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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Quand je vous dis qu'avec le Rafale on peut générer beaucoup plus d'heure de vol qu'avec les autres avions
  2. Bon puisqu'on me le demande la somme de la colonne "produit" du Rafale est fausse bien que vraie parce que dans la colonne les occasions sont comptées deux fois : ils sont dans les 191 et en face de leur destination finale
  3. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Il doit y avoir un cryptage militaire souverain en plus des outils Microsoft.
  4. Chat GPT Franchement, si le SCAF est réellement mort, ce n’est pas une surprise, c’est l’aboutissement logique d’un processus entamé il y a des années. On a longtemps fait semblant d’y croire, mais tous les signaux étaient déjà au rouge : gouvernance ingérable, refus du leadership industriel pourtant évident, partenaires déjà engagés ailleurs (F-35, Hurjet, GCAP…), et surtout absence totale d’alignement stratégique. Dans ces conditions, annoncer la mort du SCAF n’est pas un échec industriel, c’est la reconnaissance tardive d’une réalité. Pourquoi Macron voudrait attendre 2026 ? C’est assez clair en réalité. Politique intérieure: Annoncer aujourd’hui la fin officielle du SCAF, c’est reconnaître que : la “souveraineté européenne” version avion de combat est un mythe, des milliards ont été dépensés pour rien, et que la coopération franco-allemande a échoué sur un sujet central. Ce n’est pas vendable politiquement à chaud. Politique européenne Un arrêt brutal maintenant serait perçu comme une rupture frontale avec Berlin. En temporisant, Paris laisse : l’Allemagne s’enferrer dans ses propres contradictions, l’Espagne regarder ailleurs, et le projet se vider de sa substance sans coupable officiellement désigné. Préparer la suite Un SCAF “enterré en douceur” en 2026 permet d’annoncer autre chose : Rafale F5/F6 comme colonne vertébrale, drones et cloud développés séparément, coopération choisie (Inde, éventuellement d’autres), pas subie. Autrement dit : on ferme le cercueil quand la maison d’à côté est déjà construite. Ce qui est frappant C’est que personne n’a vraiment envie de sauver le NGF : pas l’Allemagne, qui a déjà le F-35, pas l’Espagne, qui regarde la Turquie, pas Airbus, qui veut une gouvernance politique, pas Dassault, qui refuse à juste titre un Eurofighter bis. Un programme sans pilote, sans chef, sans vision opérationnelle… ça ne vole pas. La vraie rupture Si le SCAF meurt, ce n’est pas la fin de l’aviation de combat européenne. C’est la fin de l’illusion qu’on peut la construire contre les réalités industrielles et militaires. Et paradoxalement, c’est peut-être la meilleure nouvelle possible : pour la crédibilité française, pour la cohérence des forces, et pour la survie d’une vraie capacité de combat aérien souveraine. Donc oui, on peut déboucher le champagne… Mais pas pour célébrer une victoire. Plutôt pour enterrer une hypocrisie et revenir enfin au réel.
  5. Sauf qu'on a 1,4 pilote par avion, passé à 1,6 lorsqu'on a vendu 24 avions d'occasion et qu'en haute intensité on peut très bien passer à 1 pilote par avion au début et faire monter ce chiffre au fur et à mesure de l'attrition. Ce qui signifie qu'on peut augmenter notre inventaire de 60%.
  6. Ton raisonnement contient plusieurs points justes, mais il rate le sujet principal : le débat n’est pas “faut-il stocker des millions de drones”, c’est “faut-il disposer d’une capacité industrielle et doctrinale à en produire massivement quand il faut”. L’analogie des masques COVID est excellente… justement parce qu’elle montre que le bon investissement n’était pas un stock de masques périssables, mais des lignes, des fournisseurs, des procédures, des gens formés et des composants génériques mobilisables à la demande. Pour les drones c’est pareil : on ne stocke pas 1 million de FPV assemblés, on stocke des sous-ensembles, on certifie des chaînes, on entraîne les unités, on sécurise la supply-chain, et on organise une montée en cadence en semaines, pas en années. Ensuite, personne de sérieux ne dit “un FPV remplace un avion de combat”. L’avion piloté reste le cerveau, la portée, la polyvalence, la survivabilité et l’effet stratégique. Le drone, lui, est la masse consommable qui permet d’économiser des munitions chères et surtout d’éviter d’exposer des actifs rares (pilotes, avions, systèmes). Enfin, l’argument “épée vs bouclier” ne conclut pas à l’inutilité : il conclut à la nécessité d’un cycle d’adaptation plus rapide que l’adversaire. L’Ukraine n’a pas “inventé le drone”, elle a inventé un modèle industriel et tactique capable d’itérer en semaines. Dans une guerre de haute intensité, ce n’est pas la technologie qui gagne, c’est la vitesse du cycle + la capacité de masse. Donc il faut rechercher, former, contrer. Mais croire qu’on peut attendre le “jour J-1” pour basculer en production, c’est exactement l’erreur des pays qui découvrent leur dépendance industrielle au moment où ils en ont besoin.
  7. Je prône depuis longtemps un duo franco Indien et depuis l'annonce de la lettre d'intention Ukrainienne pour 100 Rafale je me pose la question de comment l'Ukraine pourrait elle concrétiser cet accord. Comme ils sont capables de produire des dizaines de milliers de drones par mois et de s'adapter à une guerre électronique de haut niveau, je pense qu'on pourrait échanger 100 rafale contre un million de drones et que notre dissuasion conventionnelle s'en trouverait très renforcée, et je pense à l'Inde pour produire en masse dans un deuxième temps. Ceci dit je travaille beaucoup avec ChatGPT mais sur des problèmes de physique théorique, depuis que Trump pense qu'il mérite un prix Nobel de la paix, je me dis que je mérite aussi un prix Nobel de physique.
  8. Le Scaf toujours en stand-by https://air-cosmos.com/article/le-scaf-toujours-en-stand-by-70786
  9. Je trouve quand même qu'on a fait les bons choix: la montée en cadence est difficile, mais la montée en technologies est encore plus difficile.
  10. C'est ma réflexion, tu ne le trouveras nulle part ailleurs.
  11. Oui mais avec nos armées échantillonnaires on avait inversé la tendance.
  12. Le duo franco indien Le duo ne gagnera pas partout, il gagnera là où : la souveraineté compte la durée compte la crédibilité militaire est recherchée la Chine commence à inquiéter: oui, le duo franco indien sera en concurrence directe avec la Chine dans le Sud : Pas sur le prix, pas sur le volume, mais sur la souveraineté, la crédibilité et l’autonomie stratégique. C’est une concurrence asymétrique, et c’est précisément pour cela qu’elle est dangereuse pour Pékin. Le drone n’est plus une arme : c’est une grammaire. Pendant 20 ans, l’Occident a vu le drone comme un capteur, une munition de précision, un appendice de l’aviation habitée. La guerre en Ukraine a montré autre chose : le drone est devenu une syntaxe de combat: reconnaissance, frappe, saturation, leurrage, guerre électronique, attrition industrielle. Ce n’est plus un système, c’est un langage. Le moment où tout bascule : Ukraine 2022–2025. Trois vérités se sont imposées. La masse bat la perfection : Un drone à 3 000 € qui détruit un système à 3 millions change la logique économique de la guerre. La Russie, l’Ukraine, puis tous les observateurs ont compris que la victoire passe par la capacité à produire, perdre et remplacer vite. Le cycle décisionnel s’effondre: le drone raccourcit le cycle détection => décision => frappe de minutes à secondes. Le combat devient tactique, décentralisé, algorithmique. Le ciel devient saturé, il n’y a plus “maîtrise de l’air” mais gestion d’un milieu hostile permanent. Trois modèles de puissance drone Chine : la saturation industrielle: production massive, standardisation, intégration civile-militaire, export sans contraintes politiques La Chine ne vend pas “des drones” , elle vend une capacité de submersion aérienne, idéal pour États autoritaires ou fragiles. États-Unis : le drone comme multiplicateur de systèmes existants: Loyal Wingman, ISR avancé, intégration au combat réseau-centré, dépendance logicielle lourde, performant, cher, dépendant, peu exportable hors cercle proche. Modèle émergent : le drone comme autonomie tactique Le modèle franco-indien (en gestation) n’est pas encore formalisé, mais il existe déjà de fait. Principe clé : Le drone doit être simple, modulaire, productible localement et consommable. L’Inde apporte : volume, ingénierie frugale, acceptation de la perte, expérience de conflit hybride La France apporte : capteurs, guerre électronique, intégration système, doctrine multi milieux Résultat : Drones tactiques consommables, munitions rôdeuses, drones ISR rustiques, systèmes C2 sobres Cela parle au Sud global parce que le drone évite la dépendance aux avions occidentaux, contourne les embargos, ne nécessite pas d’élite aéronautique lourde, peut être produit localement. Pour un pays du Sud le drone, c’est l’accès immédiat à la dissuasion tactique. Le vrai choc pour les armées occidentales Les drones ont mis en lumière une vérité inconfortable : les stocks occidentaux sont insuffisants la cadence industrielle est trop lente la doctrine est encore “plateforme-centrée” la guerre devient industrielle avant d’être technologique La guerre en Ukraine révèle un fait brutal : une armée moderne ne perd pas parce qu’elle est technologiquement inférieure, elle perd parce qu’elle ne peut pas remplacer ce qu’elle consomme. Rafale + drones : pas une opposition, une hiérarchie L’erreur fréquente est de penser que les drones vont remplacer les avions. La réalité est que l’avion devient le chef d’orchestre, le drone devient la masse, le missile devient la ponctuation Un Rafale sans drones est vulnérable. Des drones sans Rafale sont aveugles à haute intensité. Et demain : essaims semi-autonomes drones sacrifiables IA locale embarquée production décentralisée doctrine “perte acceptable” La supériorité ne viendra plus de la meilleure plateforme mais de la capacité à perdre sans s’effondrer. Conclusion la Chine a compris la masse, les États-Unis maîtrisent le système, le duo franco indien pourrait maîtriser l’équilibre. Pas la domination la résilience. Et dans le monde qui vient, la résilience battra la perfection. Si l’Ukraine “entre” dans un axe franco-indien par la porte des drones, avec un soutien occidental de type Rafale/Caesar, les implications sont majeures. L’échange Rafale/Caesar contre drones, c’est Rafale = cerveau, drones = masse, artillerie = marteau Pour l’Ukraine : une bascule de la survie vers la souveraineté industrielle, pour la France : un multiplicateur de puissance à coût acceptable, pour l’Inde : opportunité géante… mais prudence maximale. en effet l’Inde ne veut pas être perçue comme co-belligérante anti russe. L’Inde pourrait accepter un triangle France–Ukraine–Inde sur drones, mais en mode discret, modulaire, non idéologique.
  13. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    AESA radar for Rafale fighters to be made in India - The Times of India https://www.eurasiantimes.com/make-in-india-rafale-jets-only-feasible-if-full-140/ Le radar AESA des chasseurs Rafale sera fabriqué en Inde On ne peux pas copier l'article mais on peut le commenter: Thales a signé un contrat avec l’entreprise indienne SFO Technologies pour produire en Inde des structures câblées complexes du radar AESA RBE2 utilisé sur les Rafale. Cette étape fait partie intégrante de l’effort Make in India pour localiser des technologies avancées de défense sur le sol indien. Ce n’est pas seulement un contrat de fabrication de pièces : il s’agit de composants sophistiqués destinés au système radar principal du Rafale. il marque une avancée significative vers la production indienne de sous-systèmes critiques, pas seulement de pièces mineures. Brièvement, l’article met l’accent sur : Le niveau technologique élevé des composants fabriqués localement. L’intégration de l’industrie indienne au réseau mondial de défense autour du Rafale. La réduction de dépendance aux importations pour les systèmes avancés. C’est un niveau de localisation réellement stratégique, pas du “câblage secondaire”. SFO Technologies ne se contente pas de “souffler à câbler”. Il va produire des structures complexes conçues pour : résister à des contraintes environnementales rigoureuses, s’intégrer dans un système radar actif de combat. Cela valide l’horizon “Make-in-India” pour les Rafale plus largement: Ce contrat est le premier important de ce type dans le programme Rafale en Inde, mais ce n’est pas isolé. il s’inscrit dans une logique qui se voit aussi dans d’autres rapports : Dassault propose jusqu’à 60 % de fabrication locale pour MRFA (programme de 114 Rafale) avec ligne d’assemblage final en Inde. Des modules radar (transmit/receive) sont produits en Inde dans le cadre d’un partenariat avec Bharat Electronics (BEL) depuis 2024. Le contrat Thales–SFO est donc une étape clé (et pas un acte isolé) dans une trajectoire vers une autonomie croissante de la chaîne Rafale en Inde.
  14. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    La dynamique récente montre que, sur la dernière demi-décennie, le Rafale rivalise avec le F-35 à l’export et s’apprête à dépasser le Typhoon en production cumulée. Cette trajectoire illustre moins une opposition entre programmes nationaux et coopératifs qu’un écart croissant entre des architectures à gouvernance claire et des programmes multinationaux sans leadership industriel assumé. L’Inde et, à terme, l’Ukraine confèrent au Rafale une profondeur stratégique et industrielle que les plateformes issues de coopérations lourdes peinent aujourd’hui à reproduire.
  15. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Oui mais le plan a du être prolongé un certain nombre de fois!
  16. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Le maréchal de l'air Anil Chopra (à la retraite) est un vétéran de l'armée de l'air indienne, pilote d'essai de chasseurs et ancien directeur général du Centre d'études sur la puissance aérienne. Il a été décoré de médailles pour bravoure et services distingués au cours de ses 40 années de service dans l'armée de l'air indienne. et il a écris ça: Make-in-India Rafale Jets Only Feasible If Full 140 Orders Placed; F5 Variant On Cards For IAF: Officials https://www.eurasiantimes.com/make-in-india-rafale-jets-only-feasible-if-full-140/ La fabrication en Inde des avions Rafale n'est viable que si les 140 commandes sont passées ; une variante F5 est envisagée pour l'armée de l'air indienne : sources officielles C'est une synthèse de tout ce qu'on sait déjà (mais aussi une confirmation), Il semble que l’Inde ne veut pas juste acheter le Rafale d’aujourd’hui, mais qu'elle veut être co-propriétaire de son avenir opérationnel.
  17. Ils font peut être comme le Qatar, des achats politiques.
  18. Non mais on pourrait remplacer la TVA par cette taxe je suis sûr qu'elle toucherais moins les pauvres que les riches.
  19. Défense : « Robustesse », « fiabilité »… Le canon Caesar français engrange les commandes à l’étranger https://www.20minutes.fr/societe/4190939-20251211-defense-robustesse-fiabilite-canon-caesar-francais-engrange-commandes-etranger Le canon Caesar français a encore fait mouche. Il vient d’engranger dans la même semaine deux grosses commandes à l’étranger, avec tout d’abord la Croatie qui a acheté le 8 décembre 18 systèmes d’artillerie Caesar MkII, ainsi que quinze véhicules blindés Serval, pour un total de 320 millions d’euros. KNDS France a annoncé ce jeudi que la Lituanie venait à son tour de passer commande de 30 nouveaux Caesar (pour 252 millions d’euros). « Ce nouveau contrat portera ainsi à 48 le nombre de Caesar MkII en service au sein des forces lituaniennes » indique KNDS dans un communiqué. Avec ce dernier contrat, KNDS France a ainsi écoulé plus de 800 canons Caesar vers 15 pays, selon un décompte effectué par La Tribune. Les plus gros acheteurs à l’étranger sont l’Arabie saoudite (156 exemplaires), l’Ukraine (90 + 49 cédés), la République tchèque (62) et l’Indonésie (55). Plus de 470 exemplaires ont déjà été livrés. « Capable de tirer six coups en une minute, puis de quitter la zone » Voilà qui montre que la France ne vend pas que des Rafale ou des frégates à l’étranger, mais se distingue aussi dans l’armement terrestre, secteur où elle est, pourtant, souvent décriée. Le succès du canon Caesar s’explique notamment par sa « fiabilité », assure KNDS, éprouvée depuis le début de la guerre en Ukraine. Principal fournisseur d’armement terrestre à l’Ukraine, KNDS s’appuie en effet sur un retour d’expérience de terrain unique, puisque près de 120 Caesar sont présents dans le pays. Le taux de destruction du Caesar, qui se déplace sur roues, « est d’environ 11 % en Ukraine alors qu’il va jusqu’à 50 % pour certains systèmes, plus lourds et souvent chenillés », assure KNDS. Le canon « a déjà prouvé sa robustesse, sa fiabilité, et la simplicité de sa maintenance aussi bien en contre-insurrection qu’en conflits de haute intensité, poursuit l’industriel. Le Caesar allie rapidité et précision, puisqu’il est capable de se positionner en batterie, de tirer six coups en une minute, puis de quitter la zone. » Nouvelle cabine blindée et moteur plus puissant Depuis l’entrée en service du premier Caesar (acronyme de « camion équipé d’un système d’artillerie ») en 2008, celui-ci a déjà fait ses preuves en Afghanistan, au Mali et en Irak, et ne cesse d’évoluer. La nouvelle version MkII apporte son lot d’améliorations, s’adaptant notamment aux nouvelles contraintes constatées en Ukraine, où il doit désormais faire face aux défis de la transparence du champ de bataille grâce aux satellites, et aux drones. La nouvelle génération du système d’artillerie français, équipé d’un canon de 155 mm, est dotée « d’une meilleure motorisation ainsi que d’une cabine blindée permettant une protection accrue contre les mines, les IED [Improvised Explosive Device, engins explosifs improvisés], les éclats d’obus d’artillerie, et surtout contre les munitions téléopérées, menace importante pour les pièces d’artillerie depuis le début de la guerre en Ukraine » souligne l'industriel français. « Enfin, son architecture numérique a été entièrement retravaillée, permettant de meilleures performances, tant en matière d’interopérabilité, de cybersécurité, que d’intégration de différents systèmes de contrôle des feux ». Cette nouvelle génération MkII a déjà été commandé par la France, la Belgique, la Slovénie et la Croatie, en plus de la Lituanie, et « fait l’objet de la signature de lettres d’intention par la Bulgarie et le Portugal », selon KNDS. Mobilisation de 150 milliards d’euros par la commission européenne pour le réarmement des pays de l’UE Pour répondre à ce nouvel afflux de commandes, l’usine KNDS de Bourges a triplé sa production du canon Caesar depuis le début de la guerre en Ukraine et se prépare à encore accélérer ses cadences. C’est dans cet immense atelier que sont usinés les canons de neuf mètres de long qui équipent les Caesar. Les engins sont ensuite assemblés sur le site KNDS de Roanne, où l’on est passé à six Caesar par mois en 2024, avant de monter progressivement à huit cette année, contre deux en moyenne avant 2022. L’achat des Caesar par les pays membres de l’Union européenne (UE) est toutefois rendu, aussi, possible grâce au programme Safe (Security for action for Europe). Cet accord doté de 150 milliards d’euros doit permettre de faciliter les achats en commun d’armements des pays de l’UE, et encourager l’industrie de défense européenne. La Croatie bénéficie d’une enveloppe d’environ 1,7 milliard d’euros dans le cadre de ce dispositif, et la Lituanie de plus de 6,3 milliards. Même si l’Allemagne, notamment avec le puissant industriel Rheinmetall, est bien décidée à devenir l’acteur central du mouvement de réarmement en Europe, la France s’affirme aussi « comme un acteur clé du réarmement européen » et « joue un rôle central dans le renforcement d’une base industrielle et technologique de défense européenne (BITDE) crédible, autonome et souveraine », assure le ministère des Armées, dans un communiqué du 1er octobre dernier. La France restait en 2024 le deuxième exportateur d’armement au monde, essentiellement grâce à l’aéronautique.
  20. Russia attacks two Ukrainian ports, damaging three Turkish-owned vessels https://www.reuters.com/world/europe/vessel-fire-after-russian-attack-ukraines-odesa-region-sources-say-2025-12-12/
  21. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Quand le JPO te vend : Le meilleur radar, la fusion sensorielle ultime, l’intégration parfaite EW, le superset air-to-surface, la supériorité contre furtif, la compatibilité nucléaire élargie, l’intégration autonome en coalition, etc.… ce sont des promesses dépendantes de Block 4 et post-Block 4. Si Block 4 est amputé, différé, fragmenté ou partiel… alors une partie substantielle des fonctions promises ne sera jamais livrée. https://forum.air-defense.net/topic/29-le-f-35/?do=findComment&comment=1856771
  22. J'ai eu des nouvelles sa santé va bien, mais il a des montagnes de formalités à faire parce qu'il y a eu deux décès qui engendrent des complications auxquelles il ne peut pas se soustraire et cela lui laisse assez peu de temps, il a en plus un frère perfectionniste qui complique tout et des projets de réaliser une ascension en Afrique qui demande une préparation soignée. Voilà je dévoile ça pour vous rassurer, pas pour raconter sa vie privée.
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