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Tout ce qui a été posté par Titus K
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Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est quoi ce FSMO si ce n'est pas le Blacksword Barracuda (Orka) ? Le Scorpène EVO ou un nouveau SMX ? https://www.naval-group.com/fr/portrait-constance-jeanroy-chargee-detudes-et-essais-systeme-darmes-tactiques Il y a neuf mois, j'ai basculé en R&D pour travailler sur la ligne de produit système d'armes tactiques (SAT 3.0) qui sera déployé à terme sur le Blacksword Barracuda et le futur sous-marin océanique (FSMO), des sous-marins destinés à l’export. Le système d’armes tactiques est un des systèmes majeurs des sous-marins, il permet de mettre en œuvre les torpilles, missiles et mines afin qu’elles puissent atteindre les cibles désignées. » -
Super merci beaucoup, ca donne une bonne idée comme ca ! J'étais arrivé à la même conclusion ... mais sans croquis par contre Au passage si ce classement ne contient pas d'erreur, 30 (6+24) ca fera de l'Orka le SSK avec le plus d'armes à bord ... --> http://www.hisutton.com/World-Submarine-Ranking-Weapons-Load.html Les KSS-3 coréens marlgré leurs VLS (6 à 10) ont en fait très peu d'armes dans la salle des torpilles(6+8), soit un total de 20 à 24. Même les SSK Japonais n'ont "que" 21 armes en tout (6+15).
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Justement a ton avis comment seraient stockées les 30 armes (full size) annoncées par Naval Group ? On en voit 22 dans l'illustration, 6 dans les tubes + 16 stockées ... pourrait on ajouter un 3ème etage de 8 armes ? D'ailleurs dans le marineblad on voit les 6 TLT et le MOAS de l'exterieur :
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[Le monde de l'ALAT] Aviation Légère de l'Armée de Terre.
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
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La délégation grecque a oublié d'apporter la météo avec elle Des vidéo dans cet article --> https://www.onalert.gr/enoples-dynameis/yetha/fdi-kimon-i-ypsosi-tis-ellinikis-simaias-dendias-i-entaxi-ton-tessaron-fregaton-dimioyrgei-to-ischyrotero-naytiko-poy-eiche-o-ellinismos/652523/
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C'est vrai que 4 équipages Walrus = 6 équipages Orka Walrus : 4 x 54 = 216 Orka : 6 x 37 = 222 Seulement ~30 mois pour l'assemblage d'une premier de série c'est vraiment ambitieux !
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Le Luxembourg signe pour 38 Jaguars et 16 Griffons --> https://www.forcesoperations.com/une-premiere-tranche-de-vehicules-scorpion-pour-larmee-luxembourgeoise/
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foutaises, ou alors il faut des sources
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Un énorme dossier sur les sous-marins Orka dans le dernier Marineblad --> https://www.marineblad.nl/images/Marineblad/2025/Nr._8/Marineblad nr. 8 jrg. 135 december 2025 PP-HR COMP.pdf J'ai lu une page au hasard pour voir s'il y avait du neuf et il semblerait que oui --> On apprend par exemple que la marine va former 6 équipages pour que les 3 sous-marins opérationnels (sur 4) aient un maximum de jours de mer par an. Je vous ferai un compte rendu ce soir.
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Le secrétaire d'État Tuinman jette un coup d'œil au fabricant de sous-marins Naval Group https://www.defensie.nl/actueel/nieuws/2025/12/16/staatssecretaris-tuinman-neemt-kijkje-bij-onderzeebootbouwer-naval-group Article de presse | 16-12-2025 | 17:16 Le secrétaire d'État à la Défense Gijs Tuinman était hier au chantier naval de Naval Group à Cherbourg. Les 4 sous-marins de classe Orka pour la Défense y sont construits. Les premiers contrats avec les sous-traitants néerlandais ont maintenant été conclus. Ils concernent, entre autres, les systèmes hydrauliques et l'approvisionnement en eau à bord. Outre l'importance de cette collaboration, Tuinman a souligné que les contributions des entreprises néerlandaises conduisent au succès du projet. Le secrétaire d'État a été rejoint en Normandie par Pierre Eric Pommellet et Laurent Espinasse, respectivement le PDG et le vice-président exécutif des sous-marins de Naval Group. La compagnie a fait une visite du chantier naval, où la construction de sous-marins français est actuellement en cours. À terme, la construction des sous-marins pour les Pays-Bas suivra. Le premier bateau devrait être livré en 2033, le dernier en 2037. Sous-marins néerlandais Le programme de remplacement des sous-marins néerlandais est sur la bonne voie. Actuellement, l'ingénierie et la conception de la classe Orka sont pleinement accentuées. En outre, les préparatifs de la phase de soutien sont déjà en cours pendant la période où le premier bateau est livré. La transition du service sous-marin à l'arrivée des nouveaux sous-marins est également en mouvement. Visite de l'atelier et de l'ascenseur de navire Tuinman a visité, entre autres, l'atelier « Legris », l'un des principaux halls de production de sous-marins. Cette salle joue un rôle crucial dans la fabrication des coques à pression et d'autres structures des sous-marins. L'ascenseur de navire est également une partie impressionnante du chantier. Actuellement, il est utilisé pour l'achèvement de la construction du SSN français De Grasse. À l'ascenseur du navire, Tuinman a vu comment l'équipage travaille quotidiennement avec les équipes de Naval Group pour tester le sous-marin. La visite du SSN Rubis en construction a complété la visite. Le SSN français De Grasse et le SSN Rubis appartiennent tous deux à la classe Suffren pour la Marine Nationale. La classe Orka pour les Pays-Bas est basée sur cela. La complexité de la planification, de la construction et de l'intégration des différentes parties du nouveau bateau est immédiatement devenue évidente. Il a donné une bonne impression de l'expertise technologique et industrielle nécessaire à la construction de la future classe Orka néerlandaise. À la fin de la visite, la bonne progression du projet de l'Orque a été à nouveau examinée. Cela offre des opportunités pour l'industrie néerlandaise. Enfin, Tuinman et Pommellet ont souligné une fois de plus la coopération fructueuse entre les parties concernées. Des accords-cadres ont été conclus ou des commandes ont été passées avec de nombreuses parties néerlandaises en relation avec l'Orque, tels que : RH Marine, Royal IHC, Van Halteren, Optics11, Verebus, MARIN, Bolidt, Combimac, Hatenboer, TNO, et Nevesbu et Solico.
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On avait déjà posté les tweets d’O.Schmitt sur le fil. Cet homme déteste Trappier et Dassault https://forum.air-defense.net/topic/23594-scaf-politique-imbroglio-des-coopérations-des-participants/page/406/#comment-1839622
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J'aime bien la couleur perso ... je trouve ca très Irlandais
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Je vois pas bien en quoi ça a de l’importance que le tweet ait 45 jours, je suis tombé dessus aujourd’hui par hasard, c’est tout... Pourquoi ne pas en causer ? "a remarkable claim that is flattly untrue" ... venant d'un expert qui m'a pourtant l'air bien informé (et qui n'a pas l'air d'être un haineux envers la france), je trouve que c'est violent ... il dit que le CEMA ment. Recherche avancée : https://x.com/search?q=from%3AJohn_A_Ridge samp%2Ft&src=typed_query&f=live Au Danemark on évoque un achat de Patriot comme gap-filler qui pourrait ensuite être livré à l'Ukraine une fois que les Danois auront recu leur SAMP/T NG
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Vu sur twitter mais je ne retrouve plus le fil ... Les Mindef, cema et cemm Grecs ainsi que C.Vautrin seront à Lorient pour la livraison da la FDI Kimon et ... du coup ca spéculait sur des nouvelles annonces, perso j'y crois pas trop.
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Toujours sympa de voir des américains affirmer que notre CEMA est un menteur
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
600 millions par an ca fait une demi-douzaine de Rafales + un paquet de Scalp/AASM par an aussi ... -
Fincantieri construit un nouveau bassin XXL pour les paquebots Sestri Ponente : le projet d’agrandissement des chantiers navals progresse – Le dossier spécial Fincantieri https://www.primocanale.it/porto-e-trasporti/60809-fincantieri-ribaltamento-a-mare-sestri-ponente-cantieri-navali.html L’agrandissement du chantier naval Fincantieri de Sestri Ponente franchit une étape décisive avec la construction d’un nouveau mégabassin, l’extension des quais et un ensemble complexe d’ouvrages structurels qui redéfinissent la capacité de production du site. L’objectif est de préparer Gênes à accueillir des navires de dimensions toujours plus importantes et à s’imposer dans le segment haut de gamme de la construction navale internationale. Nouveau bassin Le cœur du projet est le nouveau bassin de radoub, destiné à accueillir des navires de 360 à 380 mètres de longueur, d’environ 50 mètres de largeur et avec un tirant d’eau de 11 mètres. Il s’agit d’un saut dimensionnel considérable par rapport aux capacités actuelles, aujourd’hui limitées à des navires de croisière de plus petite taille. La construction de ce mégabassin est l’élément clé qui projette le site dans la compétition mondiale avec les installations les plus avancées du secteur. Quais élargis Le projet prévoit la réalisation d’un quai sur pieux du côté Est, offrant un front opérationnel de 313 mètres pour les phases d’armement des navires sortant du bassin. Du côté Ouest, le bassin existant sera transformé en aire de service destinée à accueillir les sections préassemblées des nouvelles unités. Les travaux sont menés en coordination avec Fincantieri afin de garantir la continuité opérationnelle du chantier. Fondations spéciales Les opérations se poursuivent avec la réalisation de parois moulées et de pieux de grand diamètre constituant l’ossature structurelle du nouveau bassin. Les parois, réalisées par excavation à l’aide de bennes mécaniques, atteignent des profondeurs comprises entre 19 et plus de 30 mètres. Elles assurent à la fois la stabilité structurelle et l’étanchéité hydraulique, permettant un approfondissement de l’excavation jusqu’à une hauteur utile d’environ 18 mètres. Les armatures, particulièrement complexes, ont été conçues avec des profilés laminés spécifiques. Ouvrages complémentaires Les interventions comprennent la démolition partielle des ouvrages existants ainsi qu’un dragage d’environ 100 000 mètres cubes, prévu après la réalisation du bassin et dont l’achèvement est programmé d’ici 2028. D’autres travaux concernent l’adaptation des zones terrestres et du plan d’eau aux dimensions accrues des navires appelés à y transiter. Ces opérations s’inscrivent dans le cadre plus large du programme de relance des infrastructures du système portuaire de Gênes. Quai d’armement Le nouveau quai d’armement apporte une extension d’environ 15 000 mètres carrés par rapport à la zone actuelle, avec un front d’accostage d’environ 315 mètres disposé de manière oblique afin de faciliter l’amarrage des navires de dernière génération. Les travaux de génie civil visent une échéance de fin d’année, tandis que la pleine mise en service — incluant les installations et la préparation pour une future grue — est prévue pour janvier 2026. Avancement des travaux Le chantier est actif sur cinq à six fronts simultanés, entre travaux de génie civil et installations techniques : pose des éléments préfabriqués sur le tablier, installation du nouveau poste électrique, préparation des réseaux dans le tunnel côté mer, achèvement des équipements de quai et pose des rails le long des voies de roulement. Toutes les activités sont menées en coordination avec Fincantieri afin de minimiser les interférences avec la production. Impact industriel Le réaménagement côté mer constitue une opération stratégique pour Fincantieri et pour l’ensemble du système industriel ligure. L’agrandissement du chantier permettra d’augmenter la capacité de production, de construire des navires de plus grandes dimensions, de consolider l’emploi qualifié et de renforcer le rôle de Gênes dans la construction navale internationale. Il s’agit d’un projet destiné à modifier le profil du quartier et le poids du pôle productif sur le marché mondial.
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NHIndustries voit de nouveaux acheteurs du NH90 alors que les commandes complémentaires se multiplient https://aviationweek.com/defense/aircraft-propulsion/nhindustries-sees-new-nh90-buyers-top-orders-mount NHIndustries cherche à retrouver une dynamique positive pour décrocher de nouvelles commandes de son hélicoptère NH90 l’an prochain, après avoir remporté plusieurs contrats complémentaires (top-up). L’entreprise est en discussion avec « de nombreux nouveaux prospects », indique le président de NHIndustries, Axel Aloccio. « Nous sommes fortement engagés dans de nombreuses campagnes commerciales. » Selon lui, au moins certaines d’entre elles devraient déboucher sur des annonces l’année prochaine. Ces contrats interviendraient après que la coentreprise réunissant Airbus, Leonardo et GKN a conclu ce mois-ci une commande complémentaire avec les Pays-Bas portant sur trois NH90. Axel Aloccio suggère qu’une autre annonce de commande additionnelle avec un client différent pourrait être rendue publique avant la fin de l’année. En septembre, le gouvernement espagnol a approuvé l’achat d’un troisième lot de NH90, comprenant 32 appareils. NHIndustries a récemment achevé la dernière livraison de NH90 à la Grèce et au Qatar. Reconnaissant les difficultés passées du programme, Axel Aloccio affirme que les performances en matière de respect des délais se sont améliorées. « Nous avons connu des retards par le passé, mais pour tous les contrats que nous avons signés récemment, nous avons respecté les délais. » L’entreprise a également intégré le premier NH90 de transport tactique destiné aux forces spéciales françaises dans sa chaîne d’assemblage final. Ces hélicoptères doivent être livrés à la mi-2026. Axel Aloccio indique enfin que la société espère signer, dans les prochaines semaines, l’étude d’architecture de la configuration NH90 Bloc 2 (Blk. 2). Cette version vise à traiter les problèmes d’obsolescence, à accroître l’autonomie de l’appareil, à simplifier la maintenance et le soutien, à intégrer une avionique modulaire et à ajouter de nouvelles capacités, telles que de nouveaux armements ou des technologies de coopération entre systèmes habités et non habités.
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Ce serait un deal global avec l'Irlande donc je poste ici : Contrat G2G, on évoque entre 300 et 500 M € Le gouvernement accepte de négocier avec la France pour l’achat d’un système radar militaire https://www.thejournal.ie/radar-systems-france-ireland-primary-radar-deal-6905531-Dec2025/ Le projet fournira des radars pour des bases radar terrestres à longue portée, des systèmes de défense aérienne et des radars embarqués sur les navires pour le service naval. LE GOUVERNEMENT A donné son feu vert pour entamer des négociations avec la France concernant sa proposition de fournir à l’Irlande son premier radar militaire primaire. La décision a été confirmée ce soir par la ministre de la Défense, Helen McEntee, et permettra désormais d’engager des discussions avec les autorités françaises afin d’acheter les systèmes. Comme l’avait précédemment révélé The Journal, des responsables irlandais examinaient une approche dite de gouvernement à gouvernement afin d’accélérer l’acquisition d’équipements militaires indispensables. Le projet comporte trois éléments principaux : des radars primaires terrestres à longue portée, des systèmes de défense aérienne terrestres qui incluront un système anti-drones, des radars maritimes pour les navires de la marine. Le Cabinet a aujourd’hui donné son accord pour le projet connu sous le nom de Military Radar Programme. La ministre a informé le gouvernement que les responsables de la défense avaient déterminé qu’une approche au niveau gouvernemental avec un seul pays était l’option privilégiée. La ministre a déclaré que son département entamerait immédiatement des négociations détaillées avec la France concernant un accord potentiel pour la fourniture de l’ensemble des capacités requises dans le cadre du programme. Il n’est pas confirmé quelle entreprise sera impliquée dans l’achat, mais l’État irlandais a récemment signé un accord avec l’entreprise française Thales pour des équipements sonar destinés aux navires de la marine. Elle fabrique également des systèmes radar. L’entreprise française KNDS a également déclaré être en discussion avec l’Irlande concernant le remplacement de véhicules blindés. Elle fabrique aussi des systèmes d’armes antiaériennes et de lutte anti-drones. Les propositions françaises sont coordonnées par la Direction Générale de l’Armement (DGA), qui est l’organisme d’acquisition du ministère français des Armées. Le ministère de la Défense (DOD) a indiqué que les coûts totaux ne seront pas connus avant la fin du processus de négociation. Par le passé, The Journal a rapporté que des sources militaires estimaient que le projet pourrait dépasser 300 millions d’euros. Le département de la Défense a déclaré que toutes les dépenses proposées seront couvertes dans le cadre du Plan national de développement. Helen McEntee, ministre de la Défense, a déclaré que le projet radar est « une action clé » de l’allocation de 1,7 milliard d’euros destinée aux Forces de défense dans le cadre du Plan national de développement. « Il s’agit d’une étape essentielle du plan du gouvernement visant à renforcer la sécurité nationale et la nécessité de consolider en permanence nos capacités de défense, comme indiqué dans le Programme de gouvernement ». « Après avoir examiné toutes les options disponibles, l’évaluation de l’équipe du projet a conclu qu’une approche au niveau gouvernemental est la seule manière réalisable pour l’Irlande de développer les capacités radar requises. « Cette approche garantit l’utilisation de l’expérience et des connaissances d’un pays partenaire de confiance, ce qui ne peut être fourni par aucune autre option, en particulier parce que nous devons acquérir une capacité complète afin de développer une image aérienne reconnue complète (RAP) », a-t-elle déclaré. La ministre a indiqué que l’ensemble du projet radar sera livré d’ici la fin de l’année 2028, mais que certains des systèmes commenceront à être déployés dès l’année prochaine. McEntee a également déclaré que des négociations finales étaient en cours pour obtenir des technologies anti-drones avant la présidence de l’UE en juillet prochain. Cette annonce intervient à la suite de l’incursion de drones lors de la récente visite de Volodymyr Zelenskyy. « Le gouvernement s’engage à faire en sorte que la présidence soit un succès et nous prendrons toutes les mesures de sécurité nécessaires à cet égard. « Mon département travaillera avec les Forces de défense pour s’assurer qu’elles disposent de la capacité d’identifier et de neutraliser les menaces posées par les drones et, le cas échéant, de soutenir An Garda Síochána », a-t-elle ajouté.
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Pour les sous-marins, il y aura a partir de 2028 2 nefs d'assemblage : Laubeuf pour les SNA / SNLE --> occupée après les 6 SNA pour livrer le 1er SNLE en 2035/37 ... Elle va d'ailleurs subir un lifting juste apres la livraison du SNA nº6, donc un 7ème / 8 SNA ne semblent clairement pas prévus 1 nouvelle pour l'export --> occupée par les Orka jusqu'en 2035/37 Pour Saint-Nazaire et 2ème PA, on parle plutôt de post 2035.2040 ... et il faudra les budgets adéquats Wiki donne ca (il oublie les BRF) -
J'ai ecrit Dassault, pas DS ou DA ... le GIMD (que E.Trappier préside au passage) controle 45% de DS ... qui finance l'IFRI. On va faire combien de pages sur ces quelques tweets spéculatifs de JM Tanguy (que j'ai retrouvé) ???? Il compare le programme 321 MPA sous controle de la DGA / MN à des programmes Européens (Eurodrone / A400M) Bizarremenent il a pas cité l'A330 MRTT, un avion civil modifié, comme l'A321 MPA tiens ... ni les retards de l'Archange dont on aurait bien besoin.
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Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
@mudrets A propos de ce prospect lituanien, c'est lequel des 3 pays baltes qui a herité de la plus grosse flotte soviétique ? -
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Vautrin x Morin ? Le cauchemar Bon sinon poste tes sources stp ... je dois faire ma petite enquete à chaque fois -
Le chasseur du SCAF « très improbable » après les discussions entre ministres, selon une source https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/fcas-fighter-jet-very-unlikely-after-ministers-talks-source-says-2025-12-16/ BERLIN, 16 décembre (Reuters) – Une réunion entre les ministres de la Défense français, allemand et espagnol la semaine dernière n’a pas permis de dégager une avancée décisive pour sauver le programme de chasseur franco-germano-espagnol SCAF (FCAS), en difficulté, ont déclaré mardi trois personnes proches du dossier. Le projet de 100 milliards d’euros, dans le cadre duquel les trois pays devaient construire conjointement un avion de combat de cinquième génération destiné à remplacer les Rafale français et les Eurofighter allemands et espagnols, est désormais « très improbable », a ajouté l’une des sources. Les sources ont indiqué que la France espérait repousser à l’an prochain une décision que l’Allemagne souhaitait voir finalisée d’ici la fin de l’année 2025. Une annonce indiquant que le projet passerait à l’étape suivante avait auparavant été envisagée pour la réunion de cette semaine des chefs de gouvernement de l’UE à Bruxelles. Deux autres sources industrielles ont également déclaré qu’elles s’attendaient à ce que les discussions sur la prochaine phase du programme soient repoussées à 2026, estimant qu’il n’y avait rien à gagner à exposer publiquement un différend à ce stade. Les ministères français et allemand de la Défense n’ont pas immédiatement commenté. Les trois pays peinent également à parvenir à un accord sur le « cloud de combat » et les systèmes de drones prévus dans le cadre du programme SCAF, lequel était destiné à remplacer les chasseurs actuels de quatrième génération à l’horizon 2040. Au cœur du différend se trouve la volonté de l’industriel militaire français Dassault de jouer un rôle de premier plan dans le projet devant Airbus, son partenaire allemand — une position que l’Allemagne juge intenable, selon les sources. L’une des difficultés réside dans le fait que les deux pays ont besoin des avions pour des missions différentes. La France a besoin d’appareils capables d’emporter des armes nucléaires et d’opérer en interopérabilité avec son porte-avions, tandis que l’Allemagne, qui ne dispose pas de porte-avions, a déjà accepté d’acheter des avions américains F-35 pour assurer le portage des armes nucléaires de l’OTAN. Plus tôt mardi, le président de Dassault a exprimé des doutes sur l’avenir du programme, déclarant qu’il dépendait de la volonté de l’Allemagne de revoir sa dépendance aux importations d’armements américains.
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Premier des 10 livré à la DGA