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Kamelot

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Tout ce qui a été posté par Kamelot

  1. Juste pour mieux appréhender les notions de volume, employabilité et projection... https://air-cosmos.com/article/etats-unis-73-vols-d-avions-de-transport-lourds-pour-deployer-plusieurs-batteries-de-patriot-au-moyen-orient-70124 Le petit monde de la défense aérienne et de ses systèmes sol-air n'est pas épargné par les sujétions et contraintes de l'élongation géographique et des moyens à mettre en oeuvre.
  2. Kamelot

    Ici on cause fusil

    Là, il sagit de faire dans le lourd et le précis sur cible molle, à priori... Bon, la formule demande un haut niveau technique et certainement des développements complémentaires..., foi d'un ancien utilisateur ! https://www.edrmagazine.eu/sofins-2025-institute-of-saint-louis-is-working-on-a-12-7-mm-calibre-guided-sniper-bullet "L'Institut de recherche franco-allemand de Saint-Louis (ISL) fait avancer le projet d'un projectile guidé de 12,7 mm qui améliorera encore la précision des tireurs d'élite. Ce travail s'appuie sur l'expérience acquise dans plusieurs programmes de munitions guidées, allant des fusées de correction de trajectoire pour obus d'artillerie aux munitions de moyen calibre. Installer l'électronique nécessaire au guidage d'un projectile d'environ 54 mm de long et d'un diamètre maximal de 12,7 mm représente un véritable défi. Non seulement tous les éléments doivent résister à l'accélération du tir, mais les composants internes doivent également être testés individuellement lors de tirs réels. À notre connaissance, seuls les États-Unis et la Russie ont lancé un programme visant à équiper leurs tireurs d'élite de munitions guidées. Baptisé EXACTO (pour Extreme Accuracy Tasked Ordnance), l'un des projets américains lancés par la DARPA a donné lieu à quelques démonstrations en 2015, mais aucun produit ne semble avoir été développé à partir de ce projet. Quant à la munition russe, son développement a débuté lors de la démonstration d'EXACTO ; on sait peu de choses sur le sort de la munition guidée de 12,7 × 108 mm destinée à améliorer les performances des fusils russes à longue portée. La balle I-SMART (ISL Sniper Munition Actuated to Reach Target) de 12,7 mm, nom donné à cette munition à l'Institut de Recherche de Saint-Louis, est composée de cinq éléments. À la pointe de la balle se trouvent l'optique, utilisée pour la phase de guidage terminal, suivie de l'électronique de navigation, puis de l'alimentation, de l'actionnement et enfin des communications. Un capteur optique intégré à la pointe assure le guidage terminal ; mais jusqu'à présent, pour les tests, la correction de trajectoire a été calculée par une unité terrestre. Ainsi, la munition communique avec la station terrestre du tireur d'élite pendant le vol. Cette solution de communication devrait être remplacée, dans le futur, par un calcul embarqué. Les actionneurs aérodynamiques ont déjà été testés en laboratoire et en soufflerie, mais doivent encore être testés en tir réel. L'ISL vise à offrir une capacité de correction latérale considérable de 50 mètres à une portée de 2 000 mètres. Compte tenu du temps de vol d'environ trois secondes, cela augmenterait non seulement la probabilité d'impact, mais permettrait également au tireur d'atteindre une cible en mouvement, même à une vitesse transversale de 60 km/h. De plus, cette technologie permettra aux tireurs moins expérimentés d'obtenir des coups précis, augmentant ainsi leur précision avec moins de formation. Selon EDR On-Line, ISL souhaite rendre cette munition compatible avec les fusils de précision de calibre 12,7×99 mm. Aucune date n'a été communiquée pour les tests finaux, qui porteront le projet au niveau TRL5. ISL recherchera alors un partenaire industriel et transférera son expertise pour faire évoluer le démonstrateur vers le niveau produit."
  3. Kamelot

    L'Artillerie française

    https://www.opex360.com/2025/04/10/artillerie-la-dga-prevoit-de-mener-les-essais-des-potentiels-successeurs-du-lru-dici-la-mi-2026/ " Étant donné qu’une solution souveraine est privilégiée pour remplacer les neuf derniers Lance-roquettes unitaires [LRU] de l’armée de Terre, la Direction générale de l’armement [DGA] a lancé le programme FLP-T [Frappe Longue Portée – Terrestre], dans le cadre d’un « partenariat d’innovation » impliquant MBDA [associé à Safran] et ArianeGroup [allié avec Thales]. Concrètement, cette procédure vise à notifier des contrats de recherche aux industriels sollicités pour mettre au point une nouvelle capacité. Puis, les solutions jugées les plus efficaces sont retenues pour une seconde phase, dite de « développement », avant d’être de nouveau mises en concurrence. La meilleure fait ensuite l’objet d’une commande. Comme seulement deux consortiums ont été sélectionnés par la DGA, le partenariat d’innovation mis en place pour le programme FLP-T devrait, théoriquement, se concrétiser plus rapidement. D’ailleurs, lors d’une audition au Sénat, en novembre dernier, le Délégué général pour l’armement, Emmanuel Chiva, avait indiqué que si les industriels « travaillaient bien », alors les « premières commandes pourraient être lancées fin 2025 ou début 2026 ». Et d’ajouter : « Pourquoi pas plus tôt ? Du fait de la définition des besoins, d’itérations avec l’armée de Terre, mais aussi une certaine confusion dans les demandes. Le successeur du LRU doit être souverain, nous travaillons dans ce sens ». Seulement, ce délai ne sera vraisemblablement pas tenu. En effet, selon des informations de Defense News, qui a sollicité la DGA, les tirs de démonstration effectués par les systèmes développés par les industriels concernés devraient avoir lieu « dans un an » au plus tôt. Soit d’ici la mi-2026. Pour le moment, seul le tandem MBDA / Safran a communiqué sur la solution qu’il est en train de développer, en dévoilant la maquette d’un lance-roquettes multiples appelé « Thundart », à l’occasion de l’édition 2024 du salon aéroterrestre EuroSatory. « Forts de notre connaissance en matière de propulsion, nous avons été sollicités pour travailler au remplacement de lance-roquettes unitaires, sujet sur lequel nous travaillons avec Thales », a simplement indiqué Martin Sion, le PDG d’ArianeGroup, lors d’une récente audition au Sénat. De son côté, interrogé par Defense News, Thales a indiqué être « pleinement mobilisé » aux cotés d’ArianeGroup pour « proposer un système d’appui-feu souverain capable de traiter des cibles de grande valeur ». Sauf que le LRU arrivera au bout de son potentiel en 2027. Fin novembre, le général Pierre Schill, le chef d’état-major de l’armée de Terre, s’était fait une raison, en estimant « nécessaire » de prolonger les LRU « puisqu’ils ne seront pas remplacés à court terme ». Et cela n’ira pas sans poser un immense défi aux maintenanciers de l’armée de Terre étant donné que ce type d’équipement n’est plus soutenu par l’industriel américain qui l’a conçu. Récemment, le détachement de Tulle de la 13e Base de soutien du matériel [BSMAT] a effectué plus de 120 heures de travail [dont 100 heures de recherches, faute de disposer d’une documentation en français] pour réparer la boîte de vitesses HMPT-500E d’un LRU." Cela étant, la possibilité d’un achat sur « étagère » n’est pas totalement exclu. Dans son dernier avis budgétaire sur le programme 178 « Emploi et préparation des forces – Terre », la députée Isabelle Santiago avait précisé que des « travaux étaient menés en parallèle pour étudier le recours à une solution étrangère » dans le cas où le programme FLP-T prendrait trop de retard
  4. Kamelot

    Ici on cause MBT ....

    En parlant de niveau... https://www.facebook.com/share/v/19Gg6Rwzy5/ Sans un APS réellement volumétrique et une sérieuse défense antidrones multicouches, la durée de vie d'un char de bataille est "limitée". Artillerie, mines, aménagements défensifs et effecteurs cinétiques rapides sont, aussi, autant de menaces.
  5. Les prémices d'un "nouveau" calibre pour jouer les trublions ? https://www.opex360.com/2025/04/05/gendarmerie-le-gign-sassocie-a-swiss-p-defence-pour-developper-une-cartouche-de-type-65-mm-grendel/ https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Grendel_6,5_mm
  6. Vers des drones porteurs de bombes planantes ? Ce concept peut se retrouver avec d'autres vecteurs comme les RC et autres engins "cargos"... https://www.edrmagazine.eu/sofins-2025-hitting-precisely-at-50-km-with-a-50kg-ordnance-and-at-low-cost-the-igb-50-stealth-glide-bomb-by-the-french-german-research-institute-of-saint-louis SOFINS 2025 – Frapper précisément à 50 km avec une munition de 50 kg et à faible coût : la bombe planante furtive IGB 50 de l'Institut de recherche franco-allemand de Saint-Louis Effectuer une frappe de précision à 50 km de portée est généralement l'affaire de roquettes d'artillerie guidées ou d'obus d'artillerie de 155 mm spécifiquement guidés. Si leurs capacités de frappe de précision ont un coût considérable, elles ne permettent pas de traquer des cibles en mouvement. L'Institut de recherche franco-allemand de Saint-Louis (ISL) a développé une bombe planante répondant à ce besoin, notamment pour l'armement des drones. Grâce à l'altitude de vol de la plateforme et au taux de plané de la bombe, il est possible de larguer l'engin létal à distance sans avoir à le lancer à grande vitesse et avec des accélérations extrêmement élevées depuis le tube du canon. Exploitant ce concept, ISL a développé l'IGB 50 (ISL Glide Bomb), 50 étant la masse de l'arme en kilogrammes. L'objectif était d'obtenir sur une cible un effet létal similaire à celui d'un obus d'artillerie de 155 mm dans un CEP très réduit, inférieur à 1 mètre. Pour les scientifiques et ingénieurs de l'ISL impliqués dans le développement de l'IGB 50, le coût du système, une fois produit, devrait être comparable à celui d'un obus d'artillerie assisté par roquette et muni d'une fusée à correction de trajectoire. L'IGB 50 possède un fuselage aérodynamique avec des ailes en flèche dépliables et un empennage cruciforme. Sa forme, en matériau composite, permet non seulement une finesse supérieure à 5:1, mais aussi une réduction de la surface radar vue de dessous et de face. Outre sa grande autonomie et sa furtivité, l'IGB 50 atteint rapidement sa cible, atteignant des vitesses allant jusqu'à Mach 0,5. Le connecteur situé sur le dessus du fuselage permet à la bombe planante de recevoir les données de la grille cible de la plateforme porteuse, qui peut facilement être un drone tactique d'une capacité de charge utile de 50 à 60 kg, compte tenu de la masse de l'armement. La navigation initiale s'effectue selon le guidage GNSS ; pour accroître la résistance au brouillage et à la mystification, ISL a adopté une antenne à diagramme de rayonnement contrôlé (CRPA) spécialement développée. Celle-ci s'adapte dynamiquement aux signaux de brouillage ou de mystification en formant des points nuls dans la direction de l'interférence, limitant ainsi les effets néfastes des systèmes de navigation ennemis au sol. Une plateforme inertielle fait bien sûr partie du système de navigation et remplace les entrées GNSS en cas d'indisponibilité de celles-ci. ISL a également intégré une intelligence artificielle (IA) embarquée. Le guidage terminal est basé sur des images, un capteur optique étant visible à l'avant. EDR On-Line a compris que les algorithmes d'IA intégrés au logiciel de guidage terminal permettent à l'IGB 50 de trouver sa cible même si elle s'est éloignée de ses coordonnées d'origine ou effectue des manœuvres d'évitement. Les actionneurs de queue cruciformes ne servent pas seulement à diriger la bombe vers sa cible ; l'IGB 50 peut également être chargé d'attaquer la cible depuis n'importe quelle direction préférée, en évitant les obstacles qui l'entourent, l'angle d'attaque étant également variable, de l'attaque latérale à l'attaque supérieure, cette dernière option étant visible dans la vidéo suivante. EDR On-Line a appris qu'ISL travaillait avec une entreprise européenne sur l'industrialisation d'une version encore plus petite de la bombe planante. Les travaux sur le projet IGB 50 se poursuivent chez ISL, avec pour objectif d'ajouter des capacités supplémentaires, telles que l'engagement de cibles à un moment précis et l'attaque en essaim.
  7. Vouloir un Serval avec 4 portes et un plateau reviendrait à concevoir une nouvelle caisse, voire un nouvel engin pour respecter les équilibres techniques en fonction de la masse... Pour compléter la critique, le Serval n'a pas été conçu, semble-t-il, pour porter une tourelle. Il y a le Sherpa Light avec sa version Scout... en plus léger et une protection inférieure.
  8. De la MTO AP/AV au système de systèmes... Du "SCAF" pour aéro-terrestre ! https://www.forcesoperations.com/chez-mbda-une-famille-akeron-elargie-aux-munitions-teleoperees/ Extraits : "la MTO deviendra à terme un élément d’un scénario complexe visant, par exemple, à saturer la défense sol-air adverse. Qu’importe sa taille, la meute sera hétérogène pour MBDA. Selon la mission et l’adversaire, elle sera composée de MTO armées ou inertes, de leurres, de drones de guerre électronique, de relais de transmission, etc. L’intelligence artificielle y aura un rôle à jouer pour garantir la meilleure coordination mais aussi pour faire de la détection-reconnaissance-identification (DRI) automatique, des briques pour lesquelles MBDA pourra miser sur sa start-up NEODE Systems créée en 2024." "Si l’Akeron RCX 50 n’a pas été retenue pour l’appel d’offres « MTO CP » lancé l’an dernier par la Direction générale de l’armement, « nous avons décidé au dernier trimestre 2024 de faire un gros effort de financement pour finir le développement ». Ce jalon sera atteint d’ici la fin de l’année, moment également choisi pour préparer l’entrée en production. Des premières livraisons seront envisageables en 2026. Après les tests, la RCH 170 devrait à son tour entrer en production l’an prochain. MBDA a d’emblée pris en compte la question de la masse en s’appuyant sur l’intégration la plus simple possible des différents composants. Une démarche engagée dès Colibri et Larinae et facilitée par la récupération d’un maximum de briques disponibles en interne, à l’exemple du calculateur et des charges hérités des missiles Akeron." "À l’autre bout du spectre, le sujet des MTO longue portée « bouge beaucoup depuis janvier ». L’émission d’une demande d’information est désormais pressentie par la filière industrielle, cette fois pour des munitions capables d’atteindre une cible à plusieurs centaines de km." Les feux dans la grande profondeur ne sont pas réservés qu'aux moyens classiques de l'Artillerie (roquette guidée, missile pseudo-balistique, MdCT, RC...), les drones s'y ajouteront avec des temps d'action et des tactiques différents.
  9. Kamelot

    Remplacement des alphajet?

    Oui, à la base bien sûr..., mais qu'en sera-t-il demain avec les drones, les IA et les pilotes gestionnaires de systèmes ? Le contexte et nos moyens financiers auront, peut-être et aussi, des priorités à gérer. Sous un trait humoristique, j'écorne un tantinet l'image de la PAF. J'avoue, malgré le respect qu'il faut avoir pour le professionnalisme de cette composante ! À noter qu'il existe d'autres patrouilles et démonstrateurs d'excellence portant nos couleurs. Le monde évolue, en attendant mieux il s'agit de conserver les Gadget en état. Les remplacer ne sera pas chose aisée sur le fond comme sur la forme, tout en intégrant l'Histoire de la PAF ; ses hommes et matériels
  10. (En Francais c'est plus simple) SOFINS 2025 – Fly-R détaille son drone R2-120 Raijin, la base de la munition de vol stationnaire MBDA Diamond Shaped https://www.edrmagazine.eu/sofins-2025-fly-r-details-its-r2-120-raijin-uav-the-base-for-the-mbda-diamond-shaped-loitering-munition Présentée pour la première fois à l'IDEX 2025, la munition de vol stationnaire MBDA Diamond Shaped a été développée en partenariat avec Fly-R, l'entreprise réunionnaise spécialisée dans les drones à ailes rhomboïdales. SOFINS a été l'occasion de rencontrer les représentants de l'entreprise et d'obtenir plus de détails sur la cellule utilisée dans ce produit MBDA. Il y a deux ans, lors du salon SOFINS 2023, Fly-R dévoilait ses produits et recevait le premier prix de l'innovation, remis par Mme Florence Parly, ancienne ministre française de la Défense, à M. Rémi Albert, PDG de l'entreprise. « Ce prix a été déterminant pour ouvrir de nombreuses opportunités à notre entreprise », a-t-il déclaré à EDR On-Line, dont le stand présentait fièrement la maquette du R2-120 Raijin, celui utilisé pour développer la nouvelle munition rôdeuse en partenariat avec MBDA. Le fuselage du R2-120 Raijin est de section carrée et équipé d'une aile rhomboïdale repliable brevetée, permettant son lancement depuis un tube. Tous les autres produits Flyr-R, également équipés d'ailes rhomboïdales, sont fixes, ce qui simplifie la phase de conception. La plupart des données étaient déjà présentées dans l' article de SOFINS 2023. Cependant, le PDG de l'entreprise a détaillé un peu plus en détail l'un des éléments clés du R1-120 Raijin : le mécanisme breveté de déploiement des ailes. La cellule est équipée de deux paires de demi-ailes, l'une articulée sur la partie inférieure avant du fuselage et l'autre sur sa partie supérieure arrière. L'aile inférieure se replie vers l'arrière tandis que l'aile supérieure se replie vers l'avant. Le déploiement des ailes suit une séquence spécifique : les ailes inférieures, qui à leur extrémité portent le stabilisateur vertical, se déploient plus tôt, l'extrémité supérieure des ailes engageant les stabilisateurs formant une structure fermée, tandis que l'extrémité supérieure de l'aile s'engageant dans une fente du stabilisateur vertical. « C'est ce qui permet à notre R2-120 Raijin de ne présenter aucun flottement à haute vitesse », a déclaré le PDG à EDR On-Line, ce qui garantit une stabilité de vol maximale, notamment à haute vitesse. La phase la plus critique est la transition, et Fly-R a effectué plusieurs essais en soufflerie de l'ONERA pour surmonter tous les problèmes. Selon Fly-R, aucun autre système de cette catégorie n'offre la même maniabilité à grande vitesse et la même répartition entre vitesse minimale et maximale. « Le R2-120 Raijin est quasiment qualifié », a déclaré Remi Albert à EDR On-Line. Un panneau présentant les autres produits de l'île de la Réunion, tous dotés d'une aile rhomboïdale, le numéro indiquant l'envergure de la cellule, était visible sur le stand Fly-R. Une bonne occasion de comprendre à quel stade de développement se trouvent ces systèmes. Deux cellules plus grandes que le R2-120 Raijin sont également conçues pour l'attaque : le R2-150 et le R2-240. Le premier est propulsé par un moteur électrique, a une masse au décollage de 15 kg, une envergure de 1,5 mètre et est entièrement qualifié. La principale différence avec le R2-120 Raijin réside dans sa voilure fixe, ce qui simplifie considérablement la conception et les essais. Le R2-240 est équipé d'un moteur hybride, a une masse au décollage de 60 kg, une envergure de 2,4 mètres et est actuellement au stade de prototype. Le R2-HSTD, acronyme de High-Speed Target Drone, pèse 90 kg et a une envergure de 2,4 mètres. Il est propulsé par un turboréacteur et peut atteindre Mach 0,65 en vol pendant une heure jusqu'à une portée de 60 km. En tête de liste, on trouve le R2-600, un système hybride rhomboïdal sans pilote de moyenne altitude et longue endurance (MALE) d'une envergure de 6,1 mètres. Il est propulsé par deux moteurs électriques à hélices propulsives situés latéralement à l'arrière du fuselage, la boîte à air supérieure assurant l'admission du moteur servant à recharger les batteries. Sa vitesse de décollage sera de 97 nœuds et il nécessitera une piste de 500 mètres de long pour le décollage et l'atterrissage. Sa vitesse de croisière sera de 145 nœuds pour une autonomie de 25 heures, tandis que sa vitesse maximale sera de 270 nœuds. Sa masse au décollage sera de 1 600 kg, dont 600 kg de charge utile. Actuellement, le R2-600 n'est encore que sur les écrans d'ordinateur, « mais sa conception est à un stade très avancé », conclut M. Remi Albert." (Il me semble bien que MBDA avait, à l'époque, déposé un brevet sur l'aile rhomboïdale pour équiper les bombes stand-off avec un kit... Depuis, la technique est utilisée, comme sur la SDB.)
  11. (En Francais c'est plus simple) Sujet pouvant se retrouver avec la défense multicouches et les moyens aéro-terrestres... https://www.edrmagazine.eu/sofins-2025-drones-killing-drones-the-asterodyn-hawai-tech-solution Des drones tuant des drones, la solution Asterodyn/Hawai Tec Dans les espaces SOFLAB et SOFTECH, où les start-ups présentaient leurs systèmes, les visiteurs de SOFINS 2025 ont pu découvrir de nombreux développements innovants. Parmi eux, deux entreprises, Asterodyn et Hawai Tech, unissent leurs compétences pour développer un drone dont la mission sera de détruire son homologue. La première exploite son expertise en matière de drones à grande vitesse conçus pour la réalisation de vidéos, les adaptant à ce nouveau rôle grâce à leur vitesse et leur maniabilité optimales, tandis que la seconde fournit le logiciel de planification et d'exécution de la mission. Les drones Asterodyn sont constitués d'un corps central contenant les batteries et l'électronique, et de quatre bras en saillie, disposés en X à 90°, supportant les moteurs et les hélices. Une gamme complète de drones de ce type est disponible. Un système simple permet de les identifier : le premier chiffre, composé d'un ou deux chiffres, correspond au diamètre de l'hélice en pouces, tandis que le second indique le nombre de moteurs, correspondant à celui des hélices. Ainsi, le plus petit, le 54, est équipé d'hélices de 5 pouces et de quatre moteurs, tandis que le plus grand, le 128, est équipé de huit moteurs et du même nombre d'hélices de 12 pouces. La structure est en grande partie en fibre de carbone. Dans ce dernier cas, chaque bras est équipé de deux moteurs, un avant et un arrière, contrarotatifs. EDR On-Line a compris que la vitesse de rotation pouvait être ajustée, générant ainsi un couple permettant de manœuvrer le drone. Une grande maniabilité est essentielle pour suivre un objet volant à des fins vidéo, ainsi que pour intercepter un drone ennemi et l'éliminer d'un tir direct Le 128 est celui sélectionné pour la mission anti-drone ; sa masse au décollage est d'environ 2 kg, son autonomie de 20 km et sa vitesse de pointe de 300 km/h en seulement 1,4 seconde permettent de remporter même les engagements de dernière minute. EDR On-Line a compris que l'approche s'effectue généralement à une vitesse plus faible, généralement autour de 150 km/h, la vitesse maximale étant atteinte lors de la phase d'attaque finale, où la vitesse maximale peut atteindre 400 km/h. Selon la situation, l'attaque peut être menée par l'arrière, le côté ou l'avant. En septembre 2024, une première démonstration a été organisée par Asterodyn, puis en janvier 2025, le 128 a été utilisé comme système de vision à la première personne. L'opérateur était équipé de lunettes de réalité virtuelle pour piloter le drone et visualiser la scène capturée par la caméra embarquée. La prochaine étape sera franchie à l'été 2025, lorsque le drone sera utilisé pour attaquer un adversaire de manière autonome. C'est là qu'intervient Hawai Tech. Lors du SOFINS 2025, il a été possible d'observer sur écran la phase de planification et d'exécution d'une mission de reconnaissance menée par deux drones. Le système permet de replanifier l'opération de manière autonome grâce à des algorithmes d'intelligence artificielle (IA). Ce système permettra également d'optimiser la mission d'attaque au sol dans le rôle antidrone. Le « cerveau » du drone exploitera les informations des capteurs optroniques pour localiser et valider la cible. Un opérateur sera toujours présent pour confirmer la cible et donner le feu vert à l'attaque, puis la suivre et la détruire. Les drones Asterodyn peuvent être lancés depuis un hélicoptère ; fournir une couche défensive autour de la plate-forme volante principale pourrait bien devenir un autre rôle pour ce type de drone, un officier supérieur des forces spéciales françaises ayant déclaré, lors de la cérémonie d'ouverture du SOFINS , qu'à l'avenir les hélicoptères pourraient bien être « escortés » par des systèmes sans pilote peu coûteux, ce qui augmenterait systématiquement la capacité de survie de la plate-forme principale à voilure tournante.
  12. Kamelot

    Remplacement des alphajet?

    Et si l'avenir de la PAF était les drones ? Après tout il existe déjà des spectacles scéniques avec moult engins... Concomitamment avec la PAF, il va falloir, peut-être, songer à l'avenir de la formation des pilotes de l'aviation embarquée. Entre les appontages virtuels, les catapultages simulés et les systèmes automatiques US, quid du tour de main en manuel ?
  13. Complément d'informations sur les deux drones Akeron : https://www.edrmagazine.eu/sofins-2025-mbda-france-the-akeron-family-grows-with-two-loitering-munitions Ainsi que le Toutatis de Thales : https://www.edrmagazine.eu/sofins-2025-thales-unveils-new-details-on-its-toutatis-loitering-munition
  14. Kamelot

    Défense sol-air multicouches

    C'est une autre façon de voir les choses et de manière répartie, sans véhicule d'allègement en fonction de l'emport, pour la vie dans la "verte". La DAL et la LAD réclament des moyens de détection différents avec des effecteurs qui le sont tout autant. Un hélicoptère, un avion tactique de front, un MdC, un RC, les drones et MTO de tous types ont leurs sujétions propres en TBA. Tactiquement, il est fait usage d'un maillage avec des éléments collaboratifs qui peuvent toutefois rester autonomes. La bulle de détection est très souvent plus importante que celle des enveloppes de tir des effecteurs. Tout rassembler sur un même point n'est pas forcément optimum et moins coûteux,sans aborder les problématiques de la permanence et la résilience. En plus ça fait travailler KNDS...
  15. Kamelot

    Défense sol-air multicouches

    Article en libre accès jusqu'au 8 avril. https://meta-defense.fr/2025/04/06/defense-antiaerienne-europenne-2025/ De la théorie à la stratégie en passant par la tactique. Sans avoir nos propres "Iskander" ou effecteurs de longue portée, la seule défensive est illusoire et sans aborder les charges nucléaires sur les systèmes duaux. Que devra-t-on protéger : nos villes, les infrastructures, les points sensibles, les industries, les stocks, les forces et le tout par un mur défensif ou des bulles réparties ?
  16. Ça avance... dans une urgence patiente. https://www.forcesoperations.com/feu-vert-allemand-pour-la-formation-dune-societe-de-projet-mgcs/
  17. Kamelot

    Ici on cause VCI ....

    Pour faire l'affaire... https://www.opex360.com/2025/04/07/knds-france-sassocie-a-lindustriel-grec-metlen-pour-proposer-le-vbci-philoctete-a-athenes/ Il faudrait, aussi, se réconcilier avec la brouille des Meteor turcs... avec la "Foufoune" des félons Anglois. Il y a aussi les trois FDI supplémentaires envisagés. Même avec les emprunts européens ça fait beaucoup dans le contexte économique actuel.
  18. Kamelot

    Ici on cause VCI ....

    À voir avec la RMV... et sur quel budget ? Pour un usage en Estonie ou en Roumanie vers les Carpates un chenillé pas trop lourd serait plus adapté en saison hivernale.
  19. Et MBDA qui n'est pas en reste... https://air-cosmos.com/article/munitions-teleoperees-mbda-en-ordre-de-marche-pour-demarrer-la-production-70111 " Munitions téléopérées : MBDA en ordre de marche pour démarrer la production La production de l'Akeron RCX50 issue du développement Colibri va commencer en fin d'année pour des livraisons en 2026, comme pour l'Akeron RCH170 plus endurante et létale. Le missilier a aussi une troisième carte avec une MTO rapide, la Diamond Shaped, en développement pour un prospect du Moyen-Orient. Munitions téléopérées : MBDA capitalise sur les briques technologiques du missile Akeron Toujours pas de contrat de série dans les munitions téléopérées, mais MBDA affirme s'en rapprocher, en capitalisant sur les briques technologiques issues du missile antichar Akeron, et des développements liés aux appels à projets de l'agence d'innovation de la défense, Colibri et Larinae. Le tout « avec « une maîtrise de l'effet global : "notre vraie valeur ajoutée réside dans la chaîne d'armement et la chaîne de guidage, assure le directeur des programme de MTO. Même après avoir perdu la bataille de la MTO à courte portée en France (gagné par KNDS et Delair), MBDA a poursuivi sur sa lancée et a réalisé un premier tir avec guidage terminal de sa RCX50 (photo) le 7 mars dernier. La performance a été réalisée à DGA Techniques terrestres à Bourges, foudroyant l'intérieur d'un Renault déclassée sans générer de dégâts alentour. RCX50 avec Novadem et RCH170 avec Delair Développé avec Novadem, la RCX50 de 2 kg vole jusqu'à une heure, avec une liaison de données éprouvée jusqu'à 10 km. Elle traite prioritairement les véhicules et blindés légers, avec une gamme de prix de « quelques dizaines de milliers d'euros » explique MBDA. La production doit commencer en décembre, pour des livraisons en 2026. RCX50 avec Novadem Développé avec Novadem, la RCX50 de 2 kg vole jusqu'à une heure, avec une liaison de données éprouvée jusqu'à 10 km. Elle traite prioritairement les véhicules et blindés légers, avec une gamme de prix de « quelques dizaines de milliers d'euros » explique MBDA. La production doit commencer en décembre, pour des livraisons en 2026. RCH170 avec Delair La RCH170 de 18 kg développée avec Delair bénéficie elle aussi d'un traitement d'image issu du missile Akeron, et vise les 70 km de portée (50 km déjà vérifiés) avec une heure d'autonomie. Le premier vol avec guidage terminal est attendu « dans les semaines qui viennent ». C'est plus obscur pour un contrat de série en France, puisque la compétition n'est en fait toujours pas lancée. MBDA assure néanmoins être capable d'entrer en production en 2026. La munition sera capable de fonctionner en meute, avec une coordination possible de drones et de MTO depuis la station-sol, avec « pourquoi pas à l'avenir des communication directe entre le drone et la munition téléopérée, et une coopération avec un missile ». Le lancement pourrait se faire depuis un lanceur multi-engins (mêlant missiles et MTO), mais aussi un lanceur dédié, une rampe, et même un aéronef. Et la Diamond Shaped La Diamond Shaped -aussi connue sous le nom de Raijin; sera plus rapide, de la classe des 300 km/h, pour une masse réduite de 6 kg et une endurance de 40 minutes. Le projet est étudié avec le droniste Fly-R pour une armée du Moyen-Orient, mais là aussi sans contrat de série pour l'heure. MBDA évoque une production locale, sans doute dans le cadre d'une joint venture, avec une capacité à produire dans les deux ans." https://www.edrmagazine.eu/idex-2025-mbda-cooperation-with-a-uae-partner-generates-a-diamond-shaped-loitering-munition
  20. Et le drone de Milton pour un autre emploi polyvalent: http://www.paxaquitania.fr/2025/04/sofins-2025-milton-devoile-son-drone.html?m=1 EXTRAITS: "Le droniste bordelais MILTON, racheté et intégré au groupe Etienne Lacroix depuis l'automne 2023, présentait au salon SOFINS la dernier né de sa gamme de drones tactiques, le Sky Watcher. Voulu aussi polyvalent que modulaire, le système prouve que la filière française est enfin en mesure de répondre aux besoins d'un marché bouleversé depuis la guerre en Ukraine.." "Projet dévoilé, mais pas vraiment montré (phase de prototypage) à Eurosatory en juin 2024, le mini-drone Sky Watcher de Milton a été présenté au salon des forces spéciales SOFINS 2025, début avril. Il s'agit du troisième drone tactique pour la PME bordelaise d'une trentaine de salariés -dont 15 ingénieurs- qui a été rachetée en 2023 par le groupe de défense Etienne Lacroix." "Niveau emport justement, c'est sa modularité qui doit faire sa force en termes de charges utiles tactiques : boule optronique (le catalogue est varié), charge ROEM (renseignement d'origine électromagnétique), et le fameux DLC, un dispositif de libération de cartouches capable de délivrer différents types de grenades de 40 ou 56mm, fumigènes, incapacitantes, ou même si besoin, potentiellement létales..." La BITD française commence à développer une game complète, du plus petit au plus gros, avec une concurrence et complémentarité intéressantes Reste à obtenir un carnet de commande conséquent pour équiper nos forces.
  21. Par TOUTATIS !... Un engin évolutif pour un usage multiple terre, air et mer. https://www.forcesoperations.com/demonstration-et-production-a-lhorizon-pour-la-munition-teleoperee-toutatis/ "L’entrée en production approche pour la munition téléopérée TOUTATIS de Thales, objet en parallèle d’une démonstration majeure au profit des clients potentiel programmée pour fin 2025. Une démonstration de maturité « Nous arrivons en fin de développement de la TOUTATIS Mk 1. Je pense que nous arrivons à un certain niveau de maturité », estime Gilles Labit directeur du département Systèmes de drones militaires au sein du groupe Thales. Les principales performances de cette MTO courte portée sont connues : 45 minutes d’autonomie, une vitesse d’attaque de 150 km/h et un rayon d’action de 10 km. Une version « extended range » est sur les rails, ne manque que la liaison de donnée adéquate pour disposer d’une MTO dont la motorisation est déjà calibrée pour opérer jusqu’à 40 km. Sous son « capot », une tête militaire de la nouvelle gamme « BlueSliver » à choisir selon la mission et la menace. À fragmentation ou à charge creuse, cette charge de 1 kg s’installe de manière « plug and play » en amont du lancement. Après plusieurs centaines de vols, il s’agit désormais de réaliser une démonstration complète englobant tout le panel d’actions tels que « de la maraude, de la désignation et du traitement d’objectif ». Programmé en fin d’année devant un panel d’utilisateurs potentiels, le rendez-vous sera l’aboutissement d’un projet financé sur fonds propres et dévoilé il y a moins de 24 mois. De quoi également démontrer les dernières évolutions, dont une liaison de données chiffrée « très utilisée » et un nez remanié pour optimiser la place des capteurs, gagner en volume interne et affiner un guidage terminal reposant sur les optiques jour/nuit embarquées. Lancer la production en parallèle aux évolutions Surtout, Thales lancera avant la fin de l’année la production d’une petite série de plusieurs dizaines d’exemplaires de cette version Mk 1. Un lot initial que Thales envisage de mettre dans les mains d’armées françaises en plein rattrapage sur le sujet. « L’objectif est de montrer comment nous pouvons travailler avec cette MTO, quel est le concept d’emploi opérationnel. Ce qui n’est pas forcément simple avec des solutions assez neuves, notamment en France ». Derrière les discussions pour déterminer dans quel cadre contractuel inscrire cette démarche, l’industriel réfléchit dès maintenant à la problématique de la production « en très grande série ». « Nous travaillons avec des industriels français sur le sujet », nous explique-t-on. À quand une TOUTATIS Mk 2 ? Plutôt vers 2026-2027. Elle ajoutera plusieurs atouts, dont une brique d’intelligence artificielle visant à améliorer la reconnaissance d’objectif tout en renforçant la capacité à naviguer en déni de GNSS. Hormis l’emport à dos de combattant et le lancement à la main, Thales travaille aussi sur l’intégration sur plateformes terrestres, aériennes et navales. En témoigne ce double lanceur monté sur un 4×4 Grizzly d’Arquus à l’occasion du SOFINS." (Sur 4x4 Grizzly) "« Nous travaillons également sur une intégration dans les paniers à roquettes pour venir équiper les hélicoptères », relève Gilles Labit. Et Thales étend la réflexion à ce point essentiel qu’est l’amélioration de la protection des bâtiments notamment face aux menaces de surface manoeuvrantes et de petite taille. Quant au « drone lanceur de MTO », « il y a aujourd’hui un vrai travail sur la maturité pour lequel nous avançons avec un grand industriel »."
  22. Kamelot

    L'armée de Terre Française

    La solde est aussi une des sujétions de la Réserve : https://www.opex360.com/2025/04/06/le-delai-moyen-de-paiement-des-soldes-dues-aux-reservistes-operationnels-a-ete-reduit-a-71-jours/ Il en est ainsi du différentiel qui peut exister entre les émoluments de l'activité civile et la solde de la Réserve. Bon, quand on aime...
  23. Après le casque de Dark Vador, le pistolet laser ? https://www.edrmagazine.eu/sofins-2025-cilas-helma-lp-a-portable-laser-weapon-against-static-targets Considérant les effets, la masse et l'encombrement de cette arme : elle sera d'un emploi spécial, mais nous en sommes au début.
  24. Pegase et Grizzly pour les FS : https://www.forcesoperations.com/les-premiers-pegase-et-grizzly-de-serie-livres-aux-forces-francaises/ "Six PLFS Grizzly au standard 2 et un premier VLFS Pégase sont maintenant sortis de la chaîne d’assemblage limougeaude d’Arquus. Ce dernier prévoit de livrer 50 exemplaires du premier et 40 du second en 2025. Deux objectifs dépassant les cibles inscrites dans le projet de loi de finances, fixées à 30 Pégase et 28 Grizzly. Le rythme devrait ensuite se maintenir pour parvenir aux 206 Pégase et 151 Grizzly livrés en fin de loi de programmation militaire. Plusieurs versions du Grizzly sont prévues, l’une portant sur un « atelier mobile » reprenant la logique de l’élément léger d’intervention..." La suite dans l'article.
  25. Un article, toujours de bon ton, de Mars-Attaque : https://mars-attaque.blogspot.com/2025/04/quelques-remarques-non-exhaustives-de.html?m=1 "Quelques remarques (non exhaustives) de retour du salon SOFINS Si les forces spéciales sont bien spéciales, elles servent d'éclaireurs sur un certain nombre de sujets, et un événement comme le salon SOFINS permet de voir certaines tendances (non exhaustives) finalement assez transverses..." La suite dans l'article !
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