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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Titus K

    Marine Grecque

    La signature se fait attendre ... Pas de nouvelles de la quatrième frégate, les gars ? Sommes-nous sur le point de manquer une autre deadline ? Le contribuable devra-t-il à nouveau payer la facture de cet échec ?
  2. Je vais pas m'embêter, voila du ChatGPT Le sentiment général exprimé dans cette section de commentaires est largement critique et pessimiste envers la position des Pays-Bas dans le domaine de la coopération navale européenne, notamment face au potentiel succès de l’exportation de la FDI (frégates françaises) en Suède et en Norvège. Résumé des sentiments dominants : Frustration face à l’isolement néerlandais : De nombreux commentateurs soulignent que les Pays-Bas sont de plus en plus « hors jeu » dans les programmes navals européens, souvent à cause d’un manque de vision stratégique, de coordination, ou de coopération. Il est reproché aux acteurs néerlandais (Damen, KM, Commit) de s’entêter à développer des concepts propres au lieu d’adopter des solutions existantes, déjà éprouvées. Critique de la gestion nationale des projets navals : L’ASWF (Anti-Submarine Warfare Frigate) est vue comme un programme trop lent, rigide, inadapté aux besoins d’exportation. Plusieurs appellent à son annulation au profit de frégates déjà en production (Type 26, FREMM, etc.). Méfiance envers la France, mais reconnaissance de son efficacité : Une partie des intervenants exprime une méfiance traditionnelle envers la France et sa centralisation (ex. « rois du soleil »), mais concède que le pays réussit mieux à exporter ses produits grâce à une meilleure diplomatie, un design adaptable, et une offre structurée. Macron et la diplomatie française sont décrits comme efficaces et stratégiques, contrairement aux politiques néerlandaises jugées inefficaces. Appels à plus de pragmatisme et de coopération : Certains prônent une attitude plus ouverte : acheter ce qui fonctionne déjà, coopérer avec d'autres pays, et mettre de côté la fierté industrielle nationale si elle est contre-productive. Des suggestions incluent l’usage de la diplomatie douce (par exemple, impliquer la royauté) et la mise en avant de navires modulaires plus flexibles. Tonalité globale : Déception, inquiétude, colère contenue, et désillusion quant à la politique navale néerlandaise actuelle. Un ton parfois moqueur ou sarcastique, révélateur d’un désenchantement profond vis-à-vis du manque de leadership ou de pragmatisme. Les commentateurs voient dans l'intérêt potentiel pour la FDI en Suède/Norvège un signal d'échec stratégique pour les Pays-Bas. Le sentiment dominant est que les Néerlandais sont en train de rater le coche, isolés par orgueil industriel, un manque de diplomatie efficace, et une incapacité à livrer des solutions concrètes à temps.
  3. Pareil pour la L22 aujourd'hui, la MN semble avoir de l'avance sur ses pairs
  4. Titus K

    Marine Britannique

    C'est bien le forth bridge en écosse ? https://en.wikipedia.org/wiki/Forth_Bridge le mystere s'épaissit ...
  5. Titus K

    Marine Britannique

    ?? Il est arrivé en écosse hier pour débuter sa période d'entretient en cale sèche -->
  6. Marineschepen a publié un article en clair sur la FDI. Les commentaires sous l'article sont ce qu'il y a de plus intéressant La Norvège et la Suède envisagent l'achat de frégates FDI --> https://marineschepen.nl/nieuws/Noorwegen-en-Zweden-in-beeld-voor-export-Franse-fregatten-240725.html
  7. Ca pourrait servir a detecter les drones par exemple ? Qui seraient ensuite traités a la RGL ou a la 12.7 ?
  8. Titus K

    Marine Danoise

    Dans une interview accordée à Jyllandsposten, l'ambassadeur de France à Copenhague, en France, déclare sa volonté de construire les nouvelles frégates Danoises. Actuellement, trop de facteurs s'opposent à la sélection de la FDI, y compris l'exigence principale d'une frégate de défense aérienne de zone et non d'une frégate légère à usage général La France souhaite construire des frégates danoises https://jyllands-posten.dk/international/ECE18345572/frankrig-vil-gerne-bygge-danske-fregatter/ La France dispose de l’expertise que le Danemark a perdue, selon l’ambassadeur de France, Christophe Parisot, en visite à Frederikshavn pour évaluer la situation. Le porte-hélicoptères français PHA Mistral a accosté à Ndr. Toldbod à Copenhague. Le navire a été construit sur deux chantiers différents en France, puis assemblé. La visite d’un porte-hélicoptères français, en l’occurrence le deuxième plus grand navire de guerre de France, dans un port danois est un événement si rare qu’il n’est pas passé inaperçu lorsque le Mistral a accosté à Copenhague. Pas même pour le roi Frederik X, qui a été accueilli par une salve de 21 coups de canon et a prononcé un discours devant un public trié sur le volet, transporté entre les ponts du navire grâce à un immense ascenseur normalement utilisé pour déplacer les hélicoptères et véhicules militaires embarqués sur ce bâtiment long de 199 mètres. Selon l’ambassadeur de France, Christophe Parisot, ce ne sera pas la dernière fois que la marine française fera escale au Danemark. Depuis l’invasion de l’Ukraine par Poutine en 2022, la France a réorienté son attention vers l’Atlantique Nord et la mer Baltique, et entend participer à davantage d’exercices avec le Danemark et les autres pays membres de l’OTAN. « Nous verrons plus d’escales, plus d’exercices conjoints, plus de missions communes », déclare-t-il, citant spécifiquement la mer Baltique, mais aussi l’Arctique, qui suscite un intérêt croissant pour la France. Mais l’attention française porte également sur d’autres aspects de la marine danoise. Quatre jours après la visite du roi à bord du Mistral, le ministre danois de la Défense, Troels Lund Poulsen (Venstre), a publié un communiqué de presse annonçant que les partis derrière l’accord de défense étaient désormais d’accord pour établir des infrastructures physiques pour la construction de grands navires militaires à Frederikshavn. Manque d’expérience La formulation exacte de cette annonce suscite diverses interprétations. Le Danemark s’apprête à moderniser sa flotte. Des décisions ont déjà été prises concernant des navires pour la Garde nationale maritime ainsi que des bâtiments de lutte contre la pollution et de pose de mines, mais un accord pour l’acquisition de nouvelles frégates n’a pas encore été conclu. En août 2022, l’ancien ministre de la Défense, Morten Bødskov (Social-démocrates), avait déclaré que les navires devaient être construits dans des chantiers danois. Il avait mis en avant la sécurité de l’approvisionnement, le rôle du Danemark en tant que grande nation maritime, et le fait que cette construction profiterait à l’industrie danoise de la défense, à l’emploi local, et à la sécurité nationale. Cependant, un obstacle majeur subsiste : depuis que la dernière frégate danoise, la Niels Juel, a été lancée par le chantier naval de Lindø en 2011, ce dernier a fermé l’année suivante. L’un des constructeurs navals les plus expérimentés du pays, l’ingénieur Hans Otto Kristensen, a déclaré au magazine Ingeniøren que le Danemark ne dispose plus de la main-d'œuvre technique ni des compétences nécessaires pour entreprendre la construction aussi complexe qu’un navire de guerre. « Nous ne pouvons pas construire ces navires au Danemark, car nous n’avons plus de constructeurs navals », affirme Hans Otto Kristensen. Christophe Parisot s’est récemment rendu à Frederikshavn et souligne que construire une frégate est un projet colossal. Même si le Danemark en a les moyens financiers, il faut réfléchir attentivement : « La question porte plutôt sur l’expertise, et sur le fait de savoir si le Danemark possède encore cette expertise dans ce domaine spécifique », déclare-t-il, en rappelant que peu d’entreprises européennes sont capables de produire des navires de guerre modernes et sophistiqués. Comme un jeu de Lego « La France fait partie de ces pays, et je pense qu’il existe un réel potentiel pour une coopération industrielle », poursuit l’ambassadeur, ajoutant qu’il pourrait s’agir d’une situation gagnant-gagnant si les entreprises danoises de défense étaient également impliquées. « Nous pouvons tout offrir, de la construction complète à un modèle avec des sous-traitants », explique Christophe Parisot, qui estime que, quoi qu’il se passe à Frederikshavn, ce sera un peu comme assembler une boîte de Lego, chaque pièce venant de lieux différents. Le Mistral, par exemple, a été construit sur deux chantiers français différents. Le groupe DCNS (aujourd’hui Naval Group) a construit la poupe, tandis que la proue a été réalisée par STX Europe. Des sous-ensembles ont été confiés au chantier polonais Remontowa à Gdansk, et les systèmes radar ont été fournis par la société française Thales. La Norvège a écarté le Danemark La Norvège, qui prévoit elle aussi d’acquérir de nouveaux navires de guerre, a opté pour un partenariat. En novembre 2024, le gouvernement norvégien a annoncé que la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne et les États-Unis faisaient partie des candidats retenus. Cela signifie que le Danemark, pourtant présent lors de la phase initiale, a été écarté. Lorsque le ministre français de la Défense, Sébastien Lecornu, a visité la Norvège en janvier 2025, la France et la Norvège ont signé une déclaration d’intention pour renforcer leur coopération militaire. Le gouvernement norvégien a précisé que les deux pays investiraient davantage dans l’équipement militaire, et que la France faisait partie des pays en lice pour fournir des frégates à la marine norvégienne.
  9. Interessant, les hélicos de l'Armée de l'Air seront également dotés du AirMasterC, pas uniquement ceux de la Marine Mono panneau pour le HIL Air et 3 Panneaux pour HIL Marine ?
  10. Titus K

    Marine Norvegienne

    https://www.forsvaretsforum.no/fregatt-jonas-gahr-store-sjo/tok-opp-fregatter-med-store/448384 L’annonce officielle concernant le choix des frégates devrait intervenir « bientôt », selon le Premier ministre.
  11. Pas de problème, mais c'est juste difficile d'y répondre sans violer la charte Je comprend toujours pas ce qu'attendent les belges ? Uniquement du workshare en échange d'une participation financière au développement ?
  12. Venant de T.Francken ... lui-même spécialiste en commentaires dénigrants... Le gouvernement évaluera sa position dans le projet FCAS. En tant que père fondateur de l'OTAN et de l'UE, allié fidèle et titulaire du siège, nous n'avons pas de leçons à tirer des industriels arrogants.
  13. Titus K

    Marine Britannique

    Oui clairement ! En 2016, c'était avec 5/6 Rubis déjà assez vieux que la MN avait annoncé avoir réalisé 1000 jours de mer en 1 an. https://www.meretmarine.com/fr/defense/activite-record-pour-les-sna-francais#:~:text=Ces 1000 jours représentent un,»%2C souligne la Marine nationale. Les sous-marins nucléaires d’attaque de la Marine nationale ont connu une activité exceptionnelle en 2016, cumulant pas moins de 1000 jours à la mer. Un cap historique atteint le 31 décembre par l’Emeraude. « Avec un niveau d’activité en hausse de plus de 10%, c’est la première fois depuis l’armement de ces bateaux qu’un tel taux de présence en mer est atteint. Ces 1000 jours représentent un taux d’effort moyen de près de 85 % pour les équipages, ce qui signifie qu’ils passent 85 % de leur temps à la mer une fois qualifiés opérationnels », souligne la Marine nationale.
  14. Bon il se passe clairement des choses ... les autorités Francaises s'attaquent depuis plusieurs jours a cette plateforme Les autorités françaises font du sale aux cybercriminels dernièrement ! Nouvelle victoire avec l'arrestation de l'"administrateur" -comprendre le cerveau- de l'autre "Amazon de la cybercriminalité" russe ! Pour rappel, ce forum existait depuis plus de 12ans -2013- et on y retrouvait des infos issues du cybercrime de 1ère main ! D'après les autorités, le suspect arrêté, très actif dans la cybercriminalité depuis près de 20 ans, aurait empoché la coquette somme de 7M €. Il a été arrêté en Ukraine, 4 ans après le début de l'enquête ! À noter que depuis cet après-midi le site n'est plus accessible sur le clearnet -comprendre l'internet normal- mais demeure encore/pour le moment accessible sur sa version du darkweb.
  15. Ils étaient habitués à entendre les avions de chasse provenant d’une base aérienne voisine. Mais ce bruit était plus fort et moins familier : un rugissement ponctué d’explosions répétées. Les habitants d’Akalia Kalan, un village du nord de l’Inde, ont bondi de leur lit alors que le bruit se rapprochait, aux premières heures du 7 mai dernier. Dehors, ils ont vu une boule de feu passer au-dessus de leurs têtes et s’écraser dans un champ voisin. L’épave était clairement identifiable comme étant celle d’un avion de chasse. Selon les villageois, deux passants ont trouvé la mort. Les deux pilotes indiens s’étaient éjectés auparavant et ont été retrouvés blessés dans des champs voisins. L’Inde n’a pas encore confirmé officiellement cette information, mais il s’agit de l’un des nombreux avions de chasse perdus lors d’un conflit de quatre jours avec le Pakistan en mai dernier. Le gouvernement indien conteste toutefois les affirmations du Pakistan selon lesquelles six avions de combat, dont trois Rafale, auraient été abattus. Mais des responsables militaires étrangers estiment que cinq avions indiens ont été détruits, dont au moins un Rafale. Et les responsables militaires indiens, tout en refusant de confirmer les chiffres, admettent désormais avoir perdu certains avions. De plus, ils commencent à indiquer que ces pertes pourraient être dues à des erreurs indiennes plutôt qu’à des défaillances technologiques. Ces aveux sont importants, car la Chine est le premier fournisseur d’armes du Pakistan. C’était ainsi le premier conflit dans lequel des avions de combat et des missiles chinois de pointe étaient utilisés contre leurs équivalents occidentaux et russes. Les États-Unis et leurs alliés s’y intéressent particulièrement, car la Chine pourrait utiliser des armes similaires dans une éventuelle guerre avec Taïwan. Les confidences du capitaine Kumar Les premiers rapports suggéraient que le facteur décisif était la supériorité des avions de combat J-10 de fabrication chinoise et des missiles air-air PL-15 du Pakistan. L’Inde semble avoir sous-estimé ces armes. La Chine pourrait également avoir fait pencher la balance en fournissant au Pakistan des données d’alerte précoce et de ciblage en temps réel. Mais compte tenu du succès de l’Inde par la suite, le problème majeur pourrait avoir été la manière dont l’Inde a utilisé ses propres chasseurs lors de la première nuit. L’un des derniers rebondissements les plus controversés de cette saga s’est produit en juin, lorsque les médias indiens ont diffusé un enregistrement du capitaine Shiv Kumar, attaché de défense indien à Jakarta (Indonésie), s’exprimant lors d’un séminaire au début du mois. Il a déclaré que l’Inde avait perdu certains avions uniquement parce que ses dirigeants politiques avaient ordonné à son armée de l’air de ne pas attaquer les défenses aériennes pakistanaises. Au lieu de cela, ils n’ont pris pour cible que des sites militants le premier jour. « Après cette perte, nous avons changé de tactique et nous avons visé leurs installations militaires », a déclaré le capitaine Kumar. Cette déclaration faisait suite à la reconnaissance par le général Anil Chauhan, chef d’état-major de la défense indienne, lors d’une interview télévisée fin mai, que l’Inde avait perdu plusieurs avions lors de la première nuit du conflit en raison d'« erreurs tactiques ». Il a ajouté que l’Inde avait corrigé ses erreurs après deux jours, permettant à tous ses chasseurs de voler à nouveau et de frapper des cibles au Pakistan à longue portée. L’Inde a effectivement remporté plus de succès par la suite, lorsque ses missiles ont réussi à franchir les défenses aériennes pakistanaises et à frapper plusieurs bases militaires. Trois théories sur la table Selon une théorie avancée par des responsables étrangers, le premier jour, l’Inde n’aurait pas équipé ses Rafale de missiles air-air à longue portée Meteor (probablement parce qu’elle pensait qu’ils étaient hors de portée des chasseurs pakistanais ou que la réponse initiale du Pakistan serait moins agressive). Une autre théorie est que les chasseurs indiens ne disposaient pas du matériel de brouillage électronique, des logiciels à jour ou des données pertinentes pour se protéger contre les nouvelles armes pakistanaises. Une troisième explication, plus large, est que l’Inde ne disposait pas des « données de mission » nécessaires pour comprendre comment le Pakistan pouvait identifier ses plans, transmettre les données à ses propres avions et guider les missiles vers leurs cibles. Mais si les avions de combat ont été rendus vulnérables en raison d’ordres donnés par les dirigeants politiques de ne frapper que des cibles militantes, comme le suggère le capitaine Kumar, alors la responsabilité incomberait davantage au gouvernement de Narendra Modi. Bien que conformes à l’approche adoptée par l’Inde lors d’autres affrontements récents avec le Pakistan, où elle a cherché à éviter une escalade, ces ordres n’auraient pas tenu compte des récentes améliorations des capacités pakistanaises. Cette possibilité alimente désormais les allégations de l’opposition selon lesquelles il y aurait une tentative de dissimulation. « Pourquoi le Premier ministre refuse-t-il de présider une réunion multipartite et de mettre l’opposition dans la confidence ? Pourquoi la demande d’une session extraordinaire du Parlement a-t-elle été rejetée ? », demande Jairam Ramesh, porte-parole du parti d’opposition du Congrès national indien. Appel d’offres géant Cela a également des implications pour le plus gros contrat de défense conclu par l’Inde depuis des années. Le lancement d’un appel d’offres attendu depuis longtemps pour 114 avions de combat est prévu cette année. Et Dassault, le constructeur français des Rafale, est l’un des principaux candidats, aux côtés du suédois Saab et des américains Boeing et Lockheed Martin. Mais certaines personnalités militaires indiennes ont laissé entendre que les Rafale avaient sous-performé lors du récent conflit. D’autres se plaignent que Dassault hésite à partager le code source du logiciel du Rafale, empêchant ainsi l’Inde d’adapter l’avion à ses propres besoins. Depuis le conflit, les diplomates chinois auraient également dénigré les Rafale auprès d’autres acheteurs potentiels et les auraient incités à acheter des avions de combat chinois à la place. Les dirigeants de Dassault sont soucieux de rassurer les pays qui ont acheté des Rafale, notamment l’Égypte, l’Indonésie, le Qatar et les Émirats arabes unis, ainsi que les clients potentiels. Mais l’entreprise est limitée dans ses déclarations publiques, de peur de mécontenter l’Inde. On ne sait pas non plus dans quelle mesure Dassault a été autorisée à participer à l’enquête indienne sur cet épisode. Éric Trappier, président de Dassault Aviation, a qualifié de « purement fausses » les affirmations du Pakistan selon lesquelles trois Rafale auraient été abattus. « Lorsque tous les détails seront connus, la réalité pourrait surprendre beaucoup de monde », a-t-il déclaré à Challenges dans une interview publiée le 11 juin. Il a également ajouté que le Rafale était « bien meilleur que tout ce que la Chine propose actuellement ». Question au gouvernement français Le gouvernement français est également sous pression pour expliquer ce qui serait la première perte confirmée d’un Rafale au combat. Marc Chavent, député UDR, a soumis une question écrite au gouvernement fin mai, exprimant son inquiétude quant au fait que le système de guerre électronique Spectra équipant les Rafale indiens n’ait pas détecté ou brouillé les missiles air-air PL-15 de fabrication chinoise utilisés par le Pakistan. Il a demandé si les nouveaux Rafale seraient équipés d’une version améliorée du Spectra et si la France envisageait de développer un avion de combat spécialement conçu pour la guerre électronique. Les performances du Spectra intéressent également les pays qui utilisent ou ont commandé des Rafale. À Akalia Kalan et dans les villages voisins, les proches des morts et des blessés ont, eux, des préoccupations plus immédiates. Raj Kumar Singh, décédé des suites de blessures à la tête causées par l’une des explosions, laisse derrière lui une femme, deux enfants et une mère de 70 ans qui ont peu de moyens pour subvenir à leurs besoins. Ils n’ont encore reçu aucune indemnisation et ni la visite d’un quelconque représentant local ou politique. Au contraire, selon un villageois, les autorités « veulent étouffer l’affaire ».
  16. Ah aucune idée, Unterluess c'est les camions ? J'ai pensé terrestre + Franco-Allemand = MGCS
  17. Titus K

    Eurofighter

    La Turquie conclut un accord de principe avec le Royaume-Uni pour l’achat de chasseurs Eurofighter Typhoon https://aviationweek.com/defense/aircraft-propulsion/turkey-strikes-handshake-agreement-uk-eurofighter-typhoon-buy ISTANBUL — La Turquie et le Royaume-Uni ont conclu un accord ouvrant la voie à un éventuel achat d’avions de chasse Eurofighter Typhoon par Ankara. Le ministre turc de la Défense, Yaşar Güler, et le secrétaire d'État britannique à la Défense, John Healey, ont signé un mémorandum d'entente (MoU) lors du Salon international de l'industrie de la défense (IDEF), ont annoncé les deux parties le 23 juillet. Cet accord prépare le terrain pour des négociations contractuelles, pouvant aboutir à un contrat dès l'automne. Aviation Week avait rapporté le 21 juillet que les deux parties étaient proches d’un accord. Le ministère turc de la Défense a qualifié cet accord de début d’une nouvelle ère dans ses relations avec le Royaume-Uni, "favorisant une collaboration accrue en matière de capacités et soutenant les industries de défense des deux nations par l’acquisition mutuelle d’équipements de pointe". L’assemblage final des avions aurait lieu au Royaume-Uni, chez BAE Systems. L’assemblage final des Typhoon destinés à l’export dépend du gouvernement menant la campagne d’exportation. « Équiper la Turquie avec des Typhoon renforcerait la défense collective de l’OTAN, tout en stimulant les bases industrielles de nos deux pays », a déclaré Healey, qui s’efforce de dynamiser les exportations de défense. « C’est un signal d’intention très positif de la part des deux gouvernements et cela renforce leur relation mutuelle. Nous sommes heureux que l’Eurofighter, le missile Meteor de MBDA et les armements qui équipent le Typhoon soient au cœur de ce mémorandum », a déclaré Simon Barnes, directeur de la division aéronautique de BAE Systems, à Aviation Week. « La Turquie et le Royaume-Uni ne sont pas membres de l’UE, mais sont des membres clés de l’OTAN. L’Eurofighter est l’épine dorsale de la défense aérienne européenne et de l’OTAN… il peut jouer ce même rôle ici », a-t-il ajouté. L’achat envisagé par la Turquie porterait sur des appareils neufs de Tranche 4 assemblés au Royaume-Uni. Des responsables s’attendent également à un certain niveau de compensation industrielle et à une participation de l’industrie turque, bien que l’ampleur de cette implication doive encore être précisée dans une série d’accords de mise en œuvre entre BAE Systems et le gouvernement turc. Le nombre total d’appareils, ainsi que la répartition entre les versions monoplaces et biplaces, n’a pas encore été confirmé. Toutefois, des responsables d’Eurofighter GmbH, l’entreprise qui gère le programme, ont indiqué qu’Ankara envisagerait l’achat d’environ 40 appareils. La Turquie a été largement exposée au Typhoon ces dernières années, notamment grâce à la participation du Royaume-Uni et du Qatar à des exercices aériens régionaux. Le Qatar déploie régulièrement ses Eurofighter en Turquie pour l'entraînement. Dans le cadre de l’achat qatari, les forces aériennes du Qatar et du Royaume-Uni ont créé un escadron commun afin d’accélérer la formation. Des initiatives similaires pourraient être proposées dans le cadre de l’accord turc. L’acquisition du missile Meteor est jugée particulièrement importante pour l’armée de l’air turque, possiblement dans le but d’égaler les capacités de la Grèce, qui dispose de Rafale français équipés du Meteor. Pour le Royaume-Uni, une commande turque de Typhoon permettrait de relancer l’assemblage final de l’appareil sur son sol, interrompu depuis la livraison du dernier avion destiné au Qatar. Les syndicats de travailleurs avaient exhorté le gouvernement britannique à commander de nouveaux appareils pour la Royal Air Force afin d’éviter une rupture de la chaîne d’assemblage, mais le gouvernement et BAE ont soutenu que les contrats à l’export rempliraient ce rôle. Par ailleurs, la production des composants principaux des nouveaux appareils destinés à l’Allemagne, à l’Italie et à l’Espagne est en train d’accélérer, les partenaires du programme cherchant à augmenter les cadences de production. « Aujourd’hui, nous entrons dans les détails… nous sommes confiants quant à cette opportunité et aux autres possibilités d’exportation qui pourraient permettre d’assurer l’assemblage final au Royaume-Uni », a déclaré Barnes. Le Premier ministre britannique Keir Starmer, qui s’était entretenu la veille avec le président turc Recep Tayyip Erdoğan au sujet de cette commande, a déclaré que cet accord potentiel « soutiendrait et protégerait » les emplois dans la défense au Royaume-Uni. « La production britannique des chasseurs Typhoon est un moteur de croissance économique – elle soutient la vie et les moyens de subsistance de milliers de Britanniques dans tout le pays », a affirmé Starmer. L’un des principaux obstacles à l’achat de Typhoon par Ankara a longtemps été l’opposition du gouvernement allemand, en raison de divergences politiques avec la Turquie. Berlin a récemment laissé entendre qu’il serait désormais ouvert à la conclusion de cet accord. La production d’Eurofighter est en train de monter en puissance, portée par des commandes supplémentaires de l’Allemagne et de l’Espagne. Les partenaires du programme poursuivent également des discussions pour de nouveaux contrats ou des commandes supplémentaires avec l’Autriche, la Pologne, le Portugal et l’Arabie saoudite.
  18. Pas bon ca ... Cyberattaque présumée contre NavalGroup Des hackers revendiquent le vol de données sensibles : code source de systèmes de combat, documents techniques, accès réseau, VM de développeurs, échanges confidentiels. Étonnant, quand on sait que Naval Group dispose de son propre CERT et d’une sécurité parmi les plus avancées de la BITD. Une opération de déstabilisation en lien avec un futur contrat stratégique ? Affaire à suivre... CYBERALERT - FRANCE | 1To de données sensibles de Naval Group serait en vente sur le "Amazon de la cybercriminalité" La nuit dernière, une inquiétante revendication a fait son apparition... Un cybercriminel prétend avoir mis la main sur 1To de données... concernant Naval Group - acteur français de la défense et un leader européen du naval de défense, spécialisé dans la conception, la construction et la maintenance de sous-marins et de navires de surface pour la Marine nationale et ses clients mondiaux- Toujours d'après les dires de ce cybercriminel, il aurait mis la main sur : un CMS top secret pour sous-marins et frégates disponible avec code source et guide d'utilisation pour le déploiement de l'infrastructure *Précisant qu'il faut un serveur puissant pour recréer ce CMS top-secret des données réseau concernant des sous-marins et des frégates des documents techniques de la DCN, de la DCNS et de NavalGroup avec différents types de classification comme « Diffusion restreinte », « Spécial France », etc. *Précisant que les documents datent de 2006, mais couvrent principalement la période de 2019 à 2024. des machines virtuelles des développeurs intégrant différents simulateurs de la marine française des échanges confidentiels interceptés via leur messagerie interne (Notes HCL) Ce cybercriminel a accompagné sa revendication d'un échantillon plus que conséquent... 13Go de données... Il donne 72h à Naval Group pour le contacter via Session -une messagerie intraçable et qui a énormément le vent en poupe chez les cybercriminels dernièrement- Passé ces 72h, il publierait gratuitement toutes ces données ! A date, il n'y a aucune conformation de ce piratage. La plus grande prudence est donc de mise ! Cette revendication interpelle de par les infos publiées et la tournure... et pose quelques questions comme le TA -threat actor- qui pourrait se cacher derrière...
  19. Titus K

    Marine Britannique

    Gros plan sur les tubes lance-torpilles sur Astute, il me semble qu'il y a même du revêtement anéchoïque sur les portes ?
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