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Ronfly

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Tout ce qui a été posté par Ronfly

  1. Oui c'est vrai qu'il faudrait rajouter qu'ils ont été conçu et fabriqué entierement par Dassault et ses partenaires avec des réalisations au top niveau mondial comme le mystere IV, le Mirage III, le mirage G8, les mirage 2000/4000 et j'en passe... mais c'est un détail et cela ne veut rien dire...
  2. Si tu rajoutes que Dassault Systèmes a conçu le logiciel de conception 3D, CATIA, le plus répandu et réputé du monde avec comme clients Boeing, Airbus, Embraer, Bombardier, Toyota, BMW, Daimler, PSA, Thalès, Nokia Alstom, Naval Group, Meyer Werft, Swatch .... et j'en passe. Ça fait un savoir faire unique en Europe et au top niveau mondial...
  3. Ronfly

    L'Inde

    Il est fort probable que l'Inde déclanche une nouvelle commande une fois la première terminée complètement. Trappier l'a plusieurs fois laisser sous-entendre.
  4. Finalement j'ai réussi...: "L'industrie de la défense française avait deux raisons de se réjouir lorsque les Émirats arabes unis ont accepté d'acheter 80 chasseurs Rafale à Dassault Aviation le mois dernier. Premièrement, c'était une douce revanche pour l' humiliation de l'automne dernier lorsque l'Australie a renoncé à un accord sur les sous-marins en faveur d'une alliance avec les États-Unis. Il a dû y avoir un frisson de satisfaction à Paris lorsque Abu Dhabi, quelques jours après avoir accepté d'acheter le chasseur français, a suspendu les pourparlers avec les États-Unis sur l'achat du F-35 de Lockheed Martin. Deuxièmement, la commande des Émirats arabes unis - d'une valeur estimée à 14 milliards d'euros - garantira la production du Rafale jusqu'en 2031, ainsi que des travaux pour plus de 400 entreprises françaises de la chaîne d'approvisionnement. Il contribuera également à financer l'investissement de la France dans les futures mises à niveau du Rafale, qui devrait désormais être en service dans les années 2050. Pourtant, si l'accord a beaucoup d'avantages du point de vue français, il risque de déstabiliser les efforts de l'Europe en matière de collaboration en matière de défense. Car cela renforce la main de Dassault dans les négociations toujours difficiles avec la division de défense d'Airbus basée en Allemagne sur le futur système aérien de combat (FCAS) proposé par l'Europe. La dernière fois que Dassault - et par extension le ministère français de la Défense - a estimé qu'il n'obtenait pas ce dont il avait besoin d'un programme de chasse européen, il s'est retiré . Le résultat fut le Rafale de Dassault. Lancé en 2017 par l'ancienne chancelière allemande Angela Merkel et le président français Emmanuel Macron, le SCAF était un projet ouvertement politique. Cela a montré la détermination des deux pays à renforcer la capacité militaire souveraine de l'Europe après la sortie de la Grande-Bretagne de l'UE. En 2019, l'Espagne a rejoint le programme. Les problèmes ont commencé lorsque les politiciens l'ont remis à l'industrie. Dès le début, il a été marqué par des querelles sur le partage de technologie et la direction des parties les plus critiques du programme. Les combats ont été exacerbés par des idées fondamentalement différentes de ce que signifiait la collaboration. "La collaboration française, c'est s'assurer que vous obtenez le résultat le plus efficace", généralement sous direction française, déclare un responsable européen de la défense. "En Allemagne, il s'agit en partie du meilleur athlète, mais aussi du partage du travail industriel." Le projet a également rapproché deux rivaux acharnés - Dassault et Airbus Defence and Space. Mais l'année dernière, il semblait que les ambitions politiques de l'Europe avaient pris le dessus. Un accord sur les principes de base a été conclu et des accords industriels ont été conclus sur six des sept piliers du projet, couvrant les avions avec et sans pilote, les communications spatiales et terrestres, les technologies furtives de pointe, l'intelligence artificielle et plus encore. Mais les divisions demeurent sur le septième pilier - l'avion de combat de nouvelle génération lui-même - et il n'y a aucun signe de compromis imminent. Les deux parties ont des raisons logiques de s'entêter. Dassault, porte-drapeau de la souveraineté de la France dans les avions de combat, affirme qu'il doit développer et gérer lui-même le système de contrôle de vol crucial, par exemple. Mais l'Allemagne s'attend naturellement à ce que son industrie ait accès à la technologie, ayant promis des milliards pour le projet. C'est dans ce contexte que l'accord Rafale des EAU pourrait faire pencher la balance, soutient Francis Tusa, consultant et rédacteur en chef de la newsletter Defence Analysis. "Cela a changé l'équation", dit-il. « La France n'a plus besoin de l'Allemagne. Les bénéfices qu'ils tirent de l'accord avec les Émirats arabes unis financeront les mises à niveau du Rafale. » "Les jours du projet sont comptés à moins que les Allemands ne comprennent où ils en sont dans l'ordre hiérarchique", ajoute Tusa. "Ils ne sont pas égaux en capacité industrielle." Pendant ce temps, les plans du nouveau gouvernement allemand visant à codifier dans la loi les restrictions plus strictes du pays sur les exportations d'armes – les limitant potentiellement à l'OTAN et à l'UE – ajoutent aux tensions. De telles contraintes sur les exportations "seraient un tueur d'affaires", a déclaré un cadre français de la défense. Ce serait un coup dur pour les ambitions de défense de l'Europe si la France choisissait de s'éloigner à nouveau d'un chasseur européen. Ce serait aussi un échec pour Macron, qui a donné la priorité à la collaboration pendant la présidence française de l'UE. Mais les élections présidentielles se profilent en avril et la famille Dassault ne se contente pas de contrôler une entreprise clé de la défense française. Il possède le journal politiquement influent Le Figaro. En fin de compte, alors que seuls les politiciens des deux côtés peuvent résoudre l'impasse, cela devra peut-être attendre que la France se rende aux urnes. Mais plus l'impasse se prolonge, plus grand est le risque pour l'Europe que son dernier cas test de coopération commence à s'effondrer.""
  5. Ronfly

    L'Inde

    Ce coup ci il est bien noté la nacelle de brouillage bande basse
  6. Ronfly

    [Rafale]

    Certains exercices et compétitions ont permit de confirmé la légère supériorité du Rafale comme expliqué sur le site portail.aviation.com: "En conclusion, l’Eurofighter est capable sur le papier de pouvoir pointer son nez beaucoup plus rapidement dans la direction voulue. Quant au Rafale, est à même d’évoluer plus longtemps avec un angle d’attaque plus élevée, et une vitesse plus faible. Cette conclusion pourrait devenir un fait lorsque l’on voit les résultats des différentes confrontations où le Rafale a eu à faire face à l’Eurofighter, où ce dernier semble systématiquement à la peine lors des simulations de combat en BFM. L’absence de poussée vectorielle prévue au départ fait ici défaut. Mais son absence est encore plus problématique dans un autre domaine, et il n’est pas impossible qu’elle soit à l’ordre du jour d’une prochaine évolution de l’appareil."
  7. Exact!?...je comprends pas trop pourquoi... Désolé
  8. Le soucis est qu'on demande à la France de partager avec les Européens les techs et compétences et les capacités mais eux mêmes ne jouent pas le jeux puisque pour nombres d'équipements les Européens se tournent vers les US plutôt que nous...(F35, Apache, P8A, MEADS,....) alors que nous sommes uniques leader dans de nombreux domaines stratégique (SNLE, SNA, PAN, Leclerc, Rafale, Satellites, missiles stratégiques, turboréacteur,...) Il y a un problème de cohérence... Ils ont choisi l'OTAN plutôt que l'Europe de la défense.
  9. C'est vrai qu'avec 5000 chasseurs fabriqué depuis 70 ans, Dassault ne peut se permettre d'avoir le leadership sur la partie NGF... C'est mieux que les Allemands s'en occupent...
  10. Ça dit en gros que le succès du Rafale va empêcher la coopération européenne d'avancer notamment au niveau du SCAF. Il y voit une tentative de la France d'imposer son leadership sur les projets Européens. Il estime que le risque de refaire l'eurofighter/rafale est fort. En même c'est déjà le cas avec le Tempest/SCAF...
  11. Peut etre déjà posté mais c'est un article typique de comment mettre la faute sur la France et ses industriels. https://www.ft.com/content/095d4c62-f215-499e-9ea0-cd26e0f5b42b Une analyse biaisée et manquant de précision qui ne conclut rien de pertinent.
  12. Ronfly

    L'Inde

    C'est peu être là traduction qui déforme l'info ou un manque de précision dans le texte. Les spécificités pour l'Inde ne parlait pas de particularités pour le METEOR, juste qu'il faisait partie du panel d'armement. Par contre il ne mentionne pas de pod de brouillage comme vu dans de précédents commentaires.
  13. Ronfly

    [Rafale]

    Ce qui est sur c'est que ca déménage un Rafale dans un grand manège...brutalité et vélocité sont de la partie...
  14. Ronfly

    [Rafale]

    Il y a un système de conditionnement, d'ailleurs très bruyant, qui peut fournir aussi bien du chaud que du froid dans le cockpit. C'est réglable aux besoins du pilote comme dans une voiture.
  15. Ronfly

    Le F-35

    Il n'est déjà pas dans les temps et les budgets prévus me semble t-il... Par contre il est vrai qu'il sera le chasseur standard de l'otan et des pays alignés...
  16. Ronfly

    [Rafale]

    Partie bord d'attaque avec axe en titane et partie restante en fibre de carbone et thermoplastique
  17. Ronfly

    [Rafale]

    les canards sont équipés de reducteurs de SER comme les dents de scies, revetement absorbant et autres se qui compense les reflexions radar.
  18. Ronfly

    L'Inde

    Les canards sont actifs et permettent l'optimisation du flux d'air vers les voilures et améliorent la portance globale. Leurs positionnements proche de la voilure améliore grandement les capacités de manoeuvres du Rafale notamment dans le domaine de vol subsonique contrairement à ceux du Typhoon par exemple.
  19. Ronfly

    Le F-35

    Sorry... https://www.aspistrategist.org.au/whats-beyond-the-f-35-for-australia/
  20. Ronfly

    [Rafale]

    En gros et en simplifiant, on devrait à terme avoir une partie de flotte rétrofiter standard F4-1, une autre rétrofité F4-2 et des livraisons neuves F4-2 vers 2026/2029.
  21. Ronfly

    Le F-35

    A n'en pas douter, les retours sur investissement seront très certainement positifs et c'est tant mieux pour les US. Reste qu'ils ont la chance de pouvoir se le permettre malgré les grincements massifs des organismes de controle. Ils ont aussi un marché captif et la puissance d'influence qui leurs permet d'avoir un volume de commande national et export colossal pour diluer les coûts du F35 dans la masse. Le choix des Européens et pays alignés vers ce dernier en est la preuve. En même temps il est aujourd'hui admit que le F35 ne sera pas adapté à toutes les missions prévues à l'origine et verra le NGAD et les drones compléter le rapidement le tableau. Le F-35 est une étape imparfaite vers une nouvelle génération de vecteurs futurs. Petite analyse intéressantes me semble t-il d'un pays alignés du fameux nouveau bloc AUKUS : Un récent rapport du US Government Accountability Office sur le maintien en puissance et l'état de préparation du F-35 de l'USAF suggère que les taux de pleine capacité de mission du F-35A sont inférieurs aux exigences de l'USAF, à seulement 54 % contre un objectif de 72 % pour l'exercice 2020 aux États-Unis, tandis que le maintien en puissance les coûts sur un cycle de vie de 60 ans ont augmenté régulièrement, passant de 1,11 billion de dollars à 1,27 billion de dollars, ce qui a entraîné «un écart substantiel et croissant entre les coûts de maintien en puissance estimés et les contraintes d'accessibilité financière». Le rapport note également les défis continus liés au soutien logistique résultant de l'échec du système d'information logistique autonome connu sous le nom d'ALIS et note que le développement ultérieur d'un réseau intégré de données opérationnelles de remplacement, ou ODIN, rencontre « une myriade… d'incertitudes techniques et programmatiques ». Le rapport du GAO suggère que le moteur du F-35 pose également des problèmes, avec un plus grand nombre de réparations prenant plus de temps que prévu, réduisant davantage la préparation de la mission et augmentant les coûts. En termes de coûts de maintien en puissance, l'USAF devra "réduire les coûts de maintien en puissance du F-35A de 47%", afin d'éviter des déficits de financement de plusieurs milliards de dollars pour une flotte de 1 192 avions d'ici 2036. Ces défis ne peuvent qu'influencer le débat qui émerge actuellement et qui pourrait façonner un examen du combat aérien de l'USAF et le budget 2023 du département américain de la Défense. La perspective d'une augmentation des coûts de maintien en puissance et de taux de capacité de mission moins qu'acceptables stimulera les appels des promoteurs à réduire la dépendance à l'égard du F-35 en faveur d'une nouvelle plate-forme. Cela se produit alors que l'USAF est engagée dans le développement du projet Next Generation Air Dominance (NGAD) pour compléter et finalement remplacer à la fois le F-35A et l'ancien avion F-22. Au cœur du succès du NGAD se trouve une nouvelle approche de l'acquisition de capacités appelée e-développement. Ce projet NGAD, utilisant un développement électronique basé sur la conception et les tests synthétiques, a déjà vu un véritable avion de démonstration physique voler après une période de développement de trois ans. Alors que la RAAF examine ses options pour la phase 7 de l'AIR 6000, ces défis aux États-Unis présentent des opportunités et non des risques. Plutôt que de s'abstenir automatiquement d'acquérir 28 F-35A supplémentaires, la RAAF doit saisir l'opportunité d'embrasser ce qui pourrait émerger du NGAD d'ici le début des années 2030 et en même temps soutenir pleinement le développement d'une équipe habitée-sans équipage via l'avion Boeing loyal. comme une capacité complémentaire à la fois du F-35 et d'un futur système de dominance aérienne. Par-dessus tout, la RAAF et la Défense doivent changer de vitesse pour adopter l'acquisition rapide de capacités qui incarne le développement électronique et la « série du siècle numérique » de NGAD. Retarder l'examen d'un remplacement du F-35 jusqu'au milieu des années 2030 serait une erreur.
  22. Ronfly

    [Rafale]

    Apparemment la grosse évolution sur F4.2 sera le E-SNA avec un système de communication complètement repensé et cyberprotégé (modif cablage pour haut débit et architecturale) adapté au standard contact avec notamment LD inter-patrouille discrète et satcom crypté. Cela arrivera en unité vers 2026 environ.
  23. Ronfly

    L'Inde

    Tout à fait... Une bonne banalité bien placée de temps en temps. Sinon on peut dire que c'est plié, le Rafale va poser ses roues sur le vikrant cet été et terminé messieurs dames.
  24. C'est bien d'avoir + de 20000 litres de carb en dispo mais si tu as consommation importante ça compense l'autonomie dispo. Les CFT du F15E contiennent 3400 litres chacun, soit avec 7400l en interne et 3x2300 en bidons, on atteint les 21100 litres de kéro contre 12000 pour le Rafale avec 3 bidons.
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