pascal Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 J'ai fait des virées en Simca 1100 Môssieur avec un jean Levi's 501 un tee shirt blanc et des docksides ...Bon c'était il y a 25 ans mais bon ... ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 - Mario Draghi, nouveau président de la BCE.- Mario Monti, remplaçant de Berlusconi.- Lucas Papademos, remplaçant de Papandreou.Bref c'est Goldman Sachs qui est entrain de prendre le pouvoir politique.Je me doutais qu'on avait une Europe faite pour les banquiers mais là ils ne s'en cachent même plus. :O Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
roland Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 Chez moi voler quoique se soit c'est immoral, après je dis ça je dis rien :P voler l'état c'est pas voler : c'est mon grand père qui me l'a dit quand j'était petit (authentique :lol:) Dans un cas, fraude aux cotisation c'est pas du vol mais un manque a gagner. Dans l'autre cas, frauder les prestations, c'est du vol pur et simple et les sanctions ne devraient pas etre les meme du tout. Je vais me retrouver avec un control fiscal et social au c** si ça continue :-[ ;) mais bon messieurs, cherchez pas: j'ai jamais fraudé ni le fisc ni les sociaux de ma vie, en tout cas pas consciement, pour plein de raisons (notament que c'est trop compliqué, que je suis pas assez procédurier et la paperasse c'est pas mon truc), mais aucune raisons morale. Bref Le gouvernement réfléchit à rapprocher les règles d'indemnisation des fonctionnaires de celles en vigueur dans le privé mais se demande jusqu'où aller. http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/11/14/04016-20111114ARTFIG00572-administration-des-arrets-maladie-moins-genereux.php ah bon les indemnisations maladie des fonctionnaires c'était pas la meme que tout le monde ? on peut savoir la raison ? et faudrait avoir des scrupules moraux pour pas cotiser pour mieux loti que soit ! il y encore beaucoups de truc comme ça ? L'a fallu que le gouvernement soit aux abois pour qu'il commence a se bouger le c**. Celà étant on s'en doutait il y a que dans le noir que les français voient la lumière. Vive la crise de la dette !! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 fraude aux cotisation c'est pas du vol mais un manque a gagner. 1-Qui est compensé en ponctionnant un peu plus les autres cotisants 2- Le fraudeur fait usage de prestations pour lesquels des émoluments n'ont pas été versés puisque fraudés Ca reste donc juridiquement du vol Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 ah bon les indemnisations maladie des fonctionnaires c'était pas la meme que tout le monde ? on peut savoir la raison ? et faudrait avoir des scrupules moraux pour pas cotiser pour mieux loti que soit ! il y encore beaucoups de truc comme ça? T'es saoulant a ne vouloir rien comprendre ... les fonctionnaire ne sont pas indemnisé maladie en IJ par l'assurance maladie ... mais continue a être payé directement par leur employeur l'état, au titre de congé maladie ordinaire, congé longue maladie ou congé de longue durée ... donc la notion de carence lié au règlement de l'assurance maladie CNAV n'a pas lieu d'etre puisque tout simplement il n'en dépende pas. Il y a bien quelques cas ou les IJ sont versé par la CNAV et dans ce cas le règlement CNAV s'applique normalement avec les carence etc. A noter que les délai de carence sont pas les même selon les caisse d'assurance maladie ... en droit local Alsace Moselle, la carence est réduite a un jour seulement par exemple, pourquoi donc? parce qu'en pratique les caisse régionale d'assurance maladie sont indépendante et leur règlement peut tres bien varié d'une a l'autre même si on essaye autant que possible de faire que tous évoluent pareil. D'un certain coté t'as un petit coté stalinien a vouloir que tout le monde soit a la même enseigne obsessionnellement nan? :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 voler l'état c'est pas voler : c'est mon grand père qui me l'a dit quand j'était petit (authentique :lol:) Dans un cas, fraude aux cotisation c'est pas du vol mais un manque a gagner. Dans l'autre cas, frauder les prestations, c'est du vol pur et simple et les sanctions ne devraient pas etre les meme du tout. Les cotisations sont le salaire indirect de l'employé qui lui permet d'avoir accés à des droits à une retraite, un régime d'assurance santé etc etc, ça ne sert en aucun cas à faire vivre l'état : les frauder c'est aussi grave que ne pas verser à un emplyé son salaire ou ses heures sup........... Vu les sommes en jeu, les sanctions devraient être dissuasives ( prison, saisie sur les biens propres du gérant/PDG etc ) Tout comme frauder la TVA qui est un vol pur et simple du consommateur C'est ce genre de raisonnements qui a conduit en bonne partie la Grèce là où elle est avec une fraude estimée à environ 40/50 milliards par an !! ( c'est à dire presque aussi importante que chez nous pour un PIB X fois inférieur ) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 Les taux des emprunts italiens ont encore battu leur record aujourd'hui.http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20111114trib000663882/le-cout-de-financement-de-l-italie-s-envole.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 Les taux des emprunts italiens ont encore battu leur record aujourd'hui. C'était pire avant ... le 10 ans est monté a 7.16%! aujourdh'ui ca retombe a 6.392. Le petit souci c'est qu'il y a que le 10 ans qui retombe les maturités plus faible reste cheres, on est déjà a plus de 6% pour le 2 ans - par comparaison, sur le 2 ans, la france est a 1.54, l'Espagne a 4.6 et l'Allemagne a .... 0.32 :lol: -. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 Plus personne ne veut de titre de pays endetté. C'est normal. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 L'Allemagne a quasiment la planche à billets en fait. :lol:Acheter des obligations avec un taux si faible c'est comme si on laissait dormir son fric :lol: . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 Plus personne ne veut de titre de pays endetté. C'est normal. Explique moi alors pourquoi les investisseurs se ruent sur les emprunts d'état US et Allemand ... pays qui ont des taux d'endettement conséquent eux aussi ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 Les budgets Italiens actuels ne sont pas spécialement "laxistes".Ils font mieux que nous en termes de deficit. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 Les Etats-Unis maitrisent leur monaie et les allemands n'ont pas cor franchi le cap des 90% de PIB avec en plus la mise en place de mesure de réduction de la dette. Donc oui, on achette sur ces pays là.La Grèce, l'Italie, non. Et pour nous, cema devient plus dur. Il nous fait augmenter la rémunération de nos créanciers pour les intéresser. Donc les pays dettés n'intéressent plus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 C’est un peu la dernière notion financière à la mode, le nouveau critère nous définissant en tant que nation, l’ultime étalon de notre légitimité à ne pas simplement mettre la clé sous la porte comme nos cousins hellènes… A peine découvrons-nous que le triple A des agences de notation, plus que la Marseillaise ou le jambon-beurre, est le symbole de notre rang dans le monde, qu’il nous faut accepter qu’il n’est lui-même qu’un sous-produit du "spread" ― soit l’écart de taux d'emprunt sur les marchés entre nous et les Allemands. Tant que cet écart est faible, tout va bien : les investisseurs considèrent que nous sommes des gens de confiance, presque aussi respectables que des porteurs de culotte de peau bavarois et que, si nous dépensons plus que nous gagnons depuis trente-cinq ans, nous remboursons généralement nos dettes rubis sur l'ongle. Lorsqu’il est élevé, en revanche, c’est une autre paire de manches. Non seulement il nous faut payer plus cher l’argent que nous empruntons mais, en plus, il nous faut supporter l’arrogance d’Angela Merkel et de son ministre des Finances Wolfgang Schäuble ― un type pourtant capable d’égarer cinquante-cinq milliards d’euros sans que personne ne songe à modifier son "spread" personnel avec celui de François "Effraction" Baroin ! Un écart calculé en points de base Le pire, pour les ignorantus qui ne savaient pas que leur existence même dépendait de ce bidule jusqu’à la semaine dernière, c’est que l'écart de taux ne se calcule pas en pourcentages, un concept à peu près maîtrisé par tout un chacun depuis la sixième, mais en pompeux "points de base". Ainsi, le "spread" franco-allemand est désormais d'à peu près 170 de ces points de base, ce qui est un record depuis la création de l’euro et rend les investisseurs nerveux. Tiens, si vous en rencontrez un ces jours-ci, d'investisseur, vous ne pourrez que constater à quel point il est tendu et se met en boule pour un rien… Et encore, ce n’est rien en regard du "spread" avec l’Italie, dont les points de base sont tellement nombreux qu’ils ressemblent au score d’un match entre l’OM et l’Inter de Milan. Mais la preuve que le "spread" a définitivement renvoyé le triple A au rayon des critères économiques marginaux, c’est que le différentiel de taux entre les États-Unis, récemment dégradés en fanfare, et l’Allemagne est à l’avantage des premiers. Hum, si ça se trouve, perdre notre bonne note est la meilleure nouvelle qui puisse être apportée aux types qui mettent de l’huile dans le moteur franco-allemand... Le CDS au placard Un qui doit faire la gueule dans son coin, c’est le CDS. Pas le Centre des Démocrates Chrétiens, qui n’est plus que l’ombre de lui même depuis bien longtemps, mais le "Credit Default Swap", c’est à dire le "coût de la couverture contre le risque de défaut sur la dette des États". Souvenez-vous, il y a encore quelques semaines, lorsque David Pujadas et Claire Chazal en étaient encore à se familiariser avec le "s" du possessif dans Standard & Poor’s, on a bien cru qu’il allait s'imposer (incidemment, il se mesure également en points de base, cet animal). Tu parles ! Plus personne n’en cause, du CDS… D’un autre côté, le "spread" ferait mieux de se méfier. Si le remplacement de Berlusconi par Monti rassure suffisamment les marchés pour qu’il se resserre, un autre bidule prendra vraisemblablement sa place pour nous redonner un bon coup de pression. J’ai bien quelques idées, mais ce serait spéculer et la spéculation, c’est vraiment pas le moment… http://www.atlantico.fr/decryptage/spread-france-allemagne-triple-223287.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 L’Union Européenne est actuellement la principale puissance du monde. Son revenu moyen par tête est le second derrière les Etats-Unis, si l’on ne tient pas compte des petits pays. Malheureusement c’est une confédération plutôt lâche caractérisée par cette maxime qui définit la position allemande. L’Allemagne veut conserver l’euro, mais se refuse à toute solidarité européenne. Face à cette curieuse structure, la crise grecque a servi de révélateur. Cela a permis toutes les divagations possible. La Grèce allait-elle entraîner : - la fin de l’Europe ? - la réduction de l’Euroland par la sortie de certains pays débiteurs ? - le départ des pays du Nord solidaires de l'Allemagne ? - la ruine de l’Europe avec comme corollaire celle du reste du monde ? Pour sortir des divagations journalistiques, il faut essayer d’analyser les conséquences de deux principales hypothèses sérieuses : la Grèce quitte la zone Euro et, au nom du désir de sauver l’Europe, on renfloue le reste de la dette grecque. La Grèce sort de la zone euro Dans ce cas, la spéculation accélère l’attaque des monnaies des pays du Sud (le Portugal, l'Espagne, l'Italie et la France). Prenons le cas italien. Sa dette de 120% du PIB dure depuis 1993 sans avoir provoqué la moindre réaction défavorable des marchés. Simplement on n’avait pas encore mis au point des techniques déstabilisatrices comme les CDS (Credit Default Swap ou contrats de protection financière entre acheteurs et vendeurs ndlr) ou les CFD (Contrats de différence, qui stipulent que l'acheteur encaissera la différence entre la valeur de l'actif au moment de sa vente et sa valeur au moment du contrat ndlr). De même, l’endettement français est très voisin de celui de l’Allemagne (89 et 84 % du PNB) et personne n’ose s’attaquer à l’économie allemande. Le critère important est en fait celui de l’endettement envers les autres pays et en particulier les Etats-Unis. Ainsi la France est spécialement vulnérable car le plus gros de l’endettement de ses banques se fait auprès des institutions américaines. Or il y a, depuis le mois d’août, une panique aux Etats-Unis concernant l’Europe. Ils découvrent la vulnérabilité de l’euro. Aussi, la plupart des banques américaines refusent désormais de faire aux Européens des prêts à plus de huit jours. A titre d’exemple de ce désenchantement à l’égard de notre continent, on peut citer le cas d’une des principales faillites récentes de l’Amérique : la société M.F.Global dont le président avait fait le choix d’investir principalement en obligations européennes. Son échec sonne le glas de la pensée de ceux des Américains qui ont cru à l’Europe unie. La Banque centrale est alors obligée d’intervenir et d’assurer la relance économique. La fédération de la zone euro se fait, ou l’Allemagne se retire, et entre dans une crise majeure tandis que l’Europe du sud, dévaluant ses monnaies dans un monde de "dévaluations compétitives", profite au maximum de cette situation. Aussi, on peut être sûr que les Allemands qui sont d’assez bons économistes accepteront sans enthousiasme la première solution. On renfloue le solde de la dette grecque Dans ce cas, on accepte une forte émission monétaire, soit par une décision de la Banque centrale, soit par des accords intra-européens permettant l’augmentation de l’endettement des différents pays Allemagne comprise. Dans les deux cas, la relance de l’Europe se réalise. Le problème est alors de savoir comment gérer la contrepartie de la création monétaire. Si l’on continue une politique de sagesse en réduisant, en même temps les dépenses de gestion des pays, on peut assurer un fort redressement européen et par conséquent un développement accéléré de la situation mondiale. La crise grecque et ses avatars est une bonne leçon pour les pays européens (et surtout ceux de la zone euro) pour comprendre que l’on doit aller vers un système à l’américaine où chaque état se gère mais est solidaire dès que des difficultés se produisent. Cela demande certes une direction commune. Mais, si les Républicains gagnent les prochaines élections, le Président devrait devenir un simple coordinateur de la politique des états. Il n’est pas sûr que ce système ne se révèle pas excellent. C’est une évolution que l’on peut envisager pour la zone euro. Elle permettrait une relance importante d’autant que l’Europe n’a pas le handicap d’un marché hypothécaire totalement décomposé. S’il en est ainsi et si l’on contrôle la spéculation (en particulier des Flash Orders et des CDS). On pourrait penser que la crise grecque assurerait plutôt un essor mondial qu’une faillite internationale. http://www.atlantico.fr/decryptage/nouveau-gouvernement-grec-achever-europe-grece-jean-jacques-perquel-223289.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 BRUXELLES (Reuters) - L'incapacité de la France à apporter rapidement des ajustements à son économie est une grave source d'inquiétude et devrait de ce fait être un signal d'alarme pour la zone euro, lit-on dans une étude examinant la santé des 17 pays partageant la monnaie unique. Ce rapport, établi par le Conseil de Lisbonne, place la France au treizième rang du classement général relatif à la santé générale des pays, qui couvre des aspects tels que le potentiel de croissance, le taux d'emploi et la consommation. En matière de progrès accomplis dans la mise en oeuvre d'ajustements économiques, en particulier la réduction des déficits et la modération des coûts du travail, la France tombe à la quinzième place sur 17. Le rapport est susceptible d'alimenter les craintes de voir la France suivre le même chemin que l'Italie, l'Espagne, la Grèce, l'Irlande et le Portugal, des pays qui sont ou ont été dans l'oeil du cyclone des marchés financiers et ont confrontés à des coûts de financement de la dette insupportables. Le rendement des obligations françaises à dix ans a atteint 3,46% lundi, ce qui représente un écart de 163 points de base par rapport aux Bunds allemands - un niveau proche d'un plus haut record depuis la création de la zone euro. "Parmi les six pays de la zone euro qui ont une note "AAA", la France est de loin la plus mal classée dans le bilan de santé général établi par l'étude", souligne le Conseil de Lisbonne, un cercle de réflexion basé à Bruxelles, dans un document de 75 pages appelé "Euro Plus Monitor". "Les résultats ne sont pas assez bons pour un pays qui veut conserver sa place dans l'élite (...) des signaux d'alarme devraient sonner pour la France." LA FRANCE PLUS PROCHE DE L'ITALIE QUE DES AUTRES "AAA" Dans le classement général, la France est juste au-dessus de l'Italie, du Portugal et de la Grèce, mais se retrouve derrière l'Espagne, la compétitivité et la viabilité budgétaires étant pointés comme deux problèmes importants. En termes de sa capacité à ajuster sa politique, la France est à un classement inférieur à celui de la Belgique, seules l'Allemagne et l'Autriche étant moins bien classés qu'elle. Ceci étant dit, Berlin et Vienne, contrairement à Paris, ont déjà fait les ajustements nécessaires, poursuit le Conseil de Lisbonne dans son étude. "Des pays fondamentalement en bonne santé comme l'Allemagne n'ont pas vraiment besoin d'ajustements. Mais pour un pays ayant d'importants problèmes comme la France, l'absence de capacité d'ajustement est source d'inquiétude." "Dans la plupart des critères utilisés pour mesurer le progrès dans l'Euro Plus Monitor, la France se retrouve avec des scores plus proches de ceux de l'Espagne et de l'Italie que ceux des autres pays AAA comme l'Allemagne, l'Autriche et les Pays-Bas." Le rapport souligne les craintes de voir les réformes économiques dont la France a besoin ne pas être mises en place avant les élections présidentielles du printemps prochain. "La France doit limiter les dépenses de l'Etat, améliorer les perspectives en matière d'éducation, notamment pour sa population d'origine immigrée et mieux utiliser sa force de travail très qualifiée", lit-on encore dans le rapport. Ce dernier place l'Estonie en tête du classement général en matière de santé et de celui mesurant les capacités d'ajustement des pays. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 Mais qu'est ce qui se passe avec la "force de travail très qualifiée" (ingénieurs, scientifiques, etc.) pour qu'elle soit mal utilisée ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 Ben déjà on dit aux diplômés étrangers formés en France: "rentrez chez vous" çà commence par là.Va aux USA ce n'est pas vraiment pareil les compétences quelles qu'elles soient sont utilisées et si tu dispose d'un potentiel intéresssant tu décroche ta carte verte sons grande difficulté. J'ai au moins un bon exemple autour de moi et en plus dans un domaine qui n'a rien à voir avec l'ingéniérie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 Mais chez nous qqn. de très qualifié va être sous-employé dans le sens ou Pôle emploi va lui demander de faire des boulots sous-qualifié ? On pourrait voir un ingénieur à la caisse d'un supermarché par exemple ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 Mais chez nous qqn. de très qualifié va être sous-employé dans le sens ou Pôle emploi va lui demander de faire des boulots sous-qualifié ? On pourrait voir un ingénieur à la caisse d'un supermarché par exemple? Je penses que le conseil machin conseil a la frane de se spécialiser dans les produit et service de haute qualité et de ne pas essayer de concurrencer les produit moyenne gamme produit a tres bas cout au bout du monde. On a un grooooooos probleme de placement produit. En France on produit des truc, puis on essaye de les vendre! Ailleurs les mec cherche ce qui va interesser - voire ce qui va etre indispensable - a des client solvable demain, et se mettent a le produire, forcément ca marche mieux dans ce sens. Le gros souci c'est que les français ne joue plus le jeu de prescripteur de la qualité française ... Pendant longtemps avoir une voiture française, des chaussure française, des robes française, c'était le summum de la classe. Aujourd'hui c'est fini ce bonus hérité du talent de nos ingénieur et créateur des année d'avant, il faut innover sérieusement, redevenir prescripteur de technologie, donner l'envie. Le souci c'est qu'on est un pays de plus en plus réac, de plus en plus "vieux", et de moins en moins pétillant, vu comme progressiste et trendy! Suffit de voir comment on s'emmerde a Paris ... alors que pendant longtemps c'était la capital de la fete de l'art de la culture. Maintenant c'est devenu la ville la plus chiante d'Europe, une sorte de gigantesque maison de retraite pour vieux cons blindés. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 Maintenant que les gens ne veulent plus rouler français je peux comprendre : Mes parents ont eu une Renault Espace --> de la merde. Une amie à un Renault Scénic --> de la merde.Une connaissance à eu une Peugeot 607 --> de la merde.En automobile il n'y a que pour les tarifs que les Français osent s'inspirer des allemandes !Sinon oui, la France devient un pays de vieux, l'innovation et la nouveauté ne sont pas encouragées et ce sont les "vieux" qui sont aux commandes du navire dans tous les domaines : politique, dans les industries, etc. Il y aussi un certain dédain ou condescendance pour les plus jeunes de la part des aînés qui savent tout, connaissent tout,... Ça se sent fort. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 Maintenant que les gens ne veulent plus rouler français je peux comprendre : Mes parents ont eu une Renault Espace --> de la merde. Que reproches tu aux Renault Espace? a par le prix... Une amie à un Renault Scénic --> de la merde. La aussi c'est quoi le probleme, le scenic est plutot une bonne voiture. Une connaissance à eu une Peugeot 607 --> de la merde. J'ai roulé longtemps une 607, avec grand plaisir ... aucun souci particulier, équipement pléthorique tarif contenu, entretien sans souci, finition suffisante. Alors oui une A6 aurait fait aussi bien mais deux fois plus cher ... avec la différence je prefere m'acheter quelques jolies montre, un spad au tarif indescent et autres babioles :) En automobile il n'y a que pour les tarifs que les Français osent s'inspirer des allemandes ! Le mythe du canon Krupp. LA seul marque Allemande qui mérite sur toute sa gamme le tapon super fiabilité, c'est Porsche. Pour le reste tu n'es absolument pas a l'abri de multiple souci, surtout sur les modele grand public. Chez Audi par exemple, les moteur entrée milieur de gamme sont d'une fiabilité treeeeeees relative :lol: JE ne parle meme pas du cout de l'entretien, stratosphérique. Coté tarif les allemande a équipement égale sont treeeeeeeeeeeeeees au dela des modele francais. Seul VW arrive a contenir les prix sur ses petit modèle phare moyen quelques petite concession d'équipement. Sinon oui, la France devient un pays de vieux, l'innovation et la nouveauté ne sont pas encouragées et ce sont les "vieux" qui sont aux commandes du navire dans tous les domaines : politique, dans les industries, etc. Il y aussi un certain dédain ou condescendance pour les plus jeunes de la part des aînés qui savent tout, connaissent tout,... Ça se sent fort. Le problème n'est pas tant l'age, que l'état d'esprit, y a des jeunes "vieux con" plus en France qu'ailleurs... c'est assez terrible. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 paf ! http://fr.finance.yahoo.com/actualites/Le-FMI-met-garde-Chine-reuters_molt-3758720620.html?x=0 La Chine s'expose à des bulles spéculatives et ses banques commerciales pourraient accuser un effondrement systémique si le pays était frappé par un choc combiné sur le crédit, l'immobilier, les changes et les taux, met en garde le Fonds monétaire international. Mais Pékin peut contenir ces risques en libéralisant ses marchés financiers pour accorder plus d'autonomie aux investisseurs, aux banques commerciales et à la banque centrale, précise le FMI dans ce qui constitue son premier rapport jamais rendu sur le système financier chinois. Ce rapport, complété en juin et publié mardi, contient 29 recommandations clés. Il n'anticipe pas de désastre imminent mais recommande à la Chine d'agir rapidement. "La configuration actuelle de politiques financières encourage une épargne importante, des niveaux structurellement élevés de liquidités et le risque marqué de mauvaises affectations du capital et de bulles d'actifs, en particulier dans l'immobilier", écrit le FMI. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 En automobile il n'y a que pour les tarifs que les Français osent s'inspirer des allemandes ! Pour avoir ete proche de mettre 36.000 euros dans une Citroen, je peux t'assurer que je n'ose meme pas parler du prix d'une audi equivalente. Sinon oui, la France devient un pays de vieux, l'innovation et la nouveauté ne sont pas encouragées et ce sont les "vieux" qui sont aux commandes du navire dans tous les domaines : politique, dans les industries, etc. Il y aussi un certain dédain ou condescendance pour les plus jeunes de la part des aînés qui savent tout, connaissent tout,... Ça se sent fort. Tout a fait, PSA (pour rester dans les voitures) en cas de risque sur le marche, en general, le service de R&D est toujours un des premiers a voir des gens vire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 Etre jeune n'est pas une vertu en soi (pas plus qu'être vieux d'ailleurs) Le vrai problème en France ce n'est pas le jeunes/vieux; le vrai problème est que nous sommes une société bloquée par «l'aristocratie républicaine» et son système de reproduction… Pour le reste, que voulez-vous on n’est pas dans le rationnel, les gens acceptent de payer plus cher un véhicule fabriqué à 80% dans les pays de l’Est mais estampillé Made in Allemagne… Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés