BPCs Posté(e) le 21 octobre 2009 Share Posté(e) le 21 octobre 2009 Mais Porte-aéronefs c'est pas mal byzantin : étymologiquement, cela emporte des machins qui volent telles de gracieuses nefs dans les airs :lol: donc un PA fait partie des porte-aéronefs...Sauf que ésotériquement, pour les initiés que nous sommes tous ici, à travailler à l'amélioration de l'a Royal, on a tous compris qu'un porte-aéronef est une sous-race de PA, beaucoup moins capable qu'un vrai PA...Ce qui montre bien qu'on se goure une fois de plus :(on se goure d'abord quand on croit que le PA coute cher, alors que c'est son groupe embarqué qui coute)Et là on se goure en faisant porter à une catégorie de navire à pont coutinu la responsabilité des performances médiocres des appareils qu'il embarque...la classif moderne devrait être petit ou grand porte- aéronefs.D'ailleurs l'anglais est pour une fois plus précis :aircraft carrier ne précise pas si il s'agit de ''fixed wings'' ou de ''rotary wings'' aircraft. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 21 octobre 2009 Share Posté(e) le 21 octobre 2009 Il me semble que la classification aujourd'hui la plus pertinente serait celle que tu emploies souvent et qui aujourd'hui devient de plus en plus actuelleporte-avions à catapultesporte-avions à tremplinporte-aéronefs (pont-plats continus ou discontinus -avant arrière séparé par un château-sans catapultes ni tremplin)porte-hélicoptères (vaste pont plat arrière genre Minsk, Jeanne d'Arc, Vittorio Veneto) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 21 octobre 2009 Share Posté(e) le 21 octobre 2009 Lu lors de l'audition du CEMM M. Dominique Caillaud. La programmation des équipements prévoit-elle l’armement des BPC en moyens de défense anti-aérienne ? Il est nécessaire, pour le moment, de déployer des frégates anti-aériennes lorsque ces bâtiments sont envoyés dans des zones sensibles. Le modèle des forces résultant du Livre blanc comportait quatre BPC. Comme nous disposions de TCD relativement récents, la livraison de deux BPC avait été remise à plus tard, mais nous ne nous plaindrons pas du fait que le plan de relance ait accéléré le calendrier, bien au contraire : il est toujours préférable de disposer d’un parc aussi homogène que possible. Amiral Pierre-François Forissier.S’agissant de l’armement de ces BPC, la plus grande prudence me semble de mise : on ne peut pas se défendre contre les menaces aériennes sans disposer d’un système de défense complet. C’est pourquoi notre concept de forces navales comporte des bâtiments de protection spécialisés. Je n’imagine pas un seul instant de laisser un BPC sans couverture aérienne quand bien même il serait doté d’armes d’autodéfense. Nous ne pouvons pas courir de risque, surtout quand il y a des milliers de personnes évacuées à bord. Ce fut d’ailleurs la mauvaise surprise rencontrée lors de l’opération Baliste au large du Liban : les premiers renseignements dont nous disposions écartaient tout risque de tir de missile, si bien que le BPC était parti sans accompagnement ; quand nous avons appris que le Hezbollah disposait en réalité de missiles antinavires qu’il pouvait tirer depuis la terre, nous avons dû déployer très rapidement une frégate anti-aérienne. Le BPC est un bateau rustique et peu cher, qui correspond parfaitement à nos besoins. Comme il ne peut pas rester sans défense, nous sommes en train de l’équiper de moyens légers d’autodéfense, mais il n’est pas question d’aller au-delà, sans quoi nous en ferions un bateau ne correspondant plus à notre concept initial. En revanche, grâce aux capacités extraordinaires des frégates Horizon, nous disposerons d’une véritable capacité de défense anti-aérienne de théâtre. Le système d’armes embarqué ne sera pas pour le moment utilisable contre des missiles balistiques, mais ses performances pourraient lui permettre d’atteindre ultérieurement cet objectif s’il était fixé par l’autorité politique, comme ce fut le cas aux États-Unis. Ce serait alors une simple question de coûts et de délais. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 21 octobre 2009 Share Posté(e) le 21 octobre 2009 Comme il ne peut pas rester sans défense, nous sommes en train de l’équiper de moyens légers d’autodéfense, mais il n’est pas question d’aller au-delà, sans quoi nous en ferions un bateau ne correspondant plus à notre concept initial. C'est clair BPC oui Minsk non Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 21 octobre 2009 Share Posté(e) le 21 octobre 2009 Je réagis sur la citation de phîlou portant sur les HZN qui sont adoubées futur porteur d'ATBM, si...Mais si il faut en laisser une en piquet au large de qqpart, cela va devenir chaud pour escorter un GAN... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 21 octobre 2009 Share Posté(e) le 21 octobre 2009 Lu lors de l'audition du CEMM Amiral Pierre-François Forissier ..... Je n’imagine pas un seul instant de laisser un BPC sans couverture aérienne quand bien même il serait doté d’armes d’autodéfense. Nous ne pouvons pas courir de risque, surtout quand il y a des milliers de personnes évacuées à bord. Ce fut d’ailleurs la mauvaise surprise rencontrée lors de l’opération Baliste au large du Liban : les premiers renseignements dont nous disposions écartaient tout risque de tir de missile, si bien que le BPC était parti sans accompagnement ; quand nous avons appris que le Hezbollah disposait en réalité de missiles antinavires qu’il pouvait tirer depuis la terre, nous avons dû déployer très rapidement une frégate anti-aérienne. Le BPC est un bateau rustique et peu cher, qui correspond parfaitement à nos besoins. Comme il ne peut pas rester sans défense, nous sommes en train de l’équiper de moyens légers d’autodéfense, mais il n’est pas question d’aller au-delà, sans quoi nous en ferions un bateau ne correspondant plus à notre concept initial. En revanche, grâce aux capacités extraordinaires des frégates Horizon, nous disposerons d’une véritable capacité de défense anti-aérienne de théâtre. Le système d’armes embarqué ne sera pas pour le moment utilisable contre des missiles balistiques, mais ses performances pourraient lui permettre d’atteindre ultérieurement cet objectif s’il était fixé par l’autorité politique, comme ce fut le cas aux États-Unis. Ce serait alors une simple question de coûts et de délais. Effectivement, et l'amiral en ne citant que les "Horizons" semble avoir conscience qu'en attendant les FREMM seules ces 2 unités sont en mesure de protéger les BPC contre un tir de missile. Vaut mieux pas compter sur les deux F70 pour ça, elles detecteraient probablement le tir mais pour abattre la munition il n'y auraient que leurs lanceurs SADRAL en toute fin de parcours ... Le SM1 Tartar lui n'est plus valable que contre les avions pas trop modernes ni agiles genre Su 25, Mirage III ou F1, Northrop F5, Mig21, 23 ou 27 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 21 octobre 2009 Share Posté(e) le 21 octobre 2009 Le SM1 Tartar lui n'est plus valable que contre les avions pas trop modernes ni agiles genre Su 25, Mirage III ou F1, Northrop F5, Mig21, 23 ou 27 Tu peux rajouter les F16 et les Su 27 et 29 sans trop de contre mesures parce que face à un engin qui file à Mach 2 avec une CM de 115 kgs tu peut toujours virer court dans un rayon de 300 mètres tu es mort. Et tous ces avions équipent les 3/4 des forces aériennes du monde 90% de nos ennemis potentiels Les 614 ont encore de beaux jours devant elles Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 21 octobre 2009 Share Posté(e) le 21 octobre 2009 Tu peux rajouter les F16 et les Su 27 et 29 sans trop de contre mesures parce que face à un engin qui file à Mach 2 avec une CM de 115 kgs tu peut toujours virer court dans un rayon de 300 mètres tu es mort. Et tous ces avions équipent les 3/4 des forces aériennes du monde 90% de nos ennemis potentiels Les 614 ont encore de beaux jours devant elles Le probleme du tartar ce sont les attaques saturantes et les missiles anti navire tres manoeuvrant. Meme les divers upgrade du systeme ne change pas le fait qu'on ne peu illuminer que deux cibles a la fois, donc sauf a ce que l'ennemi soit complétement con ... il va user d'une tactique interdisant d'anticiper les tir avec du LOAL. Secondo on a des missile antinavire qui file quasiment mach 1 et qui manoeuvrent sous +10G au raz de l'eau ... et la je pense que le SM1-MR est un peu limite. Donc contre avions a priori c'est encore tres dangereux pour peu que ceux ci rentre dans les 50km ... contre missile antinavire moderne bien mis en oeuvre ... c'est probablement pas assez efficace pour protéger la frégate elle meme, et encore moins le reste de "l'escadre" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 21 octobre 2009 Share Posté(e) le 21 octobre 2009 là encore il faut déterminer qui aujourd'hui peut mener des attaques saturantes de ce genre ...Les syriens ,Les ghanéens ,Les iraniens Les Pakistanais ?Aujourd'hui non demain ou après demain peut être.Ce genre de mission est une affaire très délicate que peut de gens peuvent mener Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 21 octobre 2009 Share Posté(e) le 21 octobre 2009 Amiral Pierre-François Forissier.S’agissant de l’armement de ces BPC, la plus grande prudence me semble de mise : on ne peut pas se défendre contre les menaces aériennes sans disposer d’un système de défense complet. C’est pourquoi notre concept de forces navales comporte des bâtiments de protection spécialisés. Je n’imagine pas un seul instant de laisser un BPC sans couverture aérienne quand bien même il serait doté d’armes d’autodéfense. Nous ne pouvons pas courir de risque, surtout quand il y a des milliers de personnes évacuées à bord. Ce fut d’ailleurs la mauvaise surprise rencontrée lors de l’opération Baliste au large du Liban : les premiers renseignements dont nous disposions écartaient tout risque de tir de missile, si bien que le BPC était parti sans accompagnement ; quand nous avons appris que le Hezbollah disposait en réalité de missiles antinavires qu’il pouvait tirer depuis la terre, nous avons dû déployer très rapidement une frégate anti-aérienne. Le BPC est un bateau rustique et peu cher, qui correspond parfaitement à nos besoins. Comme il ne peut pas rester sans défense, nous sommes en train de l’équiper de moyens légers d’autodéfense, mais il n’est pas question d’aller au-delà, sans quoi nous en ferions un bateau ne correspondant plus à notre concept initial. En revanche, grâce aux capacités extraordinaires des frégates Horizon, nous disposerons d’une véritable capacité de défense anti-aérienne de théâtre. Le système d’armes embarqué ne sera pas pour le moment utilisable contre des missiles balistiques, mais ses performances pourraient lui permettre d’atteindre ultérieurement cet objectif s’il était fixé par l’autorité politique, comme ce fut le cas aux États-Unis. Ce serait alors une simple question de coûts et de délais. j'aimerais bien voir Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 21 octobre 2009 Share Posté(e) le 21 octobre 2009 j'aimerais bien voir On a pas revu Hilario depuis un moment, il a fait un tour sur les BPC ... et normalement l'intégration des 30 était en cours ... j'ai meme cru que c'était fait pour l'un. Ca plus deux simbab et quatre doucette, rien de plus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 22 octobre 2009 Share Posté(e) le 22 octobre 2009 Ce fut d’ailleurs la mauvaise surprise rencontrée lors de l’opération Baliste au large du Liban : les premiers renseignements dont nous disposions écartaient tout risque de tir de missile, si bien que le BPC était parti sans accompagnement ; quand nous avons appris que le Hezbollah disposait en réalité de missiles antinavires qu’il pouvait tirer depuis la terre, nous avons dû déployer très rapidement une frégate anti-aérienne C'est assez étonnant, si c'est vrai, de partir sur de tel a priori. Genre au large du Liban personne ne peut tirer sur nos bateau ... Vu la tronche du pays et le nombre d'acteurs troubles, j'ai du mal a comprendre qu'on puisse avoir quelconques certitutes sur les moyens de tout ces acteurs. D'autant que tirer sur un bateau on peut le faire de tout un tas de maniere et plein de bricolage différent, pas la peine d'avoir la panoplie complete d'une frégate Horizon !!! Bricoler un ATGM en anti-navire pour peu qu'on ait de l'aide extérieur c'est pas super sorcier, ca portera pas a 100km c'est sur mais ca suffira a foutre un beau bordel. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gerole Posté(e) le 22 octobre 2009 Share Posté(e) le 22 octobre 2009 J'ai peur que le BPC soit très vulnérable aux attaques lorsqu'il est à quai au Liban ou dans d'autres pays du même genre.J'espère que ces zones portuaires sont sécurisées pour éviter le départ de missile.D'ailleurs, je me demande si une frégate AA, elle aussi a quai ou non, pourrait faire quoique se soit, du fait du terrain/mode opératoire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
xav Posté(e) le 22 octobre 2009 Share Posté(e) le 22 octobre 2009 Il suffit de debarquer ''ceux qui faut pas faire chier et dont la reputation les precedes'' genre 1er RPIMA ou Hubert/Treppel... et on a la paix sur le quai Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 22 octobre 2009 Share Posté(e) le 22 octobre 2009 Il suffit de debarquer ''ceux qui faut pas faire chier et dont la reputation les precedes'' genre 1er RPIMA ou Hubert/Treppel... et on a la paix sur le quai Enfin n'importe quel balcon ou cour a 2 km a la ronde peut servir de poste de tir ... mortier ou ATGM, un bateau n'est jamais vraiment en sécurité dans un port civil en pleine ville ... surtout a Beyrouth ! Par contre il est probable que ce soit du petit missile et pas du gros :) Sans parler des plan genre camion piégé et autre ... barcasse piégé ... les bateaux c'est mieux en mer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aviapics Posté(e) le 27 octobre 2009 Share Posté(e) le 27 octobre 2009 Une petite question, peut etre debile...Dans quelle mesure de l'artillerie embarquée sur le pont d'un BPC pourrait servir a appuyer un debarquement ou une opération a terre?Possible?Les mouvements du pont rendraient probablement les tirs tres aleatoires... serait ce envisageable d'imaginer des plateformes stabilisées sur lesquelles installer ces canons? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Babou Posté(e) le 27 octobre 2009 Share Posté(e) le 27 octobre 2009 Il suffit de debarquer ''ceux qui faut pas faire chier et dont la reputation les precedes'' genre 1er RPIMA ou Hubert/Treppel... et on a la paix sur le quaimouaii...je préférerais pas trop essayer parce que avec les fous d'en face qui ont entendu allah sur internet ils seront capable de quand même aller testé la flotabilité du bateaux en essayant de faire un gros trou dans la carlingue aux prix de prendre une put**n de grosse rafale de plomb de la tête >:( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 27 octobre 2009 Share Posté(e) le 27 octobre 2009 Une petite question, peut etre debile... Dans quelle mesure de l'artillerie embarquée sur le pont d'un BPC pourrait servir a appuyer un debarquement ou une opération a terre? Possible? Les mouvements du pont rendraient probablement les tirs tres aleatoires... serait ce envisageable d'imaginer des plateformes stabilisées sur lesquelles installer ces canons? On en a longuement parlé sur le topic des AVT je crois ou peut etre ici. En dotation armée de terre on a uniquement les Leclerc qui sont stabilisé dynamiquement. Le VBCI c'est pas vraiment de "l'artillerie". Le reste nécessite une assise fixe pour stabiliser le tir. Donc pour tirer des munition classique seule le leclerc pourrait conserver sa prévision a condition que le débattement de la plateforme reste dans le champ du débattement du canon. Probleme le Leclerc ne peut pas monter sur le pont d'un BPC ni d'un TCD. Pour des munitions guidé par contre il y a possibilité que le guidage rattrape l'érreur de pointage moyennant une perte de portée lié au volume des correction a apporter. C'est envisageable par mer calme. Les MLRS par exemple pourraient acceder au pont d'un BPC via l'élévateur. Pour les Caesar c'est moins évident vu l'effort de recul. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SPARTAN Posté(e) le 27 octobre 2009 Share Posté(e) le 27 octobre 2009 L'autoprotection des Bpc en est ou? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aviapics Posté(e) le 28 octobre 2009 Share Posté(e) le 28 octobre 2009 Effectivement, je n'avais pas pensé au recul... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
xav Posté(e) le 28 octobre 2009 Share Posté(e) le 28 octobre 2009 L'autoprotection des Bpc en est ou? On y met un detachement SAMP/T sur le pont et le BPC devient une escorte de luxe pour le groupe CDG Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 29 octobre 2009 Share Posté(e) le 29 octobre 2009 On y met un detachement SAMP/T sur le pont et le BPC devient une escorte de luxe pour le groupe CDG Escorte de luxe qui se retrouve à la traine, 15 miles derrière, chaque fois que le PA se mettra vent debout pour envoyer ou récupérer une pontée. Oups ... :-[ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aviapics Posté(e) le 29 octobre 2009 Share Posté(e) le 29 octobre 2009 Escorte de luxe qui se retrouve à la traine, 15 miles derrière, chaque fois que le PA se mettra vent debout pour envoyer ou récupérer une pontée. Oups ... :-[ Ca s'appelle couvrir les arrieres, primordial!!! :lol: :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 29 octobre 2009 Share Posté(e) le 29 octobre 2009 dommage que le CDG ait une motorisation un peu juste*, sinon il restait toujours la possibilité de faire remorquer le BPC par le CDG. :lol:*vive l'Entreprise, le plus rapide de tous les porte-avions nucléaires jamais construit. :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arka_Voltchek Posté(e) le 30 octobre 2009 Share Posté(e) le 30 octobre 2009 *vive l'Entreprise, le plus rapide de tous les porte-avions nucléaires jamais construit. :lol: Tu parle duquel exactement ? : (je suis déjà dehors) @+, Arka Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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