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Alberas

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Tout ce qui a été posté par Alberas

  1. Certes! Mais ma question était de savoir si ce nouveau contrat (extension du précédent) était en vigueur. A part le Qatar, nos clients du Rafale ne font pas partie des pays ayant les finances les plus saines. Une fois les conditions de paiement en place (acompte versé et solde couvert par un crédit acheteur garanti) Dassault peut travailler sereinement. Pour augmenter les cadences, il faut des commandes fermes. Beaucoup se sont excités sur la multiplication des annonces en début d'année. Grèce, Egypte, Croatie, Indonésie ... et même la Suisse... Mais sauf erreur de ma part, seul le contrat grec de 6+12 est en vigueur. C'est ce qui explique ma question sur l'Egypte.
  2. Alberas

    Armée de l'air norvégienne

    ours d'origine: en 2012 1 NOK = 0.17$ donc 42 milliards de NOK font environ 7.3 milliards de dollars Cours actuel: 1 NOK = 0.12 $ donc 90 milliards de NOK font environ 10.8 milliards de dollars. Si on prend 7.3 G$ à 1 NOK = 0.12$, ça devrait faire 60.8 GNOK Ca fait une grosse dérive!
  3. Ca montre que SAAB n'est pas en mesure de suivre la course technologique imposée par les américains. Sa base industrielle nationale est insuffisante et Saab doit faire appel à des partenaires étrangers. Son marché est donc celui des pays qui ont des moyens financiers limités et dont les adversaires (ennemis) potentiels ont une AA peu dangereuse. Son dernier client, le Brésil, en est un bon exemple. Ta conclusion est intéressante. Si la Suède veut garder son constructeur national, elle doit le financer pour rester dans la course. C'est un peu pareil pour nous, sauf que les financements nationaux n'irriguent que des sociétés françaises.
  4. La coopération SAAB/Thales sur le radar AESA s'est arrêtée avant d'avoir commencé
  5. Pour en revenir aux Rafale Egyptiens: sait-on si l'acompte pour la commande des 24 nouveaux appareils a été versée?
  6. Nous sommes tous d'accord que l'industrie de défense allemande, à commencer par Airbus Défense, était à la manoeuvre pour que l'Alemagne participe à ce projet, avec toutes les arrières pensées qu'on peut leur prêter. Mais c'était du temps ou la CDU était au pouvoir.Désormais c'est une alliance, avec les" Grunen", dont on peut craindre qu'ils se jettent dans les bras de américains. Mais s'ils le font, ils peuvent aussi dire au-revoir à leurs espoirs de revenir dans le domaine aéro militaire.
  7. Au moins, les choses seront claires rapidement puisque le chancelier est tenu d'appliquer le programme accordé entre les membres de la coalition. Si rupture il y a, elle se fera aux torts des .allemands. Mais il faudra se passer de leur financement.
  8. Je comprends que cette visite de l'OTAN n'influera pas sur le choix du futur chasseur finlandais. En revanche , je ne vois pas en quoi la visite du président finlandais en Russie aurait une influence?
  9. Je sais bien que c'est une hypothèse utopique. Mais l'Italie, qui n'est pas spécialement riche, a acheté du F35 A en plus de ses Typhoon, et la Grèce veut du F35 en plus de ses Rafale. Il y a peut être d'autres exemples? Le fonds de la question est que le F35, à en croire ce forum, pose 2 problèmes: c'est un avion qui est conçu à partir de ruptures technologiques, ce qui induit que baser sa défense sur ce seul appareil présente des risques que la Finlande (qui est dans un autre contexte que les autres utilisateurs du F35) ne veut peut être pas courir. Son coût annuel de fonctionnement est beaucoup plus difficile à évaluer que les autres et pourrait dépasser le budget Finlandais Pour éviter les problèmes de coût, je ne vois qu'un panachage possible avec le F35, c'est F35/Gripen . Sans le F35, l'alternative serait Rafale/Gripen mais uniquement pour les relations avec la Suède. Je voyais plutôt ça à l'initiative de la Finlande et basé sur les 3 avions qui présentent le plus de garantie de développement sur les 30 prochaines années, donc en éliminant Typhoon et F18. J'arrête ici cette hypothèse parce que sa probabilité d'occurrence est ... très faible
  10. Je me permets de remettre une pièce dans le bastringue sur un sujet évoqué par plusieurs intervenants et rapidement balayé par d'autres parce que non conforme à l'appel d'offres, qui est celui du panachage. D'abord, avec une flotte de plus de 60 avions, une variété de missions réclamant des qualités spécifiques, un budget de fonctionnement annuel limité et des considérations politico stratégiques mouvantes, l'avion unique n'est pas nécessairement le meilleur choix Sur le plan opérationnel, Boeing l'a d'ailleurs immédiatement considéré puisqu'il offre le SH et le Growler. De même SAAB avec son mini AWACS . Les 3 autres se présentent comme omnirole, mais seuls Dassault et LM présentent des arguments concrets de capacité de pénétration en milieu hostile et donc ont des chances de gagner le gros lot si la solution monotype est intangible. Et alors on en reste à nos discussions sur les chances de l'un ou de l'autre. Mais si le Gvt Finlandais souhaite compenser une faiblesse supposée de ces 2 avions ou s'il préfère une double alliance politique qu'est ce qui l'empêcherait de panacher? C'est lui qui décide!
  11. Excuse moi @Patrickcar je vais caricaturer ta pensée: "Le Rafale peut-il l'emporter en Finlande? ... p't-être ben que oui, mais probablement pas ! Ah bon, pourquoi donc? ... Parce qu'il a quand même quelques défauts mais surtout parce que ses qualités ne comptent pas" "Mais on va leur proposer un F4+, ça suffit pas pour pour gagner contre un F35 douteux? ... Non, il faudrait passer directement au Rafale F5, et encore c'est pas certain que ça soit suffisant!" Moralité: C'est dur de pas être Américain! Mais tant pis, on se bat quand même
  12. Oui, mais ça dépend de qui est l'ennemi potentiel: contre la Chine, l'Iran ou la Russie les USA soutiendront leurs amis; pas contre la Turquie!
  13. La question sur ce que sera le Rafale au moment le F35 sera FOC est de montrer que le Rafale restera à la pointe de la technologie et continuera de représenter une alternative crédible au F35 ou à son successeur.
  14. Et à quel niveau sera le Rafale en 2031?
  15. L'USAF maître du monde! Les masques tombent. Il ne t'est jamais venu à l'esprit qu'un avion, aussi bon soit-il, développé pour les besoins de l'USAF qui en aura plus de 1000 exemplaires, ne soit pas le mieux adapté à la défense d'un pays qui doit choisir quel appareil lui assurera la meilleure défense dans son contexte géostratégique, et avec seulement 60 avions et un budget de défense limité. Et si les américains sont si persuadés que ça de la supériorité du F35, pourquoi le Sénat a-t-il enjoint à "tous les services de l'Etat', donc y compris les plus secrets, de tout mettre en oeuvre pour gagner le contrat finlandais? Et pourquoi 5 concurrents se battent ? Parce que chacun joue sa carte. Et pas toujours de bonne foi.
  16. je peux remplacer mauvaise foi par chauvinisme. Des fois, les échanges d'arguments me font penser à des supporters d'équipes de foot.
  17. Je suis ce site parce que beaucoup des sujets qui y sont traités m'intéressent du fait de mes études aéronautiques et de ma carrière professionnelle chez Thales. Et je suis très content d'y trouver des informations techniques compréhensibles et aussi des retours d'expérience opérationnelle de plusieurs contributeurs de très bon niveau, y compris de contributeurs non Français. Maintenant j'en viens à la propagande et à la mauvaise foi. Quand le F35 a commencé à être connu, il a été considéré comme un appareil plein de ruptures technologiques et qui allait écraser toute concurrence, comme l'avait fait le F16 avant lui. En même temps le Rafale était décrié par la presse française comme invendable. Mais il a commencé par gagner le concours MMRCA en Inde et, à partir de 2015, les premières ventes export sont arrivées, continuent et vont probablement s'amplifier. Simultanément l'aura qui entourait le F35 s'est effritée et c'est le Rafale qui semble devenir son concurrent le plus sérieux dans les marchés qui apparaissent être "ouverts" (ie différents du Canada, Belgique ou Pologne par exemple). Dans ce contexte de concurrence commerciale et politique, en Finlande particulièrement, l'objectivité de chacun est très relative puisque nous n'avons accès qu'à très peu d'informations. Mais en tant que partisans de l'offre française, tout argument qui peut affaiblir le concurrent, même de mauvaise foi, est bon à prendre. Après tout, dans un match, il arrive que l'outsider soit déclaré vainqueur. Et ce sera le cas en Finlande!
  18. Alberas

    L'Inde

    Déja diffusé sur une autre file ce matin
  19. Si j'ai bien lu, c'est une analyse de journaliste, non?
  20. Il faut prendre ça comme un bon mot pour se défouler Mais la propagande, elle est où? Chez ceux qui pensent que le F35 est un avion raté parce que ses capacités opérationnelles ne sont toujours pas approuvées, que son moteur manque de poussée et est trop fragile, que son système de maintenance est défaillant, que sa furtivité passive n'est pas l'arme absolue, que son coût d'exploitation est exorbitant, ou parce qu'il doit s'intégrer dans (voire diriger) un système complet de force aérienne seulement maîtrisé par les USA et qu'il ne sera donc jamais l'avion omnirole que vante son constructeur? Ou chez ceux qui affirment que ces critiques sont mensongères; que tous ces supposés défauts sont largement exagérés , et qu'ils seront corrigés très rapidement; que le coût total du F35 est plus bas que celui de ses concurrents, comme cela a été démontré en Suisse; que le nouveau système de maintenance est parfait ; et enfin que le F35 est le meilleur avion puisqu'il est le plus vendu.
  21. Si c'est annoncé pour dans 3 mois, c'est que ça a dû être préparé depuis longtemps des 2 cotés pour avoir le maximum de chances de réussite et que la date convient à toutes les parties prenantes. Boeing a fait son essai tout seul dans son coin et il a donné son résultat après coup.
  22. Alberas

    Le F-35

    Cela parait assez logique comme explication. Mais alors, si les US veulent remplacer le F135 par un nouveau moteur plus puissant, il va leur falloir augmenter le débit d'air. Difficile sans modifier l'avion, Non? Et tous les clients potentiels du F35, à commencer par la Finlande et les EAU (ou l'air est plus léger et plein de sable) ils en pensent quoi de ce super moteur?
  23. Article de ce matin dans revue italienne SMART "Comment Macron va prôner le Rafale de Dassault au Moyen-Orient par Giuseppe Gagliano Le président français Macron cherche à promouvoir la vente des avions Rafale de Dassault aux Émirats arabes unis. L'étude approfondie de Giuseppe Gagliano L'équipe diplomatique de l'Elysée se concentre actuellement sur les préparatifs de la nouvelle tournée d'Emmanuel Macron au Moyen-Orient de son quinquennat présidentiel, qui devrait le conduire à Abou Dhabi et Riyad, avec une éventuelle escale à Beyrouth. Le voyage est prévu après son voyage en Ukraine. Selon plusieurs sources, le dirigeant français pourrait s'inviter en guest star au Dubai Air Show (DAS), qui se tiendra du 14 au 18 novembre aux Emirats arabes unis. Il devrait également s'entretenir avec le prince héritier Mohamed ben Zayed al-Nahyan (MbZ). INTERVENIR DANS LA GUERRE FROIDE AMÉRIQUES-EMIRATS Pour Paris, il s'agit de tout prouver : le PDG de Dassault Eric Trappier et le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian s'affairent déjà à mener à bien l'affaire Rafale, actuellement bloquée dans le pays. Dans la brouille entre Abu Dhabi et Washington, les stratèges de l'Elysée et du Quai d'Orsay voient une opportunité de faire passer cet accord. Pour les dirigeants émiratis, la relance de la campagne du Rafale pourrait leur permettre de monter la barre avec Washington. Depuis des mois, la Maison Blanche tente d'utiliser cet accord pour vendre des avions F-35, évalués à 23 milliards de dollars, comme monnaie d'échange. Les États-Unis souhaiteraient que les négociations stratégiques entre Pékin et Abou Dhabi soient abandonnées. Cependant, les Émirats arabes unis ne semblent pas inquiets de cette décision, alors que les projets entre les Émirats et les groupes stratégiques chinois se poursuivent. Depuis plus de douze ans, Dassault rêve de conclure un accord avec le Rafale aux Emirats Arabes Unis. Depuis, le groupe a rejoint les nouveaux besoins industriels d'Abu Dhabi. Aux côtés d'Airbus Group, de Lockheed Martin et de Thales, Dassault a désormais un partenariat avec Global Aerospace Logistics (GAL), la société dédiée à la maintenance aéronautique et désormais intégrée au conglomérat semi-public EDGE Group, en charge de l'industrie de la défense. Depuis avril 2020, le GAL est dirigé par l'ancien officier de l'armée émirienne Mohamed al-Khemairi. Il est épaulé par le consultant du groupe Rodrigo Torres, ancien vice-président de Renault et également directeur financier d'EDGE. Dans le même temps, Dassault espère une nouvelle commande de Rafale en provenance d'Inde. Emmanuel Bonne, le conseiller diplomatique d'Emmanuel Macron, s'intéresse particulièrement à cet accord indien. Alors que l'Air Marshal Vivek Ram Chaudhari, le nouveau chef de l'Indian Air Force (IAF), n'a pas ouvertement déclaré le chasseur multirôle Rafale comme candidat désigné pour le nouveau programme de chasseurs multirôles 114, il a confirmé qu'il ne cherchait pas à apporter un nouveau type d'avion de chasse de son armée de l'air. Il a fait cette annonce lors de sa première conférence de presse à New Delhi le 5 octobre. De hauts responsables de l'IAF ont maintenant admis que le ministère indien de la Défense était favorable à l'achat de 36 chasseurs Rafale supplémentaires dans le cadre d'un accord intergouvernemental (G2G) avec la France. Chaudhari aurait déjà conseillé au ministre de la Défense Rajnath Singh de soutenir l'accord, à condition que Dassault soit prêt à transférer près de 100 % de la technologie de conception et de fabrication en Inde. Pour relever ce défi industriel, le gouvernement réfléchit à une nouvelle approche. Cela impliquerait la construction de 114 combattants polyvalents via un consortium basé sur un partenariat public-privé, dans lequel le partenaire technologique étranger aurait également une participation. Cependant, rien n'est encore décidé. Le nouveau chef de l'IAF souhaite que les prochains Rafale répondent à la norme F4 de 2024. Les chasseurs IAF actuels sont de la norme F3R, avec des caractéristiques qui répondent aux exigences indiennes. Alors que le coût pour l'Inde serait plus élevé pour le F4, cela ouvrirait la voie à l'introduction de technologies de cinquième génération dans le pays. INFLUENCE SUR LE TERRAIN Pour étayer son offre, Dassault s'appuie sur nombre de généraux de l'IAF à la retraite et d'anciens diplomates devenus consultants, ainsi que sur son partenaire indien Reliance Industries, dont le promoteur Anil Ambani a des liens très étroits avec le Premier ministre Narendra Modi. - Un groupe de diplomatie d'entreprise basé à India Foundation, dirigé par Shaurya Doval, fils du conseiller à la sécurité nationale Ajit Doval. Les membres du conseil d'administration de la Fondation indienne sont des politiciens influents du BJP au pouvoir, notamment Ram Madhav, Vinay Sahasrabuddhe, Swapan Dasgupta, Jayant Sinha et Jay Panda. Ils sont également des membres influents du conseil d'administration de diplomates à la retraite, dont Amar Sinha et Preeti Saran. La première enquête (RFI) de l'IAF pour 114 chasseurs polyvalents a été envoyée aux équipementiers mondiaux en juin 2018. Les équipementiers américains Boeing et Lockheed Martin, Dassault en France, SAAB en Suède, Airbus Group en Europe, MiG en Russie et Sukhoi ont tous montré intérêt à l'époque. Cependant, pour le moment, aucun calendrier définitif n'a été fixé. "
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