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Tout ce qui a été posté par Titus K
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https://www.meretmarine.com/fr/defense/naval-group-indret-livre-son-dernier-bloc-moteur-de-barracuda Quant à Indret, Naval Group y a lancé un plan d’investissement colossal de 300 millions d’euros, entre 2022 et 2030, afin d’adapter le site et son outil industriel pour les programmes SNLE 3G et PA-NG. L’établissement, qui emploie plus de 1600 personnes, s’est par exemple doté de l’une des plus grandes machines d’usinage d’Europe pour réaliser les imposantes cuves des chaufferies K22 du futur porte-avions, alors qu’un hall d’assemblage géant va être édifié en bord de Loire pour ces équipements qui pèseront, avec leur enceinte de confinement, quelques 2000 tonnes.
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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
La bonne nouvelle c'est que le Casabiance (6ème) pourrait bien être livré en 2029 comme prévu a l'origine (bonne nouvelle pour les programme Orka / SNLE aussi) https://www.meretmarine.com/fr/defense/naval-group-indret-livre-son-dernier-bloc-moteur-de-barracuda Suffren, livré en juin 2020 et admis au service actif en novembre 2022 Duguay-Trouin, a été livré en août 2023 et mis en service en avril 2024 Tourville, réceptionné par la Marine nationale en novembre 2024 et déclaré bon pour le service en juillet 2025 De Grasse, sorti du hall de construction de Cherbourg en mai 2025 et qui sera livré en 2026. Rubis, qui rejoindra la flotte française en 2028. Quant à la sixième et dernière unité de ce type, dont on pensait qu’elle ne serait pas achevée avant 2030, sa date de livraison prévisionnelle est revenue en 2029, confirme-t-on de sources militaires à Mer et Marine. Naval Group revient ainsi au calendrier fixé pour la fin du programme Barracuda, malgré les trois ans de retard de la tête de série. Un beau tour de force et une excellente nouvelle pour la Marine nationale qui va pouvoir, grâce à une livraison plus rapide des derniers sous-marins, désarmer plus tôt que prévu ses deux ultimes SNA du type Rubis, dont la sortie de flotte interviendra finalement d'ici l'été 2027. La bascule entre les deux générations sera ainsi plus vite réalisée, simplifiant les questions liées aux opérations, à la maintenance et aux ressources humaines. Donc un format 4 SNA de l'été 2027 jusqu'en 2028 (ca coincide avec l'ATM du CdG il me semble) 5 SNA de 2028 à 2029 6 SNA a partir de 2029 (juste avant que le Suffren débutte son 1er arret technique majeur de 18 mois) https://www.defense.gouv.fr/marine/cols-bleus/cols-bleus-magazine/passion-marine/soutiens/marins-nucleaire-dattaque Pour les SNA de type Suffren, un arrêt technique par an d’une durée de dix semaines. Cela représente (aujourd'hui avec 3 SNA Suffren) 36 arrêts techniques et trois arrêts techniques majeurs d’un an et demi tous les dix ans. Le cadre est fixé par le plan de maintenance élaboré avec l’industriel Naval Group et son sous-traitant Technicatome pour la chaufferie nucléaire. Dans quelques années, avec cinq Suffren en cycle opérationnel, il faudra agencer 50 semaines d’arrêt technique sur une année… qui n’en compte que 52, avec seulement deux bassins à Toulon (zone de Missiessy) et un troisième à venir en 2030. Un formidable jeu de Tetris à grande échelle. -
Il faut reconnaitre les talents de négociateurs des Italiens, la fusion airbus/thales/leonardo dans le spacial c'est une coup de maitre également.
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On peut donc supposer que les 2 FREMM EVO commandées par l'Italie vont être livrées au Portugal ? Et en 2029 deux FREMM de la marine italiennes devraient aussi être livrée à la grèce...
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PS : pour nous ca reste un pays qui bascule sur l'écosysteme Sylver / Aster (MdCN?) et sur Captas 4
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Les échecs s'enchainent bien en 2025. Norvège, Canada, Portugal ... Difficile de critiquer le choix du Portugal, ce seront probablement des bons navires. Et puis il faut bien que Fincantieri récupère quelques contrats en Europe L'instabilité politique en France et la nouvelle ministre des armées ne doivent pas airder nos chances à l'export ...
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C'est la roquette Thundart par MBDA et Safran J'ai retrouvé la photo sur le linkedin de Safran defense --> https://fr.linkedin.com/posts/safran---defense_scaleup2030-activity-7402240357792444416-eAP5 Safran souhaite une joyeuse Sainte Barbe à tous les artilleurs A cette occasion, Safran et MBDA sont fiers de dévoiler une photo exclusive de la munition du système THUNDART, cette roquette longue portée « Made in France », développée conjointement pour répondre aux besoins opérationnels des forces françaises. Avec une portée de 150 km, une précision renforcée même en environnements contestés et une architecture souveraine, THUNDART incarne la nouvelle génération d’appui feu longue portée. Les développements se poursuivent à un rythme soutenu et les équipes sont pleinement mobilisées : THUNDART sera prêt pour le tir de démonstration au premier semestre 2026. Et par sainte Barbe, vive la bombarde ! Un autre illustration d'octobre 2025 --> https://www.mbda-systems.com/fr/thundart-la-solution-francaise-pour-succeder-aux-lance-roquettes-unitaires Issue de l'alliance Safran Electronics & Defense et MBDA, THUNDART s’inscrit dans le cadre du programme Frappe Longue Portée Terrestre (FLP-T), un programme 100% français lancé par la Direction Générale de l’Armement (DGA) en 2023. Les tirs de démonstration sont prévus pour la mi-2026. C’est une solution qui repose sur la maturité. THUNDART, le système d’artillerie de nouvelle génération, qui s’appuie notamment sur une roquette sol-sol d’une portée de 150 kilomètres, a été présenté la première fois lors du salon Eurosatory en 2024. D’un côté, le leader européen des missiles, MBDA, dispose d’ores et déjà d’une expertise reconnue dans le domaine des systèmes de combat terrestre, de la frappe longue portée ainsi que des capacités à produire en masse des munitions de cette taille. De l’autre, Safran Electronics & Defense propose une expérience robuste grâce à l’Armement Air-Sol Modulaire (AASM) et qui lui permet de proposer un kit de guidage très proche pour THUNDART. Une réponse rapide face aux nouveaux enjeux du champ de bataille Dans un contexte où la guerre en Ukraine pousse les pays européens à se réarmer, l’Armée de Terre revoit sa copie en matière de défense. A ce jour, elle dispose de 9 LRU capables d’atteindre des cibles à 70 kilomètres. Les enseignements tirés notamment du contexte ukrainien l'encouragent, aujourd’hui, à identifier des pistes technologiques lui permettant d’étendre ses capacités de frappe. Concomitance du calendrier, les LRU en service seront frappés d’obsolescence dans les prochaines années, incitant la Direction Générale de l’Armement (DGA) à lancer le programme FLP-T en 2023, auquel répond précisément MBDA et Safran Electronics & Defense, avec une solution opérationnelle avant 2030. Les deux groupes disposent déjà en propre des technologies critiques, des compétences et des moyens industriels nécessaires. La prochaine étape sera les tirs de démonstration mi-2026. Indépendance et souveraineté européenne Dès 2024, Safran Electronics & Defense et MBDA se mettent en ordre de marche pour répondre à cet appel à partenariats. Les deux groupes exposent pour la première fois THUNDART lors du salon Eurosatory, en juin 2024, avec pour mot d’ordre : souveraineté. Ce système assure une liberté totale en cas de conflit, d’export de matériel (ITAR free) et une maîtrise absolue des évolutions à venir, ainsi que de la production. Les sites de production sont en effet d’ores et déjà identifiés en France. MBDA met à l’honneur ses usines en région Centre-Val de Loire, habituées à produire en série des munitions tactiques de ce format. THUNDART est ainsi la seule solution de ce type produite en Europe. Un système adapté aux besoins des forces armées Sur le plan technique, le système offre une puissance de feu accrue, une capacité de saturation et la réactivité nécessaires dans un conflit de haute intensité. Il sera mobile en tout chemin, autonome et résilient face aux changements de température. THUNDART visera des cibles fixes ou déplaçables et pourra se connecter aux systèmes d’information de l’Armée de Terre, en particulier avec le système de gestion des feux ATLAS. La conduite de tir sera adaptée à celle actuellement utilisée sur le canon CAESAR et conçue par Safran Electronics & Defense.
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https://www.forcesoperations.com/des-vents-contraires-pour-le-prochain-budget-des-armees-francaises/ Face au risque de blocage, la ministre des Armées s’est vu confier le soin d’élaborer un « plan de contingence » pour « documenter les retards, ce à quoi il faudrait renoncer ». Un plan que le gouvernement compte transmettre à la représentation nationale avant le 31 décembre « pour que le débat soit largement éclairé », insiste le Premier ministre. La balle est donc plus que jamais dans le camp parlementaire pour acter ce qui est considéré par la ministre des Armées comme « la première année du futur projet de loi d’actualisation de la LPM 2024-2030 ».
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2 à 4 A330MRTT pour la Pologne avec financement SAFE https://www.aerotime.aero/articles/poland-safe-backing-a330-mrtt-acquisition A government filing from late November 2025 confirms that tanker and transport aircraft are among the priority projects Poland intends to cover through its national SAFE allocation of up to €43.7 billion. Warsaw is reportedly considering the purchase of two to four Airbus A330 MRTT aircraft at a cost of up to €1 billion. Reste à voir si les avions rejoindront la flotte MFF de l'OTAN A return to the MMF was publicly floated in February 2025 by Deputy Defense Minister Paweł Bejda, who said Warsaw was considering rejoining the arrangement and would need to purchase two aircraft to do so. No decision was made, and the nationally operated SAFE-funded route has now become the primary path under consideration.
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Tiens meretmarine évoque des livraisons de Rafale M a partir de 2029 et les Rafale B à partir de fin-2028 https://www.meretmarine.com/fr/defense/l-inde-pourrait-recevoir-ses-premiers-rafale-marine-des-2029 La récente annonce du chef d'état-major de la marine indienne vient donc rassurer sur ce point, sans préciser toutefois, à cette échéance, si les 4 premiers Rafale M attendus en 2029 seront, ou non, précédés des 2 Rafale B prévus au contrat, et qui pourraient en théorie être livrés dès la fin 2028, pour peu que des créneaux de production soient disponibles et que l'Inde en fasse la demande. Il se pourrait cependant que la priorité de l'Indian Navy soit à la livraison des appareils embarqués, les opérations de formation et de transformation de ses pilotes pouvant sans doute être réalisées, dans un premier temps, en empruntant quelques heures de vol sur les Rafale B déjà opérationnels au sein de l'Indian Air Force. L'ensemble des 26 appareils doivent être livrés d'ici 2031, mais des commandes supplémentaires pourraient avoir lieu dans les années à venir, en fonction de l'évolution des besoins indiens. Aussi d'apres M&M c'est 24.M + 2.B ... alors que je pensais que c'était 22.M + 4.B ? D'après beaucoup de sites idiens, les livraisons devraient être terminées 65 mois après la signature du contrat (28 Avril 2025), soit Octobre 2030 au plus tard. https://timesofindia.indiatimes.com/india/mega-rs-64000-crore-deal-for-26-rafale-marine-jets-cleared-by-ccs/articleshow/120120931.cms
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90% de disponibilité en grèce ? Rafale : la prolongation du contrat de soutien des avions de combat a été approuvée par l'Assemblée nationale https://www.onalert.gr/eksoplismoi/rafale-egkrithike-apo-tin-voyli-i-epektasi-tis-symvasis-ypostirixis-ton-machitikon/650393/ Le but de maintenir le très haut niveau de disponibilité des Rafale, pour les quatre prochaines années également, est servi, selon le vice-ministre de la Défense nationale, Ath. Davakis, par le projet de loi intitulé « Approbation du projet de Contrat de Modification du contrat référencé 014Γ/20 pour l’extension du soutien ultérieur des avions de combat de type “RAFALE” », qui a été adopté aujourd’hui par la séance plénière du Parlement. Ont voté pour le principe du projet de loi : la ND, Solution Grecque et le groupe parlementaire Niki ; le PASOK a déclaré « présent », tandis que SYRIZA, le KKE, la Nouvelle Gauche et Plevsi Eleftherias ont voté « non ». Répondant aux partis de l’opposition qui affirmaient ne pas avoir reçu d’information suffisante concernant les annexes du Contrat, ce qui les a empêchés de voter le projet de loi, M. Davakis s’est demandé « quand, par le passé, notre commission a-t-elle jamais reçu des annexes écrites classifiées de contrats dans une procédure d’approbation par la loi, comme celle que nous menons aujourd’hui ? Lorsque nous avons voté le contrat initial d’acquisition des Rafale, nous avait-on distribué des annexes techniques classifiées ? Il n’y a aucun manque d’information. La réalité est que cette direction politique […] a offert infiniment plus d’information, tant qualitativement que quantitativement, par rapport au passé relativement récent », a dit M. Davakis. « Une seule question se pose : voulons-nous une disponibilité élevée au niveau de 90 %, comme le mentionnent le chef de l’état-major général des forces armées et le chef de l’armée de l’air, ou non ? Je regrette de le dire, mais à cette question, l’ensemble de l’opposition — avec quelques exceptions remarquables — répond non », a-t-il ajouté. Comme l’a déclaré M. Davakis en clôturant la discussion, « le Parlement est appelé à ratifier la deuxième modification du Contrat en vigueur pour le soutien ultérieur des avions de combat Rafale. Cette modification concerne l’extension temporelle du Contrat pour quatre ans, combinée à l’augmentation de l’objet matériel, c’est-à-dire du total des heures de vol soutenues. Le but est que notre armée de l’air conserve, comme elle le fait, le très haut niveau de disponibilité des Rafale pour la prochaine quadriennale ». Les prises de position des partis de l’opposition L’opposition a critiqué le fait que le gouvernement demande de voter « de bonne foi » un projet de loi de 16 pages concernant un Contrat de 500 millions d’euros, sans toutefois que les 170 pages de ses annexes soient communiquées au Parlement. Le rapporteur de la minorité et député du PASOK, D. Mantzos, a déclaré que la question n’est pas de savoir dans quelle mesure les Rafale nous sont nécessaires. Cela va de soi, mais comment pouvons-nous discuter d’un Contrat d’un demi-milliard d’euros lorsque les documents qui fondent et justifient une telle dépense (les annexes du Contrat) ne sont pas portés à notre connaissance ? a demandé M. Mantzos. Le porte-parole de SYRIZA, Symeon Kedikoglou, a rappelé que son parti avait voté en faveur de l’acquisition des Rafale ; néanmoins, la charge pour le budget de l’État est importante puisqu’elle approche le demi-milliard d’euros, alors que dans le même temps, des articles essentiels du Contrat et ses annexes correspondantes, avec la répartition détaillée des coûts, ne sont pas publiés, sous prétexte du secret de service. Le porte-parole du KKE, N. Papanastasis, a déclaré que le gouvernement demande au peuple d’accepter de nouveaux lourds sacrifices pour financer l’économie de guerre, de ne pas réagir à l’extension du temps de travail, de ne pas protester contre le fait que ses connaissances et ses mains sont intégrées dans les plans de l’OTAN destinés à semer la mort et la destruction. Mais le peuple dit : « Qu’ils rêvent ! » Il n’y a rien, absolument rien, qui lie la classe ouvrière au drapeau de ceux qui l’exploitent, a dit M. Papanastasis. La porte-parole de la Nouvelle Gauche, Sia Anagnostopoulou, a souligné la nécessité de discuter de tout l’écosystème de la Défense et non de manière fragmentaire — sans remettre en question les officiers qui affirment que les “Rafale” sont de très bons avions. Le porte-parole de Solution Grecque, St. Fotopoulos, a déclaré que les députés appelés à approuver ou rejeter le Contrat sont ceux qui « ne prendront pas connaissance » des détails du Contrat. Le porte-parole du groupe Niki, Tasos Oikonomopoulos, a déclaré qu’il soutient la ratification du Contrat, mais exige reddition de comptes, clarté technique et planification stratégique sérieuse. Enfin, le porte-parole de Plevsi Eleftherias s’est demandé « comment peut-il y avoir transparence alors que nous ne voyons pas ce que nous sommes appelés à voter ? ».
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Marine Australienne: modernisations, acquisitions et exercices navals.
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
Ils doivent aussi donner des milliards au RU ... https://apnews.com/article/australia-united-kingdom-aukus-submarines-b8763b6fd1346a0a08e836fefd858968 SYDNEY (AP) — Australia is set to provide 4.6 billion Australian dollars ($3 billion) to British industry to support the construction of nuclear-powered submarines and ensure its new fleet arrives on time, the two countries said Friday. -
Hélicoptères des armées indiennes / Hélicoptéristes indiens
Titus K a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Hélicoptères militaires
Airbus et Tata Advanced Systems lancent la première ligne d’assemblage d’hélicoptères privée en Inde https://www.assemblymag.com/articles/99591-airbus-and-tata-advanced-systems-launch-indias-first-private-helicopter-assembly-line Par Jennifer Pierce Ligne d’assemblage de l’Airbus H125 Courtoisie d’Airbus 2 octobre 2025 NEW DELHI — Airbus et Tata Advanced Systems Limited (TASL) vont établir à Vemagal, dans l’État du Karnataka, la première ligne d’assemblage finale (FAL) d’hélicoptères du secteur privé en Inde, destinée à produire l’Airbus H125. Le projet représente une étape majeure dans les ambitions aéronautiques de l’Inde, avec le premier H125 « Made in India » attendu d’ici début 2027. L’initiative servira aussi bien les marchés civils que militaires, notamment les vols médicaux d’urgence, les opérations de secours en cas de catastrophe, le tourisme et l’application de la loi. Une variante militaire, le H125M, sera également produite, avec un haut niveau de composants indigènes afin de soutenir les forces armées indiennes, en particulier lors de missions en haute altitude. Cette initiative renforce le partenariat entre Airbus et Tata, après leur installation commune dédiée à l’avion militaire C295 dans l’État du Gujarat. Elle souligne également l’investissement croissant d’Airbus en Inde, où l’entreprise s’approvisionne déjà à hauteur de 1,4 milliard de dollars par an en composants. Le H125, best-seller des hélicoptères monomoteurs d’Airbus, totalisant plus de 40 millions d’heures de vol dans le monde, est réputé pour sa polyvalence et ses performances dans des environnements extrêmes — il est notamment le seul hélicoptère à avoir atterri sur le mont Everest. -
On s'y attendait : 790 au lieu de 820 Ca fait quand même 133 livraisons pour Décembre Airbus updates 2025 commercial aircraft delivery target, maintains financial guidance Company now targets around 790 commercial aircraft deliveries in 2025, in light of recent supplier quality issue on fuselage panels impacting its A320 Family delivery flow 2025 financial guidance remains unchanged Based on a recent supplier quality issue on fuselage panels impacting its A320 Family delivery flow, Airbus SE (stock exchange symbol: AIR) is providing an update to its commercial aircraft delivery guidance for 2025. The Company now targets around 790 commercial aircraft deliveries in 2025.
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Marine Australienne: modernisations, acquisitions et exercices navals.
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
Le rythme de construction des nouveaux sous-marins difficile en raison des infrastructures https://ukdefencejournal.org.uk/build-rate-for-new-subs-difficult-due-to-infrastructure/ Une personnalité de premier plan chargée de la régénération de Barrow a averti les députés que l’ambition affichée par le gouvernement de livrer un nouveau sous-marin SSN-AUKUS tous les 18 mois se heurte à des contraintes bien plus larges que celles liées au chantier naval. Devant le Comité de la défense, Lord Case, président de Team Barrow et ancien secrétaire du Cabinet, a souligné que le calendrier évoqué par les ministres pour la prochaine génération de sous-marins nucléaires comporte des risques qui n’ont pas été résolus. Interrogé directement sur le respect du programme, il a évité toute assurance. Il a qualifié l’objectif de « très exigeant » et ajouté qu’il serait « un véritable défi à relever ». Bien que le comité ait déjà entendu BAE Systems au sujet du calendrier de construction navale, l’échange a mis en lumière une série parallèle d’obstacles nationaux situés en dehors du périmètre du ministère de la Défense mais qui influencent néanmoins la faisabilité du rythme de production prévu dans AUKUS. Case a expliqué que la mission de Team Barrow ne porte pas sur la chaîne d’assemblage elle-même, mais sur la capacité de la ville à accueillir la main-d’œuvre nécessaire. « Nous subissons une pression pour fournir des logements, des écoles et des hôpitaux afin de garantir que la main-d’œuvre soit présente pour produire les sous-marins dans les délais », a-t-il déclaré. Il a reconnu que ces infrastructures de soutien ne sont pas en place. « Nous sommes en retard par rapport à là où nous devrions être. Nous n’avons pas les logements nécessaires pour accompagner la croissance de la main-d’œuvre. » Cette admission soulève des questions quant à la crédibilité de l’engagement national lorsque les conditions préalables accusent un retard par rapport à la planification de la défense. Case a précisé que la préparation de la main-d’œuvre n’est qu’en partie une question de compétences. Même si les objectifs de recrutement sont atteints, la capacité physique d’absorber des milliers de nouveaux travailleurs reste incertaine en raison d’un sous-investissement chronique dans les services locaux. La tentative d’accélérer la construction de logements n’a pas encore produit de changement notable. « Nous avons passé beaucoup de temps ensemble le mois dernier à discuter de la manière dont nous pourrions accélérer la construction de logements », a-t-il indiqué aux députés, tout en soulignant que les détails opérationnels relèvent toujours de BAE et du ministère de la Défense. Les propos de Case montrent que le défi du rythme est autant un problème d’infrastructures civiles qu’un problème industriel, les retards dans les premières risquant de se répercuter sur les secondes. -
Le moment des décisions approche pour la prochaine évolution des appareils de transport aérien https://aviationweek.com/defense/multi-mission-aircraft/decision-time-nears-next-evolution-airlifters Le marché occidental des avions de transport militaire est sur le point d’évoluer, les constructeurs finalisant leurs plans de modernisation et les clients s’apprêtant à faire des choix quant à l’évolution de leurs flottes. Des décisions à court terme chez Airbus et Embraer pourraient les amener à introduire de nouvelles capacités sur leurs avions de transport d’ici la fin de la décennie. Aux États-Unis, la planification s’inscrit sur un horizon plus lointain, mais pourrait déclencher un programme de développement de plusieurs milliards de dollars dans les 24 prochains mois. L’US Air Force vise un nouvel avion de transport stratégique d’ici 2041 Embraer et Airbus courtisent les Émirats arabes unis pour une commande de transporteurs Embraer, par exemple, prévoit au premier trimestre de l’année prochaine de choisir un fournisseur de perche de ravitaillement pour son avion ravitailleur/transport tactique KC-390, a déclaré Bosco da Costa Jr., PDG d’Embraer Defense and Security, lors du salon aéronautique de Dubaï. Le KC-390 fonctionne actuellement comme ravitailleur via un système de nacelle et panier, mais l’ajout d’une perche est essentiel à l’ambition de l’entreprise de vendre l’appareil au département américain de la Défense et pourrait stimuler la demande ailleurs. Airbus espère finaliser d’ici la fin de l’année prochaine les discussions avec les utilisateurs de l’A400M pour définir la prochaine série d’améliorations de capacités de l’appareil. Avant la fin de la décennie, l’entreprise prévoit d’introduire des communications par satellite améliorées et la capacité de contrôler des systèmes aériens sans équipage (UAS), entre autres fonctionnalités. L’effort prend de l’ampleur alors qu’Airbus vise à terminer le paquet de capacités SOC 3 de l’A400M en octobre 2026 pour clôturer définitivement le contrat de développement. Airbus a signé l’année dernière un accord avec l’agence européenne de passation conjointe Occar pour un paquet d’améliorations Block 0 et négocie maintenant un contrat pour le Block 1 vers la fin de l’année prochaine, indique Francisco José Hernández, ingénieur en chef de l’A400M. Le Block 0 inclut des améliorations des communications à bande étroite, une interface homme-machine améliorée et l’introduction du système de distribution d’information multifonction Link 16. La connectivité est un domaine de concentration particulier afin de garantir que l’A400M soit un nœud clé du champ de bataille en évolution, explique Hernández. Cela signifie intégrer différentes options de connectivité à large bande utilisant à la fois des satellites en orbite géostationnaire (GEO) et les options croissantes en orbite basse (LEO), ainsi que d’autres liaisons de données. L’une des options explorées par Airbus est un système roll-on/roll-off permettant de se connecter aux constellations LEO via une antenne dédiée. Pour le système GEO — étant donné que différents utilisateurs possèdent différents systèmes nationaux — Airbus souhaite concevoir une installation générique comprenant, par exemple, un carénage commun et une liaison vers le modem, puis intégrer l’antenne adaptée à la constellation choisie par l’utilisateur. L’objectif est de disposer de cette solution d’ici 2029 dans le cadre du Block 1, selon Hernández. Airbus nourrit aussi l’ambition de transformer l’A400M en « mothership » pour drones ou en système de lancement de missiles de croisière, semblable à la capacité Rapid Dragon démontrée sur le Lockheed Martin C-130 par l’US Air Force. Airbus a déjà démontré la capacité de déployer un drone depuis l’avion et prévoit de pouvoir déployer et contrôler jusqu’à 36 véhicules aériens de taille moyenne, disposant d’une portée d’environ 500 km et de charges utiles variées. Cela implique également d’ajouter des stations de contrôle de mission à bord, précise Hernández. Des clients ont exprimé leur intérêt pour une capacité minimale d’ici 2029. La configuration initiale impliquerait probablement le déploiement d’un nombre réduit de drones et l’ajout de stations de travail à bord, avant d’augmenter la flotte et de passer au contrôle complet à bord environ deux ans plus tard grâce à une liaison de données améliorée, ajoute Hernández. L’entreprise, qui avait déjà annoncé son intention d’augmenter la masse maximale au décollage de l’A400M de 37 à 40 tonnes métriques, affirme qu’elle y parviendra sans modifier la structure ni les moteurs. Cette augmentation serait principalement utilisée pour les missions de transport stratégique, et non les insertions tactiques, Airbus introduisant des limites de commandes de vol pour réduire certaines manœuvres tactiques lorsque l’appareil opère à pleine charge. Le surplus de capacité pourrait aussi servir à augmenter l’autonomie d’environ 250 miles. Cette amélioration pourrait être appliquée aux appareils existants si les opérateurs en font la demande. Aux États-Unis, où la production d’avions de transport lourd a pris fin il y a dix ans avec la fermeture de la ligne du Boeing C-17, l’armée cherche à définir la prochaine étape. L’US Air Force prévoit que le Lockheed Martin C-5M restera opérationnel jusqu’en 2045 et que le C-17A restera en service jusqu’en 2075. Le 18 novembre, le commandement de la mobilité aérienne de l’US Air Force a publié une stratégie visant à recapitaliser sa flotte de transport avec la plateforme Next-Generation Airlift (NGAL). Le document prévoit une analyse des alternatives en 2027, un début de production en 2038 et une capacité opérationnelle initiale en 2041. « Un avion NGAL remplacera un C-5M jusqu’à ce que toute la flotte de C-5M soit retirée », indique la stratégie. « Ensuite, la flotte de C-17A sera remplacée par NGAL selon un échange un-pour-un. » L’US Air Force envisage aussi un programme de remotorisation du C-17 pour prolonger sa durée de vie de 50 ans. La stratégie ne traite pas des plans pour les avions de transport tactique, mais l’Air Force indique qu’elle voit NGAL comme une famille de systèmes, incluant des appareils plus petits pour remplacer le C-130 et même des rôles plus légers. Airbus et Embraer cherchent à profiter de cette fenêtre d’opportunité pour gagner des parts de marché dans un segment longtemps dominé par les États-Unis, même si Lockheed Martin reste actif sur le marché tactique avec le C-130J. Embraer a profité du salon de Dubaï pour annoncer le retrait d’une proposition vieille de deux ans visant à ouvrir un centre d’assemblage final en Arabie saoudite pour le C-390 Millennium, et propose désormais un centre régional d’achèvement aux Émirats arabes unis (EAU). « Pour être honnête, il n’y a pas de place pour deux centres d’achèvement dans la région », a déclaré da Costa. Ce changement intervient après un nouvel accord entre les États-Unis et l’Arabie saoudite, qui comprendrait un contrat pour des C-130J. Embraer a également dévoilé un accord avec la société de maintenance Ammroc, basée à Abou Dhabi, et avec Global Aerospace Logistics pour garantir du travail sur le KC-390 si les EAU achètent l’appareil. Airbus, de son côté, courtise aussi les EAU en promettant une part industrielle si le pays commande les 8 à 10 A400M attendus. Airbus est en discussions avec EPI, filiale du groupe Edge, Strata (Mubadala) et d’autres acteurs pour la production de pièces et les services liés à l’A400M et à d’autres programmes, explique Jean-Brice Dumont, responsable des programmes de puissance aérienne chez Airbus. La part industrielle soutiendrait le programme mondial, pas seulement la flotte des EAU, précise-t-il. L’entreprise a signé des accords lors du salon de Dubaï avec Mubadala ainsi qu’avec la société de défense émiratie Calidus, pouvant mener à la création d’un centre de maintenance et de révision pour l’A400M dans le pays. Les EAU, qui s’étaient à un moment intéressés au Kawasaki C-2 japonais et à un concept sud-coréen de transporteur, n’ont pas indiqué quand une décision de flotte serait prise.
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Tu tires du MM40 à l'heure du goûter ?
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Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Le Canada a rejoint offciellement l'initiative SAFE, en tant que premier pays non-européen https://www.politico.eu/article/canada-clinches-deal-to-join-europes-e150b-defense-scheme/ -
Oui, ils ont été escortés par un SSN seulement 10-25% du temps ...
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On avait eu vent d'une proposition pour 3 FDI assemblées en grèce il y a quelques mois. Quand on y pense, Naval Group leur a proposé à de multiples reprises de construire des FDI en grèce ... si au final ils se retrouvent avec 6 FDI Lorientaises il faudra que leur ministre se remette en question.
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Il y aurait donc bien 2 potentiellement 2 frégates disponibles à l'export en 2030. Soit 2 au Portugal, 2 en Suède, ou 1 pour chaque ... La France et l'Italie se font entendre dans la bataille des frégates portugaises --> https://marineschepen.nl/nieuws/Frankrijk-en-Italie-meest-zichtbaar-in-strijd-Portugese-fregatten-031225.html France : pourrait livrer des navires au Portugal en 2030 Le PDG de Naval Group, Pierre Éric Pommellet, a été interviewé au Portugal par la presse locale. Il a déclaré au journal Expresso : « Naval Group a la capacité de livrer au moins deux frégates au Portugal d’ici 2030. » Le dirigeant précise que la production chez Naval Group tourne à plein régime et que l’entreprise peut construire deux frégates par an. Il ajoute : « Cette année, nous avons livré deux frégates pour la première fois : une à la France — sur laquelle nous travaillons actuellement — et une à la Grèce, qui sera livrée avant la fin de l’année. » Les FDI grecques (également connues sous le nom de classe Kimon) doivent être opérationnelles au plus tard à la mi-2029. Cela laisse à Naval Group la marge nécessaire pour construire ensuite d’éventuels navires portugais. Pommellet met aussi en avant un deuxième atout : les retombées économiques pour le Portugal. Il promet que 20 % de la valeur du contrat reviendra à l’industrie portugaise. Naval Group examine par ailleurs d’importants investissements dans l’Arsenal do Alfeite : « Nous évaluons les capacités de l’Arsenal d’Alfeite, la façon dont nous pouvons investir et ce qui peut être investi pour soutenir la flotte. » En parallèle, le dirigeant français met en avant la coopération franco-grecque : « Nous savons très bien que nous devrons impliquer de nombreuses entreprises. En Grèce, par exemple, il y en a actuellement 70 », déclare-t-il à Expresso. « Nous pouvons mettre en place ici le modèle de maintenance que nous utilisons pour la Marine française. » Mais aussi Les Italiens avaient imaginé une opération de charme similaire à celle des Français, mais celle-ci est quelque peu tombée à l’eau. En effet, l’Emilio Bianchi (FREMM multiruolo) s’est révélée trop longue pour accoster à Alcântara, ce qui a forcé toute la délégation à se rendre au port de Sines pour pouvoir visiter le navire. Ce trajet de deux heures n’était cependant pas le seul désagrément dans cette affaire. Ce qui peut sembler, à première vue, une banalité, a immédiatement mis en évidence un problème potentiel si le Portugal venait à acheter des frégates FREMM. Ces navires sont en effet trop grands pour les infrastructures portugaises, comme le révèle une analyse de CNN Portugal, qui a comparé les dimensions du navire avec la réglementation de l’autorité portuaire de Lisbonne. Le problème se situe au niveau du courant du Tage, entre l’embouchure et l’estuaire, à dix kilomètres à l’intérieur des terres. La principale base navale du Portugal, où les frégates seraient stationnées, se trouve sur la rive sud de l’estuaire. Or, le trajet entre l’embouchure et cette base n’est navigable que pour des navires d’une longueur maximale de 135 mètres et d’un tirant d’eau maximal de 6 mètres. La FREMM EVO, avec ses 145 mètres de long et son tirant d’eau de 8 mètres, ne peut donc entrer ou sortir qu’à marée haute. Avec l’acquisition de FREMM EVO, le Portugal devrait donc commander une importante opération de dragage s’il souhaite utiliser ces navires. En outre, cette classe de frégates nécessite également des travaux à l’Arsenal do Alfeite : avec ses 20 mètres de largeur, le navire ne peut pas entrer dans la forme de radoub, conçue pour des bâtiments d’une largeur maximale de 18 mètres.
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https://www.meretmarine.com/fr/defense/naval-group-va-livrer-sa-deuxieme-fdi-en-deux-mois Le Nearchos et le Formion devraient être livrés à la Grèce au second semestre 2026. Ils seront suivis par une quatrième FDI, dont la commande a été confirmée fin novembre. La date de livraison du futur Themistocles n’est pas encore formellement annoncée. Elle est a priori prévue en 2028, à moins que la coque de la deuxième FDI française, l’Amiral Louzeau, qui sera mise à l’eau au printemps 2026 en vue d’un achèvement en 2027, soit réattribuée à la Grèce ou à un autre client à l’export, sachant que la nouvelle frégate de Naval Group est en compétition dans plusieurs pays, notamment au Portugal et en Suède. Du résultat de ces compétitions, que l'on devrait rapidement connaitre, dépendra le plan de charge du chantier de Lorient, son éventuelle montée en cadence et la répartition des créneaux de livraison entre les différentes marines clientes.
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Jusqu'à 36 Rafales ou Eurofighter pour l'Autriche ? PS : pourrait-on rouvrir le fil export Rafale maintenant qu'on est sages @PolluxDeltaSeven ?
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Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Derrière l’échec sur les sous-marins polonais, la « stratégie d’influence » française fait débat https://lemarin.ouest-france.fr/defense/une-claque-derriere-lechec-sur-les-sous-marins-polonais-la-strategie-dinfluence-francaise-fait-debat-d5f82dda-cc60-11f0-9f92-1f1697d8d1ab Après une année 2024 plutôt fructueuse, les ventes à l’export du fleuron du naval de défense français, Naval group, marquent le pas en 2025, avec trois revers successifs au Canada, en Norvège et en Pologne. Pour certains observateurs, ce n’est pas tant un échec technique que celui de la stratégique diplomatique et exportatrice française. La ministre française des Armées Catherine Vautrin était en Pologne le 25 novembre, la veille de l’annonce par son ministre de la Défense Wladyslaw Kosiniak-Kamysz du choix de la Suède pour construire les futurs sous-marins de la marine polonaise. La Pologne a choisi le 26 novembre le modèle A26 du suédois Saab pour ses futurs sous-marins conventionnels de classe Orka et a donc recalé l’offre française, le Scorpène de Naval group, qui a dit prendre acte du choix souverain de la Pologne . Le chantier français arrivait pourtant à un moment opportun, quelques mois après la signature en mai d’un large traité de coopération incluant la défense, dit de Nancy, entre les chefs d’État français et polonais. Cet échec qui suit de près ceux de l'été au Canada, également pour des sous-marins, et en Norvège, pour des frégates, a fait réagir certains dans la classe politique et chez les experts familiers du sujet. Des commentaires mettant en cause non pas la qualité technique du Scorpène - notamment ses batteries lithium-ion et la possibilité de l'équiper du récent missile de croisière naval - mais les carences de la "stratégie d'influence " Francaise [...]