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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Mais chez Dassault on fait tout à l'envers parce que les actionnaires sont bien assez riches comme ça et ne sont pas avides de plus de dividendes et savent que le meilleur investissement c'est encore de mettre leur argent dans le boite.
  2. Livraison ne veut pas dire production. Et pour une boite comme Dassault qui a une trésorerie de malade, les livraisons c'est important pour l'image de marque, mais pour la finance c'est la production qui compte, si on ne livre pas on a la trésorerie pour attendre. Ce qui permet aussi de faire le banquier pour les sous traitants....
  3. Japon : le redémarrage d’une centrale nucléaire pas comme les autres
  4. J'avais essayé d'imaginer l'avenir ici: https://forum.air-defense.net/topic/20703-production-davions-de-chasse-en-europe/?do=findComment&comment=1697376 En 2025 il y avait 13 Rafale pour la France, 14 pour l'Egypte et 6 pour l'Indonésie pour 33 en tout. Il suffit de substituer la France et l'Egypte si Trappier annonce bien 33 Rafale pour l'année prochaine. Pour 2024 je m'étais planté ayant imaginé un rattrapage qui n'a pas eu lieu!
  5. Pourquoi le GaN est-il important ? L'impact de la technologie GaN (nitrure de gallium) sur la portée des radars, en particulier dans les applications AESA (Active Electronically Scanned Array), est significatif par rapport au GaAs (arséniure de gallium) en raison de l'efficacité, de la densité de puissance et des capacités de gestion thermique plus élevées du GaN. Puissance de sortie : Les transistors GaN peuvent atteindre des puissances de sortie de 200 W par élément dans les radars AESA, ce qui augmente considérablement la portée du radar. Pour les systèmes à longue portée, la capacité du GaN à fonctionner à des niveaux de puissance plus élevés signifie que le radar peut détecter des objets plus éloignés. Les systèmes à base de GaAs fournissent généralement des puissances de sortie plus faibles, ce qui limite la portée du radar en comparaison. GaAs : En général, les transistors GaAs offrent une densité de puissance d'environ 1,5 W/mm, avec des puissances de sortie allant de 5 à 10 watts, bien qu'il soit possible d'obtenir des puissances de sortie plus élevées, jusqu'à 40 watts, en utilisant plusieurs dispositifs en parallèle ou des configurations push-pull. Toutefois, cela se fait au prix d'une efficacité réduite et d'un espace plus important pour les circuits périphériques. GaN : En revanche, le GaN peut fournir des densités de puissance jusqu'à 5 fois supérieures à celles du GaAs, avec des puissances allant de quelques dizaines à quelques centaines de watts par transistor. Par exemple, les transistors GaN sur substrat de carbure de silicium (GaN-sur-SiC) peuvent atteindre des niveaux de puissance de 200 W dans les systèmes AESA. Efficacité thermique : Le GaN offre une conductivité thermique supérieure à celle du GaAs, ce qui permet aux systèmes radar de fonctionner à des températures et des densités de puissance plus élevées sans surchauffe. Cette efficacité se traduit par une réduction des besoins de refroidissement et permet aux radars de fonctionner plus longtemps au maximum de leurs performances, ce qui améliore la portée de détection continue du radar. GaAs : Le GaAs a une conductivité thermique plus faible, généralement de l'ordre de 46 W/mK. Cela limite sa capacité à dissiper efficacement la chaleur, ce qui restreint le fonctionnement à haute puissance des systèmes radar. Les transistors GaAs ont tendance à surchauffer à des niveaux de puissance élevés, ce qui réduit l'efficacité globale du système et nécessite des solutions de refroidissement complexes. GaN : le GaN a une conductivité thermique d'environ 130-170 W/mK, soit plus de trois fois supérieure à celle du GaAs. Cela permet aux dispositifs GaN de fonctionner à des densités de puissance beaucoup plus élevées tout en maintenant une dissipation thermique efficace. La conductivité thermique accrue signifie que les systèmes à base de GaN peuvent supporter des températures plus élevées sans dégradation des performances, ce qui permet de concevoir des radars AESA plus compacts et plus efficaces. Bande passante : les radars à base de GaN fonctionnent également à des fréquences plus élevées que les systèmes à base de GaAs. Cela permet une plus grande largeur de bande pour la transmission des signaux, ce qui se traduit par une meilleure résolution et une plus grande sensibilité à longue portée. Cet avantage est crucial dans les systèmes AESA où la capacité à détecter des cibles plus petites ou plus éloignées est une priorité. GaAs : Le GaAs peut gérer des largeurs de bande modérées, mais ses performances ont tendance à se dégrader dans les applications multifréquences ou à haute puissance dans la partie supérieure de la bande X. GaN : les transistors GaN permettent des largeurs de bande plus importantes, ce qui est crucial pour les radars multifonctions qui doivent fonctionner simultanément sur plusieurs canaux. Le GaN peut prendre en charge des largeurs de bande instantanées plus élevées (des dizaines de GHz) dans la bande X, ce qui permet aux radars AESA de couvrir un spectre de fréquences plus large et de traiter davantage de données en temps réel. Les radars AESA basés sur le GaN sont ainsi immunisés contre les brouilleurs de radars basés sur le GaAs. Longévité du système : Les propriétés inhérentes au GaN permettent d'allonger la durée de vie opérationnelle, ce qui réduit les coûts de maintenance et accroît la fiabilité des systèmes de détection à longue portée très sollicités. Cela améliore le temps de fonctionnement global du système et la capacité de portée tout au long du cycle de vie du radar. Ces facteurs combinés signifient que l'utilisation de GaN dans les radars AESA permet d'augmenter la portée jusqu'à 50 % par rapport à GaAs, selon une estimation très prudente, en fonction de l'application spécifique du radar et des contraintes de puissance.
  6. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Une discussion très intéressante sur l'IAF et la voie à suivre avec le maréchal de l'air Diptendu Choudhury (retraité) et @zone5aviation. La puissance aérienne est la plus négligée en Inde, achetez plus de Rafale », déclare le maréchal de l'air Diptendu Choudhury (retraité).
  7. Ratés à l'allumage dans la relation France-Indonésie après l'investiture de Prabowo Subianto Le président indonésien Prabowo Subianto (G) reçoit François Corbin, représentant spécial du ministre français de l'Europe et des affaires étrangères pour les relations économiques avec les pays de l'ASEAN, le 21 octobre 2024 à Jakarta. © Bay Ismoyo//Pool/EPA/MaxPPP La ratification de l'accord de coopération France-Indonésie bute sur le transfert d'informations classifiées, alors que l'absence d'un dignitaire français de haut rang à l'investiture du nouveau président a été remarquée par la partie indonésienne. [...]
  8. Picdelamirand-oil

    Hélidrones

    Découvrez le drone sous-marin Blackbird d'Alseamar Vidéo : Découvrez le drone sous-marin Blackbird d'Alseamar La PME française ALSEAMAR a levé le voile sur son drone sous-marin Blackbird lors du salon Euronaval 2024 qui s'est tenu à Paris du 4 au 7 novembre. Martin Manaranche 11 Nov 2024 L'objectif premier de ce projet est de déployer un drone depuis un sous-marin en immersion dite « profonde ». Il pourra être piloté depuis le sous-marin et partager des données avec le sous-marin en plongée. Lancée il y a un an dans le cadre d'une opération expérimentale avec la Marine nationale et l'AID (Agence d'innovation de défense), la PME du sud de la France s'est appuyée sur son concept d'antenne sous-marine déportée X-SUB pour innover et aller plus loin dans la collecte d'informations à partir de sous-marins immergés. L'objectif premier de ce projet est de déployer un drone à partir d'un sous-marin en immersion dite « profonde ». Il pourra être contrôlé depuis le sous-marin et partager des données avec le sous-marin immergé. Pour le contrôle de la mission, le drone peut se voir confier une mission prédéfinie avant le déploiement, ou bien une mission lorsque le drone est en vol. Pour le piloter depuis l'eau, l'entreprise utilise sa solution existante, qui consiste en une antenne déportée lancée depuis le SSE du sous-marin lorsqu'il est immergé, et qui sert de signal de relais. Celle-ci est déployée juste avant le largage du drone, qui s'effectue via le même canal que le X-SUB, et est reliée à un « système de contrôle au sol » implanté dans le sous-marin. Afin d'être étanche, le drone est contenu dans une capsule largable de la taille du SSE. Si le sous-marin n'exploite pas son X-SUB, il a toujours la possibilité de piloter le drone via ses mâts de communication traditionnels, à condition que les fréquences utilisées correspondent à celles du drone. De même, si le sous-marin ne dispose pas d'un SSE, une autre variante de ce Blackbird est à l'étude. Il serait lancé depuis l'extérieur du sous-marin à l'aide d'un drone plus gros, et serait chargé avant de partir en mission, et potentiellement réutilisable. Olivier Jacques, responsable des ventes de radiocommunications chez ALSEAMAR, a déclaré : « Le sous-marin pourrait en transporter quatre ou cinq. Par exemple, pour un sous-marin au fond de la mer, cette solution a une réelle valeur ajoutée, car il pourrait motiver sa remontée par les images ramenées par le drone en plus des éléments radio qu'il recevrait. » Grâce à cette connexion RF et via une brique technologique interne, le sous-marin a pu déployer le drone à une distance de plus de 20km. Cependant, ce résultat n'est pas confirmé car ce système n'est pas implémenté dans le Blackbird lui-même, mais des tests ont été menés avec une autre plateforme plus « grosse » donnant ce type de résultat. Selon Olivier Jacques : « On peut espérer quelque chose de similaire avec Blackbird ». Pour l'instant, le projet est encore en phase de test, mais des essais sont réalisés chaque semaine en mer. Le premier d'entre eux a eu lieu en mai dernier à bord d'un sous-marin de la classe Suffren en immersion et en immersion périscopique, et une autre phase sur un sous-marin est prévue pour 2025. Aucun objectif de lancement de la production n'a été fixé. La Marine nationale et la DGA doivent encore valider ce projet en France. Les concepts d'exploitation sont encore en cours de définition, mais le drone pourrait être adapté aux besoins des utilisateurs, selon l'industriel. Plusieurs charges utiles sont à l'étude : relais radio, kit de guerre électronique, IR, etc. Le drone lui-même pèse entre 1 et 2 kg, selon la charge utile, et mesure 60 cm de long, ce qui permet au sous-marin d'apporter un lot si nécessaire. En matière de vidéo, le drone dispose d'une capacité de détection mais qui est pour l'instant dépourvue d'IA générative.
  9. @Coriace a parlé de constructeur national
  10. Cela montre la maitrise des FCS et c'est complètement indépendant des qualités du système d'arme.
  11. Mais je ne rigole pas, je déplore seulement que ce soit les Français qui attaquent le plus la France, bien plus que les marchés qui n'ont aucune raison de nous ménager, parce que lorsqu'un français critique la France ça a un effet dévastateur sur les indécis qui se disent que si même les Français disent ça c'est que la situation doit être grave, ce qui empire la situation pour rien.
  12. Après les pseudo économiste journaleux s'étonnent que les marchés ne nous punissent pas plus.
  13. Fin 2022, le patrimoine économique national s’élevait à 20 052 milliards d’euros en France, soit 9,5 fois le produit intérieur net de l’année [....] La croissance du patrimoine net des administrations publiques s’est poursuivie en 2022 Fin 2022, le patrimoine des administrations publiques a crû de 474 milliards d’euros, en hausse pour la deuxième année consécutive. Il s’est élevé ainsi à 864 milliards d’euros, soit 4,3 % du patrimoine économique national, et a atteint son plus haut niveau depuis 2007. Cette augmentation combine une hausse des actifs non financiers et une réduction du passif (évalué à sa valeur de marché). Le patrimoine non financier a progressé de 159 milliards d’euros en 2022, après une augmentation de 204 milliards d’euros en 2021. Comme en 2021, cette hausse est portée par l’immobilier, qui en constitue 86,7 %, notamment les constructions non résidentielles (bureaux, ouvrages de génie civil, gymnases, établissements scolaires, musées, etc.), qui ont augmenté de 132 milliards d’euros. Cette progression est cependant atténuée par la stabilisation des encours fonciers après une forte hausse en 2021 (+1,0 % après +9,9 %). Le patrimoine financier net des administrations publiques s’est établi à -1 852 milliards d’euros en 2022, après -2 166 milliards d’euros en 2021. Cette amélioration du patrimoine financier net résulte en grande partie de la diminution du passif financier (-8,8 %, après +2,9 % en 2021). En effet, avec la hausse des taux d’intérêt, les encours de titres de créance négociables, qui constituent le principal mode de financement des administrations publiques, ont diminué de 372 milliards d’euros (en valeur de marché), bien que les émissions nettes des remboursements soient restées soutenues (+100 milliards d’euros après +164 milliards d’euros). Ainsi, la dette publique a diminué de 10,4 % en valeur de marché, alors qu’elle a augmenté de 4,5 % pour la dette au sens de Maastricht mesurée en valeur nominale. https://www.insee.fr/fr/statistiques/7669703
  14. Sauf que les positions de la Lune et du Soleil peuvent se calculer et qu'elles participent au déplacement du noyau terrestre: on peut donc modéliser tout ça et corriger les variations du champ avec en plus des recalages du modèle quand on est à une position connue.
  15. Si c'est des Gravimètres, ça doit mesurer le champ gravimétrique terrestre. Le journaliste n'a pas du comprendre, on lui a dit que c'était analogue au champ magnétique et ça donne ça dans son article.
  16. Sans aucun doute. Après on ne sait pas si c'est tout 2025 ou une partie de 2025 seulement. Trappier annoncera le nombre de Rafale et de Falcon qu'il compte produire lors de la présentation des résultats annuels, il devrait annoncer entre 22 et 33 Rafale et ça nous indiquera quand exactement la cadence passera à trois.
  17. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Tenfold increase in demand for aircraft parts and sustainment Traduit avec DeepL.com (version gratuite) La demande de pièces détachées et d'entretien d'aéronefs décuple L'Occident est désemparé lorsqu'il s'agit de maintenir une puissance aérienne de combat dans une nouvelle ère de concurrence stratégique. Les forces aériennes doivent faire face à une demande décuplée de pièces détachées d'aéronefs, selon le général Mark Kelly, ancien commandant de l'US Air Combat Command, qui a fait le point lors d'une réunion de spécialistes de l'aviation de combat à Berlin le 5 novembre 2024. Lors de la conférence internationale sur les chasseurs, organisée par DefenceiQ, l'ancien supérieur de l'armée de l'air américaine a présenté les défis auxquels est confrontée la force de chasse, notamment le fait d'opérer à travers le spectre électromagnétique, de former des défenses aériennes superposées et de surmonter un problème majeur de maintien en condition opérationnelle à une époque d'insécurité mondiale. On estime que les États-Unis et leurs alliés devraient être prêts à la guerre avant la fin de la décennie. L'invasion brutale de la Russie met désormais l'Ukraine sur la sellette, tandis que la Chine dépasse la puissance militaire américaine. Alors que les forces armées américaines s'efforcent de remodeler leur doctrine en vue d'un conflit entre pairs, sur la base de l'expérience éprouvée de la guerre froide, la concurrence stratégique s'appuie également sur une base industrielle prospère à l'intérieur du pays. C'est dans ce domaine que la Chine a largement dépassé les États-Unis, Pékin investissant dans les munitions et acquérant des systèmes d'armes cinq à six fois plus vite, selon une analyse du centre d'études stratégiques et internationales (Center for Strategic and International Studies), un groupe de réflexion sur la sécurité situé à Washington. Alors que les forces aériennes de l'Armée populaire de libération (PLAAF) continuent d'accroître leurs capacités dans des domaines clés, les États-Unis ont du mal à maintenir leurs propres avions tactiques en état de fonctionner. Le Government Accountability Office des États-Unis a constaté que le rythme auquel les avions de combat volent en service est bien inférieur à ce qui est nécessaire dans tous les services, malgré des dépenses de 57 milliards de dollars pour le maintien en condition opérationnelle entre 2018 et 2023. Naturellement, cela remet en question le déficit apparent à un moment où l'armée devrait fonctionner de manière optimale pour éviter que la sécurité mondiale ne régresse. Les malheurs de Boeing, l'un des leaders américains de l'aérospatiale, autrefois fiable, témoignent également de l'inquiétude de l'industrie américaine. Le vieux géant a annoncé une perte nette de 6,17 milliards de dollars pour le troisième trimestre se terminant le 30 septembre 2024. Avant cela, l'acquisition par la société d'un ancien fournisseur fiable de Wichita, Spirit Aerosystems, pour un montant de 8 milliards de dollars, dans les semaines qui ont suivi les déboires commerciaux de Boeing au début de l'année, suggère un pivot stratégique visant à restaurer la confiance dans son portefeuille d'aéronefs. La décision a ensuite suscité l'incertitude dans les cercles de défense américains, certains craignant que les engagements de Spirit en matière de défense ne soient mis de côté au profit de sa restructuration commerciale. Qu'en est-il de l'Europe ? Seul partenaire de premier rang du programme F-35 mené par les États-Unis, le Royaume-Uni s'efforce de dépasser les 37 F-35B avant la fin de l'année ; l'armée britannique exploite actuellement 34 unités. Il s'agit d'un niveau insuffisant d'avions de combat pour ses deux porte-avions de la classe Queen Elizabeth - dont l'un, le HMS Prince of Wales, doit partir en 2025 dans le cadre d'un groupe de frappe de porte-avions vers l'Indo-Pacifique, au cours duquel la force sera renforcée par des moyens navals norvégiens. Néanmoins, la Grande-Bretagne s'est étroitement associée au programme F-35 et s'est engagée à acquérir au moins 74 appareils, bien que ce chiffre ait considérablement diminué par rapport aux 138 cellules fixées comme limite supérieure initiale. En outre, le budget britannique de la fin octobre n'a pas modifié de manière préjudiciable les dépenses de défense - une exigence essentielle pour faire face à l'environnement de sécurité volatile auquel la Grande-Bretagne doit faire face dans les années à venir. En revanche, la Chine a récemment mené un exercice de double porte-avions, le Liaoning et le Shandong effectuant des opérations de vol au sein d'un seul CSG. Le Liaoning est représenté avec seulement deux chasseurs J-15 sur son pont d'envol, ce qui indique que les 12 chasseurs J-15 en vol que l'on voit sur les images diffusées ont été opérés à partir du porte-avions. Le nombre total d'aéronefs à voilure fixe et à voilure tournante au sein de la force pourrait toutefois atteindre 40 unités. En ce qui concerne l'Europe de l'Est, le soutien de la puissance aérienne continue de croître à un certain rythme là où la perception de la menace russe est aiguë. Récemment, le département d'État américain a approuvé une vente potentielle de matériel militaire à l'étranger à la Pologne pour la modernisation à mi-vie du F-16 Viper, d'une valeur de plus de 7 milliards de dollars (6,5 milliards d'euros).
  18. Oui mais tu décarbone pas une énergie déjà décarbonée avec de l'énergie intermittente, c'est pourtant ce que l'Europe influencé par l'Allemagne nous oblige à faire.
  19. Le dernier batch (de 6) commence en Septembre, on livre un Rafale par mois, et ça se termine en Janvier 2025 : Il manque un mois! Cela fait rien il y aura 4 ou 5 Rafale Grecs en plus des 6 Rafale Egyptiens et ceux là sont produits au deuxième semestre. Avec les 6 qui ont été livrés (obligatoirement à la France au premier semestre) cela fait 16 ou 17 Rafale, il suffit donc qu'au deuxième semestre on ait produit 3 ou 4 Rafale pour la France pour arriver à 20 avec 9 ou 10 pour la France, 6 pour l'Egypte et 4 ou 5 pour la Grèce pour arriver aux 20 que Trappier a promis. Mon interprétation c'est qu'on a produit 4 Rafale pour l'Egypte au premier semestre sans la finition parce que des pièces étaient manquantes: on ne les a donc pas livrés car contractuellement on doit les livrer à partir de 3 ans après la mise en vigueur. Entre temps on a pu les finir à l'aise. On était à cadence 2 en Juin donc pour produire 10 Rafale on est resté à cadence 1 en Janvier et Février. Sur le deuxième semestre il y a 5 mois à cadence 2 puisque le mois d'Aout est fermé, donc ça fait encore 10 Rafale produits et un total de 20 dans l'année. Il y a certainement des Rafale produits à la fin de 2024 et non encore livrés dans cette même année, mais ce phénomène a eu lieu aussi à la fin de 2023 avec des livraisons en 2024, ce qui compense.
  20. Ce serait un qualificatif plutôt péjoratif qui permettrait de doucher l'enthousiasme des gogo qui prônent le développement de solutions contre productives.
  21. Il n'est plus là, nôtre forumeur égyptien ? Là on comprendrais mieux.
  22. J'attends que le brouillard se lève.
  23. MORANE en Croatie : conclusion de mission
  24. On en est où pour les livraisons à la Grèce? il devrait y avoir un petit quelque chose pour eux en 2024.
  25. Voilà qui éclaircie un peu le mystère de la livraison de seulement 6 Rafale au premier semestre: Si on livre à la France les Rafale à l'unité, on les livre à l'Egypte par lot de 6 et comme le contrat a été mis en vigueur un 15 Novembre, le premier lot est forcément en fin d'année.
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