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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Je souhaite hardemment que Israël montre de la mansuétude dans cette guerre envers les civils. Ca serait un signal politique très fort qui pourra inciter les pays arabes aux alentours à canaliser leur population vers l'inaction. Ca passe par un très fort contrôle sur les colons en cisjordanie notamment.
  2. Il n'y a rien de honteux à constater que des gens se sont fait spolier et que çà génère forcément de la haine, que ces méthodes sont utilisés depuis 1948 et qur forcément tous les palestiniens en ont été victime. Comment veux-tu obtenir la paix avec ces gens si derrière ils se font spolier ???? A un moment il va falloir grandir et devenir adulte dans la gestion de l'état d'Israël.
  3. C'est probablement ce à quoi le HAMAS s'est préparé depuis plusieurs année. Ca va être un carnage vu l'état de haine réciproque.
  4. "Distiller" ? 90000 obus d'artillerie/mois tu les trouve où ? Il n'y a que les US pour disposer d'une telle quantité d'obus. Et vu l'article que je t'ai mis au-dessus, tous les stocks sont sollicités et donc très bas.... Ce n'est plus une guerre mais deux qu'il va falloir alimenter ... Certe il y a des annonces de reprises de production en Europe et au US mais çà ne va pas se faire en quelques mois, plutôt un ou deux ans. Faudrait pas qu'un troisième front s'ouvre quelque part en ce moment si tu vois ce que je veux dire. Plus généralement çà montre les limites militaires du grand frère et l'incroyable vanité de l'OTAN.
  5. Oui mais voilà tout n'est pas si simple en matière de stock surtout quand la plupart des stocks dispo sont US et donc largement sous tension à cause de la guerre en Ukraine ... Face à çà une ville de 2 millions d'âme, bourrée de souterrains et habituée depuis longtemps à vivre la moitié du temps sans électricité. https://www.france24.com/fr/europe/20230118-quand-washington-puise-dans-ses-stocks-d-armement-en-israël-pour-aider-l-ukraine Quand Washington puise dans ses stocks d’armement en Israël pour aider l’Ukraine Pour fournir des obus d’artillerie à Kiev, les États-Unis ont décidé de puiser dans un dépôt de munitions américaines méconnu du grand public et se trouvant en Israël. Une décision qui met Tel Aviv dans une situation délicate vis-à-vis de la Russie que la diplomatie israélienne essaie de ménager. Publié le : 18/01/2023 - 18:31 7 mn Les munitions que les États-Unis transfèrent depuis Israël à l'Ukraine doivent essentiellement servir à l'artillerie. © Anatolii Stepanov, AFP L’aide militaire américaine à l’Ukraine emprunte des chemins parfois surprenants. Ceux-ci passent notamment par Israël, un pays qui s’est pourtant engagé depuis le début de la guerre à ne fournir aucune arme aux deux belligérants. Le Pentagone puise en effet dans les réserves de munitions et équipements dont les États-Unis disposent sur le sol de l’État hébreu pour soutenir Kiev face à Moscou, a révélé le New York Times, mardi 17 janvier. Des munitions cachées quelque part en Israël Tel Aviv a accepté que Washington retire environ 300 000 munitions pour les envoyer à l’Ukraine. La moitié serait déjà en cours d’expédition, ont assuré des responsables israéliens et américains au New York Times. La demande a été "formulée à l’occasion d’un échange téléphonique crypté entre le secrétaire américain à la Défense, Lloyd J. Austin III, et Benny Gantz, qui était alors ministre israélien de la Défense", détaille le quotidien américain. Cet accord a donc été négocié avant le 29 décembre 2022 et le retour au pouvoir du conservateur Benjamin Netanyahu, connu pour être plus proche de Vladimir Poutine que son prédécesseur Yaïr Lapid. Ce détour israélien de l’aide américaine met en lumière l’existence d’un dépôt d’armement en Israël peu connu du grand public, qui dispose d’un nombre indéterminé d’armes et de munitions, stockées dans des endroits dont la localisation est gardée secrète. Il s’agit des WRSA-I – les War Reserve Stocks for Allies-Israel, ou "stocks de réserve de guerre pour alliés-Israël" –, qui disposent "de munitions et armements d’une valeur maximale de 4 milliards de dollars", note un rapport du Congrès sur l’aide américaine fournie à Israël publié en 2022. La création de ce dépôt a été décidée d’un commun accord entre Washington et Tel Aviv après la guerre du Kippour en 1973. Il devait faciliter le soutien militaire américain à son principal allié dans la région en cas de crise et "éviter ce qui s’est passé en 1973 lorsque le président américain Richard Nixon avait retardé la livraison d’armes à Israël", précise le site Politico dans un article consacré aux WRSA-I publié en 2014. Au départ, dans les années 1980, les munitions qui y étaient entreposées ne pouvaient être utilisées que par les États-Unis, s’ils venaient à intervenir directement dans un conflit dans la région. Ces armements n'ont, d'ailleurs, jamais été exclusivement réservés à la défense d'Israël. En 1989, le président George H. W. Bush a permis à l’armée israélienne de s’en servir, mais uniquement en dernier recours pendant une crise. Et Washington devait donner son accord. Ce tournant avait, alors, tout à voir avec les efforts de l’administration américaine de vendre des blindés à l’Arabie saoudite, souligne le rapport du Congrès. Les États-Unis tenaient à rassurer Tel Aviv en lui permettant d’avoir accès à ce gigantesque dépôt de munitions. L'Ukraine tire 90 000 obus par mois Washington a ouvert en bien plus grand les portes des WRSA-I au début des années 2000. La demande israélienne de piocher dans ces réserves ne nécessitait plus qu’un accord des militaires américains. Le pouvoir politique pouvait ne même pas être mis au courant. Une réalité qui a pris la Maison Blanche de court en 2014, lors de l’un des deux seuls épisodes où Israël a utilisé ces munitions. Huit ans après avoir reçu le feu vert de Washington en 2006 pour s’en servir lors du conflit contre le Hezbollah au Liban, l’armée israélienne a puisé dans ce stock à l’occasion de la guerre de Gaza. Sauf qu’en 2014, Barack Obama n’était pas au courant. Le président américain a été mis devant le fait accompli, découvrant que des obus de mortiers provenant de ses stocks en Israël avaient servi à bombarder le Hamas dans la bande de Gaza. "Cette découverte a été un choc qui a rendu Barack Obama furieux contre Benjamin Netanyahu", avait relaté le Wall Street Journal en 2014. Mais le président américain ne pouvait pas y faire grand chose : Tel Aviv avait suivi à la lettre la procédure qui ne l’obligeait qu’à obtenir l’accord des militaires américains. De la même manière, le gouvernement israélien ne peut pas vraiment empêcher Washington de se servir dans un stock qui lui appartient pour aider l’Ukraine. Les États-Unis n’ont, quant à eux, plus vraiment le choix s’ils veulent continuer à soutenir Kiev. L’Ukraine dépend presque à 100 % des munitions d’artillerie de l’Occident pour continuer à tenir tête à la Russie, rappelle le New York Times. Problème : l’Ukraine utilise près de 90 000 obus par mois, soit près de deux fois ce que les États-Unis et leurs alliés européens peuvent produire mensuellement, d’après les autorités américaines interrogées par le New York Times. Il faut donc puiser dans les stocks. Washington ne veut pas trop puiser dans ses réserves nationales et préfère dégarnir ses dépôts à l’étranger, dont les deux principaux sont en Israël et en Corée du Sud. Séoul a accepté sans broncher. De l'art de ne pas fâcher Moscou Tel Aviv, pour sa part, ne veut surtout pas fâcher Moscou. "D’abord et surtout parce qu’Israël a besoin de manœuvrer librement en Syrie et que la Russie contrôle le ciel syrien", explique Omri Brinner, analyste et spécialiste de la géopolitique du Moyen-Orient à l’International Team for the Study of Security (ITSS) Verona, un collectif international d’experts des questions de sécurité internationale. Mais ce n’est pas tout. Israël a aussi besoin d’avoir de bonnes relations avec la Russie pour avoir accès, si besoin, à des informations sur les agissements de l’Iran, l’un des meilleurs alliés de Moscou dans la région. "Ce transfert de munitions vers le front ukrainien depuis Israël ne devrait cependant pas trop nuire aux relations israélo-russes, car Tel Aviv pourra toujours dire qu’il s’agit de munitions américaines, transportées par les Américains", souligne Omri Brinner. Cet expert ne serait pas surpris, cependant, si Moscou demandait à Tel Aviv "une concession, que ce soit dans le domaine du renseignement [échange d’informations, NDLR] ou dans le domaine économique". La décision américaine pose aussi un problème de sécurité intérieure à Israël. "Si le gouvernement estimait qu’il y avait une menace imminente contre Israël, il aurait sûrement protesté davantage contre ce transfert de munitions", estime un expert des relations russo-israéliennes interrogé par France 24 et qui a préféré garder l’anonymat. En un sens, l’accord d’Israël obtenu par Washington sans trop de problèmes prouve que l’État hébreu se sent actuellement plutôt en sécurité. Les États-Unis ont certes promis qu’ils allaient re-remplir au plus vite les WRSA-I, mais dans le contexte actuel de la guerre en Ukraine, il ne sera peut-être pas facile de trouver du jour au lendemain 300 000 munitions. Mais pas impossible, estime Omri Brinner : "Washington peut rapidement puiser dans les autres stocks qu’ils ont dans la région, que ce soit en Égypte ou au Qatar."
  6. Qui sème le vent récolte la tempète : Pour rappel : https://alencon.maville.com/actu/actudet_-reportage.-en-cisjordanie-occupee-les-colons-israeliens-font-fuir-les-bedouins-_54135-5958567_actu.Htm REPORTAGE. En Cisjordanie occupée, les colons israéliens font fuir les Bédouins ... 2 Le berger Hassan Abu Al Qbash fait partie des bédouins palestiniens harcelés par les colons israéliens jusqu’à ce qu’ils jettent l’éponge et partent. © Nicolas Rouger, Ouest-France Déjà fragilisés par le régime d’occupation militaire qui a réduit leur accès aux ressources en eau et en terre, des milliers de Bédouins de Cisjordanie sont à la merci de colons de plus en plus violents. À Qaboun, une centaine d’habitants ont dû fuir leur village. Au creux d’une vallée de Cisjordanie occupée, dans le massif surplombant le Jourdain, on trouve ce qui reste du village bédouin de Qaboun. Il s’est vidé de sa centaine d’habitants en août, à la suite d’un épisode aussi symbolique que cruel. Des colons israéliens armés ont intercepté le tracteur de la communauté et ouvert le robinet du réservoir d’eau. Les 5 000 litres ont disparu dans la roche poreuse. Sans eau, impossible de rester. Pourtant on avait tout à Qaboun, des pâtures pour les animaux, l’électricité, même internet ! se souvient Hassan Abu Al Qbash, qui a fui un harcèlement quasi quotidien pour se réfugier avec plusieurs familles à plusieurs kilomètres, où ils peinent à nourrir leurs bêtes. Ses traits marqués par le soleil et le travail lui donnent plus que ses 60 ans, mais Hassan Abu Al Qbash compense par une énergie exubérante. . © Ouest-France La vie des Bédouins palestiniens a toujours été dure, à l’image du paysage aride qui les entoure. Elle a été percutée par l’occupation. Depuis 1967, le régime militaire israélien a restreint leur accès aux ressources : eau, électricité, terres, permis de construire… Ces cinq dernières années, les choses ont encore empiré. « C’est la fin des Bédouins » Les colons rentrent chez nous, ouvrent les frigos, jettent la nourriture. Ils font ce qu’ils veulent. Moi, si j’attrape seulement une pierre, l’armée israélienne mettra ma famille en prison , explique Hassan avec amertume. Ils prennent l’eau, ils prennent les pâturages, c’est la fin des Bédouins. C’est devenu l’empire des avant-postes , conclut le berger. Les avant-postes ? Quelques caravanes qui débarquent un matin pour abriter une poignée de zélotes du « Grand Israël » que l’extrême droite juive revendique de la Méditerranée à la Jordanie. Près de Qaboun, l’avant-poste de Malachei Hashalom (les Anges de la paix) a été fondé en 2018 par deux familles de colons juifs. Aujourd’hui, l’exploitation agricole accueille une quinzaine de jeunes, qui y remplissent ce qu’ils appellent leur devoir : Protéger la terre d’Israël , par tous les moyens. Lire aussi. REPORTAGE. En Cisjordanie occupée, la pression incessante des colons juifs extrémistes Au regard du droit international, toutes les implantations juives en Cisjordanie (700 000 habitants, dont 230000 à Jérusalem-Est) sont illégales. Les avant-postes le sont même au regard du droit israélien, avant le plus souvent d’être régularisés. Ce qui a été fait en février 2023 pour Malachei Hashalom… Stratégie machiavélique Les partisans du Grand Israël ont un objectif affiché : l’annexion de la Cisjordanie par le fait accompli. Et ils ont un problème : les colonies de peuplement ne grandissent, à leur goût, pas assez vite. Cela coûte trop cher , résumait en 2021 Ze’ev Hever, dit Zambish, « parrain » de la construction dans les territoires palestiniens avec sa société de BTP Amana. Nous ne tenons que 100 km², après cinquante ans de peuplement, mais les fermes établies ces trois dernières années nous ont donné le contrôle du double de cette superficie. Avec le soutien tacite de l’État. Ces « fermes » contrôlent aujourd’hui près de 6 % du territoire en Cisjordanie. Plus de 1 100 Palestiniens ont été contraints de quitter leurs villages depuis 2022, la plupart ces trois derniers mois, selon l’Onu qui met en cause la violence des colons, à son plus haut depuis 2006. La présence depuis décembre de l’extrême droite suprémaciste juive au sein du gouvernement Netanyahou n’y est sans doute pas pour rien. Dans la région de Qaboun, il y avait sept villages – il n’en reste plus que trois, « sauvés » (jusqu’à quand ?) par la présence permanente de militants anti-occupation israéliens.
  7. Sûrement que le peuple juif à vécu des horreurs. Mais ils ont appliqué la loi du talion ainsi qu'une politique d'envahisseurs en Israël sans volonté d'assimilation mais plutôt de ghettoïsation des palestiniens. On voit aujourd'hui un résultat mitigé. J'espère vraiment que la région ne va pas s'embraser parce que les US ne pourront pas soutenir des fronts partout.
  8. Sauf que le stock de bombe de l'IdF n'est pas illimité et que tu ne mets pas une ville de 2 millions de personnes à terre avec quelques milliers de munitions seulement.
  9. J'attend de voir comment Israël va gérer les images des civiles palestiniens. Un huis clos serait très mauvais pour la gestion des relations avec les voisins arabes. A l'inverse des images de mansuétude envers les civils palestiniens montreraient une volonté politique de ne traiter que le boulet HAMAS.
  10. Soit le HAMAS est un boulet dont il fallait se séparer et dans ce cas il n'y aura pas escalade à l'extérieur de GAZA les mouvements de foules étant juste récupéré et canalisé vers l'inaction. Israël serait donc très inspiré de diffuser des images de mansuétude vis à vis des civils palestiniens. Soit le HAMAS est une étincelle et les pays arabes embraye parce que leur foule et une géopolitique de bloc arabe leur commande d'aller dans cette direction. Sincèrement je ne sais absolument pas dans quelle direction çà va partir.
  11. Le HAMAS n'avait presque plus de soutien sur la scène internationale, les pays arabes normalisant leur relation avec Israël. Seulement l'Iran mais qui favorise le HEZBOLLAH. Soit le HAMAS entraine avec lui tous les pays entourant Israël et on revient à une situation d'il y a 20 ans. Soit c'est la fin pour lui. Les réactions au Liban et en Cisjordanie de la foule vont devoir être canalisée. J'attend donc de voir si çà sera pour faire semblant ou si il y aura escalade.
  12. ET surtout rien n'est fait pour réduire cette haine. Les images, les chiffres, les méthodes tout est rendu publique. Regardes cet officier général qui dramatise le plus possible. Le HAMAS savait ce qu'il faisait. Il a provoqué sa propre extinction. Mais il faudrait que Israël montre une plus grande maturité et inculque de la retenue à ses troupes et ses civils. Je ne vois rien de tout çà.
  13. Bilan chiffré de l'attaque du HAMAS. "C'est notre Pearl Harbour". La haine appelant la haine, çà va être sanglant. ET les militants du HAMAS ne seront pas les seuls à morfler.
  14. Pendant ce temps-là Arménie Azerbadjan , Iran et Israël ...
  15. Les combat s'intensifieraient entre le Hezbollah et l'IDF.
  16. Je crois que les otages ne pèseront pas lourd dans la balance cette fois ...
  17. La jeune femme de nationalité allemande dont tout le monde a parlé est décédée ...
  18. Irondome en action. J'espère qu'ils ont suffisament de munition.
  19. Images de l'attaques en parachute par le HAMAS !!!!! Edit suppression d'un post.
  20. Pareil. Même anticipation. Reste la question de la Cisjordanie et quid de l'attitude difficilement lisible du hezbollah ?
  21. Pour ceux qui avaient encore un doute l'état de guerre est déclaré en Israël. Cà ne sera pas une opération spéciale chère à d'autres états ...
  22. Synthèse des attaques âr militarysummury il y a 8 heures :
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