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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. +64 % en une journée… le fabricant de satellites Eutelsat s’envole en Bourse Le concurrent français de Starlink a vu son cours exploser à la hausse, ce lundi, grâce aux anticipations d’une augmentation des investissements européens en matériels de défense. C'est la valeur du jour à la Bourse de Paris. Alors que le CAC 40 monte de 1,55 % vers 16 heures, ce lundi, le groupe de satellites Eutelsat a grimpé de 64 % sur la seule journée. À l'origine de cette hausse fulgurante : la perspective d'une hausse des investissements européens dans la défense. « Cela reflète probablement l'optimisme quant à l'augmentation de la demande des gouvernements et des militaires européens pour OneWeb (le satellite du groupe) », observe Antoine Lebourgeois, analyste chez Bryan Garnier. Une hypothèse qui enflamme les investisseurs. D'ailleurs, le bond du fabricant français intervient sur fond de rallye des valeurs liées à la défense en Europe. Vers 17h, Thales et Dassault Aviation grimpaient tous deux de 16% quand Rheinmetall bondissait de plus de 15%, Saab de 11 % et Leonardo de 17%. La seule alternative à Starlink en Ukraine Plus précisément, Stéphane Beyazian, analyste chez Oddo, souligne que les tensions récentes entre les États-Unis et l'Europe, qui pourraient se traduire par une hausse des dépenses de défense sur le Vieux Continent, mettent en péril les perspectives de ventes de Starlink en Europe et que de la constellation OneWeb d'Eutelsat est la seule autre option pour l'orbite terrestre basse. « Le récent flux d'informations sur la nécessité pour l'Europe de se réarmer et de compter sur ses propres ressources (y compris en matière de connectivité par satellite) signifie que la constellation LEO d'Eutelsat (OneWeb) sera extrêmement importante à l'avenir (y compris en Ukraine, qui dépend actuellement du Starlink de Musk) », note pour sa part Aleksander Peterc, analyste chez Bernstein. « Les récents développements en Ukraine ont mis en évidence le rôle vital de la connectivité par satellite dans les zones de conflit. Seul opérateur européen d'un réseau de satellites en orbite basse (LEO), Eutelsat s'engage à fournir des communications sécurisées et fiables qui renforcent l'autonomie stratégique de l'Europe en matière de connectivité spatiale », a déclaré le groupe dans un mail à Reuters.
  2. Je crois qu'il a dit à l'exportation des avions de chasse (et d'ailleurs on parle de 30 Rafale de plus pour la France) et ça augmente aussi les heures de vol et donc le MCO.
  3. Oui mais j'espère qu'on peut acheter des drones à la Chine pour avoir son parapluie?
  4. Ursula von der Leyen dévoile un plan de près de 800 milliards d'euros pour la défense européenne et l'aide à l'Ukraine Il prévoit notamment de mettre quelque 150 milliards de prêts à disposition des 27 pays de l'UE pour financer le renforcement de leurs capacités militaires.
  5. L'acier spécialisé pour les Dreadnoughts provient de France... https://www.frstrategie.org/programmes/observatoire-de-la-dissuasion/programme-dreadnought-progres-interrogations-2018
  6. Du deutérium? Pour obtenir du deutérium, il suffit de distiller de l'eau, qu'il s'agisse d'eau douce ou d'eau de mer. Cette ressource est largement disponible et quasiment inépuisable. Chaque mètre-cube d'eau de mer contient 33 grammes de deutérium que l'on extrait de manière routinière à des fins scientifiques et industrielles.
  7. ça se fabrique dans les usines de traitement de combustibles usés
  8. On a des tonnes de plutonium sous forme de composés liquides
  9. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Les F-22 avec 5 fois moins d'avions en sont à 500 000 heures de vol.
  10. C'est un avion agricole?
  11. Il vaut mieux un allié qui peut se défendre qu'un allié qui compte sur toi pour le défendre. Financer l'effort de guerre et réduire le déficit, un nouveau casse-tête pour la France
  12. Fait gaffe en février l'inflation moyenne annuelle en France n'est plus qu'à 0,8%.... mauvaise nouvelle pour le fisc Finalement l'inflation c'est le meilleur impôt sur la fortune, on appelle ça aussi l'euthanasie du rentier (c'est pourquoi les Allemands qui ont une natalité faible qui favorise le vieillissement de la population sont vent debout contre l'inflation).
  13. Voila le bilan France 2024: Coût annuel en intérêts : 50 Mds € Dette: 3228,4 Milliards € Inflation 2% =>Dévalorisation de la dette 3228,4 * 0,02 = 64,568 Milliards à comparer au prix de 50 Milliards payé. Pourquoi a-t-on pu rembourser facilement les dettes de guerre? parce qu'il y a eu de l'inflation. Et la France arrive toujours à emprunter à un taux inférieur à l'inflation parce que la valeur nette du pays est très élevée. https://forum.air-defense.net/topic/18727-allemagne/?do=findComment&comment=1700523
  14. Je comprend que vous ayez vos propres procédures pour autoriser des dépenses et qu'elles soient différentes suivant que c'est des dépenses récurrentes, ordinaires ou extraordinaires ne me choque pas. Mais j'avais l'impression que parce que la dépense était "extra budget" elle ne comptait pas dans le déficit de l'Allemagne, ce déficit que les Allemands nous reprochent tant, comme si ce n'était pas nous qui allions le rembourser.
  15. Je ne comprend pas bien: légalement il n'y a pas de déficit mais comme il n'y a pas d'argent magique en réalité il y a bien un déficit. C'est ça? On devrait avoir le même système, il suffit de dire ce déficit là, il ne compte pas!
  16. Les Etats Unis? C'est un pays, un grand pays même, par contre un pays ami? C'est quoi au juste un pays ami?
  17. Donald Trump (répondant à un journaliste) Je ne suis pas aligné avec Poutine. Je ne suis aligné avec personne. Je suis aligné avec les États-Unis d’Amérique. Et pour le bien du monde. Je suis aligné avec le monde. Et je veux en finir avec cette histoire. Vous voyez la haine qu’il a pour Poutine. C’est très difficile pour moi de conclure un accord avec un tel niveau de haine. Il a une haine immense. Et je comprends cela. Mais je peux vous dire que l’autre camp ne l’aime pas non plus. Donc, ce n’est pas une question d’alignement. Je suis aligné avec le monde. Je veux régler ce problème. Je suis aligné avec l’Europe. Je veux voir si nous pouvons trouver une solution. Vous voulez que je sois dur ? Je peux être plus dur que n’importe quel être humain que vous ayez jamais vu. Je serais si dur. Mais vous n’obtiendrez jamais d’accord comme ça. Voilà comment ça fonctionne. J.D. Vance Je vais répondre à cela. Écoutez, pendant quatre ans aux États-Unis, nous avons eu un président qui se montrait dur avec Vladimir Poutine lors des conférences de presse. Et ensuite, Poutine a envahi l’Ukraine et a détruit une grande partie du pays. Le chemin vers la paix et la prospérité passe peut-être par la diplomatie. Nous avons essayé la voie de Joe Biden, celle de bomber le torse et de faire comme si les paroles du président des États-Unis comptaient plus que ses actions. Ce qui fait des États-Unis un grand pays, c’est leur engagement dans la diplomatie. C’est ce que fait le président Trump. Volodymyr Zelensky D’accord. Il a occupé des territoires, nos territoires. De grandes parties de l’Ukraine. L’est et la Crimée. Il les a occupés en 2014. Pendant de nombreuses années, et je ne parle pas seulement de Biden. À cette époque, c’était Obama, puis le président Obama, puis le président Trump, puis le président Biden, et maintenant le président Trump. Que Dieu bénisse : maintenant, le président Trump va l’arrêter. Mais depuis 2014, personne ne l’a arrêté. Il a simplement occupé et pris. Il a tué des gens. Donald Trump 2015. Volodymyr Zelensky 2014. J.D. Vance 2014 et 2015. Donald Trump 2014. Je n’étais pas là. Volodymyr Zelensky Mais de 2014 à 2022 (…) personne ne l’a arrêté. Vous savez que nous avons eu des discussions avec lui, beaucoup de discussions. Mes discussions bilatérales. Et nous avons signé avec lui. Moi, en tant que nouveau président, en 2019, j’ai signé avec lui un accord, j’ai signé avec lui, Macron et Merkel. Nous avons signé un cessez-le-feu. Un cessez-le-feu. Tous m’ont dit qu’il ne bougerait jamais. Nous avons signé avec lui un contrat sur le gaz. Mais après, il a rompu le cessez-le-feu. Il a tué notre peuple et il n’a pas échangé les prisonniers. Nous avons signé un échange de prisonniers, mais il ne l’a pas respecté. De quelle diplomatie, J.D., parlez-vous ? Que voulez-vous dire ? J.D. Vance Je parle de la diplomatie qui mettra fin à la destruction de votre pays. Monsieur le Président, avec tout le respect, je pense que c’est irrespectueux de venir dans le Bureau Ovale et d’essayer de débattre de cela devant les médias américains. En ce moment, vous envoyez de force des conscrits sur le front parce que vous manquez d’hommes. Vous devriez remercier le président d’essayer de mettre fin à ce conflit. Volodymyr Zelensky Êtes-vous déjà allé en Ukraine ? Vous parlez de nos problèmes. J.D. Vance J’y suis allé… Volodymyr Zelensky Venez une fois. J.D. Vance J’ai regardé et vu les reportages, et je sais que vous emmenez des gens en tournée de propagande, Monsieur le Président. N’êtes-vous pas d’accord pour dire que vous avez des difficultés à recruter des soldats ? Volodymyr Zelensky Nous avons des problèmes. Je vais répondre. J.D. Vance Et pensez-vous qu’il soit respectueux de venir dans le Bureau Ovale des États-Unis d’Amérique et d’attaquer l’administration qui essaie de prévenir la destruction de votre pays ? Volodymyr Zelensky Beaucoup de questions. Commençons par le début. J.D. Vance D’accord. Volodymyr Zelensky Tout d’abord, en temps de guerre, tout le monde a des problèmes, même vous. Mais vous avez un bel océan et ne ressentez pas cela pour l’instant, mais vous le sentirez à l’avenir. Donald Trump Vous n’en savez rien. Volodymyr Zelensky Que Dieu vous bénisse, vous n’aurez pas de guerre. Donald Trump Ne nous dites pas ce que nous allons ressentir. Nous essayons de résoudre un problème. Ne nous dites pas ce que nous allons ressentir. Volodymyr Zelensky Je ne vous dis pas… Donald Trump Parce que vous n’êtes pas en position de nous dicter cela. Rappelez-vous ceci : vous n’êtes pas en position de nous dicter ce que nous allons ressentir. Nous allons nous sentir très bien. Volodymyr Zelensky Vous en ressentirez l’influence. Je vous le dis. Donald Trump Nous allons nous sentir très bien et très forts. Volodymyr Zelensky Vous en ressentirez l’influence. Donald Trump Vous n’êtes pas en bonne position en ce moment. Vous vous êtes placé dans une très mauvaise position. Et il a raison à ce sujet. Vous n’êtes pas en bonne position. Vous n’avez pas les cartes en main pour le moment. Avec nous, vous commencez à en avoir. Volodymyr Zelensky Je ne joue pas aux cartes. Je suis très sérieux, Monsieur le Président. Je suis un président en temps de guerre… Donald Trump Vous jouez aux cartes. Vous jouez aux cartes. Vous jouez avec la vie de millions de personnes. Vous jouez avec la Troisième Guerre mondiale. Vous jouez avec la Troisième Guerre mondiale. Et ce que vous faites est très irrespectueux envers ce pays, ce pays qui vous a soutenu bien plus que ce que beaucoup de gens ont dit qu’il aurait dû faire. J.D. Vance Avez-vous dit « merci » une seule fois pendant toute cette réunion ? Non. Pendant toute cette réunion, avez-vous dit « merci » ? Vous êtes allé en Pennsylvanie et avez fait campagne pour l’opposition en octobre. Offrez quelques mots d’appréciation aux États-Unis et au président qui essaie de sauver votre pays. Volodymyr Zelensky S’il vous plaît. Vous pensez que si vous parlez très fort de la guerre, vous… Donald Trump Il ne parle pas fort. Il ne parle pas fort. Votre pays est en grande difficulté. Attendez une minute. Volodymyr Zelensky Puis-je répondre ? Donald Trump Non. Non. Vous avez beaucoup parlé. Votre pays est en grande difficulté. Volodymyr Zelensky Je sais. Je sais. Donald Trump Vous n’êtes pas en train de gagner. Vous ne gagnez pas cette guerre. Vous avez une sacrée chance de vous en sortir grâce à nous. Volodymyr Zelensky Monsieur le Président, nous restons dans notre pays, nous restons forts. Depuis le début de la guerre, nous avons été seuls, et nous sommes reconnaissants. J’ai dit merci dans ce cabinet, et seulement dans ce cabinet. Donald Trump Vous n’avez pas été seuls. Nous vous avons donné, par l’intermédiaire de ce président stupide, 350 milliards de dollars. Nous vous avons fourni du matériel militaire. Et vos hommes sont courageux. Mais ils ont dû utiliser notre matériel militaire. Si vous n’aviez pas eu notre équipement militaire… Volodymyr Zelensky Vous m’avez invité… Donald Trump Si vous n’aviez pas eu notre équipement militaire, cette guerre aurait été terminée en deux semaines. Volodymyr Zelensky En trois jours. Je l’ai entendu de la bouche de Poutine : en trois jours. Donald Trump Peut-être moins. Volodymyr Zelensky C’est quelque chose, en deux semaines. Bien sûr. Oui. Donald Trump Ça va être très difficile de faire affaire dans ces conditions, je vous le dis. J.D. Vance Dites juste merci. Volodymyr Zelensky Je l’ai dit de nombreuses fois, merci au peuple américain. J.D. Vance Acceptez qu’il y ait des désaccords. Allons débattre de ces désaccords au lieu d’essayer de les exposer aux médias américains alors que vous avez tort. Nous savons que vous avez tort. Donald Trump Mais vous voyez, je pense qu’il est important pour le peuple américain de voir ce qui se passe. Je pense que c’est très important. C’est pourquoi j’ai laissé cette discussion durer si longtemps. Vous devez être reconnaissant. Volodymyr Zelensky Je suis reconnaissant. Donald Trump Vous n’avez pas les cartes en main. Vous êtes acculé là-bas, votre peuple meurt. Vous manquez de soldats. Volodymyr Zelensky Non, s’il vous plaît, Monsieur le Président. Donald Trump Écoutez. Vous manquez de soldats. Ce serait une sacrée bonne chose. Ensuite, vous nous dites : « Je ne veux pas de cessez-le-feu. Je ne veux pas de cessez-le-feu. Je veux continuer et obtenir ceci. » Écoutez, si vous pouviez obtenir un cessez-le-feu maintenant, je vous dirais de le prendre. Ainsi, les balles cesseraient de voler et vos hommes cesseraient de mourir. Volodymyr Zelensky Bien sûr que nous voulons arrêter la guerre. Donald Trump Mais vous dites que vous ne voulez pas de cessez-le-feu. Volodymyr Zelensky Mais je vous ai dit, avec des garanties. Donald Trump Je veux un cessez-le-feu, parce que vous obtiendrez un cessez-le-feu plus rapidement qu’un accord de paix. Volodymyr Zelensky Demandez à notre peuple ce qu’il pense du cessez-le-feu— Donald Trump Ce n’était pas avec moi. Ce n’était pas avec moi. C’était avec un type nommé Biden, qui n’était pas une personne intelligente. C’était avec Obama. Volodymyr Zelensky C’était votre président. Donald Trump Excusez-moi. C’était avec Obama, qui vous a donné des draps, et moi, je vous ai donné des Javelins. Volodymyr Zelensky Oui. Donald Trump Je vous ai donné des Javelins pour détruire tous ces chars. Obama vous a donné des draps. En fait, l’expression est : Obama a donné des draps, et Trump a donné des Javelins. Vous devez être plus reconnaissant parce que, laissez-moi vous dire, vous n’avez pas les cartes en main. Avec nous, vous avez des cartes. Mais sans nous, vous n’avez aucune carte. Ce sera un accord difficile à conclure, car les attitudes doivent changer. Une journaliste Et si la Russie viole le cessez-le-feu ? Et si la Russie rompt les négociations de paix ? Que ferez-vous dans ce cas ? Je comprends que la conversation est tendue. Donald Trump Que dites-vous ? J.D. Vance Elle demande : et si la Russie viole le cessez-le-feu ? Donald Trump Et si quoi que ce soit ? Et si une bombe tombait sur votre tête maintenant ? OK ? Et s’ils le violaient ? Je ne sais pas, ils l’ont fait avec Biden, parce qu’ils ne le respectaient pas. Ils ne respectaient pas Obama. Ils me respectent. Laissez-moi vous dire, Poutine en a bavé avec moi. Il a traversé une fausse chasse aux sorcières où ils l’ont utilisé, ainsi que la Russie, la Russie, la Russie, la Russie. Vous avez déjà entendu parler de cette affaire ? C’était un mensonge. C’était une arnaque impliquant Hunter Biden et Joe Biden. Hillary Clinton, le sournois Adam Schiff. C’était une arnaque des démocrates. Et il a dû traverser cela. Et il l’a fait. Nous n’avons pas fini en guerre. Et il a dû le supporter. Il était accusé de toutes ces choses. Il n’avait rien à voir avec ça. C’était sorti de la chambre à coucher de Hunter Biden. Ça venait de la chambre à coucher de Hunter Biden. C’était dégoûtant. Et puis ils ont dit : « Oh, l’ordinateur portable de l’enfer a été fabriqué par la Russie ». Les 51 agents. Tout cela n’était qu’une escroquerie. Et il a dû supporter tout cela. On l’accusait de toutes ces choses. Tout ce que je peux dire, c’est ceci : il a peut-être rompu des accords avec Obama et Bush, et peut-être avec Biden. Il l’a fait. Peut-être. Peut-être qu’il ne l’a pas fait. Je ne sais pas ce qui s’est passé. Mais il ne les a pas rompus avec moi. Il veut conclure un accord. Je ne sais pas s’il peut conclure un accord. Le problème, c’est que je vous ai donné du pouvoir pour être un dur à cuire, et je ne pense pas que vous auriez été un dur à cuire sans les États-Unis. Et votre peuple est très courageux. Volodymyr Zelensky Merci. Donald Trump Mais soit vous concluez un accord, soit nous nous retirons. Et si nous nous retirons, vous devrez vous battre. Je ne pense pas que ce sera joli, mais vous devrez vous battre. Mais vous n’avez pas les cartes en main. Une fois que nous signerons cet accord, vous serez dans une bien meilleure position. Mais vous ne montrez aucun signe de gratitude. Et ce n’est pas une bonne chose. Honnêtement, ce n’est pas une bonne chose. Très bien. Je pense que nous en avons assez vu. Qu’en pensez-vous, hein ? Ça va faire de la très bonne télévision. Je peux vous le dire. Très bien. Nous verrons ce que nous pouvons faire pour arranger cela. Merci.
  18. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    IAF chief drops truth bombs, says his force in dire need of 35-40 aircraft/year, far behind in tech Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Le chef de l'IAF lâche des bombes de vérité en déclarant que son armée a un besoin urgent de 35 à 40 avions par an et qu'elle est très en retard sur le plan technologique. S'exprimant lors d'un événement, le maréchal de l'air AP Singh a également plaidé en faveur d'un projet de collaboration entre une entreprise étrangère et une société privée indienne pour la production d'avions de combat en Inde. New Delhi : Dans une évaluation franche de sa force, le chef de l'IAF, le maréchal de l'air A.P. Singh, a reconnu vendredi que la force était à la traîne en termes d'avancées technologiques et qu'elle devait rattraper son retard. Il a également exprimé sa volonté de choisir des produits fabriqués en Inde, même s'ils offrent 85 % des capacités de leurs homologues mondiaux. S'exprimant lors d'un séminaire organisé par le forum Chanakya, l'ACM Singh a souligné que l'Inde devait explorer des projets de collaboration entre des entreprises étrangères et des acteurs privés indiens pour produire des avions de combat dans le pays, en complément de la production du Tejas Mk-1A par la société d'État Hindustan Aeronautics Limited (HAL). Les commentaires de l'ACM Singh concernaient directement le programme MRFA (Medium Multi-Role Fighter Aircraft), en suspens depuis longtemps, qui prévoit l'acquisition de 114 nouveaux avions de combat. Certains d'entre eux seront acquis à l'étranger en état de vol, tandis que d'autres seront fabriqués en Inde. Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la stratégie plus large de l'IAF visant à acquérir 126 avions, un effort entrepris depuis 2000 qui a culminé avec l'achat d'urgence de 36 chasseurs Rafale par le gouvernement de Narendra Modi en 2016. Toutefois, les chiffres de l'IAF restent préoccupants. À l'heure actuelle, l'IAF n'exploite que 31 escadrons d'avions de combat, ce qui est bien inférieur à l'effectif autorisé de 42. En réalité, même ces 31 escadrons sont quelque peu gonflés, car deux escadrons de MiG-21 ont été fusionnés pour atteindre le nombre requis. En ce qui concerne l'avenir, l'ACM Singh a souligné la nécessité pour l'Inde de se préparer aux conflits futurs, qui, selon lui, se caractériseront par une technologie avancée et des engagements prolongés. « Nous ne pouvons pas nous permettre de mener les guerres du passé, nous devons mener les guerres de l'avenir », a-t-il déclaré, plaidant en faveur d'une approche plus prospective de la préparation à la défense. L'IAF privilégie les forces locales Reconnaissant les défis, l'ACM Singh a réaffirmé que la première préférence de l'IAF serait de donner la priorité aux systèmes nationaux. « Même si un système national fournit 85 % ou 90 % des performances offertes par les produits internationaux, nous choisirons toujours d'opter pour l'option nationale », a-t-il déclaré. Il a toutefois reconnu que le développement de tels systèmes prendrait du temps et que, dans l'intervalle, l'IAF devait rapidement combler les lacunes. « Dans le même temps, nous devrons nous pencher sur les systèmes disponibles mais fabriqués en Inde. Cela nous donnera un coup de pouce, car les nouvelles technologies arriveront plus rapidement en Inde », a-t-il déclaré, ajoutant que cela augmenterait également la capacité de production des systèmes nationaux. « Je peux faire le vœu de ne rien acheter à l'extérieur ou d'attendre ce qui sera développé en Inde, mais ce ne sera peut-être pas possible si cela ne se fait pas à ce rythme. Pour l'instant, nous savons tous que nous sommes très mal lotis en matière de chiffres. Et les chiffres qui ont été promis arrivent aussi un peu lentement. Il faudra donc chercher quelque chose qui puisse rapidement combler ces vides », a-t-il déclaré. Il faisait référence au retard de livraison des chasseurs Tejas MK-IA, qui devait commencer en février de l'année dernière, mais qui n'a toujours pas commencé. « Nous avons fait un exercice en interne. Nous devons en fait produire ou introduire des avions au rythme de deux escadrons par an pour répondre à la montée en puissance que nous souhaitons, et tout ce qui sera livré très bientôt », a-t-il déclaré. « Nous disposons d'un grand nombre de flottes que nous devrons éliminer progressivement d'ici 5 à 10 ans. Ces flottes devront donc être complétées. De plus, nous avons déjà des postes vacants. Nous envisageons donc d'introduire 35 à 40 avions par an, qui devront être produits quelque part. Je comprends que ces capacités ne peuvent pas être mises en place du jour au lendemain, mais nous devons commencer à nous efforcer d'atteindre cet objectif », a-t-il déclaré. Il faisait référence aux flottes de Mirage 2000, de Jaguar et de MiG-29, dont le retrait progressif est prévu à partir de 2030. Le chef de l'IAF a noté que HAL avait promis de commencer la livraison de 24 LCA MK-IA. « Je suis donc très heureux. Si nous parlons de 24 avions MK1A, plus quelques Sukhois ou d'autres avions, nous envisageons 30 avions par an rien que pour HAL. En outre, si un acteur privé entre en jeu, nous disposons actuellement d'un très bon modèle d'avion de transport, et si l'industrie privée entre en jeu dans le cadre du programme « Make India », nous ajouterons 12 à 18 avions supplémentaires de ce côté-là. Nous y arrivons donc, c'est possible. Nous devons nous assurer que nous ne perdons pas de vitesse en cours de route », a-t-il déclaré. Il faisait référence au modèle d'avion de transport C-295 qui est fabriqué en Inde dans le cadre d'un partenariat entre TATA et la branche espagnole de la société européenne Airbus.
  19. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Personne ne parle de la totale maîtrise des US sur la bibliothèque des menaces, depuis leur constitution, en récupérant les données acquises par les F35 client, jusqu'à leur implantation par téléchargement depuis Washington. Pas sûr que l'on puisse appeler ça "de la logistique"
  20. Oui tu as raison, mais si il y a volonté politique Dassault peut même passer à une production de 4 par mois et réserver 11 Rafale de plus à la France chaque année. Mais comme je l'ai déjà dit, si j'étais le décideur je favoriserais les munitions plutôt.
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