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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Il est passé où l'hélico sur la dernière photo ?
  2. Un Collègue m'a envoyé ca : Echanges par mails avec Westinghouse et EDF pour le développement du nucléaire a Borsele EDF C'est page 82/110 si ca vous intéresse ... https://www.documentcloud.org/documents/24237526-bundel-woo-rondleidingen-borsele#document/p58/a2418262
  3. Naval Group dévoile son futur site varois de La Londe dédié aux drones et armes sous-marines https://www.meretmarine.com/fr/defense/naval-group-devoile-son-futur-site-varois-de-la-londe-dedie-aux-drones-et-armes-sous-marines 550 collaborateurs de Naval Group Superficie de 17.000 m². Lancement des travaux début 2026 et une mise en service d’ici la fin 2027. « Il sera constitué d’un centre de R&D, d’ingénierie, de prototypage, d’intégration des drones et armes sous-marines ainsi que d’un centre d’essai avec accès direct à la mer » "Le nouveau site de Naval Group accueillera les équipes (environ 300 salariés) et moyens industriels du site de Saint-Tropez, qui sera fermé quand son successeur sera opérationnel." Drones / Systèmes autonomes / Armes sous-marines Torpilles légères MU90 / Torpilles lourdes F21 / Systèmes de leurres anti-torpilles (dont les munitions Canto de nouvelle génération)
  4. Titus K

    Boeing

    Le premier témoignage commence à 20 minutes
  5. "He considered that going elsewhere, to the French for example, was likely to be problematic. The USN might be concerned for permeability believing that an extended “family” including themselves, ourselves, the French and France’s other international customers would introduce just too many potential leakage paths for closely held information to be safe." ... "Costs. Assuming that one or other of our allies would be prepared to sell us such boats, how would costs probably compare with the local production of the proposed conventional boats? Admirals Wood and Holthouse had already given some rough costs of US submarines. The cost of a British Astute submarine (which does not have to be refuelled in its entire life and therefore considerably reduces running costs and increases operational availability) built in Britain has been quoted at about £1.2 billion. At present exchange rates this is about $A2 billion Australian dollars. Costs would seem to be similar for US boats built in the USA. The only known rough estimate of our proposed 12 future conventional submarines is $36 billion – about 3 billion each. Allowing for hidden costs, infrastructure etc the costs involved for conventional built here and nuclear built overseas would probably compare." + 350 Milliards de Dollars plus tard ...
  6. Fonctionnement Le budget annuel moyen pour la durée de vie est de 692,7 millions d'euros. Les coûts d'exploitation annuels moyens sont estimés à 690,3 millions d'euros. La comparaison entre le budget de la durée de vie et l'estimation se traduit par une différence moyenne de 2,4 millions d'euros par an sur le budget d'exploitation. Cela stabilise l'image selon laquelle les estimations sont conformes au budget. Cependant, comme expliqué au chapitre 7 "Risques", il existe toujours un risque que certains coûts de fonctionnement augmentent dans les années à venir. Par conséquent, le budget n'est pas ajusté pour l'instant. Le budget d'exploitation annuel moyen pour la période budgétaire 2024-2029 est de 667,5 millions d'euros. Le coût d'exploitation annuel moyen estimé pour la période 2024-2029 est de 629,4 millions d'euros. La différence (38,1 millions d'euros par an en moyenne) s'explique par le fait que la Défense n'ajuste la fourchette opérationnelle delta aux coûts estimés qu'après la mise à jour du modèle de coût du cycle de vie. Dans le passé, cette série d'opérations delta a été poussée jusqu'à la période budgétaire pour couvrir les déficits attendus. Sur la base de la mise à jour annuelle, la Défense ajustera chaque année la série opérationnelle delta afin que le budget total de la période budgétaire corresponde aux coûts estimés. Ceci doit être considéré par rapport à la différence entre l'estimation et le budget sur l'ensemble du cycle de vie, où l'excédent attendu est moindre. Le rééchelonnement de l'opération delta permet de couvrir les déficits prévus pour les années ultérieures. Élaboration du budget d'exploitation La phase opérationnelle néerlandaise du F-35 a débuté en 2019. Le budget d'exploitation annuel moyen pour la durée de vie du F-35 est de 692,7 millions d'euros (niveau de prix 2023). Le budget d'exploitation annuel moyen est ajusté chaque année pour tenir compte de l'évolution des salaires et des prix, ainsi que des fluctuations monétaires. Au total, le budget d'exploitation annuel moyen a augmenté de 23,7 millions d'euros (niveau de prix 2023) sur l'ensemble de sa durée de vie. Cette augmentation est la somme d'une augmentation due aux corrections de change, aux ajustements de prix et de salaires et d'une diminution due au transfert du budget opérationnel vers le programme "F-35 Further Development". Notes pour l'estimation des coûts de fonctionnement Le tableau 10, colonne B, montre que l'effet de tous les effets exogènes (ajustements du niveau des prix, ajustement monétaire, augmentation des salaires, sommes médianes et coûts intégraux du personnel) se traduit par une augmentation de l'estimation opérationnelle annuelle moyenne de 65,8 millions d'euros par rapport à 2023. Il s'agit de l'effet des ajustements de salaires et de prix et d'un taux de change du dollar planifié moins favorable. Comme expliqué, la Défense est compensée pour ces développements, ce qui se reflète dans l'augmentation du budget de fonctionnement. La colonne E montre que le budget de fonctionnement intégral moyen par an, exprimé au niveau des prix de 2023, diminue de 37,7 millions d'euros par rapport à l'année dernière. Ces dernières années, la Défense a signalé à plusieurs reprises dans ses rapports d'avancement que les estimations opérationnelles étaient enrichies d'informations basées sur la réalisation. La Défense, en coopération avec TNO, a commencé à le faire en 2021 et a comparé les estimations du modèle LCC des années précédentes avec les données de réalisation de ces années. Cette analyse a été répétée cette année et complétée par des données supplémentaires. Il en est ressorti que l'estimation du modèle LCC concernant les postes de coûts variables, basée sur les données du JPO et le nombre maximum d'heures de vol planifiées, était souvent (beaucoup) plus élevée que la réalisation effective de ces postes. Sur la base de cette constatation, il a été décidé d'ajuster à la baisse plusieurs postes variables dans l'estimation du JPO. Comme l'année sur laquelle cet exercice peut être réalisé est encore limitée, un pourcentage prudent de 10 % a été utilisé. Dans les années à venir, la compréhension du rapport entre l'estimation et la réalisation sera encore élargie afin de donner une image aussi réaliste que possible des coûts attendus. L'impact de cette décision est indiqué dans la colonne F. Si les estimations du JEA avaient été maintenues, l'estimation opérationnelle annuelle moyenne pour 52 avions (colonne E) aurait été supérieure de 29,2 millions d'euros. Les différences dans l'estimation avec une déviation de 10 pour cent ou plus ou une cause spéciale sont expliquées plus en détail par poste : Frais de personnel Air Combat Command L'estimation la plus récente de ce poste montre une augmentation par rapport au montant estimé l'année dernière. Suite à l'acquisition d'un total de 15 avions supplémentaires, CLSK a élaboré des plans de réorganisation définitifs au cours de l'année écoulée, ce qui permet de mieux comprendre la répartition du nombre total d'ETP au sein du CCA par rapport aux autres unités organisationnelles. Autres frais de personnel Ce poste affiche une diminution de plus de dix pour cent. Ceci est également dû à l'élaboration des plans de réorganisation définitifs. Formation des pilotes Ce poste affiche une augmentation de plus de dix pour cent. Cela est dû à l'augmentation du nombre d'élèves que les Pays-Bas envoient en formation de pilote, ainsi qu'à l'augmentation du coût par élève. Consommation de munitions d'exercice et d'équipements d'autoprotection Basée sur les chiffres les plus récents des JEA, l'estimation actualisée de ce poste montre une augmentation par rapport à l'estimation de l'année dernière. TIC et systèmes/services d'information Ce poste affiche une augmentation de plus de dix pour cent. Depuis cette année, le JEA utilise une méthodologie pour l'estimation des mises à jour de logiciels qui se calcule sur la base d'un cycle de développement de cinq ans, alors qu'il était auparavant de dix ans. Les coûts des TIC qui faisaient partie du poste "Modifications" ont également été ajoutés à ce poste. Ces coûts montrent une légère augmentation, principalement due à un ajustement de l'allocation des coûts pour les fichiers de données de mission. Coûts de programme Le poste des coûts de programme a diminué de manière significative. La principale raison de cette diminution est que la contribution au protocole d'accord PSFD n'est plus incluse dans les estimations. Comme indiqué, les budgets liés à cette contribution ont également été transférés au programme "F-35 Further Development". Modifications/mises à niveau des aéronefs Les lignes de ce poste ont été ajoutées aux catégories Externalisation (dépôt) de la maintenance des aéronefs, des moteurs et des équipements d'essai, ainsi que des systèmes/services de TIC et de fourniture d'informations. Les autres coûts ont été transférés au programme "Doorontwikkeling F-35" et seront comptabilisés dans le cadre du programme. Ce poste est supprimé. Développement ultérieur Comme indiqué dans la lettre parlementaire "F-35 Further Development Programme", le ministère de la Défense a placé le développement ultérieur du F-35 dans un programme distinct. Les estimations pour ces éléments, tels que la contribution néerlandaise au développement de nouvelles capacités (Follow-on Development) conformément aux accords du PSFD MoU et l'acquisition, l'installation et l'intégration de ces nouvelles capacités (appelées Block Upgrades dans le présent rapport d'avancement), font partie du modèle de coût du cycle de vie. En tant que tels, ces coûts (et le budget sur lequel ils seront financés) sortent du cadre de ce rapport d'avancement. Le ministère de la Défense informera la Chambre, par le biais de l'aperçu des projets de défense (DPO), du programme de développement avancé du F-35 et des estimations financières qui y sont associées. Autre Estimation du développement prix unitaire moyen néerlandais nu La figure 6 et le tableau 11 montrent l'évolution du prix unitaire moyen des avions néerlandais (à l'exclusion des deux avions d'essai). Le graphique montre que le prix unitaire moyen a diminué, passant de 86,1 millions de dollars en 2013 à 69,6 millions de dollars en 2023 (niveaux de prix de 2012 dans les deux cas).
  7. Explication des estimations des coûts d'investissement Le tableau 8 montre les gains et les pertes autonomes auxquels le projet a été confronté, les estimations ayant été ajustées pour tenir compte de l'effet de l'inflation et du taux de change du dollar. La colonne B montre que l'estimation de l'investissement augmente de 218,6 millions d'euros en raison de l'inflation et des ajustements monétaires. La colonne E montre une diminution de l'estimation de 66,6 millions d'euros en comparant l'estimation de 2023 (niveau de prix de 2023) avec l'estimation de 2022 au niveau de prix actuel. Globalement, l'estimation de l'investissement (niveau de prix 2022, colonne A) augmente de 152,0 millions d'euros pour atteindre 6 849,4 millions d'euros (niveau de prix 2023, colonne D). Par rapport à l'année dernière, la réserve de risque calculée sur la base des sessions de risque guidées par TNO pour l'acquisition de 52 avions a diminué de 162,2 millions d'euros à 104,9 millions d'euros. Les différences dans l'estimation avec un écart de plus de 25 millions d'euros ou de plus de 10 % sont détaillées ci-dessous par poste. Achats d'avions Ce poste affiche une diminution de plus de 10 %. Cela s'explique par le fait que les Pays-Bas ont désormais mis les 52 avions sous contrat. Cela a permis d'avoir une meilleure idée de la valeur actuelle des contrats. En outre, l'achat des six avions TR-2, dont vous avez été informés dans le précédent rapport d'avancement, s'est avéré moins cher que prévu d'environ 10 millions d'euros. Achat d'équipements liés aux avions Ce poste affiche une augmentation de plus de 25 millions d'euros. Cela s'explique par le fait que certains besoins supplémentaires ont été satisfaits l'année dernière dans les domaines de l'équipement auxiliaire de mission et de l'informatique liée aux aéronefs (ALIS), ainsi que de l'équipement plus coûteux pour les pilotes de chasse. Achat d'outils spéciaux et d'équipements de mesure et d'essai : Ce poste diminue de plus de 10 %. Il a été constaté que dans le passé, certains coûts étaient comptabilisés deux fois. Ce n'est plus le cas. Participation à la phase d'essai opérationnel Ce poste diminue de plus de dix pour cent. Il est apparu que, par le passé, certains coûts étaient comptés deux fois. Ce n'est plus le cas. Coûts du programme et conseils en matière d'admission Ce poste diminue de plus de 25 millions d'euros. Cette diminution est due à la mise en place du nouveau programme "Forward Development F-35". Les paiements prévus au protocole d'accord PSFD pour 2024 et 2025 proviendront du programme "Forward Development F-35" et ne sont donc plus inclus dans les estimations du projet "Acquisition F-35". ... ... ... Fonctionnement Le budget annuel moyen pour la durée de vie est de 692,7 millions d'euros. Les coûts d'exploitation annuels moyens sont estimés à 690,3 millions d'euros. La comparaison entre le budget de la durée de vie et l'estimation se traduit par une différence moyenne de 2,4 millions d'euros par an sur le budget d'exploitation. Cela stabilise l'image selon laquelle les estimations sont conformes au budget. Cependant, comme expliqué au chapitre 7 "Risques", il existe toujours un risque que certains coûts de fonctionnement augmentent dans les années à venir. Par conséquent, le budget n'est pas ajusté à ce stade. Le budget de fonctionnement annuel moyen pour la période budgétaire 2024-2029 est de 667,5 millions d'euros. Les coûts d'exploitation annuels moyens estimés pour la période 2024-2029 s'élèvent à 629,4 millions d'euros. La différence (38,1 millions d'euros par an en moyenne) s'explique par le fait que la Défense n'ajuste la fourchette delta opérationnelle aux coûts estimés qu'après la mise à jour du modèle de coût du cycle de vie. Dans le passé, cette série d'opérations delta a été poussée jusqu'à la période budgétaire pour couvrir les déficits attendus. Sur la base de la mise à jour annuelle, la Défense ajustera chaque année la série opérationnelle delta afin que le budget total de la période budgétaire corresponde aux coûts estimés. Cela doit être considéré par rapport à la différence entre l'estimation et le budget sur l'ensemble du cycle de vie, où l'excédent attendu est moindre. Le rééchelonnement de l'opération delta permet de couvrir les déficits prévus pour les années ultérieures
  8. Risques Risque lié au temps Au début de l'année 2024, la Défense a mené une autre session d'évaluation des risques supervisée par TNO. En ce qui concerne l'étape clé de la transition dans les années à venir pour le projet FOC du VF-35 (en 2024), le risque de planification est actuellement estimé comme faible. Ceci est basé sur la réalisation de l'objectif FOC en 2024 avec la réception de 37 avions et les objectifs de déploiement associés. Risques liés aux produits Comme indiqué dans les rapports d'avancement précédents, le développement de logiciels reste le principal risque pour le programme au cours de l'année à venir. Cela est dû à la grande quantité de logiciels (de mission) qui doivent encore être développés, ainsi qu'à la complexité des fonctions que ces logiciels doivent prendre en charge. Dans les années à venir, d'autres mises à jour logicielles seront mises en œuvre à partir du C2D2 , ce qui permettra de corriger les lacunes identifiées et d'offrir de nouvelles capacités. En ce qui concerne l'entretien de la flotte de F-35, il existe un risque de pénurie de pièces détachées. On s'attend actuellement à ce que l'impact de ce risque ne soit pas si important que l'étape FOC prévue en 2024 ne soit pas respectée. Risque budgétaire La réserve de risque maximale requise pour les investissements est adaptée sur la base de sessions de risque annuelles guidées par TNO. Lors de ces sessions, à la fin de l'année 2023, les risques financiers du projet VF-35 ont à nouveau été quantifiés à l'aide d'une approche méthodique. Le résultat de ces sessions est qu'une réserve de risque d'un montant maximum de 104,9 millions d'euros est nécessaire pour les investissements concernant 52 avions à partir du 1er janvier 2024. La proportion de contrats en cours a diminué l'année dernière, ce qui a permis de donner plus de certitude sur les prix. Cela explique la diminution de la provision pour risques. Le poste des ajustements infrastructurels constitue le risque résiduel le plus élevé, ce qui s'explique par le fait que plusieurs besoins doivent encore faire l'objet d'un contrat. Au 1er janvier 2024, la position d'obligation pour les investissements s'élève à 6.300,3 millions d'euros, ce qui signifie que 87,1 pour cent du budget d'investissement total est engagé. La réserve pour risques de 104,9 millions d'euros représente environ 11,2 % du budget d'investissement non encore engagé. Les risques ont également été estimés pour la phase d'exploitation, mais aucune réserve financière n'a été constituée à cet effet. Le risque le plus important pour la phase d'exploitation est celui d'une augmentation des coûts de réparation au cours de la durée de vie. Les tableaux 4 et 5 résument respectivement les résultats des sessions de risques pour le budget d'investissement et le budget de fonctionnement.
  9. Exploitation Les estimations d'exploitation sont des calculs fondés sur des modèles et basés sur les connaissances, les estimations et les hypothèses actuelles. Pour l'exploitation du projet VF-35, les mêmes règles s'appliquent que pour les autres projets de matériel de défense. Comme dans les trois rapports précédents, ce rapport d'avancement présente des estimations intégrales. En partant d'une estimation intégrale, la Défense améliore la compréhension de tous les coûts qui peuvent être liés au F-35. Les coûts liés à l'acquisition d'armes pour le F-35 et, à partir de ce rapport d'avancement, les coûts liés à la poursuite du développement du F-35 constituent l'exception à cette règle. Ces coûts sont comptabilisés dans le cadre d'un projet ou d'un programme d'investissement distinct. Des informations sur ces projets et sur le programme seront incluses dans l'aperçu des projets de défense, après approbation par votre Parlement. Les coûts opérationnels réels dépendent largement de facteurs incertains tels que l'évolution du taux de change du dollar et du prix du pétrole, et varient d'une année à l'autre. Ce faisant, la Défense doit tenir compte de coûts (relativement) plus élevés pendant la phase de transition, tandis que d'autres années, les coûts seront inférieurs à l'estimation annuelle moyenne. Adaptation au cycle de vie complet Le budget d'exploitation annuel moyen pour l'ensemble du cycle de vie est de 692,7 millions d'euros. Les coûts d'exploitation annuels moyens estimés pour la durée de vie sont de 690,3 millions d'euros. La comparaison entre le budget de la durée de vie complète et l'estimation se traduit par une différence moyenne de 2,4 millions d'euros par an sur le budget d'exploitation. Cela stabilise l'image selon laquelle les estimations sont compatibles avec le budget. Comme expliqué au chapitre 7 "Risques", il existe un risque que certains coûts de fonctionnement augmentent dans les années à venir. Par conséquent, le budget n'est pas ajusté à ce stade. Intégration dans la période budgétaire La figure 5 illustre l'ajustement des coûts de fonctionnement annuels moyens pour la période 2024-2029. Le budget d'exploitation annuel moyen pour la période 2024-2029 est de 667,5 millions d'euros. Le coût d'exploitation annuel moyen estimé pour la période 2024-2029 est de 629,4 millions d'euros. L'excédent prévu doit être considéré par rapport à l'ajustement du cycle de vie complet : l'excédent prévu pour la période budgétaire sera rééchelonné par la défense au fil du temps pour couvrir les déficits prévus pour les années ultérieures. Évolution du budget de fonctionnement Le budget de fonctionnement annuel moyen a augmenté par rapport au rapport d'avancement précédent. Cela s'explique par : Le budget de fonctionnement a été compensé pour les ajustements des salaires et des prix par le biais du budget de la défense. L'augmentation du budget est compensée par une augmentation des coûts. Le budget de fonctionnement a été ajusté pour tenir compte des ajustements monétaires. L'augmentation du budget est compensée par une augmentation des coûts. Parallèlement, comme pour les investissements, le budget a diminué parce que le ministère de la défense a transféré le budget disponible pour le protocole d'accord PSFD au programme "Doorontwikkeling F35" Développement des estimations des coûts d'exploitation Les changements par catégorie de coûts sont mis en évidence et expliqués à l'annexe 3. Les éléments suivants ont eu un impact significatif sur l'estimation des coûts d'exploitation ou ont une raison particulière et sont donc expliqués en plus ici : Les coûts prévus ont augmenté à la suite d'ajustements des salaires et des prix et d'un ajustement monétaire. Comme indiqué ci-dessus, la Défense reçoit une compensation financière pour ces coûts plus élevés. Les coûts prévus pour le "développement ultérieur du F-35" ont été partiellement exclus des estimations de l'année dernière. En actualisant les estimations cette année, la Défense n'a pas non plus inclus la contribution au protocole d'accord PSFD dans les estimations opérationnelles. Comme indiqué ci-dessus, le budget correspondant a également été reporté. Développement ultérieur Comme indiqué dans la lettre parlementaire "F-35 Further Development Programme", le ministère de la défense a placé la poursuite du développement du F-35 dans un programme distinct. Par conséquent, ces coûts (et le budget qui les couvrira) ne relèvent plus du champ d'application du présent rapport d'avancement. Après avoir discuté de la lettre parlementaire, le ministère de la Défense informera le Parlement, par le biais du Defence Project Overview (DPO), du programme de développement du F-35 et des estimations financières associées.
  10. Argent Ce chapitre examine les estimations et les budgets intégraux des 52 avions F-35 néerlandais commandés au total. Ce chapitre contient les principales estimations financières pour l'investissement et l'exploitation. Les estimations des coûts d'investissement et d'exploitation sont largement basées sur les chiffres du JPO et ont ensuite été incorporées dans le modèle de coût du cycle de vie par TNO. Des informations plus détaillées sur les aspects financiers et les hypothèses qui s'appliquent aux estimations figurent à l'annexe 3. Conformément à la lettre d'offre accompagnant le rapport d'avancement 2023, les comptes financiers pour 2023 sont inclus dans ce rapport d'avancement cette année. Elle figure à l'annexe 4. Investissements Intégration La figure 4 compare l'estimation de 6 954,3 millions d'euros pour 52 avions F-35 (y compris une réserve pour risques estimée à 104,9 millions d'euros) avec le budget d'investissement actuel de 7 237,3 millions d'euros (montants au niveau des prix de 2023). Pour l'achat de 52 avions F 35, un solde positif de 283,0 millions d'euros subsiste sur le budget d'investissement. Entre-temps, 87,1 % du budget d'investissement total a été engagé et 67,8 % du budget d'investissement total a été réalisé (date de référence : 1er janvier 2024). Évolution du budget d'investissement Par rapport au rapport d'avancement précédent, le budget d'investissement total du projet VF-35 a augmenté de 276,0 millions d'euros. Les facteurs suivants expliquent cette évolution : L'estimation de base de l'investissement a été ajustée de 153,8 millions d'euros pour les conversions de devises, dont 31,3 millions d'euros pour l'année de trésorerie 2023. Cette correction monétaire s'inscrit dans le cadre de la décision du gouvernement de traiter dorénavant les avantages et les inconvénients des projets d'investissement dus à l'évolution des devises comme des mouvements sans incidence sur le plafond (document parlementaire 35 300-X-84). Face à cette augmentation du budget, les coûts estimés augmentent également en raison de l'évolution du taux de change du dollar. L'estimation de base pour la série d'investissements est compensée par 141,7 millions d'euros pour les ajustements du niveau des prix, dont 34,5 millions d'euros pour l'année de trésorerie 2023. Face à cette augmentation du budget, les coûts estimés augmentent également en raison du niveau des prix. Un montant de 19,6 millions d'euros a été transféré du budget du projet "Acquisition F-35" au budget du programme "Développement du F-35" pour les parties de l'estimation liées au nouveau programme. Évolution de l'estimation de l'investissement L'estimation de l'investissement est passée de 6 697,4 millions d'euros (niveau de prix 2022) à 6 849,4 millions d'euros (niveau de prix 2023). Les changements par catégorie de coûts sont mis en évidence et expliqués à l'annexe 3. Les changements suivants ont eu un impact significatif sur l'estimation ou ont une raison particulière et sont donc expliqués ici : L'OPJ a procédé à un ajustement de l'inflation cette année, qui est plus élevé que les années précédentes. Ceci est dû à l'augmentation de l'inflation au cours des dernières années. La somme des effets de l'inflation et des devises est présentée à l'annexe 3. Sur la base d'une meilleure compréhension, la défense a décidé d'acheter des tentes spéciales de maintenance hors zone et de l'équipement de mission auxiliaire supplémentaire pour le soutien nécessaire pendant le déploiement. Les éléments du nouveau programme de développement du F-35 ne sont plus inclus. Le budget qui était encore disponible à cet effet dans le cadre du projet et de l'opération a également été transféré au budget du programme. Réserve de risque La Défense détermine la réserve de risque maximale requise pour la partie investissement du projet VF-35 sur la base des sessions annuelles de risque à TNO, en utilisant une approche méthodique pour quantifier les risques financiers dans le projet VF-35. Lors de ces sessions, la provision pour risque maximale requise pour 52 avions a été fixée à 104,9 millions d'euros. Dans le rapport précédent, la provision pour risque maximale requise était de 162,2 millions d'euros. Cette diminution peut s'expliquer par le fait que le projet a fait l'objet de plus d'exigences contractuelles au cours de l'année écoulée, ce qui a réduit le montant à risque pour la Défense. La réserve pour risques est expliquée plus en détail au chapitre 7 "Risques". Le montant de la réserve pour risques actuelle représente environ 11,2 % du budget d'investissement non encore engagé au 1er janvier 2024.
  11. Pas sur qu'ils aient assez de gras pour gâcher quelques jerichos pour de la frappe conventionnelle. https://thebulletin.org/premium/2022-01/nuclear-notebook-israeli-nuclear-weapons-2022/ How many Jericho missiles Israel has is another uncertainty. Estimates vary from 25 to 100. Most sources estimate that Israel has 50 of these missiles and place them at the Sdot Micha facility near the town of Zakharia in the Judean Hills, approximately 27 kilometers east of Jerusalem. (There are many alternative spellings and names for the base, including Zekharyeh, Zekharaia, Sdot Micha, and Sdot HaElla.) Commercial satellite images show what appear to be two clusters of what might be caves or bunkers for mobile Jericho launchers at Sdot Micha. The northern cluster includes 14 caves and the southern cluster has nine caves, for a total of 23 caves. Newly available high-resolution imagery indicates that each cave appears to have two entrances, which suggests that each cave can hold up to two launchers. The satellite images show that caves’ refurbishment began in 2014 and appeared complete in 2020. The upgrade also included upgrades to several tunnels to underground facilities. If all 23 caves are full, this would amount to 46 launchers. Each cluster also has what appears to be a covered high-bay drive-through facility, potentially for missile handling or warhead loading. A nearby complex with its own internal perimeter has four tunnels to underground facilities that could potentially be for warhead storage.
  12. Temps : D'ici 2023, les Pays-Bas auront reçu leur 37e avion livré par l'usine d'assemblage en Italie. Le projet a ainsi atteint une condition préalable essentielle pour parvenir à la pleine capacité de déploiement opérationnel (FOC), qui devrait être atteinte d'ici la fin de l'année. Les Pays-Bas atteindront le statut FOC lorsque le F-35 sera capable d'effectuer toutes les tâches du F-16. Deux escadrons de F-35 ont été formés à ce stade et peuvent être déployés. Comme prévu, le déploiement du F-35 en 2022 et en 2023 a affecté la transition. Cela a principalement affecté le personnel déployé, qui a dû former d'autres personnes. Cela a entraîné un retard dans la constitution d'une main-d'œuvre formée. Cet arriéré de personnel devrait être résorbé en 2025. La livraison des 52 avions F-35 se fait progressivement. La figure 2 présente une représentation graphique du calendrier (international) et du calendrier de livraison néerlandais. En raison du retard dans la livraison du logiciel TR-3, le calendrier de livraison prévu a été ajusté sur la base des informations dont nous disposons. Entre-temps, 39 avions ont été livrés : huit d'entre eux se trouvent actuellement sur la base aérienne de Luke à des fins d'entraînement, tandis que les autres se trouvent sur les bases aériennes de Leeuwarden ou de Volkel. On s'attend à ce que trois avions supplémentaires seront livrés dans le courant de l'année, sept avions en 2025 et quatre autres en 2026. En raison de retards dans le développement et les essais du logiciel TR-3, aucun avion TR-3 n'est actuellement en cours de livraison. Ce logiciel sera prêt et testé à la mi-2024, selon le JPO. La livraison des avions néerlandais n'a jusqu'à présent pas été affectée par ce problème de TR-3. En effet, les Pays-Bas ont anticipé cette situation à la fin de 2022 en faisant livrer six appareils néerlandais du lot 15/16 en configuration TR-2 au lieu de la configuration TR-3. Ces appareils seront ultérieurement modifiés en configuration TR-3. Cette mesure de précaution a permis de garantir que les avions néerlandais puissent encore être livrés par l'usine en Italie. Cette mesure s'applique jusqu'à la livraison du 40e avion en mars 2024. La livraison du premier avion néerlandais en configuration TR-3 est prévue pour la fin de l'année 2024. Si le logiciel TR-3 n'est pas disponible d'ici là, il y aura également des retards de livraison pour les avions néerlandais. La pression exercée sur le développement et les essais du logiciel TR-3 limite le risque de ce retard. Si des retards se produisent, ils auront un impact limité sur le calendrier de livraison du troisième escadron déployable, à la mi-2027, pour l'instant. Planification du programme international du F-35 Le programme de vol dans le cadre de la phase dedéveloppement et de démonstration des systèmes (SDD) s'est achevé en 2018. La phase d'essais opérationnels, ou IOT&E ( Initial Operational Test & Evaluation ), qui a officiellement débuté en 2018, s'est achevée au cours de la période couverte par le présent rapport. Le 12 mars 2024, le gouvernement américain a annoncé qu'une étape importante avait été franchie avec le passage à la production à plein régime du programme F-35. Transition F16/F35 Le nombre d'avions néerlandais F-35 entrant en service augmentera progressivement au cours de la période de transition (jusqu'en 2024). Dans le même temps, le nombre de F-16 en service diminuera. Le personnel sera formé au F-35 pendant cette période, ce qui lui permettra de continuer à acquérir des connaissances et de l'expérience avec le nouvel avion. Outre le recyclage, la formation directe des pilotes sur le F-35 est en cours. À la base aérienne de Luke, aux États-Unis, 75 pilotes néerlandais ont été formés jusqu'à présent pour des escadrons aux Pays-Bas et pour des postes d'instructeurs aux États-Unis. Trois classes de mécaniciens ont été formées à l'École royale militaire de la Force aérienne (KMSL) dans le cadre d'un cours accrédité en 2023. La quatrième classe a commencé en septembre 2023. Afin d'accélérer le traitement des arriérés de personnel, la cinquième classe a commencé en janvier 2024 et la sixième classe commencera en mars 2024. En recrutant des instructeurs américains, les cours pourront être dispensés en parallèle au cours de la période à venir. À des fins de planification pour la période de transition, la défense travaille avec les objectifs de déploiement pour le F-16 et le F-35 indiqués dans la déclaration ci-dessous. Activités de préparation à l'OFC La défense se prépare à franchir l'étape FOC dans les délais prévus. À cette fin, diverses activités ont été menées au cours de la période récente. Les principales activités préparatoires ont été les suivantes Former et entraîner le personnel lié au F-35 pour les tâches opérationnelles prévues ; Poursuite du développement des pratiques et procédures issues de la phase IOT&E ; Livraison et passage par une phase d'acceptation - dans l'intervalle - de 39 aéronefs conformément au plan de transition du F-16 au F-35 ; L'installation de maintenance, de réparation, de révision et d'amélioration (MRO&U) de la base aérienne de Woensdrecht a été achevée pour le premier quai de maintenance et est en cours de préparation pour un deuxième et un troisième quai ; Pratique de l'assemblage, de l'armement et de l'éjection des armes du F-35.
  13. L'annuel rapport sur le programme F35 néerlandais --> https://open.overheid.nl/documenten/72838d01-2ad7-4f42-af49-3e2f2e3d4c33/file Résumé présenté page 4 et 5 : Le projet "Acquisition F-35" (VF-35) vise à assurer l'acquisition et l'introduction du F-35 pour remplacer les avions F-16. Dans le cadre du Livre de la Défense 2022, la Défense a décidé d'acquérir six avions F-35 supplémentaires, ce qui lui permettra de disposer d'un total de 52 avions F-35. La livraison du 52e avion est actuellement prévue pour le premier semestre 2026. Le projet vise à atteindre la pleine capacité de déploiement opérationnel, c'est-à-dire la pleine capacité opérationnelle (FOC) avec 37 avions, dans les délais et le budget impartis, d'ici à 2024. À ce moment-là, le F 35 reprendra toutes les tâches du F-16. Produit D'ici 2023, les Pays-Bas auront reçu leur 37e avion de l'usine d'assemblage en Italie. Dans le monde entier, plus de 990 F-35 auront été produits et auront effectué plus de 775 000 heures de vol d'ici à la fin de 2023. En 2023, 8 avions F-35 néerlandais ont été stationnés en Pologne pendant plusieurs mois dans le cadre de la mission de défense aérienne de l'OTAN. Au cours de cette période, l'armée de l'air a intercepté à plusieurs reprises des avions russes pour protéger l'espace aérien de l'OTAN. Le F-35 a également été déployé aux Pays-Bas en 2024 pour la mission d'alerte de réaction rapide (QRA) afin de protéger l'espace aérien de notre pays et de l'OTAN. Actuellement, le programme international F-35 a interrompu les livraisons de nouveaux avions en raison de retards dans le logiciel dit Tech Refresh-3 (TR-3). Ce logiciel sera testé et prêt à la mi-2024, selon le Joint Project Office (JPO) du F-35. Les Pays-Bas ont anticipé cette situation à la fin de l'année 2022. Par conséquent, la livraison jusqu'au 40e avion inclus pour les Pays-Bas à partir de l'usine en Italie se poursuivra et devrait être livrée en avril 2024. Si le logiciel TR-3 n'est pas disponible à la mi-2024, les livraisons des 12 avions néerlandais restants seront retardées. Dans l'état actuel des choses, cela n'affectera pas le calendrier de livraison de la troisième escadrille. Au cours de cette période, un autre État membre européen, la Roumanie, a fait part de son intention d'acheter le F-35. Avec l'expansion de la flotte mondiale, le programme international F-35 reste axé sur la poursuite du contrôle des coûts de maintenance, la fourniture d'un soutien logistique efficace à la flotte croissante de F-35 et la poursuite du développement des capacités opérationnelles du F-35. Le temps Le projet progresse comme prévu. La dernière étape restante du projet est le déploiement opérationnel complet d'ici 2024. Ce statut FOC est basé sur la livraison de 37 avions et sera atteint cette année. Au milieu de l'année 2024, le troisième escadron de F-35 commencera à se constituer. Avec le passage à ce troisième escadron, la cible de déploiement du F-35 sera élargie. Cet escadron devrait être prêt pour ses premières opérations à la mi-2027. Les Pays-Bas recevront encore 13 appareils pour ce troisième escadron jusqu'en 2026. L'Argent Ce rapport d'avancement présente les estimations et les budgets intégraux pour un total de 52 avions F-35. Lorsque l'estimation de l'investissement est comparée au budget d'investissement disponible, le solde est positif. Les estimations opérationnelles pour les cinq années restantes de la période budgétaire, jusqu'en 2029, s'inscrivent dans le cadre du budget disponible. Les estimations de coûts à plus long terme s'inscrivent également dans le cadre du budget disponible, mais comportent encore des incertitudes, étant donné qu'il s'agit de la durée de vie totale du F-35. Industrie néerlandaise L'un des principaux objectifs dérivés du projet est de faire participer autant que possible l'industrie néerlandaise au développement, à la production et au maintien en service du F-35. La période couverte par ce rapport diffère de la période couverte par le présent rapport d'avancement car les chiffres de l'industrie sont demandés chaque année au mois de juin. C'est donc l'année 2022 qui est désormais prise en compte. L'évolution des accords de production conclus et du chiffre d'affaires réalisé par l'industrie néerlandaise dans le cadre du projet VF-35 a été positive en 2022. Il s'agit d'une poursuite de la tendance observée depuis plusieurs années. En 2022, 46 nouvelles commandes ont été passées auprès d'entreprises néerlandaises, pour une valeur combinée de 255,9 millions de dollars. Cela a porté la valeur totale des accords à la fin de 2022 à environ 2 769,4 millions de dollars. Le chiffre d'affaires total potentiel de la production néerlandaise de F-35 jusqu'à la fin de la période de production, vers 2045, est estimé à plus de 9 milliards de dollars. Il n'y a actuellement aucune raison d'ajuster cette estimation. Autres développements En 2023, le Comité d'audit du réseau de mesure du bruit de la base aérienne de Leeuwarden (AC LWD) a rendu ses conclusions pour la troisième fois, après le rapport de novembre 2022. Ce troisième rapport présente les résultats de la comparaison entre les niveaux de bruit mesurés et calculés du F-35. Les niveaux de bruit mesurés correspondent aux niveaux de bruit calculés, ce qui renforce la confiance dans le calcul des unités de coût appliqué par le laboratoire aérospatial néerlandais (NLR). La défense, en consultation avec les parties prenantes locales, continue d'explorer les options permettant de réduire la pollution sonore tout en assurant une formation adéquate avec le F-35 afin de garantir notre sécurité (inter)nationale. Risques En ce qui concerne les principales étapes des années à venir, les risques liés à la planification sont actuellement jugés faibles. Bien que l'étape FOC en 2024 soit sous pression, principalement en raison d'une dotation qualitative, elle est considérée comme réalisable. Les risques liés aux produits concernent principalement les développements de logiciels (tels que le TR-3) et la maintenance (y compris la pénurie de pièces de rechange dans la chaîne logistique). Avec la poursuite de l'expansion de la flotte, il est crucial que la logistique et le soutien puissent suivre les développements. Les parties impliquées dans le programme F-35 reconnaissent ces risques et de nombreuses mesures ont été prises depuis pour les gérer, telles que les estimations de coûts annuels dans le cadre du modèle de coût du cycle de vie . La réserve de risque maximale calculée pour l'investissement, à la suite des sessions de risque supervisées par l'Organisation néerlandaise pour la recherche scientifique appliquée (TNO), est de 104,9 millions d'euros cette année. Programme de développement du F-35 Comme décrit dans les rapports d'avancement précédents, le F-35 est développé selon le principe C2D2 ( Continuous Capability Development and Delivery ) dans le cadre du programme international. Ce principe C2D2 se traduit par des modifications continues (plus importantes) du F-35 pendant la durée de vie de l'avion. Votre Parlement a récemment été informé de la conception et des cadres du programme (document parlementaire 26 488 n° 475). L'avancement du développement en cours du F-35 ne fait pas partie du projet VF-35. Votre Assemblée en sera informée chaque année dans l'aperçu des projets de défense (DPO).
  14. En attendant, le calendrier de livraison pour les années a venir
  15. L'annuel rapport sur le programme F35 néerlandais --> https://open.overheid.nl/documenten/72838d01-2ad7-4f42-af49-3e2f2e3d4c33/file
  16. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Les lignes sont beaucoup plus fines je trouve sur le Den Helder. Mais il profiterais bien d'un Rapidfire à l'instar des BRF D'ailleurs es BRF ne peuvent pas emporter des containers ? Le Den Helder devrait pouvoir en accueillir 24
  17. Titus K

    Marine canadienne

    Un niveau de confidentialité sans précédent entoure les coûts du projet de navire de guerre de 80 milliard de dollars https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/unprecedented-level-of-secrecy-surrounds-costs-and-work-on-80b-warship-project Le gouvernement libéral a invoqué un sert de secret autour d'un projet de navire de guerre controversé dont le coût est maintenant d'environ 80 milliards de dollars. Le ministère de la Défense nationale a jeté un voile de secret sans précédent autour d'un projet de navire de guerre controversé dont le coût pour les contribuables est estimé à plus de 80 milliards de dollars. Après avoir retenu des documents pendant près de trois ans, le ministère de la Défense nationale a publié près de 1 700 pages de documents censés décrire les coûts spécifiques et les travaux réalisés jusqu'à présent dans le cadre du programme des navires de combat de surface canadiens. Mais tous les détails de ce que les contribuables ont dépensé jusqu'à présent et le type de travail effectué par Irving Shipbuilding pour cet argent ont été censurés dans les dossiers. "J'ai obtenu près de 1 700 pages blanches", a déclaré Ken Rubin à propos de la demande d'accès à l'information qu'il a déposée auprès du ministère de la Défense nationale en avril 2021 concernant le programme de navires de guerre. "Je n'ai jamais vu un tel niveau de secret ou de manque de responsabilité sur un projet qui coûte si cher. M. Rubin, un enquêteur qui utilise la loi sur l'accès à l'information pour obtenir des documents fédéraux depuis des décennies, a déclaré qu'il n'y avait pas un seul chiffre de coût dans les 1 700 pages. Une page indique qu'Irving devait effectuer 19 tâches spécifiques, mais tous les détails ont été censurés. D'autres pages énumèrent de nombreuses modifications apportées au programme CSC, mais tous les détails ont été occultés. Les informations sur le profit annuel qu'Irving a réalisé jusqu'à présent sur le projet CSC sont censurées. Irving a refusé de faire des commentaires, renvoyant ce journal à la Défense nationale. Le bureau du ministre de la Défense Bill Blair a envoyé à ce journal une déclaration indiquant que "le ministre croit fermement à l'ouverture et à la transparence, et s'attend à ce que le ministère de la Défense nationale respecte les droits des citoyens canadiens, des résidents permanents et des personnes ou sociétés présentes au Canada, d'accéder aux documents des institutions gouvernementales qui sont soumis à la Loi sur l'accès à l'information". La Défense nationale a indiqué dans un communiqué qu'étant donné que certains des documents concernaient Irving Shipbuilding, les représentants du gouvernement ont consulté l'entreprise pour déterminer si les documents contenaient des informations exclusives à l'entreprise. Irving s'est opposée à la divulgation des informations, a ajouté le ministère. Mais M. Rubin a souligné que la défense nationale n'était pas tenue de suivre les ordres d'Irving quant aux documents pouvant être rendus publics. Le montant de l'argent des contribuables dépensé pour le navire de combat de surface et la manière dont cet argent est dépensé ne devraient pas être secrets, a-t-il ajouté. En outre, la Défense nationale a initialement affirmé dans une déclaration à ce journal que le long délai pour fournir les documents était dû au fait que M. Rubin avait demandé 20 ans de dossiers. Interrogé sur cette affirmation, le ministère a reconnu que ce n'était pas vrai. Il n'a cependant pas expliqué pourquoi il avait fourni de fausses informations à ce journal. Le projet "Canadian Surface Combatant" prévoit la construction de 15 navires de guerre pour la marine royale canadienne à Irving, sur la côte est. Les détracteurs du projet CSC, le plus gros achat de l'histoire du Canada, l'ont qualifié de gouffre financier sans fond, avec peu de responsabilité et de contrôle. Le contrat de construction n'ayant pas encore été signé, ils ont demandé l'arrêt du projet ou au moins son réexamen. Le projet a déjà subi des retards et des augmentations significatives de coût par rapport à l'estimation initiale de 26 milliards de dollars. Le directeur parlementaire du budget, Yves Giroux, estime maintenant le coût des navires à environ 84 milliards de dollars. La Défense nationale maintient que le coût se situera entre 56 et 60 milliards de dollars, et ses représentants ont insisté sur le fait que le coût n'augmentera pas. Le député conservateur Kelly McCauley a déclaré que lui et d'autres députés pensaient que la seule construction du CSC coûterait finalement plus de 100 milliards de dollars. Le premier navire devait initialement être livré au début des années 2020. En février 2021, la Défense nationale a admis que la livraison du premier navire n'aurait pas lieu avant 2030 ou 2031. Dans une mise à jour des coûts publiée en octobre 2022, M. Giroux a également indiqué le coût du cycle de vie des navires, qui s'élève à 306 milliards de dollars. Ce dernier chiffre représente en soi un bond important puisqu'en 2013, le bureau du vérificateur général a déclaré que ce chiffre serait de 64 milliards de dollars sur 30 ans. "Chaque fois que nous examinons ce projet, les coûts augmentent", a fait remarquer M. Giroux. Un gouvernement conservateur a lancé le projet de navire de combat de surface pour remplacer la flotte actuelle de frégates de classe Halifax, mais en 2015, les conservateurs ont reconnu que les coûts augmentaient et qu'il faudrait peut-être réduire le programme. Le gouvernement libéral élu cette année-là a toutefois réaffirmé son engagement en faveur du projet CSC et de l'acquisition des 15 navires. Alors que le prix continue d'augmenter et que les retards se multiplient, la Défense nationale reste fermement convaincue qu'elle ne changera pas de cap et que le projet est une réussite jusqu'à présent. Comme l'a rapporté Postmedia, le programme CSC a été présenté comme un remplacement relativement peu coûteux et prêt à l'emploi pour les navires de guerre de la classe Halifax, avec un niveau élevé de contenu industriel canadien. Mais au fil du temps, la marine a demandé des modifications qui ont souvent remplacé le contenu construit au Canada par de la technologie américaine, ce qui a eu pour effet de faire perdre des centaines de millions de dollars à l'industrie canadienne et d'augmenter le coût global, selon le rapport de Postmedia. Au fur et à mesure que les coûts augmentaient, les fonctionnaires fédéraux ont également rendu plus difficile l'obtention de détails sur les dépenses du projet. À deux reprises, les fonctionnaires fédéraux ont tenté d'empêcher le directeur parlementaire du budget d'obtenir les détails et les grandes lignes du budget du projet CSC, ainsi que ceux d'autres programmes de construction de navires dans le cadre de la stratégie nationale de construction navale du gouvernement. En 2019, les fonctionnaires de Services publics et marchés publics Canada ont émis une directive selon laquelle les entreprises intéressées par des travaux de maintenance dans le cadre du programme des navires de combat de surface canadiens ne pouvaient pas parler aux journalistes et devaient renvoyer toutes les demandes de renseignements au ministère. Cette directive a finalement été levée après que ce journal a fait état de l'injonction. Les dirigeants de l'industrie ont déjà souligné que le secret n'était pas motivé par des préoccupations de sécurité, mais par la crainte que les médias et les députés de l'opposition ne puissent utiliser ces informations pour surveiller de près le système d'acquisition militaire, qui connaît de nombreux problèmes.
  18. Titus K

    Marine Norvegienne

    De toute façon en Norvège c'est FDI contre T26, puisqu'on ne fait plus de FREMM...
  19. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Sous-marins pour les Pays-Bas : le contrat avec Naval Group peut-il être torpillé, comme en Australie ? https://actu.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin_50129/sous-marins-pour-les-pays-bas-le-contrat-avec-naval-group-peut-il-etre-torpille-comme-en-australie_60950621.html Les chantiers navals devancés, pour le contrat de quatre sous-marins, aux Pays-Bas par Naval Group n'ont pas renoncé à faire capoter le programme franco-néerlandais.
  20. Nouvelle commande de l’OTAN pour le pilier munitionnaire de KNDS France Nouveau succès « otanien » pour KNDS France (ex-Nexter), qui décroche un contrat majeur pour la production de munitions d’artillerie de 155 mm au profit de plusieurs armées de l’Alliance. https://www.forcesoperations.com/nouvelle-commande-de-lotan-pour-le-pilier-munitionnaire-de-knds-france/ "KNDS France livrera des coups complets, à savoir les obus, les charges modulaires nécessaires à leur propulsion, les fusées et les amorces. Le lot comprend notamment des obus hautement explosifs (HE) et à portée étendue (ER). " "L’annonce d’hier suit de peu l’attribution, à nouveau par la NSPA, d’un marché de 1,1 Md€ à KNDS France et Junghans Defence pour des obus et fusées compatibles avec les canons automoteurs CAESAR et PzH 2000. Un marché dont la partie relevant de KNDS est valorisée à 915 M€."
  21. Titus K

    Marine Norvegienne

    Un article très complet sur la propulsion des type 26 https://www.navylookout.com/powering-the-stealthy-submarine-hunter-type-26-frigate-propulsion-system-in-focus/
  22. Titus K

    Marine indienne

    L’Inde a acheté 4 type 209 allemands, 2 construits à Kiel, et 2 construit à Mazagon Dock en Inde avec transfer de technologie.
  23. Titus K

    Marine Grecque

    Qu'en pensez vous ? Frégate FDI HN LIGHT : un choix logique, pour une flotte grecque puissante ! https://www.navalanalyses.com/2024/04/fdi-light-logical-choice-for-powerful.html Une version légère de FDI HN, la frégate à usage général FDI LIGHT. Graphique par Aylont1. En suivant de près les efforts de la marine hellénique (HN) ces dernières années, après une période d'inactivité due à la situation économique du pays, nous comprenons les difficultés auxquelles cette entreprise est confrontée, le principal obstacle étant le coût. Le point de vue de l'auteur sur la résolution de cette situation difficile est resté cohérent sur les réseaux de médias sociaux. L'idée principale est que la marine devrait se concentrer sur l'acquisition d'unités de surface de taille adéquate, telles que les frégates, avec des équipements qui répondent aux exigences de la marine telles que définies dans la compétition informelle du programme d'acquisition des corvettes. En outre, cet équipement devrait être proposé par les entreprises participant au programme. À tout le moins, il devrait être de qualité similaire. Ainsi, la marine, avec un navire de plus grande taille au lieu d'une corvette, peut bénéficier du coût relativement faible de l'augmentation de la taille. En effet, la petite valeur de la coque d'un navire de guerre est principalement chargée d'équipements, tels que les capteurs, l'armement et d'autres équipements. Par conséquent, un navire plus grand pourrait offrir tous les avantages en termes de survie, de rayon d'action, d'autonomie, de confort du personnel et, bien sûr, de potentiel de développement qu'un navire plus grand offre. Dans cet article, nous examinerons cette perspective à travers le retrait d'équipement de la classe Kimon(FDI HN de Naval Group). Le navire est présenté dans les graphiques du remarquable Aylont1, qui nomme cette configuration FDI HN LIGHT (FDI HN-LT) qui est en fait une frégate polyvalente (GP) équilibrée. Tout d'abord, le changement le plus important est le remplacement du mât intégré du PSIM qui abrite les capteurs avancés, y compris le Thales SEAFIRE MFR, par un mât similaire à celui de la corvette GOWIND, l'installation d'un radar rotatif de surveillance aérienne et de surface Thales NS110 avec IFF intégré (d'où l'élimination de Thales BLUEGATE) et l'équipement de Thales VIGILE R-ESM (au lieu de Thales SENTINEL), de Thales ALTESSE-H C-ESM et du R-ECM qui est en cours de développement et sera installé sur les frégates HN de la FDI. Cette conversion peut à elle seule permettre de réaliser des économies atteignant jusqu'à 100 millions d'euros. Un deuxième changement important est le retrait des quatre systèmes de lancement vertical (VLS) octuple A50 et leur remplacement par 32 systèmes de missiles MICA-NG MBDA VL ou par des MBDA CAMM-ER. D'après des informations provenant de sources ouvertes, le coût des VLS A50 vides est comparable au coût de 32 missiles MICA-NG et de leurs lanceurs. Dans ce cas, la non-installation des systèmes de missiles ASTER 30 nous permet d'économiser un montant d'environ 150 à 180 millions d'euros. L'idée principale de la configuration proposée. Image originale par Aylont1, modifiée par D-Mitch. En outre, des modifications ont été apportées à deux autres endroits. Premièrement, il y a le remplacement du CAPTAS-4 par le CAPTAS-2, ou même l'élimination potentielle de tout VDS mais le maintien du KINGKLIP Mk2 HMS afin que le navire puisse servir de frégate GP, de la même manière que les configurations GP et ASW de la FREMM IT. D'autre part, le remplacement du CIWS RAM par un système de canon Bofors 40 Mk4 de BAE Systems, capable de tirer des munitions programmables de 40 mm 3P, ou par le CIWS 40 mm RAPIDFire de Nexter-Thales, ce qui pourrait permettre une économie de plusieurs dizaines de millions d'euros. Le reste de l'armement est identique à celui du FDI HN, notamment les lance-torpilles jumelés pour les torpilles MU90 et les huit lance-missiles antinavires EXOCET au milieu du navire. La configuration de la frégate à usage général FDI LIGHT. Graphique par Aylont1. En faisant les calculs, on se rend compte que le coût final du navire (avec son armement et ses munitions) est passé nettement sous la barre des 750 millions d'euros. Même si nous l'équipons finalement d'une charge complète de missiles RAM et d'un lanceur (+45 millions) et de Leonardo LIONFISH 30 30mm RWS avec munitions programmables (+5 millions) au lieu de LIONFISH 20 RWS, le coût ne dépassera pas 800 millions d'euros. Le projet pourrait même recevoir un troisième LIONFISH 20 RWS, installé dans l'espace vide près de la passerelle (à tribord), afin de renforcer son armement secondaire. Notre proposition est d'adopter cette configuration GP ou alternativement LIGHT des FDI HN, dans le cadre d'un programme national de construction navale d'au moins trois (3) unités, similaire au cas de la classe Kimon. Tout ajout ou amélioration de l'armement pourrait être effectué ultérieurement, tandis que dans le cadre d'une MLU de 20 ans, une configuration similaire pourrait être adoptée et le FDI HN mis à niveau à ce moment-là. De cette manière, le pays hôte pourra acquérir de véritables frégates qui n'auront rien à envier aux autres navires de la région, sans être contraint de faire des compromis avec des navires plus petits et aux capacités proportionnellement moindres, comme les corvettes. L'engagement de fonds pour y parvenir se fera dans des limites raisonnables et acceptables à la fois par les dirigeants militaires et, bien sûr, par la sphère politique. La Grèce sera ainsi en mesure d'atteindre une sorte d'autonomie partielle en termes de conception des IED, tandis que la flotte deviendra redoutable, permettant le retrait des frégates obsolètes de la classe Elli (Kortenaer). Plutôt que d'opter pour une flotte grecque composée uniquement de frégates GOWIND et FDI comme indiqué dans ce graphique du groupe naval, notre proposition suggère une approche raffinée : intégrant exclusivement deux configurations distinctes de navires FDI - la variante polyvalente multi-missions et la version agile légère/usage général. Nous soulignons ici qu'outre le coût exceptionnellement abordable de cette option pour le renforcement de la flotte, dans le cadre d'un ensemble permettant un nombre beaucoup plus important de constructions, la resélection de l'IED simplifie à la fois la formation du personnel et la mobilité d'une unité à l'autre. Il rationalise également l'exploitation opérationnelle et la maintenance des navires, en réalisant des économies d'échelle dans des sous-systèmes clés. C'est un choix logique, qui va dans la bonne direction ! Je vous remercie pour le temps que vous avez passé à lire mon article, et je remercie tout particulièrement mes amis Dimitris Mitsopoulos pour l'hébergement, l'édition et l'encouragement inébranlable qu'il m'a prodigué pour faire naître cet article, et bien sûr Aylont1 pour avoir habilement transformé le concept de la FDI LIGHT en une représentation visuelle captivante.
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