Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Picdelamirand-oil

Members
  • Compteur de contenus

    16 232
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    306

Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    SUPER RAFALE – Et si la France avait déjà son chasseur de 6e génération ? https://armees.com/super-rafale-avion-6e-generation-dassault-f5-france/ Le Rafale F5 propulse Dassault dans la 6e génération : IA embarquée, combat en réseau, drones et furtivité. La France a-t-elle déjà son avion du futur ? Pendant que les États-Unis injectent des milliards dans leur programme NGAD et que les Européens pataugent dans les querelles d’ego autour du SCAF, la France poursuit son chemin, discrètement mais sûrement. À coups d’améliorations successives, le Rafale a su se rendre incontournable sur les théâtres d’opérations comme sur les salons internationaux. Mais avec l’arrivée du standard F5, prévue pour 2030, un cap est franchi. Une bascule. Celle qui fait dire à certains experts que le Rafale, sans changer de nom, change de génération. Alors, posons la question franchement : le Rafale F5 est-il un chasseur de génération 4.5, ou déjà un 6G qui s’ignore ? Une chose est sûre : le « Super Rafale » de Dassault n’a plus grand-chose à envier aux promesses des projets futuristes. Et pour cause : il les anticipe. Le cerveau du Super Rafale, c’est le réseau Ce n’est ni son allure ni sa silhouette qui font basculer le Rafale F5 dans une autre ère. C’est ce qu’il a dans le ventre. Et surtout dans la tête. L’avion va bénéficier d’une refonte complète de son système de combat, avec une intelligence artificielle embarquée, un traitement de données massif à bord, une fusion temps réel des capteurs, et surtout une capacité à agir en réseau avec d’autres plateformes habitées ou non. Dit autrement, le Rafale F5 ne se bat plus comme un avion. Il se bat comme un système de guerre connecté, capable de prendre l’initiative, d’orienter les tirs des autres, voire de coordonner une mini-flotte de drones. Ce principe, le « combat collaboratif », est l’un des piliers de la 6e génération. Et Dassault l’intègre dans un avion qui vole déjà. Cerise sur le gâteau : la France développe aussi son propre « cloud de combat » souverain, pour garantir la cohérence et la sécurité de ces échanges en environnement contesté. Pas besoin d’attendre le SCAF : ce futur-là arrive avec le F5. L’IA arrive à bord, mais ne prend pas les commandes On l’a dit : le Rafale F5 embarquera une intelligence artificielle, non pas pour remplacer le pilote, mais pour le seconder, l’assister, le soulager. Analyse de la situation tactique, détection automatique de menaces, priorisation des cibles, gestion des systèmes d’arme et des capteurs : autant de tâches que l’IA pourra automatiser ou anticiper. Une première dans l’armée de l’air française. Mais surtout, le F5 est conçu dès le départ pour opérer avec des drones, notamment une version militarisée du Neuron. L’idée ? Créer un duo complémentaire : le Rafale pense, le Neuron frappe. Le Rafale éclaire, le Neuron attire les missiles. Le Rafale observe, le Neuron transmet. C’est exactement ce que fait le F-35 avec ses loyal wingmen. Sauf qu’ici, c’est plus économique, plus souple, plus français. Nouveau moteur : le projet T-Rex change la donne Un avion ne vaut pas mieux que son moteur. C’est là qu’intervient T-Rex. Derrière ce nom de code : un nouveau moteur conçu par Safran. Plus compact, plus puissant, calibré pour répondre aux besoins énergétiques du F5 qui va embarquer toujours plus d’électronique, de brouilleurs, de calculateurs… Ce moteur offrira aussi un meilleur rendement, une capacité de super-croisière à plus long terme, et une gestion thermique améliorée. Là encore, c’est l’un des critères clés de la 6G : l’autonomie énergétique. Le chasseur du futur ne doit pas seulement voler vite. Il doit alimenter un arsenal électronique sans se faire repérer. Pari en cours. Pas furtif ? Pas grave : il sera discret quand il faut Certains objecteront : “Mais le Rafale n’est pas furtif”. C’est vrai, dans sa cellule. Mais la furtivité moderne ne passe plus uniquement par des formes anguleuses. Elle passe par l’intelligence électronique. Et sur ce plan, le Rafale F5 sera une forteresse discrète : Pod de guerre électronique nouvelle génération Missiles MICA NG adaptés à l’emport discret Réduction de signature radar et thermique Brouillage intelligent selon la situation Le F5 n’est pas un F-117. Mais il sera invisible quand il faut, et visible quand il le décide. Un équilibre qui correspond à la doctrine française, axée sur la souplesse et la résilience. Un calendrier crédible, des promesses tenues Là où le NGAD américain explose les coûts, où le Tempest/SCAF européen s’embourbe dans la gouvernance, le Rafale F5 est une feuille de route solide. Dassault ne promet pas un avion pour 2045. Livré en 2030, pas plus, dérivé d’un avion déjà en service, fiable, certifié, maintenu. Un Rafale F5 sortira des lignes de Mérignac avec 80 % d’éléments nouveaux par rapport à un Rafale F3R… mais sans réinventer la roue. Et à l’export ? Le Super Rafale peut-il supplanter ses adversaires ? Inde, Égypte, Indonésie, Émirats, Grèce, Brésil, Serbie… la liste des pays séduits par le Rafale ne cesse de s’allonger. Et avec le F5, l’avantage s’amplifie. Le Super Rafale arrive entre deux générations. Il comble un vide. Là où les autres attendent le SCAF ou le NGAD, lui sera déjà prêt. Et opérationnel. C’est bien là sa force : livrable, maîtrisé, soutenu. Et redoutablement pertinent pour des pays qui ne veulent pas attendre 2045 pour moderniser leur flotte. Qui d’autre peut proposer en 2030 un avion capable de mener un raid autonome, connecté, assisté par IA, commandant une escadrille de drones, tout en restant accessible financièrement ? Aucun. Sauf peut-être la Chine. Et encore. Le Super Rafale, l’arme du présent avec la logique du futur Non, le Rafale F5 ne sera pas officiellement un chasseur de 6e génération. Sa cellule, malgré ses améliorations, ne correspond pas aux standards du tout-furtif. Il n’est pas modulaire dans sa structure, et il ne sort pas d’un programme SCAF. Mais oui, le Rafale F5 incarne déjà 80 % de la 6e génération. Il anticipe ses codes, en exploite les doctrines, et les rend opérationnels bien avant les autres ! Et surtout : il sera prêt quand les autres seront encore à l’état de maquette, fut-elle numérique. La France, une fois encore, prouve qu’elle sait faire plus vite, plus malin, plus stratégique. Le Super Rafale, c’est peut-être le dernier chasseur piloté de l’histoire. Mais quel final !
  2. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    J'en sais rien, je ne suis pas motoriste.
  3. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Moi je le vois avec 2M88 sans post combustion (mais une capacité supercroisière). Les M88 sans post combustion sont plus court ce qui permet d'allonger la soute. On peut se rapprocher d'une solution genre turbojet pour compenser le fait qu'il n'y a pas de postcombustion.
  4. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Quand la dissuasion a un besoin, en général on se débrouille pour le financer. Pour moi ça vaut tous les contrats.
  5. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Les Émirats arabes unis pourraient cofinancer le T-Rex, le futur moteur du Rafale https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/les-emirats-arabes-unis-pourraient-cofinancer-le-t-rex-le-futur-moteur-du-rafale-1014400.html La France a proposé aux Émirats arabes unis de cofinancer une évolution du moteur M88 qui propulse le Rafale. La loi de programmation militaire ne prévoit aucun financement pour ce projet qui devient crucial pour l'armée de l'air. Michel Cabirol Publié le 20/12/24 à 06:24 Je ne sais pas si on l'a déjà posté Pour porter le prochain missile nucléaire ASN4G, le Rafale doit être plus puissant. Nom de code, T-Rex. Menée par le motoriste Safran, cette évolution du moteur M88 va augmenter la poussée du Rafale de 7,5 à 9 tonnes sans aucune modification majeure de la cellule. Soit un gain de puissance de 20% pour l'avion de combat conçu par Dassault Aviation. Longtemps attendu par Safran, ce programme, dont l'investissement est estimé entre 600 et 650 millions d'euros, fait désormais partie des besoins capacitaires exigés par l'armée de l'air pour le Rafale F5, dont les premières versions sont attendues vers 2033. Pour porter le prochain missile nucléaire ASN4G, le Rafale doit être plus puissant. Et l'armée de l'air a demandé à Safran un Rafale F5, qui soit « manœuvrant » avec le missile aéroporté ASN4G. Problème, la loi de programmation militaire (LPM) ne prévoit aucun financement pour le programme T-Rex.
  6. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Ah oui, on fait le T-REX pour le Rafale F5, mais on ne va pas l'intégrer sur le Rafale.
  7. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Ce qui a changé c'est qu'il y a le T-REX et donc la possibilité d'augmenter la charge emportée et l'autonomie.
  8. Oui mais puisque les lois constitutionnelles dérogent aux lois ordinaires si tu ne veux pas de ZFE tu mets dans la constitution qu'en France les ZFE sont interdites et tu peux même rajouter que le président de la république peut déclarer l'état de crise existentielle et que dans ce cas les déficits publics sont autorisés sans limites
  9. Je reviens aux USA: ce principe signifierait que la loi d'un état déroge à la loi Fédérale? ou bien faut - il mettre une hiérarchie comme pour les lois constitutionnelles? Et pour l'Europe est qu'on peut nous obliger à traduire dans les lois nationales une loi européenne ? Que se passe t-il si on ne le fait pas?
  10. Le coût des chasseurs CF-35 passe de 19 à 28 milliards de dollars https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2170858/rapport-verificatrice-f35-avions-achat-couts L’acquisition de la nouvelle flotte coûtera 46 % de plus que prévu aux contribuables, selon la vérificatrice générale du Canada. Lorsque le gouvernement Trudeau a conclu en 2022 l’achat de 88 avions de chasse CF-35A pour remplacer la flotte de CF-18 Hornet de l’Aviation royale canadienne, le coût de l’opération devait être de 19 milliards de dollars. Le premier appareil devait être livré en 2026 et la flotte devait être entièrement renouvelée d’ici 2033. Or, il en coûtera plus de 27,7 milliards de dollars pour se procurer ces avions. Leur mise en service pourrait également être reportée en raison de retards dans les infrastructures censés les accueillir, constate la vérificatrice générale du Canada, Karen Hogan. Dans son rapport sur l’un des plus gros achats jamais effectués pour le compte de la Défense canadienne, Mme Hogan s’étonne de la vitesse à laquelle le coût total du projet a gonflé en deux ans. Nous avons constaté que les coûts estimatifs du Projet de capacité future en matière d’avions de chasse avaient augmenté de 46 % entre 2022 et 2024, soit une augmentation de 8,7 milliards de dollars, écrit-elle. Cette nouvelle prévision n’inclut pas certains éléments nécessaires à la pleine capacité opérationnelle, tels que la mise à niveau essentielle des infrastructures et l’armement perfectionné. Ces éléments ajouteraient au moins 5,5 milliards de dollars au coût total, ajoute la vérificatrice. Selon son rapport, l’estimation des coûts du projet présentée en 2022 par la Défense nationale reposait sur des données obsolètes qui dataient de 2019. L’inflation, les variations du cours des devises étrangères et la hausse de la demande de munitions dans le monde seraient principalement à l’origine de l’augmentation du coût d’achat des CF-35 canadiens, estime Mme Hogan. Rappelons que le Canada a également investi en 1997 un milliard de dollars dans le programme de développement du chasseur F-35, sans promettre d'en acheter, auxquels participaient huit pays, dont les États-Unis. Trois ans de retard Outre l’explosion des coûts, la mise en service complète de la nouvelle flotte de CF-35 canadiens, prévue en 2033, pourrait être retardée, voire compromise, en raison d’importants retards dans les travaux qui doivent être faits notamment sur les bases de Cold Lake (Alberta) et de Bagotville (Saguenay, Québec) pour être en mesure d’accueillir les nouveaux escadrons de CF-35A. De nouvelles constructions sont en effet nécessaires sur ces bases en lien avec des exigences de sécurité plus élevées pour accueillir ce genre d’avions. Nous avons constaté que la construction des installations pour escadrons de chasse à Cold Lake et à Bagotville avait pris plus de trois ans de retard par rapport au calendrier prévu. Une citation deKaren Hogan, vérificatrice générale du Canada Dans les plans initiaux, la construction de ces installations devait être achevée en 2028, pour l’arrivée des premiers chasseurs CF-35A sur ces bases. Au moment de l’audit, la date d’achèvement prévue de construction de ces installations avait été repoussée à 2031, a constaté la vérificatrice générale. L'établissement de solutions provisoires pour prendre en charge les nouveaux avions en attendant que les infrastructures permanentes soient complétées devrait faire gonfler encore les dépenses d'infrastructures du projet, prévoit la vérificatrice. Pénurie de pilotes Un autre facteur qui pourrait compromettre la pleine mise en service de la nouvelle flotte de CF-35A, souligne Mme Hogan, est le risque d’une pénurie de pilotes qualifiés au sein de l’Aviation royale. Déjà signalée dans un rapport antérieur en 2018, la pénurie de pilotes de chasse était, selon la vérificatrice, le principal obstacle au respect des exigences opérationnelles des CF-18. Or, ce problème est toujours d’actualité en 2025, souligne-t-elle. Pour que la flotte d’appareils CF-35A soit pleinement opérationnelle, l’Aviation royale canadienne a besoin de plus de pilotes formés […] D’après les prévisions de la Défense nationale au moment de l’audit, le programme prévu de formation de pilotes ne permettra pas d’avoir suffisamment de pilotes d’ici 2032-2033 pour atteindre la pleine capacité opérationnelle, souligne la vérificatrice générale. Ottawa prend des mesures Réagissant au contenu du rapport, le ministre de la Défense, David McGuinty, a assuré que son gouvernement prend très au sérieux ce document et qu’il met en œuvre plusieurs mesures pour donner suite aux recommandations de la vérificatrice générale. Le ministre promet en outre plus de transparence dans la progression du Projet de capacité future d'avions de chasse (PCFAC) et un examen annuel – ou plus fréquent au besoin – des estimations de coûts. Selon M. McGuinty, beaucoup de paramètres économiques et géopolitiques ont changé depuis l’annonce du projet. La pandémie de COVID-19, la pénurie de main-d’œuvre, l’inflation et la perturbation des chaînes d’approvisionnement ont largement contribué à cette augmentation, souligne-t-il dans un communiqué. En combinaison avec la croissance des tensions à l’échelle mondiale et les répercussions connexes sur la disponibilité et la demande de matériaux, nous n’aurions pas pu réaliser la portée complète du projet à l’aide de notre budget antérieur, explique-t-il en ajoutant que la hausse du budget comprend aussi des fonds de prévoyance supplémentaires pour amortir d’autres augmentations éventuelles. La saga des F-35 À l’été 2010, le gouvernement conservateur de Stephen Harper annonçait l’achat de 65 appareils F-35 au constructeur Lockheed Martin pour remplacer les 88 CF-18 de l’ARC. Les conservateurs ayant procédé sans appel d’offres, le dossier est rapidement devenu conflictuel à la Chambre des communes. Les choses ont basculé quand les Canadiens ont découvert qu’au lieu des 9 milliards de dollars prévus, l’achat leur coûterait plutôt 30 milliards de dollars. Peu de temps avant d’être élu, en 2015, Justin Trudeau avait publiquement promis d’annuler cet achat. Ce qu'il a fait. Il avait plus tard annulé le projet d'achat de 18 avions Super Hornets en 2017 après l'offensive de Boeing contre l'entreprise aérospatiale Bombardier. En 2023, les libéraux annonçaient à leur tour l’achat de 88 chasseurs F-35 pour un coût initial de 19 milliards de dollars. Mais, l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche a de nouveau compromis l’avenir de cette commande. Après que ce dernier ait déclenché une guerre commerciale et annoncé son intention d’annexer le Canada, le gouvernement libéral a remis en question l’achat de ces 88 appareils. Qui plus est, le fait que les États-Unis demeurent propriétaires du logiciel embarqué dans les avions et des informations de vol et de mission qu’il recueille, Ottawa a commencé à regarder ailleurs pour compléter sa flotte, notamment du côté de la Suède qui fabrique le chasseur Gripen. Le Canada a déjà payé 16 des 88 avions qui doivent commencer à être livrés au début de l’année prochaine, mais rien n’est coulé dans le béton en ce qui concerne les 72 autres appareils que compte acquérir Ottawa.
  11. Si ton moteur c'est un M88 ça va faire riquiqui mais si c'est un F135 ça commence à être mieux. Un F-35 sans les entrées d'air sur les cotés (et sans la soufflante pour le décollage vertical), ça ferait de la place quand même.
  12. Le J-36 si tu enlèves les deux moteurs latéraux
  13. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Not only one or two hit in NUR KHAN but much more meaning sead and dead oparations. https://www.moneycontrol.com/world/nur-khan-airbase-is-under-us-control-even-army-officers-kept-out-claims-pakistani-security-expert-article-13103583.html
  14. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Pour le F5 c'est tellement loin que je comprend que cela ne soit pas entièrement défini, mais F4.1 est déployé, F4.2 va être livré et F4.3 c'est ce qui reste. Donc on devrait pouvoir en savoir un peu plus quand même.
  15. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Oui je l'ai vu (les parties 1 et 2) franchement, je ne sais pas si c'est parce que je connais assez bien le programme, mais j'ai trouvé lassant la litanie des défauts de la partie 2, tout en me disant oui ça il faut le dire! Il y en a trop et du coup on ne voit plus à quel point c'est scandaleux. Mais j'aurais sans doute fait beaucoup moins bien, c'est juste difficile. J'ai peur pour la partie 3 qui va aller dans plus de détails.
  16. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    On touche quand même un point intéressant: le système de refroidissement a été spécifié pour 14 Kw, il en tire 30kw sans modification ce qui fait fonctionner le moteur hors spécification, ce qui l'use de façon anormale: il faut bien comprendre que c'est "l'anormal" qui use le moteur parce que les puissances en causes sont négligeables par rapport à la puissance totale du moteur qui s'exprime en Mw et pas en Kw. Et là ils nous annoncent qu'ils vont pouvoir tirer 40 Kw uniquement par logiciel. A mon avis c'est une modification du même genre que la première: on change des paramètres dans le logiciel les prélèvements sont plus importants et roule ma poule. Si c'était mieux que la première intervention, ça aurait été fait depuis longtemps à la place de celle ci. Donc les 38 milliards de maintenance supplémentaire vont passer à 60 Milliards. D'où l'urgence de faire autrement c'est à dire de concevoir un système qui délivre la puissance souhaitée tout en permettant au moteur de fonctionner dans ses spécifications.
  17. Je pense que les Chinois vont demander un RETEX aux Pakistanais pour savoir comment leur matériel à fonctionné et mettre à jour leur plans pour Taiwan.
  18. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Ce texte fait passer un message stratégique réel : la dissuasion repose sur la perception autant que sur la réalité, et le Pakistan entretient un flou depuis longtemps. Mais ce flou est ici caricaturé jusqu'à l’absurde pour créer une forme d’alerte stylisée. On ne ferait pas autant d'exercices Poker si la perception n'avait pas une grande importance.
  19. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Pourquoi tu dis 30% alors que dans l'article c'est 25% tout le temps? Et ce n'est pas la première fois que je constate ce genre de dérive
  20. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Il ne faut pas prendre ce truc au sérieux: Ce texte utilise le style d’un témoignage pseudo-technique pour construire ce qui semble être une fiction habile, sous forme de satire ou de critique stratégique déguisée en mémoire confidentiel. Le texte emploie un ton ironique, avec des références improbables ou volontairement absurdes : « Le modèle Roynigam » = une blague sur une mauvaise transcription de Roy & Nigam. « Les amortisseurs en graphite » = pales de ventilateur de plafond gravées à la main… « Doctrine Schrödinger » = une idée séduisante mais conceptuellement absurde dans le cadre militaire réel. « WordPerfect » et « télécopieurs » = exagération humoristique du retard technologique. Ce sont des procédés d’écriture typiques d’une satire intellectuelle, pas d’un véritable mémo stratégique. « Closed-Circle Society for Strategic Isotope Control » : aucune trace identifiable de cette organisation dans les cercles scientifiques ou de défense connus. « Forum alpin de physique à Lucerne » : invention probable, aucun événement de cette nature n’est connu dans la diplomatie nucléaire. La grange mal comprise comme une grange agricole est un gag bien connu des physiciens, ici recyclé pour suggérer une ignorance comique. Le signal de détonation analysé comme un bruit de climatisation est une exagération moqueuse. Le tritium utilisé comme surligneur fantaisie pousse encore plus loin l’absurde. Ce texte circule depuis 2024/2025 sur des forums comme Reddit, LessWrong ou certains cercles francophones spécialisés dans la stratégie ou la satire intellectuelle (comme Jean-Baptiste Jeangène Vilmer ou Andréa Fradin ont pu en produire dans un autre genre). Il s’inscrit dans une tendance récente à écrire des pastiches sérieux (style académique ou de think tank) sur des sujets très sensibles, comme la dissuasion nucléaire.
  21. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    J'entends que le radar d'un HQ-9 aurait détecté un Rafale, aurait passé ses coordonnées au SAAB qui les aurait distribuées AUX JF-17 et J-10 C...
  22. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Lecture critique de la satire sur le désarmement nucléaire du Pakistan à la lumière des frappes de mai 2025 Le texte satirique présentant le Pakistan comme "nucléairement désarmé" sans en être conscient ou sans vouloir l’admettre, peut d’abord être lu comme une provocation gratuite. Mais une lecture attentive, croisée avec les événements opérationnels de mai 2025, révèle une satire mordante qui s’appuie sur une réalité militaire potentiellement très grave. 1. Une satire fondée sur une rupture stratégique réelle : l’opération Sindoor Les frappes indiennes de mai 2025, connues officieusement sous le nom d’opération Sindoor, ont visé plusieurs sites sensibles : Nur Khan Air Base, qui héberge souvent les avions transporteurs d’armes nucléaires. Mushaf et Sargodha, liés au commandement nucléaire stratégique pakistanais. Possiblement Kirana Hills, suspecté d’abriter des bunkers d’ogives ou de composants nucléaires. Bien que le Pakistan n’ait pas confirmé l’ampleur des dégâts, des analystes comme Tom Cooper soutiennent que l’accès aux armes aurait été temporairement, voire durablement, neutralisé. La satire s’empare de cette hypothèse opérationnelle et en tire une conclusion logique mais provocante : le Pakistan n’a plus d’option nucléaire exploitable, et le monde l’ignore parce que personne n’a intérêt à le dire officiellement. 2. Un retournement de la logique de dissuasion L’ironie du texte repose sur l’idée que le Pakistan n’est plus dissuasif, mais fait encore semblant de l’être, et que cette façade suffit... tant que personne ne la conteste. C’est un renversement cynique de la doctrine classique de dissuasion : La puissance nucléaire devient effective par la perception de sa disponibilité. Mais si cette perception est artificielle, la dissuasion devient un bluff stratégique. La satire dit en substance : « le Pakistan bluffe sans le savoir ou en le sachant très bien ». 3. Le silence comme aveu stratégique La satire met en scène un Pakistan silencieux, presque amorphe, ce qui dans une posture nucléaire classique serait suicidaire. Mais ce silence, dans le monde réel, peut être interprété de deux façons : Soit le Pakistan n’ose pas admettre ses pertes pour ne pas affaiblir sa posture. Soit il préserve l’ambiguïté stratégique, espérant que l’Inde ne teste pas de nouveau sa vulnérabilité. Le texte pousse cette ambiguïté au ridicule, en la décrivant comme un déni purement psychologique, voire psychiatrique, dans le chef des décideurs pakistanais. 4. Un théâtre nucléaire vide : le bluff au carré Dans sa lecture la plus acide, le texte suggère que le théâtre nucléaire sud-asiatique est désormais un décor vide, un Potemkine stratégique : L’Inde, elle-même, s’abstient de revendiquer officiellement un démantèlement de facto de la capacité nucléaire pakistanaise, probablement pour ne pas forcer une réaction désespérée. Le Pakistan prétend être encore armé, comme un roi nu que personne n’ose contredire. La satire ne se moque pas tant du Pakistan que de l’absurdité des relations internationales, qui préfèrent maintenir un mensonge plutôt que d’affronter ses conséquences. Conclusion : une satire fondée sur une hypothèse plausible, transformée en vérité ironique La satire joue son rôle classique : faire éclater une vérité implicite que le langage diplomatique ou militaire officiel n’ose pas exprimer. Elle transforme en caricature une situation où : L’Inde aurait momentanément éliminé la capacité nucléaire offensive pakistanaise, Le Pakistan maintiendrait une illusion de parité pour survivre politiquement, Et la communauté internationale regarderait ailleurs pour éviter une escalade non contrôlable.
  23. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    J'ai trouvé ça: L'arsenal de Schrödinger : mon avertissement discret concernant la disparition des armes nucléaires pakistanaises Je ne suis généralement pas du genre à m'exprimer publiquement sur des sujets sensibles. La plupart de mes collègues de la communauté des physiciens nucléaires, en particulier ceux d'entre nous qui continuent à assister aux anciens symposiums à Genève et aux réunions occasionnelles à Los Alamos, préfèrent faire preuve de discrétion. Mais après les récents développements et avec l'autorisation de certains amis de la Closed-Circle Society for Strategic Isotope Control, je me sens obligé de partager ce que je sais. Car, aussi étrange que cela puisse paraître, les armes nucléaires pakistanaises n'ont peut-être jamais existé telles que nous les imaginions. Et ce n'est pas une rumeur. C'est quelque chose que j'ai soupçonné pour la première fois il y a plus de quarante ans. Un début étrange à Islamabad : En 1980, influencé par Aman-ki-Asha, j'ai passé une année sabbatique à l'université d'Islamabad, où j'avais été invité à participer à l'élaboration du programme d'études du tout nouveau département des sciences nucléaires. L'ambiance y était cordiale, avec un grand intérêt pour les questions techniques, mais une tension politique palpable. À la fin d'un de mes cours, un séminaire d'introduction sur les sections efficaces neutroniques, un jeune maître de conférences m'a demandé avec une sincérité totale : « Professeur, qu'est-ce qu'une grange ? Est-ce là où vous stockez l'uranium ? » (voir note **1) Plus tard, ils ont volé mon exemplaire de Nuclear Physics de Roy & Nigam, qui, j'en suis presque certain, a été photocopié en masse et cité dans de nombreux rapports internes sous le nom de « modèle Roynigam » (voir note **2). Je ne m'en suis pas rendu compte à l'époque, mais cela a peut-être été le fondement épistémologique de ce que nous appelons aujourd'hui l'ambiguïté stratégique. Le réseau des rumeurs : Au fil des ans, lors d'ateliers à huis clos et derrière des panels soumis à la règle de Chatham House, les rumeurs se sont amplifiées. Selon des contacts fiables au sein de notre confrérie, la dissuasion nucléaire du Pakistan ne reposait pas sur des rendements concrets ou des MIRV calibrés, mais sur une dissuasion théorique, construite non pas à partir d'uranium ou de plutonium, mais à partir de l'incertitude quantique et de la dynamique diplomatique. Ce n'est pas une métaphore. C'est ainsi que leur posture stratégique a évolué : en créant une fonction d'onde d'ambiguïté, dans laquelle l'existence de l'arsenal reposait sur la croyance de l'observateur, et non sur une télémétrie ou une analyse isotopique confirmable (voir note **3). L'effondrement : Le premier signal d'alarme est apparu la semaine dernière, lorsque notre équipe d'analyse a remarqué des mesures anormales provenant des collines de Kirana : des signatures sismiques incompatibles avec tout essai sous-critique, ressemblant davantage à un tassement géologique ou à des démolitions contrôlées. Nous avons effectué une analyse spectrale en supposant une impulsion de fission amplifiée ; ce que nous avons obtenu ressemblait au bruit de démarrage d'un système de climatisation (voir note **4). C'est alors qu'un de mes collègues, ancien auditeur de terrain de l'AIEA ayant accès à des archives déclassifiées, a partagé un rapport effrayant : les matrices d'authentification des lancements avaient été formatées dans WordPerfect. Pire encore, certains documents relatifs aux ogives faisaient encore référence à une « configuration d'essai » utilisant des amortisseurs en graphite et des minuteries de proximité récupérés sur de vieux télécopieurs (voir note **5). J'aimerais pouvoir dire que j'invente tout cela. Schrödingerisme stratégique : Et maintenant, après l'incident Nur Khan, nous sommes contraints de faire face à la conclusion tacite : la force de dissuasion du Pakistan existe en superposition. En l'absence d'une détonation confirmable, son statut opérationnel reste indéfini. Il n'y a aucune preuve de non-existence, mais aucune démonstration empirique de capacité au-delà de dispositifs spéculatifs de moins d'un kiloton qui auraient pu être gérés conjointement ou contrôlés de l'extérieur. Lors d'une récente session de haut niveau autour d'un tableau blanc, l'une de ces sessions non officielles organisées dans le cadre du Forum alpin de physique à Lucerne, nous avons commencé à appeler cela la doctrine Schrödinger (voir note **6). Il s'agit d'un état stratégique dans lequel les ogives sont à la fois déployées et inexistantes, selon le cadre de référence de l'observateur politique. Je tiens à souligner que cette doctrine n'est enseignée dans aucun programme d'études stratégiques réputé. Mais elle est devenue la doctrine de facto à Islamabad. La question de la chaîne d'approvisionnement : Une dernière remarque, que je suis désormais autorisé à divulguer : Au moins un lot d'ampoules de tritium, destinées au programme de maintenance des ogives, a été égaré lors d'une opération logistique interinstitutionnelle et s'est retrouvé dans un manifeste de fret aérien commercial acheminé via Doha, étiqueté à tort comme « liquide de laboratoire – périssable ». Lorsqu'il est finalement arrivé à Rawalpindi trois semaines plus tard, sa demi-vie avait fait son œuvre : la désintégration l'avait ramené en dessous du seuil d'utilisation (voir note **7). Une blague interne, qui circule désormais parmi les physiciens habilités, est que la dernière ogive utilisable du Pakistan a expiré avant la doctrine prévue. Mon avertissement Je partage cela non par malveillance, mais par tristesse scientifique. Une force de dissuasion fondée sur l'incertitude, l'illusion et des infrastructures en déclin n'est pas une arme. C'est un système de croyances. Et les systèmes de croyances, en particulier ceux qui impliquent des matières fissiles, sont de piètres substituts à des rendements contrôlés et à une ingénierie confirmée. J'exhorte mes collègues physiciens, les architectes politiques et les analystes de la sécurité à revoir leurs hypothèses. Nous n'avons pas affaire à une dissuasion conventionnelle. Nous avons affaire à ce qu'un de mes collègues a qualifié de « mégatonnage métaphysique ». Une menace qui existe, jusqu'à ce que vous essayiez de la mesurer. Puis, comme tout état instable, elle s'effondre. Notes de bas de page : (Note **1) En physique nucléaire, une grange est une unité de surface (10⁻²⁴ cm²), utilisée pour exprimer la section efficace des réactions nucléaires, en particulier l'absorption neutronique. Ce terme est né lors du projet Manhattan, dans un argot ironique, désignant quelque chose « aussi grand qu'une porte de grange ». L'interprétation erronée d'Islamabad, bien que techniquement nouvelle, reflète une confusion lexicale persistante dans les programmes où la compréhension symbolique a parfois remplacé la méthodologie empirique. (Note **2) Le « modèle de Roynigam », tel que cité dans des notes internes récupérées du complexe de Kahuta, semble être une synthèse, interprétée de manière approximative, de la théorie classique de la diffusion et de résumés oraux, vaguement mémorisés, de la première partie du manuel de Roy et Nigam de 1959. Il est à noter que plusieurs formules des documents ont conservé leurs numéros de page de l'original photocopié. (Note **3) Cette posture se distingue de l'opacité nucléaire traditionnelle pratiquée par Israël, car elle est dépourvue de la redondance matérielle ou des triades de livraison généralement associées à une ambiguïté crédible. Certains ont suggéré qu'elle s'apparente davantage à une dissuasion bayésienne quantique, où les mises à jour des croyances se produisent de manière probabiliste sans nouvelle preuve. ↩ (Note **4) Plus précisément, la FFT (Transformée de Fourier Rapide) du signal a renvoyé une fréquence dominante correspondant à 50 Hz, ce qui correspondait au réseau électrique local et non à un profil de détonation connu. Le signal a également brièvement modulé en synchronisation avec un appel à la prière local, suggérant un couplage acoustique plutôt qu'une libération d'énergie explosive. (Note **5) Les « amortisseurs en graphite » étaient initialement considérés comme des modérateurs de neutrons. Après inspection, il s'est avéré qu'il s'agissait de pales de ventilateur de plafond reconverties, dont la surface a été gravée pour imiter des traces de bore. Les temporisateurs de proximité fonctionnaient selon le même principe que les premiers protocoles d'alignement des têtes d'impression à jet d'encre. (Note **6) La « doctrine Schrödinger » diffère de la Destruction Mutuelle Assurée (DMA) par son absence de mutualité, d'assurance et de destructivité. Il s'agit, par essence, d'une forme de déni plausible instrumentalisé, mêlé à un réalisme métaphysique. (Note **7) Le tritium a une demi-vie de 12,3 ans, ce qui impose des exigences de maintenance à tout arsenal thermonucléaire. Les retards logistiques, notamment liés à un mauvais étiquetage douanier ou à la fermeture d'espaces aériens régionaux, peuvent compromettre sa viabilité. Les ampoules récupérées émettaient une activité bêta négligeable et l'une d'elles aurait été confondue avec un surligneur fantaisie.
  24. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    C'est le risque quand on a des activités secrètes avec des gens peu fréquentables.
  25. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    j'avais pas capté !!!
×
×
  • Créer...