herciv Posté(e) le 9 mai Share Posté(e) le 9 mai il y a 14 minutes, Ponto Combo a dit : Ben, c'est ce dont on parle, le retard de livraison des chasseurs de mines... Ok donc un mec a sauté suite à des retards dans le programme. Bon bah alors il ne faut pas se faire trop d'illusions sur la suite. Les néerlandais sont encore plein d'illusions sur ce qu'est un programme complexe et sur pourquoi il faut anticiper en particulier dans un programme en coopération tellement il y a d'évènements politiques qui peuvent venir tout perturber. Et çà c'est uniquement avec des entreprises ayant une expérience en la matière. Quand l'entreprise à quasi aucune expérience le risque c'est de perdre toute les compétences de leur sous marinade. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 9 mai Share Posté(e) le 9 mai Il y a 13 heures, HK a dit : Disons que la livraison a déjà été retardée de fin 2023 à mai 2024, puis une 2eme fois à décembre 2024. Alors maintenant Juillet 2025 ça fait 20 mois de retard… D'accord merci. Bon certes 20 mois ça commence à faire beaucoup. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
HK Posté(e) le 9 mai Share Posté(e) le 9 mai (modifié) 53 minutes ago, Patrick said: Bon certes 20 mois ça commence à faire beaucoup. Difficile d’en déduire les responsabilités, cela dit. Calendrier trop optimiste? (Imposé par qui? Le client ou le maître d’œuvre? Quel rôle des fournisseurs? C’est un vrai mécano industriel… en plus de Naval Group + Exail, il y a Kership dans la boucle comme sous-traitant pour la coque (55% Piriou/45% Naval Group), qui sous-traite à son tour des éléments de coque à 4 chantiers (Piriou Concarneau, qui assure aussi l’assemblage, Naval Group Lanester, Piriou Roumanie, et les Polonais de Gdansk). Mais au final c’est toujours le maître d’œuvre qui est le plus exposé (ici Naval Group pour la plate-forme). Modifié le 9 mai par HK 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wielingen1991 Posté(e) le 9 mai Share Posté(e) le 9 mai il y a 54 minutes, HK a dit : Difficile d’en déduire les responsabilités, cela dit. Calendrier trop optimiste? (Imposé par qui? Le client ou le maître d’œuvre? Quel rôle des fournisseurs? C’est un vrai mécano industriel… en plus de Naval Group + Exail, il y a Kership dans la boucle comme sous-traitant pour la coque (55% Piriou/45% Naval Group), qui sous-traite à son tour des éléments de coque à 4 chantiers (Piriou Concarneau, qui assure aussi l’assemblage, Naval Group Lanester, Piriou Roumanie, et les Polonais de Gdansk). Mais au final c’est toujours le maître d’œuvre qui est le plus exposé (ici Naval Group pour la plate-forme). Il y a aussi des industriels belges intégrés au programme comme ABC Motors et FN Herstal : "Deux sociétés belges stratégiques, ABC et FN Herstal, ont été sélectionnées pour fournir des équipements pour les douze navires de lutte anti-mines (mine counter measures vessels ou MCMV) équipés de systèmes de drones (Toolbox) dans le cadre du programme de lutte anti-mines commandé par la marine belge et la marine royale néerlandaise et dirigé par Belgium Naval & Robotics – un consortium de Naval Group et ECA Group. FN Herstal et ABC fourniront des capacités critiques pour les navires, respectivement pour le système de combat et la propulsion..." https://www.belgium-naval-and-robotics.be/fr/naval-group-et-kership-choisissent-abc-et-fn-herstal-comme-fournisseurs-cles-pour-le-programme-de-lutte-anti-mines-commande-par-la-belgique-et-les-pays-bas/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 9 mai Share Posté(e) le 9 mai il y a 29 minutes, wielingen1991 a dit : Il y a aussi des industriels belges intégrés au programme comme ABC Motors et FN Herstal : Aussi danoise et polonaise Il y a de tout Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 10 mai Share Posté(e) le 10 mai Il y a 21 heures, Titus K a dit : Si tu déteste les spéculation subjectives t'es sur le mauvais forum en effet Quand a moi, j'ai la "chance" d'avoir, parfois, un echo des efforts de lobbyisme et de l'influence des 12 provinces dans la politique nationale (les ~600 élus provinciaux élisent les 75 membres de notre sénat), ma femme étant elle même élue provinciale. Je peux te dire (sans spéculation) que les élus de Zeelande ne vont pas y aller avec le dos de la cuillère, sachant que le contract chasseur de mines avait aussi échappé a Damen, et a l'époque les question de délais de livraisons avait aussi étés mentionné en faveur de NG. On verra J'ai énormément de mal avec le concept de prédire l'avenir à 200% mais bon, on verra Tu auras le droit de te revenir te moquer si ça arrive Et inversement évidement ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 11 mai Share Posté(e) le 11 mai Sous-marins aux Pays-Bas. Les concurrents de Naval Group mettent la pression pour faire annuler le contrat 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 11 mai Share Posté(e) le 11 mai (modifié) il y a 9 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Sous-marins aux Pays-Bas. Les concurrents de Naval Group mettent la pression pour faire annuler le contrat Quels branlaux ces européens la ! Modifié le 11 mai par Bechar06 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 11 mai Share Posté(e) le 11 mai Dans le genre, quand on voit l'Allemagne et la Norvège proposer un partenariat stratégique au Canada pour protéger l'Arctique ... Plus c'est gros, plus ça passe ! 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 11 mai Share Posté(e) le 11 mai (modifié) Il y a 2 heures, mudrets a dit : Dans le genre, quand on voit l'Allemagne et la Norvège proposer un partenariat stratégique au Canada pour protéger l'Arctique ... Plus c'est gros, plus ça passe ! Jz crois que la France a une telle politique. Mais ce qui rassure avec la France c'est qu'il n'y a pas de note de bas de page. cf l'article grec sur le compkément en rafale. Dis autrement pas sûr que des accord de defense avec un pays qui retiens ses soldats a domicile aient de la valeur. Modifié le 11 mai par herciv 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 15 mai Share Posté(e) le 15 mai (modifié) Encore beaucoup d'incertitudes autour des nouveaux sous-marins https://marineschepen.nl/nieuws/Nog-veel-onzeker-rond-nieuwe-onderzeeboten-150524.html L'offre du chantier naval français Naval Group était inférieure d'un milliard et demi d'euros à celle de Saab-Damen. Comment cela se fait-il et qu'est-ce que cela signifie ? Quoi qu'il en soit, la différence de prix est frappante. On ne sait pas non plus si et sous quelle forme l'industrie néerlandaise sera autorisée à coopérer sur le bateau. Les entreprises néerlandaises seraient en concurrence avec les fournisseurs français ou Naval Group lui-même. Les sous-marins et les frégates sont-ils construits dans des univers complètement différents ? Le 15 mars, le secrétaire d'État à la défense sortant, Christophe van der Maat, a annoncé que Naval Group était, pour l'instant, le vainqueur. Jusqu'à peu de temps avant l'annonce, le choix attendu de l'offre française a fait l'objet de vives critiques. La tempête s'est toutefois rapidement calmée après l'annonce. Le secrétaire d'État Van der Maat et la marine ont déclaré que le chantier français était le meilleur bateau au meilleur prix, avec une contribution néerlandaise maximale. En outre, les experts interrogés par Marineschepen.nl ont accueilli très favorablement les informations communiquées sur les bateaux. Le dossier soulève toutefois de nombreuses questions, d'autant plus que le magazine EW a révélé que le prix de l'offre française était inférieur de 1,5 milliard d'euros à celui de Saab-Damen. Comment une telle différence de prix est-elle possible dans un marché où les marges bénéficiaires sont faibles ? Il ressort également des conversations que Marineschepen.nl a eues avec plusieurs entreprises néerlandaises qu'il n'est pas du tout certain que les entreprises néerlandaises joueront un rôle à bord des sous-marins. En attendant, c'est précisément la Défense qui a plaidé devant la Chambre basse en faveur du maintien des connaissances et du travail à domicile pour les navires de surface. En ce qui concerne les frégates néerlandaises, il a été dit que les Pays-Bas peuvent le faire "plus intelligemment et à moindre coût" que d'autres pays. Le dossier n'est pas calme parce qu'il n'y a plus de questions (deux cents ont été posées par la Chambre des représentants), mais les informations sont rares. La défense ne veut presque rien dire sur l'affaire. Les employés de l'organisation matérielle COMMIT ont dû signer un accord de confidentialité, qui s'ajoute au secret dont ils jouissaient déjà. Pourtant, les informations commencent à filtrer, surtout à l'approche de la date prévue pour le débat sur les sous-marins. "J'aimerais avoir une autre conversation" La différence de prix de 1,5 milliard d'euros évoquée par EW n'a pas été confirmée par la défense. Naval Group a déclaré dans un commentaire que l'entreprise souhaitait offrir "le meilleur bateau au meilleur prix", mais n'a pas pu en dire plus sur le prix lui-même. Une différence de prix de 25 % n'est pas facile à expliquer. Certainement pas parce que les concepteurs français ont encore besoin de beaucoup de temps pour la conception, car la version envisagée pour les Pays-Bas diffère grandement du bateau nucléaire français et de la variante diesel-électrique australienne (annulée). En outre, certains systèmes doivent encore être développés, comme le moteur électrique de ce grand sous-marin. Et certains systèmes sont les mêmes : les torpilles MK 48 et les armes de croisière Tomahawk. Les salaires ne sont pas non plus moins élevés en France qu'aux Pays-Bas et en Suède. D'autre part, la question est de savoir si Naval Group a cassé les prix ou si Saab et Damen sont en réalité très chers. Damen n'a généralement pas la réputation d'être cher, ce que la Défense elle-même confirme (voir ci-dessous). Selon une source, une partie de la différence de prix pourrait s'expliquer par le fait que les exigences financières du ministère de la défense ont entraîné une hausse considérable des coûts. Cela aurait particulièrement affecté les chantiers Saab et tkMS. "Avant de pouvoir dire quoi que ce soit à ce sujet, il faut savoir exactement ce qui a été proposé", déclare Carel Prins. M. Prins travaillait à la Rotterdamsche Droogdok Maatschappij (RDM), où il a participé à la conception du sous-marin Moray et aux tentatives de vente aux Pays-Bas et à l'étranger. "S'il s'agit uniquement du montant en bas de la ligne, sans plus savoir ce qu'il représente en termes de contenu, c'est un peu court. Il se peut que le montant de l'offre française soit inférieur de 1,5 milliard, mais cela ne veut rien dire. "À l'époque du Moray, j'étais impliqué dans l'offre faite à l'Indonésie", explique M. Prins. "Un concurrent proposait une offre nettement inférieure à celle que nous pouvions faire. Mais j'ai vu l'offre et j'ai vu toutes sortes de pièces jointes : si vous voulez un deuxième périscope, tant de choses viennent avec, et si vous voulez ceci ou cela, tant de choses viennent avec". "Il se peut que cette offre soit pleine de composants français et que s'ils doivent être remplacés par un autre produit, alors le prix augmente." "Pour le Moray, poursuit M. Prins, nous avons reçu des offres de plusieurs fournisseurs pour un CMS [système de gestion de combat, logiciel pour combattre avec le bateau]. Une offre était deux fois plus chère que les autres. Une analyse plus poussée a révélé qu'elle contenait d'énormes couches de modèles électroniques et de méthodes d'analyse, ce qui en faisait un système très cher et très compliqué." "Que signifie donc un montant inférieur ? Je n'en sais rien. Si j'avais de telles différences de prix dans une offre, je voudrais discuter plus en détail avec les fournisseurs. Cela nécessite certainement une ventilation détaillée du prix". Selon M. Prins, il ne devrait pas s'agir du prix d'achat, mais du prix total du bateau. "Supposons qu'un bateau soit plus cher à l'achat, mais qu'il soit conçu en tenant compte de l'entretien, il se peut que ce bateau soit finalement beaucoup moins cher. Alors qu'avec un bateau moins cher à l'achat, il faut démonter 26 tuyaux et câbles avant de pouvoir accéder à une pompe pour effectuer des réparations". Participation des entreprises néerlandaises ? "Je suis convaincu que la proposition française ne sera pas un mauvais bateau", poursuit M. Prins, "et que les Français sont capables de construire de bons sous-marins. Mais ce qui m'importe, c'est de savoir combien d'entreprises néerlandaises participeront effectivement à la conception. "Ma grande inquiétude est que les entreprises néerlandaises ne soient pas impliquées dans la conception de ce bateau français. Car si vous ne participez pas, c'est que vous ne faites pas les choses correctement. Le produit est suffisamment compliqué pour qu'il y ait des oublis. Même pour les personnes qui s'y connaissent. Si vous n'avez aucune influence, vous ne savez pas non plus ce que vous obtenez. Les Pays-Bas n'ont pas fixé d'exigence minimale pour la participation de l'industrie néerlandaise, a déclaré une source à Marineschepen.nl, et cela s'est reflété dans les propos du ministre sortant des affaires économiques et du climat, Micky Adriaansens, lors du débat du 13 mars. Plus tard, Adriaansens a déclaré qu'il était satisfait du choix de Naval Group ; des centaines de millions iraient à des entreprises néerlandaises et, plus tard, "de véritables milliards". Naval Group a présenté une liste d'entreprises néerlandaises qui collaboreraient à la construction du sous-marin peu de temps après l'attribution du contrat. Mais l'affichage du logo de ces entreprises ne signifie pas encore qu'elles ont signé un contrat avec le chantier français. Naval Group, interrogé par Marineschepen.nl pour savoir si des contrats ont déjà été signés, déclare que "la coopération avec le NL DTIB [l'industrie néerlandaise] est essentielle pour atteindre l'autonomie stratégique nécessaire. Nous avons eu la chance de pouvoir tirer parti de nos liens existants avec le NL DTIB et d'en établir de nouveaux pour le programme de sous-marins néerlandais, notamment avec d'éminents membres du DUKC [entreprises du secteur néerlandais de la construction de sous-marins]. Ainsi, des technologies clés seront développées aux Pays-Bas, telles que le système intégré de gestion de la plate-forme, des matériaux spécifiques réduisant le bruit et des équipements de détection innovants". Toutefois, les entreprises avec lesquelles Marineschepen.nl s'est entretenu n'ont pas encore de contrat et doivent soumettre des offres. Pour obtenir du travail, elles doivent être choisies parmi les fournisseurs existants ou les départements de Naval Group. Il n'est donc pas encore certain que ces entreprises joueront un rôle dans le développement des bateaux. C'est Naval Group qui s'en chargera en dernier ressort. L'état d'esprit diffère selon les entreprises, car les trois chantiers ont chacun leur propre approche. Alors que l'un d'entre eux s'attendait à obtenir plus de travail chez Naval Group, Saab a montré plus d'intérêt pour une autre entreprise néerlandaise. Selon des entretiens avec des entreprises néerlandaises, l'entreprise suédoise a indiqué qu'au moins deux entreprises obtiendraient du travail après l'attribution du contrat, sans avoir à soumettre un autre appel d'offres. Les entreprises identifiées par Naval Group sont positives et pleines d'espoir. Toutefois, la possibilité que l'industrie néerlandaise ne reçoive que des "miettes", comme cela a été évoqué il y a quelques années, est toujours présente. Modifié le 15 mai par Titus K 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 15 mai Share Posté(e) le 15 mai (modifié) suite Vingt ans D'après les propos du ministre Adriaansens, Naval Group prévoit d'attribuer des travaux d'une valeur de "centaines de millions d'euros" à des entreprises néerlandaises sur les quelque 5 milliards d'euros que coûteront les bateaux (sans compter la réserve pour risques). Cela ne signifie pas encore que tous les travaux seront liés aux sous-marins. Dans le cadre de cet accord de coopération, l'ICA, le chantier naval retenu est libre d'attribuer à une entreprise néerlandaise des contrats qui ne relèvent pas non plus du domaine des sous-marins. C'est au chantier naval de présenter un plan. Même pour les entreprises qui bénéficient d'une position privilégiée, on ne sait pas encore exactement ce qu'elles feront. Si une entreprise néerlandaise est impliquée, cela peut signifier qu'elle peut se plonger dans la conception, mais dans le pire des cas, elle n'obtiendra que des travaux relativement simples dont elle n'est pas consciente. De nombreuses gradations sont également possibles dans les exemples cités par Naval Group. Selon Adriaansens, l'ICA a des obligations légales strictes pour obliger le chantier gagnant à respecter le plan convenu. La durée de l'ICA constitue toutefois un obstacle : 20 ans, a indiqué la Défense à la suite de questions posées par Marineschepen.nl. Il faudra attendre la période 2024 - 2044 pour savoir si le plan sera réellement mis en œuvre. Une durée aussi longue a pour conséquence qu'il est difficile d'obliger un chantier naval à respecter ses engagements. Des conséquences sur le prix ? Les entreprises néerlandaises doivent donc soumettre des offres, mais un prix a déjà été mentionné dans la proposition française. Selon Carel Prins, l'intégration de ces entreprises néerlandaises dans la conception pourrait entraîner une augmentation des coûts. Cela pourrait, selon lui, avoir une incidence sur le prix final. Mais, selon M. Prins, il ne s'agit pas d'une question d'économie. Prins : "Le contrat de maintenance est séparé du contrat d'achat. Cela semble plus simple, mais si vous n'êtes pas impliqué dans la conception et que vous n'avez pas consulté vos propres services de maintenance navale, vous risquez de rencontrer des problèmes. Il est donc moins intéressant de savoir si le soudage ou quoi que ce soit d'autre viendra aux Pays-Bas que de savoir si notre industrie et nos instituts de recherche sont impliqués dans la conception." Différent sous l'eau et en surface ? La Défense achète un bateau à l'étranger, n'a que peu d'influence sur la conception et laisse au marché le soin de décider si des entreprises néerlandaises peuvent y participer. C'est exactement ce que les représentants de la Défense eux-mêmes ont déconseillé à la Chambre des représentants le 3 avril 2024. Bien sûr, le briefing technique de l'époque concernait les navires de transport amphibie et le remplacement des frégates de défense aérienne et de commandement. En d'autres termes, il s'agissait de navires de surface pour lesquels les Pays-Bas disposent aujourd'hui d'une industrie. Mais ces arguments s'appliquaient également aux sous-marins il n'y a pas si longtemps, et bien que l'industrie sous-marine aux Pays-Bas ne soit plus aussi importante, les navires de surface et les sous-marins ne sont pas des mondes parallèles. On ne voit pas pourquoi, compte tenu de l'argument de la Défense, celle-ci ne vise pas une situation similaire à celle des navires de surface pour les sous-marins. Suite à une question de Jimme Nordkamp (GL-PvdA), les trois experts de la défense ont expliqué pourquoi il n'a pas été choisi d'acheter des frégates à l'étranger. "Sur la base de nos vastes connaissances industrielles et technologiques aux Pays-Bas, tant dans l'industrie néerlandaise que dans nos centres de connaissances, nous constatons que nous sommes finalement un peu plus intelligents et moins chers que d'autres pays", a déclaré le Commodore Harold Boekholt, directeur de Projects COMMIT. "Si nous optons pour un navire anglais ou américain standard, nous serons plus chers, ou nous aurons un prix égal avec une capacité moindre si nous considérons les applications françaises dans ce domaine, par exemple. KTZ George Pastoor, chef du département des opérations navales à la direction des plans, a ajouté que l'achat d'un autre système de gestion des combats a des conséquences. Aujourd'hui, la Défense dispose de ce système en interne (y compris pour les sous-marins). Selon M. Pastoor, les ajustements peuvent être effectués en quelques semaines, alors qu'avec un CMS commercial, il faut compter six mois ou un an avant de pouvoir commencer les ajustements. Selon Maarten van Meurs, conseiller principal en matériel, la Défense "pense qu'il est important de disposer de ces connaissances et de cette technologie en interne". Pour les améliorations à court terme et les modernisations à long terme. [Nous pouvons ainsi préserver notre autonomie dans ce domaine". Le 19 avril, la Chambre des représentants a posé 200 questions auxquelles la Défense devait répondre le 10 mai. Elle devrait le faire cette semaine. Modifié le 15 mai par Titus K 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 15 mai Share Posté(e) le 15 mai affaire à suivre et surtout l'issue juridique de TKMS... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 15 mai Share Posté(e) le 15 mai Il y a 5 heures, Titus K a dit : Une différence de prix de 25 % n'est pas facile à expliquer. Certainement pas parce que les concepteurs français ont encore besoin de beaucoup de temps pour la conception, car la version envisagée pour les Pays-Bas diffère grandement du bateau nucléaire français et de la variante diesel-électrique australienne (annulée). En outre, certains systèmes doivent encore être développés, comme le moteur électrique de ce grand sous-marin. Réponse le jour même haha 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 18 mai Share Posté(e) le 18 mai Le 15/05/2024 à 13:02, Titus K a dit : Toutefois, les entreprises avec lesquelles Marineschepen.nl s'est entretenu n'ont pas encore de contrat et doivent soumettre des offres. Pour obtenir du travail, elles doivent être choisies parmi les fournisseurs existants ou les départements de Naval Group. Il n'est donc pas encore certain que ces entreprises joueront un rôle dans le développement des bateaux. C'est Naval Group qui s'en chargera en dernier ressort. L'état d'esprit diffère selon les entreprises, car les trois chantiers ont chacun leur propre approche. Alors que l'un d'entre eux s'attendait à obtenir plus de travail chez Naval Group, Saab a montré plus d'intérêt pour une autre entreprise néerlandaise. Selon des entretiens avec des entreprises néerlandaises, l'entreprise suédoise a indiqué qu'au moins deux entreprises obtiendraient du travail après l'attribution du contrat, sans avoir à soumettre un autre appel d'offres. Les entreprises identifiées par Naval Group sont positives et pleines d'espoir. Toutefois, la possibilité que l'industrie néerlandaise ne reçoive que des "miettes", comme cela a été évoqué il y a quelques années, est toujours présente. Je sais que le groupement concurrent est européen, mais c'est fou parfois comme certains font les fines bouches en fonction de : ils auront sans doute plus, en développement et en fabrication qu'après l'achat de F-35, et au pire ils vendront plus de tulipes et de gouda... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 24 mai C’est un message populaire. Share Posté(e) le 24 mai (modifié) Cour des comptes Néerlandaise La procédure d'adjudication provisoire pour l'achat de nouveaux sous-marins est minutieuse et traçableCommuniqué de presse | 23-05-2024 | 14:00 https://www.rekenkamer.nl/actueel/nieuws/2024/05/23/proces-voorlopige-gunning-van-aankoop-nieuwe-onderzeeboten-zorgvuldig-en-navolgbaar La décision du ministre de la défense d'acheter quatre nouveaux sous-marins à Naval Group a été prise correctement et avec soin. Telle est la conclusion de l'enquête menée par la Cour des comptes sur la procédure d'attribution. En outre, la Cour des comptes conclut que le ministre n'a pas clarifié tous les coûts du cycle de vie, tels que l'armement et l'exploitation. Cela a eu pour effet d'augmenter le budget total nécessaire. Le remplacement de quatre sous-marins de classe Walrus est l'un des plus grands projets du ministère de la défense pour les années à venir. Il représente des milliards d'euros. Les Pays-Bas n'achètent pas un produit existant. La Cour des comptes a également examiné les risques financiers et la manière dont le ministre informe le Parlement. Le Parlement peut utiliser cette étude lors des débats sur l'achat de nouveaux sous-marins. L'évaluation des offres sur la base de critères multiples a été minutieuse Le processus d'évaluation des offres pour la construction des nouveaux sous-marins a été soigneusement suivi par le ministre. Tout d'abord, la Défense a déterminé si les offres répondaient aux critères de validité. Il s'agit des exigences auxquelles chaque offre doit répondre pour être prise en compte dans la suite du processus d'évaluation. Ces exigences ont été déterminées sur la base de la manière dont la Défense entend déployer les sous-marins à l'avenir : par exemple, la profondeur de plongée. Les exigences doivent permettre à la Défense d'obtenir au moins ce dont elle a besoin pour répondre à ses besoins. En outre, la Défense a fixé des exigences concernant, entre autres, le délai de livraison. Deuxièmement, un modèle d'attribution basé sur le rapport qualité-prix a été élaboré. Les offres pouvaient gagner des points en offrant une qualité et une fonctionnalité supplémentaires (par exemple, plus d'espace pour les munitions ou les forces spéciales) et elles recevaient des déductions de points si le prix cible était plus élevé que celui déterminé par la Défense. Étant donné que la différence de prix entre les offres soumises était plus importante que prévu (ce qui a entraîné des déductions de points), le prix a finalement eu plus de poids dans le rapport qualité-prix. Troisièmement, dans le cadre de la procédure d'attribution par le ministère des Affaires économiques et du Climat, le ministère de la Défense a évalué dans quelle mesure les entreprises et les instituts de recherche néerlandais participeraient à l'acquisition et à l'entretien des nouveaux sous-marins. Entre autres choses, les chantiers candidats ont été spécifiquement récompensés dans le modèle d'attribution si des systèmes critiques étaient développés ou fournis par des entreprises néerlandaises. Cela ne représentait qu'une petite partie du nombre de points que les chantiers pouvaient recevoir dans le cadre du modèle d'attribution. L'image des coûts n'est pas claire pour le Parlement Le budget total pour les sous-marins a été augmenté plusieurs fois et au total quadruplé par rapport à l'estimation initiale. Un calcul effectué par la Cour des comptes montre que, si l'on tient compte de tous les coûts pour l'ensemble du service des sous-marins, les coûts réels seront supérieurs d'au moins 638 millions d'euros à ce que le ministre a indiqué au Parlement. Il s'agit, par exemple, des coûts d'acquisition et d'exploitation des missiles de croisière et des navires de soutien, ainsi que des coûts d'exploitation des torpilles. Ces éléments sont nécessaires pour que les nouveaux sous-marins soient prêts sur le plan opérationnel et puissent être déployés. Des fonds ont été réservés à cet effet à d'autres endroits dans les budgets de la défense. Le tableau des coûts n'est pas complet Bleu --> coûts pris en compte Jaune -> coûts non pris en compte Pas d'aperçu actualisé des coûts d'exploitation Le Parlement ne dispose pas non plus d'une vue d'ensemble actualisée des coûts d'exploitation et de maintenance des sous-marins en raison de l'abandon par le ministre de l'approche des coûts sur la durée de vie pour l'acquisition de nouveaux sous-marins. Contrairement au budget d'investissement pour l'acquisition, le budget réservé pour l'exploitation n'a pas été mis à jour depuis 2019. En outre, il existe un risque que les chantiers navals choisissent des options qui rendent la construction moins chère mais qui sont plus coûteuses en termes de maintenance. Il existe également un risque de shopping forcé. Dans le précédent rapport 2020 sur le remplacement des sous-marins, la Cour des comptes avait souligné le risque que les coûts d'exploitation aient été sous-estimés, compte tenu d'exemples similaires pour les nouveaux sous-marins à l'étranger. Il s'avère que le ministre partage ce point de vue, car plus de 50 % de la réserve de risque] et du dossier de risque sous-jacent concernent des risques dans la phase d'exploitation. Le coût d'exploitation est donc actuellement supérieur à l'incertitude moyenne. Le choix de 4 sous-marins n'est pas étayé par les exigences de l'OTAN Une autre conclusion du rapport 2020 est que l'organisation du projet a déterminé que 3 sous-marins étaient suffisants pour accomplir les tâches prévues. Le ministre n'a pas partagé cette analyse et a estimé qu'au moins 4 sous-marins étaient nécessaires pour un déploiement fiable et durable. La Cour des comptes a estimé que le choix du nombre de sous-marins n'était pas justifié. Le remplacement des sous-marins en ligne de mire, partie 2La phase d'acquisition passée en revue https://www.rekenkamer.nl/publicaties/rapporten/2024/05/23/vizier-op-de-vervanging-van-de-onderzeeboten-deel-2 Le processus d'attribution provisoire de l'achat de nouveaux sous-marins a été minutieux et traçable La décision du ministre de la défense d'acheter quatre nouveaux sous-marins à Naval Group a été prise correctement et avec soin. Telle est la conclusion de l'enquête menée par la Cour des comptes sur le processus d'attribution. En outre, la Cour des comptes conclut que le ministre n'a pas clarifié tous les coûts du cycle de vie, tels que l'armement et l'exploitation. Cela a eu pour effet d'augmenter le budget total nécessaire. Le remplacement de quatre sous-marins de classe Walrus est l'un des plus grands projets du ministère de la défense pour les années à venir. Il représente des milliards d'euros. Les Pays-Bas n'achètent pas un produit existant. La Cour des comptes a également examiné les risques financiers et la manière dont le ministre informe le Parlement. Le Parlement peut utiliser l'enquête lors des débats sur l'achat de nouveaux sous-marins. Quelles sont les questions de recherche ? Nous posons un certain nombre de questions pour déterminer si l'acquisition de nouveaux sous-marins se déroule conformément aux règles et si le Parlement a reçu des informations suffisantes et adéquates à ce sujet de la part du ministre de la défense. Dans notre enquête, nous répondons aux questions suivantes : dans quelle mesure l'adjudication proposée a été effectuée conformément aux règles ; dans quelle mesure le choix final des sous-marins correspond à l'exigence précédemment formulée ; dans quelle mesure les choix effectués au cours de la procédure de passation de marché ont été justifiés ; dans quelle mesure la participation de l'industrie néerlandaise est conforme aux règles ; si le ministre de la défense a une vue d'ensemble des coûts totaux ; si d'autres investissements doivent être reportés à cause de ce projet ; si les sous-projets (tels que l'armement) sont en phase avec le remplacement des sous-marins ; si le ministre gère correctement les risques ; si le ministre a informé le parlement de manière suffisante et adéquate sur le remplacement des sous-marins. Modifié le 24 mai par Titus K 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 24 mai Share Posté(e) le 24 mai (modifié) Le rapport d'enquete en question --> (traduction auto rapide ...) La suite Citation Modifié le 24 mai par Titus K 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 24 mai Share Posté(e) le 24 mai (modifié) La suite Citation Modifié le 24 mai par Titus K Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 24 mai Share Posté(e) le 24 mai EH ben. Il y en a de la lecture. De toute façon un peu comme tous les processus c'est difficile de savoir vraiment les critères. Mais la cours des comptes fait plusieurs fois le constat que les coûts ont été plusieurs fois réévalué. J'imagine que ce critère particulièrement à joué. EN tous cas il est mis en avant par la cours des comptes, ce qui n'est guère étonnant, mais surtout renforce la position du gouvernement. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 25 mai Share Posté(e) le 25 mai Pourquoi les Pays-Bas veulent-ils jusqu'à quatre nouveaux sous-marins ? La Cour ne voit pas la logique https://www.trouw.nl/binnenland/waarom-nederland-maar-liefst-vier-nieuwe-onderzeeboten-wil-de-rekenkamer-ziet-de-logica-niet~b71dc400/?referrer=https://www.google.com/ La Cour des comptes estime que le secrétaire d'État à la défense n'est pas en mesure de justifier pourquoi les Pays-Bas auraient besoin de pas moins de quatre nouveaux sous-marins. Le Hr. Ms. Bruinvis au large des côtes écossaises. Mis en service en 1994, ce sous-marin est l'un des trois sous-marins encore opérationnels de la marine néerlandaise. Lorsque les forces armées néerlandaises commenceront à utiliser de nouveaux sous-marins à partir de 2035, ce sera des années plus tard que prévu. Les navires seront également devenus quatre fois plus chers que prévu à cette date. C'est ce qu'affirme la Cour des comptes dans un rapport publié jeudi. Les Pays-Bas possèdent actuellement quatre sous-marins, qui ont été mis en service au début des années 1990 et qui approchent de la fin de leur durée de vie. L'un d'entre eux a été mis hors service. Dès 2015, le ministère de la défense s'est penché sur le remplacement des sous-marins. Comme il s'agit d'une opération très coûteuse, le General Audit Office (bureau d'audit général) exerce une surveillance critique. 2035 au plus tôt L'attente exprimée en 2015 selon laquelle le premier nouveau navire pourrait être mis en service en 2027 est devenue irréalisable depuis longtemps, note la Cour des comptes. Il faudra désormais attendre 2035 au plus tôt. Le budget initial de 2,5 milliards d'euros n'est pas non plus réaliste ; les quatre nouveaux navires coûteront ensemble près de 10 milliards d'euros. La Cour ne se prononce pas sur le choix politique d'acheter des sous-marins. Le rapport souligne néanmoins que le ministère n'est pas en mesure d'expliquer de manière convaincante pourquoi quatre navires doivent nécessairement être achetés et pourquoi trois ne suffiraient pas. Le secrétaire d'État à la défense sortant, M. Van der Maat, qui est responsable de l'acquisition des sous-marins, a réagi avec enthousiasme à ce commentaire. M. Van der Maat tient à souligner, a-t-il écrit dans une réponse, "que la défense, en particulier dans le contexte de sécurité actuel, doit avoir la garantie de pouvoir déployer deux sous-marins. C'est ce qui guide la justification du nombre de sous-marins et ce n'est pas possible avec une flotte de trois sous-marins". Un sous-marin de moins La Cour souligne que la Défense a précédemment indiqué que l'OTAN ne compte que sur le déploiement possible de deux sous-marins néerlandais à partir de 2032. Auparavant, il s'agissait de trois navires, et comme l'un d'entre eux est parfois en maintenance, il serait logique d'avoir quatre sous-marins. Mais ce n'est plus le cas. "Cela supprime un argument important qui a incité le ministre de la défense à acheter quatre sous-marins au lieu de trois", déclare la Cour. "Il est remarquable que le ministre de la défense estime avoir besoin de quatre sous-marins, comme par le passé, tout en offrant un sous-marin de moins à l'OTAN. Selon M. Van der Maat, l'OTAN ne compte que temporairement sur une diminution du nombre de sous-marins néerlandais, car il y aura une période pendant laquelle les anciens navires ne seront pas déployables ou le seront moins, alors que les nouveaux sous-marins n'auront pas encore été livrés. Selon M. Van der Maat, lorsque les Pays-Bas posséderont à nouveau quatre sous-marins, l'OTAN voudra pouvoir à nouveau faire appel à eux. Dans sa réponse, M. Van der Maat promet de se conformer à la recommandation de la Cour des comptes d'être plus clair sur le coût total des nouveaux sous-marins. En effet, l'aperçu des coûts ne comprend pas le coût des missiles utilisés pour armer les sous-marins. En outre, la Cour note que le nombre de missiles que la Défense a l'intention d'acheter pour les navires est inférieur aux normes de défense de son propre territoire et de celui de la Navo. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 25 mai Share Posté(e) le 25 mai Ce qui me fait hérisser le poil, c'est de constater que tout le monde veut l'OTAN sans lui fournir le matériel nécessaire. Où est l'aéronavale néerlandaise, les sous-marins danois etc ... 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) le 25 mai Share Posté(e) le 25 mai (modifié) 40 minutes ago, mudrets said: Ce qui me fait hérisser le poil, c'est de constater que tout le monde veut l'OTAN sans lui fournir le matériel nécessaire. Où est l'aéronavale néerlandaise, les sous-marins danois etc ... Moi ce qui me fait hérissait le poil c'est l'argument du besoin d'OTAN avant même de sa propre défense. Alors que justement le Danemark est en première ligne maritime face aux conflits nordiques de demain. Modifié le 25 mai par Asgard 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 25 mai Share Posté(e) le 25 mai il y a 4 minutes, Asgard a dit : Moi ce qui me fait hérissait le poil c'est l'argument du besoin d'OTAN avant même de sa propre défense. Alors que justement le Danemark est en première ligne maritime face aux conflits nordiques de demain. Ils sont où, navalement parlant ? A Ormuz, à Bab el mandeb, dans l'océan Glacial Arctique ? Avec quoi ? Des lance-pierres ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) le 25 mai Share Posté(e) le 25 mai @mudrets j'ai pas compris 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 26 mai Share Posté(e) le 26 mai (modifié) Ah bon? Quels sont leurs moyens actuels et où sont-ils déployés ? On se bat avec la marine que l'on a, pas avec celle que l'on rêve d'avoir (dicton de mon invention) Modifié le 26 mai par mudrets 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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