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[SSGN] Ohio et autres


Philippe Top-Force

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on a deja discuté de cela

ce genre de navire est une bonne idée mais une fausse bonne idée ...... il faut un deployement pour le couvrir (fregates de DA et ASM au minimum + 1 SNA : tiens on dirais un GAN mais sans les avions  =D .... tiens ce concept existe deja, c'est le concept des croiseurs nucléaires sovietiques de classe Kirov  =D ----> ou comment reinventer l'eau chaude  =D)

le concept du frappeur SSGN est moins gourmand en escorte, il aura donc logiquement plus de succès

en même temps, des bricolages tordus en temps de guerre, on en a vu en tout genre donc on ne sais jamais, un cargo  Iranian croisant pavillon Panaméen et couvert de postes de tir Smerch russes et de missiles SSN27 chinois ca peut peut être le faire (bientot sur vos ecrans pour de vrai ....  =D)

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Oui, l'avantage d'un bébé comme l'Oscar II par exemple c'est qu'il peut frapper discrètement n'importe où à n'importe quel moment sans signe avant coureur. Les sous marins sont réputés pour leurs petites blagues du genre on émerge au milieu d'un GAN, on fait un petit coucou, on rigole un bon coup et on replonge en laissant un message "On vous l'a mise bien profond" . Faire ce genre d'opération avec en guise de message une volée de missiles sur les différents objectifs à traiter et en moins de temps qu'il en faut pour le dire l'ennemi est cul nu.

Il est certain qu'un SSGN cou plus cher qu'un simple container ambulant ou même qu'une FREMM lance missiles mais on peut se dispenser de toute la flotte d'escorte.

Cela dit, l'existence des SSGN n'exclue pas les projets de Frappeur, le premier permettant les frappes surprises, le second permettant d'appuyer les troupes et de neutraliser les forces ennemies restantes

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Ce genre de systéme peut faire trés mal, en frappe d'intiative, on frappe l'ennemie sans qu'il comprennet.

Exemple, dans le détroit de mer de chine, 2 ohio en embuscade, peut faire des frappes aux sol de déplacer et ainsi de suite.

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  • 4 weeks later...
  • 4 months later...

Et un budget de mindef autre que celui des USA également. Si la France avait un engin de ce genre... Il ferait juste de la déco et lâcherait de temps en temps UN missile  :P

En fait ça leur permet juste d'avoir un silo ambulant XXL quand on sait comment se déplacent les GAN US. au lieu de matraquer via bâtiment de surface, ils bazarderont via Ohio.

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Et un budget de mindef autre que celui des USA également. Si la France avait un engin de ce genre... Il ferait juste de la déco et lâcherait de temps en temps UN missile  :P

En fait ça leur permet juste d'avoir un silo ambulant XXL quand on sait comment se déplacent les GAN US. au lieu de matraquer via bâtiment de surface, ils bazarderont via Ohio.

Remarque qu'il y aurait plus de chances que ça serve à quelque chose que les escadrons dédiés à l'ASMP* Qui n'ont pratiquement aucune cible à portée (pour ceux de l'AdA) et dont les probabilités / hypothèses d'usage sont casi nulles.....

*Au moins 40 avions (peut-être 60...) dans l'AdA (plus l'environnement, bases etc..) plus ceux dédiés dans la Marine, plus le coût des engins......

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@fusilier

d'accord pour les 2000n

La Marine elle a déjà plus de latitude d'action avec l'asmp

l'OHIO c'est 154 TOMAHAWKS au maxi

l'un des quatre est en mer d'OMAN

L'interet de ce genre d'engin c'est, qu'en dehors de ses capacités de frappe et de missions spéciales il peut surement faire tout ce que fait un SNA : renseignement électronique, surveillance des routes maritimes, protection des convois, etc....

Nota : le problème va être quand on va affecter les rafales pour faire l'ASMP ; alors que l'on dit que l'on aura pas assez de Rafy pour armer un deuxième PA....

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@fusilier

voici ce que j'écrivais chez Secret Défense il y a qq jours à propos du PA2 des Rafales et de la notion de permanence...

Ceux qui risquent d'avoir du retard ce sont les Rafales nuc de l'Adla...

En fait on parle du PA mais ce navire ne vaut que par ses avions: son groupe aérien embarqué.

Quel est l'intérêt du PA? Transporter une base aérienne mobile et donc ses avions, au large de n'importe quelles côtes en un temps minimum.

Soit pour appuyer un engagement au sol (Liban 80's; Bosnie 90's; Afghanistan)

Soit pour faire peser une "menace" sur un état (Libye 80's durant le conflit tchadien, corne de l'Afrique à l'indépendance de Djibouti)

Sécuriser une zone (opération humanitaire ou alors le Centre d'essais du Pacifique)

Toutes ces tâches (la liste n'est pas exhaustive) surviennent par définition n'importe quand et souvent au moment le plus défavorable (loi bien connue de l'emmerdement maximum).

Face à cet aspect "impondérable" la permanence doit s'entendre par réaction la plus rapide possible.

Quand on dispose de deux PA évidemment on cherche à tuiler les IPER de l'un grâce à la disponibilité de l'autre. Mais çà permet aussi en cas de tension d'avoir un PA prépositionné au cas où...

Car un navire n'est pas 100% disponible tout le temps où il n'est pas en IPER. Il y a des entretiens mineurs, des qualifications équipage ou GAE. Il y a aussi des périodes d'essai de divers matériels propres au navire ou au GAE des relèves d'équipage...

Bref ce n'est pas tout blanc ou tout noir et vouloir limiter l'activité du PA2 simplement aux IPER du premier est par trop réducteur.

Concernant le GAE, à terme, si le PA2 se fait ce GAE sera composé de 45 Rafale en trois flotilles 3 ou 4 E2C avions radar et qq hélicoptères. Cà ce sont les chiffres bruts. En clair compte tenu de la disponibilité du parc, des appareils qui doivent rester à terre pour assurer un entraînement aux équipages non déployés ... çà fait en permanence (et là c'est effectivement en permanence!) un effectif déployable de 28/30 Rafale 2 E2C et 4 hélicos avec un préavis de qq jours.

Donc, on a

Une situation internationale qui peut évoluer voir basculer en 48 heures

Un GAE mobilisable en quatre jours (c'est à dire susceptible de rejoindre le PA)

Compte tenu de ce qui précède il faut une plate forme immédiatement mobilisable dans un délai maxi de cinq jours (rappel équipage, avitaillement, escorte...). Ceci en devant tenir compte du fait même durant les périodes où il n'est pas en IPER un navire n'est jamais pleinement ops tout le temps.

Si on dit qu'un PA à l'image des SNLE a une disponibilité de 66% (mais en réalité elle sera moindre) avec deux PA la disponibilité de notre base aérienne mobile devient de 100 % au départ de Toulon dans un delai inférieur à une semaine.

Si on communique bien les caméras filment moins d'une semaine après un incident grave un PA et son escorte qui quittent Toulon avec en fond visuel les premiers Rafale arivant de Landivisiau qui vont bientôt apponter....

C'est çà je crois l'idée de permanence. Après il y a l'équipage. Un PA c'est 1750 hommes environ dont 1000 pour le navire (en gros). Malheureusement deux PA ne signifient pas deux équipages. Mais le défi sera (et ce compte tenu de deux modes de propulsion différents) d'avoir en permanence mobilisable à 72 heures un équipage complet et entraîné. Et la on retrouve la problématique du matériel GAE avec les effectifs en ligne et les moyens mobilisables à partir de ces effectifs.

En conclusion deux PA ne signifieront pas un PA en permanence à la mer pour çà il en faudrait 3 et 2 GAE. Et d'ailleurs est ce utile?

Deux PA çà signifie une base aérienne de Saint Dizier déployable n'importe où en moins d'une semaine au départ de Toulon.

Base aérienne qui s'affranchit des frontières et des problèmes de survol

BA qui s'affranchit d'une bonne part d'aléas météo

BA qui assure sa sécurité (un GR9 brit détruit par tir de mortier à Kandahar plus un Chinook hollandais criblé de balles au décollage toujours à Kandahar et rayé des listes)

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@ Pascal.  Le vrai problème, si l'on pousse la logique jusqu'au bout, serait d'avoir 3 PA, mais je sens venir les cris d'horreur.

Et pour tout dire dans la situation actuelle je verrais une presque fusion entre l'AdA et Marine.....

Un ami d'un forum espagnol parlait de "l'inévitable" "infanterisation-de-marine"* des armées européennes...

*Il faut l'entendre au sens "expéditionnaire" / US Marines

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@fusilier

l'avenir c'est dans un futur proche la mise en "commun" ponctuellment de 2 CVF 2PA français le Cavour le Garibaldi et les 2 espagnols

indépendamment des questions de différences de matériels déjà si on affecte ces moyens à des missions commune imagine le progrès

c'est à ça qu'il faut penser

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@fusilier

l'avenir c'est dans un futur proche la mise en "commun" ponctuellment de 2 CVF 2PA français le Cavour le Garibaldi et les 2 espagnols

indépendamment des questions de différences de matériels déjà si on affecte ces moyens à des missions commune imagine le progrès

c'est à ça qu'il faut penser

Là dessus tu preches un convaincu.... =)

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  • 11 months later...
  • 3 months later...

http://www.corlobe.tk/article12912.html

La transformation des SNLE dans l’US Navy

Avec la fin de la Guerre Froide et la monté du terrorisme, l’US Navy a considéré qu’elle n’avait plus besoin de 18 sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) pendant qu’un nouveau besoin apparaissait pour une plateforme spécialisée dans les opérations spéciales et le lancement de missiles de croisière. Le résultat : 4 SNLE ont été transformés en SSGN (sous-marins nucléaires lanceurs de missiles de croisière), en commençant par le premier de la classe des SNLE Trident, l’Ohio.

Le Michigan, le Georgia et le Florida ont été convertis après l’Ohio. L’Ohio est revenu en décembre à son port-base de Bangor (état de Washington) de son premier déploiement — 14 mois et demi après son appareillage. Le Michigan a appareillé en novembre de Bangor. Le Georgia sera déployé en juillet ; le Florida en mai. Ces 2 derniers sont basés à Kings Bay (Georgie).

La base avancée de l’Ohio et du Michigan est Guam ; le Florida et le Georgia opèrent depuis Diego Garcia dans l’océan Indien. Tous les 4 peuvent être envoyés rapidement sur d’autres théâtres d’opération.

Le déploiement de l’Ohio a duré 2 mois et demi de plus que la normale. Il est resté en mer jusqu’à ce que le Michigan soit prêt pour son premier déploiement. Depuis Guam, l’Ohio a effectué des missions standard de 90 jours, les équipages “bleu” et “or” se succédant selon la coutume des sous-marins nucléaires. Au cours d’un déploiement, l’Ohio effectue généralement une ou 2 missions “d’intérêt national”, que le Capt. Chris Ratliff, le premier commandant du SSGN Ohio, a qualifié de “hautement classifiées” et d’“extrêment pertinentes” au cours d’une interview à son bureau de la base navale de Kitsap.

Chaque SSGN est équipé de 105 missiles de croisière Tomahawk. Il peut aussi accueillir 66 commandos des forces spéciales. Les missiles are “attachés” aux engagements Tomahawk, mais aucun n’a été lancé au cours du déploiement de l’Ohio, a indiqué Ratliff. Les missions des forces spéciales sont une autre chose ; Ratliff ne pouvait discuter de ces missions mais a expliqué qu’elles constituaient des “opérations de sécurité de théâtre” en coopération avec des alliés.

Il y a une ou 2 missions d’intérêt national dans chaque période opérationnelle ou ensemble de missions, que Ratliff a décrit comme “des missions très spécifiques aux SSGN dans le cadre de la guerre contre le terrorisme.” Il y a eu 4 ensembles de missions pendant le déploiement de l’Ohio. Aucune des missions d’intérêt national n’était des missions d’opportunité mais étaient des missions conçues spécifiquement pour les capacités des SSGN.

L’Ohio n’est pas un petit sous-marin. Il mesure 170 m de long et déplace près de 19.000 t en plongée, le double d’un croiseur de la classe Ticonderoga [1]. La taille de l’Ohio n’avait pas d’importance lorsqu’il remplissait sa mission original de SNLE ; la haute-mer était son domaine pour ses missiles Trident II D-5 à longue-portée. Mais sa nouvelle mission de plateforme de soutien pour des opérations spéciales a conduit certains à s’interroger non seulement sur la capacité du SSGN à opérer dans des eaux peu profondes pour débarquer des troupes des forces spéciales, mais aussi sur le coût de l’opération.

Ratliff a expliqué que l’utilisation du SEAL Delivery Vehicle (SDV) et de l’Advanced SEAL Delivery System (ASDS) donnait aux équipes SEAL de la Navy toute la flexibilité et les capacités dont elles avaient besoin pour rejoindre la terre. L’ASDS est un mini-sous-marin transporté sur le dos du SSGN, il a un rayon d’action d’environ 100 nautiques, suffisamment pour laisser le SSGN au large, aussi près ou aussi loin que le commandant le décide. 6 sous-marins nucléaires d’attaque de la classe Los Angeles ont été modifiés pour pouvoir accueillir l’ASDS et tous les SNA de la classe Virginia peuvent le transporter. L’ASDS a un équipage de 2 personnes et transporte 16 commandos SEAL et leur matériel. Le SDV est un mini-sous-marin qui transporte 4 SEAL et leur matériel. Mais ils doivent utiliser du matériel de plongée pour respirer et non sont pas abrités comme dans l’ASDS.

Les capacités du SSGN sont la clé, a souligné Ratliff, en le distinguant des SNA Los Angeles ou Virginia. Les SSGN peuvent accueillir 66 SEAL contre une poignée sur les SNA. Les SSGN sont équipés de 105 missiles de croisière Tomahawk, contre 12 sur les Virginia.

Les sceptiques s’inquiètent aussi de la menace que représentent la nouvelle génération de sous-marins classiques diesel plus discrets et à propulsion anaérobie, comme les récents Kilo russes, en particulier pour les SSGN opérant dans des eaux peu profondes. Ratliff reconnait que ces sous-marins sont un “défi, mais ce sont un défi gérable.”

Près de la côté, l’environnement est plus adapté pour les sous-marins classiques, et les SSGN “entrent dans leur tannière”, explique Ratliff. Mais les SSGN sont équipés des plus récents sonars et systèmes de combat, dont Ratliff dit qu’ils sont la clé pour opérer dans l’“environnement de mission contesté” des eaux peu profondes. Plus encore, “la longueur de bras du SSGN est plus importante que celle d’un classique”, ce qui donne l’avantage au SSGN.

Les plans de l’US Navy ne prévoyaient que la conversion de 4 SSGN, mais Ratliff a indiqué qu’elle envisageait déjà le remplacement des SNLE et des SSGN, puisque leur fin de vie s’approche.

Et pour le prix de la conversion dont se plaignent les critiques ? Le coût de la conversion d’un SSGN est d’environ 650 millions $, plus environ 350 millions pour la refonte et le rechargement du coeur, qu’il faut comparer aux plus de 2 milliards $ pour un SNA de la classe Virginia, a indiqué Ratliff. Pour 1 milliard, la Navy obtient une plateforme qui dispose de plus de 9 fois la puissance de feu et beaucoup plus de forces spéciales. Les SSGN ont une durée de vie de 20 ans.

Dans les forces armées d’aujourd’hui, ce milliard est probablement un des meilleurs investissements réalisés.

Notes :

[1] Un SNLE français mesure 138 m de long et déplace 14.300 t en plongée.

http://www.corlobe.tk/article12912.html

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  • 4 months later...

http://www.wired.com/dangerroom/2009/07/commando-subs-sending-drones-robo-torpedos-into-combat/

Commando Subs Sending Drones, Robo-Torpedos into Combat

SSGN UAVThe U.S. Navy’s four Special Forces-optimized submarines are using a wide range of robots in combat in coastal areas, the Navy’s top officer for irregular warfare said in a surprisingly candid interview. The Ohio-class guided-missile subs, modified from surplus ballistic-missile boats, have been outfitted with robotic mini-subs and at least two types of unmanned aerial vehicle, according to Rear Adm. Mark W. Kenny. It seems Kenny’s comments, to Special Operations Technology reporter Scott Gourley, just barely slipped under a descending veil of secrecy. “These get classified real fast because we’re using these vehicles in operations,” Kenny admitted.

The guided-missile subs, called “SSGNs” by the Navy, had their nuclear missiles removed starting in 2002. The boats’ nuke missile tubes now contain clusters of conventional Tomahawk cruise missiles or serve as “payload tubes” for equipment, including robots. The SSGNs have accommodations for up to 66 SEALs or other commandos.

The Navy’s submarine force is notoriously publicity-shy — it’s not for no reason submariners call themselves the “silent service.” U.S. Special Operations Command is equally hush-hush. Now combine the two — and you’ll understand why the Kenny interview is so surprising. He detailed three robots now found aboard the Ohio boats:

    * Sea Stalker, a torpedo-size underwater robot that specializes in snooping on radio signals and other communications. “The [concept] is to launch these from submarines at night,” Kenny said. “They will transit to offshore, anchor, put their antennas out and begin collection. Ideally you would have a series of these … to cover different ports or hotbeds of terrorist activity. And then you would collate that information on board the ship.”

    * Scan Eagle, the 45-pound aerial bot that has seen heavy use by the Marines in Iraq and Afghanistan. Kenny says Special Operations Command is looking at boosting Scan Eagle with extra fuel and sensors — and maybe even weapons, like the Air Force’s armed Predators and Reapers. It seems Scan Eagle is launched from a sub’s deck while she is surfaced, but that could change. “We’re looking at launch and recovery from an SSGN payload tube to allow clandestine close-in operations,” Kenny said.

    * BUSTER, a 15-pound UAV that Kenny says is particularly useful when working with foreign armies. “We’ve … done some very successful operations with allies, doing foreign internal defense, training them to operate this vehicle.” The allied armies launch BUSTER from land, while the submarine “pull in the full motion video and the infrared, correlate it and fuse it in our battle management centers on board.”

Looking ahead, the Navy wants to give its new Virginia-class attack submarines the same ability to carry robots, by outfitting them with a “payload module” similar to the SSGNs’ former missile tubes.

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http://www.wired.com/dangerroom/2009/07/commando-subs-sending-drones-robo-torpedos-into-combat/

Commando Subs Sending Drones, Robo-Torpedos into Combat

    * Scan Eagle, the 45-pound aerial bot that has seen heavy use by the Marines in Iraq and Afghanistan. Kenny says Special Operations Command is looking at boosting Scan Eagle with extra fuel and sensors — and maybe even weapons, like the Air Force’s armed Predators and Reapers. It seems Scan Eagle is launched from a sub’s deck while she is surfaced, but that could change. “We’re looking at launch and recovery from an SSGN payload tube to allow clandestine close-in operations,” Kenny said.

24/07/09

SOURCE:Flight International

Boeing prepares for lethal ScanEagle test

By Rob Coppinger

The first flight of Boeing's ScanEagle Compressed Carriage (SECC) unmanned air vehicle is planned for 24 August, with an air launch event to follow later this year.

Designed for box launch from air and sea craft, the SECC has a lethal capability with submunitions stored in its fuselage centre.

The UAV has a 3.3m (11ft) wingspan, cruise speed of 78kt (144km/h), up to 24h endurance and maximum take-off weight of 48kg (106lb) with 17kg of munitions.

"We have completed risk-reduction activities and windtunnel testing for lift and drag co-efficients," says Boeing, which is now assembling a prototype for imminent ground tests. A Boeing programme manager, speaking at the Shephard UV Europe 2009 conference in Newport, Wales, says the UAV's wing and rudder deployment has already been tested.

Issues with the SECC's engine control module have delayed its first flight from the second quarter of this year until into the third quarter. The air vehicle uses a heavy fuel engine that has passed a start from cold soak test.

As well as submunitions, the SECC could be used to deploy a small vertical take-off and landing UAV.

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  • 5 months later...

L'US Navy à procédé à son 130e tir réussi de Trident II D5 depuis l'USS Alaska le 19 décembre 2009 :

http://www.globalsecuritynewswire.org/gsn/nw_20100107_9797.php

Et on parle d'un possible remplacement des Minutemen III de l'USAF et des Trident de la marine par un missile communs  :rolleyes: :

http://www.globalsecuritynewswire.org/gsn/nw_20100107_9797.php

Les démêlés des russes avec le Bulava n'ont pas refroidi ceux qui ont eu cette idée ???  :O

Pour ma part, je pense qu'il serait plus prudent si l'on veut un missile commun de développer un SLBM puis simplement d'en mettre dans des silos au sol.

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  • 2 years later...
  • 4 months later...

Petite relance du topic mais ne trouvant pas réponse a la question que je me pose ...

Qu'en est il, du parallèle SSGN - SNLE (encore en service) en termes techniques sur les propriétés sonores du navire ?

Est ce que le fait que le SSGN est un Ohio conformément exact a un SNLE moins les silos transformés en VLS ne met pas quelque par les SNLE Ohio encore en service devant un problème que le fait est que maintenant 4 d'entre eux sont des SSGN : ils sont devenus bien + aisés a renifler pour les petits curieux ?

Notamment quand ils sont déployés en méditerranée ou la, il faut déja se taper Gibraltar, et le fait est qu'un SNLE s'il était en méditerranée se sentirait surement bien moins en "sécurité" que dans une zone de patrouille "diluée-perdu" dans l'Atlantique ... Est ce que le fait de transformer un SNLE en SSGN alors qu'une grande partie des SNLE vont encore rester en service pour un bon bout de temps : ne les mets pas en danger "potentiel" a termes ?

Ils sont devenus beaucoup + simples a approcher (de façon raisonnable) pour nombre de SSN et SSK de maintes puissances pour s'y donner a coeur joie d'écoutes et nif-nif ... A moins, a moins ... Que la Navy ait approché la question de sorte a modifier sensiblement nombres d'appareillages internes aux SSGN durant la transformation des 4 navires : pour qu'ils répondent maintenant a des profils sonores différents des SNLE encore en service aujourd'hui ?

Quelque part il y a une question cruciale de sécurité nationale pour les USA ... Ont ils modifiés pour l'occasion des pièces sensibles comme la propulsion dans son ensemble (arbre, moteur, hélice/pump jet) les garnitures acoustiques des appareils de fonctionnement divers "mouvants/bruyants" ect pour obtenir au final une signature acoustique des SSGN sensiblement différente des SNLE encore en service : pour que cette nouvelle doctrine, ne porte pas tort aux SNLE qui sont aussi le coeur de la dissuasion US comme chez nous ?

Car autant ça n'aurait que peu d'importance si une telle transformation avait lieu, pour des SNLE tous partis a la réforme et qu'il s'agirait des derniers conservés pour nouvelle doctrine ... Autant si cela concerne un SNLE encore en service : s'ils restent rigoureusement exactement les mêmes navires hors silos au niveau acoustique ect : un problème de sécurité nationale apparait non ?

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Je crois tout betement que les SNLE - a vitesse raisonnable - sont tellement discret que tu n'entends que quand tu les percutes et encore tu les prend pour un conteneur derivant :lol:

A quoi ca servirait d'avoir la signature d'un machin que tu n'entend que quand t'a le nez écrasé contre?

Résultat il s'en foute d'exposer un peu leur SSGN semblable a leur SNLE.

Franchement quand tu vois le comique de l'épisode de notre SNLE percuter le SNLE britannique ... tu te dis que soient les sous marinier sont des bargeots, soit les SNLE ne font pas du tout de bruit.

Pas bruit donc sonar actif ... sonar actif donc pas vraiment de problème de signature.

Tu vas me répondre comment on identifie un SNLE qui "pong" a l'actif, mais dont on arrive pas a avoir de signature pour l'identifier ... bah je suppose qu'on l’identifie pas :lol: et qu'on tire quand même!

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C'est sur, un SNLE c'est du lourd question navire basé sur le silence ...

Mais il y a un truc quand même a remarquer ... Les USA vont avoir le + vieux système en service (dont je me doute bien qu'il y a eu des re-modernisations depuis) dont le premier mis en chantier remonte a 76, mise en service 81 (le dernier en 97) et développement de base des soum' : fin des années milieu/fin des années 60/début 70 pour le programme qui les a pondu

Certes les USA, c'est LA NATION militairement en avance ... Et en + ils ne comptent apparemment pas les remplacer avant 2029 pour le 1 er retrait d'entre eux ... Ils ont vraiment confiance en leur soum ça c'est très clair !

Mais quand même ... Chez leur 2 alliés qui ont des technologies comparables : les soum' sont 10 ans moins vieux minimum (1er Vanguard, 1er Triomphant) et déja en re-modernisation chez nous ou apparemment c'est 30 ans maxi acté pour nos SNLE soit les 2 qui ont réussi a se faire un bisou en mer dont on parle

Russe : Boreï tout neuf qui arrive + 7 a venir avec missile tout neuf aussi , Chinois : idem tout neuf aussi

La ou les USA comptent apparemment faire durer le plaisir avec les Ohio jusqu'au premier retrait : 48 ans de service ...

Ca surprend un peu, tant au niveau du contexte ou apparemment tout le monde va avoir des soums + moderne, et certainement bien + silencieux, qu'au niveau de l'usage des SSGN qui sont vraiment beaucoup exposés (jusqu'a oser s'aventurer en faible/moyenne profondeur)

Et ça donne un peu le sentiment d'une prise de risque ... Mais après c'est surement en lien aussi avec les technologies développées d'abord sur les Seawolf puis Virginia qui ont du se propager dans les re-modernisation : mais aussi des couts qui ont peut être impacté un projet de les remplacer ces vieux Ohio ? Ils datent quand même mazette  :rolleyes:

Je peut me tromper, mais il me parait probable qu'avec l'age qu'ils ont, ils risquent d'être de + en + aisés a être détectés/détectables ? La ou l'Europe ne cherche même a pas s'aventurer avec des soums de + de 30 ans

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Il y a une interrogation sur la pertinence de développer ou nous des SNLE plus super mieux que les anciens, parce qu'on doute que dans les 40 ans qui viennent il n'y ait pasun moyen de les détecter "facilement". Et vu l'investissement que ca représente on préfere s'en tenir a ce qu'on a et qui coute "rien" plutot que lancer un dev a l'aveuglette, avec le risque d'un machin qui soit obsolete a mi vie - temps de dec plus production plus mi vie ca porte dans 35 ans pas loin de 2050, d'ici la les sonar et autre radar auront fait des progres peut etre considérable, les ICBM seront peut etre absolument obsolete devant les ABM etc. -. En gros il est urgent d'attendre d'autant plus qu'il n'y a plus de concurrence au niveau pour longtemps encore.

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Mais il y a un truc quand même a remarquer ... Les USA vont avoir le + vieux système en service (dont je me doute bien qu'il y a eu des re-modernisations depuis) dont le premier mis en chantier remonte a 76, mise en service 81 (le dernier en 97) et développement de base des soum' : fin des années milieu/fin des années 60/début 70 pour le programme qui les a pondu

Oui mais par rapport aux francais, aux britanniques et meme aux russes, le nombre de sous marins americains crée une redondance telle que la dissuasion reste assurée meme avec des sous marins peut etre moins silencieux que leur contemporain. Aucun pays n'a les moyens de detecter et de pister la totalité des sous marins americains en patrouille à un instant t.

Image IPB

Nombre de patrouilles en 2008 par pays.

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  • 1 month later...

On parle des américains. Pour eux le nucléaire, c'est presque accessoire. En pratique leurs SNLE ne servent qu'à dissuader les Russes, pour les autres pays (et même probablement pour la Russie), leurs autres vecteurs sont largement suffisant. Le nucléaire est une arme de non emploi (y compris pour les USA) donc il suffit d'avoir le "niveau" (quantitatif et/ou qualitatif) ce qui n'est pas le cas de leurs forces conventionnelles (qui servent même un peu trop pour leurs moyens), donc ils ont plus besoin d'investir dans le conventionnel que dans le nucléaire.

Je pense qu'on critique plus leur "faible" nombre et qualité de SNA/SSGN que de SNLE.

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