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Picdelamirand-oil

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  1. Plan PoC (6–12 mois) — Résumé exécutif But : démontrer que l’on sait piloter en sécurité des drones accompagnateurs via un datalink souverain et une couche « cloud tactique » (fusion, assignation, autonomie limitée), avec intégration logicielle prête à être rétro-utilisée par le NGF. Livrables clés : datalink maillé LPI/secure PoC ; cloud/edge prototype + API standardisées ; loyal-wingman prototype scale-1/3 télépiloté depuis station Rafale simulée ; sandbox/digital twin et bancs CI/CD ; rapport d’évaluation sécurisée et plan d’industrialisation. Phases, jalons et livrables Durée totale proposée : 0–12 mois (phases parallèles possibles) Phase 0 — Lancement (0–1 mois) Livrables : charte PoC, governance, budget initial, allocation équipes. Actions immédiates : nommer pilote DGA, chef de projet industriel (Dassault lead Rafale F5/6 programme), comité technique national (Dassault/Thales/Safran/MBDA/ONERA/CEA/DGA). Geler 6 interfaces clés (message set, sécurité, QoS, HMI hooks, autotomy envelopes, test API). Budget de démarrage voté (voir estimations). Phase 1 : Spécs & architecture (0–2 mois, en parallèle) Livrables : document d’architecture, jeux de messages (API), exigence cyber, matrice d’interfaces Rafale–drone–cloud, plan d’essais. Activités : ateliers API, définition de la QoS (commande, télémétries, vidéo), définition des modes d’autonomie (supervised, delegated, independent), exigences sécurité (chiffrement, KMS, boot attestation). Phase 2 : PoC Datalink (0–6 mois) Livrables : démonstrateur datalink maillé LPI (prototype HW+SW) + banc radio. Activités : choix bande(s) (SATCOM/LOS/relay), modem prototype, prototype protocol (souverain), tests latence/throughput, tests résilience (jamming, perte de liens). Interface au cloud via gateway. Success criteria phase 2 : commandes de vol (ping→ack) < X ms sur LOS, maintien link à -15 dB jamming. Phase 3 : Cloud tactique prototype & sandbox (0–8 mois) Livrables : stack microservices (fusion capteurs, assignation tâches, mission manager), digital twin (simulateur missions), CI/CD pipeline, API publiques et SDK pour avion/drone. Activités : développer services d’orchestration, IA de priorisation basique, tableau de bord pilote, simulateur multi-agent. Tests en simulation et en banc (hardware-in-loop). Success criteria : exécution d’une mission multi-agent simulée complète (Rafale + 3 drones) avec journal complet, latence contrôlée, et rollback sécurisé. Phase 4 : Drone prototype Loyal-Wingman scale-1/3 (3–9 mois) Livrables : 1 prototype volant scale-1/3 (aérodynamique simple, autonomie 2–4 h), station de contrôle mobile, intégration datalink & cloud. Activités : design simple (turboprop ou électrique selon masse), avionique COTS durci, pilote automatique adaptatif, fonctions basiques : formation, following, waypoint, return-to-home, basic EW payload emulation. Essais sol puis vol. Success criteria : vol en formation à distance sous contrôle cloud, commandes critiques confirmées via datalink sécurisé. Phase 5 : Intégration Rafale simulé & essais en vol contrôlé (6–12 mois) Livrables : démonstration en vol avec banc Rafale simulé (ou cellule instrumentée si autorisé) contrôlant le/les drones via cloud/datalink. Rapport sécurité & conformité. Activités : intégration API au mission computer Rafale simulé, HMI pilote (contrôle mission, override), tests en gamme d’essais fermés, procédures d’urgence. Success criteria : mission conjointe Rafale + 2 drones réalisée sur gamme d’essai sans incident, handover manuel/automatique validé. Phase 6 : Rapport, roadmap industrialisation (10–12 mois) Livrables : rapports techniques, dossier coûts, plan montée en charge (industrialisation), exigences pour intégration NGF, proposition de schéma export / IP. Actions : présentation au CEMA / Ministère / comité industriel. Organisation & gouvernance PoC Pilote programmatique : DGA (mandataire) — assurance souveraineté, arbitrages export/IP. Sponsor industriel : Dassault (programme Rafale F5/6) — architecte système pour cloud+drones. Consortium technique : Dassault, Thales (comms/capteurs), Safran (avionique/propulsion étude), MBDA (armements/effets), ONERA/CEA (R&D), PME startups spécialisées drones/AI. Comité de sécurité & cyber distinct (DGA + ANSSI + industriels). Revues : every 6–8 weeks sprint review + 3 gating reviews (M0, M6, M12). Ressources humaines estimées (pic) Chef de projet PoC (1) Architectes systèmes (3) Ingénieurs datalink/radio (6) Développeurs backend/cloud/edge (8) DevOps / CI/CD (2) Ingénieurs avionique/drone (6) Pilotes d’essais & opérateurs (2–4) Sécurité/cyber (3) Tests & validation (6) Total pic : ~40–50 ETPs (mix public/privé) répartis sur 12 mois. (peut réduire si mobilisation de ressources internes déjà existantes) Installations & équipements critiques Banc radio / chambre anéchoïque pour tests jamming. Stand integration avionique + mission computer sim (Rafale sim or surrogate avionics). Piste d’essais fermée + avis réglementaire vols prototypes. Laboratoire cyber & clés (HSM, KMS), digital twin computing farm. Hangar, ateliers composites/avionique. Budget indicatif (ordre de grandeur) Phase 0–12 mois PoC complet : ~150–350 M€ (forte fourchette selon ambitions drone scale, recours à plateformes existantes, essais réels vs simulés). Datalink & radios : 20–50 M€ Cloud & software/sandbox : 15–40 M€ Drone prototypes (design + 3 prototypes) : 30–70 M€ Bancs essais, infrastructures, essais en vol : 20–60 M€ Ingénierie & heures (frais industriels) : 50–100 M€ Ces chiffres sont indicative; affiner lors de la phase 1. Sécurité & conformité (indispensable) Sécuriser supply-chain composants radio/CPU (listes restreintes). ANSSI + DGA audits réguliers, tests de pénétration. Modes de secours rigoureux (pilote reprend, kill switch, geofence). Politique export/IP clairement définie dès lancement. Tests & validation (plan succinct) Simulation complète (digital twin) → tests hardware-in-loop → essais sol (integration) → vols d’essai sur gamme fermée → démonstration en scénario tactique. Cyber red-team / blue-team sur datalink & cloud avant vols d’intégration. Inspections sécurité humaine et environnementale avant chaque vol. Critères de succès (gate go/no-go) Gate M6 (mid-PoC) : datalink opérationnel sur banc, cloud exécute missions simulées multi-agent, drone prototype effectue vol autonome simple → GO vers essais vol. Gate M12 (end-PoC) : démonstration en vol Rafale-sim + 2 drones sur mission conjointe, cyber audits passés, plan industrialisation validé → recommandation Lancement série & intégration NGF. Si l’un des gates échoue, options : étendre budget, réduire scope, ou arrêter et réorienter. Risques majeurs & mitigations rapides Intégration trop ambitieuse → mitigation : découper en MVP fonctionnels, prioriser commande/telemetry et sécurité. Cyber / jamming → mitigation : chiffrement, frequency hopping, fallback comms (sat relay). Contraintes réglementaires vols → mitigation : démarrer avec scale-1/3 et bancs, préparer dossiers DGAC/DGA early. Surcharge industrie → mitigation : ressources dédiées, éviter concurrence directe NGF sur mêmes équipes. Actions immédiates (ce que je mettrais sur la table demain) Présenter charte PoC au ministre / DGA pour accord budget de démarrage (10–20 M€) et nomination pilote. Lancer ateliers API + feuille de route 8 semaines (architectes). Commander 1er banc datalink prototype et réserver gamme d’essais. Identifier et contractualiser 2 PME/Startups pour drone prototype (pour accélérer). Ouvrir sandbox CI/CD (cloud) et commencer développement microservices minimal. Conclusion — pourquoi c’est une bonne stratégie Déployer cloud + drones via Rafale F5/6 donne un levier immédiat d’élévation de capacité sans attendre NGF ; réduit le risque technique du NGF ; crée des briques exportables ; et alimente la doctrine opérationnelle. Discipline requise : geler interfaces, gouvernance stricte DGA, sécurité by design, financements dédiés.
  2. Développer le « cloud » militaire (fédération de capteurs, fusion de données, commandes distribuées, IA embarquée/edge), plus les drones accompagnateurs (loyal wingmen + attritable) sous l’égide du programme Rafale F5/F6 en parallèle d’un NGF national est à la fois réaliste et pragmatique — à condition d’architecturer correctement les découpages fonctionnels, la gouvernance et les interfaces. Je détaille ci-dessous un plan concis : ce qu’il faut faire, pourquoi ça marche, risques principaux et recommandations opérationnelles immédiates. Pourquoi c’est pertinent Gain de disponibilité opérationnelle : les fonctions de supériorité informationnelle et d’effet de masse (drones) peuvent être déployées avant l’arrivée du NGF, améliorant la capacité d’emploi du parc Rafale. Découplage technico-programme : cloud + drones sont des briques réutilisables et intégrables ensuite au NGF (réduction du risque technique du NGF). Economie d’échelle & export : offrir un « système Rafale+LoyalWingman+Cloud » accélère les ventes/export et partage les coûts R&D. Effet industrialo-politique : donne du concret au façonnage d’une souveraineté numérique et émousse la pression de « tout coopérer » sur le NGF. Principes d’architecture à respecter Open systems architecture (API/serveurs de messages, bus de données standardisé interne souverain) pour permettre intégration Rafale ↔ drones ↔ NGF. Interfaces contractuelles précises : définir dès le début les interfaces avion/drone/cloud (messages, sécurité, QoS, latence). Souveraineté des briques critiques : chiffrement, gestion des clés, SW embarqué critique, éléments RF/antennes. Datalink souverain & résilient : réseau distribué, LPI/LPD, comms multi-mode (line-of-sight, beyond-LOS via relai). Modularité logicielle : microservices, conteneurisation, CI/CD, « digital twin » pour tests. Découpage fonctionnel recommandé Cloud tactique (edge + edge-server) : fusion capteurs, planification mission, assignation drones, aide à la décision IA. Datalink & comms : protocole souverain, QoS pour commandes et télémesure. Loyal Wingmen : 2 familles — (A) réutilisables multi-mission (surveillance, jamming, SEAD léger), (B) attritables bon marché (saturation, leurres, survivabilité). Intégration Rafale F5/6 : slot d’intégration mission computer, API de contrôle drones, HMI pilote (contrôle optionnel), fonctions d’autonomie collaborative. Simulateur & bancs : bancs d’intégration logiciel, simulation multi-domaines, gamme d’essais en vol. Avantages opérationnels concrets Augmentation immédiate de la pénétration A2/AD grâce à drones d’étude/LEAPP (EW/SEAD) et effets distribués. Réduction du besoin d’immersion man-in-the-loop pour missions dangereuses. Capacité d’évolution et rétro-ingénierie des logiciels partagés entre Rafale F5 et NGF. Budget & calendrier indicatifs (ordres de grandeur, fourchettes) Budget R&D initial (cloud + drones + intégration Rafale) : quelques centaines de millions d’€ la première phase (prototype/simul), puis montée à ~1–3 Md€ pour industrialisation à l’horizon 5–8 ans selon ambitions. (estimation indicative). Calendrier proposé, en parallèle NGF : 0–18 mois : spécifications, architecture, PoC de datalink et démonstrateurs logiciels. 18–48 mois : prototypes drones (loyal wingman 1) + démos cloud intégrées Rafale en bancs volants. 48–72 mois : industrialisation drones, déploiement premiers lots F5 intégrés, doctrine. Intégration NGF : utiliser artefacts cloud/datalink pour accélérer la qualification systèmes du NGF. (les plages varient selon priorités et financement) Risques et conditions à gérer Intégration système complexe : plus d’interfaces = plus d’essais nécessaires. maîtriser via digital twin & bancs. Sécurité/cyber : surface d’attaque accrue ; exiger sécurité by design, audit indépendant. Surcharge capacitaire industrie : plan de montée en charge (ingénieurs, bancs d’essais, usines). Verrous réglementaires/exports : définir règles d’export compatibles avec souveraineté et partenariats. Risque d’éparpillement : geler exigences vitales (mise en production/critères kill/go). Gouvernance recommandée Programme Rafale F5/6 responsable de piloter Cloud+Drones; État (DGA) garant des interfaces et de la sécurité. Comité technique national (Dassault architecte système / Thales capteurs & comms / Safran prop + integrate / MBDA armements / ONERA/CEA recherche) — décisions sur API et normes. Arbitrage d’État pour IP, exports et règles d’engagement. Recommandations immédiates (actions à lancer tout de suite) Lancer 2 PoC (proof of concept) rapides (6–12 mois) : a) datalink souverain en maillage, b) démonstrateur loyal wingman scale-1/3 contrôlé depuis Rafale simulé. Créer un « sandbox » logiciel (digital twin + CI/CD) partagé entre industriels et DGA pour valider intégrations sans voler. Geler 6–8 interfaces clés (message set, sécurité, HMI, mandats d’autonomie) pour éviter dérive continue des specs. Allouer un budget programmatique dédié (R&D cloud+drones) séparé du budget NGF pour éviter concurrence interne sur ressources. Plan de tests & sécurité : établir lab de cyber-validation et camps d’essais. Conclusion Développer d’abord (et en parallèle) le cloud tactique et les drones accompagnateurs sous la bannière Rafale F5/F6 est non seulement faisable mais tactiquement avantageux. Il faut accepter la discipline d’architecture, réserver des ressources dédiées et gouverner fermement les interfaces et la sécurité pour transformer ces développements en accélérateur de disponibilité du « système-de-systèmes » avant l’arrivée du NGF.
  3. Au vu du rapport de force et du « best athlete » promis au lancement, le scénario « France en solo » est devenu crédible. Le Rafale F5 (manned + cloud de combat + drones accompagnateurs + traitements IA + munitions stand-in) en est effectivement la préfiguration opérationnelle. Cela implique si Paris acte un NGF/6e gén. national : Gouvernance Architecte unique : Dassault (airframe, intégration système). Co-architectes par briques : Safran (propulsion), Thales (senseur/avionique), MBDA (effets), ONERA/CEA (aéro/EM/low-observable), Naval Group/DTI (interop PA-NG). IP française, export ITAR-light. Calendrier réaliste 2025–2027 : gel des exigences (AAE/MARINE), maquettes et démos sol. 2028–2031 : démos en vol (cellule furtive, capteurs, « cloud de combat », Loyal Wingmen). 2032–2035 : proto NGF-FR, intégration armements, essais PA. IOC envisagée 2038-2040 (avec montée en puissance progressive), le temps que le F5/F6 tienne la ligne. Plan de transition Rafale F5 Block 1/2 : teaming drones, capteurs fusionnés, L16/L22 + cloud souverain, A2AD pénétration. F6 (incrément « signature/EM ») : éléments NGF rétro-intégrés (capteurs, guerre en réseau, HMI casque, traitements IA). Maintien de la composante nucléaire aéroportée et compatibilité PA-NG. Drones accompagnateurs (priorité « effet de masse ») 2 familles : « expendable/attritable » (coût unitaire bas) et « loyal wingman » réutilisables. Relancer un « Neuron-2 » (furtif, pénétrant) + une lignée « remote carrier » consommables. Propulsion Axe 1 : sur-motorisation Rafale (marge thermique/croisière sup) pour F5/F6. Axe 2 : nouveau cœur NGF (cycle adaptatif, poussée/masse, refroidissement capteurs/laser, signature IR). Capteurs / guerre électromagnétique AESA multimode large bande, IRST longue portée, EW cognitive, LPI/LPD, datalinks discrets, déception/leurres. Traitements IA embarqués + edge computing, cybersécurité by design. Armements Stand-in (furtifs), hypersoniques (A/S d’abord), SEAD/DEAD collaboratifs, munitions rôdeuses « loyalistes ». Intégration MER/PA-NG garantie dès la spec. Budget et charges Ordre de grandeur : programme « NGF-FR + Drones + F5/F6 » ≈ 60–80 Md€ sur 15–20 ans (fourchette large, R&D incluse). Lisser via lois de programmation + partenariats export (offsets), et mutualiser briques duales (IA, capteurs, puissance). Ouvertures ciblées (coop’ à la carte, sans perdre l’architecture) Partenaires « brique » plutôt que « gouvernance » : Espagne/Italie/Émirats/Inde/Grèce/Indonésie (selon domaines). Règle : la France garde l’architecture système et l’IP cœur. Risques à maîtriser Dérive des exigences → geler tôt, jalons « kill/go ». Surcharge industrielle → plan de capacité (ingés, bancs, souffleries, essais). Cyber/ITAR → souveraineté des chaînes numériques et composants critiques.
  4. La France s'aligne sur Dassault: sans accord avec l'Allemagne sur le Scaf, Paris est prêt à développer "seul" l'avion de combat du futur De son côté, Dassault affirme désormais pouvoir mener "tout seul de A à Z" le projet. La France est prête à développer "seule" un futur avion de combat si les discussions avec Berlin et Madrid sur le programme de Système de combat aérien futur (Scaf) échouent, a affirmé mercredi un responsable français. "Si on ne parvient effectivement pas à trouver d'accord sur une réorganisation du programme, la France saura faire un avion de chasse seule, ce qui ne veut pas dire en franco-français", a confié ce responsable sous couvert d'anonymat, rejoignant la position exprimée par Dassault Aviation, chef de file industriel du projet pour la France. Point mort L'avionneur français assure en effet ce matin pouvoir mener "tout seul de A à Z" le projet d'avion de combat du futur (Scaf), actuellement prévu en coopération avec l'Allemagne et l'Espagne, a déclaré mardi 23 septembre le PDG du groupe Eric Trappier, en marge de l'inauguration d'une usine à Cergy (Val-d'Oise Ce programme à 100 milliards d'euros, qui doit notamment donner un remplaçant au Rafale à l'horizon 2040, est actuellement au point mort miné par des divergences entre la France, l'Allemagne et l'Espagne. Les tensions sont très vives entre Dassault et le groupe européen Airbus. Maître d'oeuvre du grand projet de défense européen Scaf, Dassault Aviation, qui représente la France, juge inefficace la gouvernance qu'il partage avec Airbus, qui représente l'Allemagne et l'Espagne, au grand dam de ses partenaires. Selon le média Politico, le ministère allemand de la Défense aurait indiqué à Airbus qu'il envisage concrètement de mener le projet sans la France, confiant même réfléchir à se rapprocher de la Suède ou du Royaume-Uni. https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/defense/la-france-s-aligne-sur-dassault-sans-accord-avec-l-allemagne-sur-le-scaf-paris-est-pret-a-developper-seul-l-avion-de-combat-du-futur_AD-202509240622.html
  5. J'ai mis dans le fil USA une déclaration de Trump dont voici la traduction: Après avoir appris à connaître et bien comprendre la situation militaire et économique entre l’Ukraine et la Russie, et après avoir constaté les difficultés économiques que cela cause à la Russie, je pense que l’Ukraine, avec le soutien de l’Union européenne, est en position de se battre et de RECONQUÉRIR toute l’Ukraine dans sa forme d’origine. Avec du temps, de la patience et le soutien financier de l’Europe et, en particulier, de l’OTAN, revenir aux frontières initiales à partir desquelles cette guerre a commencé est tout à fait envisageable. Pourquoi pas ? La Russie se bat sans but depuis trois ans et demi dans une guerre qu’une véritable puissance militaire aurait dû gagner en moins d’une semaine. Cela ne met pas la Russie à son avantage. En fait, cela la fait apparaître comme un « tigre de papier ». Quand les habitants de Moscou, et de toutes les grandes villes, bourgades et régions de Russie, découvriront ce qui se passe réellement avec cette guerre — le fait qu’il leur est presque impossible d’obtenir de l’essence à cause des longues files qui se forment, et toutes les autres choses qui ont lieu dans leur économie de guerre, où la plupart de leur argent est dépensé à combattre l’Ukraine, qui a un grand esprit et ne fait que s’améliorer — l’Ukraine sera en mesure de reprendre son pays dans sa forme d’origine et, qui sait, peut-être même d’aller plus loin que cela ! Poutine et la Russie sont en GRANDE difficulté économique, et c’est le moment pour l’Ukraine d’agir. Quoi qu’il en soit, je souhaite le meilleur aux deux pays. Nous continuerons à fournir des armes à l’OTAN pour que l’OTAN en fasse ce qu’elle veut. Bonne chance à tous ! DONALD J. TRUMP, PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE Ce qui est un revirement à 180°
  6. Après avoir appris à connaître et bien comprendre la situation militaire et économique entre l’Ukraine et la Russie, et après avoir constaté les difficultés économiques que cela cause à la Russie, je pense que l’Ukraine, avec le soutien de l’Union européenne, est en position de se battre et de RECONQUÉRIR toute l’Ukraine dans sa forme d’origine. Avec du temps, de la patience et le soutien financier de l’Europe et, en particulier, de l’OTAN, revenir aux frontières initiales à partir desquelles cette guerre a commencé est tout à fait envisageable. Pourquoi pas ? La Russie se bat sans but depuis trois ans et demi dans une guerre qu’une véritable puissance militaire aurait dû gagner en moins d’une semaine. Cela ne met pas la Russie à son avantage. En fait, cela la fait apparaître comme un « tigre de papier ». Quand les habitants de Moscou, et de toutes les grandes villes, bourgades et régions de Russie, découvriront ce qui se passe réellement avec cette guerre — le fait qu’il leur est presque impossible d’obtenir de l’essence à cause des longues files qui se forment, et toutes les autres choses qui ont lieu dans leur économie de guerre, où la plupart de leur argent est dépensé à combattre l’Ukraine, qui a un grand esprit et ne fait que s’améliorer — l’Ukraine sera en mesure de reprendre son pays dans sa forme d’origine et, qui sait, peut-être même d’aller plus loin que cela ! Poutine et la Russie sont en GRANDE difficulté économique, et c’est le moment pour l’Ukraine d’agir. Quoi qu’il en soit, je souhaite le meilleur aux deux pays. Nous continuerons à fournir des armes à l’OTAN pour que l’OTAN en fasse ce qu’elle veut. Bonne chance à tous ! DONALD J. TRUMP, PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE
  7. Payload Weight (Max) 160,000lbs / 72.6 tonnes (juste au dessus) Je trouve qu'il faudrait lui mettre une perche de ravitaillement.
  8. Picdelamirand-oil

    Eurofighter

    Moi je comprend qu'on ait cette ambition mais la date de 2026 me semble un peu courte
  9. Moi j'estime que les prélèvements énormes de l'état sur les industriels pourraient être dépensés plus intelligemment et que le fait qu'il rende une petite partie de ces prélèvements aux industriels est une des façons les plus intelligentes de les dépenser car ça lutte contre la désindustrialisation qui est un objectif affiché. La concurrence pure et parfaite c'est bien beau à condition que les contraintes soient les mêmes pour tout le monde.
  10. L'UDC veut faire payer Viola Amherd pour le fiasco des F-35
  11. Oui donc Dassault peut se permettre ce handicap mais pas l'industrie en général et d'ailleurs les 200 Milliards cités sont relatif à toute l'industrie pas Dassault seulement.
  12. Mais là il ne parle pas pour Dassault, il parle avec sa casquette de patron de l'industrie (UINM)
  13. Rafale : Dassault inaugure sa première usine en 50 ans pour accélérer les cadences https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/rafale-dassault-inaugure-sa-premiere-usine-en-50-ans-pour-accelerer-les-cadences-2187935#utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_email_type=retention&utm_campaign=lec_18h_gratuite&utm_email_send_date=20250923 Dassault a inauguré, ce mardi, sa nouvelle usine de Cergy dans le Val-d'Oise, qui succède aux ateliers historiques d'Argenteuil et offre aux avions du constructeur, Rafale et Falcon, de fortes capacités de montée en cadence. La toute nouvelle usine de Dassault en région parisienne, à Cergy dans le Val-d'Oise, monte en puissance depuis son ouverture à l'été 2024. Pour des raisons de calendrier, Dassault Aviation ne l'a « inauguré » que ce mardi 23 septembre, avec les élus locaux mais aussi avec les 600 employés du groupe qui y travaillent. La cérémonie s'est donc déroulée dans une usine qui tourne à plein régime, avec l'ambition d'augmenter encore ses cadences, le président de Dassault Aviation confirmant son souhait de rehausser ses objectifs de livraison, de quatre à cinq avions de chasse Rafale par mois à l'horizon 2030. « C'est la première fois depuis les années 1970 que Dassault Aviation met en service un nouvel établissement de production », a souligné le PDG Eric Trappier. L'usine de Cergy reprend les activités de l'usine historique du groupe à Argenteuil, devenue obsolète et trop compliquée à moderniser. Le changement de décor est spectaculaire. L'usine construite entre 2021 et 2024, moyennant un investissement de plus de 150 millions d'euros, reprend tous les codes de l'aéronautique dernier cri, sous des halls larges, lumineux autour de postes de travail organisés en flux avec des nacelles modernes et des outils de suivi numérique. A Cergy sont assemblées les parties avant des Rafale et des Falcon (le nez de l'avion) ainsi que les fuselages du Rafale. Ceux-ci sont complètement aménagés, avec l'installation de tous les circuits (électrique, carburant, hydraulique, air) et des principaux équipements (trains d'atterrissage). Ensuite, les fuselages et les « nez » partent à Mérignac, près de Bordeaux, pour l'assemblage final avec les ailes et les dérives du chasseur. Un point d'orgue L'usine de Cergy signe en quelque sorte le point culminant du plan de réorganisation industriel décidé il y a déjà près de dix ans, pour spécialiser et moderniser la chaîne de fabrication du groupe. Agrandissement du site et installations de machines ultra-modernes pour la fabrication des pièces primaires dans le Nord, à Seclin, construction de nouveaux bâtiments à Martignas, notamment pour la pyrotechnie, rénovation importante de l'usine d'Anglet, construction du nouveau hall d'assemblage du Falcon 10X ainsi que de laboratoires et nouveaux bureaux à Mérignac, investissements à Argonay, et nouvelles infrastructures d'essais à Istres : Dassault s'est peu à peu hissé de l'artisanat à la production en série. D'ailleurs, 5.000 personnes ont été embauchées au cours des trois dernières années. L'usine de Cergy est plus qu'un bâtiment, c'est un signal : celui de la confiance dans l'avenir industriel de la France. Eric Trappier, PDG de Dassault Eric Trappier convient que dans l'absolu, regrouper toutes les fonctions sur un seul site semblerait plus logique, mais « nous avons une histoire à assumer et des bassins d'emplois à respecter ». Présente à l'inauguration, la présidente de la région, Valérie Pécresse, a ainsi remercié l'entreprise d'être restée en Ile-de-France plutôt que de filer en Aquitaine ou en Occitanie, les deux grands pôles aéronautiques français. Pour la région, l'industrie aéronautique pèse 200.000 emplois, un atout précieux au moment où d'autres industries, comme l'automobile, souffrent. Hausse des cadences « A l'époque pour Cergy, nous n'avions pas anticipé la nécessité d'une telle montée en cadence pour les Rafale, mais nous avions prévu de maximiser l'adaptabilité, aussi l'usine tourne déjà pour certaines pièces à cadence 4 et nous sommes certains de pouvoir faire encore davantage », explique le directeur du site, Emmanuel Théret. L'entreprise continue à recruter après avoir embauché 80 personnes l'an dernier. Cheffe d'unité, Marie (34 ans) pilote l'aménagement des cabines de Rafale, et déclare avoir une équipe de 200 personnes sous ses ordres, contre une centaine lorsqu'elle était à Argenteuil. Avec environ 240 avions Rafale à livrer, dont une cinquantaine pour la France, Dassault, qui vise 25 livraisons de l'avion de chasse cette année, doit encore nettement accélérer son cycle de fabrication. « Certaines de nos productions sont déjà à la cadence 4, mais il faut que sur l'ensemble de la chaîne, toutes les pièces passent au bon rythme, une seule pièce manquante pouvant bloquer la livraison finale », rappelle Eric Trappier, qui admet être dans une longue course logistique. D'autant que le groupe espère bien décrocher à court, moyen terme un nouveau contrat important avec l'Inde. L'armée de l'air indienne pousse le gouvernement en réclamant 114 Rafale supplémentaires. Une telle commande ne pourrait s'articuler qu'avec une montée en puissance de Dassault en Inde. Dassault monte déjà à Nagpur une unité d'assemblage de Falcon 2000, prélude potentiel à une ligne d'assemblage de Rafale. Il a aussi conclu un accord de sous-traitance au groupe indien Tata pour des sections de fuselage du Rafale. D'autres campagnes sont en cours, par exemple au Portugal, mais rien n'est joué à cette heure. Défense de l'industrie « L'usine de Cergy est plus qu'un bâtiment, c'est un signal : celui de la confiance dans l'avenir industriel de la France », s'est enthousiasmé le PDG de Dassault. Qui en a profité pour demander aux pouvoirs publics « d'éviter les discours simplistes sur les 200 milliards d'euros d'aides que recevraient les entreprises, en oubliant que celles-ci ont été mises en place pour compenser l'excès de prélèvements obligatoires qui grève leur compétitivité ». Et de rappeler que les Falcon produits à Cergy reviendraient bien moins cher, s'ils étaient fabriqués aux Etats-Unis. Mais « sans industrie forte et souveraine, il n'y a pas de défense indépendante, pas de croissance durable, pas d'avenir pour notre jeunesse », s'est enflammé le PDG. Anne Bauer
  14. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Post-Op Sindoor, proposal to enhance IAF’s combat strength on cards https://www.tribuneindia.com/news/india/post-op-sindoor-proposal-to-enhance-iafs-combat-strength-on-cards/ Après l'opération Sindoor, proposition visant à renforcer la puissance de combat de l'IAF à l'étude Suite à l'impact significatif des frappes aériennes sur le Pakistan lors de l'opération Sindoor, une proposition visant à renforcer la puissance de combat de l'armée de l'air indienne (IAF) a été avancée. Ce renforcement dépendra de la révision de la décision prise dans les années 1980 par le Comité du Cabinet sur la sécurité (CCS), qui avait imposé à l'IAF de disposer de 42 escadrons d'avions de chasse. Des sources au sein de l'establishment militaire ont confirmé au Tribune que le plafond maximal de « 42 escadrons » était en cours de révision. Chaque escadron compte 16 à 18 avions. Une évaluation interne réalisée après les affrontements avec le Pakistan entre le 7 et le 10 mai suggère que le mandat de 42 escadrons pourrait ne pas être suffisant à l'avenir. L'évaluation visant à augmenter le nombre d'escadrons de l'IAF suggère une augmentation substantielle par rapport au mandat actuel de 42 escadrons. Un nouveau mandat devra également être approuvé par le CCS. Selon les estimations, la force mandatée pourrait augmenter de 30 à 35 %. Le Pakistan et la Chine ont rapidement augmenté les effectifs et modernisé la technologie de leurs flottes d'avions à réaction respectives. Les 42 escadrons de l'IAF avaient pour mandat de mener une guerre simultanée sur deux fronts, contre le Pakistan et la Chine. Dans son rapport au Congrès américain intitulé « Military and Security Developments Involving the People's Republic of China-2024 » (Développements militaires et sécuritaires impliquant la République populaire de Chine - 2024), le département américain de la Défense indique que l'armée de l'air et la marine chinoises disposent d'une force combinée de près de 1 900 avions de combat. « L'armée de l'air de l'Armée populaire de libération (PLAAF) et la marine de l'Armée populaire de libération (PLAN) constituent ensemble les plus grandes forces aériennes de la région et les troisièmes plus importantes au monde », ajoute le rapport. À l'inverse, en Inde, malgré l'obligation d'avoir 42 escadrons, l'IAF n'a jamais disposé d'un nombre aussi important dans sa flotte. L'IAF a atteint un pic de 41 escadrons en 1996 et ce nombre n'a cessé de diminuer depuis lors. Le 26 septembre, l'IAF retirera officiellement ses deux derniers escadrons d'avions de combat MiG-21, ce qui la fera chuter à son niveau de combat le plus bas depuis six décennies. L'IAF compte actuellement 31 escadrons et le retrait progressif des MiG-21 signifierait qu'elle ne disposerait plus que de 29 escadrons, soit moins que lors de la guerre de 1965 avec le Pakistan. L'introduction de l'avion de chasse Tejas Mark-1A, qui visait à renforcer ces effectifs, a également été retardée. Les livraisons de cet avion devaient commencer en mars 2024, avec au moins 16 appareils livrés à l'IAF chaque année. À ce jour, aucun Tejas Mark-1A n'a été livré par le constructeur, Hindustan Aeronautics Limited (HAL). L'IAF avait prévu de disposer d'un remplacement pour le MiG-21 d'ici 1994. La dernière variante du MiG-21 Bis a été produite en 1985. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
  15. Il est probable que maintenant on fait beaucoup de proto virtuel qu'on teste en simulation.
  16. Oui mais à l'époque on multipliait les protos donc même si les avancées étaient modestes il y en avait beaucoup.
  17. L'idée c'est de consolider des petites étapes pour ne jamais reculer.
  18. Une époque où les déclinistes n'avaient pas le monopole de la parole et où on avait de l'ambition.
  19. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Normalement sur un porte avion tu as toutes les pièces de rechange au moins en un exemplaire, c'est pour ça que les Rafale obtiennent 97% de disponibilité sur porte avion: dons avec un porte avion dans les parages ils n'auraient pas du avoir à attendre la pièce.
  20. La procédure d'acquisition des F-35 est un "scandale d'Etat", estime Pierre-Alain Fridez https://www.rts.ch/info/suisse/2025/article/f-35-un-conseiller-national-denonce-un-scandale-d-etat-dans-l-acquisition-28999677.html
  21. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Moi j'imagine qu'ils ont oublié de charger la bibliothèque de menaces...
  22. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Malgré les affirmations du Pakistan selon lesquelles il aurait abattu l'avion à l'aide de son missile PL-15E à longue portée tiré depuis le J-10C, les responsables de la défense indiens ont maintenu que l'avion avait fonctionné de manière remarquable, malgré la perte d'un jet due à une défaillance technique.
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