Rufus Shinra

Je connaissais les canons à t-shirt et à peluches - j'en ai eu une comme ça - mais pas le modèle AR-15. Après, faut le sortir lentement et expliquer très vite ce que c'est, au Texas, sinon le prochain bang que tu entendras ne sera pas celui du pop-corn.

Tu sais que là, tu me vends sérieusement du rêve bien mieux que les films de Hollywood ? Je veux ces AR-15 à popcorn, maintenant. PATRICK 2020: why settle for the lesser evil? EDIT : mais on fait quoi si on gagne façon 'La souris qui rugissait' ? Après avoir annulé le F-35, s'entend.

Je peux te confirmer qu'ils n'ont pas cru un seul instant que l'héroïne était la coquille Saint-Jacques, car ça aurait pu créer un malentendu leur faisant penser qu'il s'agissait d'une adaptation live de Bob l’Éponge, auquel cas le film aurait eu beaucoup plus de succès.

Je peux voter pour toi en Novembre prochain ? :-D

Ce qui démontre que tu n'es pas un utilisateur du F-35.

Comment est-ce que tu es arrivé à cette conclusion "originale" ?

Attendez une seconde... @Patrick, tu participes aux primaires, maintenant ?!

La Maison Blanche a une excellente équipe de stratégie scientifique, l'OSTP (https://en.wikipedia.org/wiki/Office_of_Science_and_Technology_Policy), qui permet au locataire en cours de prendre des décisions stratégiques avec un éclairage scientifique et technologique d'excellence. On notera avec amusement que le groupe est resté vacant pendant près de 18 mois chez Trump.

Beaucoup plus que tu ne le penses. Pas autant qu'un simulateur de qualité militaire, puisqu'il s'agit de la version pro du logiciel, mais tu fais face aux questions et défis les plus importants d'un affrontement armé, dans lesquels la performance individuelle, aussi romantique et joyeuse soit-elle, n'a pas autant d'importance qu'on peut le penser. Plus le scénario est long et complexe, plus C:MANO sera réaliste.

Ce genre d'effet sera principalement visible si tu as une doctrine extrêmement rigide basée sur l'optimisation à la minute et au kilomètre près, le Grand Plan de Bataille, en somme. Ce type d'analyse a montré ses limites en 1940 face à une planification laissant une marge de manœuvre et étant plus qualitative que quantitative.

Là, il s'agit principalement d'un paramètre à disposition du créateur de scénario, qui peut rendre une partie des avions temporairement indisponibles, mais les variations légères de paramètres natifs n'auront que peu d'influence dans des situations complexes, la gestion des ressources elles-mêmes étant beaucoup plus importante.

Faut faire ça avec Manu !

Un point qu'il est CRUCIAL de comprendre avec C:MANO est que les caractéristiques des avions sont rarement déterminantes dans l'issue du combat. Si l'écart est énorme et qu'il y a du combat frontal, genre F-15A contre Rafale F3, bien évidemment que ça va se terminer en massacre complet sauf erreurs majeures, mais l'intérêt du logiciel n'est pas là. Il s'agit davantage d'un simulateur stratégique, dans lequel la victoire ou la défaite au cours des scenarii les plus intéressants tient dans la logistique. Maintenir une permanence aérienne qui soit utile, forcer l'autre à déployer ses moyens au mauvais endroit, maximiser l'effet des multiplicateurs de force comme les brouilleurs ou les AEW et les ravitailleurs, gérer l'utilisation du carburant et des munitions, savoir combiner la persistance des navires et l'intensité de l'aviation, comprendre les effets des SAM sur la planification, c'est là tout le sel de C:MANO. Et l'une des leçons les plus importantes que l'on en retient est que la fiabilité et la disponibilité des avions sont absolument fondamentales pour la victoire. Un avion qui ne peut pas voler suffisamment d'heures par jour en rythme maintenu, ou qui aura une disponibilité trop faible pourra être aussi bon que dans les Powerpoint, il ne sera pas là quand l'autre arrivera avec ses bombes guidées. Je l'ai souligné dans mon Let's Play "Danger Zone", la possibilité de faire des missions de supériorité aérienne au pied levé avec des Rafale M assignés à des opérations de bombardement, ça n'a pas de prix. Mais aussi bons soient-ils face aux Sukhoi et aux MiG en face, c'était la défaite assurée sans mes ravitailleurs et mes drones. D'où le raid initial des forces adverses avec des hélicoptères de combat sur la base aérienne locale, qui a été à une chiure de mouche près de me coûter toute la campagne : mes A400M ont décollé sous le feu, et des hangars ont été détruits, par chance vide, mais potentiellement les abris de mes drones. Sans les premiers, pas de persistance opérationnelle et initiative de l'ennemi basé au sol qui a le temps pour lui. Sans les seconds, pas de capacité de surveillance à basse altitude qui ne mette pas en danger mes escadrons tout en les épuisant avec de longs aller-retours. Ne sous-estimez donc pas l'offre suédoise, des AEW, c'est particulièrement important.

Tiens, pour une fois que je suis d'accord avec toi.

Oui, et ça n'a pas non plus rendu la situation désastreusement catastrophique.

Pareil. Après, faut voir qui arrivera à sa place, on risque quand même d'avoir de beaux gros atlantistes en remplacement.

Et à 100 %, c'est super. On peut s'amuser à balancer des chiffres sans information et se faire paniquer pour ressentir des émotions, mais bon, c'est fatiguant.

Et pour troller nos amis anglophones, une version traduite :

Non, c'est classique. Plein d'exemples : https://en.wikipedia.org/wiki/Asymptomatic_carrier

On appelle ça "porteur sain", pas "super porteur". Il faut vraiment éviter les termes journalistiques à sensation.

Mais il parait que Boeing produit de super remplaçants en ce moment !

Il faut l'excuser, il sortait de la douche. [/DSK]

Une planche Ouija contrôlée par un chaton en overdose de méthamphétamine qui vient de sortir d'une piscine de café robusta est plus fiable que le Daily Fail.

Toujours mieux que le Daily Fail.

C'est la mascotte de la flottille, un chat siamois avec un jet-pack.