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Tout ce qui a été posté par Teenytoon
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Je ne sais pas ce que ça vaut, mais ça accrédite la thèse qu'il n'y a pas eu de revirement de dernière minute, l'article du Basler Zeitung juste après est encore plus interessant sur les négociations préalables à la décision, c'est bien la Suisse qui a fait des demandes tous azimuts à la France et non l'inevrse : https://www.20min.ch/fr/story/la-france-aurait-promis-3-5-milliards-a-la-suisse-pour-vendre-ses-rafales-647261373255 Avions de combat: La France aurait promis 3,5 milliards à la Suisse pour vendre ses Rafales Une enquête de «Republik» dévoile le dessous des négociations sur les avions de combat et comment la France a réagi froidement à la préférence suisse pour les avions F-35 américains. La ministre française des Armées Florence Parly (à gauche) avait rencontré Viola Amherd en mars 2021 à Berne. AFP Un article publié ce mercredi sur le site d’informations alémanique «Republik», et repris par la «Basler Zeitung», montre comment le choix des nouveaux avions de combat de l’armée suisse a pesé dans la balance diplomatique entre la France et la Suisse. Du côté de l’Elysée, on espérait conclure un contrat avec Berne pour la vente de Rafales. Au bout du suspens, le Conseil fédéral s’est finalement décidé à acheter les F-35 américains. L’enquête révèle par exemple que la France, à condition que le marché soit conclu, s’était engagée à verser à la Suisse une part plus importante de ses recettes fiscales issues des salaires des frontaliers français. Un geste qui aurait pu rapporter 3,5 milliards de francs à Berne en 30 ans. Rencontre avec Bruno Lemaire L’article lève aussi le voile sur les rouages des négociations menées en amont de la décision. Les ministres français et suisse des Affaires étrangères se sont bien rencontrés pour négocier des arrangements politiques en complément du contrat d’armement. Le ministre français de l’économie, Bruno Le Maire, s’est même rendu en Suisse fin mars 2021, apprend-on. Il a rencontré les conseillers fédéraux Ueli Maurer et Guy Parmelin, près de Berne, pour conclure des accords politiques. La Suisse aurait ainsi laissé croire à la France jusqu’à l’été qu’elle était encore dans la course. Décision prise depuis des semaines Mais l’enquête révèle également que la conseillère fédérale en charge du dossier, Viola Amherd, avait demandé, plusieurs semaines avant d’annoncer sa décision, à ses collègues Guy Parmelin, Ignazio Cassis et Ueli Maurer de cesser toutes négociations avec la France, car le choix des F-35 était déjà clair à ce moment-là. Selon «Republik», quand la Suisse a officialisé le contrat avec le fabricant américain, les autorités françaises ont rompu les contacts diplomatiques. C’est ce qui ressort d’une note confidentielle du Conseil fédéral, citée dans l’article. Il est écrit que le gouvernement soupçonne qu’il y ait un lien entre la réaction française et la décision sur les avions de combat. Enfin, on apprend encore que la France, qui préside cette année l’Union européenne, sur la base de ces négociations, avait laissé entendre qu’elle soutiendrait son voisin dans le dossier Suisse-UE. Les deux Etats avaient élaboré une feuille de route précise qui aurait permis de parvenir à des accords. Et ce, en tenant compte d’un haut degré de souveraineté de la Suisse, souligne l’article. (jba) ------------------------------------------------------------ L'article du Basler Zeitung : https://www.bazonline.ch/verstaendlich-dass-frankreich-die-schweiz-nun-ignoriert-493103384940 Analyse Il est compréhensible que la France ignore désormais la Suisse Berne et Paris ont conclu au printemps 2021 des accords sur des contreparties politiques à l'acquisition d'avions de combat. Le résultat est un désastre diplomatique. Beni Gafner Publié : 13.01.2022, 20:17 Le Rafale français a perdu en Suisse face au jet américain F-35. Photo : Keystone Avec l'avion de combat français Rafale, la Suisse aurait profité politiquement, économiquement et financièrement de la France au-delà d'un simple contrat d'armement. Les membres du gouvernement et les plus hauts cercles diplomatiques des deux pays avaient conclu des accords contraignants avant la décision de la Suisse sur le type de Rafale. C'est ce que révèlent les recherches du magazine en ligne "Republik", qui recoupent en grande partie les informations de ce journal. Ce qui, à première vue, n'a rien d'explosif, s'avère être un véritable problème au vu de la situation difficile dans laquelle se trouve la Suisse en matière de politique européenne. C'est la Suisse qui a exigé Jusqu'à présent, les médias partaient du principe que les Français faisaient de leur propre chef des concessions politiques et financières à la Suisse afin de pouvoir lui vendre leurs jets. Ainsi, la NZZ a rapporté en juin "des idées plutôt aventureuses que la France aurait déposées auprès de certains conseillers fédéraux". Or, les dernières recherches montrent que c'est exactement l'inverse qui s'est produit. Les conseillers fédéraux suisses et leurs diplomates de haut rang ont sans cesse confronté la France à de nouveaux souhaits et exigences. Les promesses orales ne suffisaient pas ; Berne exigeait des garanties écrites qui seraient automatiquement entrées en vigueur après un choix de type en faveur de la France. La France a accepté. Ce ne sont donc pas les Français qui ont fait des offres immorales à la Suisse. C'est plutôt la Suisse qui a réfléchi à la manière dont le nouvel avion de combat pourrait déployer sa force au-delà de l'aspect militaire, avant même qu'il n'atterrisse pour la première fois en Suisse. Le personnel de négociation mériterait des éloges si tout pouvait être mis en œuvre comme convenu. Or, avec la décision de type en faveur des Américains, c'est le contraire de ce qui était prévu par les départements de l'économie, des finances et des affaires étrangères, qui négociaient politiquement avec la France, qui s'est produit : Paris limite les contacts avec la Suisse au strict nécessaire. Dans ce contexte, il ne faut pas s'attendre à de la bienveillance envers Berne dans les relations bilatérales. Une occasion en or manquée Il y a six mois, le Conseil fédéral a interrompu ses négociations avec l'UE sur un accord-cadre. Depuis, la question se pose de savoir comment la Suisse peut parvenir à un accord contractuel avec l'UE dans des domaines importants tels que le commerce de l'électricité, la recherche et les échanges d'étudiants, sans pour autant devoir reprendre le droit européen. La possibilité d'y parvenir de manière raisonnable semble plus éloignée que jamais. Paris, Berlin et Bruxelles signalent que la Suisse n'a plus beaucoup de crédit auprès d'eux. Ce qui est particulièrement grave, c'est que le gouvernement d'Emmanuel Macron, en raison des négociations politiques en marge de l'accord sur les avions de combat, n'est pas seulement un peu en colère, mais se sent totalement floué. Que Paris se sente floué est compréhensible au vu des nouveaux éléments. La Suisse a perdu une occasion en or de s'entendre avec un voisin et de trouver ensuite un modus vivendi avec l'UE. Les achats d'armement sont toujours politiques. Le Conseil fédéral, à l'instar du Département de la défense, commet une erreur lorsqu'il dit qu'un achat d'avion de combat peut se faire uniquement sur la base de considérations techniques et financières, mais qu'il n'y a pas de place pour des considérations politiques globales. Benjamin Gafner est rédacteur au Palais fédéral depuis 2000. Ses reportages portent principalement sur des sujets de politique de sécurité et de migration.Plus d'infos Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
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- Force aérienne suisse
- F-18 Hornet
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Pas de panier en bout d'aile et pas de boom, c'est vraiment un tanker ? Ou il n'a pas encore été transformé ? EDIT : Je viens de voir le "il sera converti plus tard", désolé.
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Pour le coup d'après. L'Ukraine ne fait pas partie de l'OTAN, mais la Pologne et les états balte si
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On est tout à fait d'accord Gianks. Toutefois, il n'y a pas d'essai prévu sur les ascenseurs du bateau. Je suis donc d'accord aussi avec @fraisedesbois, on peut raisonnablement penser que ce problème a effectivement été vu en amont.
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Du coup ça marche pour l'ascenseur avant mais pas pour l'ascenseur arrière (8,6 m) ?
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Quatre type de test effectué le premier jour. Intéressant ce fil Twitter :
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Les promesses... Les engagements... Ceux qui y croient...
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Un peu comme dans la réalité, HAL c'est tout décalé...
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Ils nous font une allemande les belges ? Après les australiens ça n'est pas bon pour l'image.
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J'ai failli prendre une sanction pour m'être félicité d'avoir obtenu un poste qu'on me refusait... Alors imagine si tu balances du confidentiel sur le Web
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Le cerf-volant
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- chine nationaliste
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Une caisse de bière au premier qui trouve une vidéo ou une photo sur le tremplin
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Ne pas jeter ce qui est rincé et le faire durer pour le plaisir des yeux n'a jamais été source d'économie. [Mode @DEFA550 OFF]
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Donc tu bases tout ton CAS du futur sur des missiles ?
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Moi je pense toujours qu’il n’y a pas que des incompétents à la tête de nos armées et de l’ALAT. Et je continue à dire que le package comprend peut-être bien plus que la transformation de chaque appareil. Stock de pièce, MCO sur x années, que sais-je...
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Ok, ben pour moi dans l'acronyme CAS, le C veut dire Close et si mon anglais n'est pas trop rouillé, Close veut dire rapproché. Le jour où un drone fera une passe canon à basse altitude ou un show of force pour faire décrocher des insurgés, vous me réveillez ? Merci
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Mme Toon est bien élevée, elle ne parle jamais la bouche pleine, tu appelleras donc plus tard Je ne vois pas ce que vient faire le drone là-dedans. Ils sont capables de faire du CAS ?
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Ben à combattre au plus près des troupes au sol comme au sahel ou à faire de l'air-sol chirurgical comme en Lybie. Tu vas pas relancer le débat HDC vs Avion de CAS ? Quand aux chiffres avancés, c'est pas faute de rabâcher à longueur de sujets que diviser le montant d'un contrat par un nombre d'appareil ne veut strictement rien dire. Bref, va gratter à la porte de Mme Hirondelle, ça te fera du bien
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Si c'est du Rafale dont tu parles faut prévoit la cure de désintox
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Ah non c'est surtout pour tenir à jour le tableau de production du Rafale
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Rabat-joie
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Vaudrait mieux pour la plume, parce que y'a pas de muscles. J'ai commencé par un bulletin d'info pour le centre équestre y'a dix ans et là ils m'ont désigné volontaire pour des articles dans la lettre d'info interne du service. Entretemps, je me colle régulièrement des articles pour un site spécialisé sur les différents concours complets de la (grande) région. Tout est dit, ça fait longtemps que l'urgence n'est plus le cœur de métier, le social a pris le dessus.
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Faudrait : 1. ne pas lui avoir rentré son train 1/10 de seconde après avoir quitté le tremplin 2. ne pas avoir choisi un avion de l'armée de l'air 3. effectivement choisir une version légèrement moins chargée
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Ok, merci.
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Teenytoon a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Remarques et idées
@Phacochère oui c'est toujours le même problème ici.