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Picdelamirand-oil

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  1. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    India mulls Russian proposal to supply and make Sukhoi Su-57 fighter jets ahead of Putin visit https://www.financialexpress.com/business/defence-india-mulls-russian-proposal-to-supply-and-make-sukhoi-su-57-fighter-jets-ahead-of-putin-visit-3906975/ L'Inde examine la proposition russe de fournir et de fabriquer des avions de combat Sukhoi Su-57 avant la visite de Poutine Ces développements interviennent également alors que des rumeurs circulent selon lesquelles le Pakistan voisin s'apprêterait à acquérir des avions de combat chinois de cinquième génération. Le ministère indien de la Défense pourrait bientôt collaborer avec la Russie pour la fabrication et la fourniture d'avions de combat Sukhoi Su-57 dans le cadre des efforts visant à renforcer la préparation militaire. Des responsables ont confirmé que New Delhi était actuellement en pourparlers avec plusieurs alliés et partenaires clés afin d'étudier la possibilité d'acquérir des avions de combat de cinquième génération à titre de solution provisoire. Parallèlement, le programme national Advanced Medium Combat Aircraft (AMCA) continue d'avancer, avec un calendrier estimé à 10 ans. Ces développements interviennent également alors que des rumeurs circulent selon lesquelles le Pakistan voisin s'apprêterait à acquérir des avions de combat chinois de cinquième génération. Le secrétaire à la Défense, Rajesh Kumar Singh, a déclaré à CNBC-TV18 que des discussions étaient en cours avec des partenaires internationaux, mais qu'elles en étaient encore à un stade préliminaire. La Russie et les États-Unis ont tous deux publiquement fait part de leur volonté de fournir des avions de combat de cinquième génération à l'Inde. Ces collaborations potentielles sont considérées comme une solution à court terme pendant que l'Inde poursuit son programme AMCA. Selon un rapport publié le mois dernier par Firspost, l'accord russe comprend un transfert de technologie et s'aligne largement sur l'initiative « Make in India ». L'offre ne se limiterait pas à la production d'avions existants tels que le Su-30MKI, mais inclurait également le transfert de technologie et la production conjointe de plates-formes plus récentes et nettement plus avancées. « Make in India » et la prochaine visite de Poutine La Russie aurait proposé un transfert complet de technologie et la coproduction du Su-57 en collaboration avec Hindustan Aeronautics Limited. La production conjointe du Su-57E (la variante d'exportation du Su-57) aurait lieu dans les installations de HAL Nashik, où le Su-30MKI est déjà assemblé. La proposition a fait l'objet d'un examen plus approfondi ces derniers jours, alors que le président russe Vladimir Poutine se prépare à effectuer une visite très médiatisée en Inde dans le courant de l'année. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
  2. Le malentendu https://1dex.ch/2025/07/le-malentendu/ « Fonce, sur un malentendu, ça peut marcher ! » On ne peut s’empêcher de penser à la réplique burlesque de Michel Blanc dans les Bronzés quand on nous annonce que le contrat d’achat des F-35 a été mal interprété et qu’il ne va pas en coûté 6 milliards mais au moins un milliard de plus. C’est gênant car les Suisses se sont prononcés sur 6 milliards, et ils ont approuvé l’achat de justesse. C’est gênant car le Conseil fédéral ne cesse de dire que c’est un prix fixe qui a été négocié. Mais le constructeur Lockheed Martin explique qu’il ne s’engage jamais sur un prix fixe, sachant que le coût des matériaux et l’inflation peuvent évoluer. Il sait de quoi il parle, il a vendu un millier de F-35 jusqu’ici. Peut-être eût-il été sage de le lui demander précisément ce qu’il en était lors de la commande, en 2021. Un contrat à 6 milliards, et le Département fédéral de la défense nous explique qu’il y a un point du contrat qui n’est pas tout à fait clair. Les juristes du Palais ne sauraient-ils pas l’anglais, ou n’auraient-ils pas analysé le texte paragraphe par paragraphe ? N’a-t-on pas consulté des avocats d’affaire indépendants à Bethesda, siège de Lockheed Martin ? Pour le moindre contrat de quelques centaines de francs, les juristes nous incitent à bien lire les notes en bas de page, vous savez bien, celles qui sont imprimées en petits caractères. J’ose croire que sur un contrat à 6 milliards, on a lu et relu, jusqu’à la dernière ligne. Ou alors pas ? Troublant, les mises en garde de rares parlementaires ou du Contrôle fédéral des finances ont été délibérément ignorées lors du débat parlementaire. Aujourd’hui, tout le monde joue la surprise. Le malentendu. Tous coupables à leur insu, personne responsable. En victime expiatoire, opportunément choisie, l’ancienne conseillère fédérale Viola Amherd. Elle n’est plus là pour répondre de ses actes. Décidément, il fallait non seulement lire le fameux contrat mais aussi le publier. Car on apprend que l’appareil ne sera livré qu’avec un équipement de base, bien insuffisant pour les exigences d’une bataille aérienne, sans missiles adéquats, sans munitions suffisantes, et que ce ne serait pas très raisonnable de faire voler le supersonique ainsi, tout nu. De quoi jeter un peu plus le discrédit sur un Département en plein chaos dont la Cheffe du département et les principaux responsables de l’armée ont déjà démissionné avant la révélation du pot aux roses. Le nouveau conseiller fédéral qui entre en fonction et découvre l’ampleur de la catastrophe, a tout loisir de décréter un reset. Il n’y est pour rien. Il fera au mieux. Le journal Le Monde nous épingle et ose le terme d’affaire d’État, et il a raison. En Suisse, on tente une inspection, peut-être une commission d’enquête, mais il faut bien dire que la classe politique a suivi le Conseil fédéral sur ce dossier, discuté doctement de l’achat au Parlement, écouté sagement les explications des chefs de l’armée. On préférerait presque que ce soit le fruit d’une malversation plutôt que le résultat d’une telle incompétence. La guerre hybride Tout aussi inquiétant, l’acquisition des F-35 ne s’inscrit pas dans une conception globale de la défense. Sans doute, craint-on de devoir préciser nos intentions au sujet de l’OTAN ou de l’Union européenne. La guerre en Europe montre que même un grand pays comme l’Ukraine a peu de chance de sauvegarder son indépendance tout seul. Surtout, la défense ne se résume pas aux avions. Il y a les drones, les systèmes de défense anti-aériens, la guerre informationnelle, la récolte de renseignements, tout ce que l’on désigne sous le label guerre hybride. Autant de domaines où nous devrions investir mais les avions prestigieux accaparent les budgets et les esprits. Le ciel ne peut pas attendre. En Suisse, les citoyens sont ipso facto désignés experts en jets comme ils le sont sur tous les sujets sur lesquels on sollicite leur vote. Disons-le autrement : ils ont droit à la transparence la plus absolue, et il n’y a rien de plus exécrable que de leur cacher des données essentielles sous un quelconque prétexte. Tout mensonge nuit à l’exercice de la démocratie directe, et ceux qui ont œuvré à cette opération de désinformation portent une très lourde responsabilité. La réplique de Michel Blanc a fait rire, et dans le film le malentendu n’a pas fonctionné bien sûr. Parier sur l’ami américain n’aura pas été plus probant.
  3. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Pas plus croustillant que les autres, et en plus on l'aura en 2026, la plupart des informations seront déjà connue.
  4. Picdelamirand-oil

    Le C-27J Spartan.

    Oui tu sous estime l'époque.
  5. Picdelamirand-oil

    Le C-27J Spartan.

    Avec des FCS Dassault c'est faisable.
  6. Avec l’OTAN, Alta Ares et Atreyd testent une riposte française aux bombes planantes russes en Ukraine https://opexnews.fr/alta-ares-atreyd-defenses-bombes-planantes-russes/ Pierre SAUVETON 18 juillet 2025 Sur son site de Biscarrosse, dans les Landes, la Direction générale de l’armement (DGA) vient de piloter une série d’essais sous l’égide de l’OTAN pour contrer une menace devenue centrale sur le front ukrainien : les bombes planantes russes, aussi appelées KAB (pour Korrektiruyemaya Aviabomba). Fruit d’un effort collectif accéléré, cette campagne s’inscrit dans le cadre du projet NATO Innovation Challenge, lancé en février 2025 pour développer rapidement des contre-mesures à des menaces de plus en plus complexes, comme les drones Shahed ou les munitions guidées de longue portée. L’innovation française face à la menace des KAB russes Le projet associe les forces armées ukrainiennes, le ministère des Armées, le NATO Allied Command Transformation, le Joint Analysis, Training and Education Centre (JATEC), ainsi que trois start-up européennes : Alta Ares, Atreyd (France) et Tytan (Allemagne). Chaque entreprise a contribué à la mise au point d’un système intégré de défense multicouche. À la clé, des démonstrateurs testés en conditions quasi réelles, face à des cibles Banshee Jet 80 simulant des bombes planantes à grande vitesse. Alta Ares a présenté une solution de détection, d’identification et de prédiction de trajectoire des KAB. Atreyd et Tytan, de leur côté, ont misé sur des drones intercepteurs, capables d’agir seuls ou en essaim. Tytan a même proposé une muraille de drones kamikazes, visant à bloquer la trajectoire des bombes par saturation. Ces bombes, dérivées des FAB-250 et FAB-500 soviétiques, sont équipées depuis 2023 de kits de correction UMPK (module unifié de vol à voile et de correction) leur permettant de voler jusqu’à 90 kilomètres de leur point de largage. Leur coût modéré et leur impact destructeur les rendent particulièrement redoutées en Ukraine. Grâce à ces munitions, les avions russes, notamment les Su-34, peuvent frapper les lignes ukrainiennes sans pénétrer dans la zone de couverture des systèmes antiaériens. Vers un déploiement en Ukraine dès fin 2025 Pour l’Ukraine, le besoin est urgent. La capacité à intercepter les KAB permettrait non seulement de sauver des vies, mais aussi de préserver les fortifications et les centres logistiques du pays. Selon les représentants ukrainiens présents à Biscarrosse, un premier déploiement pourrait intervenir avant la fin 2025, après quelques ajustements techniques identifiés lors des tests. Les résultats de la campagne, jugés prometteurs, ont été présentés au sommet de l’OTAN. Une nouvelle phase d’essais intégrés est déjà prévue. En parallèle, une réflexion est en cours sur d’autres menaces émergentes, comme les drones kamikazes à liaison optique, qui pourraient faire l’objet d’un futur programme dans le cadre de l’Innovation Challenge. Ce projet témoigne de la capacité de l’écosystème européen à innover vite, en lien étroit avec les besoins du terrain. En quelques mois seulement, une menace tactique identifiée a donné lieu à des solutions concrètes, testées et bientôt opérationnelles. Sur le site de la DGA à Biscarrosse, l’innovation de défense avance désormais au rythme de la guerre.
  7. Safran - Une feuille de route sur les moteurs des futurs appareils de combat pilotés ou non https://mars-attaque.blogspot.com/2025/07/safran-une-feuille-de-route-sur-les.html?m=1 Une étude de levée de risques préparatoire au lancement du programme T-REX a été notifiée début juin à Safran. La prochaine étape sera la signature d’un contrat de développement sous 18/24 mois, afin d'être au rendez-vous d'un moteur plus puissant pour l’entrée en service du Rafale au Standard F5 prévue vers 2032-2033. Soit un moteur ayant préalablement tourné sur banc d'essais, et volé sur appareil banc d'essais avant d'être qualifié vers 2031. Pour atteindre les 9 tonnes de poussée (contre 7,5 tonnes sur le moteur M-88 actuel des Rafale), il n'y aura pas de modifications du volume global occupé par le moteur comparé au moteur actuel, donc pas de modifications de la structure du Rafale (en interne ou en externe, pour l'aérodynamisme). Le concept de maintenance restera de même globalement similaire, avec une recherche de communalité des pièces détachées autant que possible entre les moteurs de différentes générations. Une reprise de programmation des commandes de vol sera évidemment nécessaire, tout comme le développement du software de régulation interne au moteur. 6 modules sur les 21 modules de l'actuel M-88 seront modifiés, notamment ceux qui se rapportent à la compression de l'air et au refroidissement dans la turbine haute-pression, avec une reprise des entrées et sorties d’air, en plus de l’emploi de nouveaux matériaux sur certaines parties chaudes, notamment dans la suite du Plan d'études amont (PEA) dit Turenne. Il s’agit donc de rechercher des gains d’efficacité, sans forte variation de la consommation de carburant, pour redonner du punch au Rafale alors que la tendance est à l’alourdissement sur les senseurs et les effecteurs (radars, armements, capacités embarquées de traitement des données…). Un PEA Turenne 3 est d'ailleurs d'ores et déjà en cours de préparation pour le futur moteur du NGF (New Generation Fighter) du programme SCAF (Système de Combat Aérien du Futur), en plus des évolutions envisagées avec l’emploi d'autres nouveaux matériaux résistants aux variations de hautes chaleurs attendues, les tuyères variables, etc. Pour le NGF, un moteur de 12 tonnes de poussée environ est attendu. De toutes ces études naitra une famille de moteurs à usage militaire pour les différentes applications, avec les futurs M15, M30 et M50 (soit des moteurs avec 1,5, 3 et 5 tonnes de poussée), notamment pour motoriser des drones, dont ceux accompagnant les appareils habités pour les futurs standards du Rafale et l’après-Rafale (ou les Combat Collaborative Aircraft ou CCA). Une réutilisation autant que possible des modules est recherchée, avec, par exemple, sur le M50, une reprise de l’architecture du M88, mais sans la post-combustion, afin de motoriser le futur UCAS (Umanned Combat Air System) furtif qui devrait peser autour de 15 tonnes environ. Il existe donc une feuille de route technologique pour appuyer cette déclinaison en famille de moteurs, permettant d’accompagner le plan de gestion des compétences détenues ou à développer au sein des bureaux d’études de l’écosystème opérant sur ce sujet de la propulsion (Safran en tête, mais aussi les sous-traitants, notamment sur la partie forge, sous-ensembles, etc.). Via cette approche incrémentale qui passe par T-REX, il s’agit de dé-risquer avec une étape intermédiaire l’atteinte des spécifications attendues pour le NGF, tout en assurant une fidélisation des compétences RH (avec des nouveaux projets d'intérêt à mener) et une bonne transmission entre des générations d’ingénieurs, certaines étant sur le départ. Le calendrier est défini comme encore tenable, mais pourrait devenir rapidement ambitieux si la révision à venir de la Loi de programmation militaire (LPM) n’est pas favorable aux arbitrages en interarmées nécessaires pour faire rentrer en programmation cet important "objet", qui représente un devis allant à ce stade au-delà de 500 millions d’€ (pour les parties développement et production). A moins que des demandes coordonnées avec des clients à l’export du Rafale (notamment en provenance d’Inde et des Émirats Arabes Unis) permettent de partager la facture globale (avec ou sans intégration de partenaires locaux). Au final de quoi répondre aux besoins en motorisation pour les différents projets de systèmes de drones, notamment autonomes, qui se multiplient pour mener des opérations en collaboration avec des plateformes habitées. Une des obligations, au-delà des performances propres, étant de rester dans des coûts permettant d'atteindre "une masse abordable" pour ces drones équipiers / effecteurs déportés: la motorisation étant un des centres de coûts importants, avec le système nerveux du système de systèmes. D'où notamment la modularité au sein d'une famille de moteurs, en plus d'efforts sur la partie industrialisation de ces produits pour rester dans des coûts maîtrisés. Cela permettra d'apporter des possibles réponses à la question assez centrale en voyant les différents projets à TRL bas (avec visuels ou maquettes) émerger dans le domaine : mais qui motorisera ?
  8. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Oui mais cela se concrétise vraiment aujourd'hui d'après l'article de Manu Pubbi.
  9. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    India, France agree to co-produce next-gen fighter jet, copter engines https://www.tribuneindia.com/news/nation/defence-cooperation-with-france-important-pillar-of-bilateral-ties-pm-525666/ L'Inde et la France s'accordent pour coproduire des moteurs de chasseurs et d'hélicoptères de nouvelle génération Dans le cadre d'une initiative majeure, l'Inde et la France ont annoncé ce soir qu'elles produiraient conjointement trois sous-marins supplémentaires et développeraient ensemble de nouveaux moteurs pour les chasseurs et hélicoptères de nouvelle génération. Ces annonces ont été faites à Paris à l'issue d'une réunion entre le Premier ministre Narendra Modi et le président français Emmanuel Macron. Le Conseil d'acquisition de la défense (DAC), l'organe décisionnel suprême du ministère de la Défense, avait approuvé hier séparément l'achat de 26 avions de combat Rafale (version marine) ainsi que les armes, les pièces de rechange, la formation des équipages et le soutien logistique associés pour la marine indienne auprès du gouvernement français, sur la base d'un accord intergouvernemental. Principaux résultats Feuille de route sur le partenariat stratégique « Horizon-2047 » Visa Schengen de court séjour de 5 ans pour les titulaires de diplômes indiens Coopération dans les domaines de l'Indo-Pacifique, des technologies numériques et de l'aviation civile Protocole d'accord sur la sécurité de l'aviation civile, les technologies océaniques et les sciences de la Terre Déclaration commune entre l'ISRO et le CNES dans le domaine des lanceurs Collaboration dans le domaine des services de lancement spatial commercial Le partenariat pour les moteurs sera conclu avec Safran pour le développement conjoint et la coproduction de moteurs de nouvelle génération pour avions de combat et d'un moteur pour hélicoptère de 13 tonnes. « L'Inde et la France soutiendront le développement conjoint d'un moteur d'avion de combat. Une feuille de route pour ce projet sera préparée par Safran et la DRDO avant la fin de cette année », indique un document du MEA. Selon certaines sources, Safran aurait proposé de fabriquer un nouveau moteur de 110 kilonewtons en Inde. Ce moteur équipera l'avion de combat multirôle de sixième génération. L'offre française comprend un nouveau moteur, dont la chaîne d'approvisionnement et la fabrication seront assurées en Inde. Le MEA a déclaré aujourd'hui que « l'accord entre les actionnaires de HAL et Safran a été conclu pour le développement du moteur ». Il s'agit de l'hélicoptère multirôle indien, un appareil de 13 tonnes. Le document indo-français « salue » également le protocole d'accord entre Mazagon Dockyard Ltd (MDL) et Naval Group pour la construction de trois sous-marins supplémentaires de classe Scorpène. Trois sous-marins Scorpène seraient construits en Inde dans le cadre d'une « clause de renouvellement » d'un projet en cours visant à construire six de ces sous-marins dans le cadre d'une coentreprise existante chez MDL. La classe Scorpène est appelée « classe Kalvari » en Inde. Le dernier des six navires devrait être mis en service dans la marine indienne au début de l'année prochaine. La construction de trois sous-marins supplémentaires renforcera la puissance sous-marine de l'Inde. À l'heure actuelle, l'Inde dispose de 16 sous-marins conventionnels et d'un sous-marin nucléaire, ce qui est bien moins que le plan envisagé en 1999, qui prévoyait 24 sous-marins conventionnels d'ici 2030. À l'exception des cinq sous-marins de classe Kalvari, les 11 autres sous-marins indiens ont plus de 30 ans et fonctionnent en prolongation de leur cycle de vie. Par ailleurs, Safran et HAL ont conclu un contrat pour le transfert de technologie de forgeage et de moulage du moteur Shakti développé conjointement, qui équipe l'hélicoptère léger avancé. Le moteur est fabriqué dans le cadre d'une coentreprise, la nouveauté étant que HAL apprendra l'art du forgeage des métaux pour le moteur. Plus tôt, le Premier ministre, dans son discours d'ouverture lors de la conférence de presse conjointe avec Macron, a mentionné les sous-marins et les avions Rafale en déclarant : « Nous recherchons de nouvelles technologies pour le co-développement et la coproduction et nous en discuterons. Qu'il s'agisse de sous-marins ou d'avions de chasse navals, nous voulons non seulement les fabriquer pour nos deux pays, mais aussi pour nos amis ». « La France est un partenaire important dans le cadre du programme Make in India », a déclaré M. Modi, ajoutant que la coopération en matière de défense entre l'Inde et la France est un pilier important de nos relations. Le Premier ministre a mentionné que l'Agence spatiale indienne de défense avait des possibilités de coopération avec la France. Il a annoncé la création d'un satellite commun nommé « Trishna » pour surveiller les conditions météorologiques et les modèles terrestres. Le Premier ministre a notamment mentionné que les ressources spatiales pouvaient surveiller les zones maritimes. « Nous pouvons améliorer notre coopération dans ce domaine », a-t-il ajouté. MM. Modi et Macron ont tous deux évoqué l'Indo-Pacifique. « C'est notre responsabilité. Nous travaillons sur une feuille de route pour la coopération indo-pacifique », a déclaré M. Modi. M. Macron a déclaré que les deux pays avaient des objectifs communs en matière de paix et de sécurité, outre la garantie du respect de l'État de droit dans la région indo-pacifique. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
  10. Le goulot d'étranglement c'est la chaîne de production.
  11. Ce qui entraîne la moquerie, ce n'est pas que ce sont des nations complètement incapable, elles ont quand même quelques capacités, mais ce sont des nations qui se surestiment beaucoup, en particulier dans leur communication.
  12. C'est sur combien d'années qu'il faut les financer? et les budgets des armées ne sont ils pas en train d'augmenter malgré la crise financière?
  13. Mais la guerre en Ukraine montre qu'on a sous estimé l'intérêt du sol air, si on double les chaînes de production cela compensera notre timidité sur ce créneau et on pourra doubler le nombre de nos systèmes après avoir livré les pays producteurs et l'Ukraine. et puis si le budget alloué commence à être respectable peut être qu'on pourra enfin exporter un peu.
  14. Si il faut dupliquer des chaînes, on les duplique, je ne vois pas où est le problème, ça coûtera moins cher que d'acheter des Patriote pour l'Ukraine.
  15. Oui mais on ne pourra pas envoyer un char Leclerc sur le terrain par ce moyen.
  16. et avec ça ils doivent se poser sur des portes avions
  17. https://www.senat.fr/rap/r24-004/r24-0042.html https://www.opex360.com/2021/08/04/le-ministere-des-armees-notifie-a-safran-le-contrat-boleropour-la-maintenance-des-moteurs-m-88-de-ses-rafale/ C'est Ravel sans BOLERO mais ça semble être pour 380000 h et Boléro a été passé pour 400000 h .
  18. C'est très intéressant comme information tu l'a eu comment?
  19. Cela permettrait de: Baisser le prix du package tenir le délai des premières livraisons se débarrasser de Rafale ne pouvant pas passer en F5 Les remplacer par des neufs ayant plus de potentiel faciliter la construction du budget à court terme
  20. 14 ans c'est pas mal ça leur fait de l'ordre de 50000 h de vol et comme un A330 200 peut faire 100000 h de vol et qu'en 30 ans un MRTT fera plutôt 30000 h ça colle très bien.
  21. Moi je pense que la probabilité d'une telle collaboration serait beaucoup plus grande si l'Italie achetait des avions civil à Airbus plutôt qu'à Boeing.
  22. Oui, ça montre bien l'idiotie de la promesse
  23. Oui c'était 35k$ avec la promesse de L.M. de descendre à 25k$ je ne sais plus pour quelle date/LRIP. (ce genre d'information je ne retiens pas tellement c'est idiot).
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