Fusilier Posté(e) le 26 avril 2018 Share Posté(e) le 26 avril 2018 Il y a 17 heures, pascal a dit : je note le canon revolver Millenium de 35 mm sur le toit hangar de la FREMM certains vont en mouiller leur slip ... Manquent quand même deux 20 mm en bordée et les Mica Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 26 avril 2018 Share Posté(e) le 26 avril 2018 Il y a 16 heures, pascal a dit : pour moi c'est l'avis d'un pro ... je note le canon revolver Millenium de 35 mm sur le toit hangar de la FREMM certains vont en mouiller leur slip ... Celui qui aurait pu mouiller son slip, Matthieu, il n'est plus là, il adorait le Millenium Oerlikon Contraves 35 mm vendus aux danois, colombien, et indonésiens. Mais les CIWS, tout comme l'artillerie principale LW 127/64 ou les VL Mica M, ce sont des systèmes d'armes proposés à l'exportation pour des clients éventuels d'époque de la FREMM, comme la Grèce, le Canada, le Brésil. Parfois comme celles vendues au Maroc ou à l’Égypte sont moins dotées, la FREMM égyptienne n'a que 16 missiles Aster 15 en silos, elle est dépourvue de MdCN, des brouilleurs JASS et du système Syracuse III qui équipent nos FREMM françaises. Les nôtres ont quand même fière allure, elles ne font pas des ronds dans l'eau, sont sea proven, et délivrent de l'armement. Quelques-unes depuis leurs MSA dans la MN Le 24/04/2018 à 12:14, g4lly a dit : En fait il ont fait un BBQ pour fêter le retour a Toulon [Mode humour] Naval Group/MBDA/DGA/EMA/Marine Nationale déconseillent en journée OFF, toutes les journées grillades sur la proue du navire laissant des traces de fumée sur les alvéoles, sur les silos. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 26 avril 2018 Share Posté(e) le 26 avril 2018 https://www.meretmarine.com/fr/content/toulon-florence-parly-sur-les-fremm-engagees-en-syrie Citation Possibilité de passer de 12 à 16 plateformes navales ???? 6 Fremm ASM plus peut être les deux FDA c'est 8 plateformes, mais il en manque 8 ? (pas de MdCN sur les FTI.) Don où ?FLF ? BPC ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yamato Posté(e) le 26 avril 2018 Share Posté(e) le 26 avril 2018 Il y a 1 heure, LBP a dit : https://www.meretmarine.com/fr/content/toulon-florence-parly-sur-les-fremm-engagees-en-syrie 6 Fremm ASM plus peut être les deux FDA c'est 8 plateformes, mais il en manque 8 ? (pas de MdCN sur les FTI.) Don où ?FLF ? BPC ? Dans l'article il est dit 6 FREMM ASM + 6 Barracuda + 2 FREMM DA + 2 Horizon. En comptant que pour ces 2 dernières des modifications sont bien sûr nécessaires. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 26 avril 2018 Share Posté(e) le 26 avril 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 27 avril 2018 Share Posté(e) le 27 avril 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ponto Combo Posté(e) le 27 avril 2018 Share Posté(e) le 27 avril 2018 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 27 avril 2018 Share Posté(e) le 27 avril 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 27 avril 2018 Share Posté(e) le 27 avril 2018 @ARMEN56 La Normandie avance A côté des morceaux de Gowing? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 27 avril 2018 Share Posté(e) le 27 avril 2018 il y a 17 minutes, Fusilier a dit : A côté des morceaux de Gowing? oui 2 PSIM Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
true_cricket Posté(e) le 27 avril 2018 Share Posté(e) le 27 avril 2018 Je n'ai pas compris pourquoi ils réutilisent le nom et le numéro de coque de la Normandie 1. A part induire ses propres marins en erreur sur l'age du navire ^^ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 27 avril 2018 Share Posté(e) le 27 avril 2018 Il y a 2 heures, Fusilier a dit : @ARMEN56 La Normandie avance A côté des morceaux de Gowing? Ici c'est le croiseur LM Normandy, la FREMM Marocaine et un CVN 75 USS Harry S Truman 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 27 avril 2018 Share Posté(e) le 27 avril 2018 Sans les brouilleurs elle à l'air à poil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 28 avril 2018 Share Posté(e) le 28 avril 2018 On 27/04/2018 at 8:42 PM, pascal said: Sans les brouilleurs elle à l'air à poil on leur a pas vendu les brouilleurs? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arka_Voltchek Posté(e) le 29 avril 2018 Share Posté(e) le 29 avril 2018 Non, et aux égyptiens non plus d’ailleurs Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 3 mai 2018 Share Posté(e) le 3 mai 2018 http://www.lepoint.fr/monde/syrie-les-secrets-de-l-operation-hamilton-02-05-2018-2215289_24.php Quelqu'un est abonné au Point pour avoir les détails? 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 3 mai 2018 Share Posté(e) le 3 mai 2018 4 hours ago, hadriel said: http://www.lepoint.fr/monde/syrie-les-secrets-de-l-operation-hamilton-02-05-2018-2215289_24.php Quelqu'un est abonné au Point pour avoir les détails? hélas non :( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
2020 Posté(e) le 3 mai 2018 Share Posté(e) le 3 mai 2018 Un sous-marin j arrive à comprendre. Mais une fremm comment on peut l empêcher de tirer? Les russes n auraient pas riposté, et ni pris le risque d entrée en collision ? Je me trompe ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arka_Voltchek Posté(e) le 3 mai 2018 Share Posté(e) le 3 mai 2018 Se mettre sur la trajectoire des missiles suffit à empêcher le tir. Trop de risques d’accident. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 3 mai 2018 Share Posté(e) le 3 mai 2018 Les paramètres NAV doivent intervenir qq part dans l’équation d’engagement de tir………. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
neoretro Posté(e) le 3 mai 2018 Share Posté(e) le 3 mai 2018 il y a 28 minutes, Arka_Voltchek a dit : Se mettre sur la trajectoire des missiles suffit à empêcher le tir. Trop de risques d’accident. Ou peut-être que tirer sous le nez des russes exposait à un risque que l'on ne voulait pas prendre. En effet leur ambassadeur au Liban avait laissé entendre qu'ils détruiraient les vecteurs de lancer de missiles avant que la Russie se ravise et fasse baisser la pression en disant que c'était une erreur de traduction de l'Arabe. En tout état de cause, ce motif d'absence de tir est de loin préférable à celui d'un bug informatique qui aurait touché 2 plateformes. On a joué à la guerre avec les russes, dans un vrai conflit ont aurait peut-être dû protéger la FREMM soit en abandonnant le tir soit en attaquant l'ennemi. Là on ne voulait pas couler les navires russes et on ne pouvait pas non plus tirer sous son nez pour ne pas provoquer. C'est plutôt finement joué. A ce niveau la FREMM s'en sort bien, avec 3 bateaux on en place 2 en position de tir et le troisième promène l'ennemi... si on débugue bien la plate-forme elle redevient particulièrement efficace/rentable et on a de quoi rendre fou n'importe quel superpuissant. Bravo en tout cas pour la maîtrise de l'outil furtif longuement acquise et qui est sacrément efficace dans ce contexte mais le sera encore plus si un véritable conflit intervenait. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Philippe Top-Force Posté(e) le 4 mai 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 4 mai 2018 Le 03/05/2018 à 12:42, hadriel a dit : http://www.lepoint.fr/monde/syrie-les-secrets-de-l-operation-hamilton-02-05-2018-2215289_24.php Quelqu'un est abonné au Point pour avoir les détails? Syrie : les secrets de l’opération Hamilton Exclusif. C’est la France qui a piloté l’ensemble du dispositif aérien, le 14 avril. Par Guerric Poncet Citation Quelques jours avant les frappes contre le régime de Bachar el-Assad, sur la base américaine de Ramstein, en Allemagne, deux officiers français de l’armée de l’air foncent au quartier général de l’US Air Force en Europe. Dans leurs valises, les plans du raid aérien français en Syrie qu’ils doivent proposer aux Américains. Il faut faire vite : Donald Trump, Emmanuel Macron et Theresa May viennent de se mettre d’accord pour frapper ensemble, et il appartient aux militaires de régler les détails. Sur ordre de l’Elysée, les Français ont peaufiné leur scénario de rétorsion, dès le lendemain de l’attaque chimique du 7 avril à Douma, attribuée au régime de Bachar el-Assad, et ils ont déjà identifié la plupart des cibles. L’idée est d’envoyer de France une poignée d’appareils qui seront ravitaillés en vol et frapperont la Syrie, 3 500 kilomètres plus loin, sans faire escale : cinq Rafale équipés de dix missiles de croisière SCALP, quatre Mirage 2000-5 pour les protéger, deux avions radars Awacs et six avions ravitailleurs. Grâce à cette préparation avancée, l’armée de l’air obtient le commandement de tout le volet aérien de l’opération. Les Américains, dont l’essentiel de la force de frappe est maritime, greffent au raid français quelques chasseurs qui partent d’Aviano, en Italie, ainsi que deux bombardiers supersoniques B-1 et des avions ravitailleurs. Quatre Tornado britanniques rejoindront le dispositif au dernier moment puisqu’ils décollent de leur base d’Akrotiri, sur l’île de Chypre. Météo de l’espace Pour tirer des missiles, il faut tenir compte de la visibilité des satellites GPS qui survolent la région ciblée à l’instant T. Plus le missile capte de signaux de localisation, plus il frappe précisément. Le 14 avril, les conditions étaient optimales en Syrie, selon le patron du Centre opérationnel de surveillance militaire des objets spatiaux, le lieutenant-colonel Thierry*. Effet de saturation.« Nous avons d’abord élaboré ce raid comme une opération 100 % française, où nous allions frapper seuls, puis elle est devenue tripartite », raconte le général Jean-Christophe Zimmermann, commandant de la défense aérienne et des opérations aériennes, que nous rencontrons sur sa base de Lyon-mont Verdun. Malgré les quelques bâtiments et radômes qui dépassent de la colline, le cœur de cette base est situé 130 mètres sous nos pieds, dans une gigantesque installation souterraine, que l’on appelle ici pudiquement l’« ouvrage ». On y accède par un tunnel de plusieurs centaines de mètres. Sur 3 étages, l’armée de l’air a installé ses centres de décision cruciaux ; c’est de là que le général Zimmermann a commandé les avions français, américains et britanniques, le 14 avril. Le raid doit faire « face à un rideau de défenses sol-air intégrant des systèmes capables de prendre en charge plusieurs cibles en même temps, raconte le général, et nous avons cherché un effet de saturation, afin de maximiser les chances de nos armes de passer au travers ». Les missiles intercepteurs russes ne sont pas entrés en action, mais il fallait prévoir le pire : dans la région, « les Russes se sont déjà entraînés à intercepter leurs propres missiles avec leurs avions », poursuit le général Zimmermann. L’effet de saturation est décuplé par les quelque 85 missiles tirés par les navires et bombardiers américains, là où seize missiles français étaient prévus au total : huit pour les aviateurs, huit pour les marins. De leur côté, les Britanniques tirent huit missiles. L’avion radar Awacs est au cœur du dispositif tripartite. Deux des quatre Awacs français (un principal, un en soutien) rejoignent la zone et la surveillent pendant toute la durée du raid. L’appareil principal embarque un officier de la marine et un officier américain pour la coordination et, surtout, le colonel Julien*, qui porte, ce jour-là, la casquette de Haute Autorité de défense aérienne, c’est-à-dire l’officier clé de la mission : il donne le feu vert final pour les tirs. « Avec l’Awacs, nous voyons tout », confie cet homme, que nous rencontrons sur sa base d’Avord, dans le Cher. Le 14 avril, à peine arrivés au large de la Syrie, les Awacs français se découvrent un voisin : un A-50 Mainstay (Awacs russe) et son escorte,« restés sur zone pendant toute la durée des frappes », au beau milieu du canal de Syrie. Une façon de collecter des informations précieuses sur les Occidentaux. « Nous l’avons fait aussi sur eux », s’empresse d’ajouter le général Zimmermann. Pour limiter le flux d’informations récupéré par l’autre partie, « des mesures ont été prises sur nos bases, y compris contre ceux qui nous voient d’en haut », assure le général, évoquant les satellites espions russes, dont les heures de passage sont parfaitement connues. Ratés et incidents. Dans les Awacs français, l’ambiance est feutrée. « Chacun jouait sa partition, résultat d’un travail de préparation long et complexe », raconte le colonel Julien. Dans ses classeurs, le jour J, une vingtaine de « what if », des décisions prédéfinies si quelque chose se passe mal. Par exemple, si un avion ravitailleur n’est pas au point de rendez-vous ou si les Russes décident de réagir. Chaque décision est ajustée selon le risque admissible, une notion fixée au plus haut niveau. Comme c’est souvent le cas dans des opérations de haute importance, l’un des cinq Rafale français est en réserve, tout comme ses deux missiles SCALP. Les marins ont pour leur part prévu trois frégates multimissions (FREMM), dont une en réserve. Selon nos informations, les deux frégates principales doivent tirer huit missiles de croisière navals (MdCN), soit quatre chacune, et la FREMM de réserve se tient elle aussi prête à en tirer quatre. Mais, une fois l’opération lancée, les choses ne se passent pas comme prévu : l’attitude inamicale de deux navires russes présents dans la zone, dont la frégate de nouvelle génération « Amiral-Grigorovitch », empêche les marins français de tirer leurs missiles dans la fenêtre de tir d’une poignée de minutes. Résultat : seuls trois MdCN seront tirés. Un raté qui pousse les aviateurs à envoyer plus de missiles SCALP que prévu : neuf au lieu de huit. Mais pas dix, car eux aussi subissent un incident relativement rare : le dixième SCALP ne part pas du Rafale, qui s’en serait finalement séparé au-dessus d’une zone maritime déserte avant de rentrer en France. Les missiles tirés évoluent au ras du sol, peuvent suivre des traits de côte ou des vallées et zigzaguer avant de grimper au dernier moment, pour frapper la cible à la verticale. Les Russes ne réagissent pas : ils observent. « Ils ont fait savoir qu’ils étaient là et je pense que leur objectif était de nous dire : “On aurait pu, mais on a décidé de ne pas intervenir.’’ Ce qui est une posture plus forte que s’ils avaient laissé leurs avions sur le parking », analyse le général Zimmermann, qui évoque toutefois des brouillages et des actions cyber. Guerre électronique La Syrie est devenue ces derniers mois la « zone de guerre électronique la plus agressive de la planète »,selon le général Raymond Thomas, commandant des opérations spéciales américaines, qui s’exprimait le 24 avril au symposium Geoint, en Floride. « Nos ennemis nous testent tous les jours, ils coupent nos communications et désactivent certains de nos avions », a-t-il précisé, sans nommer les Russes. Pour les militaires, la mission est accomplie : l’objectif fixé par le politique a été atteint. Toutefois, cette opération illustre l’inquiétant durcissement de l’accès aux espaces aériens. Côté politique, on perd beaucoup d’énergie à camoufler des ratés qui, si regrettables soient-ils, ne sont pas rares lors de l’utilisation d’une nouvelle arme. Et les deux objectifs des frappes ont été atteints pour la France : d’une part, le message politique est passé, avec le soutien crucial des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne, sans lesquels l’opération aurait peut-être été techniquement réalisable, mais politiquement inimaginable. D’autre part, la France est bien entrée dans le club fermé des nations disposant de missiles de croisière opérationnels sur des navires, avec les Etats-Unis, la Russie et la Grande-Bretagne§ *A la demande des armées, nous ne citons que le prénom de certains militaires. 2 4 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 4 mai 2018 Share Posté(e) le 4 mai 2018 (modifié) Certains ici nous ont bien expliqué que les FREMM ont des capacités inédites de "guerre électronique", et que ce serait même leur atout majeur, en plus de leur capacité à travailler en réseau. Donc, il est raisonnable d'imaginer que les deux FREMM qui n'ont pas pu tirer leur MDCN, en raison du comportement des 2 frégates russes présentes sur zone, en ont profité pour enregistrer les fréquences (Radar & Radio), et les signatures (Radar, IR, voire acoustique...) des 2 navires russes en question, non ?? (Une aubaine réciproque, en somme...) Et une ch'tite question : à quelle distance des FREMM étaient les 2 navires russes, pour les gêner à ce point de renoncer à tirer leurs MDCN ? Si elles en étaient proches (disons à moins de 20 milles) comment connaissaient-elles la position exacte de nos FREMM, censées êtres furtives, et donc difficiles à détecter pour les avions de Patmar et les Awacs adverses ? (On l'avait donnée aux russes pour les amadouer, leur montrer qu'on ne cherchait pas à leur cacher le départ des frappes ?? Ou leurs moyens de reconnaissance maritime en Méditerrannée sont-ils si efficaces ?) Modifié le 4 mai 2018 par Bruno Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 4 mai 2018 Share Posté(e) le 4 mai 2018 Je rappelle que le MDCN est censé avoir un vol rasant - tant au dessus des reliefs que pendant son survol maritime. Ainsi, en "temps de paix", il est peut être préférable d'éviter toute situation conflictuelle, et donc toute pénétration d'un navire potentiellement hostile dans l'éventail délimité de part et d'autre de la trajectoire du missile. Ce serait bête de se retrouver avec un incident majeur parce qu'une frégate russe a un MDCN encastré dans la cheminée ... Ainsi, les manoeuvres des russes pour rentrer dans l'éventail potentiel semblent avoir reçu un succès partiel - et il n'est même pas nécessaire de savoir précisément d'où partira le missile. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 mai 2018 Share Posté(e) le 4 mai 2018 24 minutes ago, FATac said: Je rappelle que le MDCN est censé avoir un vol rasant - tant au dessus des reliefs que pendant son survol maritime. Ainsi, en "temps de paix", il est peut être préférable d'éviter toute situation conflictuelle, et donc toute pénétration d'un navire potentiellement hostile dans l'éventail délimité de part et d'autre de la trajectoire du missile. Ce serait bête de se retrouver avec un incident majeur parce qu'une frégate russe a un MDCN encastré dans la cheminée ... Ainsi, les manoeuvres des russes pour rentrer dans l'éventail potentiel semblent avoir reçu un succès partiel - et il n'est même pas nécessaire de savoir précisément d'où partira le missile. Les missiles tu programmes leurs missions comme tu veux ... si tu veux faire un transit initial en altitude pour gagner en portée il suffit de le demander au programmateur de mission ... J'ai beaucoup de mal avec l'attitude inamicale qui interdise un tir de missile ... sauf a craindre qu'ils soient intercepté très tôt dans le vol - interception simulé ou réel - par la frégate russe et qu'on ne souhaite pas laisser au russe l'occasion de s’entraîner a cette mission. En gros on s'interdit de tirer pour ne pas filer du rens' ... mais le tir reste possible ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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