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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Moi je pensais, sans autres éléments que ce que @castle68 dit, qu'on pouvait les porter en supersonique, Mach 1,4 par exemple, mais pas les tirer à cette vitesse ce qui signifie qu'on va encore augmenter la vitesse de la munition qui passe devant le Rafale... Maintenant c'est peut être les tirs à haute altitude pour atteindre 60/70 km.
  2. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Ok je m'incline , je croyais que les AASM avaient des trajectoires spéciales pour éviter qu'ils passent en supersonique!
  3. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Je n'en suis pas sûr
  4. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Tu retire du pétrole, ça gagne du volume aussi et comme il y a des CFT, c'est envisageable.
  5. Parce qu'elles sont trop bien défendues?
  6. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Le 2000 l a été validé à Mach 1,6 simplement il traîne plus que les bidons dit "supersoniques"
  7. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Je pense que les CFT traînent moins que les réservoirs pendulaires en proportion.
  8. Pentagon mulls scrapping Aukus submarine deal with Australia, Britain https://www.business-standard.com/world-news/pentagon-mulls-scrapping-aukus-submarine-deal-with-australia-britain-125061200152_1.html Le Pentagone envisage d'annuler l'accord Aukus sur les sous-marins avec l'Australie et la Grande-Bretagne. Le Pentagone a lancé une révision du pacte Aukus conclu sous l'ère Biden pour développer des sous-marins à propulsion nucléaire avec l'Australie et le Royaume-Uni, alors que l'administration Trump cherche à transférer la charge de la défense collective à ses alliés et à s'assurer que les États-Unis disposent d'un nombre suffisant de navires de guerre. Cette révision permettra de déterminer si l'accord, signé par l'équipe du président Joe Biden en 2021, est « conforme au programme America First du président », a déclaré le Pentagone dans un communiqué. « Comme l'a clairement indiqué le secrétaire Hegseth, cela signifie garantir la plus grande préparation possible de nos militaires, veiller à ce que nos alliés s'engagent pleinement à assumer leur part de la défense collective et s'assurer que la base industrielle de défense répond à nos besoins », a-t-il déclaré. Un porte-parole du ministre australien de la Défense, Richard Marles, a déclaré dans un communiqué que Canberra et Londres avaient toutes deux été informées qu'un examen allait avoir lieu. « Il est naturel que l'administration souhaite examiner cette initiative majeure, y compris ses progrès et sa mise en œuvre, tout comme le gouvernement britannique a récemment conclu un examen de l'Aukus et réaffirmé son soutien », a déclaré le porte-parole. Le porte-parole a déclaré que l'engagement de l'Australie auprès des États-Unis avait montré « un soutien clair et constant à l'Aukus ». L'Australie a signé le partenariat de sécurité Aukus avec les États-Unis et le Royaume-Uni en septembre 2021, dans le cadre d'une stratégie de Washington et de Londres visant à renforcer leur présence dans la région indo-pacifique alors que la puissance militaire de la Chine ne cesse de croître. L'accord prévoyait que les États-Unis vendent à l'Australie jusqu'à cinq sous-marins de classe Virginia, puis, à plus long terme, que Canberra et Londres livrent ensemble un sous-marin de nouvelle génération, baptisé SSN Aukus. Mais la production de sous-marins américains a été marquée par des retards et des dépassements de coûts, et certains responsables de l'administration Trump ont remis en question la pertinence du programme. L'année dernière, un haut responsable américain a révélé que le nouveau sous-marin de classe Virginia avait deux ans de retard et qu'il devrait dépasser de 17 milliards de dollars le budget prévu jusqu'en 2030. Parmi les sceptiques figure le sous-secrétaire à la Défense chargé de la politique, Elbridge Colby. L'année dernière, il a publié sur les réseaux sociaux qu'« il serait fou d'avoir moins de SSN au bon endroit et au bon moment », utilisant l'abréviation pour désigner les sous-marins d'attaque à propulsion nucléaire. Toute révision majeure, voire l'abandon du pacte Aukus, porterait un coup dur au secteur de la défense australien, qui avait déjà commencé à se restructurer afin de s'adapter à l'arrivée prévue des sous-marins. M. Marles, qui est également vice-Premier ministre australien, a versé au début de l'année un acompte de 500 millions de dollars australiens (325 millions de dollars américains) à l'administration américaine dans le cadre de l'accord Aukus.
  9. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    C'est pas parce qu'on est séduit qu'on passe à l'acte !
  10. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    SUPER RAFALE – Et si la France avait déjà son chasseur de 6e génération ? https://armees.com/super-rafale-avion-6e-generation-dassault-f5-france/ Le Rafale F5 propulse Dassault dans la 6e génération : IA embarquée, combat en réseau, drones et furtivité. La France a-t-elle déjà son avion du futur ? Pendant que les États-Unis injectent des milliards dans leur programme NGAD et que les Européens pataugent dans les querelles d’ego autour du SCAF, la France poursuit son chemin, discrètement mais sûrement. À coups d’améliorations successives, le Rafale a su se rendre incontournable sur les théâtres d’opérations comme sur les salons internationaux. Mais avec l’arrivée du standard F5, prévue pour 2030, un cap est franchi. Une bascule. Celle qui fait dire à certains experts que le Rafale, sans changer de nom, change de génération. Alors, posons la question franchement : le Rafale F5 est-il un chasseur de génération 4.5, ou déjà un 6G qui s’ignore ? Une chose est sûre : le « Super Rafale » de Dassault n’a plus grand-chose à envier aux promesses des projets futuristes. Et pour cause : il les anticipe. Le cerveau du Super Rafale, c’est le réseau Ce n’est ni son allure ni sa silhouette qui font basculer le Rafale F5 dans une autre ère. C’est ce qu’il a dans le ventre. Et surtout dans la tête. L’avion va bénéficier d’une refonte complète de son système de combat, avec une intelligence artificielle embarquée, un traitement de données massif à bord, une fusion temps réel des capteurs, et surtout une capacité à agir en réseau avec d’autres plateformes habitées ou non. Dit autrement, le Rafale F5 ne se bat plus comme un avion. Il se bat comme un système de guerre connecté, capable de prendre l’initiative, d’orienter les tirs des autres, voire de coordonner une mini-flotte de drones. Ce principe, le « combat collaboratif », est l’un des piliers de la 6e génération. Et Dassault l’intègre dans un avion qui vole déjà. Cerise sur le gâteau : la France développe aussi son propre « cloud de combat » souverain, pour garantir la cohérence et la sécurité de ces échanges en environnement contesté. Pas besoin d’attendre le SCAF : ce futur-là arrive avec le F5. L’IA arrive à bord, mais ne prend pas les commandes On l’a dit : le Rafale F5 embarquera une intelligence artificielle, non pas pour remplacer le pilote, mais pour le seconder, l’assister, le soulager. Analyse de la situation tactique, détection automatique de menaces, priorisation des cibles, gestion des systèmes d’arme et des capteurs : autant de tâches que l’IA pourra automatiser ou anticiper. Une première dans l’armée de l’air française. Mais surtout, le F5 est conçu dès le départ pour opérer avec des drones, notamment une version militarisée du Neuron. L’idée ? Créer un duo complémentaire : le Rafale pense, le Neuron frappe. Le Rafale éclaire, le Neuron attire les missiles. Le Rafale observe, le Neuron transmet. C’est exactement ce que fait le F-35 avec ses loyal wingmen. Sauf qu’ici, c’est plus économique, plus souple, plus français. Nouveau moteur : le projet T-Rex change la donne Un avion ne vaut pas mieux que son moteur. C’est là qu’intervient T-Rex. Derrière ce nom de code : un nouveau moteur conçu par Safran. Plus compact, plus puissant, calibré pour répondre aux besoins énergétiques du F5 qui va embarquer toujours plus d’électronique, de brouilleurs, de calculateurs… Ce moteur offrira aussi un meilleur rendement, une capacité de super-croisière à plus long terme, et une gestion thermique améliorée. Là encore, c’est l’un des critères clés de la 6G : l’autonomie énergétique. Le chasseur du futur ne doit pas seulement voler vite. Il doit alimenter un arsenal électronique sans se faire repérer. Pari en cours. Pas furtif ? Pas grave : il sera discret quand il faut Certains objecteront : “Mais le Rafale n’est pas furtif”. C’est vrai, dans sa cellule. Mais la furtivité moderne ne passe plus uniquement par des formes anguleuses. Elle passe par l’intelligence électronique. Et sur ce plan, le Rafale F5 sera une forteresse discrète : Pod de guerre électronique nouvelle génération Missiles MICA NG adaptés à l’emport discret Réduction de signature radar et thermique Brouillage intelligent selon la situation Le F5 n’est pas un F-117. Mais il sera invisible quand il faut, et visible quand il le décide. Un équilibre qui correspond à la doctrine française, axée sur la souplesse et la résilience. Un calendrier crédible, des promesses tenues Là où le NGAD américain explose les coûts, où le Tempest/SCAF européen s’embourbe dans la gouvernance, le Rafale F5 est une feuille de route solide. Dassault ne promet pas un avion pour 2045. Livré en 2030, pas plus, dérivé d’un avion déjà en service, fiable, certifié, maintenu. Un Rafale F5 sortira des lignes de Mérignac avec 80 % d’éléments nouveaux par rapport à un Rafale F3R… mais sans réinventer la roue. Et à l’export ? Le Super Rafale peut-il supplanter ses adversaires ? Inde, Égypte, Indonésie, Émirats, Grèce, Brésil, Serbie… la liste des pays séduits par le Rafale ne cesse de s’allonger. Et avec le F5, l’avantage s’amplifie. Le Super Rafale arrive entre deux générations. Il comble un vide. Là où les autres attendent le SCAF ou le NGAD, lui sera déjà prêt. Et opérationnel. C’est bien là sa force : livrable, maîtrisé, soutenu. Et redoutablement pertinent pour des pays qui ne veulent pas attendre 2045 pour moderniser leur flotte. Qui d’autre peut proposer en 2030 un avion capable de mener un raid autonome, connecté, assisté par IA, commandant une escadrille de drones, tout en restant accessible financièrement ? Aucun. Sauf peut-être la Chine. Et encore. Le Super Rafale, l’arme du présent avec la logique du futur Non, le Rafale F5 ne sera pas officiellement un chasseur de 6e génération. Sa cellule, malgré ses améliorations, ne correspond pas aux standards du tout-furtif. Il n’est pas modulaire dans sa structure, et il ne sort pas d’un programme SCAF. Mais oui, le Rafale F5 incarne déjà 80 % de la 6e génération. Il anticipe ses codes, en exploite les doctrines, et les rend opérationnels bien avant les autres ! Et surtout : il sera prêt quand les autres seront encore à l’état de maquette, fut-elle numérique. La France, une fois encore, prouve qu’elle sait faire plus vite, plus malin, plus stratégique. Le Super Rafale, c’est peut-être le dernier chasseur piloté de l’histoire. Mais quel final !
  11. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    J'en sais rien, je ne suis pas motoriste.
  12. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Moi je le vois avec 2M88 sans post combustion (mais une capacité supercroisière). Les M88 sans post combustion sont plus court ce qui permet d'allonger la soute. On peut se rapprocher d'une solution genre turbojet pour compenser le fait qu'il n'y a pas de postcombustion.
  13. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Quand la dissuasion a un besoin, en général on se débrouille pour le financer. Pour moi ça vaut tous les contrats.
  14. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Les Émirats arabes unis pourraient cofinancer le T-Rex, le futur moteur du Rafale https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/les-emirats-arabes-unis-pourraient-cofinancer-le-t-rex-le-futur-moteur-du-rafale-1014400.html La France a proposé aux Émirats arabes unis de cofinancer une évolution du moteur M88 qui propulse le Rafale. La loi de programmation militaire ne prévoit aucun financement pour ce projet qui devient crucial pour l'armée de l'air. Michel Cabirol Publié le 20/12/24 à 06:24 Je ne sais pas si on l'a déjà posté Pour porter le prochain missile nucléaire ASN4G, le Rafale doit être plus puissant. Nom de code, T-Rex. Menée par le motoriste Safran, cette évolution du moteur M88 va augmenter la poussée du Rafale de 7,5 à 9 tonnes sans aucune modification majeure de la cellule. Soit un gain de puissance de 20% pour l'avion de combat conçu par Dassault Aviation. Longtemps attendu par Safran, ce programme, dont l'investissement est estimé entre 600 et 650 millions d'euros, fait désormais partie des besoins capacitaires exigés par l'armée de l'air pour le Rafale F5, dont les premières versions sont attendues vers 2033. Pour porter le prochain missile nucléaire ASN4G, le Rafale doit être plus puissant. Et l'armée de l'air a demandé à Safran un Rafale F5, qui soit « manœuvrant » avec le missile aéroporté ASN4G. Problème, la loi de programmation militaire (LPM) ne prévoit aucun financement pour le programme T-Rex.
  15. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Ah oui, on fait le T-REX pour le Rafale F5, mais on ne va pas l'intégrer sur le Rafale.
  16. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Ce qui a changé c'est qu'il y a le T-REX et donc la possibilité d'augmenter la charge emportée et l'autonomie.
  17. Oui mais puisque les lois constitutionnelles dérogent aux lois ordinaires si tu ne veux pas de ZFE tu mets dans la constitution qu'en France les ZFE sont interdites et tu peux même rajouter que le président de la république peut déclarer l'état de crise existentielle et que dans ce cas les déficits publics sont autorisés sans limites
  18. Je reviens aux USA: ce principe signifierait que la loi d'un état déroge à la loi Fédérale? ou bien faut - il mettre une hiérarchie comme pour les lois constitutionnelles? Et pour l'Europe est qu'on peut nous obliger à traduire dans les lois nationales une loi européenne ? Que se passe t-il si on ne le fait pas?
  19. Le coût des chasseurs CF-35 passe de 19 à 28 milliards de dollars https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2170858/rapport-verificatrice-f35-avions-achat-couts L’acquisition de la nouvelle flotte coûtera 46 % de plus que prévu aux contribuables, selon la vérificatrice générale du Canada. Lorsque le gouvernement Trudeau a conclu en 2022 l’achat de 88 avions de chasse CF-35A pour remplacer la flotte de CF-18 Hornet de l’Aviation royale canadienne, le coût de l’opération devait être de 19 milliards de dollars. Le premier appareil devait être livré en 2026 et la flotte devait être entièrement renouvelée d’ici 2033. Or, il en coûtera plus de 27,7 milliards de dollars pour se procurer ces avions. Leur mise en service pourrait également être reportée en raison de retards dans les infrastructures censés les accueillir, constate la vérificatrice générale du Canada, Karen Hogan. Dans son rapport sur l’un des plus gros achats jamais effectués pour le compte de la Défense canadienne, Mme Hogan s’étonne de la vitesse à laquelle le coût total du projet a gonflé en deux ans. Nous avons constaté que les coûts estimatifs du Projet de capacité future en matière d’avions de chasse avaient augmenté de 46 % entre 2022 et 2024, soit une augmentation de 8,7 milliards de dollars, écrit-elle. Cette nouvelle prévision n’inclut pas certains éléments nécessaires à la pleine capacité opérationnelle, tels que la mise à niveau essentielle des infrastructures et l’armement perfectionné. Ces éléments ajouteraient au moins 5,5 milliards de dollars au coût total, ajoute la vérificatrice. Selon son rapport, l’estimation des coûts du projet présentée en 2022 par la Défense nationale reposait sur des données obsolètes qui dataient de 2019. L’inflation, les variations du cours des devises étrangères et la hausse de la demande de munitions dans le monde seraient principalement à l’origine de l’augmentation du coût d’achat des CF-35 canadiens, estime Mme Hogan. Rappelons que le Canada a également investi en 1997 un milliard de dollars dans le programme de développement du chasseur F-35, sans promettre d'en acheter, auxquels participaient huit pays, dont les États-Unis. Trois ans de retard Outre l’explosion des coûts, la mise en service complète de la nouvelle flotte de CF-35 canadiens, prévue en 2033, pourrait être retardée, voire compromise, en raison d’importants retards dans les travaux qui doivent être faits notamment sur les bases de Cold Lake (Alberta) et de Bagotville (Saguenay, Québec) pour être en mesure d’accueillir les nouveaux escadrons de CF-35A. De nouvelles constructions sont en effet nécessaires sur ces bases en lien avec des exigences de sécurité plus élevées pour accueillir ce genre d’avions. Nous avons constaté que la construction des installations pour escadrons de chasse à Cold Lake et à Bagotville avait pris plus de trois ans de retard par rapport au calendrier prévu. Une citation deKaren Hogan, vérificatrice générale du Canada Dans les plans initiaux, la construction de ces installations devait être achevée en 2028, pour l’arrivée des premiers chasseurs CF-35A sur ces bases. Au moment de l’audit, la date d’achèvement prévue de construction de ces installations avait été repoussée à 2031, a constaté la vérificatrice générale. L'établissement de solutions provisoires pour prendre en charge les nouveaux avions en attendant que les infrastructures permanentes soient complétées devrait faire gonfler encore les dépenses d'infrastructures du projet, prévoit la vérificatrice. Pénurie de pilotes Un autre facteur qui pourrait compromettre la pleine mise en service de la nouvelle flotte de CF-35A, souligne Mme Hogan, est le risque d’une pénurie de pilotes qualifiés au sein de l’Aviation royale. Déjà signalée dans un rapport antérieur en 2018, la pénurie de pilotes de chasse était, selon la vérificatrice, le principal obstacle au respect des exigences opérationnelles des CF-18. Or, ce problème est toujours d’actualité en 2025, souligne-t-elle. Pour que la flotte d’appareils CF-35A soit pleinement opérationnelle, l’Aviation royale canadienne a besoin de plus de pilotes formés […] D’après les prévisions de la Défense nationale au moment de l’audit, le programme prévu de formation de pilotes ne permettra pas d’avoir suffisamment de pilotes d’ici 2032-2033 pour atteindre la pleine capacité opérationnelle, souligne la vérificatrice générale. Ottawa prend des mesures Réagissant au contenu du rapport, le ministre de la Défense, David McGuinty, a assuré que son gouvernement prend très au sérieux ce document et qu’il met en œuvre plusieurs mesures pour donner suite aux recommandations de la vérificatrice générale. Le ministre promet en outre plus de transparence dans la progression du Projet de capacité future d'avions de chasse (PCFAC) et un examen annuel – ou plus fréquent au besoin – des estimations de coûts. Selon M. McGuinty, beaucoup de paramètres économiques et géopolitiques ont changé depuis l’annonce du projet. La pandémie de COVID-19, la pénurie de main-d’œuvre, l’inflation et la perturbation des chaînes d’approvisionnement ont largement contribué à cette augmentation, souligne-t-il dans un communiqué. En combinaison avec la croissance des tensions à l’échelle mondiale et les répercussions connexes sur la disponibilité et la demande de matériaux, nous n’aurions pas pu réaliser la portée complète du projet à l’aide de notre budget antérieur, explique-t-il en ajoutant que la hausse du budget comprend aussi des fonds de prévoyance supplémentaires pour amortir d’autres augmentations éventuelles. La saga des F-35 À l’été 2010, le gouvernement conservateur de Stephen Harper annonçait l’achat de 65 appareils F-35 au constructeur Lockheed Martin pour remplacer les 88 CF-18 de l’ARC. Les conservateurs ayant procédé sans appel d’offres, le dossier est rapidement devenu conflictuel à la Chambre des communes. Les choses ont basculé quand les Canadiens ont découvert qu’au lieu des 9 milliards de dollars prévus, l’achat leur coûterait plutôt 30 milliards de dollars. Peu de temps avant d’être élu, en 2015, Justin Trudeau avait publiquement promis d’annuler cet achat. Ce qu'il a fait. Il avait plus tard annulé le projet d'achat de 18 avions Super Hornets en 2017 après l'offensive de Boeing contre l'entreprise aérospatiale Bombardier. En 2023, les libéraux annonçaient à leur tour l’achat de 88 chasseurs F-35 pour un coût initial de 19 milliards de dollars. Mais, l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche a de nouveau compromis l’avenir de cette commande. Après que ce dernier ait déclenché une guerre commerciale et annoncé son intention d’annexer le Canada, le gouvernement libéral a remis en question l’achat de ces 88 appareils. Qui plus est, le fait que les États-Unis demeurent propriétaires du logiciel embarqué dans les avions et des informations de vol et de mission qu’il recueille, Ottawa a commencé à regarder ailleurs pour compléter sa flotte, notamment du côté de la Suède qui fabrique le chasseur Gripen. Le Canada a déjà payé 16 des 88 avions qui doivent commencer à être livrés au début de l’année prochaine, mais rien n’est coulé dans le béton en ce qui concerne les 72 autres appareils que compte acquérir Ottawa.
  20. Si ton moteur c'est un M88 ça va faire riquiqui mais si c'est un F135 ça commence à être mieux. Un F-35 sans les entrées d'air sur les cotés (et sans la soufflante pour le décollage vertical), ça ferait de la place quand même.
  21. Le J-36 si tu enlèves les deux moteurs latéraux
  22. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Not only one or two hit in NUR KHAN but much more meaning sead and dead oparations. https://www.moneycontrol.com/world/nur-khan-airbase-is-under-us-control-even-army-officers-kept-out-claims-pakistani-security-expert-article-13103583.html
  23. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Pour le F5 c'est tellement loin que je comprend que cela ne soit pas entièrement défini, mais F4.1 est déployé, F4.2 va être livré et F4.3 c'est ce qui reste. Donc on devrait pouvoir en savoir un peu plus quand même.
  24. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Oui je l'ai vu (les parties 1 et 2) franchement, je ne sais pas si c'est parce que je connais assez bien le programme, mais j'ai trouvé lassant la litanie des défauts de la partie 2, tout en me disant oui ça il faut le dire! Il y en a trop et du coup on ne voit plus à quel point c'est scandaleux. Mais j'aurais sans doute fait beaucoup moins bien, c'est juste difficile. J'ai peur pour la partie 3 qui va aller dans plus de détails.
  25. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    On touche quand même un point intéressant: le système de refroidissement a été spécifié pour 14 Kw, il en tire 30kw sans modification ce qui fait fonctionner le moteur hors spécification, ce qui l'use de façon anormale: il faut bien comprendre que c'est "l'anormal" qui use le moteur parce que les puissances en causes sont négligeables par rapport à la puissance totale du moteur qui s'exprime en Mw et pas en Kw. Et là ils nous annoncent qu'ils vont pouvoir tirer 40 Kw uniquement par logiciel. A mon avis c'est une modification du même genre que la première: on change des paramètres dans le logiciel les prélèvements sont plus importants et roule ma poule. Si c'était mieux que la première intervention, ça aurait été fait depuis longtemps à la place de celle ci. Donc les 38 milliards de maintenance supplémentaire vont passer à 60 Milliards. D'où l'urgence de faire autrement c'est à dire de concevoir un système qui délivre la puissance souhaitée tout en permettant au moteur de fonctionner dans ses spécifications.
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