Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Benoitleg

Members
  • Compteur de contenus

    4 817
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    2

Benoitleg a gagné pour la dernière fois le 21 septembre 2023

Benoitleg a eu le contenu le plus aimé !

Réputation sur la communauté

5 792 Excellent

Profile Information

  • Gender
    Male
  • Pays
    France

Visiteurs récents du profil

11 707 visualisations du profil
  1. Les blindés couverts par des tirs à shrapnells arrosant les zones utiles sont peut-être protégés des FPV dans ce cas ?
  2. Visite France-Sénégal et échanges entre autres sur la défense.
  3. Interdiction des partis d'opposition Géorgie: le Parlement ouvre la voie à l'interdiction de tous les partis d'opposition Toute opposition politique est désormais illégale en Géorgie : mercredi 3 septembre, le Parlement géorgien a adopté un rapport qui interdit les partis d'opposition. Alors que les manifestations contre Rêve géorgien, la formation pro-russe au pouvoir accusée de dérive autoritaire, se poursuivent de façon quotidienne, la répression va crescendo dans le pays où toutes les voix dissonantes sont réprimées. https://www.rfi.fr/fr/europe/20250903-géorgie-le-parlement-ouvre-la-voie-à-l-interdiction-de-tous-les-partis-d-opposition
  4. Réacteur Ivtchenko-Progress AI-25, produit à plus de 9300 exemplaire, serait (avant 2022 ?) produit chez Motor Sich à Zaporijja et sous linece en Chine, pour les besoins des Yak-40 (1011 ex., pratiquement sorti du service) Aero L-39 Albatros (2843 ex. livrés en 1997) et Hongdu K/JL-8 (plus de 500 ex.). https://fr.wikipedia.org/wiki/Ivtchenko-Progress_AI-25 Par contre, je n'ai vu aucune mention de FAB 1000 en dehors du contexte Flamingo, uniquement les FAB 500 ou 1500 ?
  5. J'ai peur que cela passe moins bien comme sigle .
  6. Cette manière de penser, énoncée par le britannique John Stuart Mill, est passée de mode en Grande-Bretagne, comme l'indique cet intéressant texte traduit par Wallaby : En Angleterre, ce n'est pas « plutôt la Corrèze que le Zambèze », mais « plutôt Glasgow avant Gaza » : https://uk.news.yahoo.com/british-put-kent-kyiv-171008489.html & https://www.telegraph.co.uk/news/2025/08/19/british-right-should-put-kent-before-kyiv/ (19 août 2025) La droite britannique devrait privilégier le Kent plutôt que Kiev Une tension émerge dans le monde occidental sur le poids à accorder à l'intérêt national par rapport aux implications dans des conflits lointains. L'intensité furieuse avec laquelle tant de conservateurs d'un certain âge suivent chaque rebondissement du conflit entre la Russie et l'Ukraine – alors même lorsqu'ils sont confrontés au ristque de tomber dans l'oubli électoral – peut être difficile à comprendre. L'explication la plus plausible est peut-être qu'il s'agit d'un déplacement psychologique, une façon d'esquiver le spectre du déclin national en poursuivant le fantôme d'une influence géopolitique qui a disparu depuis longtemps. Le débat met en évidence le réalisme fondé sur des principes de la Nouvelle Droite, un réalisme qui tente d'équilibrer les revendications de justice et les priorités concurrentes des nations touchées de différentes manières et à des degrés divers par les conflits géopolitiques. Malheureusement, cette approche semble exaspérer la Vieille Droite, qui insiste pour refléter presque toutes les crises géopolitiques à travers le prisme des années 1930 et 1940. Imprégnés des mythes d'après-guerre sur l'exceptionnalisme britannique – la folie de Chamberlain, l'héroïsme de Churchill, le courage du Blitz –, ils insistent pour traiter Poutine comme Hitler, Zelensky comme Churchill, l'Ukraine comme la Pologne, et toute recherche d'une solution pacifique comme l'apaisement d'un Chamberlain ou la collaboration d'un Pétain. Cette mentalité – « World War Two Brain » (cerveau de la Seconde Guerre mondiale), dans le jargon des Zoomers de droite qui en sont les plus mystifiés – motive une réflexion désespérément confuse et ignore la realpolitik de la paranoïa de longue date de la Russie à l'égard de l'OTAN, les effets dévastateurs du conflit sur les prix de l'énergie en Europe et le réalignement désastreux de la Russie avec la Chine. Cela alimente une confrontation qui inflige à l'Ukraine des dommages dont elle mettra des décennies à se remettre, cela épuise les ressources de la Grande-Bretagne alors que le pays est confronté à une série de défis internes sans précédent dans l'histoire récente, et cela diabolise les voix qui appellent à la paix et à la retenue. Heureusement, c'est une mentalité que le vice-président américain rejette sans équivoque. Il comprend que l'idéalisme naïf et les analogies anachroniques sont une source de conflits et d'instabilité, et que l'Amérique doit rechercher la paix par la force alors qu'elle navigue dans un monde multipolaire qui ne pourrait être plus différent du paysage géopolitique qui a disparu il y a près d'un siècle. Quant aux figures émergentes de la nouvelle droite britannique, elles semblent être les seules à comprendre que le moment est venu de se rallier derrière des politiciens qui feront passer le Kent avant Kiev, Glasgow avant Gaza et Bournemouth avant Beijing."
  7. 430 mots pour signifier qu’ils veulent faire cul et chemise avec la Russie (ou gaz et engrais) ?
  8. Dicton : « Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage ». "Abattus comme des mouches" : comment une unité secrète israélienne traque les journalistes de Gaza France 24 26/08/2025 « L'armée israélienne utiliserait une unité secrète pour façonner le discours autour de Gaza, présentant les reporters palestiniens comme des agents du Hamas afin de justifier ses frappes. Une tactique qui, selon les experts, vise à contrôler l'information dans cette guerre, qualifiée de "pire conflit jamais connu pour les journalistes". » https://www.france24.com/fr/moyen-orient/20250826-abattus-comme-des-mouches-comment-une-unité-secrète-israélienne-traque-les-journalistes-de-gaza
  9. Que devient le Malin (en blanc sur la photo) ? Il ferait un bon stationnaire à Mayotte bien dépourvue, comme fin de carrière. Les POM apportent une capacité très utile pour les îles où ils arrivent, une possibilité permanente de cartographie sous-marine avec leur sondeur multifaisceaux.
  10. Le compagnon du Fulmar à Saint-Pierre-et-Miquelon, le P'tit Saint-Pierre : https://www.marine-marchande.net/Flotte/Baliseurs/Pti-Saint-Pierre.htm Appareillage à bord du "P'tit Saint-Pierre", le baliseur de l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon https://images.cnrs.fr/photo/20130001_0652
  11. Dans l'esprit des britanniques, l'AFVG devait remplacer le BAC Canberra en ayant les capacités d'évolution d'un Lightning, en solution de sauvetage du TRS2 abandonné peu avant. Il devait servir pour la RAF, pas la Royal Navy, qui elle louchait effectivement sur le F4, qui équipera ses porte-avions. Faute d'avions, la RAF s'est mis au F4 produit en masse, moins cher que le F111, surtout après la dévaluation de la Livre de 1968. L'erreur principale des britanniques a été d'abandonner en rase campagne le TRS2. Le F111 était sans doute plus le choix second/concurrent de l'AFVG comme remplaçant du TRS2. Par contre, je n'ai jamais compris la cohérence dans le choix français de vouloir poser un engin de 30 t max. (même avec une aile variable) sur un porte-avions de classe Clemenceau (Super Étendoir : 12 t max. tout mouillé). Et d'ailleurs la cohérence générale des deux bords de mélanger les spécifications d'un avion naval pour porte-avions léger/moyen et d'un chasseur-bombardier moyen/lourd. Ca ne pouvait que planter. Pour la survie du Jaguar, c'est sans doute du à la nécessité pour l'état français de maintenir le plan de charge de Breguet, pour lui éviter la faillite et ensuite avec le désintérêt de Dassault, c'est devenu un bon plan pour l'aéronautique britannique (qui a fait la plupart des ventes à l'étranger).
  12. Ou ils se mettent d'accord sur quelque chose de plus facile, en gardant le même acronyme : Système de Cloud Aérien du Futur (SCAF).
  13. Euh.., le gouvernement francais a annoncé son retrait en premier du GVFA/AFVG en mai/juin 1967. Son principal appui politique, le premier ministre Pierre Messmer, [note supplémentaire] avait raté sa premiere tentative de mandat politique à Lorient en mars 1967 et se trouvait alors un peu délégitimé. En position délicate, il devait arbitrer entre le budget militaire et les promesses de dépenses sociales et médicales, face à un De Gaulle ni pour/ni contre : ca fonctionnait, tant mieux, c'était un échec, tant pis. Dassault appréciait peu la position de brillant second dans ce projet, avec une BAC en déshérence dont les élus et le gouvernement britannique se méfiaient, malgré une vue encore assez favorable à ce moment pour un double approvisionnement militaire Europe/USA. La SNECMA exprimait une forte appréhension face à Rolls-Royce (qui finira en faillite retentissante en 1971 avec le raté du RB211). Ce dernier voulait pousser hors du projet GVFA/AFVG le réacteur M45 (Snecma/Bristol Siddeley) pour imposer un modéle maison supposèment plus adapté aux bessoins de l'avion. La SNECMA serait alors placée comme un second couteau affûté vis-à-vis d'un partenaire imposant mais croulant. Par ailleurs, la SAMDassault était en position de force devant le gouvernement, avec la reprise à venir de Bréguet Aviation (27 juin 1967) après le retrait de Sylvain Floirat, et pouvait négocier ce qu'il voulait, dont la fin du GVFA/AFVG. Chute libre avant le décollage : le programme GVFA d'avion à géométrie variable franco-anglais, 1965-1967 https://shs.cairn.info/revue-histoire-economie-et-societe-2010-4-page-51?lang=fr https://www.lemonde.fr/archives/article/1966/10/18/m-pierre-messmer-se-presentera-a-lorient_2688207_1819218.html
×
×
  • Créer...