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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Picdelamirand-oil

    KC-46 A Pegasus

    Le problème chez Boeing ou chez Lockheed Martin c'est que les déficiences critiques sont comme les femmes: « Une de perdue, 10 de retrouvées! »
  2. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    F-35 performance-based logistics deal is dead—for now L'accord sur la logistique basée sur les performances pour le F-35 est mort - pour l'instant Le Pentagone hésite à s'éloigner d'un contrat à la demande dans un contexte d'incertitude mondiale. Lockheed Martin et les responsables du Pentagone sont revenus à la négociation d'un contrat de maintenance traditionnel pour le F-35 après que l'entreprise n'ait pas réussi à convaincre son plus gros client de passer à un contrat logistique de cinq ans basé sur les performances qui, selon les responsables de l'entreprise, augmenterait la disponibilité et permettrait d'économiser de l'argent. Dans le cadre du contrat à prix fixe proposé, Lockheed aurait assumé la gestion de l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement de l'avion, y compris le risque financier, en échange d'une garantie d'une demi-décennie de travail. Mais ils n'ont pas réussi à convaincre les responsables de la défense que l'accord proposé permettrait d'économiser de l'argent ou d'améliorer l'état de préparation. C'est pourquoi le Bureau du programme conjoint du F-35 « négocie actuellement le prochain contrat de maintenance annualisé avec des options annuelles entre 2025 et 2028. Selon un porte-parole du ministère de la défense, « le ministère continuera à évaluer et à chercher à attribuer la meilleure stratégie contractuelle pour le maintien du F-35, en incluant des accords de type PBL lorsqu'ils sont avantageux ». Les responsables du programme étudient si la logistique basée sur les performances pourrait être utile pour certains travaux de maintenance du F-35 plutôt que pour tous, a déclaré Bill LaPlante, responsable des acquisitions au Pentagone, lors de la conférence NDIA sur les technologies émergentes pour la défense. « Existe-t-il des sous-ensembles d'une logistique basée sur les performances complète qui pourraient avoir plus de sens ? En d'autres termes, ne pas faire une PBL pour l'ensemble du système, mais une PBL pour telle ou telle partie ? Mais nous ne renonçons pas à l'objectif global d'un système PBL. Il s'agit simplement de savoir quand nous y parviendrons ». a déclaré M. LaPlante. Le Pentagone a peut-être renoncé à l'accord parce qu'il se demandait si le modèle PBL, ou l'entrepreneur, pouvait réellement gérer des vols soutenus à cadence élevée, a déclaré Jon Hemler, un analyste de l'aérospatiale militaire chez Forecast International, une société sœur de Defense One. En outre, le Pentagone pourrait ne pas vouloir s'engager auprès d'un seul fournisseur, a-t-il ajouté. « Les retards de livraison des F-35 de Lockheed Martin dus à des problèmes de logiciels, les taux de préparation des avions et le besoin général du ministère de la Défense de diversifier son réseau de fournisseurs jouent certainement un rôle dans l'esprit des décideurs », a déclaré M. Hemler. La proposition initialement reçue de Lockheed n'aurait pas permis d'économiser suffisamment d'argent ni de garantir un niveau de préparation suffisant, a déclaré M. LaPlante en décembre. En vertu de la loi d'autorisation de la défense nationale de 2022, le Pentagone doit prouver qu'une PBL permettrait de faire ces deux choses avant de signer l'accord. Le JPO et Lockheed ont conclu un accord de six mois plus tôt cette année pour maintenir le soutien jusqu'à la fin de l'année, et négocient maintenant le prochain contrat annuel. Interrogé sur l'état des négociations relatives au PBL, Lockheed a déclaré : « Nous restons déterminés à collaborer avec le Joint Program Office afin de fournir un soutien essentiel à la mission et efficace pour le programme F-35, aujourd'hui et à l'avenir ».
  3. Guerre en Ukraine : le Royaume-Uni va fournir des centaines de missiles à Kiev Le ministère britannique de la Défense annonce, dans un communiqué, qu'une première livraison de 650 « systèmes de missiles modulaires légers (LMM) » aura lieu d'ici la fin de l'année, dans le cadre d'un contrat à 162 millions de livres (192 millions d'euros). Ces missiles « très polyvalents » seront construits par le groupe français Thales dans son usine de Belfast en Irlande du Nord. Cette nouvelle livraison de missiles sera annoncée officiellement dans la journée par le ministre de la Défense John Healey, qui participe à une réunion du groupe de contact des alliés de l'Ukraine sur la base aérienne américaine de Ramstein, en Allemagne. Avec les Etats-Unis, le Royaume-Uni est l'un des principaux soutiens militaires de Kiev depuis l'invasion russe de février 2022.
  4. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Le Conseil des acquisitions du ministère indien de la Défense va ouvrir la voie à l’achat de 26 Rafale Marine par Laurent Lagneau · 3 septembre 2024 Le 30 août, sur les ondes d’Europe 1, le PDG de Dassault Aviation, Éric Trappier, a confié qu’un autre contrat « Rafale » pourrait être signé avant la fin de cette année, alors que le ministère serbe de la Défense avait confirmé, la veille, son intention de se procurer douze appareils. Comme à son habitude, il n’a pas précisé le pays avec lequel des négociations sont en cours. Si la Grèce est une possibilité, il y a de très fortes chances qu’il s’agisse de l’Inde. En effet, en juillet 2023, à l’occasion du vingt-cinquième anniversaire du partenariat stratégique scellé par la France et l’Inde, le Premier ministre indien, Narendra Modi, confirma le choix de l’Indian Navy en faveur du Rafale Marine aux dépens du F/A-18E/F Super Hornet de Boeing, à l’issue d’une évaluation menée dans le cadre du programme MRCBF [Multi Role Carrier Borne Fighters], lancé en 2017. Pour rappel, la marine indienne entend acquérir 26 chasseurs-bombardiers multirôles embarqués afin de remplacer ses MiG-29K de conception russe aux performances décevantes, avec une attrition importante et un maintien en condition opérationnelle [MCO] compliqué. Et cela alors qu’elle met en œuvre deux porte-avions [l’INS Vikramaditya et l’INS Vikrant] et qu’elle espère en avoir un troisième. Les négociations contractuelles avec Dassault Aviation [sans oublier Thales et Safran] ont été ouvertes par la partie indienne en novembre dernier, via la remise d’une « letter of request » [lettre de requête]. En juillet, l’Economic Times a indiqué que les discussions portaient sur la valeur du contrat, alors estimée à un peu plus de 6 milliards d’euros. « L’offre française comprend des options pour intégrer des armes indiennes, notamment le missile air-air Astra, ainsi que des améliorations propres à l’Inde et d’autres équipements connexes », a précisé le quotidien. Les négociateurs indiens ont-ils obtenu un rabais par rapport à cette offre ? Toujours est-il que, ce 3 septembre, le Conseil des acquisitions du ministère indien de la Défense doit se réunir pour approuver l’achat des 26 Rafale M. Pour autant, cela ne voudra pas dire qu’un contrat sera signé dans la foulée. La procédure indienne étant relativement compliquée, il reviendra ensuite à un « comité de négociation des coûts » de se prononcer sur ce dossier. C’est en effet ce qu’a expliqué The Hindustan Times. Par ailleurs, le quotidien a également précisé que le DAC allait abandonner le projet d’intégrer un radar AESA [à antenne active] expérimental développé par le DRDO [l’équivalent indien de la DGA, ndlr] sur les Rafale M car « le coût est prohibitif » et que cela retarderait davantage l’achat des chasseurs-bombardiers embarqués. « La marine indienne a besoin des Rafale-M pour son dernier porte-avions INS Vikrant » au regard de « la détérioration de l’environnement stratégique dans l’Indopacifique », écrit-il. D’où, d’ailleurs, le feu vert imminent à la construction des 8 « frégates furtives avancées » du projet 17B, pour plus de 7 milliards d’euros.
  5. Dassault Aviation va signer d'ici à la fin 2024 un contrat Rafale Marine en Inde
  6. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Je ne sais pas ce que Dassault fait, mais si j'étais responsable chez eux je sais ce que je ferais. Je prends l'exemple des ISE de l'Inde, en supposant qu'ils ont obtenus le compatibilité avec les armes indiennes, alors F3R n'est certainement pas compatible, mais j'aurais demandé que F4.1 le soit.
  7. dans ce cas c'est tout ton tableau qui est faux! En plusla notion de carnet de commande n'a plus de sens.
  8. Oui parce que ce que les Indiens acceptent difficilement c'est le prix des ISE donc dans la presse ça fait partie des négociations commerciales.
  9. Pour les indiens ça se passe en deux temps: il font d'abord un concours pour voir quel est le meilleur avion au sens où il remplis bien leurs critères. Puis ils négocient avec l'équipe qui a gagné en demandant des modifications spécifiques pour ceux des critères qui étaient pas très bien remplis. Et là c'est long parce qu'en Inde les développements sont trois fois moins cher que dans un pays occidental.
  10. Je rappelle que les bidons de 2000 litres sont capable de Mach 1,6 la différence avec les bidons dit supersoniques c'est qu'ils traînent plus.
  11. Si https://www.dassault-aviation.com/wp-content/blogs.dir/2/files/2022/04/CP_Dassault-Aviation_Entree-en-vigueur-du-contrat-Rafale-EAU.pdf
  12. Donc finalement les Ukrainiens ont eu raison si le pays le plus affecté, l'Allemagne ne réagit pas. J'en conclus qu'avec l'Allemagne il faut la mettre devant le fait accomplis. Bon, l'année prochaine le déficit de la France sera de 7%, les Allemands paieront.
  13. Je suis allé en Italie, surprenant non? Un peu avant j'étais allé au Liban...
  14. A ce prix là pour des Rafale neufs c'est forcément fly away peut être avec les monte charge nécessaires pour monter les armes et les groupes de démarrage qui économisent les APU, mais sans les simulateurs d'entraînement, sans les armes, sans le PBL si il y en a etc...Tout ça doit être coté séparément dans les 3 milliards. Spectra va rapidement faire une bibliothèque de menaces en écoutant le matériel Chinois et Russe que les Serbes échangeront avec la France contre d'autre signatures qui les intéressent.
  15. Bah tu va voir le chef des armées pour qu'il te présente le président (il vaut mieux être avec la DGA pour ça)
  16. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    NAVY Lockheed Martin Corp, Fort Worth, Texas, se voit attribuer un contrat de 3 910 000 000 $ à prix fixe ferme, à prix fixe incitatif, à prix coûtant plus incitatif, à prix coûtant plus fixe, à livraison indéfinie et à quantité indéfinie. Ce contrat porte sur la conception, le développement, l'intégration, les essais, la production, le déploiement, les modifications/mises à niveau et le soutien des systèmes d'entraînement et de simulation à l'appui de l'avion F-35 Lightening II pour l'armée de l'air, la marine, le corps des marines, les participants n'appartenant pas au ministère de la défense des États-Unis et les pays faisant l'objet de ventes militaires à l'étranger. Les travaux seront effectués à Orlando, en Floride (60 %), à Fort Worth, au Texas (30 %) et dans d'autres lieux à l'intérieur et à l'extérieur de la zone continentale des États-Unis (10 %), et devraient être achevés d'ici septembre 2028. Aucun fonds ne sera engagé au moment de l'attribution ; les fonds seront engagés sur des commandes individuelles au fur et à mesure qu'elles seront émises. Ce contrat a été attribué sur la base d'une source unique conformément au 10 U.S. Code 2304 (c)(1). Naval Air Systems Command, Patuxent River, Maryland, est l'activité contractante (N0001924D0110). Lockheed Martin Corp, Lockheed Martin Aeronautics Co, Fort Worth, Texas, se voit attribuer une modification de 1 006 436 959 dollars (P00036) à un contrat à prix coûtant majoré précédemment attribué (N0001922C0041). Cette modification étend les services afin de fournir un soutien continu en matière d'ingénierie, de maintenance, de logistique, de main-d'œuvre et de matériel pour les installations de laboratoire du Joint Strike Fighter (JSF) F-35 et les activités d'essais en vol de développement du F-35. En outre, cette modification ajoute une portée pour les exigences d'essai des ventes militaires étrangères (FMS), le soutien des pièces pour les avions de la flotte supplémentaire, les essais d'évaluation de l'environnement électromagnétique, la recapitalisation de l'équipement de soutien au sol, le soutien au sol pour les avions supplémentaires, les services de simulation partagés, l'augmentation du rythme de résolution des rapports d'anomalie des produits logiciels, l'ingénierie de l'infrastructure cybernétique et un nombre accru de dispositifs de laboratoire de formation à la maintenance des pilotes à l'appui du programme F-35 JSF pour l'armée de l'air, la marine, les FMS et les partenaires du programme coopératif du F-35. Les travaux seront effectués à Fort Worth, Texas (30 %) ; Palmdale, Californie (26 %) ; Patuxent River, Maryland (23 %) ; Orlando, Floride (11 %) ; San Diego, Californie (3 %) ; Linthicum, Maryland (2 %) ; Manchester, New Hampshire (2 %) ; Los Angeles, Californie (1 %) ; Samlesbury, Royaume-Uni (1 %) ; et divers endroits sur le territoire continental des États-Unis (1 %), et devraient s'achever en mars 2027. Fonds de recherche, de développement, d'essai et d'évaluation pour l'exercice 2024 (Marine) d'un montant de 35 407 127 dollars ; fonds de recherche, de développement, d'essai et d'évaluation pour l'exercice 2024 (Armée de l'air) d'un montant de 34 386 333 dollars ; fonds d'opérations et de maintenance pour l'exercice 2024 (Armée de l'air) d'un montant de 28 486 158 dollars ; fonds d'opérations et de maintenance pour l'exercice 2024 (Marine) d'un montant de 14 243 079 dollars ; Les fonds de l'exercice 2024 pour les opérations et la maintenance (Marine Corps) d'un montant de 14 243 079 $ ; les fonds de l'exercice 2023 pour la recherche, le développement, les essais et l'évaluation (Navy) d'un montant de 1 411 306 $ ; les fonds des partenaires du programme coopératif d'un montant de 28 002 424 $ ; et les fonds FMS d'un montant de 9 307 965 $, seront engagés au moment de l'attribution, 58 383 622 $ qui expireront à la fin de l'année fiscale en cours. Naval Air Systems Command, Patuxent River, Maryland, est l'activité contractante. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
  17. Ce qui se joue pour Dassault derrière le contrat Rafale en Serbie
  18. Ils ont combien de 54?
  19. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    24 sur 48 cela fait 50% de disponibilité, c'est atteignable pour le F-35 mais seulement en MC or pour remplir une vraie mission et non pas seulement être capable de voler il faut être disponible en FMC et là le F-35 est entre 16 et 30%. 24 sur 60 ça fait du 40% de disponibilité et ce n'est pas vraiment atteignable pout le F-35 par contre 24 sur 70 cela fait 34% et c'est atteignable.
  20. J'espère que personne ne fait la relation entre ce contrat et mon voyage incognito en Serbie il y a six ans. http://www.air-defense.net/forum/topic/20302-le-dieu-rafale-et-tous-ses-saints/?do=findComment&comment=1129089
  21. Des Rafale neufs au standard F 4.1 Belgrade devrait ainsi faire l'acquisition de 12 Rafale au standard F4 step 1 pour un montant de 3 milliards d'euros. Soit un coût de 250 Meurs par appareil. Une somme qui ne peut être comparée aux précédents contrats de l'avion de combat français en raison de plusieurs spécificités.
  22. La France acceptera-t-elle de fournir à la Serbie les Rafale qu'elle négocie depuis des années? Belgrade espère signer un accord pour l'achat de Rafale lors de la visite d'Emmanuel Macron en Serbie cette semaine. Ce contrat pour une douzaine d'appareils est estimé à trois milliards d'euros. La Serbie aura-t-elle bientôt des avions Rafale? C'est toujours l'ambition de son président, Aleksandar Vucic, qui espère convaincre Emmanuel Macron cette semaine lors de sa visite à Belgrade. "C'est un énorme contrat pour notre pays et ce n'est pas un petit contrat même pour la France", a déclaré le président serbe dans un entretien exclusif à l'AFP, évoquant une transaction qui pourrait s'élever à plusieurs milliards d'euros sans préciser le nombre d'avions concernés. Les discussions sont entamées depuis plusieurs mois et, officiellement, le dossier n'avance pas. En avril dernier, Aleksandar Vucic affirmait que des "accords concrets" avaient été conclus avec la France. Le président serbe se disait confiant pour une signature durant l'été. L'opération, qui tournerait autour d'une douzaine d'appareils, pourrait rapporter trois milliards d'euros. Une flotte vieillissante Un contrat sera-t-il conclu? Le président français doit se rendre à Belgrade jeudi pour une visite de deux jours au cours de laquelle les deux dirigeants doivent signer plusieurs accords bilatéraux. La Serbie a un besoin pressant pour remplacer sa flotte vieillissante issue de Russie, comme l'admet Aleksandar Vucic. "La plupart de nos appareils aériens, pour ne pas dire la totalité, tous nos avions intercepteurs et l'ensemble de nos avions de combat venaient de Russie et nous devons évoluer, changer nos habitudes et tout le reste avant de préparer notre armée", a déclaré le président serbe à l'AFP. Cette douzaine de Rafale vise à remplacer les 14 MIG-29 de la Force aérienne serbe. Belgrade aurait déjà tenté une approche pour acquérir les Mirage 2000 de l'armée grecque, selon le site Enikos. Ces dernières années, la Serbie a fortement multiplié les achats d'armes auprès des pays européens, mais aussi avec la Chine ou la Russie. Belgrade consacre 2% de son PIB à ses dépenses militaires. De 2012 à 2023, le budget militaire serbe a été multiplié par trois. Entre 2014 et 2023, le pays a dépensé 2,67 milliards d'euros pour acquérir le système antiaérien chinois FK-3, des hélicoptères russes Mi-17 et Mi-35, ainsi que le système russe de défense aérienne Pantsir. La Russie ne fait plus rêver La France acceptera-t-elle de fournir des Rafale à cet allié de Moscou? Pour Jasmin Mujanovic, chercheur en sciences politiques, ce serait "inquiétant de vendre une arme extrêmement sophistiquée à l'un des alliés les plus proches de la Russie. Un risque de fuites technolgiques vers la Russie est-il en jeu? rappelle le général Jérôme Pellistrandi, consultant défense pour BFMTV. D'autre part, ce contrat permettrait d'éloigner la Serbie de Moscou que ce soit politiquement ou militairement. "La Russie ne fait plus rêver et le blocage de la guerre en Ukraine n'est pas à l'avantage de Poutine. Ces alliés d'hier pourraient vouloir le lâcher pour tisser d'autres liens avec l'Europe, et pourquoi pas avec l'Otan", ajoute le général Pellistrandi.
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