clem200 Posté(e) le 11 décembre 2024 Share Posté(e) le 11 décembre 2024 Il y a 7 heures, Picdelamirand-oil a dit : ChatGPT a mis en forme ma pensée sans la dénaturer, alors pourquoi ne pas l'utiliser, faut t il passer plus de temps à mettre en forme la pensée qu'à penser? ou peut on économiser sur la mise en forme pour pouvoir penser plus longtemps? Personnellement je ne te lis absolument pas quand je vois que tu as généré ça par chat GPT, c'est-à-dire environ 95 % de tes messages C'est trop long, structuré comme un article de presse chiant, tu refuses toujours d'expliquer que tu n'as pas écrit une seule ligne Que tu estimes que cela dénature pas ta pensée n'a rien à faire ici. Quand on écrit pas une seule ligne d'un texte, on le signale, ça s'appelle l'intégrité. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 11 décembre 2024 Share Posté(e) le 11 décembre 2024 Il y a 2 heures, ksimodo a dit : Et les réponses de Chat, quand on lis, qu'est ce qu'on s'emmerde !!! Le schéma est immuable à la question, quelle est la couleur: Angle de vue 1, ça pourrait presque blanc, Angle de vue 2, ça pourrait aussi être presque noir, Conclusion immédiate c'est gris, à peu prés, Perspective future: le gris peut subsister, ou pourrait se rapprocher du blanc, ou se rapprocher du noir. Bre, en même temps, c'était gris, et ça pourrait gris en même temps ( peut être en changeant de gris ) D'autant que sur des sujets disons "polémiques", le Chat n'est que le reflet à peu prés statistique de ce qui existe eb volume de contenu. Si un sujet est rempli par de la "merde" parce que c'est un sujet bien farçi par du lobbyisme ( par exemple ), ou par des visions antagonistes trés fortes, l'information sera assez biaisée. Et les sujets pas tranchés, pas faciles, c'est quand même l'âme de certains forum, en tout ceux dont les messages sont construits ( comme AD, on parle du fofo jeux vidéo blabla 18 25 ). ChatGPT et les autres modèles s'avèrent être performants là ou il n'étaient pas forcément attendus ( par exemple pour coder des trucs, ça va vite et ça marche pas si mal ). Et ils progressent beaucoup, qu'apparemment le chat version 4 s'est avéré quelque peu châtré versus 3.5, pour paraitre sous un jour plus lisse et donc avec moins de saveur aussi. Mais pour du fofo en construit, avec un peu de relief et de personnalité, et aussi l'expression de l'auteur même et pas un gloubi boulga médium Oui, enfin moi je m'enmerde plus à te lire qu'à dialoguer avec ChatGPT. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 11 décembre 2024 Share Posté(e) le 11 décembre 2024 il y a 23 minutes, clem200 a dit : Personnellement je ne te lis absolument pas quand je vois que tu as généré ça par chat GPT, c'est-à-dire environ 95 % de tes messages C'est trop long, structuré comme un article de presse chiant, tu refuses toujours d'expliquer que tu n'as pas écrit une seule ligne Que tu estimes que cela dénature pas ta pensée n'a rien à faire ici. Quand on écrit pas une seule ligne d'un texte, on le signale, ça s'appelle l'intégrité. Si on estime que j'ai généré 10 % de mes messages avec ChatGPT on aura à coup sûr surestimé le pourcentage de cette génération. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 11 décembre 2024 Share Posté(e) le 11 décembre 2024 il y a 13 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Oui, enfin moi je m'enmerde plus à te lire qu'à dialoguer avec ChatGPT. Nous serons d'accord sur la plus parfaite réciprocité, ce sera l'essentiel. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 11 décembre 2024 Share Posté(e) le 11 décembre 2024 il y a 9 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Si on estime que j'ai généré 10 % de mes messages avec ChatGPT on aura à coup sûr surestimé le pourcentage de cette génération. Tu as peut être un style naturel proche d'un Bot ennuyeux, c'est une éventualité qu'on peut considérer. Je ne sais pas si j'aurai parié sur 95 %, mais bien au delà de 50%. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 11 décembre 2024 Share Posté(e) le 11 décembre 2024 Il y a 2 heures, Picdelamirand-oil a dit : Oui, enfin moi je m'enmerde plus à te lire qu'à dialoguer avec ChatGPT. Ça je suis sûr que c'est un message de ChatGPT qui est aller pioche ses combinaison de token dans le sous forum "tous en maternelle" de jeuxvideo.com 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 11 décembre 2024 Share Posté(e) le 11 décembre 2024 Il y a 2 heures, clem200 a dit : C'est trop long, structuré comme un article de presse chiant... C'est parce que les articles de presse sont aussi le fait d'automate souvent ... je connais des profs de fac qui font leur cours avec ChatGPT des élèves qui font faire leur devoir avec ChatGPT ... et même des profs qui corrige certaines copies avec ChatGPT ... Bientôt plus besoin ni de profs ni d’élève, ni de journaliste, ni de lecteur ... on sera enfin libre on laissera ChatGPT apprendre puis travailler à notre place. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 11 décembre 2024 Share Posté(e) le 11 décembre 2024 Il y a 2 heures, Picdelamirand-oil a dit : Si on estime que j'ai généré 10 % de mes messages avec ChatGPT on aura à coup sûr surestimé le pourcentage de cette génération. Il suffirait de les identifier ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 11 décembre 2024 Share Posté(e) le 11 décembre 2024 (modifié) il y a 18 minutes, Alberas a dit : Il suffirait de les identifier ! J'ai expliqué que je n'en vois pas l'utilité. Modifié le 11 décembre 2024 par Picdelamirand-oil 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 11 décembre 2024 Share Posté(e) le 11 décembre 2024 il y a 36 minutes, g4lly a dit : C'est parce que les articles de presse sont aussi le fait d'automate souvent ... En soi, le pigiste est censé être en chair et en os. Mais bon, quand t'es payé 2 cacahouètes et rémunéré à pisser de la ligne en volumétrie plutôt que pisser de la qualité, le moyen facile est trouvé pour tout le monde. Et le patronnât presse grand public ne s'en offusquera pas plus que celà, puisqu'au fond c'est pas de sa faute, hein, il n' a pas assez d'abonnés qui casquent pour payer de la cervelle de qualité. Puisque le cercle est nettement vicieux, le contenu ne va pas s'améliorer, ni les abo payants, et donc...le contenu encore moins. Le prof peut aussi céder à la paresse ultime, comme plein d'autres. Sauf qu'il a raison puisqu'il est le prof, l'autorité. Ca change rien mais ça change tout ! En communication sans autorité, on peut attendre autre chose. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 11 décembre 2024 Share Posté(e) le 11 décembre 2024 (modifié) Il y a 3 heures, Picdelamirand-oil a dit : J'ai expliqué que je n'en vois pas l'utilité. Je pense que ça l'est malgré tout, par principe. Je trouverais dommage que quelqu'un prenne la totalité de tes posts sur le forum ou de tes publications, et crée un bot Picdelamirand-oil capable de parler de n'importe quel sujet sans prendre en compte ton intellect, et surtout ta capacité à faire évoluer ta pensée (et pas uniquement selon un ensemble de canevas) pour qu'ensuite nous allions tous demander à Chat-Picdelamirand-oil des avis et opinions sur des sujets divers et variés. Or ça existe déjà depuis au moins 4 ans ce genre de choses... Certaines IA se paient même le luxe d'émuler la voix de certains personnages publics, voire leur visage mis en mouvement avec synchronisation labiale etc. Ne te laisse pas submerger par l'appel de la singularité! Tu dois résister à la Matrice et continuer à arpenter le cyberespace en tant qu'entité propre! Modifié le 12 décembre 2024 par Patrick 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 12 décembre 2024 Auteur Share Posté(e) le 12 décembre 2024 (modifié) Le simple fait que cette discussion doive avoir lieu est d’un ridicule .... Tes messages générés par IA dont on ne sait pas a quel point ils reflètent ta reflexion sont pales, surtout comparé a tes autres intervention... Modifié le 12 décembre 2024 par Titus K 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 12 décembre 2024 Share Posté(e) le 12 décembre 2024 Il y a 10 heures, Picdelamirand-oil a dit : Si on estime que j'ai généré 10 % de mes messages avec ChatGPT on aura à coup sûr surestimé le pourcentage de cette génération. On peut faire une étude sur tes 200 derniers messages si tu veux Je n'ai pas le temps là, mais on peut le faire ok Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 27 janvier Share Posté(e) le 27 janvier (modifié) J'ai posé cette question à ChatGPT: Qu'est ce que tu penses de ça: OpenAI, SoftBank et Oracle vont mettre sur les rails une coentreprise, Stargate, pour développer de nouvelles infrastructures pour l’IA aux Etats-Unis, avec un objectif de 500 milliards de dollars d’investissement en cinq ans. Du jamais-vu. Sous l’égide de Donald Trump, l’industrie américaine de l’IA veut à tout prix maintenir son avance sur Pékin et tirer les fruits de l’engouement autour de cette technologie très gourmande en énergie et en capitaux. ET Le chinois DeepSeek sème la panique sur la planète tech et révèle que Pékin n’est pas près de courber l’échine devant l’Oncle Sam sur le front de l’IA. Le nouveau modèle de la start-up, R-1, affiche de très bonnes performances pour un coût d’entraînement dérisoire par rapport aux grands modèles américains. Ce lundi, les leaders mondiaux de la tech et de l’IA – Nvidia, Microsoft, Meta, ASML, SoftBank – ont vu des milliards de capitalisation partir en fumée. A la grande surprise du marché, et à l’inverse des autres acteurs de l’IA, DeepSeek semble ne pas avoir besoin des puces les plus avancées pour développer un modèle ultra-performant. Ce nouveau paradigme pourrait bouleverser le secteur, en rendant le développement de la technologie bien moins coûteux qu’il ne l’est aujourd’hui. Et les dépenses d’investissement des géants américains pourraient, quant à elles, ne jamais être rentabilisées. Et voilà la réponse: Ces deux annonces brossent un tableau fascinant des tensions technologiques et géopolitiques actuelles dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA). Voici quelques réflexions : Investissement massif aux États-Unis avec Stargate : Un investissement de 500 milliards de dollars sur cinq ans est absolument colossal et souligne à quel point l’IA est devenue un domaine stratégique, à la fois économiquement et politiquement. La coentreprise entre OpenAI, SoftBank et Oracle montre que les grandes entreprises américaines cherchent à mutualiser leurs ressources pour faire face aux enjeux d’échelle colossaux de l’IA. Ce n’est pas seulement une course pour innover, mais aussi pour sécuriser la suprématie technologique face à la Chine. Toutefois, cette approche capitalistique classique (dépenses massives, reliance sur des infrastructures avancées comme les puces haut de gamme) semble vulnérable face à des innovations comme celles annoncées par DeepSeek. L’approche disruptive de DeepSeek : Si l’affirmation selon laquelle le modèle R-1 n’a pas besoin des puces les plus avancées est vraie, cela représente un défi majeur pour les géants américains. Cela pourrait signifier que l’écosystème technologique chinois cherche à contourner la dépendance aux semi-conducteurs avancés – un point de faiblesse face aux sanctions américaines. Le modèle de DeepSeek pourrait rendre l’IA beaucoup plus accessible et démocratiser son développement, surtout dans les pays en développement, en diminuant les barrières financières. Cela pose aussi des questions sur l’efficacité énergétique et l’impact environnemental, un angle souvent négligé dans les discussions sur l’IA. Conséquences géopolitiques : Ces deux annonces accentuent la rivalité entre les États-Unis et la Chine, où l’IA est autant une arme économique qu’un outil géopolitique. Les marchés financiers réagissent en conséquence : les géants américains de la tech voient leur capitalisation plonger, ce qui pourrait inciter à des ajustements stratégiques rapides. Par exemple, cela pourrait accélérer les investissements dans des solutions moins coûteuses ou encourager davantage de régulation et de protectionnisme technologique. Un "nouveau paradigme" ou un effet d’annonce ? Les performances annoncées par DeepSeek, combinées à un coût réduit, doivent être examinées de près. S’il ne s’agit pas seulement d’un coup marketing, cela pourrait forcer l’industrie à revoir ses priorités, en favorisant l’innovation logicielle et les algorithmes plus efficaces, plutôt que de s’appuyer uniquement sur des infrastructures massives. Néanmoins, des annonces similaires par le passé n’ont pas toujours tenu leurs promesses. La véritable question est de savoir si le modèle R-1 peut maintenir ces performances à grande échelle et dans divers cas d’utilisation. En résumé, ces deux nouvelles montrent une bifurcation possible dans le secteur de l’IA : une course aux infrastructures massives d’un côté, et une quête d’efficience disruptive de l’autre. Si DeepSeek parvient à prouver ses affirmations, cela pourrait redéfinir non seulement les priorités technologiques, mais aussi les rapports de force dans la géopolitique de l’IA. Modifié le 27 janvier par Picdelamirand-oil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 27 janvier Share Posté(e) le 27 janvier Et l'Europe dans tout ça? ChatGPT a dit : ChatGPT L'Europe semble, une fois de plus, être la grande absente de cette lutte titanesque entre les États-Unis et la Chine sur le front de l’intelligence artificielle. Cela reflète des faiblesses structurelles, mais aussi quelques opportunités si le Vieux Continent parvient à jouer intelligemment ses cartes. Voici les principaux enjeux pour l'Europe dans ce contexte : 1. Un retard technologique et stratégique Absence de géants mondiaux dans l'IA : L’Europe n’a pas d’acteur de poids équivalent à OpenAI, Google, ou DeepSeek. Ses leaders technologiques comme SAP, Atos, ou Dassault Systèmes ne sont pas spécialisés dans l’IA générative ou les modèles d’apprentissage de grande échelle. Faible souveraineté numérique : L’Europe reste dépendante des technologies étrangères, notamment américaines, pour les infrastructures critiques (puces, clouds, supercalculateurs). Par exemple, Nvidia domine le marché des GPU nécessaires pour entraîner des modèles IA, et aucune alternative européenne crédible n’existe à ce jour. 2. Une approche régulatrice qui freine l’innovation Focus sur l’éthique : L’Europe se concentre beaucoup sur la régulation et l’éthique de l’IA avec des initiatives comme l’AI Act, qui vise à encadrer strictement le développement et l’utilisation de l’IA. Bien que ces mesures soient nécessaires pour protéger les droits fondamentaux, elles ralentissent l’innovation et augmentent les coûts pour les entreprises européennes, déjà en retard. Manque de financements massifs : Les États-Unis et la Chine investissent des centaines de milliards dans l’IA, là où l’Europe peine à rassembler quelques milliards via des initiatives comme Horizon Europe. Même les efforts pour développer des alternatives souveraines, comme le projet Gaia-X pour le cloud, peinent à rivaliser en termes de compétitivité et d’adoption. 3. Une position d'arbitre ou d'outsider ? Un rôle potentiel de régulateur mondial : L’Europe pourrait capitaliser sur son avance en matière de régulation pour imposer des normes globales. À l’instar du RGPD pour la protection des données, l’AI Act pourrait devenir une référence mondiale, forçant les géants américains et chinois à s’adapter. Cependant, cela risque aussi d’isoler l’Europe si elle est perçue comme trop rigide. Des niches à exploiter : L’Europe pourrait se spécialiser dans des segments moins gourmands en ressources mais stratégiques, comme les applications industrielles de l’IA, la cybersécurité, ou encore l’efficacité énergétique des modèles IA. Par exemple, les start-ups européennes comme Aleph Alpha (Allemagne) ou Hugging Face (France) montrent qu’il est possible de développer des alternatives crédibles à petite échelle. 4. Les risques d’un statu quo Une marginalisation stratégique : Si l’Europe ne parvient pas à investir massivement dans l’IA, elle risque de devenir dépendante des deux grandes puissances, tant sur le plan technologique qu’économique. Cela compromettrait son autonomie stratégique dans des domaines clés comme la défense, la santé ou l’éducation. Une fuite des talents : Faute de moyens et d’opportunités, de nombreux chercheurs et ingénieurs européens choisissent de partir travailler pour des entreprises américaines ou chinoises, aggravant le déficit d’innovation en Europe. 5. Comment l’Europe peut-elle réagir ? Investir massivement et rapidement : L’Europe doit s’engager dans un plan d’investissement ambitieux pour l’IA, similaire au Green Deal, en mobilisant des fonds publics et privés. Miser sur des partenariats stratégiques : L’Europe peut collaborer avec des nations partageant les mêmes valeurs (Japon, Corée du Sud, Canada) pour développer des alternatives aux technologies américaines et chinoises. Encourager l’innovation locale : En simplifiant les processus réglementaires et en créant des écosystèmes favorables aux start-ups, l’Europe peut stimuler l’innovation en IA et attirer davantage de talents. Renforcer sa souveraineté technologique : Investir dans des filières stratégiques comme les semi-conducteurs (via des initiatives comme l’European Chips Act) et le cloud souverain est crucial pour limiter la dépendance vis-à-vis des États-Unis et de la Chine. En conclusion : L’Europe est actuellement spectatrice dans la course à l’IA entre les États-Unis et la Chine. Pourtant, avec une stratégie coordonnée et des investissements ciblés, elle peut encore jouer un rôle déterminant, que ce soit comme arbitre éthique, innovateur de niche, ou régulateur mondial. L’enjeu n’est pas seulement technologique, mais aussi géopolitique : il s’agit de garantir une autonomie stratégique dans un monde où l’IA déterminera de plus en plus les rapports de force. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 27 janvier Share Posté(e) le 27 janvier (modifié) Celle-là est rigolote. Sur le thème "punaise on a trop donné". On n'est pas les seuls à savoir faire. 1000 milliards de valo effacée en une semaine quand même. https://www.lesechos.fr/tech-medias/intelligence-artificielle/nvidia-asml-le-phenomene-chinois-deepseek-fait-trembler-les-valeurs-de-la-tech-2144830 https://www.zonebourse.com/cours/indice/EURO-STOXX-50-INDEX-7396/actualite/L-Europe-finit-dans-le-rouge-l-IA-de-DeepSeek-secoue-la-tech-48882888/ (Reuters) - Les Bourses européennes ont terminé dans le rouge lundi, les investisseurs ayant fui le risque après les annonces du groupe chinois DeepSeek concernant ses modèles d'intelligence artificielle (IA), qui ont soulevé des doutes sur les investissements des entreprises occidentales dans le secteur. À Paris, le CAC 40 a perdu 0,27% à 7.906,58 points. À Francfort, le Dax a reculé de 0,54% et à Londres, le FTSE 100 a pris 0,02%. L'indice EuroStoxx 50 a fini sur une baisse de 0,60%, le FTSEurofirst 300 a abandonné 0,12% et le Stoxx 600 a perdu 0,04%. Les marchés boursiers européens ont connu lundi une séance difficile, l'intérêt croissant pour le modèle d'intelligence artificielle de la start-up chinoise DeepSeek, qui affirme être moins cher que ChatGPT, ayant alimenté les inquiétudes concernant les valorisations élevées du secteur ces derniers temps. L'assistant IA de DeepSeek, qui a dépassé son rival américain ChatGPT pour devenir l'application gratuite la mieux notée dans l'App Store d'Apple, risque notamment de remettre en question le pari largement répandu sur les marchés selon lequel l'IA va stimuler la demande tout au long de la chaîne d'approvisionnement. L'inquiétude est d'autant plus grande qu'au cours des 18 derniers mois, l'essor de l'IA avait entraîné un afflux massif de capitaux sur les marchés boursiers et gonflé les valorisations des géants des puces électroniques tels que l'Américain Nvidia. La prudence face au risque pourrait marquer le reste de la semaine, que les investisseurs anticipaient déjà bien chargée avec une longue série de résultats d'entreprises prévus, d'indicateurs macroéconomiques et de décisions de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed) et de la Banque centrale européenne (BCE). La spéculation s'est également poursuivie sur les projets de tarifs douaniers américains, qui devraient être au coeur des commentaires des banques centrales cette semaine. VALEURS Les annonces de DeepSeek ont affecté les valeurs technologiques du STOXX 600 qui ont reculé de 3,4% lundi, sa plus forte baisse en une journée depuis la mi-octobre. Les géants néerlandais des semi-conducteurs ASML, ASMI et BE Semi ont perdu entre 7% et 12%, tandis que Siemens Energy, qui fournit du matériel électrique pour l'infrastructure de l'IA, a abandonné 3,3% et Schneider Electric, également très exposée au secteur de l'IA, a cédé 9,4%. Dans le reste de l'actualité des entreprises, Ryanair a pris 3,2% après avoir affiché un bénéfice trimestriel plus important que prévu. A WALL STREET A l'heure de la clôture en Europe, le Dow Jones recule de 0,11%, le Standard & Poor's 500 de 1,79% et le Nasdaq Composite de 3,01%. Nvidia, dont les puces sont le premier choix pour alimenter les applications d'intelligence artificielle, perd 15%, tandis que le secteur des semi-conducteurs perd 8,6% et le secteur technologique 5,6%. Modifié le 27 janvier par herciv 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
U235 Posté(e) le 28 janvier Share Posté(e) le 28 janvier 3 hours ago, Picdelamirand-oil said: Et l'Europe dans tout ça? ChatGPT a dit : ChatGPT L'Europe semble, une fois de plus, être la grande absente de cette lutte titanesque entre les États-Unis et la Chine sur le front de l’intelligence artificielle. Cela reflète des faiblesses structurelles, mais aussi quelques opportunités si le Vieux Continent parvient à jouer intelligemment ses cartes. Voici les principaux enjeux pour l'Europe dans ce contexte : 1. Un retard technologique et stratégique Absence de géants mondiaux dans l'IA : L’Europe n’a pas d’acteur de poids équivalent à OpenAI, Google, ou DeepSeek. Ses leaders technologiques comme SAP, Atos, ou Dassault Systèmes ne sont pas spécialisés dans l’IA générative ou les modèles d’apprentissage de grande échelle. Faible souveraineté numérique : L’Europe reste dépendante des technologies étrangères, notamment américaines, pour les infrastructures critiques (puces, clouds, supercalculateurs). Par exemple, Nvidia domine le marché des GPU nécessaires pour entraîner des modèles IA, et aucune alternative européenne crédible n’existe à ce jour. 2. Une approche régulatrice qui freine l’innovation Focus sur l’éthique : L’Europe se concentre beaucoup sur la régulation et l’éthique de l’IA avec des initiatives comme l’AI Act, qui vise à encadrer strictement le développement et l’utilisation de l’IA. Bien que ces mesures soient nécessaires pour protéger les droits fondamentaux, elles ralentissent l’innovation et augmentent les coûts pour les entreprises européennes, déjà en retard. Manque de financements massifs : Les États-Unis et la Chine investissent des centaines de milliards dans l’IA, là où l’Europe peine à rassembler quelques milliards via des initiatives comme Horizon Europe. Même les efforts pour développer des alternatives souveraines, comme le projet Gaia-X pour le cloud, peinent à rivaliser en termes de compétitivité et d’adoption. 3. Une position d'arbitre ou d'outsider ? Un rôle potentiel de régulateur mondial : L’Europe pourrait capitaliser sur son avance en matière de régulation pour imposer des normes globales. À l’instar du RGPD pour la protection des données, l’AI Act pourrait devenir une référence mondiale, forçant les géants américains et chinois à s’adapter. Cependant, cela risque aussi d’isoler l’Europe si elle est perçue comme trop rigide. Des niches à exploiter : L’Europe pourrait se spécialiser dans des segments moins gourmands en ressources mais stratégiques, comme les applications industrielles de l’IA, la cybersécurité, ou encore l’efficacité énergétique des modèles IA. Par exemple, les start-ups européennes comme Aleph Alpha (Allemagne) ou Hugging Face (France) montrent qu’il est possible de développer des alternatives crédibles à petite échelle. 4. Les risques d’un statu quo Une marginalisation stratégique : Si l’Europe ne parvient pas à investir massivement dans l’IA, elle risque de devenir dépendante des deux grandes puissances, tant sur le plan technologique qu’économique. Cela compromettrait son autonomie stratégique dans des domaines clés comme la défense, la santé ou l’éducation. Une fuite des talents : Faute de moyens et d’opportunités, de nombreux chercheurs et ingénieurs européens choisissent de partir travailler pour des entreprises américaines ou chinoises, aggravant le déficit d’innovation en Europe. 5. Comment l’Europe peut-elle réagir ? Investir massivement et rapidement : L’Europe doit s’engager dans un plan d’investissement ambitieux pour l’IA, similaire au Green Deal, en mobilisant des fonds publics et privés. Miser sur des partenariats stratégiques : L’Europe peut collaborer avec des nations partageant les mêmes valeurs (Japon, Corée du Sud, Canada) pour développer des alternatives aux technologies américaines et chinoises. Encourager l’innovation locale : En simplifiant les processus réglementaires et en créant des écosystèmes favorables aux start-ups, l’Europe peut stimuler l’innovation en IA et attirer davantage de talents. Renforcer sa souveraineté technologique : Investir dans des filières stratégiques comme les semi-conducteurs (via des initiatives comme l’European Chips Act) et le cloud souverain est crucial pour limiter la dépendance vis-à-vis des États-Unis et de la Chine. En conclusion : L’Europe est actuellement spectatrice dans la course à l’IA entre les États-Unis et la Chine. Pourtant, avec une stratégie coordonnée et des investissements ciblés, elle peut encore jouer un rôle déterminant, que ce soit comme arbitre éthique, innovateur de niche, ou régulateur mondial. L’enjeu n’est pas seulement technologique, mais aussi géopolitique : il s’agit de garantir une autonomie stratégique dans un monde où l’IA déterminera de plus en plus les rapports de force. On dirait qu'une bande d'investisseurs et de médias d'information, qui n'ont pratiquement aucune connaissance de première main sur le fonctionnement de l'IA, ont paniqué comme une foule effrayée. Si l'IA était si facile à maîtriser avec quelques vieux GPU, une quantité dérisoire de données d'entraînement et un peu d'argent de poche de la part de quelques investisseurs millionnaires, cela aurait été fait il y a des années. Je suis prêt à parier qu'il y a quelque chose dans les coulisses de cette histoire qui fait complètement exploser cette histoire d'humbles ressources ou que c'est juste une panique absurde de la part de la foule mal informée qui paraîtra ridicule avec le recul dans un an ou moins. Mais je veux être clair sur une chose, les actions liées à l'idée de l'IA seront certainement volatiles à ce stade précoce, c'est une évidence, quelle que soit la tournure que prend cette histoire. Toute personne qui se fie à des mouvements d'actions de quelques pour cent en une seule journée ne mérite tout simplement pas d'être écoutée sur ce sujet. Cela continuera à se produire pendant encore de nombreuses années. Les gens continueront à être impressionnés par la richesse gagnée et perdue, oubliant complètement qu'elle est relative aux évaluations de certaines des entreprises les plus grandes et les plus volatiles qui aient jamais existé depuis l'aube des sociétés anonymes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 28 janvier Share Posté(e) le 28 janvier (modifié) Il y a 5 heures, U235 a dit : Mais je veux être clair sur une chose, les actions liées à l'idée de l'IA seront certainement volatiles à ce stade précoce, c'est une évidence, quelle que soit la tournure que prend cette histoire. Toute personne qui se fie à des mouvements d'actions de quelques pour cent en une seule journée ne mérite tout simplement pas d'être écoutée sur ce sujet. Cela continuera à se produire pendant encore de nombreuses années. Les gens continueront à être impressionnés par la richesse gagnée et perdue, oubliant complètement qu'elle est relative aux évaluations de certaines des entreprises les plus grandes et les plus volatiles qui aient jamais existé depuis l'aube des sociétés anonymes. Encore un censeur qui ne cherche pas à comprendre les problèmes mais qui cherchent à donner des leçons. C'est pourtant simple à comprendre : après essai et validation par la communauté IA, l'IA de Deepseek est très nettement plus efficace et moins consommatrice d'énergie que les autres. Suffisamment peu pour que le besoin en Hardware soit largement revu à la baisse. Là où çà fait mal aussi c'est qu'une IA peut fonctionner très bien sur "des vieux processeurs". Bon là je demandes à voir la différence de performance entre le fonctionnement sur des processeurs adaptés et avec des processeurs généralistes. Le truc que çà laisse entrevoir c'est que une telle IA peut être déployée/entrainée au niveau local et donc sans passer par les grandes IA généralistes, ce qui menace donc le modèle économique des IA actuelles. Modifié le 28 janvier par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alzoc Posté(e) le 28 janvier Share Posté(e) le 28 janvier (modifié) Il y a 6 heures, herciv a dit : Encore un censeur qui ne cherche pas à comprendre les problèmes mais qui cherchent à donner des leçons. C'est pourtant simple à comprendre : après essai et validation par la communauté IA, l'IA de Deepseek est très nettement plus efficace et moins consommatrice d'énergie que les autres. Suffisamment peu pour que le besoin en Hardware soit largement revu à la baisse. Là où çà fait mal aussi c'est qu'une IA peut fonctionner très bien sur "des vieux processeurs". Bon là je demandes à voir la différence de performance entre le fonctionnement sur des processeurs adaptés et avec des processeurs généralistes. Le truc que çà laisse entrevoir c'est que une telle IA peut être déployée/entrainée au niveau local et donc sans passer par les grandes IA généralistes, ce qui menace donc le modèle économique des IA actuelles. De ce que j'ai compris, ce nouveau modèle fait du prédictif sur du prédictif. En gros au lieu d'aller voir l'ensemble des sources et en ressortir une moyenne, ce modèle fait de l'échantillonnage et suppose que le reste des documents sources disent la même chose. Statistiquement ce sera vrai et effectivement ça utilisera beaucoup moins de ressources qu'un modèle d'IA classique. Par contre il y a de fortes chances que ça ne fonctionne bien que sur des requêtes basiques (grand nombre de sources qui disent globalement toutes les mêmes choses). Sur une question complexe (peu de sources et sujet complexe et demandant de la nuance) je suis prêt à parier que ce modèle se plante encore plus qu'une IA classique. Je ne dis pas que ce n'est pas intéressant bien au contraire, le procédé est astucieux et toutes les requêtes ne nécessiteront pas d'aller vérifier 100% des sources. Mais il s'agit plus d'une couche supplémentaire (plus superficielle) que quelquechose qui va remplacer les modèles existants. Modifié le 28 janvier par Alzoc 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 28 janvier Share Posté(e) le 28 janvier il y a 16 minutes, Alzoc a dit : Par contre il y a de fortes chances que ça ne fonctionne bien que sur des requêtes basiques ... C'est ce qu'expliquait Altman, jugeant néanmoins que c'était probablement bien suffisant pour la plupart des usages "assistant numérique", donc le rapport prix/prestation est intéressant, et la prestation est suffisante. Il faut savoir que les exigences clients ne sont pas forcément très élevées ... le wow effect et la paresse suffisent souvent à rendre le produit attractif. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 28 janvier Share Posté(e) le 28 janvier (modifié) il y a 27 minutes, Alzoc a dit : De ce que j'ai compris, ce nouveau modèle fait du prédictif sur du préfictif. En gros au lieu d'aller voir l'ensemble des sources et en ressortir une moyenne, ce modèle fait de l'échantillonnage et suppose que le reste des documents sources disent la même chose. Statistiquement ce sera vrai et effectivement ça utilisera beaucoup moins de ressources qu'un modèle d'IA classique. Par contre il y a de fortes chances que ça ne fonctionne bien que sur des requêtes basiques (grand nombre de sources qui disent globalement toutes les mêmes choses). Sur une question complexe (peu de sources et sujet complexe et demandant de la nuance) je suis prêt à parier que ce modèle se plante encore plus qu'une IA classique. Je ne dis pas que ce n'est pas intéressant bien au contraire, le procédé est astucieux et toutes les requêtes ne nécessiteront pas d'aller vérifier 100% des sources. Mais il s'agit plus d'une couche supplémentaire (plus superficielle) que quelquechose qui va remplacer les modèles existants. Ca valide ce que je disais au dessus. La plupart des besoins en requètes se font sur des questions à complexité simple. La solution de DeepSeek permet d'abaisser le seuil d'investissements nécessaire à la plupart des gens. Le gérant chinois parlait d'un ordre de grandeur de puissance de puce de 27 entre sa solution et la solution d'OpenAI. EN loi de Moore çà représente 6 à 7,5 ans de différence générationnelle. Effectivement ca remet en cause le modèle éco, de Nvidia qui va devoir se concentrer sur les seuls besoins générés par les requètes complexes. Même Trump a fait un commentaire sur le sujet. EN gros son mega investissement dans la tech IA en prend un coup. Modifié le 28 janvier par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 28 janvier Share Posté(e) le 28 janvier il y a 1 minute, herciv a dit : Ca valide ce que je disais au dessus. La plupart des besoins en requètes se font sur des questions à complexité simple. La solution de DeepSeek permet d'abaisser le seuil d'investissements nécessaire à la plupart des gens. Le gérant chinois parlait d'un ordre de grandeur de puissance de puce de 27 entre sa solution et la solution d'OpenAI. EN loi de Moore çà représente 6 à 7,5 ans de différence générationnelle. Effectivement ca remet en cause le modèle éco, de Nvidia qui va devoir se concentrer sur les seuls besoins générés par les requètes complexes. L'IA pour le quidam qui se fait chier est assez différente des IA critique ou de confiance, qui vont elle générer plus de richesses parce qu'elle vont aider les entreprises qui produise vraiment de la richesse. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jisse Posté(e) le 28 janvier Share Posté(e) le 28 janvier Il y a 15 heures, Picdelamirand-oil a dit : Et l'Europe dans tout ça? ChatGPT a dit : ChatGPT L'Europe semble, une fois de plus, être la grande absente de cette lutte titanesque entre les États-Unis et la Chine sur le front de l’intelligence artificielle. Cela reflète des faiblesses structurelles, mais aussi quelques opportunités si le Vieux Continent parvient à jouer intelligemment ses cartes. Voici les principaux enjeux pour l'Europe dans ce contexte : 1. Un retard technologique et stratégique Absence de géants mondiaux dans l'IA : L’Europe n’a pas d’acteur de poids équivalent à OpenAI, Google, ou DeepSeek. Ses leaders technologiques comme SAP, Atos, ou Dassault Systèmes ne sont pas spécialisés dans l’IA générative ou les modèles d’apprentissage de grande échelle. Faible souveraineté numérique : L’Europe reste dépendante des technologies étrangères, notamment américaines, pour les infrastructures critiques (puces, clouds, supercalculateurs). Par exemple, Nvidia domine le marché des GPU nécessaires pour entraîner des modèles IA, et aucune alternative européenne crédible n’existe à ce jour. On a Mistral AI 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 28 janvier Share Posté(e) le 28 janvier Quelques éléments complementaire sur l'IA R1 de deepseek Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 28 janvier Share Posté(e) le 28 janvier Il y a 7 heures, jisse a dit : On a Mistral AI Ça semble faire marrer Pic mais il n'y a pas à rougir de cette start-up valorisée à plus de 6 milliards d'euro qui semble attirer les convoitises 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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