Asgard Posté(e) le 1 février Share Posté(e) le 1 février 3 hours ago, g4lly said: et comment on imite une armée en mouvement avec des engins naturellement statique. En gros qu'elle est la doctrine de l'armée fantôme qui doit projeter des forces pour mystifier l'adversaire. Tu fou ces ballons sur une radiocommandée et hop, ca bouge haha Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 1 février Share Posté(e) le 1 février il y a 22 minutes, Asgard a dit : Tu fou ces ballons sur une radiocommandée et hop, ça bouge haha En général pour leurrer on a un protocole qui permet d'éviter que l'ennemi ne comprenne. On essaie de savoir quand il observe. On l’empêche d'observer ou on trouve un créneaux ou il observe pas, c'est le brouillage souvent. On met en place le leurre dans ce créneaux. On arrête le brouillage, ou la fenêtre d'observation possible par l'ennemi s'ouvre. On lui présent alors une scene qui nous arrange. On essaie de détecter sa réaction à notre stimulation. On recommence le cycle, brouillage, mise en place des leurre et de la scene à présenter, présentation via arrêt du brouillage, observation de la réponse ennemie etc. J'essaie de comprendre comment aujourd'hui on arrive à trouver une fenêtre de mise en place du "truc", de manière à ce que l'ennemi ne comprenne le trucage que beaucoup trop tard. Le magicien par exemple attire l'attention du spectateur d'un coté alors qu'il met en place le truc d'un autre ou à un autre moment, ou bien il met en place le truc dans son dos, derrière son chapeau etc. Ici avec des leurres pas très discret, comment on fait ... comment on les cache, comment on les montres, comment on les déplace pour les montrer autrement, ou ailleurs. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 1 février Share Posté(e) le 1 février On va vite arriver aux leurres robotisés mobiles ^^ Ça se fait déjà d'ailleurs, pour l'entrainement https://www.opex360.com/2022/08/19/larmee-allemande-a-recu-des-reproductions-robotisees-des-principaux-chars-de-combat-russes/ 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rescator Posté(e) le 2 février Share Posté(e) le 2 février Il y a 12 heures, g4lly a dit : En général pour leurrer on a un protocole qui permet d'éviter que l'ennemi ne comprenne. On essaie de savoir quand il observe. On l’empêche d'observer ou on trouve un créneaux ou il observe pas, c'est le brouillage souvent. On met en place le leurre dans ce créneaux. On arrête le brouillage, ou la fenêtre d'observation possible par l'ennemi s'ouvre. On lui présent alors une scene qui nous arrange. On essaie de détecter sa réaction à notre stimulation. On recommence le cycle, brouillage, mise en place des leurre et de la scene à présenter, présentation via arrêt du brouillage, observation de la réponse ennemie etc. J'essaie de comprendre comment aujourd'hui on arrive à trouver une fenêtre de mise en place du "truc", de manière à ce que l'ennemi ne comprenne le trucage que beaucoup trop tard. Le magicien par exemple attire l'attention du spectateur d'un coté alors qu'il met en place le truc d'un autre ou à un autre moment, ou bien il met en place le truc dans son dos, derrière son chapeau etc. Ici avec des leurres pas très discret, comment on fait ... comment on les cache, comment on les montres, comment on les déplace pour les montrer autrement, ou ailleurs. oui il y a une manoeuvre des leurres à redécouvrir. Les Turcs ont une bonne expérience à la frontière syrienne avec des leurres de M60 et de Kirpi. Ils les utilisent pour repérer les postes de tir ATGM. Toutes leurs bases aériennes disposent de leurres de F16. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 3 février Share Posté(e) le 3 février Le 28/01/2025 à 12:23, Rescator a dit : la DGA a reçu des offres budgétaires de différents industriels, KNDS, Arquus, Renk en particulier. Les chiffres étaient monstrueux. Il faut bien comprendre que le problème se situe au niveau du GMP pas du moteur seul. On n'échange pas le V8X contre un autre moteur sans toucher au reste, boîte de vitesses et refroidissement. Sans compter que tout ça doit rentrer dans la caisse sans tout casser. Ce qui ennuie tout le monde c'est l'abandon des activités militaires par Warstilä qui consent toutefois à poursuivre le MCO. Mais pour faire ça il faut des pièces de rechange que l'on ne trouve plus car les fournisseurs de Wartsilä sont passés à autre chose ou ont disparu. C'est ainsi que faute de financement Safran a démantelé sa chaîne de production de turbine TM307B et que dix ans après on lui dit "vous pourriez pas redémarrer?" "Si bien sûr ça fera X dizaines de millions d'euros". Le scanario europower pack a même été envisagé, on change tout, à 2 meurs l'exemplaire + changement de caisse. Finalement, la cannibalisation des GMP démontés, la relance de qq fabrications de pièces et autre solution de rustines va prolonger le parc. Jusqu'à quand je ne sais pas. Il faut comprendre le mur financier que toute les solutions alternatives représentent et personne n'est prêt à signer au moment où notre adt manque de tout, munitions, FLP, franchissement, drones, MTO, heures d'entraînement, simu, défense sol-air qu'il faut reconstruire de A à Z. Les problèmes de moteur d'un char qu'on utilise pas ou peu viennent en 5ième priorité car l'adr a la conviction que le combat collaboratif de Scorpion résout tout. Quels gains attendre du côté de l'impression 3D ? On se rends compte que Cummins mise à fond sur la fabrication de pièce de rechange via ce process. https://www.cummins.com/fr/news/2019/03/07/cummins-takes-next-step-3d-printing-and-future-manufacturing Or Nexter (désolé KNDS me saoule) a pas mal investi dans ce domaine. Il n'y aurait pas une option où justement on ne changerait pas le V8X, parce qu'on aurait établi le plan des pièces à reproduire ? 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 3 février Share Posté(e) le 3 février il y a 3 minutes, BPCs a dit : Il n'y aurait pas une option où justement on ne changerait pas le V8X, parce qu'on aurait établi le plan des pièces à reproduire ? La contstruction additive marche par trop mal pour les piece soumise à des contraintes modeste. Pour les pièces soumise à de forte contrainte on a pas du tout les même résultat que sur les solutions de forgeage par exemple. Je ne sais pas les pièce mécanique qui posent problème, mais même après construction additive il faut les usiner, effectuer les traitement thermique ou chimique etc. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février Pas de contexte, sans doute assez ancien 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rescator Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février Le 03/02/2025 à 21:37, g4lly a dit : La contstruction additive marche par trop mal pour les piece soumise à des contraintes modeste. Pour les pièces soumise à de forte contrainte on a pas du tout les même résultat que sur les solutions de forgeage par exemple. Je ne sais pas les pièce mécanique qui posent problème, mais même après construction additive il faut les usiner, effectuer les traitement thermique ou chimique etc. Exactement, la 3D ne peut pas reproduire les pièces forgées ou moulées, celles qui subissent des contraintes mécano-thermiques fortes. pour faire un rétroviseur c'est parfait, pour faire une bielle c'est raté 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février il y a 16 minutes, Rescator a dit : a 3D ne peut pas reproduire les pièces forgées ou moulées La métallurgie, c'est un métier .... Clairon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février Il y a 2 heures, Rescator a dit : pour faire un rétroviseur c'est parfait, pour faire une bielle c'est raté Cummins semble faire un gros travail sur l'utilisation de l'impression 3D pour produire et réparer des pièces de moteur diesel : Citation Cummins Pioneers Technologie d'impression 3D pour produire des pièces de moteur diesel Le principal fabricant de moteurs diesel lourds, Cummins Inc., est à l'avant-garde de l'utilisation de la technologie d'impression 3D pour produire et réparer des pièces de moteur critiques. Contrairement à de nombreux constructeurs de l'industrie du diesel, Cummins vise les technologies futures, dévoilant récemment le premier moteur électrique pour semi-camions. La société estime que pour prospérer au XXIe siècle, elle doit innover de nouvelles technologies plutôt que d'y s'y adapter. Bien que l'impression 3D en soit encore à ses balbutiements, elle devient de plus en plus courante pour les fabricants en raison du coût potentiel et du temps d'économies sur le marché. Utilisation de l'impression 3D pour réparer les têtes de cylindre: Cummins s'est associé au laboratoire national Oak Ridge du département de l'Énergie pour développer une stratégie d'impression 3D pour la société. L'utilisation de l'impression 3D dans la fabrication de pièces automobiles pourrait être énorme. Cummins estime que les avantages de l'impression 3D sont de 3 fois: effectuer sur la mèche des réparations à la volée pour les pièces de moteur usagées ou endommagées, produire des pièces de rechange selon les besoins et réduire le besoin de production de masse / stockage d'inventaire. L'impression 3D métallique, également connue sous le nom de fabrication additive, fonctionne en imprimant des couches microscopiques de matériaux une ligne à la fois pour créer une forme souhaitée. Dans un premier temps, l'utilisation de l'impression 3D peut être utilisée pour réparer les fissures existantes et les dommages dans les pièces du moteur. Cummins teste la technologie de réparation des culasses. Les culasses fêlées sont généralement condamnées à mort pour un moteur. Les techniques actuelles de réparation par les ateliers sont limitées à éliminer la fissure et le point froid soudant le trou avec l'utilisation de bouchons ou chauffage de la culasse jusqu'à environ 900 degrés dans un four, à faire la soudure, puis à attendre des jours où la tête refroidit dans une fosse de sable. La couture à froid fournit un patch temporaire pour prolonger la durée de vie de la tête mais n'apporte pas de lien fort entre la coulée d'origine et la soudure. Les cycles de chaleur et de décongélation finiront par se fissurer autour de la soudure. Le soudage à chaud ou le soudage par arc plasma permet de réaliser la soudure à l'intérieur du four de sorte que la soudure et la coulée sont toutes deux décomposées au niveau moléculaire et refroidies ensemble sous la forme d'une structure fluide. Cependant, le processus prend du temps et est coûteux. Avec l'impression 3D, une fraiseuse traditionnelle va arracher la section endommagée de la culasse. Les chercheurs utiliseront ensuite un fichier de CAO pour cartographier précisément l'architecture de la partie endommagée. Le fichier CAO sera ensuite téléchargé dans l'imprimante à l'aide d'un code G afin que le matériau de remplissage puisse être directement déposé dans la zone endommagée sans l'utilisation d'une couche de substrat ou d'un soudage supplémentaire. L'utilisation de l'imprimante 3D Cummins est appelée machine DM3D de la société du même nom. La machine DM3D est un système de dépôt direct d'énergie qui utilise une tête CNC à 5 axes. La buse de pulvérisation est guidée par laser pour obtenir un emplacement exact de l'endommagement. Une fois la zone endommagée détectée, la buse pulvérise la puissance métallique atomisée dans la fissure et le laser fait fondre la couche de poudre par couche. Les capteurs surveillent la température dans l'intérieur de la réparation pour éviter une fissuration inutile de la fonte environnante. La technique est très définie et offre une structure de collage plus précise avec le métal coulé environnant que le soudage traditionnel. En fin de compte, l'objectif avec la réparation d'impression 3D est d'adapter exactement la composition métallique existante pour créer un moulage sans couture sans soudure, voire plus fort. Cummins et Oak Ridge essaient d'essayer de perfectionner la réparation de la fonte. La fonte est sujette à la fissuration sous la chaleur et le stress. Jusqu'à présent, les chercheurs ont testé un alliage de nickel à haute densité pour éviter la fatigue des métaux pendant la réparation et augmenter la température thermique globale de la pièce du moteur diesel. Les résultats semblent prometteurs car les liaisons sous analyse microscopique montrent une bonne adhérence, cependant les pièces réparées n'ont pas encore été testées dans des conditions réelles. Au cours des prochaines années, Cummins prévoit de tester différentes combinaisons d'alliages métalliques pour déterminer quel alliage crée les liaisons chimiques les plus fortes avec la fonte existante. L'essai véritable sera de mettre la pièce réparée par des cycles de chauffage/refroidissement intenses au cours d'une utilisation normale du moteur. Pièces d'impression pour les départements de service : Cummins voit non seulement un avenir pour l'impression 3D dans sa division de reconstruction, mais aussi avec de nouvelles productions de pièces. La société prédit un avenir où chaque croupier dispose d'une imprimante 3D pour imprimer des pièces en temps réel en fonction des besoins. L'impression partielle permettrait à l'entreprise d'économiser des sommes indicibles en matière de production de pièces de rechange ainsi que de coûts de stockage, d'expédition et d'inventaire. Les services de services auraient la capacité d'imprimer des pièces de rechange en quelques minutes au lieu de supporter de longs délais d'attente pour les expéditions. La fin des années 1990 a vu l'avènement des processus de fabrication juste à l'heure, alors que les pièces seraient disponibles au moment précis de leur production. L'impression 3D mettrait en œuvre des modèles d'inventaire juste à temps du fabricant directement au niveau du détail. Le constructeur et le détaillant fusionneraient essentiellement en une seule unité sur une base. Pitfalls pour produire des pièces de moteur imprimées en 3D: Roger England, directeur de la science des matériaux chez Cummins, est optimiste mais prudent vis-à-vis de l'impression 3D. M. L'Angleterre estime que la technologie n'en est qu'à ses balbutiements et a encore un long chemin à parcourir avant d'être adoptée à plus grande échelle. «Je pense que l’industrie de la fabrication additive en ce moment est très similaire à l’industrie automobile au tournant du XIXe siècle. Lorsque les gens avaient des voitures dans les années 1890 ou 1900, il était courant que ces personnes étaient assez riches et qu'elles pouvaient se permettre d'embaucher un chauffeur qui était aussi un mécanicien qui pouvait faire fonctionner la voiture ». M. L'Angleterre s'associe à l'environnement actuel entourant l'impression 3D citant qu'il est « très intensif de travail pour le maintenir en marche ». Cummins s'est plaint que 3D Printing Machinery nécessite un flux régulier de mises à jour logicielles et matérielles. La technologie passe par des phases rapides de recherche et de développement à mesure que les fabricants en apprennent davantage sur la manière de rationaliser la fabrication additive. L'ensemble de l'industrie se développe à partir de la base et les difficultés croissantes sont courantes dans ces premières étapes. Il peut être difficile pour les utilisateurs finaux d'apprendre un nouveau système, de s'adapter à une nouvelle interface ou de mettre à niveau les anciens mécanismes pour tenir compte des changements sur le terrain. L'un des principaux obstacles que l'industrie de l'imprimerie 3D est d'apprendre à surmonter est de développer des mécanismes plus robustes pour répondre à un flux de travail continu. Les ingénieurs de la recherche et du développement n'avaient pas prévu que leurs machines seraient utilisées 24 heures sur 24 pendant des mois. La durabilité des composants internes actuellement en place n'est pas évaluée pour une utilisation industrielle à haut rendement. M. L'Angleterre a déclaré: «Les unités que nous avons ici dépassent enfin la mesure de disponibilité de 50%, et c'est après que nous déduisons le temps pour la maintenance programmée. C'était un grand défi. » D'autres problèmes concernant l'impression 3D de nouvelles pièces du moteur sont le contrôle de la qualité. Actuellement, une coulée fabriquée dans n'importe quel nombre d'installations de Cummins dans le monde entier sera soumise à des spécifications de production strictes afin de s'assurer que les pièces sont exactement les mêmes, quel que soit l'endroit où elles sont forgées. Avec l'impression 3D, chaque pièce de machine est tellement personnalisée qu'il n'y en a pas deux identiques. Cummins a déterminé que le niveau de cohérence entre les pièces produites sur différentes machines est encore trop important pour une production en série. La société a découvert qu'une pièce du moteur produite sur une machine ne correspondrait pas exactement à la même pièce produite sur une autre machine même si la marque, la marque, le modèle, le numéro de série et les entrées d'utilisateur étaient exactement les mêmes. M. L’Angleterre a déclaré: «Jusqu’à ce que nous puissions faire les choses correctement à chaque fois, ce n’est pas quelque chose que nous allons nous engager. » Cependant, Cummins voit une utilisation immédiate de l'impression 3D dans le développement de prototypes. Dans la division de la recherche et du développement, la création de prototypes de pièces et de moteurs dans le monde réel en quelques heures est un énorme avantage pour l'entreprise. La création de nouveaux prototypes de pièces nécessite la création de moules en plastique. Avec l'impression 3D, Cummins a produit un nouvel outillage de moule d'injection pour créer des conceptions compliquées très rapidement. Par exemple, la création de passages de refroidissement complexes au sein de diverses parties du moteur peut être intégrée dans le moule en plastique beaucoup plus rapidement qu'avec les méthodes traditionnelles. M. L'Angleterre a déclaré: «Beaucoup de fois, nos volumes ne sont pas assez élevés pour justifier financièrement l'utilisation de plastique moulés par injection, en raison du coût de l'amortissement des moisissures. Ayant maintenant fait du moulage par injection plastique un processus viable et compétitif en termes de coûts pour des volumes plus faibles.» Impact positif sur l'environnement: Cummins Modèle Prototype Engine - Image avec courtoisie de Fiman Innovations Outre les économies potentielles de coûts et la réduction des délais d'exécution, l'impression 3D de pièces automobiles réduira l'impact environnemental de la fabrication de ces pièces. Les pièces en aluminium moussées en plastique ou en aluminium moulés par injection réduisent toute l'empreinte carbone tout au long du cycle de vie du produit. Actuellement, les pièces moulées du moteur sont réalisées avec un mélange d'alliage métallique constant dans toute la pièce. Des matériaux de haute qualité comme le nickel et le chrome sont utilisés dans les qualités de masse par Cummins en raison de leur capacité à gérer des températures et des pressions élevées. Avec l'impression 3D, la capacité à ne renforcer que les zones qui ont besoin de matériaux à plus haute résistance réduira les coûts d'exploitation minière. Nous vivons des moments passionnants où les limites de la technologie semblent sans fin. Il semble que l'impression 3D soit sur la bonne voie en ce qui concerne la production de pièces de moteur, mais le temps dira à quel point il aura un impact important sur l'industrie. Sources : 1. Martin, Holly. « Impression 3D dans la fabrication de moteurs diesel : entretien avec Roger England, Cummins, Inc. » ASME.org, Sept. 2015, www.asme.org/engineering-topics/articles/manufacturing-processing/3d-printing-diesel-manufacturing-interview-roger. 2. Mâchoire, Isaac. Réparations de moteurs Cummins d'impression 3D et ENGINEERING.com, 7 septembre 2017, www.engineering.com/AdvancedManufacturing/ArticleID/15598/3D-Impnting-Cummins-Engine-Repairs.aspx. https://www.capitalremanexchange.com/cummins-pioneers-3d-printing-produce-diesel-parts/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février En résumé ca ne marche pas ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 5 février Share Posté(e) le 5 février Il y a 6 heures, g4lly a dit : En résumé ca ne marche pas ... Plutôt "work in progress"... mais l'article date déjà de qq années Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) le 5 février Share Posté(e) le 5 février Il y a 12 heures, Banzinou a dit : Pas de contexte, sans doute assez ancien … Mais comment ce Leclerc a pu se retrouver ainsi ? A voir la photo, c’est comme si il avait essayé de pénétrer cette tranchée à cheval sur l’un des bords et avait basculé. La végétation tout autour ne porte pas de marque de défrichement… Vraiment étonnant ! Tiens d’ailleurs, si la tourelle était occupée … comment l’équipage a pu se frayer un chemin ? Ils peuvent « se faufiler » via la trappe pilote ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 5 février Share Posté(e) le 5 février Il y a 6 heures, Ardachès a dit : … Mais comment ce Leclerc a pu se retrouver ainsi ? A voir la photo, c’est comme si il avait essayé de pénétrer cette tranchée à cheval sur l’un des bords et avait basculé. La végétation tout autour ne porte pas de marque de défrichement… Vraiment étonnant ! Tiens d’ailleurs, si la tourelle était occupée … comment l’équipage a pu se frayer un chemin ? Ils peuvent « se faufiler » via la trappe pilote ? C'est un nouvelle tactique d'embossement, comme ça la tourelle à plus de débattement verticale pour la LAD ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 5 février Share Posté(e) le 5 février A priori il y e a un qui s'est dit que ca passerait creme apres l'apéro ... Une chenille sur chaque muret et hop un raccourci. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Glenans29 Posté(e) le 5 février Share Posté(e) le 5 février (modifié) 19 hours ago, Banzinou said: Pas de contexte, sans doute assez ancien Il a voulu sans doute voulu passer par la route à 2 grammes pour éviter les flics... Modifié le 5 février par Glenans29 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
totochez78 Posté(e) le 5 février Share Posté(e) le 5 février Le 04/02/2025 à 19:55, Banzinou a dit : Pas de contexte, sans doute assez ancien de mémoire je dirais au moins 15 ans, le véhicule était pratiquement neuf... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
totochez78 Posté(e) le 5 février Share Posté(e) le 5 février Le 03/02/2025 à 21:37, g4lly a dit : La contstruction additive marche par trop mal pour les piece soumise à des contraintes modeste. Pour les pièces soumise à de forte contrainte on a pas du tout les même résultat que sur les solutions de forgeage par exemple. Je ne sais pas les pièce mécanique qui posent problème, mais même après construction additive il faut les usiner, effectuer les traitement thermique ou chimique etc. en 2017 Renault Trucks avait fait des tests pour gagner de la masse et réduire le nombre de pieces. Je ne crois pas qu'il y ai eu d'applications série. https://www.usinenouvelle.com/article/renault-trucks-imprime-ses-moteurs-en-3d-metal.N1830982 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 5 février Share Posté(e) le 5 février Il y a 1 heure, totochez78 a dit : en 2017 Renault Trucks avait fait des tests pour gagner de la masse et réduire le nombre de pieces. Je ne crois pas qu'il y ai eu d'applications série. https://www.usinenouvelle.com/article/renault-trucks-imprime-ses-moteurs-en-3d-metal.N1830982 Je fréquente la crème de la forge française, ils développent des imprimantes 3D pour leur labo, mais à ma connaissance ne sorte que des ébauches assez granuleuses quelques soit le mode d'impression. Les couche par couche avec poudre, racloir, puis fusion laser produise des couches assez épaisse si on veut imprimer un peu vite, quelques soit la finesse du laser, et la préparation de la pièce à postériori n'est pas triviale, il faut enlever soigneusement la poudre, détacher les supports, microbiller la surface, effectuer les traitement thermique pour réduire les tensions, puis usiner la pièce au cotes exactes, enfin les traitement thermochimique pour obtenir les bonnes dureté de surface. Il y a pas mal de travaille d'usinage à faire sur l'ébauche parce que les pièces sortir d'imprimante sont assez imprécise, rien que le calage du laser n'est pas évident à homogénéiser d'une machin à l'autre. Pour les autres solution type "filaire" avec des soudure point à point sur dépôt de poudre ou apport via "baguette" ... c'est plus rapide, mais souvent plus grossier. Mais ça peut être pratique pour ébaucher de grosse pièce ou ébaucher des moules. Dans le document précédent on voit qu'ils se servent essentiellement de l'apport de matière pour réparer des fissures ... c'est pratique d'automatiser cela, et d'obtenir un traitement assez homogène dans le temps de ce genre de pathologie. Mais ça ne permet pas de reconstruire un moteur par exemple. 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
totochez78 Posté(e) le 5 février Share Posté(e) le 5 février il y a 41 minutes, g4lly a dit : Je fréquente la crème de la forge française, ils développe des imprimantes 3D pour leur labo, mais à ma connaissance ne sorte que des ébauches assez granuleuses quelques soit le mode d'impression. Les couche par couche avec poudre, racloir, puis fusion laser produise des couches assez épaisse si on veut imprimer un peu vite, quelques soit la finesse du laser, et la préparation de la pièce à postériori n'est pas triviale, il faut enlever soigneusement la poudre, détacher les supports, microbiller la surface, effectuer les traitement thermique pour réduire les tensions, puis usiner la pièce au cotes exactes, enfin les traitement thermochimique pour obtenir les bonnes dureté de surface. Il y a pas mal de travaille d'usinage à faire sur l'ébauche parce que les pièces sortir d'imprimante sont assez imprécise, rien que le calage du laser n'est pas évident à homogénéiser d'une machin à l'autre. Pour les autres solution type "filaire" avec des soudure point à point sur dépôt de poudre ou apport via "baguette" ... c'est plus rapide, mais souvent plus grossier. Mais ça peut être pratique pour ébaucher de grosse pièce ou ébaucher des moules. Dans le document précédent on voit qu'ils se servent essentiellement de l'apport de matière pour réparer des fissures ... c'est pratique d'automatiser cela, et d'obtenir un traitement assez homogène dans le temps de ce genre de pathologie. Mais ça ne permet pas de reconstruire un moteur par exemple. tu pourrais passer dans les Fablab a Bourges , il y a pas mal d'exemples de pieces en métal, attention je suis loin d'etre un expert du sujet mais il me semble que au moins en labo on arrive a des pieces imprimées avec certes un peu de "prost prod ". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 5 février Share Posté(e) le 5 février il y a 1 minute, totochez78 a dit : tu pourrais passer dans les Fablab a Bourges , il y a pas mal d'exemples de pieces en métal, attention je suis loin d'etre un expert du sujet mais il me semble que au moins en labo on arrive a des pieces imprimées avec certes un peu de "prost prod ". En construction en cuve de poudre les couche peuvent faire 50μm mais c'est lent donc c'est souvent plus proches de 200μm ... pour la finesse du laser ça dépend souvent de la position sur la plaque, plus on s'éloigne moins ça focalise bien. Après ça dépend de l'aspect de surface dont on a besoin et des jeux minimaux spécifié, mais en général on ébauche puis on finit l'usinage de manière plus classique pour avoir une précision moderne. Pour coté pièce multimatériaux, c'est intéressant de faire des économies sur les partie qui servent de remplissage, et de mettre les matériaux les plus techno dans les zones fonctionnelle seulement, encore faut il que les matériaux soit "compatible" aussi bien chimiquement que thermiquement. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) le 7 février Share Posté(e) le 7 février Je sais que c'est un peu fou, mais Turbotech a mis au point une turbine très innovante pour l'aviation légère (Super ULM, drones, ...), ils disent s'être inspiré du principe de fonctionnement de la turbine de l'Abrams, en tout cas pour l'échangeur air-air Est-ce un rêve complètement fou de faire une Turbotech 10x plus grosse pour motoriser le Leclerc ? Clairon 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 7 février Share Posté(e) le 7 février Le 04/02/2025 à 21:47, Rescator a dit : Exactement, la 3D ne peut pas reproduire les pièces forgées ou moulées, celles qui subissent des contraintes mécano-thermiques fortes. pour faire un rétroviseur c'est parfait, pour faire une bielle c'est raté What ? On fait des moteurs de fusées en impression 3D alors ta bielle… Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 7 février Share Posté(e) le 7 février Il y a 2 heures, Clairon a dit : Je sais que c'est un peu fou, mais Turbotech a mis au point une turbine très innovante pour l'aviation légère (Super ULM, drones, ...), ils disent s'être inspiré du principe de fonctionnement de la turbine de l'Abrams, en tout cas pour l'échangeur air-air Est-ce un rêve complètement fou de faire une Turbotech 10x plus grosse pour motoriser le Leclerc ? Clairon Leur turbine en mode turbogenerateur TG-R90 délivre 85 KW et pèse 65 kg : cela la positionne comment par rapport à une turbine à gaz Turboméca TM-307B de 130 kg délivrant 20 ou 9 kW? (Je trouve que des spécifications en terme de débit d'air ) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 7 février Share Posté(e) le 7 février La TM-307B sort 22kW mécanique max - pour la soufflante du turbo - ou 9kW électrique - quand elle alimente l'alternateur associé - selon qu'elle sert de compresseur ou d'APU ... les 9kW électrique sont capé par la capacité de l'alternateur pas par la capacité de la turbine. L'alternateur lié au V8 est lui à 20kW il me semble. --- Le fait que le turbo soit alimenté plein charge même au ralenti moteur, permet au V8 de passer du ralenti au couple maxi en moins de 2 secondes. --- D'autres détail ici https://sturgeonshouse.ipbhost.com/topic/1576-french-flair/#elComment_129224 Meme si j'ai du mal à comprendre pourquoi la suralimentation volerait de la puissance au moteur, normalement c'est alimenté par de l'énergie perdu à l'échappement ... 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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