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Marine Grecque


alexandreVBCI

Messages recommandés

Il y a 3 heures, GR_Silent a dit :

Les silos de lancement verticaux et les autres travaux requis pour équiper le « Kimon » de missiles stratégiques seront réalisés ultérieurement. En résumé, lorsque la Marine disposera des autres frégates FDI, le « Kimon » retournera aux chantiers navals de Naval Group à Lorient pour y subir les modifications nécessaires. Cette opération est estimée, selon le calendrier actuel, avant la fin de la décennie. Cela signifie que – au moins selon la planification actuelle – en 2030, la Marine hellénique disposera de quatre frégates capables de mener des frappes stratégiques, si la situation l’exige.

Il convient toutefois de noter qu’à ce stade, seules les modifications permettant l’intégration de missiles stratégiques sont assurées, qu’il s’agisse des MdCN français (les plus probables) ou d’autres missiles. Le contrat pour l’acquisition des missiles eux-mêmes sera conclu ultérieurement.

Pourquoi ne pas attendre quelques années de plus pour la version du FMAN/FMC tirable par VLS ?

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il y a 29 minutes, Titus K a dit :

Pourquoi ne pas attendre quelques années de plus pour la version du FMAN/FMC tirable par VLS ?

Je n’ai pas de certitudes, mais je peux formuler quelques hypothèses : on ignore à quel moment les FMAN/FMC seront prêts, tandis que leur coût sera probablement élevé en raison de l’acquisition elle-même et de la certification nécessaire pour garantir leur compatibilité avec les silos de lancement.

De plus, étant des technologies nouvelles, ils pourraient présenter des “maladies de jeunesse” lors des premières phases de leur mise en service. En revanche, les versions navales du SCALP (SCALP Naval) reposent sur une technologie mature et éprouvée

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il y a 30 minutes, GR_Silent a dit :

Je n’ai pas de certitudes, mais je peux formuler quelques hypothèses : on ignore à quel moment les FMAN/FMC seront prêts, tandis que leur coût sera probablement élevé en raison de l’acquisition elle-même et de la certification nécessaire pour garantir leur compatibilité avec les silos de lancement.

De plus, étant des technologies nouvelles, ils pourraient présenter des “maladies de jeunesse” lors des premières phases de leur mise en service. En revanche, les versions navales du SCALP (SCALP Naval) reposent sur une technologie mature et éprouvée

Espérons que la version du Sylver A70 qui équipera les FDI HN sera compatible avec le futur FMAN/FMC ... et pourquoi pas aussi avec l'Aster 

Modifié par Titus K
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@GR_Silent As-tu entendu parler de cette histoire de chantier naval proche du ministre ?

--> https://www.intelligenceonline.fr/grands-contrats/2025/06/06/athenes-met-la-pression-sur-naval-group-pour-sa-quatrieme-fregate,110462476-art

Athènes met la pression sur Naval Group pour sa quatrième frégate

En visite en France puis à Bruxelles, le ministre grec de la défense Nikos Dendias a habilement manœuvré pour obtenir des concessions de Paris pour ses futures acquisitions de navires. En jeu dorénavant, le choix des partenaires industriels en Grèce, dont l'un apparaît particulièrement proche de son parti politique. [...]

Modifié par Titus K
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il y a 8 minutes, Titus K a dit :

@GR_Silent As-tu entendu parler de cette histoire de chantier naval proche du ministre ?

--> https://www.intelligenceonline.fr/grands-contrats/2025/06/06/athenes-met-la-pression-sur-naval-group-pour-sa-quatrieme-fregate,110462476-art

Athènes met la pression sur Naval Group pour sa quatrième frégate

En visite en France puis à Bruxelles, le ministre grec de la défense Nikos Dendias a habilement manœuvré pour obtenir des concessions de Paris pour ses futures acquisitions de navires. En jeu dorénavant, le choix des partenaires industriels en Grèce, dont l'un apparaît particulièrement proche de son parti politique. [...]

Il y a quelques mois, j'avais lu des rumeurs concernant la possible construction de trois frégates FDI supplémentaires, en plus des quatre déjà prévues, pour porter le total à sept. Mais je ne sais pas s'il s'agit d'une réelle possibilité, d'un simple souhait ou de rumeurs non confirmées.

 

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Il y a 4 heures, Titus K a dit :

@GR_Silent As-tu entendu parler de cette histoire de chantier naval proche du ministre ?

--> https://www.intelligenceonline.fr/grands-contrats/2025/06/06/athenes-met-la-pression-sur-naval-group-pour-sa-quatrieme-fregate,110462476-art

Athènes met la pression sur Naval Group pour sa quatrième frégate

En visite en France puis à Bruxelles, le ministre grec de la défense Nikos Dendias a habilement manœuvré pour obtenir des concessions de Paris pour ses futures acquisitions de navires. En jeu dorénavant, le choix des partenaires industriels en Grèce, dont l'un apparaît particulièrement proche de son parti politique. [...]

Gaffe avec ce genre de manoeuvres, c'est un coup à encore faire jaser Dieu sait qui et à être accusés de corruption...

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Le 31/07/2025 à 19:23, Titus K a dit :

Pourquoi ne pas attendre quelques années de plus pour la version du FMAN/FMC tirable par VLS ?

Peut-être qu'il vaut mieux être prêt pour une crise demain, que de ne rien avoir quand elle survient parce qu'on attend du "meilleur" matériel qui devrait arriver (qui aurait du arriver) après demain.

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Les Turcs se plaignent du mode de financement de la 4ème FDI :wub:

https://turdef.com/article/greece-eyes-safe-loan-for-fourth-fdi-class-frigate-purchase

La Grèce envisage un prêt SAFE pour l'achat d'une quatrième frégate de classe FDI

18 août 2025, 15h09

 

Athènes pourrait utiliser les prêts SAFE de l'UE pour acheter une quatrième frégate française d'investissement étranger direct, ce qui soulève un débat sur la question de savoir si les fonds destinés à contrer la Russie devraient financer la rivalité gréco-turque.

La Grèce envisage d'utiliser un financement de l'Union européenne au titre du règlement SAFE (Security Action for Europe) pour financer l'acquisition d'une quatrième frégate de classe FDI, baptisée Themistocles, ont confirmé des responsables à Athènes. Si cette proposition est mise en œuvre, ce serait la première fois que la Grèce affecte des prêts SAFE à un programme d'acquisition navale majeur. Cette initiative soulève la question de savoir si un tel financement, destiné à contrer l'agression russe, devrait être affecté à des acquisitions principalement dirigées contre la Turquie.

Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a annoncé plus tôt ce mois-ci qu'Athènes bénéficierait d'environ 1,2 milliard d'euros de prêts garantis par le SAFE. Le coût estimé du Themistocles est légèrement inférieur à ce montant, et les contacts en cours avec Paris sur la coopération industrielle pourraient satisfaire aux critères d'éligibilité du SAFE, qui prévoient des coentreprises et une part minimale de contenu européen.

Les responsables ont déclaré que ce plan témoigne de la volonté du gouvernement d'accélérer un programme déjà approuvé par le Conseil gouvernemental des affaires étrangères et de la défense. Les procédures SAFE devraient s'achever en novembre, mais une annonce pourrait intervenir dès septembre. Si Athènes va de l'avant, cela nécessitera une redéfinition des priorités dans le cadre du Plan d'équipement de défense à long terme sur 12 ans, ce qui pourrait entraîner des retards dans des projets tels que la production de véhicules polyvalents.

La marine grecque décrit cet accord d'investissement étranger direct comme sa plus importante amélioration depuis quatre décennies. La Grèce construit déjà trois frégates en France, toutes modifiées pour emporter des missiles de croisière. Le Themistocles sera équipé pour ce rôle dès le départ, ce qui contribuera à un coût final qui devrait dépasser l'estimation initiale de 980 millions d'euros.

Le gouvernement a souligné l'importance de renforcer la participation nationale au programme. Actuellement, les chantiers navals et les entreprises de défense grecs se consacrent principalement à des tâches de faible technicité, comme le soudage de sections préfabriquées, tandis que les systèmes critiques – radars, capteurs, électronique – sont importés. Une situation similaire s'applique aux modernisations de la classe MEKO aux chantiers navals de Skaramangas. Les responsables affirment que l'objectif est de développer la base industrielle nationale tout en garantissant les délais de livraison et des capacités avancées.

Tensions autour de l'éligibilité au SAFE

Les prêts SAFE ont été introduits en 2025 pour aider les États membres de l'UE à répondre à la guerre menée par la Russie en Ukraine et à renforcer les capacités de défense européennes collectives. Les règles de financement exigent que les projets renforcent les priorités de défense de l'UE ou de l'OTAN, avec un minimum de 65 % de la production en Europe.

TurDef se demande si les prêts SAFE destinés à financer une frégate destinée à renforcer la dissuasion grecque en mer Égée pourraient s'avérer politiquement controversés. Bien qu'Athènes puisse inscrire le projet dans le cadre de la sécurité maritime et de la protection du corridor énergétique de l'UE, les critiques de TurDef affirment qu'il porte atteinte à l'« esprit » du programme, explicitement lié à la lutte contre les menaces russes.

La Turquie, bien que non membre de l'UE, est un allié de l'OTAN, et Ankara pourrait considérer ce financement comme contradictoire avec les objectifs affichés du bloc. Les capitales européennes pourraient également se demander si l'allocation de fonds à des rivalités bilatérales s'inscrit dans le cadre du SAFE.

Pour la Grèce, cependant, cette mesure allégerait le fardeau fiscal de la modernisation navale tout en ancrant plus profondément le programme d'IDE dans le cadre industriel de la défense de l'UE.

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il y a une heure, Alberas a dit :

Les Turcs se plaignent du mode de financement de la 4ème FDI :wub:

https://turdef.com/article/greece-eyes-safe-loan-for-fourth-fdi-class-frigate-purchase

La Grèce envisage un prêt SAFE pour l'achat d'une quatrième frégate de classe FDI

18 août 2025, 15h09

 

Athènes pourrait utiliser les prêts SAFE de l'UE pour acheter une quatrième frégate française d'investissement étranger direct, ce qui soulève un débat sur la question de savoir si les fonds destinés à contrer la Russie devraient financer la rivalité gréco-turque.

La Grèce envisage d'utiliser un financement de l'Union européenne au titre du règlement SAFE (Security Action for Europe) pour financer l'acquisition d'une quatrième frégate de classe FDI, baptisée Themistocles, ont confirmé des responsables à Athènes. Si cette proposition est mise en œuvre, ce serait la première fois que la Grèce affecte des prêts SAFE à un programme d'acquisition navale majeur. Cette initiative soulève la question de savoir si un tel financement, destiné à contrer l'agression russe, devrait être affecté à des acquisitions principalement dirigées contre la Turquie.

Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a annoncé plus tôt ce mois-ci qu'Athènes bénéficierait d'environ 1,2 milliard d'euros de prêts garantis par le SAFE. Le coût estimé du Themistocles est légèrement inférieur à ce montant, et les contacts en cours avec Paris sur la coopération industrielle pourraient satisfaire aux critères d'éligibilité du SAFE, qui prévoient des coentreprises et une part minimale de contenu européen.

Les responsables ont déclaré que ce plan témoigne de la volonté du gouvernement d'accélérer un programme déjà approuvé par le Conseil gouvernemental des affaires étrangères et de la défense. Les procédures SAFE devraient s'achever en novembre, mais une annonce pourrait intervenir dès septembre. Si Athènes va de l'avant, cela nécessitera une redéfinition des priorités dans le cadre du Plan d'équipement de défense à long terme sur 12 ans, ce qui pourrait entraîner des retards dans des projets tels que la production de véhicules polyvalents.

La marine grecque décrit cet accord d'investissement étranger direct comme sa plus importante amélioration depuis quatre décennies. La Grèce construit déjà trois frégates en France, toutes modifiées pour emporter des missiles de croisière. Le Themistocles sera équipé pour ce rôle dès le départ, ce qui contribuera à un coût final qui devrait dépasser l'estimation initiale de 980 millions d'euros.

Le gouvernement a souligné l'importance de renforcer la participation nationale au programme. Actuellement, les chantiers navals et les entreprises de défense grecs se consacrent principalement à des tâches de faible technicité, comme le soudage de sections préfabriquées, tandis que les systèmes critiques – radars, capteurs, électronique – sont importés. Une situation similaire s'applique aux modernisations de la classe MEKO aux chantiers navals de Skaramangas. Les responsables affirment que l'objectif est de développer la base industrielle nationale tout en garantissant les délais de livraison et des capacités avancées.

Tensions autour de l'éligibilité au SAFE

Les prêts SAFE ont été introduits en 2025 pour aider les États membres de l'UE à répondre à la guerre menée par la Russie en Ukraine et à renforcer les capacités de défense européennes collectives. Les règles de financement exigent que les projets renforcent les priorités de défense de l'UE ou de l'OTAN, avec un minimum de 65 % de la production en Europe.

TurDef se demande si les prêts SAFE destinés à financer une frégate destinée à renforcer la dissuasion grecque en mer Égée pourraient s'avérer politiquement controversés. Bien qu'Athènes puisse inscrire le projet dans le cadre de la sécurité maritime et de la protection du corridor énergétique de l'UE, les critiques de TurDef affirment qu'il porte atteinte à l'« esprit » du programme, explicitement lié à la lutte contre les menaces russes.

La Turquie, bien que non membre de l'UE, est un allié de l'OTAN, et Ankara pourrait considérer ce financement comme contradictoire avec les objectifs affichés du bloc. Les capitales européennes pourraient également se demander si l'allocation de fonds à des rivalités bilatérales s'inscrit dans le cadre du SAFE.

Pour la Grèce, cependant, cette mesure allégerait le fardeau fiscal de la modernisation navale tout en ancrant plus profondément le programme d'IDE dans le cadre industriel de la défense de l'UE.

La turquie est membre de l'UE?
Non.

La turquie a raclé des fonds de l'UE depuis des annés, des dizaines de milliards même, pour en retour être un soutien du terrorisme et des filières d'immigration illégale qui font peser un risque croissant sur l'UE?
Oui.

Donc qu'ils chialent plus fort, c'est une douce musique à nos oreilles.

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Affirmer que l'acquisition de la 4e FDI est dirigée contre la Turquie est une manœuvre assez grossière, non ?

Ça a été exprimé quelque part par les grecs ?

Non ? Bon alors seul le motif officiel (renforcer la sécurité de l'UE face à la Russie) est entendable. Le reste, c'est de la poésie (turque).

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