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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
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A peu près le même temps que de construire un réseau électrique stable et 100% renouvelable, en Allemagne.
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Oui mais après il faudrait aussi revoir les circuits de refroidissement...
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On pourrait leur demander de recâbler les anciens Rafale pour pouvoir les passer en F5.
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Il ne faut pas oublier que le Laser Mégajoule est un instrument de physique des hautes énergies: c'est appelé simulation improprement: en fait le but est de réaliser une expérience de physique et de mesurer ses paramètres et ses résultats pour pouvoir comparer avec ce que les simulations avaient prédit, sans avoir à faire péter une bombe H à chaque fois. Il y a une vraie fusion thermonucléaire qui a lieu et à partir de ces fusions thermonucléaires, compte tenu de ce qui est enregistré, on pourrait construire une simulation si on partait de rien.
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Si un client abandonne le F35, les USA n'ont aucun intérêt à empêcher la vente des avions dont ils sont capables de bloquer le soutien par la suite.
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[France] Armée de l'Air et de l'Espace
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Henri K. dans Europe
Vladou ron ron, Vladou ron ron! -
SAMP/T, Twister et autres Sol Air Moyenne/Longue portée
Picdelamirand-oil a répondu à un sujet dans Europe
L'entreprise a travaillé en 2019 pour débarrasser SCALP des pièces soumises à la réglementation américaine sur le trafic international d'armes, après que les États-Unis ont bloqué la vente du missile de croisière à l'Égypte en 2018 -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Oui bientôt ils vont racheter Airbus, histoire de faciliter les négociations du SCAF. -
[France] Armée de l'Air et de l'Espace
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Henri K. dans Europe
Je ne donne pas de conseils mais si on ne peut pas acheter des actions de MDBA on peut investir dans les actionnaires de MDBA: MBDA est détenu par Airbus (37,5 %), BAE Systems (37,5 %) et Leonardo (25 %). Parce que c'est vrai que là où on a le manque le plus criant c'est dans les munitions. Safran aussi qui fait l'AASM. -
Et moi j'ai toujours dit 2031. En fait Bulgarian a construit son texte avec des informations un peu vieilles : par exemple "le prix du cycle de vie à 1 700 milliards" alors que maintenant il est à 2000 milliards.
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Ils demandent à DARTY une copie du contrat de confiance, et ils l'appliquent à la place de leurs conditions générales de vente
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Macron propose de remplacer les F-35 par des avions de combat Rafale Le président français Emmanuel Macron a appelé les nations européennes à repenser leur dépendance à l'égard du matériel militaire fabriqué aux États-Unis, les exhortant à remplacer les avions de combat F-35 de Lockheed Martin par le Rafale français et à troquer le système de défense aérienne américain Patriot contre le système franco-italien SAMP/T, selon une interview publiée le 14 mars 2025 par Le Parisien et Nice-Matin. S'exprimant depuis Paris, M. Macron a fait son discours alors que la dynamique transatlantique est en pleine mutation, les pays européens étant soumis à une pression croissante pour renforcer leurs propres industries de défense dans un contexte d'incertitude quant à la politique étrangère des États-Unis à la suite de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump en janvier. Ses remarques visent à convaincre les alliés de l'OTAN et d'autres partenaires européens d'acheter européen, en stimulant l'emploi et l'autonomie tout en contrant ce qu'il considère comme une dépendance excessive à l'égard de la technologie américaine qui a été la pierre angulaire de la sécurité du continent pendant des décennies. Le moment choisi par M. Macron pour faire cette déclaration est directement lié aux récents changements géopolitiques. L'administration de M. Trump ayant signalé un possible retrait des engagements de l'OTAN - faisant écho au scepticisme de son premier mandat à l'égard de l'alliance - les dirigeants européens ont débattu de la manière de renforcer leurs propres défenses. M. Macron, qui défend depuis longtemps l'autonomie stratégique de l'Europe, a saisi l'occasion pour défendre son point de vue. « Nous devons offrir des alternatives européennes aux pays habitués aux équipements américains », a-t-il déclaré aux journaux français, en citant le Rafale, construit par Dassault Aviation, et le SAMP/T, développé par Eurosam, une coentreprise entre le français Thales et l'italien MBDA. Il a affirmé que l'augmentation de la production de ces systèmes permettrait de réduire les coûts et de créer un réseau de défense autonome à travers l'Europe, moins lié aux priorités de Washington. Le Rafale, un chasseur bimoteur multirôle, est l'avion de guerre phare de la France depuis son entrée en service en 2001. Contrairement au F-35, axé sur la furtivité, qui s'appuie fortement sur son faible profil radar, le Rafale met l'accent sur la polyvalence : il est capable de mener des combats aériens, des frappes au sol et des opérations de reconnaissance, avec une vitesse maximale de Mach 1,8 et un rayon d'action d'environ 1 000 miles. Le discours de M. Macron intervient alors que plusieurs pays européens, dont la Pologne et la Finlande, ont opté pour le F-35 ces dernières années, attirés par ses capteurs avancés et l'interopérabilité avec l'OTAN. La Pologne, par exemple, a signé un contrat de 4,6 milliards de dollars en 2020 pour 32 F-35, tandis que la Finlande en a commandé 64 en 2021, selon les dossiers du département d'État américain. La France, qui n'a jamais poursuivi le F-35, considère le Rafale comme une alternative éprouvée, avec plus de 200 appareils livrés à ses propres forces et des exportations vers des pays comme l'Inde et l'Égypte. Le SAMP/T, quant à lui, est un système de défense aérienne basé au sol, conçu pour abattre des missiles et des avions à des distances allant jusqu'à 75 miles. Il est équipé de missiles Aster 30 et d'un radar capable de suivre plusieurs cibles, ce qui en fait un concurrent du Patriot, qui a une plus grande portée (jusqu'à 100 miles), mais dont le prix est plus élevé et la maintenance plus complexe. Les succès remportés par l'Ukraine avec les Patriot contre les jets russes, largement rapportés par des agences telles que Reuters, ont renforcé sa réputation, mais M. Macron souhaite que l'Europe mise plutôt sur le SAMP/T. La France et l'Italie ont déjà fourni un système à l'Ukraine en 2023, et un deuxième est en préparation, selon Militarnyi, un site d'information sur la défense. La vision de M. Macron est d'étendre son utilisation à tout le continent, en remplaçant les dizaines de batteries Patriot exploitées par des pays comme l'Allemagne et les Pays-Bas. Les réactions à la proposition de M. Macron varient d'un pays à l'autre en Europe. Le ministre français de la Défense, Sébastien Lecornu, a soutenu l'idée, déclarant à France Info Radio que l'argent des contribuables européens devait rester en Europe, et non pas aller aux entreprises américaines. Il a souligné que la France prévoyait de commander 42 Rafales supplémentaires en 2025, dans le cadre d'un budget de défense de 50,5 milliards d'euros, et qu'elle poussait Eurosam à rationaliser la production du SAMP/T. Mais tout le monde n'est pas d'accord. Des responsables polonais, s'exprimant sous le couvert de l'anonymat à Politico, ont déclaré que leur accord sur le F-35 était verrouillé, citant son intégration dans les opérations de l'OTAN dirigées par les Etats-Unis comme un avantage non négociable. « Nous ne reviendrons pas en arrière maintenant », a déclaré une source, reflétant un sentiment plus large parmi les nations d'Europe de l'Est qui se méfient de la Russie et comptent sur les garanties de sécurité américaines. Les chiffres ne disent pas tout. Le programme F-35, géré par Lockheed Martin, a vendu plus de 900 jets dans le monde, dont une grande partie en Europe, selon le rapport annuel 2024 de l'entreprise. Chaque avion coûte environ 80 millions de dollars, mais la maintenance et la formation font grimper le prix du cycle de vie à 1 700 milliards de dollars pour la seule flotte américaine, selon une estimation du Government Accountability Office. En comparaison, le Rafale coûte environ 70 millions de dollars par unité, Dassault affirmant que ses coûts d'exploitation sont inférieurs en raison de sa conception plus simple. En ce qui concerne la défense aérienne, une batterie de Patriot coûte environ 1 milliard de dollars, missiles compris, tandis qu'un système SAMP/T est plus proche des 600 millions de dollars, selon les chiffres de l'industrie cités par Defense News. L'argument de M. Macron repose sur l'idée que ces économies pourront être réalisées si davantage de pays y adhèrent. L'histoire permet de situer le contexte dans lequel s'inscrit sa démarche. La France résiste depuis longtemps à la domination américaine en matière de ventes d'armes, se retirant du programme F-35 au début des années 2000 pour protéger son secteur aérospatial. Le Rafale a connu des difficultés au début, perdant des appels d'offres au profit de jets américains dans des pays comme les Pays-Bas et la Suisse, mais des victoires récentes, comme la commande de 24 avions par la Grèce en 2021, ont renforcé son dossier. Le SAMP/T a lui aussi été confronté au scepticisme, avec seulement la France et l'Italie comme principaux utilisateurs jusqu'à ce que le déploiement de l'Ukraine prouve sa valeur. Des articles publiés sur X par des observateurs de la défense tels que DefenceGeek ont fait l'éloge de ses performances, notant qu'il a abattu un missile russe en mars 2023, un exploit confirmé par l'armée de l'air ukrainienne. De l'autre côté de l'Atlantique, la réaction des États-Unis a été discrète mais précise. Un porte-parole du département d'État, cité par CNN, a déclaré que les États-Unis se félicitaient des investissements européens en matière de défense, tout en soulignant que la force de l'OTAN résidait dans des systèmes partagés tels que le F-35 et le Patriot. « L'interopérabilité est plus importante que jamais », a déclaré le fonctionnaire, laissant entendre qu'un passage à des solutions européennes pourrait compliquer les opérations conjointes. Lockheed Martin et Raytheon, le fabricant du Patriot, ont refusé de commenter directement les remarques de M. Macron, bien que les deux entreprises aient fait pression pour conserver les contrats européens. En 2024, Raytheon a présenté au Congrès un rapport vantant les plus de 240 interceptions réalisées par le Patriot à l'échelle mondiale, qu'aucun rival n'a réussi à égaler. Les dirigeants européens sont partagés sur l'idée. Le chancelier allemand Olaf Scholz, s'exprimant lors d'une conférence sur la sécurité à Munich au début du mois, a reconnu la nécessité d'une production européenne accrue, mais s'est abstenu d'approuver l'échange spécifique proposé par M. Macron. Les 12 batteries Patriot de l'Allemagne, dont certaines sont destinées à l'Ukraine, représentent un investissement important, et un échange impliquerait de reformer les équipes et de repenser la logistique. L'Italie, co-développeur du SAMP/T, est plus réceptive. Le Premier ministre Giorgia Meloni a déclaré aux journalistes à Rome qu'elle était ouverte aux discussions, surtout si cela permet de créer des emplois à Turin et à Milan. Des pays plus petits comme le Portugal, qui a récemment suspendu sa décision concernant le F-35, pourraient être la meilleure chance de M. Macron, selon un rapport de Defense Procurement International. Les analystes voient les deux côtés de la médaille. « Macron a raison en ce qui concerne la souveraineté », a déclaré Sophia Besch, du Carnegie Endowment, lors d'un récent séminaire en ligne. « Mais l'avance technologique du F-35 et sa compatibilité avec l'OTAN sont difficiles à battre. Elle a noté que le Rafale n'est pas aussi furtif que son rival américain, une lacune que Dassault dit compenser par des améliorations en matière de guerre électronique. En matière de défense aérienne, la portée plus courte du SAMP/T limite son intérêt face aux menaces à longue portée telles que les missiles hypersoniques russes, une préoccupation soulevée par Bronk de RUSI dans un article de Defense One. Néanmoins, a ajouté M. Besch, le coût et la politique pourraient influencer certains acheteurs si la France adoucit l'accord avec un financement ou une production conjointe. Macron ne se contente pas de parler, il agit. Il a pressé Thales et Dassault de réduire les formalités administratives et de baisser les prix, ce qui, selon M. Lecornu, pourrait faire baisser les coûts du Rafale de 10 % si les commandes augmentent. Des articles sur le X de FrenchDefTech spéculent qu'une nouvelle variante du SAMP/T, présentée au salon aéronautique de Paris l'année dernière, pourrait porter son rayon d'action à 160 km, comblant ainsi l'écart avec le Patriot. Pendant ce temps, les États-Unis ne restent pas inactifs : Lockheed préconise une mise à niveau du F-35 Block 4 avec de meilleurs capteurs, prévue pour 2026, selon Aviation Week. Le débat est loin d'être clos. L'Europe a dépensé plus de 100 milliards de dollars en armes américaines depuis 2014, selon les données du SIPRI, une tendance que Macron souhaite inverser. La question de savoir s'il peut convaincre suffisamment de capitaux d'abandonner le F-35 et le Patriot pour le Rafale et le SAMP/T ne dépend pas seulement des spécifications, mais aussi de la confiance, des budgets et du niveau de risque que les pays sont prêts à prendre eux-mêmes. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
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Australie
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Quand même vous brodez, moi je ne sais plus où j'en suis. -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Nucléaire : l'Allemagne paiera Par David Barroux -
Australie
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Moi je pense que les hauts gradés australiens ils sondent sans l'accord du gouvernement, parce qu'ils sont très très inquiets. -
Australie
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
L'Événement | Australie: Paris en embuscade en cas de sabordage d'AUKUS En France, personne ne veut se faire de faux espoirs. Mais les récents appels du pied de hauts gradés australiens ne manquent pas de réveiller Naval Group : et si Paris pouvait revenir dans la sous-marinade de Canberra ? -
énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Si pour une question aussi évidente tu hésite entre les énoncés des spécialistes et ceux des charlatans, alors il est compréhensible que pour le F-35 tu ne vois aucun problème pour son achat par le Suisse. -
[ EURODRONE RPAS ] Le drone MALE européen, dirigé par l'Allemagne, va t il sortir de l'ornière ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Europe
J'avais remarqué -
[ EURODRONE RPAS ] Le drone MALE européen, dirigé par l'Allemagne, va t il sortir de l'ornière ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Europe
Une formule aérodynamique un peu plus sexy qui aurait permis de développer un euro drone qui soit bi moteur puisque les Allemands y tenaient tant. -
[ EURODRONE RPAS ] Le drone MALE européen, dirigé par l'Allemagne, va t il sortir de l'ornière ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Europe
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[Ministère des Armées, MINARM]
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Pourquoi tu rajoutes "ce soir"? -
[Ministère des Armées, MINARM]
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Guerre en Ukraine : « On a besoin de produire plus de Rafale », dit Macron à « Sud Ouest » https://www.sudouest.fr/societe/defense/guerre-en-ukraine-on-a-besoin-de-produire-plus-de-rafale-dit-macron-a-sud-ouest-23648739.php Réarmement de l’Europe, mobilisation des industriels français, livraisons d’armes à l’Ukraine… Le président s’est confié à « Sud Ouest ». Si les urgences sont nombreuses, il n’envisage toutefois pas de rétablir le service militaire obligatoire Alors que les négociations sur un éventuel cessez-le-feu en Ukraine se poursuivent, les objectifs du réarmement de la France, eux, se précisent. Vendredi 14 mars au soir, lors d’un entretien exclusif avec la presse quotidienne régionale, Emmanuel Macron a été formel auprès de « Sud Ouest » : les cadences de production des industries de défense « vont augmenter très fortement dans les mois et les années qui viennent ». Si le chef de l’État ne s’est pas engagé sur des montants et des volumes de commandes, cette perspective ne pourra que rejaillir sur la Nouvelle-Aquitaine où sont implantés plusieurs poids lourds de l’armement. En particulier en Gironde, avec Dassault, Thales et Safran à Mérignac ou encore Ariane à Saint-Médard-en-Jalles. Cette perspective d’un regain d’activité est d’autant plus solide qu’elle a été formulée à l’issue d’une réunion le matin, à l’Élysée, avec les principaux fabricants d’armes tricolores. « On sait où on a des besoins, précise le président : la défense sol-air, les drones, les systèmes anti-drones, les missiles téléopérés, le spatial, les munitions… » Dans cette liste émergent aussi les canons Caesar, la pièce maîtresse de l’artillerie française dont près de 70 exemplaires équipent l’armée ukrainienne, et les Rafale, fleuron de notre armée de l’air, assemblés dans l’usine Dassault de Mérignac. Un nouveau SNU Sur le Rafale justement, de nouveaux horizons devraient s’ouvrir. En effet, alors que le projet du futur avion de combat européen, le SCAF, est lancé entre la France, l’Allemagne et l’Espagne, Emmanuel Macron ne veut pas mélanger ce programme d’avenir aux urgences du moment. « Là, on a surtout besoin de produire plus de Rafale », souligne-t-il. S’il ne chiffre pas les besoins français, il inscrit néanmoins son propos à l’échelon européen avec l’ambition d’agrandir le « club Rafale ». Lequel n’a cessé de s’étendre ces dernières années avec les commandes des Émirats arabes unis, du Qatar, de l’Égypte, de l’Inde, de l’Indonésie, mais aussi de la Grèce et de la Croatie. « J’ai demandé aux industriels qu’on puisse aller démarcher les États européens qui ont pris l’habitude d’acheter américain. » Pour faire face à ces potentielles nouvelles commandes, qui iraient des Rafale aux missiles en passant par l’artillerie entre autres, le chef de l’État s’est engagé à « accompagner » les industriels dans leurs besoins de formation. Il leur a aussi demandé de faire « un très gros travail de simplification, de baisse des coûts, d’amélioration des délais de paiement pour leurs sous-traitants ». Toutefois, alors qu’une majorité de français (61 %) se dit désormais favorable au rétablissement du service militaire – supprimé en 1995 – et que ce débat se pose également en Allemagne, en Belgique ou au Royaume-Uni, il n’envisage pas une telle option : « On n’a plus la base, plus la logistique. À partir du moment où on est allé vraiment vers la professionnalisation de nos armées, qui sont focalisées sur l’opérationnel, les réemployer pour encadrer 800 000 jeunes n’est absolument pas un schéma réaliste à court terme. » Lors de ses vœux aux armées, le 20 janvier, Emmanuel Macron avait appelé à une nouvelle forme d’engagement pour la jeunesse afin de lui donner « le choix de servir » et d’être, si besoin, « employée en renfort dans les armées ». Cela devrait se traduire par une remise à plat du SNU, le service national universel, qui a vu le jour en 2019 pour les jeunes de 15 à 17 ans : « J’aurais, dans les prochaines semaines, à annoncer une refonte de ce dispositif pour qu’il corresponde aux besoins de la nation et aux priorités que nous avons identifiées. » Emmanuel Macron reprendra-t-il la proposition de son ancien Premier ministre, Édouard Philippe de créer un service militaire « volontaire » permettant de former 50 000 personnes par an ? À voir -
Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
C'est un peu moins de la moitié des statistiques d'une flotte de F-35 de même taille. On pourrait remplacer ça par 3 Rafale, il leur suffirait de faire une heure de vol chacun chaque jour (statistiquement bien sûr) ce qui est vraiment facile, et ils pourraient les garder 26 ans. -
Lockheed eyes two-year timeline to pick new F-35 cooling system Lockheed prévoit un délai de deux ans pour choisir le nouveau système de refroidissement du F-35 L'entreprise examine « toutes les offres qui sont sur le marché aujourd'hui pour prendre cette décision, donc ce ne sera pas un choix rapide », a déclaré Chauncey McIntosh, directeur du programme F-35 de Lockheed, à Breaking Defense. Par Michael Marrow le 10 mars 2025 à 13:54 AFA WARFARE 2025 - La sélection d'une mise à niveau très attendue pour le système de refroidissement actuel du F-35 pourrait prendre jusqu'à deux ans, le fabricant Lockheed Martin évaluant les options de Collins Aerospace et Honeywell, selon le directeur du programme de la société. « Certaines personnes nous ont déjà présenté des options. Il nous faudra, je pense, environ les 24 prochains mois pour vraiment examiner ces options », a déclaré Chauncey McIntosh, vice-président de Lockheed pour le programme F-35, lors d'une interview accordée lundi à Breaking Defense, en marge du symposium AFA Warfare. Lockheed examine « toutes les offres disponibles sur le marché aujourd'hui afin de prendre cette décision et de les passer en revue ». Il ne s'agira donc pas d'un choix rapide, mais d'un choix fondé sur des données » qui garantira que l'entreprise “prend la bonne décision” pour répondre aux besoins futurs, a ajouté M. McIntosh. « C'est en quelque sorte le calendrier que nous nous sommes fixé, mais au fur et à mesure que nous avançons, les choses peuvent s'accélérer ou se ralentir, en fonction de ce que l'entreprise apprendra. Collins et Honeywell sont pour l'instant les seules entreprises à avoir publiquement jeté leur dévolu sur un nouveau système de refroidissement. Selon Breaking Defense, c'est Lockheed qui organisera la compétition, offrant ainsi une opportunité lucrative à l'éventuel vainqueur qui fournirait les pièces nécessaires à la modernisation d'une grande partie des quelque 1 000 F-35 actuellement en service et fabriquerait le système pour les avions à venir. Les responsables affirment qu'un nouveau système de refroidissement, connu officiellement sous le nom d'unité de gestion thermique et de puissance (PTMU), est nécessaire pour prendre en charge les prochaines mises à niveau qui devraient faire fonctionner l'avion encore plus chaudement qu'il ne le fait aujourd'hui. À court terme, une amélioration du moteur Pratt & Whitney F135 de l'avion de combat furtif devrait permettre une série de mises à niveau connues sous le nom de Block 4. Au-delà du bloc 4, un nouveau système de refroidissement sera nécessaire pour fonctionner en tandem avec la mise à niveau du moteur, a déclaré précédemment le Bureau du programme conjoint du F-35. Quelle que soit l'issue de la compétition pour le nouveau système de refroidissement, le temps presse. Une précédente demande d'information du JPO indiquait que le gouvernement s'attendait à ce qu'une nouvelle solution de système de refroidissement soit prête à être mise en service vers 2032. Selon un rapport du Government Accountability Office de mai 2024 [PDF], le programme F-35 pourrait commencer à fournir des améliorations après le bloc 4 dès 2029. Ce calendrier, selon l'organisme de surveillance, signifie que « si les mises à niveau du système de gestion thermique interviennent après 2029, les capacités post-Block 4 seront également retardées ». Soulignant la nécessité de synchroniser les différentes exigences, M. McIntosh a déclaré : « Nous allons laisser les données nous guider tout en sachant que nous disposons d'un calendrier pour insérer ce moteur et le PTMU à l'avenir ». Honeywell fournit l'appareil de refroidissement actuel, connu sous le nom de système de gestion thermique et de puissance (PTMS), qui est responsable d'autres tâches critiques telles que la fourniture d'une alimentation électrique d'urgence - et propose une mise à niveau de la conception existante. Collins, une filiale de RTX, cherche à détrôner Honeywell en présentant une nouvelle offre baptisée Enhanced Power and Cooling System (EPACS). Honeywell et Collins affirment que leurs candidats répondent à un objectif fixé par les JPO : une capacité de refroidissement de 80 kilowatts. Honeywell présente son approche, que Matt Milas, président de la division Défense et Espace de l'entreprise, a communiquée à Breaking Defense à la suite des résultats de la modélisation numérique, comme étant moins risquée, car elle conserve une grande partie de l'« empreinte » actuelle du PTMS avec des technologies en grande partie matures. Collins, en revanche, présente l'EPACS comme une solution alternative pour répondre aux besoins du F-35, dont l'ingénieur en chef Matt Pess a récemment déclaré à Breaking Defense qu'il était développé dans le but de « laisser autant de marge que possible dans le système et autant de flexibilité que possible dans le système ». Breaking Defense a également visité les installations de l'entreprise et vu le prototype EPACS en action l'année dernière. « Nous avons examiné l'ensemble des éléments qui nous ont été demandés et nous nous sommes efforcés de nous assurer que nous avions une mission critique et que notre système serait à la hauteur », a déclaré Henry Brooks, président de Collins pour l'énergie et les contrôles, lors d'une interview avec Pess, le 27 février dernier. « Je pense que notre solution sera nouvelle, si vous voulez, pour le F-35. Elle permettra d'équiper non seulement le F-35 », mais aussi des avions de combat de sixième génération tels que la plate-forme Next Generation Air Dominance de l'armée de l'air, ainsi que les futurs modèles d'avions commerciaux. En outre, selon Collins, l'EPACS a atteint le niveau 6 de préparation technologique, ce qui signifie que le système est suffisamment mûr pour passer à la phase d'ingénierie, de fabrication et de développement.
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SAMP/T, Twister et autres Sol Air Moyenne/Longue portée
Picdelamirand-oil a répondu à un sujet dans Europe
Ah les jeunes d'aujourd'hui c'est plus ce que c'était...