre la désinformation. Les faits rangés au même rang qu'une opinion. De tous les désengagements militaires américain qui s'offraient à l'administration Trump, celui-ci est le pire, alors qu'à mon avis, ce devait être l'un des moins coûteux. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stark_Contrast Posté(e) mardi à 02:00 Share Posté(e) mardi à 02:00 On 9/1/2025 at 6:11 AM, Patrick said: If these methods are intended to make us "bend" (and bend to what? On what? To make us GIVE ATOMIC WEAPONS to anyone? Anyone, who, on top of that, are insulting as possible by suggesting that THEY would be more credible than US with OUR OWN WEAPONS???) then it is HOSTILE. WE ARE NOT GOING TO GIVE ATOMIC WEAPONS TO HOSTILES. HELLO HELLO. Pourriez-vous imaginer remettre vos armes nucléaires à une puissance non nucléaire à sa demande ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) mardi à 05:39 Share Posté(e) mardi à 05:39 Il y a 3 heures, Stark_Contrast a dit : Pourriez-vous imaginer remettre vos armes nucléaires à une puissance non nucléaire à sa demande ? Parfois j'ai presque envie de croire que nous vivons dans une simulation parce que tout s'expliquerait bien plus facilement. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) mardi à 08:24 Share Posté(e) mardi à 08:24 (modifié) Il y a 10 heures, olivier lsb a dit : Les états Unis arrêtent la coopération avec les européens dans la lutte contre la désinformation. Les faits rangés au même rang qu'une opinion. De tous les désengagements militaires américain qui s'offraient à l'administration Trump, celui-ci est le pire, alors qu'à mon avis, ce devait être l'un des moins coûteux. Je ne sais pas si c'est le pire mais il s'ajoute à ceux que cette administration à déjà mis en place. Après on peut toujours croire que si c'était pas Trump çà serait différent. Mais encore une fois Ils ont des problèmes budgétaire au moins aussi important que les notre et ensuite il va falloir que Trum finance son déploiement géopolitique (Venezuela, Canada, Groenland) et son "containment " de la Chine. Donc à la fin les européens sont des boulets pour lui. Modifié mardi à 08:27 par collectionneur Orthographe 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stark_Contrast Posté(e) mardi à 09:51 Share Posté(e) mardi à 09:51 1 hour ago, herciv said: I don't know if it's the worst, but it adds to those that this administration has already put in place. Afterwards, we can always believe that if it weren't Trump, it would be different. But once again, they have budgetary problems at least as important as ours, and then Trump will have to finance his geopolitical deployment (Venezuela, Canada, Greenland) and his "containment" of China. So in the end, the Europeans are a burden to him. Ce n'est pas ainsi que fonctionne le budget américain. Et les États-Unis « déploient » déjà des troupes au Groenland et au Canada depuis des décennies. Il s'agit en réalité d'une forme d'excuse très étrange. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stark_Contrast Posté(e) mardi à 09:56 Share Posté(e) mardi à 09:56 4 hours ago, Patrick said: Sometimes I almost want to believe that we live in a simulation because everything would be explained much more easily. Le problème dans tout cela, c'est que les gens ne voient pas cela comme un problème. Vous soulignez certains des problèmes fondamentaux liés à ce « partage », mais les gens ne voient rien d'étrange non seulement dans la nature de la demande, mais aussi dans l'idée évidente que quelqu'un pense que vous devriez « partager » quelque chose, tout comme un voleur pense que vous devriez « partager » votre portefeuille avec lui. Ou quelqu'un qui vous demande avec désinvolture les informations de votre carte de crédit. C'est dit de manière très diplomatique, mais l'objectif est très sinistre. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) mardi à 12:53 Share Posté(e) mardi à 12:53 Il y a 15 heures, BPCs a dit : Pas plus qu'on n'attache une quelconque importance à ta présence sur le Forum si c'est pour nous fournir des postes Hors Charte de cet acabit. Donc au prochain poste de ce type tu iras prendre l'air qq temps. Edit : tu n'as pas encore approuvé les points que t'as collé @collectionneur D'ailleurs pour info des autres membres, le Cunegonde se l'a ramené, Pascal a été le plus rapide à répondre aux signalements... Adieu @Cunegonde ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) mardi à 15:36 Share Posté(e) mardi à 15:36 Le programme SAFE a été entièrement souscrit dont 16 milliard par la France. Ca n'a l'air de rien mais il s'agit d'une mutualisation de la dette contre laquelle l'Allemagne s'était longtemps battue. https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/l-ue-finalise-des-prets-de-176-milliards-de-dollars-pour-la-defense-la-pologne-en-tete-des-benefici-ce7d59dfd080fe27 L'UE finalise des prêts de 176 milliards de dollars pour la défense, la Pologne en tête des bénéficiaires Publié le 09/09/2025 à 16:58 - Modifié le 09/09/2025 à 16:59 Reuters - Traduit par Zonebourse - Voir l'original Les 150 milliards d'euros (176 milliards de dollars) de prêts à taux préférentiels de l'Union européenne, destinés à financer des projets de défense, ont été entièrement souscrits par un total de 19 pays membres, la Pologne obtenant la part la plus importante, a annoncé mardi la Commission européenne. Ce dispositif, baptisé « Security Action For Europe » (SAFE), est un programme d'emprunt conjoint soutenu par le budget de l'UE. Il vise à renforcer les capacités de défense du bloc, combler des lacunes critiques et acquérir des équipements militaires pour se préparer à la menace d'une agression militaire en provenance de la Russie ou de la Biélorussie. « Il y avait beaucoup de scepticisme quant à la possibilité d'obtenir des taux d'intérêt bas. Aujourd'hui, nous constatons le contraire. L'intérêt manifesté par les États membres est un franc succès. Ce ne sont pas uniquement les pays de la frontière orientale qui sont concernés », a déclaré le commissaire européen à la Défense, Andrius Kubilius, lors d'une conférence de presse. La Pologne bénéficiera de la plus grande part du total, avec 43,7 milliards d'euros (51 milliards de dollars), suivie par la Roumanie avec 16,7 milliards. La Hongrie et la France recevront chacune 16,2 milliards d'euros, l'Italie 14,9 milliards, la Belgique 8,3 milliards, la Lituanie 6,4 milliards, le Portugal 5,8 milliards et la Lettonie 5,7 milliards, entre autres. Participent également à ce programme de prêts la Bulgarie, la Croatie, Chypre, la Tchéquie, le Danemark, l'Estonie, la Finlande, la Grèce, la Slovaquie et l'Espagne. Selon la Commission, huit pays de l'UE n'ont pas postulé pour ces prêts, car ils pouvaient eux-mêmes emprunter à des taux comparables, voire meilleurs. Les 19 pays concernés vont désormais préparer des plans d'investissement détaillant l'utilisation de ces fonds, qu'ils devront présenter d'ici la fin novembre. La Commission évaluera ces plans et procédera aux premiers versements au premier trimestre 2026, a précisé M. Kubilius. Le dispositif prévoit une période de grâce de dix ans pour le remboursement des prêts, des taux d'intérêt faibles, et permet des accords avec des pays non membres de l'UE, tels que la Norvège, le Royaume-Uni ou la Turquie, qui disposent d'équipements de défense susceptibles d'intéresser l'Union. (1 $ = 0,8525 euros) 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) mardi à 17:03 Share Posté(e) mardi à 17:03 Super nouvelle, voila un programme européen qui fonctionne bien ! À l'heure actuelle, les 7 pays participants sont : la Finlande, la Lettonie, la Suède, l'Allemagne, le Danemark, la Norvège et le Royaume-Uni. Ca reste assez peu de véhicules pour l'instant (~1000 en tout) mais le programme semble fédérateur. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) mardi à 17:15 Share Posté(e) mardi à 17:15 (modifié) Les prets via l'UE SAFE "Security Action for Europe" La Pologne touche le gros lot La France s'en tire pas mal, autant que la Roumanie et la Hongrie. Modifié mardi à 17:17 par Titus K 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) mardi à 18:22 Share Posté(e) mardi à 18:22 Il y a 2 heures, herciv a dit : Le programme SAFE a été entièrement souscrit dont 16 milliard par la France. Ca n'a l'air de rien mais il s'agit d'une mutualisation de la dette contre laquelle l'Allemagne s'était longtemps battue. https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/l-ue-finalise-des-prets-de-176-milliards-de-dollars-pour-la-defense-la-pologne-en-tete-des-benefici-ce7d59dfd080fe27 L'UE finalise des prêts de 176 milliards de dollars pour la défense, la Pologne en tête des bénéficiaires Publié le 09/09/2025 à 16:58 - Modifié le 09/09/2025 à 16:59 Reuters - Traduit par Zonebourse - Voir l'original Les 150 milliards d'euros (176 milliards de dollars) de prêts à taux préférentiels de l'Union européenne, destinés à financer des projets de défense, ont été entièrement souscrits par un total de 19 pays membres, la Pologne obtenant la part la plus importante, a annoncé mardi la Commission européenne. Ce dispositif, baptisé « Security Action For Europe » (SAFE), est un programme d'emprunt conjoint soutenu par le budget de l'UE. Il vise à renforcer les capacités de défense du bloc, combler des lacunes critiques et acquérir des équipements militaires pour se préparer à la menace d'une agression militaire en provenance de la Russie ou de la Biélorussie. « Il y avait beaucoup de scepticisme quant à la possibilité d'obtenir des taux d'intérêt bas. Aujourd'hui, nous constatons le contraire. L'intérêt manifesté par les États membres est un franc succès. Ce ne sont pas uniquement les pays de la frontière orientale qui sont concernés », a déclaré le commissaire européen à la Défense, Andrius Kubilius, lors d'une conférence de presse. La Pologne bénéficiera de la plus grande part du total, avec 43,7 milliards d'euros (51 milliards de dollars), suivie par la Roumanie avec 16,7 milliards. La Hongrie et la France recevront chacune 16,2 milliards d'euros, l'Italie 14,9 milliards, la Belgique 8,3 milliards, la Lituanie 6,4 milliards, le Portugal 5,8 milliards et la Lettonie 5,7 milliards, entre autres. Participent également à ce programme de prêts la Bulgarie, la Croatie, Chypre, la Tchéquie, le Danemark, l'Estonie, la Finlande, la Grèce, la Slovaquie et l'Espagne. Selon la Commission, huit pays de l'UE n'ont pas postulé pour ces prêts, car ils pouvaient eux-mêmes emprunter à des taux comparables, voire meilleurs. Les 19 pays concernés vont désormais préparer des plans d'investissement détaillant l'utilisation de ces fonds, qu'ils devront présenter d'ici la fin novembre. La Commission évaluera ces plans et procédera aux premiers versements au premier trimestre 2026, a précisé M. Kubilius. Le dispositif prévoit une période de grâce de dix ans pour le remboursement des prêts, des taux d'intérêt faibles, et permet des accords avec des pays non membres de l'UE, tels que la Norvège, le Royaume-Uni ou la Turquie, qui disposent d'équipements de défense susceptibles d'intéresser l'Union. (1 $ = 0,8525 euros) Ces prêts permettent-ils d'acquérir n'importe quel équipement ou uniquement de l'équipement européen? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) mardi à 18:40 Share Posté(e) mardi à 18:40 Il y a 1 heure, Titus K a dit : Ca reste assez peu de véhicules pour l'instant (~1000 en tout) mais le programme semble fédérateur. Quand on regarde l'engin et le design c'est une ressucée du VAB en 6X6 un peu rallongé ... Avec compartiment moteur à gauche derrière le pilote, et couloir entre le poste de pilotage et le "cargo" arrière ... Ca m'étonne presque qu'Arquus ne porte pas plainte pour plagiat ... Clairon 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) mardi à 18:48 Share Posté(e) mardi à 18:48 (modifié) il y a 39 minutes, gustave a dit : Ces prêts permettent-ils d'acquérir n'importe quel équipement ou uniquement de l'équipement européen? J'ai pas regardé le dėtail je dois t'avouer. Il me semble avoir vu passer un ou deux articles demandant que les equipement US soient accessibles a des financements SAFE. Mais rien de plus que ce lobbying. J'ai posé la question à Chatgpt : Sais-tu si le programme SAFE de l'UE est ouvert aux armements américains ? Voici la réponse à ta question : Le programme SAFE (Security Action for Europe) de l’Union européenne est un instrument financier de 150 milliards d’euros adopté le 27 mai 2025. Il vise à financer des prêts à long terme à conditions avantageuses pour renforcer la base industrielle et technologique de défense en Europe, à travers des achats conjoints d’armements par plusieurs États membres de l’UE ConsiliumReuters. Est-il ouvert aux armements américains ? Non, le programme n’est pas ouvert aux armements ou aux industriels américains. En effet : Il comporte une clause dite "Buy European", qui exige qu’au moins 65 % de la valeur des projets provienne d’entreprises établies dans l’UE, dans l’Espace économique européen (EEE) ou en Ukraine Reuters. De plus, selon une source comme L’Orient‑Le Jour, jusqu’à 35 % du financement pourrait concerner des entreprises de pays tiers, mais sous réserve que cela ne confère à aucun d’eux de contrôle sur l'armement produit. Notamment pour éviter qu’un fabricant américain puisse exercer une influence à distance sur l’équipement européen L'Orient-Le Jour. D’autres textes soulignent que pour qu’un industriel de pays tiers soit accepté, il doit être présent dans un État de l’UE, de l’EEE ou de l’EFTA, ou en Ukraine, et qu’il doit passer un contrôle de sécurité rigoureux Brussels Signal. En résumé : Les entreprises américaines ne sont pas éligibles à obtenir des financements SAFE, sauf éventuellement de façon très restreinte (dans cette limite de 35 %) et sans possibilité de contrôle ou d’influence sur le matériel produit. L’objectif est clairement de préserver l’autonomie stratégique européenne et de soutenir prioritairement les filières de défense internes à l’Europe. Modifié mardi à 19:03 par herciv 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) mardi à 20:41 Share Posté(e) mardi à 20:41 Il y a 1 heure, Clairon a dit : Quand on regarde l'engin et le design c'est une ressucée du VAB en 6X6 un peu rallongé ... C'est surtout un SISU (aujourd'hui PATRIA) PASI 6x6 Finlandais qui est un peu plus récent que le VAB... 1983 au lieu de 1970. Il y a 1 heure, Clairon a dit : Avec compartiment moteur à gauche derrière le pilote, et couloir entre le poste de pilotage et le "cargo" arrière ... Ca m'étonne presque qu'Arquus ne porte pas plainte pour plagiat ... Clairon Pourquoi l'auraient-ils fait à l'époque où ce genre d'engins pullulait littéralement partout? De plus le VAB 6x6 Mk3 date de 2012 et il est clairement conçu pour aller manger sur les terres des engins comme le PASI. Donc en effet quand on a un VAB mk3 en catalogue on a a priori pas besoin d'un engin de ce genre qui est très proche en termes de cotes. VAB mk3: 20 tonnes PTAC 7.3m de long 2.65m de large 2.5m de haut PASI: 24 tonnes combat weight 7.5m de long 2.9m de large 2.5m de haut Je ne sais pas si le CAVS implique des changements en tout cas il y a une variante mortier sous tourelle de prévue. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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