pascal Posté(e) le 11 avril Share Posté(e) le 11 avril De toute manière il me semblait avoir compris que les Ricains stoppaient ou allaient stopper le soutien des SM2 ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 24 avril Share Posté(e) le 24 avril (modifié) Beaucoup de choses dans ce document qui m'amènent à penser que la F21 a toutes les cartes en mains pour devenir la future torpille néerlandaise. Ensuite ce sera au tour de l'Exocet SM40 et du MDCN j'espère ... les versions tube-launched Américaines n'étant plus produites. Dans la dernière lettre A sur les futures acquisitions --> https://www.tweedekamer.nl/kamerstukken/brieven_regering/detail?id=2025Z08151&did=2025D18590 Projet : Remplacement de la torpille MK48 Besoins qualitatifs et quantitatifs Le rythme des évolutions dans le domaine sous-marin est élevé. La Défense prévoit que la classe Orka sera confrontée à une combinaison de menaces émanant de plateformes ennemies (traditionnelles) avec équipage et de systèmes sans pilote. C’est pourquoi la Défense a besoin d’un nouveau type de torpille pour les sous-marins de la classe Orka. Le remplaçant de la torpille MK48 doit être utilisable pour les missions de combat maritime, telles que la lutte contre les navires de surface ennemis, les véhicules (sous-marins) sans pilote et les sous-marins. Afin de conserver l’avantage au combat, la Défense doit tenir compte des évolutions dans les domaines de la réduction de signature et des systèmes d’autodéfense des adversaires potentiels. La torpille à acquérir doit être optimisée pour les zones d’opération potentielles et les conditions environnementales maritimes dans lesquelles les sous-marins néerlandais seront déployés pour une mission de défense (alliée). De plus, la torpille doit être adaptée à l’engagement contre des systèmes sans pilote relativement grands. Enfin, la Défense vise une coopération approfondie en matière de partage de connaissances et d’autonomie dans le domaine de la maintenance. Les seules qualités techniques de la torpille ne garantissent pas son efficacité. Il est donc essentiel de partager les connaissances relatives aux exercices et aux tactiques. Les utilisateurs du même type de torpille au sein de l’UE et/ou de l’OTAN sont des partenaires possibles pour une telle coopération. La Défense acquerra le nombre adéquat de torpilles conformément au Cadre Politique sur les Stocks Opérationnels (Beleidskader Inzetvoorraden - BKI). En outre, la Défense a besoin de torpilles supplémentaires à des fins d’entraînement. Ces torpilles d’exercice sont récupérées après usage par le navire de soutien aux torpilles, puis préparées pour un stockage à terre ou une réutilisation à bord. En raison du regain d’intérêt pour la Tâche Principale 1 et de la croissance des effectifs de la Défense, davantage d’équipages doivent être préparés. Une partie des besoins d’entraînement sera comblée par la simulation de haute qualité et la formation à terre. En parallèle, l’entraînement de toute la chaîne d’engagement en mer reste essentiel. Projets connexes Ce projet est lié au programme « Remplacement de la capacité sous-marine » (VOZBT) et au projet « Remplacement des navires auxiliaires ». Le projet « Remplacement de la torpille MK48 » doit permettre l’intégration de la nouvelle torpille à bord des nouveaux sous-marins de classe Orka, le programme VOZBT étant responsable de l’identification de l’espace d’intégration disponible dans la conception. Deux des huit nouveaux navires auxiliaires seront également équipés pour transporter et récupérer les torpilles d’exercice après usage. Efficacité et efficience Avec l’exécution de ce projet, la Défense répond, en référence à l’article 3.1 de la Loi de 2016 sur la comptabilité, aux exigences d’efficacité et d’efficience. Efficacité : la Défense disposera d’un armement pertinent pour les futurs sous-marins de classe Orka, adapté à l’évolution de la menace dans le domaine maritime. Pour ce projet, la préférence va à l’acquisition d’un type de torpille déjà existant pouvant répondre aux besoins. Efficience : le remplacement de la torpille MK48 offre de larges possibilités d’emploi, contre des sous-marins et navires avec équipage ainsi que contre des unités sans pilote. Finances Ce projet représente un investissement compris dans la fourchette DMP de 50 à 250 millions d’euros. Cet investissement sera imputé sur le budget d’investissement de la Défense entre 2031 et 2037. Compte tenu du choix de type de torpille encore à faire et de l’interdépendance avec le programme VOZBT, ce projet n’est pas encore mandaté en phase B. Je prévois donc de poursuivre ce projet avec la phase de recherche (phase B du DMP) et d’informer votre Chambre des résultats à travers une lettre B, attendue au premier semestre 2026. Calendrier La livraison des torpilles est prévue à partir du début des années 2030. Je vous informerai plus en détail du calendrier dans la lettre B. Modifié le 24 avril par Titus K 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 26 avril Share Posté(e) le 26 avril (modifié) Calendrier (spéculatif) de renouvellement de la flotte : 1 Bâtiment Ravitailleur 6 Bâtiment de Guerre des Mines 4 Bâtiment de Soutient "Mer" 4 Bâtiments de Soutient "Plongée" 4 Frégates "ASWF" de Lutte Anti-sous-marine 4 Frégates "FuAD" de Défense Aérienne 4 Sous-marins "Orka" 6 OPV/ Bâtiments Amphibies Seul le Karel Doorman (2015) ne va pas être remplacé dans les 15 prochaines années. Modifié le 26 avril par Titus K 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
KLD Posté(e) le 26 avril Share Posté(e) le 26 avril Il y a 4 heures, Titus K a dit : Calendrier (spéculatif) de renouvellement de la flotte : 1 Bâtiment Ravitailleur 6 Bâtiment de Guerre des Mines 4 Bâtiment de Soutient "Mer" 4 Bâtiments de Soutient "Plongée" 4 Frégates "ASWF" de Lutte Anti-sous-marine 4 Frégates "FuAD" de Défense Aérienne 4 Sous-marins "Orka" 6 OPV/ Bâtiments Amphibies Seul le Karel Doorman (2015) ne va pas être remplacé dans les 15 prochaines années. Je n'ai toujours pas très bien compris le principe de ce dernier programme qui doit remplacer des auxiliaires de 13 à 15 000 tonnes et des OPV de moins de 4 000 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 30 avril Share Posté(e) le 30 avril (modifié) Ca semble se confirmer pour +2 ASWF mais c'est pas encore tout a fait clair... A mon avis si la Belgique commande une 3ème, les Pays-Bas vont se contenter de 3 ASWF. Les Pays-Bas vont commander de nouvelles frégates à Damen https://www.meretmarine.com/fr/defense/les-pays-bas-vont-commander-de-nouvelles-fregates-a-damen La marine néerlandaise, va bien commander d’autres frégates anti-sous-marines de nouvelle génération en plus des deux unités déjà annoncées dans le cadre du programme conjoint avec la Belgique, confirme à Mer et Marine la Koninklijke Marine. Damen, le constructeur de cette nouvelle classe de frégates, réalisera partiellement les bâtiments dans son chantier de Galati, en Roumanie. Récemment, le média roumain Puterea a annoncé que la série des quatre futures frégates anti-sous-marines belgo-néerlandaises construites par Damen allait être portée à six unités. À savoir, selon le média local qui cite Gheorghe Savu le directeur de Damen en Roumanie, deux frégates pour la Belgique et quatre pour les Pays-Bas. Contacté par Mer et Marine, la Marine néerlandaise confirme que la série pour les Pays-Bas va bien être prolongée tout en se refusant de donner plus de détails sur le nombre d’unités supplémentaires. Il n'est pas dit que la Belgique n'augmente pas elle aussi son nombre de frégates à terme, le gouvernement belge ayant récemment évoqué la commande d'une troisième frégate. Modifié le 30 avril par Titus K 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 30 avril Share Posté(e) le 30 avril ASWF --> Configuration de propulsion Pour une frégate, il n’est pas évident de considérer la propulsion et l’énergie comme un seul et même sujet. Sur l’ASWF, on a toutefois opté pour une configuration de propulsion avec deux lignes d’arbre, chacune équipée d’un moteur électrique et d’un moteur diesel : cela s’appelle le "combined diesel electric and diesel" (CODLAD). Les différentes configurations possibles permettent d’atteindre différentes vitesses du navire. Avec les moteurs électriques, l’ASWF atteint une vitesse allant jusqu’à environ 15 nœuds. La principale raison de ce choix est la nécessité d’opérer en silence lors des opérations de lutte anti-sous-marine. Cette nécessité a également motivé la conception innovante de l’hélice. Cette configuration de propulsion consomme aussi moins de carburant fossile par rapport à nos frégates actuelles. Les générateurs diesel qui alimentent le navire et les moteurs électriques reposent sur un système de suspension innovant et sont carénés afin de minimiser le profil acoustique. Pour la plage de vitesses de 15 à 23 nœuds, deux moteurs diesel sont embarqués, chacun avec une puissance d’environ 9 MW. Concernant les caractéristiques d’accélération souhaitées, un diesel à grande vitesse est nécessaire. La variante choisie offre la plus grande puissance du marché tout en répondant au profil de maintenance souhaité. Les moteurs électriques disposent d’une fonction "Power-Take-Off" (PTO), leur permettant de fonctionner comme générateurs. Dans cette configuration, les générateurs diesel restent à l’arrêt, ce qui permet d’économiser du carburant et de réduire la charge de maintenance. À partir de 23 nœuds jusqu’à la vitesse maximale, qui est d’au moins 25 nœuds, les moteurs diesel et les moteurs électriques entraînent les lignes d’arbre conjointement. Installation électrique L’installation électrique se compose d’un réseau combiné AC-DC, rendant la distribution d’électricité plus flexible et plus robuste par rapport aux navires actuels. Le réseau DC alimente les principaux utilisateurs tels que les pompes de gouvernail, les pompes d’extinction d’incendie et les dessalinisateurs, et se compose de quatre tableaux DC qui, via des convertisseurs statiques, alimentent chacun un tableau AC. Cela tient compte de la redondance du système et de son emplacement (avant/arrière ; tribord/bâbord). Pour atténuer une éventuelle coupure de courant due à une panne de générateur diesel, chaque tableau DC est couplé à une batterie de bord. Le risque de "black-out" est en outre réduit grâce à l’utilisation d’interrupteurs statiques rapides. Les batteries de bord maintiennent le réseau jusqu’à ce qu’un autre générateur diesel prenne le relais. Les batteries permettent également aux générateurs de fonctionner dans leur mode le plus économique, contribuant ainsi à une consommation de carburant réduite et/ou à une durée de mission plus longue, voire une portée accrue. Le besoin d’un générateur diesel de secours disparaît grâce à cette configuration. Deux des quatre générateurs diesel peuvent en outre être directement connectés au réseau AC. Si jamais le réseau DC devenait partiellement ou totalement inutilisable, certains équipements du navire resteraient tout de même alimentés. Pour éviter toute interruption, l’ASWF est équipé d’unités d’alimentation sans coupure (UPS). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 1 mai Share Posté(e) le 1 mai Derrière le succès du concepteur de sous-marins Nevesbu, âgé de 90 ans https://premium.marineschepen.nl/achter-het-succes-van-90-jarig-onderzeebootontwerper-nevesbu/ Quelques extraits --> Travailler sur le Scorpène En 2002, la Malaisie a commandé à la France deux sous-marins de classe Scorpène. Ces Scorpène sont entretenus en Malaisie par la société locale Boustead Heavy Industry Corporation Submarine Engineering Services. En outre, la marine cherchait une entreprise capable de fournir des conseils sur la maintenance, l'entretien et la modernisation de ces bateaux. En effet, la Malaisie ne veut pas dépendre d'une seule partie en ce qui concerne la capacité de déploiement matériel de ses sous-marins, et elle souhaite acquérir davantage de connaissances et d'expérience dans le maintien de la navigabilité matérielle de ses propres bateaux. « Le premier tour de sélection était un test de connaissances, de compétences et de qualité », explique M. Jurgens. Au final, ils ont battu les autres soumissionnaires, y compris les principaux constructeurs de sous-marins. Désormais, Nevesbu, en collaboration avec BSES, peut soutenir le service sous-marin malaisien. Il s'agit d'une commande importante pour Nevesbu, qui travaillera sur ces bateaux avec 10 personnes par jour. « Nous avons aidé les Espagnols à concevoir le S80 depuis les années 1990 », a poursuivi M. Jurgens, citant la classe Agosta, un modèle français construit par la France et l'Espagne pour les deux marines. « Pour les Espagnols, la ligne de conception 'Agosta - Scorpène' a toujours été la référence. En ce sens, nous sommes habitués aux discussions sur la conception de la famille Agosta et nous avons donc une image et un sentiment de la philosophie de conception qui la sous-tend. Il est donc désormais possible d'intégrer cette philosophie dans un contrat en Malaisie. ... Les temps ont changé. Le Nevesbu prospère à nouveau. Les calculs et les dessins sur les sous-marins sont toujours d'actualité. Nevesbu se développe même en ouvrant des succursales en Indonésie et en Malaisie. Il y a plus d'argent pour la défense dans le monde entier, mais surtout, l'entreprise néerlandaise a réussi à battre de grands concurrents à plusieurs reprises et est même autorisée à faire de l'ingénierie sur les sous-marins Scorpène en Malaisie. ... Pas encore de travaux sur la classe Orka Nevesbu travaille-t-elle encore sur des sous-marins aux Pays-Bas ? Van Rijssen : "Les sous-marins de la classe Walrus ont encore un long chemin à parcourir. Cela signifie qu'il y a beaucoup à faire pour maintenir ces bateaux en bon état de marche. Nous avons beaucoup de travail à faire dans ce domaine." "En ce qui concerne les nouveaux bateaux, la classe Orka, nous n'avons pas de commande pour l'instant." Les nouveaux sous-marins néerlandais seront entièrement conçus à Cherbourg. Nevesbu essaie également de s'impliquer dans d'autres domaines. "Nous pensons que nous pouvons apporter une contribution très précieuse au programme Orka et qu'il est très utile, tant pour le fournisseur que pour la défense néerlandaise, de faire appel à une agence de connaissances néerlandaise qui peut contribuer à la maintenance de ces bateaux tout au long de leur durée de vie. Plus tôt nous serons impliqués dans le programme Orka, mieux nous pourrons remplir ce rôle plus tard au cours de la vie de ce magnifique bateau." Le fait que Nevesbu ait joué un rôle important dans la conception de la classe Walrus continue de porter ses fruits, estime M. Van Rijssen. "Nous savons beaucoup de choses sur ce que les Pays-Bas considèrent comme important lorsqu'il s'agit de l'utilisation de sous-marins. Par exemple, nous disposons de toute l'analyse de l'arbre de défaillance du Walrus, ce qui, je pense, est également très utile pour d'autres nouvelles classes de sous-marins." 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) mardi à 12:20 Share Posté(e) mardi à 12:20 Concarneau : quatre chasseurs de mines belges et néerlandais en achèvement à flot https://www.meretmarine.com/fr/defense/concarneau-quatre-chasseurs-de-mines-belges-et-neerlandais-en-achevement-a-flot Après l’arrivée de la coque du futur Brugge, construite à Lanester par Kership, il y a désormais quatre nouveaux bâtiments porte-drones de guerre des mines belges et néerlandais en achèvement à flot à Concarneau qui, entre les constructions neuves et la réparation navale, prend de plus en plus des airs de port militaire. Le M940 Oostende est à Lorient pour ses essais. A Concarneau : M840 Vlissingen M841 Scheveningen M941 Tournai M942 Brugge 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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