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[Iran]


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il y a 9 minutes, kotai a dit :

Mais il y avait quand même des experts qui mettaient en garde à cause des dernières actions US et la tournure politique de celle-ci.

Au moment de la signature de l'accord, quels experts anticipaient l'élection de Trump et la rupture unilatérale de l'accord ?

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Prise la main dans le sac AVANT la signature de l'accord. Mais une fois le papier signé, il n'y avait plus de raison de songer qu'on allait revenir en arrière. Et je le répète, à ce moment-là, Trump n'a pas commencé sa campagne.

Le gros souci ici, c'est que la parole américaine a perdu 50 % de sa valeur.

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Citation

Téhéran (AFP) - L'Iran a dit samedi attendre des mesures concrètes de la part des Européens pour décider si l'accord sur le nucléaire pouvait être sauvé, au premier jour d'une visite à Téhéran du commissaire européen à l'Energie Miguel Arias Canete.

M. Canete est le premier responsable occidental à être reçu dans la capitale iranienne depuis la décision des Etats-Unis de se retirer de l'accord historique signé en 2015 entre Téhéran et six grandes puissances et de réimposer des sanctions économiques dont les effets s'imposent aux entreprises étrangères, notamment européennes.

Ce retrait et les menaces de sanctions font planer de gros risques financiers sur les entreprises européennes qui voulaient investir en Iran, mais aussi risquent d'avoir de lourdes conséquences pour l'économie iranienne.

L'UE avait indiqué cette semaine chercher "des solutions pratiques pour permettre à l'Iran de continuer ses ventes de pétrole et de gaz, poursuivre ses transactions bancaires, maintenir les liaisons aériennes et maritimes".

Préserver l'accord nucléaire est "fondamental pour la paix dans la région", a déclaré samedi M. Canete lors d'une conférence de presse commune avec le vice-président iranien Ali Akbar Salehi, retransmise en directe par la télévision d'Etat.

"Il est certain qu'il y a des difficultés évidentes avec les sanctions (...) Nous devrons demander des dérogations, des exemptions pour les entreprises qui font des investissements" en Iran, a déclaré M. Canete lors d'une conférence de presse commune avec M. Salehi.

- "Pas question de renégocier" -

La Commission européenne a notamment lancé vendredi une procédure visant à activer la "loi de blocage" afin de contrecarrer les effets extraterritoriaux des sanctions américaines pour les entreprises européennes voulant investir en Iran.

"M. Canete nous a présenté verbalement un certain nombre de propositions et de mesures destinées à contrebalancer la décision américaine et nous espérons qu'elles vont se concrétiser", a déclaré de son côté M. Salehi.

"Pour le moment (...) nous attendons de voir si ces mesures débouchent sur des résultats tangibles", a-t-il insisté.

"Dans le cas contraire, nous serons contraints de prendre une décision que personnellement je ne souhaite pas", a-t-il ajouté.

L'Iran a auparavant menacé de relancer son programme d'enrichissement d'uranium à un "niveau industriel". "Nous avons beaucoup de possibilités et de combinaisons possibles" pour cette décision, a souligné M. Salehi, qui dirige aussi l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA).

"La balle est dans le camp de l'Union européenne", a-t-il résumé lors d'un entretien avec des journalistes européens accompagnant M. Canete.

Il a en outre réaffirmé l'opposition de l'Iran a toute renégociation de l'accord de 2015.

"Il s'agit d'un paquet complet et nous entendons le conserver ainsi. Il n'est pas question de le renégocier", a-t-il soutenu.

L'accord nucléaire de 2015 vise à faciliter les échanges commerciaux avec l'Iran et à relancer son économie, en levant de lourdes sanctions internationales en échange d'un engagement de Téhéran à limiter ses activités nucléaires et à ne jamais chercher à obtenir la bombe atomique.

- "Attendons quelques semaines" -

Le président américain Donald Trump juge que le texte est trop laxiste sur l'aspect nucléaire, et qu'il ne s'attaque pas aux missiles balistiques de Téhéran.

Interrogé sur cette question des missiles, M. Salehi a botté en touche. "Il s'agit de thèmes de la compétence du ministre des Affaires étrangères", a-t-il déclaré. M. Canete doit rencontrer dimanche le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif avant de repartir pour Bruxelles.

M. Zarif s'est rendu ces derniers jours à Pékin, Moscou et Bruxelles avec l'objectif de sauver l'accord nucléaire et préserver les intérêts économiques de son pays.

Les Européens, qui veulent éviter à tout prix que l'Iran abandonne l'accord et relance son programme nucléaire, s'étaient notamment engagés mardi à Bruxelles à assurer des ressources économiques à l'Iran.

Le vice-président iranien a pressé samedi les Européens à rapidement concrétiser leurs engagements. "Si rien ne vient, la majorité de la population nous forcera à l'abandonner" (l'accord), a-t-il averti.

"Je ne veux pas préjuger. Attendons encore quelques semaines et voyons comment tout cela se développe", a-t-il ajouté.

Qui a dit marteau et enclume?

Reste à voir si la noix européenne va tenir...

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Le 19/05/2018 à 07:41, Ciders a dit :

Prise la main dans le sac AVANT la signature de l'accord. Mais une fois le papier signé, il n'y avait plus de raison de songer qu'on allait revenir en arrière. Et je le répète, à ce moment-là, Trump n'a pas commencé sa campagne.

Le gros souci ici, c'est que la parole américaine a perdu 50 % de sa valeur.

C'est a mon avis inexact, l'accord devant repasser devant le président régulièrement des sa signature, ça montre bien qu'Obama n'avait pas réussi à l'imposer sur le long terme (puisque c'était la fin de son dernier mandat). Son sort était donc directement lié à la couleur politique du candidat gagnant l’élection présidentielle.

Le JCPOA a toujours été lié a l'INARA (Iran Nuclear Agreement Review Act of 2015).

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On en reste au même problème. A chaque changement de mandature, un changement possible à 360 degrés. Pour faire des affaires, c'est plutôt mauvais d'avoir cette énorme incertitude qui plane en permanence. Et ça nuit aussi aux relations politiques sur le long terme.

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https://www.huffingtonpost.fr/2018/05/21/accord-avec-liran-les-etats-unis-enumerent-leurs-12-conditions-draconiennes-pour-un-nouvel-accord-avec-liran_a_23439872/?utm_hp_ref=fr-homepage

En gros, ils baissent leur froc, ils vident leurs poches et ils s'attachent eux-mêmes au pilori... et peut-être qu'à terme on les détachera. Disons que pour négocier, ça reste léger comme approche.

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Il y a 7 heures, Ciders a dit :

 A chaque changement de mandature, un changement possible à 360 degrés. Pour faire des affaires, c'est plutôt mauvais d'avoir cette énorme incertitude qui plane en permanence.

Oh les changements à 360°, ça ne me fait pas peur :happy:

Note qu'à 180°, je ne dirais pas ça :tongue:

 

Il y a 1 heure, Ciders a dit :

https://www.huffingtonpost.fr/2018/05/21/accord-avec-liran-les-etats-unis-enumerent-leurs-12-conditions-draconiennes-pour-un-nouvel-accord-avec-liran_a_23439872/?utm_hp_ref=fr-homepage

En gros, ils baissent leur froc, ils vident leurs poches et ils s'attachent eux-mêmes au pilori... et peut-être qu'à terme on les détachera. Disons que pour négocier, ça reste léger comme approche.

L'objectif n'est pas la négociation.

C'est la guerre.

La bande des quatre qui ont le contrôle du cerveau de Trump est aux commandes (Bolton, Pompeo, Netanyahou, Ben Salman)

Si Européens, Chinois et Russes ne parviennent pas à convaincre Téhéran de rester dans l'accord, en lui proposant une alternative aux relations économiques avec l'Amérique, le plan B pour la France et les autres Européens devrait avoir deux composantes au moins :

- Augmentation des stocks d'hydrocarbures pour faire face à des pénuries temporaires

- Organisation pour le secours aux réfugiés près de leurs pays d'origine, afin qu'ils ne tentent pas tous d'arriver en Europe

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il y a 19 minutes, Alexis a dit :

Oh les changements à 360°, ça ne me fait pas peur :happy:

Note qu'à 180°, je ne dirais pas ça :tongue:

Edgar Faure le disait bien : ce n'est pas la girouette qui tourne, c'est le vent. :laugh:

il y a 19 minutes, Alexis a dit :

L'objectif n'est pas la négociation.

C'est la guerre.

La bande des quatre qui ont le contrôle du cerveau de Trump est aux commandes (Bolton, Pompeo, Netanyahou, Ben Salman)

Si Européens, Chinois et Russes ne parviennent pas à convaincre Téhéran de rester dans l'accord, en lui proposant une alternative aux relations économiques avec l'Amérique, le plan B pour la France et les autres Européens devrait avoir deux composantes au moins :

- Augmentation des stocks d'hydrocarbures pour faire face à des pénuries temporaires

- Organisation pour le secours aux réfugiés près de leurs pays d'origine, afin qu'ils ne tentent pas tous d'arriver en Europe

Prendre le contrôle de quoi ? Fake news !

Blague à part, oui. Ça sent mauvais à court et moyen terme. Et le prix du pétrole aidant, ça va consolider les finances saoudiennes.

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Il y a 2 heures, Ciders a dit :

https://www.huffingtonpost.fr/2018/05/21/accord-avec-liran-les-etats-unis-enumerent-leurs-12-conditions-draconiennes-pour-un-nouvel-accord-avec-liran_a_23439872/?utm_hp_ref=fr-homepage

En gros, ils baissent leur froc, ils vident leurs poches et ils s'attachent eux-mêmes au pilori... et peut-être qu'à terme on les détachera. Disons que pour négocier, ça reste léger comme approche.

c'est comme les 13 conditions proposer l'annee derniere au qatar par les autres pays

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juste un petit rappel historique a propos de l'iran, certe ce n'est pas en lien direct avec la situation actuelle mais cela permet de comprendre certaines choses:

en 1982 lorsque la syrie fut vaincu par israel au liban, elle a alors demander l'aide de l'iran qui avait envoyer les pasdaran qui commenceront a constituer les premiere cellule du hezbollah, en pleine guerre civil du liban, petit a petit le mouvement est devenu de plus en plus puissant, et a commencer a cocurencer l'autre mouvement chiite pro syrien AMAL, a partir de 1985 la syrie d'assad a commencer a ressentir le danger pour elle et ces alliés et a commencer a tenter de briser les ailes du hezbollah et l'influence de l'iran au liban, le mouvement AMAL tentra alors de les attaquer mais il fut largement affaibli par les defections au profit du hezbollah, et en avril 1988 AMAL lanca une grosse offensive contre le hezb dans la banlieu sud  de beyrouth a majorite chiite, mais l'offensive tourna court, et amal finit par perdre 80% de la banlieu sud  et son propre QG, finalement en juin l'armee syrienne elle meme entra dans la bataille et fut elle aussi mise en echec apres de gros combats, la situation ne se stabilisera qu'en 1989 a la suite d'un accord entre la syrie et l'iran qui court encore aujourd'hui.

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Il y a 8 heures, Alexis a dit :

Oh les changements à 360°, ça ne me fait pas peur :happy:

Note qu'à 180°, je ne dirais pas ça :tongue:

 

L'objectif n'est pas la négociation.

C'est la guerre.

La bande des quatre qui ont le contrôle du cerveau de Trump est aux commandes (Bolton, Pompeo, Netanyahou, Ben Salman)

Si Européens, Chinois et Russes ne parviennent pas à convaincre Téhéran de rester dans l'accord, en lui proposant une alternative aux relations économiques avec l'Amérique, le plan B pour la France et les autres Européens devrait avoir deux composantes au moins :

- Augmentation des stocks d'hydrocarbures pour faire face à des pénuries temporaires

- Organisation pour le secours aux réfugiés près de leurs pays d'origine, afin qu'ils ne tentent pas tous d'arriver en Europe

C’est de savoir sur ces 12 propositions, lesquelles sont importantes. De plus, je ne vois pas comment l'Iran tous seul compte vraiment nous faire peur.

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Il y a 13 heures, Ciders a dit :

 Et le prix du pétrole aidant, ça va consolider les finances saoudiennes.

Et celles de la Moscovie.

vladimir-poutine-clin-d-oeil.jpg

Il y a 4 heures, kotai a dit :

C’est de savoir sur ces 12 propositions, lesquelles sont importantes. De plus, je ne vois pas comment l'Iran tous seul compte vraiment nous faire peur.

Je ne pense pas que Pompeo essaye de négocier un nouvel accord avec Téhéran, même beaucoup plus dur. Il sait parfaitement que les conditions posées sont totalement inacceptables.

L'ultimatum est fait pour être refusé, comme celui que l'Autriche-Hongrie adressa à la Serbie en 1914.

Cet ultimatum est sous peine de guerre économique au sens fort du terme. 

Et plus si affinités.

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BAh pour Pompéo et Bolton et Cie leur conclusion dans les débats est toujours la même : "Ce n'est pas la diplomatie qui fait tomber les dictateurs, au contraire elle prolonge leur espérance de vie".

Ils restent toujours sur le même mantra : Hitler, Saddam, PolPot, Kaddafi , ...n'ont pas été renversé par des négociations diplomatiques (pour Castro ,ce sont les USA qui n'ont pas été assez courageux). Et les USA ont le rôle unique, messianique d'être le pays qui permet la liberté dans le monde (la prospérité c'est autre chose, c'est plus une responsabilité individuelle pour eux).

Ce n'est pas une opinion confinée à un petit cercle aux USA. Albright bien qu'éloignée des néo-cons la partageait.

Modifié par Chaps
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Il y a 9 heures, Chaps a dit :

BAh pour Pompéo et Bolton et Cie leur conclusion dans les débats est toujours la même : "Ce n'est pas la diplomatie qui fait tomber les dictateurs, au contraire elle prolonge leur espérance de vie".

C'est bien ils ont appris à enfoncer une porte ouverte au moins.

Il y a 9 heures, Chaps a dit :

Ils restent toujours sur le même mantra : Hitler, Saddam, PolPot, Kaddafi , ...n'ont pas été renversé par des négociations diplomatiques (pour Castro ,ce sont les USA qui n'ont pas été assez courageux). Et les USA ont le rôle unique, messianique d'être le pays qui permet la liberté dans le monde (la prospérité c'est autre chose, c'est plus une responsabilité individuelle pour eux).

Rassurez moi c'est bien sur un ton sarcastique ces deux phrases?

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C'est leur avis.  Et sur le rôle unique des USA , ce n'est pas un petit courant d'opinion. Rappel : aux Etats-Unis entre 20 et 25% de la population est évangéliste, qui sont aux Chrétiens ce que les Salafistes sont aux Musulmans grosso modo (littéralisme du texte, vérité absolue, rôle unique donné par Dieu, doivent être l'exemple pour entraîner le reste du monde - prosélytisme, supériorité et esprit de sacrifice, attente active de l'Apocalypse).

Au niveau mondial les évangélistes sont la seule branche de la Chrétienté en forte augmentation.

Modifié par Chaps
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il y a 24 minutes, Chaps a dit :

C'est leur avis.  Et sur le rôle unique des USA , ce n'est pas un petit courant d'opinion. Rappel : aux Etats-Unis entre 20 et 25% de la population est évangéliste, qui sont aux Chrétiens ce que les Salafistes sont aux Musulmans grosso modo (littéralisme du texte, vérité absolue, rôle unique donné par Dieu, doivent être l'exemple pour entraîner le reste du monde - prosélytisme, supériorité et esprit de sacrifice, attente active de l'Apocalypse).

Ouais, 'fin, ils suivent les évangiles quand ça les arrange. Il n'y a, à aucun moment, dans les évangiles, un message de haine, de conversion forcée ou je ne sais quoi. Ils se servent juste de la religion pour arriver à leurs fins. Du moins, je parle là de certains, qui embobinent les autres pour arriver à leurs buts. 

Y'a exactement la même chose dans certaines zones de l'église catholique malheureusement. 

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Note que les "Évangélistes" , paradoxalement, utilisent beaucoup plus l'Ancien Testament de leur Bible que les Évangiles pour leurs "réflexions religieuses" qu'un Catholique.

C'est peut-être du pipeau mais ils ont l'air d'y croire vachement. Un des 2 invités de Trump à l'inauguration de l'Ambassade US de Jérusalem, le pasteur Robert Jeffress, est quand même un acharné publique de la théorie "Dès que tous les Juifs seront en Israël, l'Apocalypse sera proche, retour du fils du Grand Patron sur Terre , résurrection des morts et là grande fête, car conversion forcée des Juifs et des Musulmans à la Chrétienté ou enfer éternelle pour eux" 

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il y a 27 minutes, Chaps a dit :

Note que les "Évangélistes" , paradoxalement, utilisent beaucoup plus l'Ancien Testament de leur Bible que les Évangiles pour leurs "réflexions religieuses" qu'un Catholique.

C'est peut-être du pipeau mais ils ont l'air d'y croire vachement. Un des 2 invités de Trump à l'inauguration de l'Ambassade US de Jérusalem, le pasteur Robert Jeffress, est quand même un acharné publique de la théorie "Dès que tous les Juifs seront en Israël, l'Apocalypse sera proche, retour du fils du Grand Patron sur Terre , résurrection des morts et là grande fête, car conversion forcée des Juifs et des Musulmans à la Chrétienté ou enfer éternelle pour eux" 

Je suis d'accord. Mais cela dépend déjà de quels évangélistes on parle, et de quels catholiques. Une frange traditionnaliste de ces derniers va aussi très souvent utiliser l'Ancien Testament. Tout comme certains évangélistes. Cela est renforcé chez ces derniers puisqu'ils n'ont même pas d'Eglise unifiée. Même les Anglicans en ont une (leur chef est la Reine d'Angleterre), tout comme les Orthodoxes et les Catholiques. 

Comme toujours, le problème n'est pas la religion en soit, mais l'utilisation qui en est faite. Il ne faut pas oublier non plus qu'aux USA, cela date certainement de la colonisation des Amériques et des Pères Fondateurs (ou d'un peu après). Cela fait un bout de temps que certains Américains sont persuadés d'être meilleurs que les autres. Et quand ces types arrivent au pouvoir, bah ça donne des présidents comme Reagan, Bush Junior et Senior et un certain nombre de néo-conservateurs. 

D'ailleurs, ce qui est curieux est la haine de certains de ces américains envers l'Islam. Sauf quand il s'agit de l'Arabie Saoudite :biggrin: L'Iran, c'est le mal quand même :biggrin: (pour revenir un peu dans le sujet). 

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