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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
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Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Oui mais la France ne compte pas l'équiper d'un vrai SNA. -
La Corée du Sud achète du missile Meteor de MBDA pour son avion de combat KF-21 La Corée du Sud vient de signer un contrat d'achat pour un premier lot de missiles air-air Meteor de MBDA pour en équiper ses avions de combat KF-21 Boramae. Un contrat pour 100 missiles Meteor de MBDA "L'Administration du programme d'acquisition de défense (DAPA) de la Corée du Sud a signé le 30 octobre dernier un contrat d'achat de missiles air-air à longue portée Meteor conçus par la société européenne MBDA dans le but d'équiper le nouvel avion de chasse supersonique sud-coréen KF-21", rapporte l'agence de presse sud-coréenne Yonhap News qui précise : " un officiel de la DAPA a indiqué que «les négociations sur le prix d'achat, la date de livraison et le soutien technique après la vente ont été conclues et le contrat d'achat a été signé ainsi», en poursuivant qu'«avec ce contrat, il sera possible d'acquérir 100 missiles air-air Meteor comme premier lot au moment de la production de masse du chasseur KF-21.» Tir d'essai depuis le KF-21 au mois de mai dernier Cette commande d'un premier lot de 100 missiles a été précédée par un tir d'essai du Meteor depuis un KF-21 en mai dernier (après des essais de largage en mars) "au-dessus de la mer Jaune, à l'ouest de la péninsule coréenne". "L'essai s'est déroulé en trois étapes, avec d'abord la détection et la poursuite de la cible volante à 87 km de distance grâce à son radar actif à balayage électronique (AESA), le lancement du missile, puis le passage du missile à 1 mètre de la cible. Le radar AESA du KF-21 a été conçu avec des technologies locales et permet de suivre plusieurs cibles avec des composants plus avancés et plus efficaces", rappelle Yonhap News. Quatrième avion de combat pour le Meteor Le Meteor, qui équipe déjà les avions de combat Eurofighter, Gripen et Rafale, en équipera donc un quatrième, le sud-coréen KF-21 qui pourra prendre quatre missiles. Capable de voler à une vitesse de Mach 4 voire même plus, le Meteor a une portée maximale de 200 km. Le premier prototype du KF-21 a effectué son premier vol en juillet 2022.
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Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Et ce n'est pas un avion de combat. -
Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Il est vrai que les trois mousquetaires étaient quatre. -
Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Oui comme le Maroc -
Oui mais là ils vont demander du F5 + ISE vu les délais Indiens.
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On devrait prévoir le retour à la base et l'atterrissage automatique !
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Eh bien il n'y a rien à comprendre, c'est une synthèse de ce qu'on connait déjà. Les problèmes de cadence de production sont à peu près les mêmes pour tout le monde puisqu'il faut produire en Inde, il faut donc construire l'usine qui produira en Inde, et le bâtiment est la partie la plus facile de la construction, ce qui compte c'est les machines et l'informatique qu'il faudra fournir. Ensuite si on prend 3 ans pour les négociations je ne te raconte pas pour le reste ! Cela permet de voir venir. Je pense que c'est Dassault qui sera le plus rapide car il a préparé son coup.
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EXCLUSIVE: India’s Ghatak Stealth UCAV Moves Forward, Likely With Dassault EXCLUSIF : L'UCAV furtif indien Ghatak va de l'avant, probablement avec Dassault MISE A JOUR / 7 MARS : Livefist peut désormais confirmer qu'une maquette métallique grandeur nature du Ghatak est actuellement en cours de fabrication par une entreprise privée de Bengaluru, en coordination avec l'Aeronautical Development Agency (ADA). L'exercice a été ordonné à la fin de l'année dernière par le chef du DRDO, le Dr S. Christopher. Le modèle grandeur nature servira deux objectifs préliminaires : mesurer la portée de détection et la surface équivalente radar « sèche », c'est-à-dire avant l'application des caractéristiques avancées de réduction de l'observabilité/RCS et/ou des revêtements spéciaux en cours de développement. Livefist a également appris que le DRDO et Dassault Aviation ont entamé des discussions approfondies sur l'utilisation d'une partie des engagements de compensation de ce dernier dans le cadre du contrat Rafale afin d'apporter des technologies et des logiciels avancés (dont certains proviennent du programme nEUROn) au projet Ghatak et de contribuer à accélérer les choses jusqu'à la phase d'ingénierie et de conception à grande échelle (FSED). Les équipes de Dassault et d'ADA se sont rencontrées à deux reprises, et une troisième réunion est prévue en mai de cette année. Une équipe d'ADA a également été invitée en France pour examiner de plus près les travaux de Dassault dans le domaine des UCAV, centrés sur le programme nEUROn.
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Les Indiens font des calculs: Pour mener une guerre sur un seul front, nous avons besoin de 30 escadrons. Pour mener simultanément une guerre sur deux fronts, nous avons besoin de 42,5 escadrons. En raison des réalités géopolitiques actuelles, il n'y a pas de crainte immédiate d'une guerre sur deux fronts. Si nous excluons tous les Mig-21 et les LCA Mk1A, nous aurons 29 escadrons. 3 escadrons de Mig-29 devaient être supprimés, mais ils seront prolongés d'une décennie. 3 escadrons de Jaguar DARIN II devraient être retirés du service d'ici 2035, ce qui nous ramène à 26 escadrons. Un autre demi-escadron MKI devrait être créé après le 13e escadron ; 20x13,5 = 270. Soit 26,5 au total. Avec une MLU MKI de 84 jets, soit 21 jets par escadron, il est possible que le 13,5ème escadron ne soit pas augmenté. Ainsi, avec la disparition de tous les Mig-21 et de la moitié des Jaguar, il n'y a pas de nouvelle phase de retrait avant 2035, lorsque tous les Jag (2040), Mig-29 (2042) et Mirages (2042+), soit un total de 9 escadrons, seront retirés du service. Le retard dans la modernisation des Mirages signifie qu'au moins un escadron peut survivre jusqu'en 2045. Ainsi, avec 9 nouveaux escadrons de LCA arrivant entre 2024 et 2032, nous aurons 26+9 = 35 escadrons en 2032. Si nous supposons que 2 escadrons Mk2 et 1 escadron MRFA sont introduits d'ici 2035, nous aurons alors 38 escadrons, d'après mes calculs. L'IAF s'attend en fait à disposer des 42,5 escadrons d'ici 2035, en supposant que les intronisations de LCA Mk2 commenceront en 2031 au lieu de 2033, ce qui leur donnera au moins 4 escadrons, et le MRFA pourrait arriver tout aussi rapidement pour un ou deux escadrons supplémentaires. Avec 9 escadrons en attente, nous pouvons supposer que les 5 MRFA, 4 Mk2 et 7 AMCA restants combleront le vide entre 2035 et 2045, ce qui nous amènera à 45 escadrons. Bien que je dise que 3 escadrons de Jaguar seront progressivement retirés au cours des prochaines années, il pourrait s'agir de 2,5 escadrons car la moitié d'entre eux est une version relativement nouvelle de raid en mer avec l'EL/M 2032 sous les Dragons. Le retrait progressif pourrait prendre quelques années de plus. Je suppose que le plan précédent prévoyait que l'escadron 13,5 MKI le remplacerait, ce qui n'est pas nécessaire avec le LCA Mk2, mais on ne sait jamais. Quoi qu'il en soit, d'après mes calculs, nous aurons 38 escadrons d'ici 2035, alors que l'IAF pense avoir les 42,5 escadrons d'ici là. Je crois qu'ils pensent que le LCA Mk2 entrera en production en 2029, que les livraisons commenceront en 2031, que les 6 escadrons seront introduits en 2036 et que la MRFA sera à mi-chemin, à raison de 24 par an pour les deux. J'ai donné un délai de 3 ans entre l'appel d'offres et les négociations contractuelles pour la MRFA, je ne serai pas surpris si c'est moins que cela.
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Non même pour avoir cette information il faut faire du rétro engineering sur ce qui se dit et s'écrit.
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Les indiens ont deux possibilités: un contrat de gouvernement à gouvernement comme pour les 36 Rafale déjà vendus ou un appel d'offre. Et le gouvernement (MOD) vient de dire qu'il était exclu que ce soit de gouvernement à gouvernement étant donné la controverse qui a eu lieu qui a amené des documents classifiés à être exposé devant les juges de la court suprême qui ne sont pas habilités.
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En fait le RBE2 XG utilisera des antennes multifonctions réparties autour de l'avion, il faut donc prévoir des zones transparentes aux fréquences utilisées, mais si c'est définis ça peut se faire à l'avance.
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La comparaison avec les ISE des Indiens : ceux ci avaient des modifications matérielles: des brouilleurs tractés et dans la queue qui nécessitaient des modifications de câblage, et des équipements supplémentaires pour étendre Spectra en bandes basses et hautes en plus de modifications du logiciel pour gérer de façon optimale tout ça. Est ce qu'on a attendu 2022 (qui est la date où tout était prêt) pour commencer les livraisons? Non, on a livré des avions capables des ISE dès 2019 qui ont été installés en 2022 à la fin des livraisons 6 ans après la signature du contrat. Et 2024 + 6 = 2030.
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Je reviens sur le drone lancé dans le cadre du standard F5 qui est prévu pour 2033. J'en avais conclus que F5 serait aussi disponible en 2033 mais ce même 8 Octobre le ministère des armée a aussi édité ça: Rafale standard F5 : premières commandes notifiées aux industriels Donc F5 à partir de 2030, ce qui signifie que comme pour les ISE Indien on peut d'ore et déjà commencer à produire des Rafale capable F5 et les rétrofiter en 2030. C'est la magie des financements EAU!
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Dassault a de l'avance sur ses concurrents car il a créé un centre de formation où il a formé des employés de DRAL et de futur employés à ses méthodes.
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Cela ne déstabilise en rien les négos en cours, qui semblent d'ailleurs terminées, c'est deux choses indépendantes le Marine et l'IAF. https://forum.air-defense.net/topic/21-linde/?do=findComment&comment=1744595 https://forum.air-defense.net/topic/21-linde/?do=findComment&comment=1748900
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Tout dépend des réponses des participants au RFP. Dassault a beaucoup d'arguments positifs, mais il faudra être conforme aux demandes délirantes du RFP. Mais les autres aussi, bref si j'étais chez Dassault chargé de la réponse j'estimerais que j'ai de grandes chances de gagner, mais je ne le dirais pas.
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Non, ça c'est des arguments de forumeurs, Si il fallait sortir 50 Rafale par mois, Dassault sortirait 50 Rafale par mois, mais pas demain, il faudrait d'abord mettre à jour l'outil industriel, Airbus sort bien plus de 50 A320 par mois! La chaine actuelle est capable de 3 Rafale par mois et peut être poussée à 4. Il y a 2 ou 3 ans Dassault a demandé à ses sous traitants si ils étaient capable de monter à la cadence 4,5 par mois 4 pour la production et 0,5 pour les pièces de rechanges. La réponse a été oui sauf peut être quelques exceptions que Dassault a aidé à corriger, donc ils sont prêt à monter à cadence 4. Les difficultés d'appro sont à considérer dans le contexte de la logistique mise en place, par exemple pour les A320 on est pas limité à 3 avions par mois à cause des appros parce que les contrats et les outils sont dimensionnés pour des quantités tout autres, en réalité c'est parce que tout est calculé au plus juste qu'il y a problème en cas de crise, mais si on passe à 4 l'optimum économique va changer et on aura les mêmes difficultés à produire la quantité prévue qu'à 3 mais pas plus. Et Dassault est tout à fait capable de gérer la situation présente. Les Indiens c'est des tas d'organismes qui ont des priorités différentes, ce qui vient de se passer c'est que le blocage du MOD a sauté: le MOD délivre l'AON (Agreement Of Necessite) qui est nécessaire pour que l'IAF puisse émettre un RFP. Alors l'AON n'a pas été émis mais le MOD dit qu'il comprend le besoin de l'IAF et que sa demande est justifiée, cela signifie qu'au délai des processus administratifs près, l'AON va sortir. Et le RFP de l'IAF est dans les starting block depuis plusieurs années et est mis à jour en temps réel pour pouvoir être émis dès que ce sera autorisé.
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Govt backs IAF plan to procure 114 Multi-Role Fighter Aircraft but faces 2 problems. What’s the logjam Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Le gouvernement soutient le projet de l'IAF d'acquérir 114 avions de combat multirôles, mais se heurte à deux problèmes. Quel est le problème ? L'IAF ne compte plus que 31 escadrons de chasse sur le papier, alors que l'effectif autorisé est de 42. Ce nombre diminuera encore l'année prochaine lorsque les deux derniers escadrons de MiG 21 Bison seront retirés du service. New Delhi : Le gouvernement de Narendra Modi soutient pleinement les plans de l'armée de l'air indienne (IAF) visant à acquérir 114 avions de combat multirôles (MRFA), et est conscient de l'épuisement des effectifs des escadrons de chasse, ont déclaré des sources gouvernementales. Elles ont indiqué que le projet MRFA était en cours et que de nombreux cycles de discussions avaient eu lieu « pour finaliser les contours de la voie à suivre ». Les sources ont également indiqué que le gouvernement, les fonctionnaires et les officiers de l'IAF tentaient de trouver une solution à deux problèmes principaux. « Nous essayons de trouver une solution pour sortir de l'impasse », a déclaré une source. L'IAF ne compte plus que 31 escadrons de chasse sur le papier, alors que l'effectif autorisé est de 42. Ce nombre diminuera encore l'année prochaine, lorsque les deux derniers escadrons de MiG 21 Bison, qui fonctionnent déjà comme un seul appareil, seront progressivement retirés du service. Expliquant l'impasse, une source a déclaré : « La dernière fois, le gouvernement a proposé une solution à l'appel d'offres MMRCA (Medium Multi-Role Combat Aircraft), bloqué depuis des années, en passant un contrat de gouvernement à gouvernement pour 36 Rafale. Mais un bras de fer politique s'est engagé ». « Des officiers se sont présentés à la Cour suprême et des documents concernant l'intérêt national vital ont dû être partagés. C'est devenu une patate chaude politique », a déclaré une source gouvernementale. Les sources ont déclaré que la controverse était la véritable raison pour laquelle les officiers et les fonctionnaires, ainsi que le gouvernement, jouaient la carte de la sécurité. Les deux problèmes auxquels le Centre est confronté « La question est de savoir quelle voie emprunter. Allons-nous répéter le G2G pour plus de Rafale ? Si oui, selon quelles règles et combien ? Ou bien lançons-nous un appel d'offres ouvert, ce qui signifie que des essais complets doivent avoir lieu, mais ce sera un processus de longue haleine », a déclaré une source. Interrogées sur une proposition faite par l'IAF il y a quelques années de procéder à des essais limités étant donné que la plupart des avions avaient déjà participé à des sorties MMRCA et que l'IAF connaissait leurs capacités et leurs lacunes, les sources ont déclaré que les avions avaient fait l'objet de multiples améliorations et que cette voie ne pouvait donc pas être empruntée. Les sources ont déclaré que la deuxième question concernait la part de contenu indigène que le MRFA devrait avoir et la part qui serait fabriquée en Inde. « Si nous passons commande de nouveaux Rafale à Dassault aujourd'hui, l'entreprise ne pourra les livrer que bien plus tard, car sa capacité de production est réduite et elle a des commandes en attente. L'avion doit donc être construit en Inde, comme dans le cas du C-295 », ont déclaré les sources. Elles ont ajouté qu'une autre question liée à ce problème était que la société française avait choisi la dernière fois son propre partenaire indien. La question est maintenant de savoir si c'est l'IAF ou le gouvernement indien qui doit décider de son partenaire. Il est intéressant de noter que la société française Dassault Aviation a obtenu l'autorisation du gouvernement d'établir un centre de maintenance, de réparation et de révision (MRO) entièrement autonome près de l'aéroport international de Jewar, dans l'Uttar Pradesh, afin d'approvisionner non seulement la flotte indienne de Mirage 2000 et d'avions de combat Rafale, mais aussi celle de l'Indonésie. Cela signifie que Dassault a décidé de s'éloigner de son partenaire indien Reliance Defence d'Anil Ambani pour ce projet. Avec Reliance, Dassault a créé une coentreprise appelée Dassault Reliance Aerospace Limited (DRAL), qui exploite une usine à Nagpur pour fabriquer des pièces pour les avions d'affaires Falcon et les Rafale. Deux lignes de production pour le Tejas : un désastre Entre-temps, des sources gouvernementales ont rejeté l'idée avancée par l'ancien chef de service, le maréchal en chef de l'air V. R. Chaudhari, et l'actuel maréchal en chef de l'air A.P. Singh, de disposer d'une chaîne de montage privée distincte pour l'avion Tejas. L'IAF a déjà commandé 83 Tejas Mk1A et est en train d'en commander 97 autres. En outre, l'IAF prévoit également de disposer d'environ six escadrons de Tejas Mk2. S'exprimant sur la proposition de l'IAF, des sources ont déclaré qu'elles comprenaient le raisonnement des chefs d'état-major qui sont préoccupés par le retard de livraison du Tejas. Elles ont expliqué que ce retard est dû au fait que GE n'a pas fourni de moteurs pendant trois ans et que deux pays étrangers ont retardé l'intégration d'un missile et d'un radar particuliers. « Ce ne sont pas seulement les chefs de service qui l'ont dit, mais aussi d'autres. Nous avons étudié comment cela se passe dans d'autres pays. Aucun avion n'est fabriqué par deux entreprises différentes. Ce sera un désastre si nous choisissons deux entreprises distinctes pour le Tejas. Les coûts logistiques seront très élevés et la situation deviendra très compliquée », a déclaré une source.
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Centre hints at issuing an open tender for IAF's mega 114 fighter jets deal Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Le Centre fait allusion à un appel d'offres ouvert pour le méga marché des 114 avions de combat de l'IAF Par Ajit Dubey Le gouvernement est d'accord avec le besoin projeté par l'armée de l'air indienne d'acheter 114 avions de combat multirôles et envisagerait d'adopter un modèle non controversé pour l'acquisition de ces avions avancés, qui devront être fabriqués en Inde, ont déclaré des sources officielles. L'armée de l'air indienne a plaidé en faveur de l'achat de 114 avions de combat multirôles pour renforcer sa flotte, qui est confrontée à une pénurie d'avions modernes de la génération 4,5. Les sources ont déclaré qu'en 2016, le gouvernement a acheté 36 avions Rafale dans le cadre d'une procédure d'achat d'urgence pour répondre aux besoins urgents de l'armée. Cependant, l'affaire est devenue controversée et a été portée devant la Cour suprême, où les questions de sécurité nationale doivent être discutées en public. Les sources ont laissé entendre que le gouvernement lancerait un appel d'offres multi-fournisseurs pour acquérir ces avions dans le cadre de la procédure « Make in India », étant donné que le gouvernement a clairement indiqué qu'il n'importerait aucun système d'arme majeur. Les sources ont déclaré que le gouvernement est bien conscient des frustrations exprimées par les services en raison de la pénurie d'avions et qu'il prendra bientôt une décision réfléchie sur la question. À la question de savoir si le gouvernement achèterait d'autres avions de combat Rafale, les sources ont répondu qu'il faudrait au moins dix ans à l'entreprise française pour fournir ses avions en raison de l'énorme carnet de commandes de différents pays. L'armée de l'air indienne a acquis 36 Rafale dans le cadre d'un accord direct de gouvernement à gouvernement en 2016, les avions ayant été sélectionnés dans le cadre de l'accord sur les avions de combat multirôles de taille moyenne conclu à l'époque du Congrès. L'affaire est devenue controversée, l'opposition ayant formulé des allégations de corruption dans le cadre de cet accord. L'armée de l'air indienne dispose d'une trentaine d'escadrons d'avions de combat et nombre de ses appareils, dont les Jaguars, les Mirage-2000 et les MiG-29, devraient être retirés du service au cours des cinq à sept prochaines années. Les MiG-21 devraient également être retirés du service dans les prochains mois. L'IAF estime qu'elle a besoin d'avions de la génération 4,5 pour relever les défis qui se posent à elle sur les fronts nord et ouest. (ANI)
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Et pourtant c'est Bulgarian!
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F-35 fiasco: Zero capable goals achieved over the last six years Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Fiasco du F-35 : Zéro objectif atteint au cours des six dernières années Dans une évaluation accablante, le Government Accountability Office (GAO) a dressé un tableau sombre du programme d'avions de combat F-35 de l'armée de l'air américaine, qui comprend trois variantes : le F-35A, le F-35B et le F-35C. Au cours des six dernières années, de 2018 à 2023, aucun des F-35 n'a atteint ses « objectifs de capacité », obtenant la note alarmante de « 0 sur 6 ». Cette évaluation sévère soulève de sérieuses questions quant à l'efficacité et à la viabilité de l'un des projets militaires les plus coûteux de l'histoire américaine, qui a coûté aux contribuables plus de 1 500 milliards de dollars. Les difficultés du F-35 ne sont pas isolées. D'autres appareils, notamment le F-15E, le F-22 Raptor et des variantes navales telles que les séries EA-18G et F/A-18, n'ont pas non plus atteint leurs objectifs opérationnels au cours de cette période. L'A-10 n'a atteint ses objectifs qu'une seule fois au cours de ces six années, tandis que le F-15C a satisfait aux exigences une fois, le F-15D deux fois, le F-16C trois fois et le F-16D une fois. Cette sous-performance généralisée jette le doute sur les stratégies d'investissement et la planification opérationnelle de l'armée. Les implications de ces conclusions vont bien au-delà des préoccupations budgétaires. Conçu à l'origine pour offrir un avantage technologique dans les combats aériens, le F-35 a souffert d'une myriade de déficiences critiques. Qu'il s'agisse de problèmes logiciels persistants, de défaillances mécaniques ou de difficultés d'intégration des technologies de pointe, les capacités opérationnelles de l'avion ne sont toujours pas exploitées. Les systèmes radar et les technologies de gestion des données, qui sont censés améliorer la furtivité et la manœuvrabilité du F-35, ne fonctionnent souvent pas comme prévu. Le rapport du GAO met l'accent sur d'importants problèmes liés aux systèmes logiciels conçus pour l'échange de données entre les avions, ce qui compromet la capacité du F-35 à opérer efficacement dans des environnements de guerre centrés sur le réseau, où le partage des informations est crucial. Alors que les tensions mondiales augmentent, en particulier avec la Russie et la Chine, qui développent rapidement leurs capacités militaires, les insuffisances du F-35 pourraient entraver le positionnement stratégique des États-Unis en matière de supériorité aérienne. L'augmentation des coûts liés à l'entretien du F-35 est tout aussi préoccupante. Le programme a fait l'objet d'augmentations budgétaires continues et les coûts de maintenance par unité augmentent au lieu de diminuer avec le temps. Les dépenses opérationnelles actuelles du F-35 s'élèvent à environ 36 000 dollars par heure, ce qui est nettement plus élevé que pour les modèles d'avions de combat précédents. Cette augmentation des coûts grève le budget du Pentagone et détourne des fonds d'autres initiatives militaires essentielles. Le fardeau financier du programme F-35 ne met pas seulement en péril sa durabilité, mais limite également les investissements dans les technologies émergentes et les efforts de modernisation. Au lieu de canaliser les ressources vers des solutions innovantes qui s'adaptent à la nature changeante de la guerre, des fonds substantiels sont consacrés à l'entretien d'un système vieillissant. Cette mauvaise répartition soulève des questions urgentes sur la viabilité à long terme de la stratégie de l'armée américaine. En outre, l'importance croissante accordée aux conflits hybrides et aux menaces asymétriques exige une approche plus souple et plus adaptative de l'équipement militaire. Malgré l'énorme investissement dans le F-35, le Pentagone risque de s'enfermer dans un cycle où les coûts d'entretien des systèmes obsolètes limitent le développement de nouvelles plateformes. Ces dernières années, on a assisté à une évolution notable vers les drones et d'autres technologies qui offrent des solutions plus efficaces pour les conditions de combat modernes. Les dépenses croissantes liées au programme F-35, associées à ses lacunes persistantes, soulignent la nécessité de réévaluer les priorités stratégiques et la planification budgétaire. La triste note de « 0 sur 6 » peut sembler n'être qu'une statistique de plus, mais elle reflète une défaillance systémique qui pourrait avoir de graves conséquences pour la sécurité nationale. Pour illustrer la gravité de cette situation, nous pouvons examiner les besoins opérationnels annuels qui, pour diverses raisons, n'ont pas été satisfaits. Le programme F-35, développé par Lockheed Martin, a été lancé avec des objectifs ambitieux visant à fournir aux États-Unis et à leurs alliés une nouvelle génération de puissance aérienne. Ces objectifs opérationnels, appelés « objectifs de capacité », englobent des domaines cruciaux tels que la préparation opérationnelle, la capacité de combat, le soutien aux missions et l'intégration de nouvelles technologies. Le ministère américain de la défense définit ces exigences fondamentales, qui servent de référence pour évaluer les progrès du programme. L'objectif principal du F-35 est d'offrir un avantage substantiel dans les scénarios de combat, grâce à des capacités telles que la furtivité, une grande manœuvrabilité, des systèmes avancés de contrôle des tirs et un traitement intégré de l'information. Chaque année, les « objectifs de capacité » pour le F-35 comprennent généralement des points de référence pour l'exécution des missions, les taux de réussite des tâches, la préparation opérationnelle et l'interopérabilité avec d'autres plates-formes. Par exemple, ces objectifs peuvent stipuler un taux minimum de disponibilité des appareils d'environ 70 % pour les unités opérationnelles actives et un nombre déterminé d'exercices de combat réussis. En termes d'efficacité au combat, ces objectifs requièrent également l'intégration de nouvelles armes et technologies. Pour le F-35, il s'agit d'assurer la compatibilité avec les différentes munitions et systèmes, ainsi que de maintenir des normes de précision et d'efficacité pour les munitions utilisées au cours des missions. En outre, les capacités de soutien des missions doivent répondre aux exigences logistiques des opérations au sol, y compris les délais de réponse et la disponibilité des pièces de rechange pour maintenir l'état de préparation opérationnelle. Le F-35 doit également démontrer sa capacité à opérer dans un environnement en réseau, en intégrant des données et des renseignements provenant de plates-formes multiples. Cette capacité est essentielle, car les opérations militaires modernes reposent de plus en plus sur une coordination sans faille entre diverses unités de combat. Les objectifs dans ce domaine comprennent une communication réussie avec les forces alliées et la capacité de partager des données en temps réel. La capacité du F-35 à répondre à ces normes opérationnelles fait l'objet d'une attention constante de la part des chefs militaires et des experts. La non-réalisation de ces objectifs pourrait conduire à une réévaluation de la stratégie de soutien et du cadre d'investissement du programme, ce qui est vital pour l'avenir de la puissance militaire américaine. En conclusion, l'incapacité du F-35 à atteindre ses objectifs de capacité opérationnelle constitue un sérieux avertissement pour le Pentagone. L'analyse critique du GAO souligne le besoin pressant d'une plus grande transparence et d'une plus grande responsabilité dans les dépenses publiques. Face à l'escalade des menaces mondiales, les États-Unis ne peuvent se permettre de faiblir dans leur quête de supériorité militaire. Il est essentiel pour l'avenir des forces armées américaines de réaliser des investissements fructueux dans les nouvelles technologies et les solutions militaires adaptatives. Si l'on n'y prend pas garde, le pays risque de se laisser distancer par ses concurrents dans des aspects cruciaux de sa capacité militaire.
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Voilà, si Bulgarien avait dit ça on aurait pas dit qu'ils étaient nerveux.