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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Introduction et image opérationnelle définie par l'utilisateur (UDOP) Définition Récemment, il y a un intérêt accru et significatif pour la connaissance partagée de la situation et collaboration qui découle d'une prise de conscience croissante de l'"art du possible" et d'une l'amélioration des capacités de mise en réseau. Cet intérêt et l'investissement qui en a découlé ont permis le développement et l'évolution rapide de concepts tels que l'image opérationnelle définie par l'utilisateur (UDOP). Ces "images" définies par l'utilisateur signifient la possibilité de fournir des informations opérationnelles à la plate-forme informatique d'un individu, en dehors des centres d'opérations traditionnels, lui permettant d'exercer sa fonction de soutien au commandement et au contrôle de son organisation. Ainsi, à un niveau élevé, l’UDOP a été défini comme une "vision de l'environnement opérationnel axée sur la décision qui organise des sources de données disparates pour soutenir une connaissance précise de la situation (CS) et une prise de décision opportune dans un environnement distribué centré sur le réseau". Avant l'UDOP, le concept d'image opérationnelle commune (COP) et plus tard l'image opérationnelle pertinente commune (CROP) étaient couramment utilisés. Ces termes et leur successeur, le terme UDOP, sont des termes qui permettent progressivement à l'utilisateur d'être au courant des informations nécessaires pour soutenir la prise de décision. Le CROP est une image unique/commune des activités et des capacités des forces qui affectent un théâtre ou une mission particulière. Les informations qui décrivent ces activités et capacités à l'utilisateur sont disponibles et accessibles sur le réseau. Le CROP, d'autre part, permet de personnaliser les COP afin de soutenir les différents groupes d'utilisateurs (par exemple, la logistique par rapport à la gestion des batailles). Pour chaque "groupe" d'utilisateurs, l'image opérationnelle est prédéfinie et l'accès aux informations pertinentes est préconfiguré.
  2. Collaboration centrée sur le réseau et connaissance de la situation avec une image opérationnelle avancée définie par l'utilisateur (UDOP) Résumé : Historiquement, les organisations gouvernementales et du secteur privé ont développé des "centres d'opérations" comme centres de commandement et de contrôle. Au cours de la dernière décennie, il y a eu un intérêt significatif pour la connaissance partagée des situations et la collaboration ainsi que pour l'amélioration des capacités de mise en réseau de ces organisations, ce qui a donné lieu à des concepts et des termes tels que "image opérationnelle commune", "image opérationnelle commune pertinente" et "image opérationnelle définie par l'utilisateur". Ces "images" signifient la disponibilité d'informations opérationnelles sur la plate-forme informatique d'un individu (en dehors des centres d'opérations) pour lui permettre de remplir sa fonction de soutien au commandement et au contrôle de son organisation. Ce document définit et présente les concepts technologiques d'une image opérationnelle définie par l'utilisateur (UDOP), au-delà du stade de prototype logiciel, qui permettent la collaboration en fournissant une conscience visuelle de la situation pour les utilisateurs finaux travaillant dans un réseau opérationnel qui offre un nombre croissant de sources d'information sur le web. Ces concepts UDOP sont pertinents pour les environnements où l'information ainsi que les utilisateurs finaux se connectent et collaborent par le biais du réseau pour soutenir les opérations. Les UDOP sont créé, visualisé, augmenté, adapté et partagé par l'organisation pour améliorer la connaissance de la situation et soutenir la prise de décision collaborative et hiérarchique. L'architecture UDOP prend en charge la visualisation en 2D, 3D et 4D (3D + temps) à l'aide de technologies COTS. Parmi les principaux défis techniques à relever pour la mise en œuvre de cette capacité UDOP, on peut citer : le soutien à mise à jour dynamique et en temps réel des informations, partage d'informations et collaboration entre pairs, définition et partage de modèles UDOP, et stratégies de mise en correspondance entre plusieurs modèles de données. La mise en œuvre d'un système UDOP robuste et flexible repose sur plusieurs modèles de conception de système clés qui comprennent une architecture orientée service (SOA), des mécanismes de plug-ins, des modèles de couches/filtres et un couplage lâche. Cet article décrit également une mise en œuvre de référence d'un système UDOP en examinant une capacité déployée opérationnellement appelée Global Awareness Presentation Services (GAPS). Mots clés : Network Centric, Net-Centric, Collaboration, Conscience de la situation (SA), Image opérationnelle commune (COP), Image opérationnelle pertinente commune (CROP), Image opérationnelle définie par l'utilisateur (UDOP), Création de vues, Visualisation, Augmentation, Adaptation, Partage, Prise de décision, 2D, 3D, 4D, Technologie commerciale standard (COTS)
  3. Sauf que la souris est plutôt un cobra. Et à quoi sert la vitesse de ta munition si ta cible ne peut pas se déplacer? Le Rafale n'a donc pas besoin d'une munition rapide, quand à la solution de tir, avec un HMDS ça doit le faire.
  4. Personnellement j'ai travaillé sur les systèmes de commandement jusqu'à la mise en œuvre de systèmes utilisant la COP, c'était au moment où j'étais responsables du MCO des systèmes de commandement de l'armée de l' air, la CROP c'était pendant que je travaillais à la supervision du Laser Mégajoule et l'UDOP pendant que je développais le signal quasi militaire de Galileo. Mais je n'ai pas pu m'empêcher de suivre l'évolution de ce domaine. Et je constate qu'aujourd'hui, le domaine s'est vulgarisé si bien qu'il y a des documents accessibles qui décrivent bien de quoi il s'agit. Alors je vais traduire un de ces documents, mais c'est juste pour donner une idée de la difficulté de réalisation d'un tel système. En plus le système décris n'est pas embarqué dans un avion et utilise des logiciels civils comme Google Earth qui poseraient des problèmes de sécurité si ils étaient employés dans un avion. Donc il faut imaginer que si on veut cette fonctionnalité il faut la développer dans un système militaire sécurisé et sûr (en particulier pour le terrain numérisé). Mais cela ne fait rien, les solutions aux problèmes ne sont peut être pas les bonnes pour les utiliser dans un Rafale, par contre tous les problèmes sont abordés. Le document que je vais traduire peut se trouver ici: https://www.researchgate.net/publication/4341453_Net-centric_collaboration_and_situational_awareness_with_an_advanced_User-Defined_Operational_Picture_UDOP
  5. Le système à terre doit lui aussi être rapide, et il ne peut même pas faire une évasive...
  6. Tu sais très bien que tu devra dézinguer des défenseurs, si tu es à court de munitions c'est que tu as mal calculé la force du raid nécessaire. Tu n'as aucune raison de prendre de l'altitude: si le système AA est masqué pour toi, tu es masqué pour lui et donc la préparation de mission a bien fait son travail. C'est si un système se démasque brusquement de manière imprévisible que tu le traites et que peut-être tu retournes vers ton dernier masque/hors de portée en croisant les doigts ou en faisant une prière à saint SPECTRA
  7. Il y a des trucs genre Talios ou pod aero qui font de très belles Images. On peut regarder dans le voisinage des antennes.
  8. Un porte drone: un bateau capable de lancer et récupérer un millier de petits drones.
  9. Alors maintenant il faut bien comprendre qu'il est illusoire de vouloir présenter une situation complète: en effet le cadre spatio-temporel serait le monde avec tout le passé et le futur prévisible et il faudrait mélanger la situation tactique, logistique, la situation électronique ( SIGINT, ELINT) la situation amie et la situation ennemie et beaucoup d'autre chose. Ce serait tout simplement non exploitable, c'est pourquoi en général on établit la situation demandé par la hiérarchie. Alors maintenant se pose la question de la situation établie non pas par une personne mais par les membres d'un réseau qui sont des combattants, dont les priorités ne sont pas les mêmes, mais qui doivent travailler en temps réel harmonieusement au bénéfice de tous. Ce point est adressé au travers d'une image (picture). L'image en question n'est qu'une façon, géographique, de présenter la situation: les informations les plus immédiates et importantes sont présentées de manière symbolique, et il faut désigner les symboles pour avoir des informations complémentaires. Ainsi le symbole d'une piste ami n'est pas le même que le symbole d'une piste ennemie et celui d'un bateau n'est pas le même que celui d'un avion, etc... Historiquement il y a eu les concepts de COP, de CROP et de UDOP. COP signifie Common Opérational Picture (Image Opérationnelle Commune): l'idée c'est que si on a la même Image, on va être plus cohérent dans ses actions. Les réseaux permettent aux opérateurs d'accéder à des quantités importantes d'informations en temps réel, et elles offrent la possibilité de mettre en place des capacités de commandement et de contrôle (C2) qui améliorent l'efficacité opérationnelle grâce à une connaissance partagée de la situation. Il faut ajouter des capacités d'aide à la décision et de visualisation efficaces, qui soient intuitives pour faciliter la connaissance partagée à tous les échelons du C2. Dans un contexte de C2 distribué on y arrive en créant une image opérationnelle commune (COP) appropriée. Cette image facilite la planification en collaboration et aide le commandement à obtenir une connaissance cohérente de la situation. La CROP est la Common Relevant Operational Picture, où on cherche à mieux sélectionner les informations que l'on partage, cela n'a été qu'une étape vers l'UDOP qui est l'User Defined Operational Picture où chaque utilisateur du réseau définit l'image qu'il veut voir.
  10. Surtout que tu ne peux pas mettre d'AEW sur ton Mistral sauf des hélicoptères qui portent beaucoup moins loin.
  11. J'en rajoute une petite couche: L'implantation d'un ODB dans le temps? C'est qu'il faut tracer les évolutions de l'ODB soit qu'il se renforce parce qu'il y a une montée en puissance, soit qu'il s'affaiblit parce qu'il y a désengagement ou attrition. Dans l'espace? C'est la géolocalisation des éléments avec l'aspect dynamique du fait de l'implantation dans le temps. Dans l'environnement? Là je prends un exemple. Vous montez une opération complexe et demain vous devez déployer plusieurs milliers de combattant, pendant la nuit il gèle: la situation a changée, le déploiement ne va pas être aussi facile. Cet exemple fait intervenir la météo, mais l'environnement peut aussi être artificiel: par exemple la densité électronique sur le champ de bataille fait partie de la situation et ça peut être l'ennemi qui brouille mais aussi les amis qui font un usage immodéré de toutes les fréquences disponibles.
  12. Je veux aller doucement, et débattre pour bien comprendre les concepts, avant de décrire l'emploi des concepts.
  13. J'ouvre ce sujet pour expliquer la notion de situation qui impacte la manière dont on fait la fusion de données. Je pense qu'il me faudra plusieurs posts pour arriver au résultat. C'est un sujet un peu théorique qui ne s'attache pas aux "traditions" ou à la terminologie et qui de ce fait essayera d'éviter les polémiques sur le vocabulaire employé par différentes unités opérationnelles. Je voudrais d'abord définir l'Ordre de Bataille (ODB): L’Ordre De Bataille est la description de l’organisation des éléments d’une force et de leur état. Il comporte les éléments, les relations entre ces éléments, leur état et les règles de comportement et d'engagement associées. Là vous allez comprendre ce que je veux dire quand je prétend que le sujet est un peu théorique: dans ma définition de l'ODB je dis qu'il y a les relations entre les éléments, mais sans préciser lesquelles: par exemple il peut y avoir l'organisation, qui chez les militaires est souvent hiérarchique, mais il pourrait y avoir aussi des relations relatives à la logistique: qui approvisionne qui. Toutes les relations font parties de l'ODB et si de nouvelle relations se créent elle vont faire aussi partie de l'ODB, par exemple la structure de sécurité du réseau informatique a du être créée assez récemment et l'ODB s'est enrichi à cette occasion. Bon, on passe à la situation: vous n'imaginez pas à quel point c'est casse gueule de donner une définition de la situation, parce qu'en fait, chaque militaire à une définition différente de la situation... Pour les militaires, il s'agit de connaître les objectifs, les armes, leurs caractéristiques et leurs positions. Tous ces éléments sont formalisés dans le concept de situation. Une situation est une implémentation d'un ODB dans le temps, l'espace et l'environnement. Le principe général consiste à tenir à jour l’ensemble des informations de situation du théâtre de façon à pouvoir effectuer une projection dans le cadre spatio-temporel défini, de l’information sélectionnée, qui correspond à la situation demandée par la hiérarchie. Les contraintes du théâtre d'opération impliquent une représentation des éléments connus et surtout des menaces connues avant que la connaissance ne soit complète (liens hiérarchiques, organiques, fonctionnels, dotations, effectifs, positions, déplacement...). En général une situation correspond donc plutôt à un ensemble d'observations. Mais si on peut faire le lien entre ce qui est observé et ce qui est connu sur l'ennemi grâce au renseignement d'ODB, cela améliore l'appréciation que l'on peut avoir de la situation. J'arrête là pour le premier post.
  14. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Le mode secours ça peut être retour à la maison et là il est vraisemblable qu'il retrouvera une liaison.
  15. Pour les différentes expériences envisagées, de nombreux paramètres doivent être mesurés pour être comparés à ceux que prédisent les calculs. Par exemple: l’énergie laser absorbée par la cible, la température atteinte par la cible, la pression générée, les vitesses d’implosion, les rayonnements et particules émises. Des diagnostics de mesure très spécifiques sont développés et utilisés : imageurs de très hautes résolutions spatiales de l’ordre de quelques 100ème de millimètre, détecteurs ultra-rapides de résolution temporelle approchant le centième de milliardième de seconde, des spectromètres ultra-précis qui mesurent les énergies des rayonnements et des particules. Certains diagnostics sont déployés, à partir d’un sas, dans la chambre d’expériences et sont pointés très précisément sur la cible qu’ils approchent à une distance de moins d’un mètre.
  16. C'est à peu près l'explosion d'un pain de dynamite, mais c'est plus dangereux que ça parce qu'il y a beaucoup de neutrons. http://www-lmj.cea.fr/videos/Film-Jalon-Fusion-CEA.mp4 http://www-lmj.cea.fr/lmj-applications-defense.html
  17. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Pour l'instant l'Inde n'a pas demandé de Talios: c'est juste Erasiatime qui se demande si cet achat ne serait pas pertinent. Mais l'Inde a acheté bien avant les Rafale 164 pod litening a un moment où on ne pouvait proposer que le Damocles. Les pod litenlng servent pour les SU-30 MKI, pour les Mirage 2000 et pour les Jaguar. L'Intégration au Rafale fait partie des ISE.
  18. Non le laser Mégajoule ne réalise pas de simulation. Il réalise une vraie explosion thermonucléaire de faible puissance. Le principe est de concentrer l'émission de 176 laser sur une pastille de la taille d'un grain de riz de deutérium/tritium. La pression de radiation des laser fait imploser la pastille, la pression et la température augmentent et les critères de Lawson pour une réaction thermonucléaire sont atteints. Pour cela il faut que les laser soient puissant que le tir soit précis pour que la pastille implose de manière isotrope, et que la synchronisation soit parfaite pour les mêmes raisons. C'est un instrument de physique des hautes énergies qui sert à recaler les modèles de simulation sur la réalité. Pour cela on conçoit une expérience avec le laser mégajoule, et on l'exécute, et on reproduit la même expérience en simulation afin de comparer les résultats. Si ils diffèrent, il faut améliorer les algorithmes jusqu'à l'identité des résultats. Une fois les modèles recalé on peut les utiliser pour concevoir autre chose.
  19. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Dassault Rafale Jets Get Talios Laser Designation Pods; Will India Acquire The French ‘Eye In The Sky’?
  20. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    CNO Gilday: Navy Needs ‘Fundamental Change’ in How it Develops Fighters Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) CNO Gilday : La marine a besoin d'un "changement fondamental" dans la façon dont elle développe ses chasseurs Par : Sam LaGrone Dans dix ans, l'épine dorsale de la flotte aérienne tactique de la marine commencera à se retirer sans qu'un successeur clair soit encore en ligne. Au début de cette année, le service a signalé la fin du programme F/A-18E/F Super Hornet et a mis à zéro la chaîne de production après 2021 pour financer à la place le programme Next Generation Air Dominance de la Marine. Le bureau du programme NGAD s'est levé au début de l'année après une décennie d'arrêts et commence à développer un ou plusieurs systèmes qui remplaceront la capacité de port d'armes du Super Hornet, a rapporté l'USNI News en août. Pour le chef des opérations navales, l'amiral Mike Gilday, la marine doit éviter de répéter les erreurs de procédure qui ont conduit à un processus de 20 ans pour l'entrée dans la flotte du chasseur d'attaque interarmées F-35C Lighting II. En 2000, lorsque nous avons effectué le vol d'essai du X-35, certains aspirants de l'Académie navale pensaient qu'ils allaient piloter cet appareil", a déclaré M. Gilday lors d'une interview téléphonique avec USNI News la semaine dernière. "Ils sont commandants maintenant." Lorsque l'USS Carl Vinson (CVN-70) se déploiera avec le premier F-35C de cinquième génération des "Argonautes" de l'escadron d'attaque (VFA) 147, il y aura plus de 20 ans que le premier vol de la variante X-35C aura eu lieu. Pour M. Gilday, si un chasseur porteur habité en vaut la peine, il doit arriver à la flotte dans un délai beaucoup plus court. "Je suis plus prudent avec le TACAIR de sixième génération, seulement parce que je vous dirai cela si je pense au temps qu'il a fallu pour mettre le F-35 en service", a-t-il déclaré. "Si nous avons investi dans la nouvelle génération de TACAIR au-delà des capacités du F-35 de la cinquième génération, il faut aussi un changement fondamental dans le développement et la livraison de cet avion, sinon l'investissement n'en vaudra pas la peine". M. Gilday s'est montré optimiste quant à l'avenir des systèmes d'aviation sans pilote pour les escadrons des porte-avions. "Il y a des efforts très hautement classifiés en cours - de la R&D en ce qui concerne les escadrons de prochaine génération. Il y a une forte concentration sur les systèmes sans pilote. Je suis un grand partisan des systèmes sans pilote", a-t-il déclaré. Bien qu'il soit positif pour l'avenir, l'aviation navale a pris du retard par rapport à d'autres secteurs de la marine dans le développement de systèmes sans pilote. "Je ne suis pas satisfait du rythme auquel nous avançons", a déclaré M. Gilday. "En comparaison, si nous parlons des efforts de la Marine en matière de systèmes sans pilote sous la mer, sur la mer et dans les airs, nous nous donnerions peut-être, vous savez, un B-moins sous la mer, un B-moins sur la mer et probablement un C-moins ou peut-être pire dans les airs". M. Gilday a cité l'écart de sept ans entre l'atterrissage en 2013 du démonstrateur de véhicule aérien sans pilote X-47B (UCAS-D) à bord du USS George H.W. Bush (CVN-77) en mer et le premier vol du programme de ravitailleur sans pilote MQ-25A Stingray en 2019. "Le MQ-25 est un projet sur lequel je mets la pression pour qu'il aboutisse. Et nous devons ensuite le réaliser à grande échelle", a-t-il déclaré. Au-delà de cela, il reste des questions fondamentales sur la suite donnée par la marine au Super Hornet auxquelles le service n'a pas encore répondu. "Ferons-nous du combat aérien en 2045 avec des avions pilotés ? Je pense que c'est une grande question", a-t-il déclaré. "Si nous allons faire appel à des avions pilotés en sixième génération, le calendrier de développement et de livraison doit être sensiblement meilleur que celui que nous avons vu avec la cinquième génération. “
  21. Je suis bien placé pour te dire qu'il y a quand même besoin de confronter les outils de Simulation à la réalité d'une expérience de temps en temps, et c'est à ça que le Laser Mégajoule sert. C'est quand même 176 Lasers chacun ayant le record mondial d'énergie transmise, dans un bâtiment de 85000 m2 avec un budget digne du F-35: on ne construit pas un truc pareil si quelques équations permettent de s'en passer.
  22. Picdelamirand-oil

    Eurofighter

    Bon ça clarifie les ordres de grandeur du prix du Captor et comme ECRS MK2 des anglais a des fonctions en plus du MK1, EA par exemple, il doit être plus cher ce qui rend impossible que l'appro de 40 Radars soit inclus dans le contrat £ 317 Millions. Sinon Ils dépensent pas mal à développer 3 versions: https://ukdefencejournal.org.uk/new-typhoon-aesa-radar-flight-trials-begin/
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