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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    C'est plus difficile que ça, parce que parfois ceux qui savent ont la mission de désinformer.
  2. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Vstol Jockey: Lorsque je l'ai déclaré, personne sur le forum ne m'a cru. J'ai très clairement indiqué qu'aucun Rafale n'avait été abattu. Mais deux d'entre eux ont été touchés par des éclats. L'un d'eux a été remis en état de vol dès le lendemain. Aujourd'hui, le monde entier reprend ce que j'avais dit. Beaucoup de gens ont cru aux mensonges de la PAF et aux fausses informations générées par les Chinois. Comprenez bien que, dans une guerre, la désinformation et le discours ont une grande importance. L'erreur tactique commise par l'IAF tôt le matin du 7 mai a été d'utiliser des Hammers au lieu de Scalps pour frapper des cibles proches de la frontière. Cela a mis les Rafale en danger et ils ont été attaqués par presque tous les chasseurs de la PAF qui étaient en vol à ce moment-là. Ils ont bien réussi à esquiver les missiles, mais l'absence de Metoer comme arme offensive et l'erreur d'utiliser des Hammers pour frapper les cibles ont causé cela. Un nombre maximal de PL-15 ont été tirés sur les formations de Rafale. L'IAF en a tiré les leçons et a utilisé les Rafale pour des missions de frappe en profondeur à l'aide de Scalp, qui ont atteint une précision sans précédent. Kirana a été touché par un Scalp. Je vous avais dit à l'époque que le Scalp était une arme très coûteuse, tandis que le Rampage utilisé par les Jags était beaucoup moins cher et tout aussi efficace. Je vous avais également dit que l'IAF allait acquérir davantage de Rafale. Mes amis français s'y sont opposés. Voyez-vous le côté positif de cette erreur tactique de l'IAF ? Afin d'abattre les Rafale, les chasseurs de la PAF se sont approchés très près des frontières de l'Inde, ce qui les a placés à portée de nos LRSAM et S-400. C'est ainsi que nous avons abattu 5 de leurs chasseurs à l'aide de SAM. Les Rafale ont donc peut-être été mis en danger, mais ils ont été efficaces en tant qu'appâts. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
  3. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    L'idée de sous traiter aux US la sécurité pendant 10 ans à fait long feu. L'IAF s'y est toujours opposé, mais le MOD voulait prendre des avions Américains en échange de ça.
  4. Picdelamirand-oil

    Mirage 2000

    oui mais il faut extrapoler un peu la position de la cible
  5. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    D'après ton lien les problèmes sont essentiellement au nord ouest du Pakistan alors que la frontière indienne est à l'est de celui ci. Je pense que les Indiens connaissent mieux la région que nous.
  6. Une déclaration de Zelensky: Nous avons eu une longue conversation approfondie avec @POTUS. Nous avons commencé par des discussions en tête-à-tête avant d'inviter les dirigeants européens à se joindre à nous. Cet appel a duré plus d'une heure et demie, dont environ une heure de conversation bilatérale avec le président Trump. L'Ukraine réaffirme sa volonté de tout mettre en œuvre pour parvenir à la paix. Le président Trump a fait part de sa rencontre avec le dirigeant russe et des principaux points abordés lors de leur discussion. Il est important que la puissance américaine ait un impact sur l'évolution de la situation. Nous soutenons la proposition du président Trump d'organiser une réunion trilatérale entre l'Ukraine, les États-Unis et la Russie. L'Ukraine souligne que les questions clés peuvent être discutées au niveau des dirigeants et qu'un format trilatéral est approprié à cet effet. Lundi, je rencontrerai le président Trump à Washington, D.C., pour discuter de tous les détails concernant la fin des tueries et de la guerre. Je suis reconnaissant de cette invitation. Il est important que les Européens soient impliqués à chaque étape afin de garantir des garanties de sécurité fiables avec les États-Unis. Nous avons également discuté des signaux positifs de la part des États-Unis concernant leur participation à la garantie de la sécurité de l'Ukraine. Nous continuons à coordonner nos positions avec tous nos partenaires. Je remercie tous ceux qui nous aident. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
  7. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Si il y avait que ça des machins qui chauffent il y en a partout et puis il y a le F-35 B. Et la soute qu'il faut ouvrir de temps en temps. avec des actionneurs électriques partout. Et c'est pas avec un seul renseignement qu'on fait une analyse mais en le recoupant avec d'autres.
  8. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Les analystes de la DRM peuvent en déduire plein de choses
  9. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Comment la Chine pourrait clouer les F-35 américains au sol https://www.geo.fr/geopolitique/comment-la-chine-pourrait-clouer-les-f-35-americains-au-sol-227008 La Chine a placé les États-Unis dans une situation critique en limitant ses exportations de samarium : un métal crucial pour les militaires américains, tandis que d'autres terres rares trouvent des applications civiles. Les négociations commerciales interminables entre la Chine et les États-Unis risquent de rythmer les prochains mois, alors que le président américain Donald Trump a fait de Pékin son principal adversaire sur le plan économique comme diplomatique. Mais si la deuxième puissance du globe est bel et bien vulnérable aux menaces de Washington, dont les droits douaniers pourraient mettre au chômage plusieurs millions de personnes, Xi Jinping dispose toujours d'un atout dans sa manche : la place prépondérante de la Chine dans la production des terres rares, vitales pour l'industrie de pointe. Un métal en particulier, le samarium, est au centre des attentions, tant il est essentiel pour le développement de matériel militaire de pointe ; la suspension des exportations de ce métal par Pékin le 4 avril remet ainsi en cause la suprématie militaire américaine, et place la Maison Blanche dans une position plus que délicate. Un effort pour réduire sa dépendance envers Pékin Les dix-sept éléments regroupés sous le nom de terres rares comprennent aussi bien des matériaux précieux que d'autres métaux beaucoup plus communs, comme le cérium. Tous partagent cependant des propriétés électromagnétiques les rendant indispensables pour l'industrie à forte valeur ajoutée, ainsi qu'une extraction coûteuse et polluante. La Chine a su tirer parti de ce dernier facteur : si le territoire de la république populaire ne concentre qu'une partie des dépôts mondiaux, Pékin s'est rendu indispensable en assurant l'extraction et le raffinage de l'écrasante majorité des terres rares utilisées dans le monde. Plusieurs pays, les États-Unis au premier plan, tentent depuis plusieurs années de briser ce quasi-monopole. Il s'agit d'une question presque existentielle pour Washington, quand on prend en compte que la Maison Blanche est dans une situation de dépendance à Pékin pour produire ses armements les plus avancés : il faut ainsi 4 100 kilos de terres rares pour produire les sous-marins américains de classe Virginie, ou 408 kilos pour assurer la construction d'un F-35, selon le Département de la Défense. Un métal pour les gouverner tous Mais malgré des initiatives américaines récentes, comme un plan pour construire une chaîne d'approvisionnement "de la mine à l'aimant", en contrôlant toutes les étapes allant de l'extraction de terres rares à leur utilisation dans le domaine militaire, les États-Unis ne sont pas arrivés au stade d'autosuffisance en 2025. La restriction imposée par Pékin en avril dernier sur les exportations de sept terres rares affecte donc particulièrement Washington. Mais si six des métaux sont utilisés dans le secteur civil, le samarium se distingue par sa grande utilité pour le matériel militaire de pointe. Comme le souligne le New York Times, le samarium peut ainsi résister à des températures extrêmement élevées sans perdre sa force magnétique, en faisant un matériau idéal pour concevoir des missiles ou des avions. Le principal utilisateur de samarium aux États-Unis est ainsi Lockheed Martin, géant de l'aviation militaire, dont les F-35 nécessitent 22 kilos de samarium. Ce statut aide à expliquer les décisions que la Chine a pris concernant ce métal : là où le dysprosium et le terbium, deux des sept terres rares dont les exportations ont été suspendues en avril, ont depuis reçu des licences d'exportations, le samarium n'a pas encore bénéficié du même traitement. De quoi compliquer la production militaire américaine à court terme, en attendant le développement de solutions alternatives pour alimenter le complexe militaro-industriel américain.
  10. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Mais quoi, tu ne sais pas reconnaître quand une information n'est pas publique? alors on peut répéter l'information dans des milieux spécialisés mais pas la source de l'indiscrétion.
  11. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Dassault Aviation en passe de décrocher une commande historique de 114 Rafale en Inde ? https://opexnews.fr/dassault-aviation-114-rafale-inde/
  12. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Je pense que il n'y a rien à en dire: l'Inde est temporairement en position de faiblesse du fait de la météo et soupçonne le Pakistan de vouloir en profiter, alors c'est alerte maximale...
  13. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    L'Inde a besoin de temps jusqu'à la mi-septembre pour que la mousson soit terminée afin de pouvoir affronter le Pakistan dans une guerre à grande échelle. Le nord-ouest de l'Inde reçoit beaucoup de pluie pendant la mousson et même le centre du pays est inondé en raison des fortes précipitations, ce qui pose des problèmes pour le déploiement rapide des forces. Le Pakistan a un avantage en raison de sa taille et de la configuration de son territoire. Il peut se mobiliser très rapidement. Cette action du BAT s'inscrivait dans le cadre d'une telle tactique visant à forcer l'Inde à entrer en guerre totale avant le 15 septembre. L'objectif était de prendre à nouveau des têtes comme trophées à afficher sur les réseaux sociaux afin de forcer l'Inde à riposter. Le plan du Pakistan consiste à créer un événement majeur qui obligera certainement l'Inde à riposter et, sous ce prétexte, à lancer une attaque préventive contre nos principales bases et le long de la frontière terrestre autour de Gurdaspur afin d'occuper une partie de notre territoire avant même que les forces armées indiennes ne puissent réagir à l'invasion terrestre. Après cela, ils iront à nouveau s'asseoir sur les genoux des États-Unis pour demander un cessez-le-feu. Si le Pakistan réussit son plan, ce sera la première fois que nous aurons un cessez-le-feu avec le Pakistan occupant notre territoire. Cela donnera une victoire tactique majeure au Pakistan et laissera l'Inde, en particulier Modi, dans une situation très embarrassante. C'est une question à laquelle nous devons trouver une réponse et je suggère que nous supprimions immédiatement les corps d'armée et les réorganisions en divisions offensives, placées sous le commandement du corps d'armée Piovt qui dispose déjà d'IBG. L'objectif devrait être de frapper sur un très large front au Pendjab grâce aux IBG et de laisser ces divisions offensives passer par les brèches ouvertes par les IBG, les corps pivot avançant avec ces divisions offensives. N'oubliez pas que ce jeu consistant en une nouvelle attaque terroriste majeure suivie d'une frappe préventive du Pakistan est entièrement entre les mains du Pakistan. Ils peuvent choisir le moment et le lieu, pas nous. Nous devons donc être très bien préparés. D'une certaine manière, l'armée indienne s'est montrée défaillante dans l'opération Sindoor, car elle a demandé beaucoup de temps pour se préparer à la guerre. L'IN et l'IAF étaient prêtes beaucoup plus rapidement. En particulier, l'IN peut passer à l'action en moins de 15 minutes, non seulement grâce à ses navires de guerre, mais aussi grâce à ses batteries côtières Brahmos. L'IN est aujourd'hui le seul service en Inde à disposer de missiles Brahmos d'une portée de 800 km. L'IAF et l'IA disposent de versions plus anciennes. Depuis Okha, l'IN peut frapper au-delà de Gwader. L'IAF aura besoin de 4 heures pour lancer un Brahmos-A, tandis que l'IN peut le faire en moins de 15 minutes. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
  14. On a cas les voler alors, on les amènent en Guyanne?
  15. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    C'est la NSA qui valide que la cryto convient, et quand les Français ont réussi les tests les Américains ont été très surpris!
  16. https://www.defense.gouv.fr/sites/default/files/aid/Bilan d'activités-2024.pdf chez moi celui là il marche au lieu de copier le lien j'ai copié l'adresse du lien que Kovy avait donné, il y a peut être des caractères spéciaux qui n'apparaissent pas?
  17. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    La France propose toujours une formation puis une assistance à la mise à jour de ces bibliothèques qui restent sous contrôle total du client. On est loin d'un téléchargement obligatoire depuis Washington.... et la France récupère de l'information sur les menaces, comme le PL15 par exemple.
  18. Picdelamirand-oil

    F-22

    Hé hé !! En parallèle, l’évolution des technologies de détection représente un défi. Les radars bistatiques, comme l’Associative Aperture Synthesis Radar (AASR), exploitent la coopération entre plusieurs émetteurs et récepteurs situés à des positions distinctes. Cette approche permet de contourner partiellement les principes de la furtivité conventionnelle, en détectant les avions furtifs grâce à des angles d’illumination multiples et des réflexions indirectes. De telles innovations pourraient, à terme, diminuer l’avantage opérationnel des chasseurs de cinquième génération comme le F-22. Pour rester pertinent face à ces menaces émergentes, l’appareil devra continuer à évoluer, notamment par l’amélioration de ses systèmes électroniques, de ses contre-mesures et de ses matériaux, afin de préserver son statut de référence en matière de supériorité aérienne Le terme furtivité conventionnelle a cette saveur un peu surannée que j'apprécie beaucoup.
  19. Life Cycle Cost. C'est le coût total sur la vie de l'avion y compris le coût d'achat et tout ce qu'il a fallu payer pour faire voler l'avion.
  20. La question n'est pas très précise: par exemple si on compare un f-18 E avec un Rafale C le F-18 E est moins cher à l'achat et le Rafale C est moins cher en LCC.
  21. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    La moitié des mes espérances semble en bonne voie il reste à satisfaire l'autre moitié d'ici la fin de l'année. https://forum.air-defense.net/topic/26137-exportation-du-rafale-prospects-et-clients-potentiels/?do=findComment&comment=1820142
  22. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Avec les derniers développements entre les US et l'Inde, les Indiens sont emmerdés d'avoir motorisé les LCA Tejas avec des réacteurs de General Electric et veulent acheter des Rafale pour avoir un avion occidental qui ne soit pas motorisé US !
  23. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Des indiens ont redéfinis certain sigle: NAMRCA: Not Acquired, Maybe Reviewed, Cancelled Anyway SLEEPFA: Still Looking, Evaluating Every Plane Forever Again HOPE: Hold On, Procurement Eternally TENDER: Talks Endlessly, No Decision Ever Reached NIBB: Not Impressed By the Brochure. NINDA : Non-Intended Nonsense Defence Acquisitions. LAUDA - Looking for Aircraft from Universe Decision Awaiting. ORCA - Once Ready, Cancel Again. TEDBF: The EnD of Bharat's Fighters. AMCA: Acquisition Managed by Careless Administration. DRAG: Delays Repeatedly, Again & Again, Guaranteed RAFALE: Repeated Assessment For Another Lifetime Evaluation FLYBY: Filed, Listed, Yawned, Buried Yesterday JETLAG: Just Evaluate Tender, Leave Again Gradually FIGHTER: Forever In Government's Head, Tendering Endless Rounds
  24. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Vstol Jockey dit qu'ils n'en ont pas perdu ! Cela ressemble à l'Egypte.
  25. Avant que le piège du F-35 se referme sur la Suisse https://www.letemps.ch/opinions/editoriaux/avant-que-le-piege-du-f-35-se-referme-sur-la-suisse ÉDITORIAL. Une commission parlementaire veut enquêter sur l’explosion des coûts du jet américain. En pleine crise des taxes douanières, elle se doit de faire la lumière sur un choix discutable afin de rétablir la confiance Ces prochains jours, une poignée de parlementaires se lancera dans une enquête potentiellement explosive. Il s’agira pour les neuf membres de la Commission de gestion du Conseil national de comprendre pourquoi le prix des 36 F-35A, avant même la réception du premier appareil, s’envole avec un surcoût annoncé de 1 milliard de francs. Ce pourrait n’être qu’un début. Et cela, en contradiction avec toutes les promesses de l’armée et du Conseil fédéral sur un prix fixe à 6 milliards. Il était temps d’agir. Car non seulement le plus grand flou a présidé au processus d’acquisition de cette «Ferrari du ciel» mais toutes les questions concernant ce choix ont été systématiquement écartées au nom de la sécurité nationale. Il est vrai que le contexte international, avec l’invasion de l’Ukraine, incitait alors à faire confiance au Conseil fédéral et aux «spécialistes» militaires afin d’assurer la défense aérienne du territoire. Cette confiance a été rompue avec l’annonce, fin juin, d’un «malentendu» avec Washington. Le nouveau ministre de la Défense, Martin Pfister, dans un effort louable de transparence, a pour la première fois exposé dans une conférence de presse la véritable logique de ces achats avec ce constat: la Suisse s’est livrée au Pentagone et n’a aucune maîtrise des coûts. Pire, elle n’a aucune possibilité de recours sur le plan juridique. Seule une négociation politique, de gouvernement à gouvernement, permettra de clarifier les termes de ce «contrat». Seule une Commission d'enquête parlementaire peut faire la lumière Avec le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, on mesure à quel point le Conseil fédéral a manqué d’anticipation et de lecture géopolitique pour le choix de son plus gros contrat d’armement du siècle. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir été alerté, à commencer par le Contrôle fédéral des finances, mais aussi par de nombreux articles de presse et un petit nombre de parlementaires. Aux questions juridiques, stratégiques et techniques légitimes sur un appareil connu aux Etats-Unis mêmes pour ses problèmes récurrents de production a répondu une forme de conspiration du silence. Ni le Conseil fédéral, ni l’armée, ni le parlement n’ont pris au sérieux les mises en garde et leur devoir de contrôle. Pour déterminer la responsabilité de ces errements, il est à craindre qu’une simple Commission de gestion aux pouvoirs limités soit insuffisante. Comme pour l’«affaire des Mirage», c’est une Commission d’enquête parlementaire qui seule pourra faire la lumière. Celle-ci est nécessaire pour des raisons de sécurité nationale. Le F-35A est peut-être l’avion dont la Suisse a besoin. Mais il est temps d’expliquer à la population quels sont son véritable coût, sa véritable mission et ce que cela signifie pour la neutralité du pays. Après le fiasco des taxes de 39% imposées à la Suisse, un scandale des chasseurs-bombardiers furtifs, dont une clique au sein de l’armée a voulu à tout prix, est de nature à créer la défiance face aux autorités. Ce n’est pas le moment.
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