C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 22 avril 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 22 avril 2023 Intéressant mais déjà au travers de la transparence (mentalité) américaine nous savions que LCS était un programme ambitieux MAIS « boiteux » . Un constat en une mise bout à bout de tous les problèmes rencontrés , on charge quand même la barque je trouve , l’officier en charge de cette analyse a t il commandé un LCS ? Avec 3000 tonnes à 40 nds et plus , on est forcément dans le semi planant et donc des contraintes de gestion de poids et des choix matériaux léger ( aluminium- avec de l’acier on ne faisait pas le navire dans cette épure là ) , un emport gasoil limité vu formes et conso , une autonomie « limitée » qui n’est pas celle d’une FS ( 3000 t / 20 nds/9000nm -15 nds/ 390 tonnes GO ) le lièvre et la tortue 40 nds en pointe et largement moins en croisière conduit à complexifier la propulsion avec risques indus …la cavitation des water jet existe aussi sur les soums et autres barcasses L’aluminium bah oui plus léger mais moins bonne tenue au feu , corrosion galvanique , fissures de fatigue …bref de l’inhérent alu , faut il pour autant le condamner en mili ? Rappel que les AE/ER et T47 avait leur superstructure en alliage léger Tout semble donc découler du 3000/40 nds ; qui fût à l’origine de cette exigence forte ayant conduit à ces solutions techniques plateforme mono et tri ; La Navy ? NAVSEA ? les indus ? Enseignement ; rester classique , étrave classique Navire acier à 355 Mpa ; coque compartimentée , coupe au maitre tenant compte risque fatigue Prop ; CODAD , CODLAD, COGAG 2 lignes d’arbres , hélice à pales fixes Un emport gazole en rapport avec une distance franchissable A/R sans ram Et en volume de quoi caser un système de combat polyvalent 3 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 24 juillet 2023 Share Posté(e) le 24 juillet 2023 Un LCS entre en service devient le premier bateau de l'US Navy à être mis en service hors des États-Unis : https://gagadget.com/fr/284717-luss-canberra-lcs-30-est-devenu-le-premier-navire-de-lhistoire-de-la-marine-americaine-a-etre-mis-en-service-a-letranger/ ....La cérémonie de mise en service de l'USS Canberra (LCS-30) a eu lieu le 22 juillet 2023, plus de trois ans après la construction du navire. Le navire a été baptisé en Australie au début de l'été 2021. L'USS Canberra (LCS-30) a été construit par la division américaine d'Austal Limited, une société australienne. Le navire est basé à la base navale américaine de San Diego, où il est arrivé pour la première fois le 22 juin de l'année dernière... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 24 juillet 2023 Share Posté(e) le 24 juillet 2023 Pas sur de comprendre ... C'est le lieux de la cérémonie hors USA qui est une toute première ? Vive Aukus ... Dans l'article : Citation L'USS Canberra (LCS-30) est équipé de quatre canons automatiques Mk 110 de 57 mm de calibre Confusion, il y a bel et bien qu'un seul 57mm 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) le 10 mars 2024 Share Posté(e) le 10 mars 2024 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. rogue0 Posté(e) le 17 mars 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 17 mars 2024 Le 10/03/2024 à 13:32, Lordtemplar a dit : (vidéo Perun de RETEX sur la cause des (désastres) des programmes LCS et DDX) Je viens de finir la longue vidéo (1h) de Perun. C'est plus instructif que prévu : en plus de la surenchère / saut technologique courant mais courant aux USA, il s'attarde longuement sur les autres causes : Mauvaise appréciation des risques (dont la maturité des technologies critiques) Mauvais cahier des charges initial du LCS Le besoin est sorti de wargames US sur des conflits contre l'Iran dans le détroit d'Ormuz ... Sauf que le cahier des charges s'est beaucoup éloigné des conclusions du wargame (on ne saura jamais pourquoi... ingérance des chantiers? ou du congrès?) Haute vitesse utile, mais pas aux dépend de la survivabilité ou de la fiabilité (35 noeuds auraient suffit) Armement trans-horizon utile (pas juste des canons de 57mm et hellfire...) Module remplaçables de mission : le wargame avait conclu que c'était peu utile in fine. Mieux valait plus de navires spécialisés (car les ports capables de changer les module seraient des cibles prioritaires) Navire LCS adaptés à une mission de niche, et avec peu de marge pour s'adapter à des changements de menace Pour les Zumwalt : erreur de spec. ça aurait été beaucoup mieux si le congrès avait demandé un navire capable de bombardement côtier (sans préciser si c'était des canons ou des missiles), plutôt que d'exiger uniquement des canons Personnellement, j'ajouterais la corruption, et surtout, l'absence de véritable adversaire pendant 20 ans. Sans vrai menace à l'horizon, la doctrine et la R&D tournent en rond et brûlent de l'argent sans objectif clair. Alors que les chinois eux, avaient l'avantage des suiveurs : un adversaire à rattraper et à contrer, ce qui aide pour concentrer leurs efforts. (+la R&D qui est bien moins chère quand la faisabilité est déjà prouvée ... sans parler de l'espionnage) 2 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 18 mars 2024 Share Posté(e) le 18 mars 2024 Il y a 12 heures, rogue0 a dit : Mauvais cahier des charges initial du LCS Le besoin est sorti de wargames US sur des conflits contre l'Iran dans le détroit d'Ormuz ... Mais au final ils s'éloignent des USA ces bâtiments ? Parce que je comprends pas ce besoin alors qu'au final ça ressemble vachement à des patrouilleurs côtiers Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 18 mars 2024 Share Posté(e) le 18 mars 2024 Il y a 2 heures, clem200 a dit : Mais au final ils s'éloignent des USA ces bâtiments ? Il y a d'autres littoraux que les USA ?! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 18 mars 2024 Share Posté(e) le 18 mars 2024 Il y a 3 heures, clem200 a dit : Mais au final ils s'éloignent des USA ces bâtiments ? Oui ils effectuent leurs traversées océaniques en pontée sur des navires de transport lourd de ce genre, ici l'USS Cole 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 18 mars 2024 Share Posté(e) le 18 mars 2024 (modifié) Il y a 17 heures, rogue0 a dit : Alors que les chinois eux, avaient l'avantage des suiveurs : un adversaire à rattraper et à contrer, ce qui aide pour concentrer leurs efforts. (+la R&D qui est bien moins chère quand la faisabilité est déjà prouvée ... sans parler de l'espionnage) Position connue dans l'industrie du "fast follower", qui épargne beaucoup de R&D en "singeant" que les bonnes choses. Le tout étant de bien gérer l'écart techno, et le temps qu'il faut pour "rester dans l'aspiration" du leader. Et là, avec de bons moyens d'espionnage d'état, ça aide.... Modifié le 18 mars 2024 par Eau tarie 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 20 août 2024 Share Posté(e) le 20 août 2024 Gentil documentaire américain doublé en français qui fait une gentille synthèse de ce que sont devenues les LCS: J’ignorais qu’il était possible d’installer jusqu’à 12 mk41 strike lenght sur le pont aéro de ces barques. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) le 20 août 2024 Share Posté(e) le 20 août 2024 il y a 34 minutes, Hirondelle a dit : Gentil documentaire américain doublé en français qui fait une gentille synthèse de ce que sont devenues les LCS: J’ignorais qu’il était possible d’installer jusqu’à 12 mk41 strike lenght sur le pont aéro de ces barques. Le plus grand jet-sky du monde avec un canon de marine ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 21 août 2024 Share Posté(e) le 21 août 2024 à 2'50'' j'aime beaucoup l'eau sous pression qui remonte sur la plage avant par les écubiers des ancres ... Citation "Ces navires peuvent se déplacer si rapidement qu'ils sont dotés d’essuie-glaces puissants sur les vitres de leur passerelle ..." ah ben ça alors ! Citation "canon de gros calibre de 57 mm" 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 21 août 2024 Share Posté(e) le 21 août 2024 Des choses très intéressantes ; je revisionnerai en mode lent... Ok pour la TAG /RR /777 ; sans faire le dos argenté en tambourinant , en terme d’innovation nous sommes passés avant en marinisant l’ATAR 8 de la SECMA pour en faire la TAG M38 du BALNY Les TAG sont logés dans une boite ( enclosure) insonorisée et doté d’un système d’extinction dédié ( CO2 de mémoire pour les TAG/FDA L’acier antidéflagrant ?? çà n’existe pas ; on parle de terme antidéflagrant ADF pour du matériel électrique en ambiance explosive susceptible d’initier s’il n’est pas à sécurité intrinsèque , aujourd’hui on parle de ATEX . En revanche on des nuances d’aciers blindés ABN ( acier blindé naval) Marier fonctionnellement une TAG à 3000/5000 rpm avec un diesel à 1000 rpm suppose , dans ces puissances à faire passer , de concevoir un réducteur spécifique trèèèèès compliqué , faut pas se planter …. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 21 août 2024 Share Posté(e) le 21 août 2024 il y a 13 minutes, ARMEN56 a dit : Marier fonctionnellement une TAG à 3000/5000 rpm avec un diesel à 1000 rpm suppose , dans ces puissances à faire passer , de concevoir un réducteur spécifique trèèèèès compliqué , faut pas se planter …. Les Tag comme tu dis, c'est toujours le réducteur la difficulté (et les flux d'air et de chaleur) A ma connaissance, un Water jet tournera toujours un peu plus vite qu'une hélice pour la même gamme de puissance. Donc c'est plutôt un poil plus simple puisque le rapport de réduction sera un poil moins extrême. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 21 août 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 21 août 2024 Il y a 1 heure, Eau tarie a dit : Les Tag comme tu dis, c'est toujours le réducteur la difficulté (et les flux d'air et de chaleur) A ma connaissance, un Water jet tournera toujours un peu plus vite qu'une hélice pour la même gamme de puissance. Donc c'est plutôt un poil plus simple puisque le rapport de réduction sera un poil moins extrême. Alors pour en revenir au blindage du capotage TAG/RR ; le locuteur en parle , çà semble cohérent en regard de la tactique d’emploi du canote qui est la vitesse . Donc on en terme de vulnérabilité on protège les TAG comme elles étaient des soutes à munitions ; car si les TAG kaput , le drapeau blanc suffira pas , ça topolise ….donc on blinde la source énergétique Oui , les TAG accouplées sur WJ ( tableau arrière en butée qui prend la charge structurelle ) ; c’est du rpm LA , mais peu de couple donc gaffe , pas d’inertie ….etc , j’ai de la biblo NGV là-dessus je regarderai car pour l’heure ,et depuis peu, suis en mode peinture des intérieurs programmé par mon épouse , avec marge de manœuvre ..................epsilon 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 21 août 2024 Share Posté(e) le 21 août 2024 (modifié) J'ai passé le testeur d'épaisseur de revêtement à ta femme. Fait pas le con sur le nombre de couches ! Modifié le 21 août 2024 par Eau tarie 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 21 août 2024 Share Posté(e) le 21 août 2024 Toutes les mêmes tu discutes 3 minutes tu te retrouves avec une semaine de boulot ... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 23 août 2024 Share Posté(e) le 23 août 2024 (modifié) Vue d’ensemble de Cinématique de la propulsion des LCS monocoques constituée de 2 ensembles séparés Vue du groupe bâbord La transmission de puissance des sources énergétiques vers les WJ s’effectue d’abord via 2 attaques réducteur ; - une attaque diesel - Une attaque TAG ; c’est sur cette ligne GV ( grande vitesse ) que des problèmes graves (*)de tenue de roulement ont été constatés ( LCS bridés en mode diesel + indispo de la flotte class freedom) Un dispositif de clutchage doit permettre soit le mode TAG soit le mode diesel ou les deux . La ligne d’arbre en sortie du réducteur primaire attaque le réducteur secondaire situé dans un compartiment séparé . Cet ensemble distribue la puissance aux WJ , l’un booster l’autre orientable faisant safran également équipé d’un obturateur pour le crash stop . https://news.usni.org/2021/11/17/cno-first-combining-gear-fix-completed-on-freedom-class-lcs-minneapolis-saint-paul (*) Soucis réducteur mais aussi soucis de cavitation des turbines des WJ + corrosion galvanique ( alu) + fissures de coque ; bref un bon lot d’emmerdements ….. Modifié le 23 août 2024 par ARMEN56 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 23 août 2024 Share Posté(e) le 23 août 2024 Il y a 3 heures, ARMEN56 a dit : Vue d’ensemble de Cinématique de la propulsion des LCS monocoques constituée de 2 ensembles séparés Vue du groupe bâbord La transmission de puissance des sources énergétiques vers les WJ s’effectue d’abord via 2 attaques réducteur ; - une attaque diesel - Une attaque TAG ; c’est sur cette ligne GV ( grande vitesse ) que des problèmes graves (*)de tenue de roulement ont été constatés ( LCS bridés en mode diesel + indispo de la flotte class freedom) Un dispositif de clutchage doit permettre soit le mode TAG soit le mode diesel ou les deux . La ligne d’arbre en sortie du réducteur primaire attaque le réducteur secondaire situé dans un compartiment séparé . Cet ensemble distribue la puissance aux WJ , l’un booster l’autre orientable faisant safran également équipé d’un obturateur pour le crash stop . https://news.usni.org/2021/11/17/cno-first-combining-gear-fix-completed-on-freedom-class-lcs-minneapolis-saint-paul (*) Soucis réducteur mais aussi soucis de cavitation des turbines des WJ + corrosion galvanique ( alu) + fissures de coque ; bref un bon lot d’emmerdements ….. Ils se sont bien compliqué la vie quand même On sent que côté cahier des charges / client Navy, il devait y avoir de sacrés sculpteurs de fumée ! A pas faire de compromis sur leurs besoins au fur et à mesure de l'avancement du projet et de la réalité des choses. A mon sens, et parceque j'aime les choses simple (c'est mieux pour mon petit cerveau) : tu foutais les TAG sur les booster centraux, chacun son réducteur et en avant Simone ! T'économisais un paquet de fric et de masse de réducteur (au détriment d'un peu moins de souplesse en particulier en cas d'avarie). Mais même avec un Diesel "dans le sac", tu pouvais toujours gérer ta giration en jouant sur les effets de couples. Forcément en reverse et crash stop, avec un diesel en moins ça serait pas foufou. Mais bon. Faire les bons choix pour garder une architecture simple permet dans les faits d'être beaucoup plus fiable, même si sur le papier tu as des cas un peu "tordu". A la limite, pour simplifier la vie de la passerrelle, tu programmé les cas d'avarie directement dans le module de pilotage vectoriel des moteurs / waterjet. Tu pars sur des paramètres un peu "généraux", et quand le premier navire est à l'eau, tu "joues" le test de chaque moteur en panne, avec le mode de pilotage dédié dans l'automate. Et tu ajustes tes paramètres à la réalité du navire. ça me parait pas dément vu que le waterjetiste vient déjà faire la finalisation des paramètres de pilotage sur le navire. Là, ils ont du prendre du poids tout le long de l'étude et de la réalisation, et du coup les waterjet doivent pousser plus que prévu pour une vitesse donnée. Ce qui fait que tu cavites plus... Tu peux adapter un peu en changeant le "nozzle", mais si tu prends trop de trainée il faut changer de taille de waterjet (augmenter la taille). Et ça c'est la merde en design / cout / masse. Pour les non initiés, quand on prend du poids, ça revient vaguement à translater la courbe "ship resistance" vers le haut (la poussée et la trainée T doivent se compenser pour être à l'équilibre de vitesse). Ici il y a une ligne "nette" cavitation limit. En vrai c'est plus un genre de flou statistique. C'est pas binaire. ça dépend de pas mal de paramètre, densité de l'eau, température, champ de vague etc. Si tu te rapproche de la "cavitation limit" sur des allures ou tu navigues beaucoup, c'est mal ! Enfin bref, ce n'est que mon avis bien sur 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 26 août 2024 Share Posté(e) le 26 août 2024 Avec ce type de navire à froude élevé et carène correspondante on s’expose à des risque de casse côté carène et côté propulsion. Des similitudes de conception et de déboires entre nos NGV corsaires 13000 et LCS ; De conception ; - Vitesse > 40 nds ( conso élevée) - Alu pour gain de masse - 2 TAG en puissance massique + 2 diesels - 4 WJ De déboires - Fissure de coques - Fragilités prop En terme d’intégration et design , nous sommes sur des aménagements différents . Sur LCS l’empreinte avia conduit à loger les casing TAG au milieu ; ligne d’arbres longues , prop combinée . Sur NGV la prop était sur l’arrière dans les fonds avec du casing TAG central et latéral ( garage véhicules) pour les diesels. On avait 4 lignes propulsives séparées 2 lignes diesel latérales et 2 lignes TAG centrales. Côté tenue à la mer pour NGV ( 500 passagers) les critères MSI ( obligeaient à une stabilisation treees pointue pour un état de mer modéré . Je parle au passé des NGV car à ma connaissance ils ne sont plus actifs Révélation A signaler sur LCS une combinaison TAG/Diesel sur réducteur primaire pratiquement idem que sur nos FDA . Les réducteurs RENK /LCS ( ligne GV) sont problématiques , ceux d’Indret/FDA non. Je sais bien que pas matière à faire la gonflette ( on a des retards ici et là ), mais bon on peut malgré tout se satisfaire de certaines solutions techniques France . 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 26 août 2024 Share Posté(e) le 26 août 2024 Un NGV est encore en un seul morceau https://el.wikipedia.org/wiki/Ε/Γ_-_Ο/Γ_-_Τ/Χ_Αίολος_Κεντέρης_Ι 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paschi Posté(e) le 20 janvier Share Posté(e) le 20 janvier https://www.twz.com/news-features/littoral-combat-ships-to-sail-with-mk70-vertical-launchers-strapped-to-their-decks Le secrétaire d'État à la marine, Carlos Del Toro, a annoncé mercredi que de « nombreux » navires LCS recevraient le système modulaire de lancement de munitions Mk 70, ce qui permettra aux LCS de disposer d'une puissance de feu substantielle qui leur a longtemps échappé. Le Mk 70 est un système de lancement conteneurisé basé sur le système de lancement vertical (VLS) Mk 41 utilisé sur de nombreux navires de guerre américains et étrangers. Il peut accueillir une grande variété de missiles, notamment le missile standard 6 (SM-6) et le missile d'attaque terrestre Tomahawk (TLAM). Le Mk 70 donnera à la flotte LCS « une énorme puissance de feu et un avantage tactique encore plus grand sur nos adversaires », a déclaré M. Del Toro lors du Forum de défense 2024 de l'Institut naval américain à Washington. Présenté comme un élément multirôle essentiel de la future flotte de la marine, le coûteux programme LCS a comporté des modules de mission qui n'ont jamais été mis en service, ainsi que des problèmes de fissures dans la coque et des problèmes de propulsion à l'échelle de la classe, qui ont affecté les classes Independence et Freedom, respectivement. Ces navires ont également eu une utilisation opérationnelle limitée. Les commentaires de Del Toro cette semaine suggèrent que le service maritime est optimiste quant à ce que le Mk 70 peut faire pour renverser la situation des LCS et préparer enfin les navires à un combat de plus haut niveau, même si des questions subsistent quant à la capacité de survie des LCS s'ils sont effectivement déployés « de manière agressive », comme l'a indiqué Del Toro. « Les LCS sont de retour, les classes Freedom et Independence, et nous avons la ferme intention de les déployer de manière agressive partout dans le monde, et dans le golfe Persique, évidemment, avec la capacité de déminage et partout où cela est nécessaire, en particulier dans le Pacifique avec ces capacités supplémentaires », a déclaré M. Del Toro. Sam Lagrone, de l'USNI News, a été le premier à rapporter les propos de M. Del Toro. Des photos prises lors de la mise en service de l'USS Nantucket (LCS-27) en novembre 2024 montrent un lanceur de missiles Mk 70 déjà en place. Cette capacité permettrait aux LCS de tirer de plus petits volumes de plusieurs types de missiles et serait particulièrement importante dans le cadre d'une guerre contre la Chine dans le Pacifique, où les grands navires de guerre de surface équipés du Mk 41 seraient très demandés. Ces navires assureraient la défense contre les menaces aériennes et les missiles, et aideraient à mener des frappes d'interdiction contre un grand nombre de cibles en mer et à terre. L'annonce de M. Del Toro fait suite au tir d'essai réussi par la marine d'un missile SM-6 à partir d'un lanceur Mk 70 placé à bord du LCS de classe Independence USS Savannah (LCS-28) en octobre 2023 dans l'océan Pacifique oriental. L'impact du SM-6 sur une cible désignée « a démontré la modularité et la létalité des navires de combat littoraux et la capacité d'intégrer avec succès un système d'armes conteneurisé pour engager une cible de surface », a déclaré la marine à l'époque. Représentation du lanceur expéditionnaire Mk 70 Mod 1. Le Savannah a utilisé une forme du lanceur expéditionnaire Mk 70 Mod 1 pour l'essai, a précédemment rapporté TWZ. Outre le SM-6, le système peut tirer des missiles d'attaque terrestre, des missiles antinavires optimisés et d'autres variantes de Tomahawk. Les lanceurs Mk 70 sont apparentés au système terrestre Typhon de l'armée américaine, qui tire également des SM-6 et des Tomahawk. La marine a également procédé à un tir d'essai d'un SM-6 à partir d'un lanceur de la série Mk 70 à bord du grand navire de surface expérimental sans équipage Ranger, et a déjà fait la démonstration de tels lanceurs dans une configuration montée sur remorque lors d'un exercice au Danemark. Lockheed Martin a annoncé en mai 2024 qu'il avait réussi un tir d'essai d'un intercepteur Patriot PAC-3 MSE à partir d'un tel lanceur conteneurisé et qu'il l'avait utilisé pour abattre un missile de croisière fictif. TWZ a déjà présenté les avantages du Mk 70 après que la marine a annoncé le succès du tir d'essai du Savannah : « La famille Mk 70 offre un moyen relativement simple d'augmenter la puissance de feu d'une grande variété de navires disposant d'un espace de pont adéquat. Il s'agit notamment de petits navires de combat de surface équipés d'héliports, comme les LCS de la classe Independence, de divers navires de guerre amphibie et de certains navires de soutien auxiliaires, y compris des navires de conception commerciale. Le lanceur conteneurisé offre une immense flexibilité rien qu'avec sa capacité à tirer des SM-6 et des Tomahawk, et son héritage VLS Mk 41 signifie que d'autres options de munitions pourraient certainement être intégrées à l'avenir ». Le SM-6 polyvalent peut être utilisé contre une variété de cibles aériennes et de surface, certaines variantes existantes étant même capables d'engager des menaces hypersoniques plus récentes, ainsi que des missiles balistiques traditionnels dans leurs phases terminales de vol, a précédemment rapporté TWZ. Une version élargie du SM-6 est en cours de développement et devrait offrir une plus grande portée et une vitesse de pointe hypersonique. Le chargement d'un lanceur Mk 70 avec des missiles Tomahawk augmenterait considérablement les capacités du LCS, permettant à la classe de frapper des cibles terrestres et maritimes dans une zone s'étendant sur environ 1 000 milles (1609 km) dans toutes les directions, ce qui aiderait à maintenir les cibles dans les zones où les défenses chinoises sont importantes. Les Tomahawk peuvent également survoler une cible et changer de cible en cours de vol. Le tir d'essai de Savannah n'était pas la première fois que nous apercevions un tel dispositif à bord d'un LCS. TWZ avait déjà publié une photo prise lors de l'exercice Rim of the Pacific (RIMPAC) 2022 à Hawaï, montrant l'USS Tulsa (LCS-16) équipé de la même manière, bien que la marine n'ait rien révélé sur la charge et n'ait pas indiqué si le Tulsa avait tiré des missiles à l'aide de ce système pendant l'exercice. Le navire de combat littoral USS Tulsa (LCS-16) à Pearl Harbor, Hawaï, lors de l'exercice Rim of the Pacific (RIMPAC) en 2022. M. Del Toro n'a pas précisé quels types de capteurs accompagneraient les lanceurs Mk 70 sur un LCS. Mais pour les missiles SM-6 et Tomahawk, les données de télédétection et de ciblage provenant de plates-formes externes (dans l'air, en mer, sur terre et dans l'espace) et transmises par liaison de données au navire constitueraient probablement l'option la plus réalisable, compte tenu de la gamme limitée de capteurs du LCS. La marine s'intéresse depuis longtemps à ce concept qui consiste à répartir les missiles sur un plus grand nombre de navires et de sites et à décentraliser leur contrôle de tir et leur ciblage. Mais l'utilisation d'autres capteurs est également possible. Par exemple, des observateurs ont repéré ce qui semblait être un radar AN/TPQ-53 monté sur remorque sur le pont d'envol du Savannah lorsqu'il a quitté San Diego pour le tir d'essai de l'année dernière. Ce radar est principalement conçu pour repérer et suivre les roquettes et les obus d'artillerie entrants, puis déterminer leurs points de lancement afin que les forces amies puissent lancer des frappes de contre-batterie, a rapporté TWZ, et il a également démontré sa capacité à détecter et suivre les drones. TWZ a précédemment expliqué ce que ce radar, également connu sous le nom de radar d'acquisition de cibles de contre-batterie, apporterait de plus, notamment l'amélioration de la capacité des navires équipés de Mk 70 à repérer et à engager des cibles de manière indépendante, quelles que soient les capacités intégrées du navire. Il offre un exemple de la manière dont les systèmes peuvent être fixés sur le pont du navire afin d'étendre ses capacités de détection pour des missions sur mesure. Del Toro a également noté mercredi que « de nombreux » LCS sont désormais équipés du Naval Strike Missile (NSM), un missile de croisière antinavire très performant, mais loin d'être aussi flexible que le SM-6 ou d'avoir la même portée qu'un Tomahawk. La marine continue de faire avancer son projet d'embarquer le NSM à bord de l'ensemble de sa flotte LCS d'ici à l'année fiscale 2032, comme l'a précédemment rapporté Inside Defense. Mais si le lanceur Mk 70 et le NSM confèrent à la flotte LCS une puissance de feu supplémentaire, il y a des compromis, comme l'a rapporté TWZ : « En ce qui concerne les LCS de la marine, il convient de noter que l'utilisation du pont d'envol arrière pour monter un lanceur de la série Mk 70 et d'autres équipements associés élimine leur capacité à lancer et à récupérer des hélicoptères. Le service a longtemps vanté la capacité des navires à transporter des hélicoptères MH-60R Sea Hawk, ainsi que des drones MQ-8C Fire Scout, comme étant essentielle pour aider les navires à trouver et à engager des cibles à longue portée, à se défendre contre les menaces proches telles que les essaims de petits bateaux, et tout simplement à fournir une meilleure connaissance de la situation. Un tel compromis serait énorme pour le LCS, car son pont d'envol et ses capacités d'aviation embarquée sont très prisés et augmentent considérablement la flexibilité et l'indépendance des opérations du navire. Renoncer à cette capacité pour seulement quatre missiles par Mk70, en supposant qu'au moins trois systèmes puissent être transportés, est une concession importante. Il est possible que les missiles Sea Sparrow évolués (RIM-162) soient placés dans chaque cellule, comme c'est le cas sur les systèmes Mark 41 de la marine. Le LCS disposerait ainsi de 16 missiles par lanceur, mais ceux-ci seraient utilisés pour l'autodéfense et la défense aérienne de zone à moyenne portée, à condition que les capteurs du LCS puissent prendre en charge leur utilisation. Le RIM-162 Block II, équipé d'une liaison de données, pourrait être un élément clé pour que cela devienne une réalité. Il permettrait au LCS d'améliorer considérablement ses capacités de défense aérienne et sa capacité de survie dans des environnements plus menaçants. La marine exploite actuellement 25 LCS et a mis hors service sept navires depuis 2021, dont certains avaient moins de cinq ans de service, une décision que la marine a présentée comme un moyen d'économiser de l'argent pour investir dans des systèmes plus prometteurs. Le Mk 70 contribuera-t-il à racheter le gâchis d'acquisition que certains appellent familièrement le « Little Crappy Ship », même si des questions subsistent quant à la rapidité de mise en service du système et à la capacité de survie du LCS dans une guerre de grande envergure ? Seul le temps nous le dira 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 21 janvier Share Posté(e) le 21 janvier Il y a 23 heures, Paschi a dit : https://www.twz.com/news-features/littoral-combat-ships-to-sail-with-mk70-vertical-launchers-strapped-to-their-decks Le secrétaire d'État à la marine, Carlos Del Toro, a annoncé mercredi que de « nombreux » navires LCS recevraient le système modulaire de lancement de munitions Mk 70, ce qui permettra aux LCS de disposer d'une puissance de feu substantielle qui leur a longtemps échappé. Le Mk 70 est un système de lancement conteneurisé basé sur le système de lancement vertical (VLS) Mk 41 utilisé sur de nombreux navires de guerre américains et étrangers. Il peut accueillir une grande variété de missiles, notamment le missile standard 6 (SM-6) et le missile d'attaque terrestre Tomahawk (TLAM). Le Mk 70 donnera à la flotte LCS « une énorme puissance de feu et un avantage tactique encore plus grand sur nos adversaires », a déclaré M. Del Toro lors du Forum de défense 2024 de l'Institut naval américain à Washington. Présenté comme un élément multirôle essentiel de la future flotte de la marine, le coûteux programme LCS a comporté des modules de mission qui n'ont jamais été mis en service, ainsi que des problèmes de fissures dans la coque et des problèmes de propulsion à l'échelle de la classe, qui ont affecté les classes Independence et Freedom, respectivement. Ces navires ont également eu une utilisation opérationnelle limitée. Les commentaires de Del Toro cette semaine suggèrent que le service maritime est optimiste quant à ce que le Mk 70 peut faire pour renverser la situation des LCS et préparer enfin les navires à un combat de plus haut niveau, même si des questions subsistent quant à la capacité de survie des LCS s'ils sont effectivement déployés « de manière agressive », comme l'a indiqué Del Toro. « Les LCS sont de retour, les classes Freedom et Independence, et nous avons la ferme intention de les déployer de manière agressive partout dans le monde, et dans le golfe Persique, évidemment, avec la capacité de déminage et partout où cela est nécessaire, en particulier dans le Pacifique avec ces capacités supplémentaires », a déclaré M. Del Toro. Sam Lagrone, de l'USNI News, a été le premier à rapporter les propos de M. Del Toro. Des photos prises lors de la mise en service de l'USS Nantucket (LCS-27) en novembre 2024 montrent un lanceur de missiles Mk 70 déjà en place. Cette capacité permettrait aux LCS de tirer de plus petits volumes de plusieurs types de missiles et serait particulièrement importante dans le cadre d'une guerre contre la Chine dans le Pacifique, où les grands navires de guerre de surface équipés du Mk 41 seraient très demandés. Ces navires assureraient la défense contre les menaces aériennes et les missiles, et aideraient à mener des frappes d'interdiction contre un grand nombre de cibles en mer et à terre. L'annonce de M. Del Toro fait suite au tir d'essai réussi par la marine d'un missile SM-6 à partir d'un lanceur Mk 70 placé à bord du LCS de classe Independence USS Savannah (LCS-28) en octobre 2023 dans l'océan Pacifique oriental. L'impact du SM-6 sur une cible désignée « a démontré la modularité et la létalité des navires de combat littoraux et la capacité d'intégrer avec succès un système d'armes conteneurisé pour engager une cible de surface », a déclaré la marine à l'époque. Représentation du lanceur expéditionnaire Mk 70 Mod 1. Le Savannah a utilisé une forme du lanceur expéditionnaire Mk 70 Mod 1 pour l'essai, a précédemment rapporté TWZ. Outre le SM-6, le système peut tirer des missiles d'attaque terrestre, des missiles antinavires optimisés et d'autres variantes de Tomahawk. Les lanceurs Mk 70 sont apparentés au système terrestre Typhon de l'armée américaine, qui tire également des SM-6 et des Tomahawk. La marine a également procédé à un tir d'essai d'un SM-6 à partir d'un lanceur de la série Mk 70 à bord du grand navire de surface expérimental sans équipage Ranger, et a déjà fait la démonstration de tels lanceurs dans une configuration montée sur remorque lors d'un exercice au Danemark. Lockheed Martin a annoncé en mai 2024 qu'il avait réussi un tir d'essai d'un intercepteur Patriot PAC-3 MSE à partir d'un tel lanceur conteneurisé et qu'il l'avait utilisé pour abattre un missile de croisière fictif. TWZ a déjà présenté les avantages du Mk 70 après que la marine a annoncé le succès du tir d'essai du Savannah : « La famille Mk 70 offre un moyen relativement simple d'augmenter la puissance de feu d'une grande variété de navires disposant d'un espace de pont adéquat. Il s'agit notamment de petits navires de combat de surface équipés d'héliports, comme les LCS de la classe Independence, de divers navires de guerre amphibie et de certains navires de soutien auxiliaires, y compris des navires de conception commerciale. Le lanceur conteneurisé offre une immense flexibilité rien qu'avec sa capacité à tirer des SM-6 et des Tomahawk, et son héritage VLS Mk 41 signifie que d'autres options de munitions pourraient certainement être intégrées à l'avenir ». Le SM-6 polyvalent peut être utilisé contre une variété de cibles aériennes et de surface, certaines variantes existantes étant même capables d'engager des menaces hypersoniques plus récentes, ainsi que des missiles balistiques traditionnels dans leurs phases terminales de vol, a précédemment rapporté TWZ. Une version élargie du SM-6 est en cours de développement et devrait offrir une plus grande portée et une vitesse de pointe hypersonique. Le chargement d'un lanceur Mk 70 avec des missiles Tomahawk augmenterait considérablement les capacités du LCS, permettant à la classe de frapper des cibles terrestres et maritimes dans une zone s'étendant sur environ 1 000 milles (1609 km) dans toutes les directions, ce qui aiderait à maintenir les cibles dans les zones où les défenses chinoises sont importantes. Les Tomahawk peuvent également survoler une cible et changer de cible en cours de vol. Le tir d'essai de Savannah n'était pas la première fois que nous apercevions un tel dispositif à bord d'un LCS. TWZ avait déjà publié une photo prise lors de l'exercice Rim of the Pacific (RIMPAC) 2022 à Hawaï, montrant l'USS Tulsa (LCS-16) équipé de la même manière, bien que la marine n'ait rien révélé sur la charge et n'ait pas indiqué si le Tulsa avait tiré des missiles à l'aide de ce système pendant l'exercice. Le navire de combat littoral USS Tulsa (LCS-16) à Pearl Harbor, Hawaï, lors de l'exercice Rim of the Pacific (RIMPAC) en 2022. M. Del Toro n'a pas précisé quels types de capteurs accompagneraient les lanceurs Mk 70 sur un LCS. Mais pour les missiles SM-6 et Tomahawk, les données de télédétection et de ciblage provenant de plates-formes externes (dans l'air, en mer, sur terre et dans l'espace) et transmises par liaison de données au navire constitueraient probablement l'option la plus réalisable, compte tenu de la gamme limitée de capteurs du LCS. La marine s'intéresse depuis longtemps à ce concept qui consiste à répartir les missiles sur un plus grand nombre de navires et de sites et à décentraliser leur contrôle de tir et leur ciblage. Mais l'utilisation d'autres capteurs est également possible. Par exemple, des observateurs ont repéré ce qui semblait être un radar AN/TPQ-53 monté sur remorque sur le pont d'envol du Savannah lorsqu'il a quitté San Diego pour le tir d'essai de l'année dernière. Ce radar est principalement conçu pour repérer et suivre les roquettes et les obus d'artillerie entrants, puis déterminer leurs points de lancement afin que les forces amies puissent lancer des frappes de contre-batterie, a rapporté TWZ, et il a également démontré sa capacité à détecter et suivre les drones. TWZ a précédemment expliqué ce que ce radar, également connu sous le nom de radar d'acquisition de cibles de contre-batterie, apporterait de plus, notamment l'amélioration de la capacité des navires équipés de Mk 70 à repérer et à engager des cibles de manière indépendante, quelles que soient les capacités intégrées du navire. Il offre un exemple de la manière dont les systèmes peuvent être fixés sur le pont du navire afin d'étendre ses capacités de détection pour des missions sur mesure. Del Toro a également noté mercredi que « de nombreux » LCS sont désormais équipés du Naval Strike Missile (NSM), un missile de croisière antinavire très performant, mais loin d'être aussi flexible que le SM-6 ou d'avoir la même portée qu'un Tomahawk. La marine continue de faire avancer son projet d'embarquer le NSM à bord de l'ensemble de sa flotte LCS d'ici à l'année fiscale 2032, comme l'a précédemment rapporté Inside Defense. Mais si le lanceur Mk 70 et le NSM confèrent à la flotte LCS une puissance de feu supplémentaire, il y a des compromis, comme l'a rapporté TWZ : « En ce qui concerne les LCS de la marine, il convient de noter que l'utilisation du pont d'envol arrière pour monter un lanceur de la série Mk 70 et d'autres équipements associés élimine leur capacité à lancer et à récupérer des hélicoptères. Le service a longtemps vanté la capacité des navires à transporter des hélicoptères MH-60R Sea Hawk, ainsi que des drones MQ-8C Fire Scout, comme étant essentielle pour aider les navires à trouver et à engager des cibles à longue portée, à se défendre contre les menaces proches telles que les essaims de petits bateaux, et tout simplement à fournir une meilleure connaissance de la situation. Un tel compromis serait énorme pour le LCS, car son pont d'envol et ses capacités d'aviation embarquée sont très prisés et augmentent considérablement la flexibilité et l'indépendance des opérations du navire. Renoncer à cette capacité pour seulement quatre missiles par Mk70, en supposant qu'au moins trois systèmes puissent être transportés, est une concession importante. Il est possible que les missiles Sea Sparrow évolués (RIM-162) soient placés dans chaque cellule, comme c'est le cas sur les systèmes Mark 41 de la marine. Le LCS disposerait ainsi de 16 missiles par lanceur, mais ceux-ci seraient utilisés pour l'autodéfense et la défense aérienne de zone à moyenne portée, à condition que les capteurs du LCS puissent prendre en charge leur utilisation. Le RIM-162 Block II, équipé d'une liaison de données, pourrait être un élément clé pour que cela devienne une réalité. Il permettrait au LCS d'améliorer considérablement ses capacités de défense aérienne et sa capacité de survie dans des environnements plus menaçants. La marine exploite actuellement 25 LCS et a mis hors service sept navires depuis 2021, dont certains avaient moins de cinq ans de service, une décision que la marine a présentée comme un moyen d'économiser de l'argent pour investir dans des systèmes plus prometteurs. Le Mk 70 contribuera-t-il à racheter le gâchis d'acquisition que certains appellent familièrement le « Little Crappy Ship », même si des questions subsistent quant à la rapidité de mise en service du système et à la capacité de survie du LCS dans une guerre de grande envergure ? Seul le temps nous le dira Ca va booster un peu ces pauvres LCS mais dommage de mettre un système ci peut discret sur un bâtiment doté d'une architecture discrète coûteuse... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 21 janvier Share Posté(e) le 21 janvier (modifié) Ils vont relancer la construction de ces échecs flottants ? Il faut vraiment arroser quelques États j'imagine. Modifié le 21 janvier par Ciders Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 22 janvier Share Posté(e) le 22 janvier Il y a 6 heures, Ciders a dit : Ils vont relancer la construction de ces échecs flottants ? Il faut vraiment arroser quelques États j'imagine. Pour le moment seulement 35 ont été produit et 9 ou 10 déjà décommissionné. Au mieux il en resterait trois "Independance" à produire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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